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mercredi, 11 avril 2012

Libres commentaires sur la présidentielle 2012

 

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Libres commentaires sur la présidentielle 2012

par Georges FELTIN-TRACOL

 

Depuis le 19 mars dernier, on connaît la liste officielle, dressée par le Conseil constitutionnel, des candidats à l’élection présidentielle qui ont obtenu au moins les cinq cents parrainages. Dix candidats briguent donc la magistrature suprême comme en 1981 et moins qu’en 2007 (douze) et qu’en 2002 (seize).

 

Le filtre des parrainages a encore exercé sa sélection impitoyable en éliminant des candidats que les gras médias aux ordres appellent « fantaisistes » et qui sont en réalité « originaux ». Regrettons par conséquent l’absence de François Amanrich, du Mouvement des clérocrates de France, de Jean-Marc Governatori, de l’Alliance écologiste indépendante, ou de Cindy Lee, du Parti du Plaisir (quel extraordinaire duel, cela aurait été au second tour entre elle et D.S.K., avec « Dodo la Saumure » en arbitre !). Ces candidats auraient apporté un regard neuf aux défis actuels de notre époque.

 

 

Pour l’heure, les roquets du Système médiatique valorisent les deux candidats du Régime, les véritables « frères siamois » dont la politique sera identique, exceptée aux marges. Ils symbolisent l’hégémonie de l’U.M.P.S. !

 

L’U.M.P.S. et ses clones

 

On ne doit rien attendre de « Flamby l’Enfariné ». Sa victoire annoncée serait une grande première depuis 1848. Comme pour Louis-Napoléon Bonaparte, « Flamby » n’a jamais été ministre. L’emportera-t-il malgré son charisme d’huître et son programme libéral-libertaire insipide ? N’attendons rien du tout de l’actuel locataire de l’Élysée, responsable d’un quinquennat calamiteux marqué, entre autres, par l’aventure criminelle en Libye, d’où, aujourd’hui, la chute de Gao et de Tombouctou par les rebelles touareg et les islamistes. Passons sur la kyrielle de scandales (affaires Bettencourt, Karachi, Takieddine qui soutient l’« Enfariné », etc.) qui l’encercle. Peut-on en outre accorder sa confiance à un candidat qui dispose du soutien de Bernard Tapie, le gagnant d’une loterie bien particulière sur le dos des contribuables ? Et puis, est-il raisonnable de voter pour quelqu’un qui veut pénaliser la consultation régulière de sites dits « extrémistes » ? Pourquoi dans ces conditions ne pas commencer par fermer celui de l’U.M.P. ? On le voit, le mimétisme est total entre les deux « grands », atlantistes et mondialistes.

 

Gravitent autour de ce duo funeste des candidats auxiliaires qui servent de rabatteurs de voix pour le second tour déterminant. En dépit d’une campagne jouant sur une image fictive de dissident, le centriste François Bayrou est lié à l’hyper-classe oligarchique. Son pseudo-discours de rupture s’en prend artificiellement à l’U.M.P.S. Mais, sous l’image du rebelle diffusée par les médias, Bayrou le conformiste entérine l’alignement de la France sur le pouvoir bancaire. Le « centrisme révolutionnaire » si cher à son soutien fervent, Jean-François Kahn, n’est qu’une tromperie supplémentaire.

 

Autre candidate compatible au Régime, Éva Joly dont « même son nom est un mensonge » selon l’excellent humoriste Bernard Mabille (1), fait une campagne électorale qui s’apparente à un Tchernobyl politique. Certes, la candidate qui flirta un instant avec Bayrou en 2008 – 2009, est favorable aux langues vernaculaires de France. Mais, à part ce point précis, son programme n’offre aucune véritable alternative écologique, mais un simple accommodement « bo-bo » à la société post-industrielle de consommation de masse. En outre, les Verts – qui ne sont pas des écologistes – n’ont toujours pas compris la logique institutionnelle de la Ve République. Avec des sondages en berne qui se concrétisent par une vraie chute dans les escaliers, quel symbole !, il est probable qu’« Éva dans le mur » ! Tant mieux !

 

Remplaçant l’ineffable Olivier Besancenot, Philippe Poutou incarne le gauchisme mondialisé dans toute sa splendeur avec ses contradictions internes. Le fumeux N.P.A. (Nouveau parti anticapitaliste) s’oppose à la liberté de circulation des biens et des capitaux tout en défendant la liberté des hommes à s’installer n’importe où… Soutenir les clandestins étrangers délinquants dits « sans-papiers » et vilipender la mondialisation économique au nom du genre humain et de L’Internationale témoignent d’une imposture incroyable et d’un mépris certain envers les intérêts des peuples enracinés.

 

On sera plus indulgent à l’égard de Nathalie Arthaud qui succède à « Arlette ». Les « moines – militants » de Lutte ouvrière ne cachent pas qu’ils n’attendent rien des élections. Ils ne pleurnichent pas dans l’obtention des cinq cents signatures indispensables; ils estiment que leur présence dans la campagne n’est qu’une façon particulière d’atteindre un plus grand public. Ils n’en sont pas dupes; ils en profitent même sans oublier de bousculer leurs adversaires de gauche dont Mélenchon, la nouvelle coqueluche du Système.

 

Un tribun sans-culotte parodique

 

Pour les médias officiels, la « révélation » de la campagne serait Jean-Luc Mélenchon qui, sur les bases du non de gauche au Traité constitutionnel européen de 2005, a su fédérer dans un Front de Gauche du Capital divers groupuscules aux intérêts idéologiques divergents. Outre le P. « C.F. » qui survit péniblement et qu’il faudrait plutôt euthanasier rapidement, ce conglomérat rassemble le microscopique Parti de Gauche qui allie déjà chevènementistes en déshérence, socialistes désabusés et écolo-gauchistes affirmés, la Gauche unitaire de Christian Piquet qui incarna au sein de feue la L.C.R. l’opposition minoritaire, la Fédération pour une alternative sociale et écologique qui regroupe de multiples chapelles autour de Clémentine Autin et, c’est peu connu, le P.C.O.F. (Parti communiste des ouvriers de France) maoïste hodjiste (c’est-à-dire nostalgique de l’Albanie d’Enver Hodja…). Les fanions rouges avec une étoile jaune à cinq branches du Front de Gauche agités par des énergumènes évoquent furieusement ceux du Viet Cong et du Viêtnam du Nord d’Ho Chi Minh de la décennie 1960. Par cet emprunt exotique subliminal, le camarade Mélenchon semble jouer au « Grand Timonier tricolore », au Pol Pot hexagonal comme le sous-entend le sénateur – maire de Lyon, Gérard Collomb, qui pense que « le modèle qu’il défend, on l’a essayé en U.R.S.S., au Cambodge, ça ne marche pas (2) ».

 

Orphelin inconsolable du mitterrandisme, ex-trotskyste lambertiste, ancien cacique de l’aile gauche du P.S., un temps conseiller général de l’Essonne, sénateur socialiste de ce département entre 1986 et 2009 et ancien ministre du gouvernement Jospin qui adopta maintes mesures libérales et privatisa beaucoup, Mélenchon détourne la fonction tribunicienne. C’est un simulacre ! Conciliant la gestuelle de Mitterrand, la gouaille de Marchais et les références nauséabondes à 1789 – 1793, ce talentueux orateur a approuvé en 1992 Maastricht et il l’a expliqué dans un débat paru dans Krisis (3). Cet adversaire des identités vernaculaires, ce chantre zélé d’un Hexagone centralisé défend un néo-robespierrisme qui rappelle les heures les plus exécrables de notre histoire, celles de la Terreur et du génocide vendéen… Ce franc-maçon, fils assumé des abjectes Lumières, vomit toute spiritualité authentique et serait prêt, le cas échéant, à un conflit avec l’Iran. Il n’aime pas la France, mais adule la République fomentée par les loges qu’il veut universelle, voire mondiale. Ne déclara-t-il pas que « la France est une construction purement politique : elle n’est soudée ni par la langue, ni par une appartenance ethnique, ni par une religion, ni par une couleur de peau. Elle est tout entière le fruit d’un pacte civique. Ce pacte se fonde sur les principes issus de la Grande Révolution de 1789. Or depuis toujours, nous savons que ces principes ne peuvent s’épanouir complètement sans s’universaliser. […] Un républicain conséquent ne croit pas qu’on puisse faire la France dans un seul pays (4) » ? Sa chimère délirante rejoint finalement celle de Jacques Attali, un autre mitterrandolâtre.

 

La montée en puissance de Mélenchon dans les sondages ravit l’Élysée qui y voit le moyen d’affaiblir l’« Enfariné » de Corrèze. On se rappellera qu’au début de sa présidence, Sarközy souhaitait instrumentaliser Besancenot contre le P.S. comme Mitterrand s’était servi du F.N. contre l’union R.P.R. – U.D.F. La tentative avorta; elle réapparaît aujourd’hui avec Mélenchon, désormais promu allié objectif de l’U.M.P. L’équipe présidentielle espère même d’un hypothétique « 21 avril à l’envers renversé » : un second tour opposant Sarközy à Mélenchon ! Or le président sortant suscite un tel rejet dans les catégories populaires et moyennes inférieures qu’une victoire du tribun rouge serait envisageable d’autant qu’il bénéficie de l’indulgence permanente des gras médias malgré ses invectives fréquentes envers les journaleux qui les méritent d’ailleurs.

 

L’homme est coutumier de ces violences verbales qui frôlent l’examen psychiatrique. Ainsi, à l’une de ses collaboratrices, Laurence Sauvage, cet ardent féministe lui lança : « Du balais ! Moi aussi je suis au bout du rouleau ! Dégage. Tire-toi. C’est moi le chef, c’est moi qui décide (5) ». La classe !

 

Jean-Luc Mélenchon et son Front de Gauche petit-bourgeois ne sont pas révolutionnaires malgré les discours incendiaires; ce ne sont que des réformistes faussement radicaux. « La protestation qui est au cœur du vote mélenchoniste, remarque Pascal Perrineau, reste une protestation plutôt bourgeoise, celle d’une bourgeoisie de gauche éduquée et détachée de toute forme d’engagement religieux (6). »

 

Il est plausible qu’un très bon résultat de Mélenchon, le soir du 22 avril, contraigne Hollande à revoir ses projets et à le nommer à Matignon en cas de victoire étriquée le 6 mai prochain. Un gouvernement Front de Gauche des « Bo-Bo » conduit par Mélenchon marquerait sans nul doute le début d’une inquiétante « totalitarisation » de l’Hexagone. Qui seront alors les volontaires des nouvelles armées blanches ?

L’impasse souverainiste
 
Candidat souverainiste, Nicolas Dupont-Aignan a fait preuve à deux reprises d’une vraie fermeté d’âme. Il ne s’est pas déjugé en juin 2011 quand le célèbre quotidien vespéral de référence lui ordonna de ne pas assister à la fête annuelle de Radio Courtoisie. Il se montra courageux face aux pouilleux violents du Front de Gauche capitaliste lors d’une manifestation de soutien à la Grèce martyrisée par les banksters apatrides. Néanmoins, le député-maire de Yerre proclame un républicanisme obsolète. Son mouvement, Debout la République, est déjà en soi tout un programme alors qu’un identitaire français d’Europe préfère la République à genoux, voire couchée et… humiliée !

 

Le second candidat souverainiste n’est autre que Marine Le Pen. Après de bons débuts, sa campagne ralentit et patine. Certes, elle a pâti de la collecte difficile des parrainages (preuve absolue de l’obligation d’avoir un maillage d’élus locaux compétents). Son entourage n’est-il pas aussi responsable de cette situation ? On sait qu’il provient du chevènementisme de 2002. Or, en février 2002, Jean-Pierre Chevènement faisait 15 % dans les sondages et devenait le « troisième homme »; il finira à 5,39 % à la sixième place… Les difficultés de la campagne de Marine Le Pen découlent aussi de la grande malignité des médias. La dédiabolisation ne prend pas ! La présidente du F.N. a eu tort de ménager le pouvoir médiatique et pas Laura Lussaud ou Alexandre Gabriac des Jeunesses nationalistes. Vouloir amadouer les médias du Système ne sert à rien. Il est préférable de leur cracher dessus; ils aiment ça ! Marine Le Pen aurait dû conduire une campagne au positionnement plus tranché, plus radical.

 

Et puis certaines de ses propositions comme la sortie de l’euro ou l’inscription dans la Constitution de la non-reconnaissance du fait communautaire, ce qui incite à l’individualisme contemporain, déplaisent. En outre, Marine Le Pen propose l’entrée annuelle de 10 000 étrangers parce que « c’est le seuil incompressible pour ne pas se priver de gens de très grand talent qui auraient des compétences qui n’existent pas en France, des chercheurs ou des artistes exceptionnels (7) ». Le programme du nouveau F.N. n’est pas révolutionnaire, mais populiste -sécuritaire : il s’adresse aux petits Blancs qui souhaitent consommer en toute quiétude sans être gênés par un fort voisinage allogène. La sortie de cette société de consommation de masse pourrie n’est pas pour demain…

 

Marine Le Pen a au fond une conception très IIIe République du monde et de la France. Nonobstant des clins d’œil électoralistes appuyés à la culture corse, elle se méfie des régions et déteste les langues autochtones. Elle promet une recentralisation administrative préjudiciable à l’authentique diversité franco-européenne. Ses réponses dénient la nécessité d’une fédération identitaire des peuples de France intégrée dans une Europe impériale. Par conséquent, dans cette perspective ethno-continentale ambitieuse, qui aura le courage d’exiger une « ré-émigration » vers les pays d’origine ? Qui aura la hardiesse de réclamer une remise en cause des naturalisations accordées depuis au moins quatre décennies ? Qui aura la témérité d’imposer le droit du sang comme seul vecteur de nationalité et de dissocier enfin la citoyenneté de la nationalité ?

 

Déplorons la non-candidature d’Arnaud Gouillon, du Bloc identitaire, et de Carl Lang, de l’Union de la Droite nationale qui, faute de signatures en nombre requis, n’en déposa aucune au Conseil constitutionnel afin de ne pas révéler les vaillants élus locaux signataires. Nul doute que leur présence aurait probablement électrisé la campagne électorale.

 

Prométhée candidat !

 

Pour la seconde fois, les Français (re)découvrent Jacques Cheminade de Solidarité et Progrès. On apprécie ses attaques véhémentes et bienvenues contre la Finance internationale incarnée par la City, Wall Street et l’Anglosphère. Les journalistes, ignares et incompétents (pardon pour le pléonasme !), se gaussent de son programme spatial; ils ont encore tort. Ils n’ont pas compris que Cheminade est un scientiste, un prométhéen, dont certaines suggestions telles la relance de l’aérotrain de l’ingénieur Bertin, rappellent celles du Guillaume Faye archéofuturiste. Devant les représentants économiques et syndicaux du monde agricole, Jacques Cheminade se référa à Philippe Lamour, ce qui l’inscrirait dans la postérité du courant réaliste des « relèves intellectuelles des années 1930 (8) ».

 

Jacques Cheminade est un personnage contesté. Les attaques qu’il reçoit suscitent de la sympathie. Les médiacrates, moins couards que d’habitude et pour cause !, lui rappellent que son mouvement a fait l’objet en 2005 d’une brève surveillance de la part de la Milivudes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires), cette Inquisition moderne dans laquelle pullulent les frères trois-points. En 1995, le Conseil constitutionnel invalida son compte de campagne pendant qu’il approuvait celui, truqué, de Balladur. « Jacques Robert, l’un des neuf membres du Conseil constitutionnel qui ont pris part au vote […], confie aujourd’hui : “Pour prouver notre indépendance, nous avons rejeté le compte de Jacques Cheminade qui comportait des erreurs mineures ” (9) ». Cheminade en perdit ses biens personnels. Merveilleux exemple d’application pseudo-démocratique ! Néanmoins, Cheminade ne verse pas dans le politiquement incorrect, bien au contraire ! Il exècre tout ce qui est identitaire et se détourne des enjeux écologiques essentiels. Le 1er avril dernier, il arborait à la boutonnière le symbole écarlate du sidaction. Hostile au droit du sang et favorable au regroupement familial des étrangers, il a aussi soutenu avec d’incroyables contorsions sémantiques l’intervention militaire occidentale en Libye, défend une communauté internationale d’États-nations et fait preuve de conformisme médiatique, ce qui n’affaiblit pas la hargne de journalistes sots et arrogants (10). Lui aussi appartient au Système bien qu’il soit rejeté en périphérie.

 

Bref, cette élection présidentielle, nouvelle galerie spectaculaire de la marchandise, donne au bon peuple dix amuseurs pendant que les banksters, les vrais maîtres du moment, mettent au pas la Grèce, l’Italie, l’Espagne et le Portugal. La campagne est affligeante, insipide et d’une rare médiocrité. On regrette le temps où Marcel Barbu, Guy Héraud, Antoine Waechter et Marie-France Garaud exprimaient leurs points de vue différents. Tentés par l’abstention, les Français, écœurés et inquiets, abandonneront-ils cette torpeur mortelle pour retrouver leur esprit rebelle qui fit trembler jadis tant de puissants ? Réveillez-vous, bon sang, Jacques Bonhommes et autres nouveaux « Va-Nu-Pieds » ! Sinon se vérifiera, le 22 avril prochain, la terrible appréciation combinée des deux plus grandes personnalités marquantes de la France au XXe siècle, un général de brigade à titre temporaire et un maréchal de France, pour qui « les Français sont des veaux à la mémoire courte ».

 

Georges Feltin-Tracol

 

Notes

 

1 : Bernard Mabille, « Sur mesure », au Théâtre Saint-Georges, Paris IXe.

 

2 : Propos rapportés par François-Xavier Bourmaud et Nicolas Barotte dans Le Figaro du 29 mars 2012.

 

3 : « L’Europe et l’Amérique au miroir de Maastricht », face à face Jean-Luc Mélenchon – Gilbert Pérol, pp. 74 – 92, dans Krisis, n° 13 – 14, « Europe ? », avril 1993.

 

4 : dans Le Nouvel Observateur du 21 au 27 février 2002.

 

5 : dans Le Figaro Magazine du 6 avril 2012. Quelques minutes plus tard, Mélenchon rattrapa sa collaboratrice dans le couloir et s’expliqua avec elle en aparté, avant de se réconcilier. Le palais de l’Élysée est-il l’endroit propice pour un caractériel pareil ?

 

6 : Pascal Perrineau dans Le Figaro du 20 mars 2012.

 

7 : Marine Le Pen, entretien sur R.T.L. avec Jean-Michel Aphatie, le 5 avril 2012.

 

8 : cf. Olivier Dard, Le rendez-vous manqué des relèves des années 30, P.U.F., coll. « Le nœud gordien », Paris, 2002.

 

9 : Propos rapportés par Michaël Hajdenberg et Mathilde Mathieu, dans Marianne du 31 mars au 6 avril 2012.
 
10 : cf. l’émission politique traquenard « Questions d’info » sur La Chaîne parlementaire et France Info, le 21 mars 2012, avec Frédéric Haziza, plein de morgue, Françoise Fressoz du Monde, Sylvie Maligorne de l’A.F.P. et Marie-Éve Malouines de France Info, quintessence du journalisme hexagonal hystérique et partisan. Ce quatuor ferait-il de même face à Sarközy ou Hollande ?

 


 

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