mardi, 02 septembre 2025
Le cœur de l'Europe est vide: identité et leçon de Ḫattuša
Le cœur de l'Europe est vide: identité et leçon de Ḫattuša
Association Feniks (Flandre)
Source: https://www.feniksvlaanderen.be/blog/2656570_het-hart-van...
L'ombre de Ḫattuša — sur le syncrétisme et l'érosion identitaire en Europe
Quelque part dans les terres intérieures du désert de l'Anatolie, loin des circuits touristiques et de l'actualité géopolitique, se trouvent les ruines de Ḫattuša, autrefois capitale de l'empire hittite. Un empire qui, à la fin de l'âge du bronze, s'étendait de la côte égéenne jusqu'au cœur de la Syrie, et rivalisait avec des grandes puissances de l'époque, telles que l'Égypte, l'Assyrie et la Babylonie.
Ḫattuša était plus qu'une capitale. C'était un palais des civilisations. Ses archives contiennent des dizaines de milliers de tablettes d'argile, écrites dans au moins neuf langues. L'État cultivait son multilinguisme comme un atout politique : les activités religieuses et juridiques se déroulaient en hittite, en akkadien, en luwien, en hatti, en hourrite et parfois même en sumérien ou en indo-aryen. L'élite de la cour était polyglotte, culturellement sophistiquée et faisait preuve de flexibilité diplomatique. Aujourd'hui, nous parlerions d'un modèle d'inclusivité, de diversité et d'internationalisation.
Et pourtant, ou peut-être précisément pour cette raison, le hittite a disparu. Non seulement en tant que langue, mais aussi en tant qu'identité. Quelques générations après la chute de l'empire, il ne restait plus aucune trace de l'identité hittite, aucune mémoire culturelle, aucun mythe transmis. Ce qui a survécu, c'est le luwite, une langue culturelle locale et populaire. La langue de l'élite a disparu, celle du peuple est restée. Que s'est-il passé ? Et surtout, qu'est-ce que cela nous apprend sur nous-mêmes ?
L'élite hittite n'a pas construit son identité autour d'un noyau propre et exclusif, mais a absorbé des éléments culturels provenant de toutes parts. Les dieux venaient des vallées hourrites, les héros d'Akkad, les rituels des collines luwiques, le langage diplomatique de Mésopotamie. Même le nom de leur empire, « Ḫatti », faisait référence à un peuple qu'ils avaient eux-mêmes soumis. Les dirigeants ne se positionnaient pas comme un « peuple élu », mais comme les gestionnaires d'un projet de civilisation hybride.
À première vue, cela semble admirable. Mais cela avait un prix. Car si une identité collective se compose uniquement d'emprunts externes, si elle n'a pas de centre fédérateur, pas de noyau sacré, pas d'ancrage mythique, que reste-t-il lorsque la structure politique et militaire disparaît ?
Ḫattuša n'avait pas de rituel commun, pas de récit populaire d'élection ou de lutte. Pas d'Exode, pas d'Iliade, pas de « déclaration de principes ». La culture était une mosaïque — magnifique, complexe, mais sans ciment.
Le palais des miroirs syncrétique de l'Europe
L'Europe d'aujourd'hui se reconnaît, consciemment ou inconsciemment, dans ce modèle. Les sources classiques de l'identité européenne — le christianisme, l'héritage gréco-romain, les récits nationaux, l'attachement à la terre et à la langue — ont été rapidement déconstruites ou relativisées. Elles ont été remplacées par une architecture discursive : droits de l'homme, rationalité, durabilité, diversité.
Cela semble noble. Mais comme à Ḫattuša, cette identité repose en grande partie sur des principes abstraits, et non sur des pratiques incarnées. Le citoyen européen est encouragé à être « cosmopolite » : flexible, multilingue, mobile, rationnel. Il parle anglais, travaille pour des multinationales, vit dans des villes sans mémoire, mange une cuisine du monde, consomme une culture mondiale. Mais qui est-il encore — en dehors de ces codes fonctionnels ?
La France en est peut-être l'exemple le plus flagrant. Depuis des décennies, la République a remplacé son récit national par l'« universalisme » des Lumières. Chaque citoyen, quelle que soit son origine, est censé adhérer à un contrat laïc : liberté, égalité, fraternité. Mais cette égalité est formelle : elle repose sur la raison, et non sur la communauté. L'héritage catholique chrétien classique a d'abord été évité, puis supprimé, pour finalement être oublié.
Conséquence ? Dans les banlieues, des millions de jeunes ne parlent pas le français comme langue maternelle, mais l'arabe ou le bambara. Ils ne se reconnaissent pas dans Marianne, Voltaire ou le drapeau tricolore. La laïcité est vécue comme une hostilité. La République prône des valeurs universelles, mais échoue à incarner la reconnaissance. Elle est, comme Ḫattuša, une construction sans peuple.
Le Royaume-Uni incarne, lui, un autre scénario. Pendant longtemps, l'identité y a été portée par la grandeur impériale, le rituel anglican et la monarchie comme symbole. Mais depuis la décolonisation et l'émergence d'une élite postnationale, cette colonne vertébrale s'est érodée. Les « valeurs britanniques » sont aujourd'hui déclarées comme relevant du respect, de la tolérance et de l'État de droit — des concepts fonctionnels, mais sans poids liturgique.
Londres, tout comme l'ancienne Ḫattuša, est devenue une capitale mondiale. On y parle plus de 300 langues. Mais il n'y a pratiquement plus d'histoire commune qui intègre ce multilinguisme. Comme chez les Hittites, l'impression dominante est celle d'une élite vivant dans un réseau supranational, tandis que le peuple s'accroche au nationalisme populiste, à la nostalgie ou au ressentiment tribaliste.
La Belgique est presque le reflet ironique de la cour multilingue hittite. Ici aussi, il y a plusieurs langues, plusieurs cultures, plusieurs histoires. Mais au lieu d'élever cette diversité au rang de symbole commun, on a institutionnalisé le conflit. La Flandre et la Wallonie vivent dans des réalités parallèles. Bruxelles est une île multilingue sans lien avec le reste. L'identité belge existe principalement grâce à sa complexité administrative. Comme à Ḫattuša, les élites parlent toutes les langues, mais personne ne parle plus au cœur.
L'esprit des Lumières, un esprit sans corps
Tout comme l'élite hittite, l'élite européenne d'aujourd'hui invoque des principes universels : droits de l'homme, rationalité, liberté. Mais ces valeurs sont déconnectées de l'héritage, de la communauté, du lieu. Ce sont des reliques séculaires sans autel. Elles exigent la loyauté, mais n'offrent aucun mythe. Elles élèvent la procédure au-dessus du pathos.
L'homme libéral est une abstraction : autonome, raisonnable, mobile. Mais où vit-il ? Où prie-t-il ? Que pleure-t-il ? Qui sont ses ancêtres ? Quel est son foyer ?
Tout comme le projet hittite, la civilisation européenne risque de perdre son âme dans le miroir stratifié de son pluralisme.
Tout cela n'est pas un plaidoyer pour la fermeture, l'essentialisme ethnique ou la nostalgie nativiste. L'Europe n'a pas besoin de devenir une île. Mais elle doit oser reconstruire un noyau, un espace sacré où la diversité devient une simple forme de solidarité. Sans un tel centre, le multilinguisme devient babélien. La diversité devient centrifuge. Le passé devient un champ vide — et l'avenir une feuille de calcul technocratique. Une civilisation sans rituel, sans mémoire, sans voix propre, est comme un corps sans pouls.
Ce dont l'Europe a besoin, ce n'est pas de plus de réglementations, de plus d'indicateurs d'inclusion ou de plus de déclarations universelles. Ce dont elle a besoin, c'est de se reconnecter à ses sources : des récits enracinés, un art qui interpelle, une liturgie qui rappelle, des rituels qui unissent. Les Hittites avaient tout, sauf un mythe qui leur était propre. Cela a causé leur perte. Les ruines de Ḫattuša ne nous murmurent pas de slogans. Elles ne lancent pas de cri de guerre. Mais elles posent une question existentielle dérangeante : si vous reprenez tout de tout le monde, que reste-t-il de vous-mêmes ?
Sources:
Furedi, F. (2017). What's Happened to the University? A Sociological Exploration of Its Infantilisation. Routledge.
Anderson, B. (2006). Imagined Communities: Reflections on the Origin and Spread of Nationalism (Revised ed.). Verso.
Bauman, Z. (2000). Liquid Modernity. Polity Press.
Suvorkin, D. (2020). Meertaligheid en etnische identiteit in het Hettitische Rijk.
Bryce, Trevor. Life and society in the Hittite world. Oxford: Oxford University Press, 2004.
Beckman, Gary. “Akkadian and the Hittites.” In History of the Akkadian language uitgegeven door Juan-Pablo Vita, 1266-92. Leiden: Brill, 2021.
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Dix ans depuis que Merkel a tonitrué «Nous y arriverons»: les sept plus grands mensonges sur la grande vague migratoire depuis 2015
Dix ans depuis que Merkel a tonitrué «Nous y arriverons»: les sept plus grands mensonges sur la grande vague migratoire depuis 2015
Source: https://report24.news/zehn-jahre-wir-schaffen-das-die-sie...
Dix ans de « Nous y arriverons » ("Wir schaffen das!") : tous les Allemands savent désormais que rien n'a été accompli. Cela n'empêche pas Angela Merkel d'affirmer exactement le contraire. Dans une interview, elle vient de dresser un bilan positif de l'intégration des migrants arrivés en Allemagne en 2015, dont certains ont déjà fait les gros titres pour avoir commis de sérieux délits. Le Deutschlandkurier a passé au crible les sept mensonges les plus éhontés sur la migration, que les responsables politiques au pouvoir continuent de répandre avec acharnement.
L'article suivant a été publié pour la première fois dans le Deutschlandkurier:
« Nous y arriverons. » ("Wir schaffen das") Lorsque l'ancienne chancelière Angela Merkel (CDU) a prononcé cette phrase fatidique devant la conférence de presse fédérale le 31 août 2015, l'« Alternative pour l'Allemagne » (AfD) était à 3%. Dix ans plus tard, selon les derniers sondages, l'AfD est la force politique la plus puissante du pays, devant la CDU et la CSU ! L'une des principales raisons est que les Allemands ont désormais compris les mensonges et les tromperies des anciens partis sur la question de l'immigration clandestine massive. Le Deutschland-Kurier dénonce les sept plus grands mensonges sur l'immigration.
1. LE MENSONGE SUR LA MAIN-D'ŒUVRE QUALIFIÉE
Le conte de fées du prétendu « miracle des travailleurs qualifiés », alimenté jusqu'à aujourd'hui par les apôtres de l'immigration massive, se présente en réalité comme suit :
- Huit migrants sur dix issus des groupes d'immigrants les plus importants (à l'exception des Turcs) n'ont aucune formation professionnelle, comme le montrent les chiffres alarmants de l'Office fédéral des statistiques.
Les chiffres demandés par le groupe parlementaire AfD au Bundestag réfutent une fois de plus le discours répété avec insistance depuis dix ans selon lequel l'Allemagne aurait besoin des migrants pour pallier la prétendue pénurie de main-d'œuvre qualifiée. Le fait est que, selon les données du gouvernement fédéral, environ 80 % des immigrants âgés de 20 à 34 ans originaires de Syrie, d'Afghanistan et d'Irak n'ont pas de formation professionnelle complète.
- 81,5 % des Syriens vivant en Allemagne (qui constituent de loin le groupe le plus important parmi les demandeurs d'asile) n'avaient aucune qualification professionnelle en 2023.
- Ce chiffre n'est dépassé que par celui des Irakiens, avec 82,3 %.
- Parmi les Afghans, 78,3 % ne possèdent aucun diplôme qualifiant.
Si l'on considère TOUS les jeunes adultes de nationalité étrangère, le pourcentage de personnes non qualifiées reste alarmant. Plus de la moitié des 3,4 millions de jeunes adultes étrangers, dont la propagande en faveur de l'immigration massive prétend avoir un besoin urgent pour éviter l'effondrement des systèmes sociaux allemands, font partie de ce qu'on appelle le « précariat éducatif ». René Springer (photo), expert social de l'AfD : « Cette politique ne permet pas de lutter contre la pénurie de main-d'œuvre qualifiée, elle ruine nos systèmes sociaux ! »
2. LE MENSONGE SUR LE NIVEAU D'ÉDUCATION
Il apparaît de plus en plus clairement que la principale ressource de l'Allemagne (l'éducation, l'éducation et encore l'éducation !) est de plus en plus épuisée par l'immigration massive. Selon les chiffres du programme PISA, le niveau de performance des écoles allemandes est en forte baisse depuis des années.
Des classes surchargées, avec jusqu'à 90 % et plus de migrants, des enseignants débordés, des excès de violence dans les cours d'école : cela nuit à la lecture, à l'écriture et au calcul, même chez les élèves allemands. Dans l'étude PISA 2022, les élèves allemands ont obtenu les pires résultats jamais enregistrés en mathématiques, en lecture et en sciences dans le cadre d'une comparaison internationale !
Dans la tranche d'âge des 20-34 ans, un étranger sur six n'avait déjà pas la diplôme scolaire minimal en 2023.
3. LE MENSONGE SUR LES RETRAITES
Face à l'augmentation rapide du nombre de naturalisations et à la multitude de problèmes d'intégration non résolus, le fiscaliste fribourgeois Bernd Raffelhüschen (photo) réclame un revirement radical de la politique migratoire allemande. Raffelhüschen, l'un des meilleurs experts sociaux d'Allemagne, dresse un bilan accablant de la politique migratoire et de naturalisation allemande. Tout comme l'AfD, il estime que la migration doit être économiquement rentable pour l'Allemagne.
Dans le même temps, cet éminent économiste balaye les chimères de la gauche écologiste selon lesquelles une immigration massive non contrôlée préserverait les systèmes sociaux allemands (mot-clé : changement démographique) de l'effondrement. Dans une étude controversée, Raffelhüschen a calculé que, sous le poids de la migration de masse, les systèmes sociaux allemands s'effondreront tôt ou tard et qu'il faut s'attendre à un déficit économique de 5,8 billions d'euros : « C'est le prix de l'immigration dans notre système actuel ! »
Le scientifique de Fribourg présente ses calculs de manière détaillée :
- En moyenne, l'intégration des migrants sur le marché du travail prend six ans, si tant est qu'elle ait lieu. Pendant cette période, ils ne cotisent pas ou très peu aux caisses sociales allemandes. La situation ne s'améliore guère par la suite dans leur vie professionnelle. En effet, en raison de leur manque de qualifications, les migrants gagnent généralement beaucoup moins que leurs collègues allemands. Conséquence : ils paient moins d'impôts et de cotisations, mais bénéficient en principe des mêmes prestations en matière de maladie, de soins et de retraite.
- L'économiste Raffelhüschen illustre ses calculs à l'aide d'un exemple simple : « Un demandeur d'asile arrive en Allemagne à l'âge de 26 ans, sa demande est rejetée au bout de deux ou trois ans, mais il reste dans le pays avec un titre de séjour provisoire. Il commence alors progressivement à occuper ses premiers emplois, acquiert des qualifications et, à 35 ans, devient contribuable et cotisant. En raison de ses faibles droits à la retraite, il perçoit, une fois retraité, le revenu minimum garanti, pour lequel ses cotisations n'auraient jamais suffi. »
Raffelhüschen résume cette situation déplorable en une seule phrase : « L'immigration n'est pas rentable ! »
4. LE MENSONGE DE LA CRIMINALITÉ
L'un des pires minimisateurs de la criminalité alarmante des étrangers est Georg Restle (« Monitor »), journaliste à la chaîne publique WDR : « Le fait qu'une personne devienne criminelle ou violente n'a rien à voir avec le fait qu'elle soit allemande ou non », a-t-il récemment déclaré dans un commentaire diffusé dans l'émission Tagesthemen de la chaîne ARD. Pour ce fanatique du « Welcome », les chiffres sur la criminalité des étrangers tirés des statistiques policières (PKS) ne sont que des « campagnes de peur » menées par la droite. Le nombre de suspects augmenterait notamment « parce que la police enquête particulièrement souvent sur les non-Allemands. Et parce qu'ils sont plus souvent dénoncés ».
Pour sa propagande, Restle, partisan de gauche et écologiste en faveur de l'immigration massive, aime utiliser ce que les juristes appellent un raisonnement circulaire. Ce qui doit être prouvé est simplement anticipé sous forme d'affirmation, comme dans un documentaire diffusé au printemps dans l'émission « Monitor ».
Les recherches commencent déjà par une thèse qui doit ensuite se vérifier. Pour cela, on recherche des « experts » qui soutiennent le récit envisagé (appelé « spin » dans le jargon du secteur), c'est-à-dire qui doivent « rendre l'histoire vraie ». C'est exactement ainsi que « Monitor » a procédé.
Les statistiques policières sur la criminalité (PKS) pour l'année 2024 parlent un autre langage, et celui-ci est sans équivoque :
- Les crimes violents en Allemagne ont atteint un nouveau record avec 217.277 cas au cours de l'année considérée. Près d'un suspect sur deux (85.012, soit une augmentation de 7,5 %) était « non allemand » l'année dernière, alors que les étrangers représentent environ 15 % de la population totale.
- Le nombre d'agressions à l'arme blanche en Allemagne a également atteint un nouveau record avec plus de 29.000 cas, soit une moyenne de 79 agressions par jour ! Et ce n'est que la partie émergée de l'iceberg. Les experts estiment que le nombre réel de cas est beaucoup plus élevé.
- Depuis 2017, dans 52.000 cas élucidés, des personnes en Allemagne ont été victimes d'abus sexuels, d'agressions, de contraintes ou de viols commis par au moins un immigrant suspecté. C'est ce qui ressort des chiffres basés sur des évaluations spéciales du Bureau fédéral de la police criminelle (BKA), qui ont été rendus publics sous le gouvernement « feu tricolore ».
- Une question parlementaire déposée par le groupe AfD au Bundestag sous la direction du vice-président du parti, Stephan Brandner, a également révélé des chiffres choquants : jamais autant de suspects n'avaient été enregistrés pour des viols collectifs que l'année dernière ! Selon le gouvernement fédéral, 1011 violeurs présumés ont été enregistrés en 2024. Ce chiffre marque un nouveau record depuis le début du recensement en 2010 et représente presque le double de l'année précédente, qui comptait 537 suspects.
5. LE MENSONGE DE L'INTÉGRATION
Des milliards d'euros provenant des impôts ont été engloutis jusqu'à présent dans des cours dits « d'intégration ». Le ministre fédéral des Finances, Lars Klingbeil (SPD), a approuvé 300 millions d'euros supplémentaires rien que pour cette année. Le taux d'abandon est extrêmement élevé : 40% des migrants n'atteignent même pas le niveau linguistique minimum requis, à savoir le niveau B1.
Refus d'intégration, sociétés parallèles, mariages forcés : il y a un an, personne n'avait encore dit aussi brutalement à la mafia migratoire de gauche et des Verts ce que le travailleur social le plus honnête d'Allemagne avait à leur dire : « L'intégration a échoué à 100 % ! ». C'est le bilan que tire Wolfgang Büscher, porte-parole de l'association protestante pour l'enfance et la jeunesse « Arche » à Berlin Marzahn-Hellersdorf, de l'immigration massive depuis 2015. En tant qu'homme bien informé, Büscher met en garde contre une radicalisation islamiste et une escalade de la violence chez les enfants et les jeunes issus de familles dites de réfugiés dans les grandes villes allemandes.
Büscher (photo) rapporte notamment les conditions qui règnent dans les centres d'aide :
- « Celles qui portent des petits top sont traités de prostituées ! »
- « Nous sommes à bout. Notre système s'est effondré. Afin de pouvoir encore aider les autres, je demande l'arrêt de l'accueil des réfugiés. »
- « Chez nous, des enfants de onze ans se promènent déjà avec des couteaux. »
- « Un ancien maire de Berlin m'a dit que si nous la fermons devant les médias, nous recevrons aussi de l'argent de leur part. »
6. LE MENSONGE SUR LE LOGEMENT
L'une des conséquences de l'immigration massive est la pénurie croissante de logements, en particulier dans les agglomérations, et l'exode de la population allemande vers les zones rurales. Le fait est que l'immigration massive depuis 2015 a un impact considérable sur le développement du logement en Allemagne. Les immigrants sont attirés par leurs semblables. Berlin, capitale multiculturelle, attire particulièrement les migrants, mais les centres urbains de la région Rhin-Ruhr, tels que Cologne, Dortmund et Duisbourg, attirent eux aussi les migrants comme la lumière attire les papillons de nuit. Comme la plupart des migrants de toutes origines vivent dans les villes et les grandes agglomérations, la plupart des nouveaux arrivants s'y installent également. En conséquence, les logements se font de plus en plus rares, les loyers explosent et les conditions de vie deviennent de plus en plus précaires. Ce qui ne pose pas de problème pour les migrants dans la mesure où ceux-ci bénéficient d'une aide généreuse de la part des contribuables allemands, par exemple sous la forme du « Bürgergeld » (revenu citoyen), qui est depuis longtemps devenu le «revenu des migrants».
Il n'est donc pas surprenant que les jeunes Allemands aient de plus en plus tendance à « fuir » les villes pour se réfugier à la campagne. Des études récentes le démontrent, en particulier pour les jeunes actifs et les jeunes familles.
En clair : les Allemands deviennent des « migrants » dans leur propre pays ! Des quartiers entiers de grandes villes « basculent » ou ont déjà « basculé » depuis longtemps, comme le montrent de manière impressionnante les exemples de Berlin, Cologne, Hambourg et Duisbourg, entre autres.
7. Le mensonge sur le nombre de FEMMES et d'ENFANTS
« Il y a trop d'hommes qui arrivent », résume Bernd Raffelhüschen (Université de Fribourg) à propos du résultat de dix ans de « culture de l'accueil ». Le plus grand expert allemand considère comme particulièrement problématique le déséquilibre actuel entre les migrants féminins et masculins. Il déclare : « Un rapport équilibré entre les hommes et les femmes est essentiel pour une société d'immigration stable. » Là encore, les statistiques sont sans équivoque : les hommes, en particulier les jeunes hommes, continuent de représenter une part importante de l'immigration en Allemagne : en juillet 2025, ils représentaient plus de 61 % des demandeurs d'asile. Cette proportion est particulièrement marquée chez les jeunes demandeurs d'asile : rien que chez les 16-17 ans, elle atteignait récemment 80 % !
Entre-temps, le groupe des 18-24 ans en Allemagne représente l'un des groupes d'âge les plus importants parmi les demandeurs d'asile qui ont déposé une première demande entre 2015 et 2024 (source : Agence fédérale pour l'éducation politique). Voilà pour ce qui est du « taux de testostérone » en relation avec les agressions sexuelles.
ÉPILOGUE
Il y a dix ans, Kai Diekmann, alors directeur du journal « Bild » et militant pour l'immigration (« refugees welcome »), a pourtant récemment poussé ses rédacteurs à rédiger l'article suivant, avec l'aide active de Julian Reichelt, aujourd'hui directeur de «NiUS»: «BILD dévoile les sept plus grands mensonges sur les demandeurs d'asile, dit ce qu'il en est vraiment...»
Par exemple, « les réfugiés sont tous complètement incultes », « les réfugiés reçoivent plus d'argent que les bénéficiaires du Hartz IV », « les réfugiés ne viennent ici que pour l'argent », « les réfugiés sont particulièrement souvent criminels » ou « les réfugiés vivent mieux que beaucoup d'Allemands ».
Eh bien, Diekmann, c'était plutôt un vœu pieux de la part d'un bien-pensant !
L'ancien directeur de « Bild », qui a démissionné « de son propre gré » en 2017 et dont on n'entend plus beaucoup parler malgré son autobiographie auto-glorifiante (« Ich war BILD »), gagne aujourd'hui sa vie (après une indemnité de départ qui, selon des sources internes à la maison d'édition, s'élèverait à plusieurs dizaines de millions d'euros) grâce, entre autres, à un obscur « fonds pour l'avenir » destiné à investir des capitaux en actions. Il ne se soucie probablement plus beaucoup de l'avenir de l'Allemagne.
12:29 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : actualité, angela merkel, migration, migrants, allemagne, europe, affaires européennes | |
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Le problème des Églises orthodoxes en Ukraine
Le problème des Églises orthodoxes en Ukraine
Francesco Foti
Source: https://www.centromachiavelli.com/2025/08/12/il-problema-delle-chiese-ortodosse-in-ucraina/#
Le conflit entre l'Ukraine et la Russie n'implique pas seulement des dynamiques politiques et militaires, mais aussi des questions religieuses et une dimension informationnelle complexe axée sur des thèmes tels que l'indépendance, l'intégrité territoriale, l'autodétermination, la sécurité et les actions qui ont précédé les opérations militaires de 2014 et 2022.
Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques garantit la liberté de religion et d'expression (articles 18 et 19). De même, l'OSCE/BIDDH invite à faire preuve d'une attention particulière lors de la restriction de la liberté religieuse pendant les conflits armés.
L'interdiction des liens avec le Patriarcat de Moscou
En septembre 2024, le président ukrainien Zelensky a annoncé l'interdiction de l'Église ukrainienne liée au Patriarcat de Moscou et dirigée par le métropolite Onufrij (Onofrio). Cette décision a été critiquée par la Mission d'observation des droits de l'homme des Nations unies en Ukraine, le Rapport sur la liberté religieuse internationale du Département d'État américain et Amnesty International. L'Église ukrainienne avait déclaré avoir rompu ses relations avec Moscou après le début du conflit et le métropolite Onufriy avait pris ses distances par rapport à l'invasion, exprimant son soutien à l'armée ukrainienne. Le débat public sur la question ecclésiastique en Ukraine a été fortement influencé par des positions favorables à l'actuelle direction politique, par des milieux extérieurs au contexte orthodoxe et par des voix critiques à l'égard du rôle historique de l'Église orthodoxe dans le pays, y compris certains médias tels que United Media 24.
La polarisation croissante de la société ukrainienne a été associée à une augmentation des tensions sociales qui, selon certaines analyses, pourraient avoir des implications sur le respect des droits fondamentaux, y compris la liberté de conscience, en particulier pour les citoyens ukrainiens de confession orthodoxe et les communautés religieuses liées à la tradition orthodoxe. Plusieurs rapports font état d'un possible déséquilibre dans les relations entre l'État et l'Église, traditionnellement marquées par une coopération harmonieuse et synodale, avec une influence accrue de l'État. Dans ce contexte, des activités des services de sécurité auraient suscité des inquiétudes quant au respect des garanties démocratiques, notamment au regard des aspirations de l'Ukraine à intégrer l'UE. Il convient également de noter que les services de sécurité sont directement subordonnés à l'autorité présidentielle, et certains observateurs ont soulevé des questions quant au degré d'indépendance et de transparence de leurs opérations, en particulier en ce qui concerne les perquisitions, les condamnations et la formulation des accusations à l'encontre de membres du clergé ou de fidèles affiliés à l'Église ukrainienne faisant l'objet de contre-mesures telles que le Myrotvoretz.
L'Église d'État ukrainienne
L'Église d'Ukraine, récemment créée et reconnue au niveau national, semble s'aligner, à plusieurs reprises, sur les positions du pouvoir exécutif. Parmi les manifestations de cette orientation figurent des déclarations de soutien à des manifestations dans d'autres pays, comme la Géorgie, ainsi que la participation à des initiatives concernant des édifices religieux appartenant auparavant à l'Église ukrainienne.
Tant en Ukraine qu'en Russie, des responsables politiques ont eu recours à des interprétations sélectives de l'histoire pour soutenir leurs récits nationaux respectifs et leurs outils de communication publique. Dans ce contexte, des observateurs critiques ont relevé que les institutions religieuses, dans leur ensemble, n'ont pas toujours pris clairement position contre l'utilisation instrumentale de la foi, de la religion et du nationalisme, éléments que les conciles de la tradition ont condamné à plusieurs reprises, en particulier l'ethno-philétisme. Certaines sources ont également exhorté le Patriarcat œcuménique de Constantinople, en la personne du patriarche Bartholomée Ier, à s'exprimer plus clairement sur des incidents attribués à l'Église ukrainienne reconnue par l'État, qui comprendraient des actions jugées problématiques à l'égard de bâtiments religieux, du clergé et des fidèles appartenant à l'Église ukrainienne. Ce n'est pas la première fois que des critiques sont formulées à l'égard de l'action de cette Église, comme le montrent les précédents liés à la non-enregistrement de l'« association religieuse des Églises orthodoxes roumaines en Ukraine », qui avait suscité des perplexités dans le monde ecclésiastique.
Certaines Églises sœurs, dont l'Église roumaine, ont invité le Patriarcat œcuménique de Constantinople à entamer un dialogue fondé sur la tradition ecclésiastique plutôt que sur des critères ethniques ou des dynamiques politico-nationales. Dans ce contexte, des réserves ont également été exprimées par les Églises serbe et bulgare concernant la décision du Patriarcat œcuménique d'accorder le tomos d'autocéphalie à l'Église orthodoxe d'Ukraine sans conciliation ni réconciliation préalable entre les juridictions présentes en Ukraine, ni dialogue avec le Patriarcat de Moscou. Dans cette perspective, un processus de dialogue entre Constantinople et Moscou serait souhaitable afin d'aborder de manière constructive la complexité de la situation ecclésiastique en Ukraine. Le fait que les préoccupations exprimées par le patriarcat de Moscou concernant les limites de ses juridictions canoniques n'aient pas été prises en considération est considéré par certains experts en questions ecclésiastiques comme un élément critique. Historiquement, l'Ukraine fait partie du Patriarcat de Moscou depuis 1686, à la suite du transfert de la métropole de Kiev du Patriarcat œcuménique de Constantinople. Une approche fondée sur la conciliation, la continuité canonique et la sensibilité pastorale envers les fidèles en Ukraine a également caractérisé la position adoptée par l'Église géorgienne.
Les récentes décisions de l'Église ukrainienne concernant la vénération officielle des saints et, dans le cas du prêtre Roman Hryshchuk, des attributs spirituels qui leur sont associés, ainsi que les initiatives de l'État concernant la propriété de la Laure des Mouvements de la Grotte, soulèvent des questions sur la perception et la continuité de la foi parmi les croyants. Ces développements proviennent d'une Église soutenue par l'État et seulement partiellement reconnue par les autres Églises orthodoxes, ainsi que par les autorités gouvernementales, y compris les services de sécurité. Bien que les deux Églises rivales présentes en Ukraine partagent les mêmes fondements théologiques, les dynamiques politiques qui leur sont liées contribuent à une fracture institutionnelle et sociale. La perspective d'une solution à cette situation semble résider dans l'autonomie des autorités ecclésiastiques et dans la convocation d'un pan-synode. Dans ce contexte, les récentes actions de l'Église d'Ukraine soulèvent la question d'une éventuelle intervention du patriarche œcuménique Bartholomée Ier (photo).
Certaines interprétations, répandues dans les milieux politiques et médiatiques, décrivent la Sainte Rus' comme une construction idéologique récente liée à la rhétorique du gouvernement russe. Cette vision, largement acceptée par le public occidental, tend à négliger les racines historiques et théologiques de ce concept, qui plongent dans des traditions telles que celles de Byzance et de la Troisième Rome. Bien que ces références aient parfois été réinterprétées dans une optique politique, elles conservent une valeur préfigurative, symbolique et analogique qui peut être considérée comme légitime au sein de la foi.
Une impulsion pour la paix ?
Le pape François avait invité les autorités ukrainiennes à agir avec prudence à l'égard des communautés religieuses, en évitant les généralisations, les actions discriminatoires et les mesures fondées sur des sources non vérifiées ou sur des rapports provenant de secteurs institutionnels critiqués pour leur politisation. Le pape a souligné l'importance de protéger la liberté religieuse et de conscience, conformément à l'article 9 de la Convention européenne des droits de l'homme, qui stipule que les restrictions à l'égard des groupes religieux ne peuvent être mises en œuvre que pour des motifs concrets et proportionnés, et si elles sont nécessaires dans une société démocratique.
Dans le contexte de la guerre entre la Russie et l'Ukraine, on observe une divergence entre les spécialistes ecclésiastiques qui s'en tiennent à une lecture historique et théologique fondée, comme Kallistos Ware (photo), et d'autres interprètes, comme Timothy Snyder, qui adoptent des approches plus marquées par des perspectives idéologiques et politiques, contribuant ainsi à une représentation partielle de la réalité religieuse et culturelle de la région. Cette dynamique reflète un climat dans lequel les questions religieuses sont parfois insérées dans un contexte politique et culturel plus large. Des personnalités telles qu'Aleksej Arestovich ont exprimé leur inquiétude quant aux effets de certaines politiques de l'État à l'égard de l'Église d'Ukraine, soulignant le risque de polarisation. Dans ce contexte complexe, la protection de la liberté et l'inclusion religieuse sont des éléments fondamentaux pour le bien-être du tissu social, au-delà des orientations politiques et nationales.
Plus précisément, les services de sécurité opèrent sous la supervision directe de la présidence, avec une structure dirigeante souvent caractérisée par des nominations liées à des relations personnelles. Les enquêtes en cours sur des cas présumés de trahison – fréquemment liés aux organes présidentiels – attirent l'attention à la fois sur la fonction de ces appareils en tant qu'instruments de sécurité nationale et sur leur utilisation possible dans le cadre de la gestion du pouvoir politique. La question de la double nationalité du métropolite Onufrij, largement débattue, est comparable à celle d'autres personnalités publiques (dont Ilya Ponomarev, Artem Skoropadskyi, Kirill Vyshinsky et Maria Gaidar), qui ne font pas l'objet de mesures similaires, ce qui soulève des questions quant à l'uniformité de l'application des règles. La controverse semble porter en particulier sur le rôle du métropolite et son attitude à l'égard du transfert d'autorité à Épiphane Ier de l'Église d'Ukraine. Au niveau local, mais aussi au-delà, la tendance à identifier des personnalités religieuses de premier plan, des promoteurs du dialogue ou de simples fidèles comme des sujets critiques ou suspects, ainsi que les relations historiques complexes entre l'Église et le contexte socioculturel du pays, ne favorisent pas un climat de dialogue constructif ni la recherche de solutions communes, tant au niveau local qu'européen.
Au niveau international, malgré l'engagement déclaré en faveur de la protection des droits des minorités et contre toute forme de discrimination, la situation des communautés religieuses en Ukraine – soulignée également par des déclarations de personnalités institutionnelles américaines – n'a reçu qu'une attention limitée, tant au niveau médiatique que politique. En ce qui concerne l'UE, l'absence d'une position claire et d'un engagement cohérent en faveur du respect des convictions religieuses risque de ne pas être conforme aux principes énoncés dans le Plan d'action des Nations unies et à l'article 35 de la Constitution ukrainienne, qui protège la liberté de conscience. Dans le cadre du processus d'adhésion à l'UE, il serait souhaitable que l'État garantisse le respect des libertés religieuses, en laissant aux autorités religieuses le soin de gérer leurs affaires internes et les relations entre les patriarcats, dans le respect de l'autonomie spirituelle. Toute action en justice devrait être fondée sur des preuves documentées, sur une évaluation individuelle des cas et sur le respect du principe de la présomption d'innocence.
La perception négative de la Russie en Occident et dans certaines régions d'Ukraine ne devrait pas être généralisée sur la base du comportement d'individus isolés ou des opinions d'analystes étrangers sur des personnalités de la foi orthodoxe. Bien que les incidents de troubles à l'ordre public qui compromettent l'intérêt collectif doivent être traités par des moyens légaux, la décision du président Zelensky a été qualifiée par la responsable des services de renseignement américains, Tulsi Gabbard, de mesure critique pour la démocratie et les droits des fidèles. Une éventuelle absence de révision devrait entraîner une réponse des États-Unis, sous forme de sanctions ou d'autres initiatives, comme l'ont suggéré la sénatrice Anna Paulina Luna et d'autres personnalités politiques. En ce qui concerne la construction de l'identité nationale, il est important d'éviter les interprétations sélectives de l'histoire. La longue appartenance de l'Ukraine à l'Empire russe puis à l'Union soviétique est un fait historique qui, bien que pouvant faire l'objet d'une analyse critique, ne devrait pas être effacé ou réécrit par des approches révisionnistes. Cela vaut également pour la nécessité d'éviter les généralisations et les imprécisions, telles que celles du président Poutine.
À l'heure actuelle, l'Ukraine ne remplit pas encore pleinement les conditions requises pour adhérer à l'Union européenne, selon les paramètres fixés par la Commission européenne, l'article 10 de la Charte des droits fondamentaux de l'Union et les critères de Copenhague. Toutefois, la question centrale concerne la gestion des différents courants idéologiques qui influencent la cohésion sociale, une dynamique observée également dans d'autres contextes historiques, comme dans le cas de l'Angleterre et de l'Écosse pendant la guerre civile anglaise, des guerres de religion en France ou de la répression contre l'Église sous le gouvernement de Vladimir Lénine.
Qui est Francesco Foti?
Analyste. Il écrit sur les relations OTAN/UE-Russie, l'influence russe et chinoise en Europe et la coopération bilatérale/multilatérale dans une perspective sécuritaire et géopolitique. Il applique ces thèmes à des études de cas telles que les Balkans occidentaux, le Caucase du Sud, la Méditerranée orientale et la mer Rouge.
10:08 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : religion, orthodoxie, patriarcat orthodoxe, ukraine, actualité, europe, affaires européennes | |
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