« Nous nous battons pour la liberté.
Pour moi, la pire des choses serait de vivre en esclave.
On peut tout avoir : à manger, à boire, de quoi se vêtir, un toit où se loger.
Si on n’a pas la liberté, si on n’a pas la fierté, si on n’est pas indépendant,
cela n’a ni goût, ni valeur. »
Ahmad Shah Massoud (1953 – 2001)
Aujourd’hui et à l’avenir, notre combat va de plus en plus s’axer sur une valeur fondamentale : la liberté. On distingue deux camps dans l’Humanité : ceux qui défendent la liberté, et ceux qui veulent la réduire – bien souvent au nom de prétextes apparemment légitimes.
Voilà pourquoi nous proclamons notre attachement à la Liberté, sans laquelle l’homme n’a aucune dignité et aucune possibilité de grandir en esprit.
Nous nous positionnons :
Pour :
- La liberté de conscience
- La liberté d’opinion
- La liberté d’expression
- La liberté de mouvement
- La liberté de réunion
Contre :
- La censure et la surveillance
- Les lois sécuritaires liberticides
- Les restrictions à la liberté individuelle
- Le nouvel être social standardisé

Nous reconnaissons comme des droits inaliénables les articles 18, 19 et 20 de la DECLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’HOMME, actuellement bafoués en France ainsi que dans le reste du monde :
« Article 18
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.
Article 19
Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.
Article 20
1. Toute personne a droit à la liberté de réunion et d’association pacifiques.
2. Nul ne peut être obligé de faire partie d’une association. »
Nous constatons que la France va à l’encontre de ces articles, par les limitations et censures sans cesse grandissantes de la liberté d’expression, ainsi que la diabolisation du discours non-institutionnel. Nous pourrions le démontrer et le détailler ultérieurement, ce qui ne sera pas une chose compliquée tant les exemples liberticides ne manquent pas :
– Censure des discours et informations arbitrairement classés comme fake-news.
– Diabolisation de la pensée critique vis-à-vis du Système en place.
– Condamnation judiciaire des propos opposés à certaines communautés religieuses, ethniques ou sexuelle, alors que dans la majorité des cas ces propos n’incitent pas à la haine mais relèvent de la liberté d’expression.
– Intrusion de l’Éducation Nationale dans la vie privée des familles, afin d’y détecter les idées des parents et d’opposer les enfants à leurs parents (ce qui va aussi à l’encontre du 3ème point de l’article 26 de la Déclaration des Droits de l’Homme).
– Lois utilisées pour interdire les débats sur certains sujets et pour légaliser les procès d’intention, comme la loi Pléven, la loi Gayssot ou la loi About-Picard.
– Mise au ban de la société, grâce aux médias et aux réseaux sociaux, des personnes développant une pensée critique et originale.
– Lutte interministérielle contre des minorités spirituelles et thérapeutiques, considérées comme sectaires pour leurs idées et leur choix de vie, et non pour des faits légalement punissables.
– Etc.
Nous estimons que la dignité d’un être humain est de pouvoir vivre librement, mais aussi mourir librement. Un être humain peut disposer de son corps en fonction de ses opinions et de ses croyances, sans qu’aucune autorité n’intervienne dans sa vie privée, et cela dans le courant de sa vie comme dans le choix de sa mort. Les différentes obligations médicales, le droit de l’État à prélever les organes d’un mort sans son accord ou la marginalisation des personnes refusant l’acharnement thérapeutique, ne sont que des atteintes à la liberté de mourir en fonction de ses convictions. Il n’est pas étonnant qu’un régime qui ôte des libertés fondamentales pour vivre, ôte aussi des libertés fondamentales pour mourir.
Nous condamnons ici le régime matérialiste qui est en place car celui-ci, niant l’existence de l’âme, dénie aux êtres humains le droit de conformer leur vie à leurs conceptions propres de l’âme, et par conséquent nie la liberté de conscience.

La République Française est ainsi opposée aux libertés fondamentales qui permettent à un être humain d’accorder sa vie à ses conceptions spirituelles.
Si la France est particulièrement concernée par ces accusations, celles-ci s’appliquent néanmoins, à quelques détails près, à la plupart des pays du monde et à l’Union Européenne dans sa totalité. Nous considérons donc comme un devoir d’entrer en insurrection morale contre l’Ordre mondial en place, c’est-à-dire contre son oligarchie dirigeante dont les intérêts économiques ne seront jamais compatibles avec la liberté.
Les répressions qui pourraient se durcir et se généraliser à l’avenir contre les opposants, démontreront encore plus la nature liberticide du régime en place. Évidemment, ces répressions seront justifiées par des prétextes qu’ils soient sanitaires, scientifiques, sociaux, humanistes ou écologiques afin d’obtenir l’assentiment de l’opinion publique.
Que tous ceux qui se reconnaissent dans ces principes et dans ce combat diffusent ce message.
Nous n’avons pour le moment que l’insurrection de conscience comme possibilité, et si nous ne pouvons pas changer le Système, nous pouvons néanmoins montrer un exemple pour ceux qui réfléchissent encore librement.






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Sterker nog: er is eigenlijk véél meer overeenstemming in de geopolitieke wereld dan er in de economische wereld is. Zonder dat die overeenstemming met de macht van de straat afgedwongen wordt (cfr. de zogenaamde consensus in de wetenschappelijke wereld over klimaatopwarming, afgedwongen door activistische politieke instellingen en dito van mediatieke roeptoeters voorziene burgers). Er zijn een aantal verschillende verklaringsmodellen, geen daarvan is volledig, en er is sprake van voortschrijdend inzicht, maar de voorlopige conclusies gaan geen radicaal verschillende richtingen uit. Én het is ook gewoon een razend interessant kennisdomein, zeker in tijden waarin grotendeels gedaan wordt alsof grenzen voor eeuwig vastliggen, handels- en andere oorlogen zich bedienen van flauwe excuses, en gedateerde internationale instellingen hun leven proberen te rekken.
En dan is er natuurlijk ook nog Karl als vader van Albrecht. De twee kwamen na de “vlucht” van Hess in een neerwaartse spiraal terecht (het nationaal-socialistische regime was zich wél bewust van het feit dat er een samenhang was tussen Hess en de Haushofers die véél verder ging dan het promoten van geopolitieke ideeën), maar zelfs binnen die spiraal bleven ze een merkwaardig evenwicht bewaren. Een evenwicht tussen afkeuring en goedkeuring van de Führer, tussen conservatisme en nationaal-socialisme, tussen oost en west, tussen esoterisme en wetenschap. Een evenwicht dat kennelijk heel moeilijk te begrijpen is in hysterische tijden als de onze en dat daarom steeds weer afgedaan wordt als onzin. Een evenwicht dat Karl Haushofer niet kon redden van een gevangenschap in Dachau en Albrecht Haushofer van executie in de nasleep van het conservatieve von Stauffenberg-complot. Een evenwicht dat Karl Haushofer en zijn echtgenote Martha definitief verloren toen ze zich op 10 maart 1946 achtereenvolgens vergiftigden en ophingen (al lijkt me dat, in combinatie met het lot van Hess, sowieso ook weer een eigenaardigheid).
Karl Haushofer en het nationaal-socialisme: tijd, werk en invloed