Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

samedi, 09 novembre 2024

Sexe et genre: un "désir politique" de Mieli à Butler

7a1db2eccf1ff3d8f3824d7cd31890fe.jpg

Sexe et genre: un "désir politique" de Mieli à Butler

Par Andrea (Blocco Studentesco)

Source: https://www.bloccostudentesco.org/2024/10/25/bs-sesso-e-g...

De l’introduction des "carrières alias" dans les écoles et les universités à la création de groupes de recherche engagés dans des études pseudo-scientifiques sur les “enfants trans”, en passant par l’ouverture de véritables cours universitaires sur la théorie queer, la boue de l’idéologie du genre touche de plus en plus les jeunes et les étudiants.

L’influence croissante du mouvement LGBTQ et de son dispositif idéologique sur les lieux de culture et d’éducation nécessite une réflexion critique sur les fondements de cette vision qui, bien qu’elle se présente comme scientifique et objective, n’est rien d’autre que l’expression d’un simple “désir politique” vide de contenu.

Un amalgame de thèses, extraites à dessein et détachées de leurs contextes plus généraux pour valider des hypothèses personnelles, qui mêle une certaine psychanalyse des années 50 et 60, le féminisme de la deuxième vague, le marxisme, le post-structuralisme et la déconstruction philosophique.

Mieli.JPG

9782908855968_1_75.jpg

La critique homosexuelle de Mieli

L'un des précurseurs de tout cet univers qui, à partir de la fin des années 90, fera référence à la théorie queer, dans toutes ses variantes, est sans aucun doute Mario Mieli, activiste et philosophe, parmi les premiers en Italie à aborder la thématique des études de genre. Son ouvrage principal, Éléments de critique homosexuelle, publié en 1977, a eu une grande influence, même internationale, sur tout le panorama lié à l’idéologie du genre.

Cet essai, qui constitue la thèse de Mieli, s’adresse principalement aux milieux de l’extrême gauche et de la contestation de la fin des années 70. Ainsi, les thèmes de l’œuvre sont abordés sous un angle qui unit marxisme et psychanalyse et, plus généralement, au travers d’une introspection subjective visant à universaliser l’expérience de l’auteur.

0da9bf1f-1370-4823-9592-7bbe8218f349.jpg

Mieli part d’un postulat délibéré, à savoir que le pansexualisme ou transsexualisme (compris comme le polymorphisme sexuel de Freud plutôt que dans le sens moderne du terme) est une condition naturelle de l’être humain, antérieure à la division sexuelle, laquelle survient ensuite par un processus de socialisation, ou “édu-castration”, violent.

Cette édu-castration aurait pour effet de perdre cette condition d’indifférenciation et de se figer dans une stricte norme sociale; d’où le projet politique de libération et d’émancipation de l’humanité tout entière pour se débarrasser de cette castration: rendre la liberté au-delà de la socialisation.

L'attribution, à tort, de Mieli au courant des penseurs marxistes découlerait de l'idée que l'édu-castration constitue une condition préalable nécessaire au resserrement social, qui est indispensable pour l’exploitation par le Capital. Toutefois, le positionnement de l’éros comme pré-structural, c’est-à-dire comme prémisse aux rapports de production, est inacceptable dans la dialectique marxiste structure-superstructure (production-rapports sociaux).

La complétude originelle invoquée dans l’essai semble davantage faire référence à un état de nature idéal qu’à une condition biologique ou ontologique. La référence à des catégories psychanalytiques pour évoquer une origine mythique naturelle de la transsexualité ou pansexualité pose divers problèmes. En effet, le polymorphisme sexuel de Freud se référait non pas à une donnée intrinsèque de la condition humaine, mais à la plasticité des formes individuelles de sexualité en fonction du stress, de l'anxiété et de la névrose.

91+X+xxQXQS._UF1000,1000_QL80_.jpg

Mieli pousse alors son cadre théorique (l'hypothèse d’une condition pré-édu-castration et pré-sexualisation comme naturelle) vers la nécessité d'éliminer complètement la norme hétérosexuelle, perçue comme le fondement du système capitaliste. L’utilisation de catégories psychanalytiques pour expliquer cette libération observe le comportement social comme une sublimation de la tension découlant de la négation d’une supposée homosexualité ou pansexualité originelle, vues comme des conditions à retrouver pour parvenir à l’émancipation.

Le transsexualisme est vu non seulement comme un outil de libération individuelle, mais comme un véritable outil politique, d’où la volonté de destruction de tout type de structure organisée ou de normativité.

Cette approche efface complètement l'idée de femme et d'homme, s’appuyant sur un retour quasi religieux à une pré-catégorisation de la sexualité absolue, anticipant de plusieurs années la réflexion sur le rejet de la bisexualité, mis en avant par les études de genre.

61BMsK+skZL._AC_UF1000,1000_QL80_.jpg

Dans son solipsisme délirant, Mieli va jusqu’à concevoir des dérives fétichistes et des comportements relevant de la pédophilie, de la nécrophilie ou de la coprophagie comme des expériences rédemptrices, en ajoutant l’hétérosexualité à la liste des déviances mentales (bien que, d’un point de vue historique et culturel, elle ait toujours été majoritaire).

Au final, tout le discours proposé par Mieli ne prouve jamais rien mais projette simplement sa propre idiosyncrasie sur le plan général. La référence continue à un préconscient intérieur (biologiquement inexistant, étant le fruit d’un désir idiosyncrasique) montre l’incapacité de l’auteur à supporter le poids de l’existence (d'être homme) et celui du choix. Le type humain qui recherche une condition transsexuelle primordiale de naturalité est fondamentalement en fuite du monde, car incapable de se compléter et de s’identifier tel qu'il est (parricide).

Ainsi est rejetée la dimension tragique du choix, c’est-à-dire le fait d’être quelque chose en contraste avec le reste, de se donner une forme et de donner forme au monde.

Qu'est-ce que le genre? La bouillie d'une idéologie

Dans la complexe théorisation des études de genre, le concept même de “genre” est considéré comme un élément constitutif des relations sociales et des rapports de pouvoir.

Cette conception donne naissance à l'idée que la base biologique est une simple illusion collective, dissociant ainsi l'identité de genre du fait biologique, l'esprit du physique, l'âme du corps. Le rejet de toute forme de détermination sexuelle adopte d’une part une conception universaliste de l’être humain, et d’autre part, le triomphe de la subjectivité, où chacun se construit à partir de rien, selon ses propres impulsions émotionnelles.

La dissociation sexe-genre distingue donc les aspects biologiques des aspects psychologiques, assumant en fait un passage problématique de la nature psychologique du genre à son interprétation comme entité culturelle: à partir de l'idée que le genre est une construction culturelle imposée à une base biologique malléable dans le cadre d'une hiérarchie binaire homme-femme, la déconstruction devient un outil politique.

Cette vision de la distinction masculin-féminin comme résultat d'une exploitation historique n'est rien d'autre qu'une supposition vide de sens.

Les théoriciens du genre, dans la lignée d’un certain anti-essentialisme postmoderne, réduisent le binarisme sexuel à un constructivisme sans réalité substantielle, produit uniquement par des catégories linguistiques. Comme déjà observé dans la réflexion sur les thèses de Mieli, des théories psychanalytiques ad hoc, comme le polymorphisme sexuel originel de Freud ou l'entrée du nourrisson dans l'ordre symbolique binaire de Lacan, sont invoquées pour étayer cette position.

Judith_Butler_al_CCCB_2018_(cropped).jpg

9782707150189.jpg

Dans ce cadre théorique, toute référence à un corps biologique est déjà filtrée par des significations culturelles (le sexe biologique toujours défini par le genre), comme l’a établi l'opération de dé-essentialisation et de dé-naturalisation de Judith Butler.

Le genre devient ainsi un performatif, non pas une expression qui nomme mais qui fait exister son propre sens, et, en conséquence, le corps devient une performance, une fabrication dénuée de statut ontologique propre, produite à travers des gestes ou des actes.

La féminité et la masculinité deviennent de simples déguisements du caractère performatif du genre, artificiellement modelé par la “domination hétérosexuelle”. La théorie queer ne fait alors que dissoudre toute opposition et fluidifier le genre en supprimant tout conditionnement historique/culturel.

715JzTu11uL._AC_UF1000,1000_QL80_.jpg

Cette démarche s’intègre parfaitement dans ce qui est le triomphe de la raison libérale, au sein de laquelle chaque identité ou normativité est remplacée par un appel à la sphère de l’arbitraire subjectif. La vision réductrice de cette identité psychologique comme produit culturel suppose une opposition schématique entre nature et culture: une nature perçue comme une donnée matérielle statique sur laquelle se superpose une dimension subjective. Un idéalisme subjectif qui considère l'élément psychologique comme seul réceptacle de vérité, prêt à être modelé arbitrairement.

Le corps biologique, en tant que concept culturel, est ainsi subordonné à la notion culturelle de genre.

Ce que la théorie queer et les études de genre ne voient pas, c’est la prédisposition naturelle de l’espèce humaine à l’apprentissage à travers des dispositions naturelles. Bien que le genre soit désormais étendu à toutes les caractéristiques traditionnellement reconnues dans la différenciation sexuelle, l’existence de différences dans de nombreuses caractéristiques biologiques et comportementales entre les deux sexes est établie depuis longtemps.

La complémentarité biologique entre homme et femme ne peut être réduite à une simple distinction sociologique, car elle est fondamentale pour la reproduction humaine; de même, l'absence de catégories naturelles absolues et dogmatiques ne constitue pas une raison suffisante pour nier l'existence et l'essentialité de la différence sexuelle ou biologique. 

14:57 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gendérisme, genre, mario mieli | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

mardi, 12 juillet 2016

Du genre

gender8836981_orig.jpg

Du genre

 

de Vautrin, docteur d'État et ancien maître de Conférences

Ex: http://www.lesobservateurs.ch

Parlant de genre, je pense au malheur de Penthée, représentant l’ordre rationnel d’Apollon dans Thèbes. Dionysos lui tend un piège infâme : pour surprendre les Bacchantes, lui explique-t-il, « revêts ton corps d’une robe de lin. » « Comment, d’homme soudain vais-je devenir femme ? » s’insurge Penthée. « Crains la mort, si jamais on reconnaît ton sexe », dit Dionysos. Mais on connaît la suite : dans des transes hallucinatoires, Agavé, mère de Penthée, massacre son propre fils, tandis que le chœur célèbre l’holocauste de Penthée qui, « vêtu d’une robe de femme, prit en mains le narthex, le beau thyrse, présage de mort assurée. ». Les folles ménades modernes transgressent la raison et l’ordre apolliniens, tuent la virilité. Il ne peut en résulter qu’un immense désordre et la ruine de Thèbes.

Je n’entrerai pas dans le détail des délires du « genre », ils sont assez abondamment exposés dans des livres, et l’on peut aussi lire avec plaisir l’ouvrage d’une femme admirable, Bérénice Levet, La Théorie du Genre ou Le Monde rêvé des Anges. « N’ai-je pas traité avec trop de sérieux une théorie qui ne mériterait rien d’autre que d’être engloutie dans un grand éclat de rire ? » écrit-elle dans l’épilogue. C’est exact : lorsque l’on parcourt le livre de Butler, Troubles dans le genre, on est partagé entre le diagnostic bien étayé d’une altération dont est victime l’auteur, l’agacement scandalisé et une irrépressible envie de rire. L’ennui est que ces propos de ménade ont l’oreille des politiques, Guides et illuminés, et qu’ils se traduisent dans les faits : on tente de façonner de l’humain –et singulièrement l’enfant- comme s’il était de l’argile sur le tour d’un potier. Il est donc nécessaire de réagir.

La nature a instauré dans notre espèce, toutes races confondues, un dimorphisme sexuel, les génotypes se différenciant entre autres par une paire de chromosomes XX et une paire XY qui entraînent des différences phénotypiques indéniables. Des taux différents d’hormones – œstrogène et testostérone- sont aussi notées entre sujets féminins et sujets masculins. L’espèce ne se reproduit naturellement qu’entre sujets biologiquement complémentaires. La culture, par la problématique de l’inceste, nie formellement cette différence des sexes (relire à ce propos ce qu'en dit Lévi-Strauss dans Les Structures Élémentaires de la Parenté),  mais finalement rejoint la nature en instaurant l’alliance sociale réglant conventionnellement le rapport de personnes biologiquement complémentaires mais appartenant l’une au groupe A, l’autre au groupe B de la société. Il existe cependant d’une part des carences, lorsque le sujet n’est pas en mesure d’analyser les rapports en termes d’inceste (ce sont les incestueux) et d’autre part des altérations, lorsque le sujet réifie l’indistinction sexuelle. Cela veut dire, dans ce cas, que le sujet A (au sens clinique) est capable de reconnaître dans un sujet B une complémentarité sexuelle « sociologique », mais qu’il est pathologiquement dans l’incapacité de lui « reconnaître » une complémentarité sexuelle « biologique ». Cette pathologie maintient à l’excès une indistinction de culture et nie toute sexualité biologique.

Parce qu’il s’accompagne de comportements particuliers cliniquement observables, j’appelle ce trouble Syndesténie car il ne se réfère pas au sexe biologique mais au nexus culturel qui devient exclusif. Si c’est une pathologie, ce n’est évidemment pas un « choix de vie ». L’excès démentiel se constate dans ces lignes : « …j’invite tous les corps à faire grève de l’utérus. Affirmons-nous en tant que citoyens entiers et non plus comme utérus reproductifs. Par l’abstinence et par l’homosexualité, mais aussi par la masturbation, la sodomie, le fétichisme, la coprophagie, la zoophilie…et l’avortement. Ne laissons pas pénétrer dans nos vagins une seule goutte de sperme national catholique. » (D’une certaine B. Preciado, citée par Bérénice Levet). Il n’y a rien d’étonnant à ce que cet « appel », naturellement paru dans le journal Libération, énonce implicitement, mais abondamment, les éléments du tableau de ces pathologies que j’appelle altérations et que la psychiatrie de naguère appelait perversions. Il y a pire : Preciado prône l’« intoxication volontaire par consommation en dehors de tout protocole médical, d’hormones chimiques dans le but de transformer son corps et de faire ainsi échec à toute tentative d’identification. » D’autres malades mentaux préconisent ce traitement in utero !

MPI-88-01-gender-.jpg

Donc pour éviter la distinction des sexes, et surtout ce que les généristes considèrent comme la domination des hommes sur les femmes, le mieux est de supprimer chimiquement la différenciation naturelle des sexes ! Dans la Grèce antique, on appelait cela le crime d’hybris, d’atteinte à l’ordre du monde. Le cas pathologique cité n’est pas si rare, et il s’apparente aux délires nazis du Dr Mengele. Mais, disons, la majorité des généristes se contentent de modelage culturel, leur but étant d’obtenir une indifférenciation entre garçons et filles, hommes et femmes, dans les comportements, et dans leur identification sexuelle, afin d’effacer, selon eux, les « stéréotypes culturels » qui « perpétuent la domination des hommes sur les femmes ». Le plus cocasse est que ce soit revendiqué alors que depuis au moins trois décennies les femmes ont conquis l’égalité politique. Et que l’on va même plus loin, puisque les lois « de parité » exigent qu’un même nombre de femmes et d’hommes soient présentés aux élections, rendant caduque le choix démocratique en truquant les cartes.

C’est que la différence biologique et les différences culturelles persistent et résistent. Ces dernières sont effectivement des héritages, mais de quoi ? De conventions pour faire socialement acception des différences naturelles, tout simplement, de façon à ne pas avoir à tout réinventer à chaque instant, quitte à modifier historiquement les contrats. Point de ça pour nos illuminé(e)s qui s’imaginent pouvoir sans désastre du passé faire table rase et d’être les architectes d’une nouvelle Humanité ! Ils jouent sur le concept d’égalité, chose qui n’est pas naturelle, et qui n’est que formellement culturelle, jamais pratiquement. Or nous savons ce qu’il en est de l’égalité : un mythe, pas même un point oméga, qui, s’il était atteignable, correspondrait à un état d’entropie maximale de la société. Bref : nos généristes confondent différence et inégalité. Et comme l’inégalité, parfaitement normale, est le résultat de l’exclusion inclusive, elle est nécessairement discriminante, et non discriminatoire, peu importe la manière éthique dont on considère ce fait. La différence ne l’est pas, mais, par relation transitive, elle devient discriminatoire. C’est par un paralogisme de cet acabit que commence le « genre » théorisé.

Au fond, il y a une parenté entre les théories du genre et le port du voile islamique. C’est toujours la nature que l’on veut culturellement –par excès de culture- effacer (et non pas nier dialectiquement) : d’un côté, effacer la différence des sexes, de l’autre effacer la concupiscence sexuelle (et non inducatio in tentationem, et ne nous soumets pas à la tentation !). Et si l’on veut un peu fouiller les élucubrations du genre, on verra que l’on cherche aussi à évacuer les éléments de séduction propres à chaque sexe, qui vont se nicher, les bougres, jusque dans la profession exercée. De fait, en présentant les femmes comme des proies, soumises à de vils séducteurs qui ne cherchent qu’à les dominer, incapables de se défendre, les généristes ne font que les dégrader, leur nier toute capacité humaine à s’identifier, nier en dernier ressort leur identité formelle. Exactement comme l’antiracisme dégrade ses protégés.

Le monde des illuminés est plein de paradoxes, ou plutôt de paralogismes – de sophismes – comme nous en avons déjà rencontré. Ici, on veut obtenir de l’indifférenciation, alors qu’ailleurs on fait l’éloge de la différence et que l’on prône le « vivre ensemble ». On veut nier un déterminisme biologique, mais l’on décrète un déterminisme social absolu – celui de la sexuation- que l’on veut combattre en le remplaçant par un autre déterminisme, celui de « l’éducation » au genre. Où est la raison, dans ce fatras ?

« O Βάκχες , πάμε », O Bacchantes, allez ! Crient les Guides et illuminé(e)s. Mais si le législateur s’empare d’un délire né, comme nous l’avons vu, de cerveaux altérés, les répercussions sur l’ensemble de la société pourraient bien être mortifères. Il est par conséquent parfaitement légitime de le combattre. En particulier à l’école, où l’État n’a pas à se substituer aux parents en matière d’éducation, au Lycée, à l’Université, sur les lieux de travail. Partout. Il n’y a aucune culpabilité à être homme ou femme, accordant son sexe biologique et son sexe social. Il est temps de se réconcilier, en l’admettant, avec l’ambiguïté du Dasein, de l’être à la fois biologique et social qui est le nôtre.

Vautrin

(Le nom de l'auteur est connu de la rédaction)

00:05 Publié dans Sociologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : sociologie, gender studies, genre | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook