Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 17 novembre 2009

Schweinegrippe-Impfung: tödliche Nebenwirkungen?

Schweinegrippe-Impfung:

Polnische Gesundheitsministerin

warnt vor möglicherweise tödlichen Nebenwirkungen

Gerhard Wisnewski / http://info.kopp-verlag.de/

Schweinegrippe? Die Polen werden überleben. Und zwar weil sie von ihren Politikern vor dem neuen Bioterrorismus geschützt werden. Während deutsche Medien und Politiker für die Schweinegrippe-»Impfung« trommeln, steht Polen gegen den von oben verordneten Impfterror auf. Die polnische Gesundheitsministerin Ewa Kopacz warnte bei einer Sondersitzung des Parlaments zur sogenannten »Schweinegrippe« vor möglicherweise tödlichen Nebenwirkungen der Impfung. Prominente polnische Abgeordnete sprachen von einem »riesigen Betrug«.

grippe-porcine.jpgDie Sitzung im Warschauer Parlament dürfte als Desaster für die Pandemie-, pardon: Pharmaindustrie in die Geschichte eingehen. Geladen waren Sachverständige und Statistiker, um über die angebliche Schweinegrippe-Pandemie zu beraten. Nach einem Bericht von Polskaweb News kam dabei zunächst einmal heraus, »dass Polen, zumindest aktuell, kein Opfer irgendeiner Epidemie ist«. So habe man es gerade mal mit 193 Fällen von H1N1-Infektionen zu tun, wobei alle Betroffenen jedoch nur harmlose Krankheitsverläufe zeigten und kein einziger Patient daran gestorben sei. »An der normalen- und eigentlich viel gefährlicheren Grippe sollen aber inzwischen etwa 41.000 Menschen erkrankt sein.« Der Stellvertretende Minister für das Gesundheitswesen, Adam Fronczak, habe darauf hingewiesen, dass demgegenüber in der Saison 2008/2009 543.000 Polen an der üblichen saisonalen Grippe erkrankt seien: »Keine abnormale Sache, denn an der jährlichen saisonalen Grippe leiden mehr als eine Milliarde Menschen auf der ganzen Welt, und eine Million stirbt hieran«, so Fronczak laut Polskaweb.

Zur Vorbeugung einer Influenza-A/H1N1-Epidemie seien nach Ansicht der geladenen Experten keine ausreichend getesteten Gegenmittel auf dem Weltmarkt. Man warne vor den Nebenwirkungen von Produkten, mit denen sich die Pharmaindustrie derzeit eine goldene Nase verdiene. »Impfstoffe gegen die saisonale Grippe, an welcher in der Saison 2008/09 543.000 Polen erkrankt waren, habe man für ca. eine Million Menschen auf Lager, somit habe man ›nichts zu befürchten‹ – argumentierte eine große Mehrheit der Sitzungsteilnehmer.«

Dem Artikeldatum von Polskaweb nach zu schließen, fand die Sitzung des polnischen Parlaments am 30. Oktober statt. Die polnische Gesundheitsministerin Ewa Kopacz habe »von möglicherweise tödlichen Nebenwirkungen durch die bereits in einigen EU-Ländern angelaufenen Schweinegrippe-Impfmittel« gesprochen und »dringend« empfohlen, »den Kauf von derartigen Medikamenten erst dann zu realisieren, wenn ein ausgereifter Impfstoff auf dem Markt ist. Sie betonte, dass in einem Land (Schweden), welches eine große Menge H1N1-Impfstoff kaufte, schon vier Menschen ein paar Stunden nach der Impfung angeblich durch Stress gestorben seien, doppelt so viele, wie durch die Schweinegrippe. Die Ministerin betonte, dass die Pharmakonzerne keine Verantwortung übernehmen für ihre Produkte, die Zusammensetzungen ebenso zu Geheimnissen mache, wie die weltweiten Ergebnisse ihrer Nebenwirkungen.«

Der bekannte Abgeordnete Janusz Palikot von der polnischen Regierungspartei PO habe behauptet, dass es keine neue bedrohende Grippe gebe und »die Impfstoffe gegen Schweinegrippe einem riesigen Betrug dienen«. Die Pharmaunternehmen bezeichnete er laut Polskaweb als »Mafia«: »Dies meinten auch andere polnische Politiker. Zum Beweis, dass es keine gefährliche Krankheit gebe, will man nun in die ukrainische Stadt Lemberg fahren und dort jedem die Hand reichen, der dies zulasse.« In der Ukraine schlägt die Panik vor der Schweinegrippe derzeit besonders hohe Wellen.

Dienstag, 10.11.2009

Kategorie: Enthüllungen, Wirtschaft & Finanzen, Politik, Wissenschaft

© Das Copyright dieser Seite liegt bei Gerhard Wisnewski


Dieser Beitrag stellt ausschließlich die Meinung des Verfassers dar. Er muß nicht zwangsläufig die Meinung des Verlags oder die Meinung anderer Autoren dieser Seiten wiedergeben.

dimanche, 10 mai 2009

La peur de la grippe porcine

GRIPPE.jpg

La peur de la grippe porcine: Une mine d’or sur les marchés boursiers pour les sociétés de biotechnologie « politiquement connectés »

 

Soutenu par la désinformation des médias, une atmosphère de peur et d’intimidation s’est propagée. Des situations « d’urgence » sanitaires ont été déclarées dans différentes régions des États-Unis.

Les médicaments les plus recherchés contre la grippe sont le Tamiflu et le Relenza. La course aux traitements a été déclenchée par le gouvernement des États-Unis en rendant disponible ses réserves nationales « pour s’assurer que les fournisseurs de soins de santé soient prêts à toute éventuelle intensification. »

Le Tamiflu est fabriqué par la géante société pharmaceutique suisse Hoffman-La Roche pour le compte d’une entreprise de biotechnologie basée aux États-Unis, Gilead Sciences Inc. Alors que le médicament est fabriqué par Roche, il a été développé par Gilead Sciences Inc qui en détient les droits de propriété intellectuelle.

L’ancien secrétaire à la Défense, Donald Rumsfeld, était l’un des principaux actionnaires de Gilead Sciences Inc. En 1997, Rumsfeld a été nommé président de Gilead Sciences Inc, un poste qu’il a occupé jusqu’à ce qu’il devienne secrétaire de la Défense dans l’administration Bush en 2001. Rumsfeld était membre du conseil d’administration de Gilead en 1987.

Dans un reportage publié au plus fort de la crise de la grippe aviaire en 2005, Fortune Magazine a décrit Gilead comme l’une des entreprises les plus politiquement connectées dans le secteur de l’industrie biotechnologique. Les intérêts et/ou les avoirs de Rumsfeld dans Gilead à la suite de sa démission en 2006, ne sont pas connus.

Les valeurs boursières

Le prix de l’action de Gilead sur le New York Stock Exchange (NYSE) a augmenté considérablement depuis l’annonce de l’épidémie de grippe porcine au Mexique.

« Le gouvernement étasunien a dégagé un quart de ses stocks de médicaments après avoir déclaré une situation d’urgence sanitaire nationale avec 40 cas confirmés en laboratoire de grippe porcine. Sept de ces cas sont en Californie, 28 dans la ville de New York, deux au Texas et deux au Kansas, et un dans l’Ohio.

Le Mexique a augmenté le nombre soupçonné de victimes depuis l’apparition de la grippe à 149 personnes – il est confirmé que 20 cas sont dus à la grippe porcine - et ils ont fermé toutes les écoles jusqu’au 6 mai. Près de 2,000 personnes y ont été hospitalisées avec de graves cas de pneumonie.

Les antiviraux sont des médicaments actifs d’ordonnance contre le virus de la grippe, y compris les virus de grippe porcine, selon les Centres de contrôle de la maladie (Centers for Disease Control). Les virus de grippe porcine de type A détectés aux États-Unis et au Mexique semblent être résistants à deux antiviraux, soit l’amantadine et la rimantadine, mais les tests de laboratoire indiquent que le virus est sensible au Tamiflu, également connu sous le nom de l’oseltamivir, et au Relenza, qui est connu sous le nom de zanamivir.

Le Tamiflu, un antiviral oral approuvé aux États-Unis pour traiter et prévenir les infection au virus de la grippe de type A et B chez des personnes âgées d’un an et plus, est vendu par F. Hoffmann-La Roche Ltd, qui verse des redevances liées à la vente de ce produit à Gilead. Roche a déclaré qu’il a 3 millions de boîtes de Tamiflu en réserve - une partie des 5 millions de traitements donnés à l’organisme de santé des Nations Unies en 2006 - et qu’il peut fournir le médicament partout dans les 24 heures. » (San Francisco Business Times, le 27 avril 2009)

Article original en anglais : Swine Flu Scare: Stock Market Bonanza for “Politically Connected” BioTech Companies, publié le 29 avril 2009.

Traduction de Dany Quirion.

Michel Chossudovsky est directeur du Centre de recherche sur la mondialisation et professeur d’économie à l’Université d’Ottawa. Il est l’auteur de Guerre et mondialisation, La vérité derrière le 11 septembre et de la Mondialisation de la pauvreté et nouvel ordre mondial (best-seller international publié en 12 langues).

Source : Égalité & Réconciliation


 

Article printed from :: Novopress Québec: http://qc.novopress.info

URL to article: http://qc.novopress.info/?p=5048