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dimanche, 07 juin 2020

Vivre libre, mourir libre - par la Communauté de la Rose et de l’Épée

« Nous nous battons pour la liberté.
Pour moi, la pire des choses serait de vivre en esclave.
On peut tout avoir : à manger, à boire, de quoi se vêtir, un toit où se loger.
Si on n’a pas la liberté, si on n’a pas la fierté, si on n’est pas indépendant,
cela n’a ni goût, ni valeur. »
Ahmad Shah Massoud (1953 – 2001)

Aujourd’hui et à l’avenir, notre combat va de plus en plus s’axer sur une valeur fondamentale : la liberté. On distingue deux camps dans l’Humanité : ceux qui défendent la liberté, et ceux qui veulent la réduire – bien souvent au nom de prétextes apparemment légitimes.

Voilà pourquoi nous proclamons notre attachement à la Liberté, sans laquelle l’homme n’a aucune dignité et aucune possibilité de grandir en esprit.

Nous nous positionnons :

Pour :

  • La liberté de conscience
  • La liberté d’opinion
  • La liberté d’expression
  • La liberté de mouvement
  • La liberté de réunion

Contre :

  • La censure et la surveillance
  • Les lois sécuritaires liberticides
  • Les restrictions à la liberté individuelle
  • Le nouvel être social standardisé

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Nous reconnaissons comme des droits inaliénables les articles 18, 19 et 20 de la DECLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’HOMME, actuellement bafoués en France ainsi que dans le reste du monde :

« Article 18
Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites.

Article 19
Tout individu a droit à la liberté d’opinion et d’expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d’expression que ce soit.

Article 20
1. Toute personne a droit à la liberté de réunion et d’association pacifiques.
2. Nul ne peut être obligé de faire partie d’une association. »

Nous constatons que la France va à l’encontre de ces articles, par les limitations et censures sans cesse grandissantes de la liberté d’expression, ainsi que la diabolisation du discours non-institutionnel. Nous pourrions le démontrer et le détailler ultérieurement, ce qui ne sera pas une chose compliquée tant les exemples liberticides ne manquent pas :
– Censure des discours et informations arbitrairement classés comme fake-news.
– Diabolisation de la pensée critique vis-à-vis du Système en place.
– Condamnation judiciaire des propos opposés à certaines communautés religieuses, ethniques ou sexuelle, alors que dans la majorité des cas ces propos n’incitent pas à la haine mais relèvent de la liberté d’expression.
– Intrusion de l’Éducation Nationale dans la vie privée des familles, afin d’y détecter les idées des parents et d’opposer les enfants à leurs parents (ce qui va aussi à l’encontre du 3ème point de l’article 26 de la Déclaration des Droits de l’Homme).
– Lois utilisées pour interdire les débats sur certains sujets et pour légaliser les procès d’intention, comme la loi Pléven, la loi Gayssot ou la loi About-Picard.
– Mise au ban de la société, grâce aux médias et aux réseaux sociaux, des personnes développant une pensée critique et originale.
– Lutte interministérielle contre des minorités spirituelles et thérapeutiques, considérées comme sectaires pour leurs idées et leur choix de vie, et non pour des faits légalement punissables.
– Etc.

Nous estimons que la dignité d’un être humain est de pouvoir vivre librement, mais aussi mourir librement. Un être humain peut disposer de son corps en fonction de ses opinions et de ses croyances, sans qu’aucune autorité n’intervienne dans sa vie privée, et cela dans le courant de sa vie comme dans le choix de sa mort. Les différentes obligations médicales, le droit de l’État à prélever les organes d’un mort sans son accord ou la marginalisation des personnes refusant l’acharnement thérapeutique, ne sont que des atteintes à la liberté de mourir en fonction de ses convictions. Il n’est pas étonnant qu’un régime qui ôte des libertés fondamentales pour vivre, ôte aussi des libertés fondamentales pour mourir.
Nous condamnons ici le régime matérialiste qui est en place car celui-ci, niant l’existence de l’âme, dénie aux êtres humains le droit de conformer leur vie à leurs conceptions propres de l’âme, et par conséquent nie la liberté de conscience.

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La République Française est ainsi opposée aux libertés fondamentales qui permettent à un être humain d’accorder sa vie à ses conceptions spirituelles.

Si la France est particulièrement concernée par ces accusations, celles-ci s’appliquent néanmoins, à quelques détails près, à la plupart des pays du monde et à l’Union Européenne dans sa totalité. Nous considérons donc comme un devoir d’entrer en insurrection morale contre l’Ordre mondial en place, c’est-à-dire contre son oligarchie dirigeante dont les intérêts économiques ne seront jamais compatibles avec la liberté.

Les répressions qui pourraient se durcir et se généraliser à l’avenir contre les opposants, démontreront encore plus la nature liberticide du régime en place. Évidemment, ces répressions seront justifiées par des prétextes qu’ils soient sanitaires, scientifiques, sociaux, humanistes ou écologiques afin d’obtenir l’assentiment de l’opinion publique.

Que tous ceux qui se reconnaissent dans ces principes et dans ce combat diffusent ce message.

Nous n’avons pour le moment que l’insurrection de conscience comme possibilité, et si nous ne pouvons pas changer le Système, nous pouvons néanmoins montrer un exemple pour ceux qui réfléchissent encore librement.

lundi, 06 juin 2016

Les Brigandes récidivent avec un nouveau CD

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Après le succès de leur premier album, Les Brigandes récidivent avec un nouveau CD intitulé "France notre Terre"...

Thierry Bouzard

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Les Brigandes sortent leur 2e CD avec 14 nouvelles chansons, toujours aussi fortes, mais avec une évolution dans leur thématique. Deux CDs en huit mois, c’est quasiment un exploit. Une partie des chansons est déjà en ligne et si certaines, au lieu de chorégraphie n’ont droit qu’à une simple animation, elles ont toutes des vidéos.

Avec humour et sourire, elles s’en prennent à une génération qui « a fait le vide » avec Les Soixante-huitards, un des titres qui n’a pas encore été mis en ligne : « Ô vous les soixante-huitards/ Je vous vois dans vos beaux costards/ Qui parlez maintenant/ Au nom du gouvernement. »

Jakadi des millions est aussi une découverte. Elle chante l’hypocrisie des vedettes du show-biz qui font la leçon, mais ne veulent surtout pas donner l’exemple. L’inventaire est large et tous en prennent pour leur grade « On en veut des millions, Jakadi des millions/ Mais pas dans ma maison. »

Les Brigandes en veulent aux fossoyeurs, aux révolutionnaires et aux transhumanitaires de tous poils, elles les veulent En Enfer, « les jacobins génocidaires, les bétonneurs de l’équerre, les maîtres des secrets bancaires… en enfer ». Tout cela dit avec gentillesse, accompagné au piano, à la guitare et à la clarinette, les Brigandes sont aussi des musiciennes.

Pas vraiment optimiste mais lucide, leurs jolies voix décrivent le temps de l’Antéchrist : « Si on désire un monde meilleur/ Il faut s’attendre à des malheurs/ Une aggravation de la laideur/ De nos vies. » Nul besoin d’être prophète pour s’en rendre compte, mais trop nombreux sont encore ceux qui ne veulent pas l’envisager.

Elles dézinguent les médias avec Cerveau lavé : « Un journaliste qui prend sa plume, pour écrire/ Se demande avec amertume, comment mentir ». Dommage qu’elles s’en prennent à l’Inquisition, la sainte Inquisition devrait-on dire puisque c’est une œuvre d’Église et qu’elle a introduit la procédure contradictoire dans les procès, ce qui a constitué un progrès avec une réelle prise en compte des droits de la défense. Quand désinformé rime avec télé, ce qui n’est pas assez répété, on ne peut que les approuver.

La Nuit où ils ont serré Jack, fait un rapprochement entre un célèbre assassin londonien du XIXe siècle et les figures médiatiques actuelles. Son sort pourrait être celui qui serait réservé à tous les « juges compromis… psys chabraques… journalistes… flics et complices » qui couvrent les infâmes.

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Francis Cabrel serait-il une référence pour les Brigandes ? Pour la musique et le style peut-être, pas pour ses engagements, c’est sûr. Si Une Chanson pour Cabrel est quand même lucide « Mais quand on trime dans le mainstream/ Y’a pas d’erreur, on s’abîme/ Et Francis, n’y échappe pas », elle n’exclut pas une certaine reconnaissance.

L’évolution de leur nouvel album vient dans la place faite aux titres dont le thème se retrouvait précédemment dans Jeanne et France notre terre. C’est-à-dire des titres qui ne se contentent pas de s’en prendre à l’adversaire, mais fournissent des motifs d’espoir ou des modèles positifs comme dans Le Retour des héros qui évoque les figures de Charlotte Corday, Alexandre, Patton et Rommel.

Rêve de reconquête est celui de la reprise d’Algéziras (pour Alger ?) par des hommes venus du Nord : « Nous reviendrons du Nord sauvage/ Comme les loups pour un carnage/ Sonnez trompettes de la reconquête. »

Dans le style musical et poétique des ballades du temps jadis, le Rondeau de France évoque les couleurs de l’ancienne France, quand les chevaliers lançaient Montjoie-Saint-Denis en montant à l’assaut. On en aurait bien besoin. « Quand je vois flotter le drapeau de la France/ Dans l’or et l’azur mon cœur revit/ Par les temps de peine renaît l’espérance. »

Plus ancienne car elle remonte à octobre 2015 et avait été chantée lors du concert de Rungis, France notre terre est un plaidoyer pour l’amour de notre terre ancestrale, « France, notre mère/ On ne peut te laisser humiliée et vaincue. »

On est pas mécontentes d’être des Brigandes fait partie des nouveaux titres. À travers un inventaire de chansons traditionnelles françaises (la Bourgogne, la Paimpolaise, le P’tit Quinquin…), c’est une revendication à s’inscrire dans la continuité des chansonniers populaires anonymes ou célèbres et exprimer la joie de chanter. C’est aussi un appel pour éviter que les anciens répertoires soient remplacés par d’autres venus d’ailleurs : « Ils sont descendus du Nord y’a plus de mille ans/ Pour nous crier haut et fort : « Debout là-dedans ! »/ Ma parole, est-ce qu’ils sont morts, que font les Normands ? »

Seigneur, je ne veux pas devenir Charlie est un appel à se lever pour ne pas sombrer avec ceux qui sont dans le déni de réalité. « Demain l’âme qui vient au monde cherchera cet endroit béni/ Hors des cités nauséabondes où vit la race de Charlie. »

Jèze Society est la réponse des Brigandes aux attaques que le groupe a eues à subir récemment. On peut discuter certaines options des Brigandes, leur fixation sur les jésuites, leurs références au symbolisme ou à l’eschatologie, mais en cela elles sont bien de leur époque, celle du complot, des illuminatis ou du secret des francs-maçons. Et leurs chansons ne font que suivre l’évolution de nos sociétés, d’un certain point de vue de la dissidence. Quoi qu’il en soit de leurs options personnelles, elles savent faire passer avec douceur et poésie des paroles de combat et d’espoir. C’est un beau projet comme il n’y en a pas eu depuis bien longtemps dans la chanson qui défend notre identité.

CD est à 20€ + 3€ de frais de port = 23 €.

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00:05 Publié dans Musique, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : brigandes, france, chansons, satire, humour | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook