samedi, 26 janvier 2019
Le patriarcat : le fondement naturel de la société eurasienne
Le patriarcat : le fondement naturel de la société eurasienne
Les rôles sociétal et familial différents accomplis par les hommes et les femmes se rapprochent des différences physiques évidentes qui existent entre eux – les deux moitiés masculine et féminine également importantes de l’espèce humaine. Loin d’être arbitraires, les rôles spécialisés spécifiques au genre accomplis par les hommes et les femmes dans les sociétés eurasiennes traditionnelles furent développés à partir de la nécessité patriarcale – c’est-à-dire organique – et maintenus pendant des millénaires remontant très loin dans le passé, jusqu’à l’époque obscure de la préhistoire, c’est-à-dire les débuts de l’histoire de l’Homo Sapiens.
Un simple survol des grandes cultures eurasiennes passées et présentes qui ont adopté des formes strictes de patriarcat inclut : les Indo-Aryens, les Perses, les Chinois, les Grecs, les Romains, les Arabes, les Turcs, et les Russes. Si nous laissons l’Histoire être notre guide, c’est tout à fait clair : le patriarcat est la seule forme structurelle de hiérarchie suffisamment forte pour maintenir les cultures eurasiennes traditionnelles à tous les niveaux (socialement, culturellement, politiquement, etc.).
Pour que le système patriarcal fonctionne convenablement, comme un développement de la loi organique, il doit être fermement enraciné dans la société, depuis la cellule familiale de base jusqu’aux échelons supérieurs de la direction politique d’une société. L’ancienne institution romaine du Pater Familias résume le paradigme patriarcal dans toute sa splendeur. Bien sûr, les sociétés générées par les grandes cultures eurasiennes du passé sont en forte opposition avec la « société globale » a-historique postmoderne que nous voyons se déployer tout autour de nous – d’Hollywood à Hong Kong.
En seulement quelques générations, les gens de l’Occident (c’est-à-dire ceux qui habitent l« épicentre » de toute la décadence mondiale) ont pu voir les effets néfastes des normes anti-patriarcales, c’est-à-dire la féminisation forcée, dans presque tous les aspects de leur existence collective. Dans l’éducation, la politique, le commerce, la culture, l’art, l’armée, et même dans l’apparence physique et la manière de parler de plus en plus efféminées de leurs jeunes hommes. Sur tous les fronts, les hommes occidentaux sont en train d’être transformés en simples femmes avec un appareil génital mâle, au point où ils doivent continuellement se sentir coupables et s’excuser d’être des hommes. Est-ce vraiment étonnant que tant de lanceurs de mode culturelle américains (les dénommées « célébrités ») se pressent comme des moutons pour devenir des curiosités de la nature ?
Inutile de le dire, cette féminisation forcée a infligé une énorme quantité de dégâts mentaux, émotionnels et culturels aux Occidentaux dans leur ensemble – aux hommes tout comme aux femmes. De plus, le « totalitarisme soft » de l’Etat démocratique libéral n’a fait qu’envenimer ce problème, puisque c’est la démocratie libérale elle-même qui est si attirante pour le beau sexe, et pour le « coté féminin » des hommes aussi. Des actions comme les élections (un concours de popularité), les manifestations et le boycott (comportement agressif-passif), le lobbying, les avis d’experts (c’est-à-dire le bavardage) – tous ces comportements sont essentiellement féminins.
Maintenant, il faut le souligner, le néo-eurasisme (ou ce qui est désigné simplement sous le nom d’eurasisme) n’est pas contre la féminité lorsqu’elle est convenablement équilibrée par sa contrepartie masculine. En effet, nous les eurasistes pensons fondamentalement qu’une femme est égale à un homme en dignité humaine, de même que nous rejetons catégoriquement la misogynie. Et tout comme les hommes, les femmes ont leurs propres droits uniques ainsi que des devoirs à accomplir. Les femmes sont les grandes éducatrices de l’espèce humaine. Ce n’est pas un idéal abstrait qui a besoin d’être inscrit dans la loi, mais un fait de la Nature tout comme de l’Histoire. Les eurasistes s’opposent seulement à l’émasculation complète d’un peuple qui se produit inévitablement quand le concept anti-patriarcal corrompu du féminisme est autorisé à infecter une société saine. Nous croyons que le féminisme est à égalité dans son pouvoir destructeur avec l’agenda homosexuel, et c’est par conséquent l’un des plus grands crimes qui puisse être commis contre un peuple.
Ainsi, le concept – ou plutôt, l’idéologie ! – du dénommé féminisme est totalement étranger à notre propre moralité eurasienne et incompatible avec elle. De plus, les racines libérales du féminisme sont faciles à découvrir quand on étudie un peu le sujet. En tant qu’idée, le féminisme (comme son progéniteur libéral) est totalement antithétique aux lois de la Nature. Car où exactement peut-on voir dans le royaume animal que la femelle est égale au mâle en termes de force physique et de simple solidité ? Peut-être qu’une meilleure question serait : où dans toute la Nature, et parmi toutes les espèces, trouvez-vous des animaux femelles accomplissant les mêmes rôles exacts que leurs contreparties masculines ? La réponse : parmi les êtres humains, dans le stupide Monde Occidental. C’est-à-dire dans le Monde Occidental politiquement libéral, économiquement capitaliste, culturellement dégénéré, et sous contrôle américain.
Comme Francis P. Yockey l’a souligné il y a bien des années dans son magnum opus Imperium, le libéralisme « lui met [à la femme] un uniforme et l’appelle un ‘soldat’ ». Une telle absurdité ne fait que confirmer, poursuit Yockey, que « les réalités fondamentales ne peuvent être niées, même par les constructions idéologiques les plus élaborées ». Tout à fait illogiquement, par conséquent, les féministes promeuvent leur agenda comme une sorte d’image-miroir déformée de la masculinité, au détriment de la vraie féminité. Julius Evola décrivit ce développement, qui réapparaît d’une manière cyclique à travers l’histoire, sous le nom d’amazonisme – un terme approprié s’il en est !
Au cours du dernier siècle, les Occidentaux ont ardemment tenté de se convaincre que les femmes sont : (1) les égales physiques des hommes, et (2) bien adaptées pour accomplir des rôles traditionnellement masculins. Loin d’améliorer vraiment la stabilité émotionnelle et la qualité de vie des « femmes de carrière », ces mensonges évidents ont conduit à l’un des plus grands crimes dans l’histoire connue : la rupture de la cellule familiale. Les statistiques ont montré qu’à mesure que le nombre de femmes s’accroissait dans le monde du travail, le nombre de divorces s’accroissait aussi, ce qui conduisait ensuite à un accroissement du nombre des enfants négligés, maltraités et délinquants.
Véritablement, depuis les années 1960, quand les super-féministes comme Gloria Steinem, Betty Friedan et Bella Abzug faisaient campagne pour leur version déformée des « droits des femmes » (ce qui signifiait donner aux femmes tout ce qui est masculin, sauf l’anatomie mâle), le nombre des foyers brisés et d’enfants psychotiques a explosé ! Les masses crédules ont été trompées par l’agenda féministe et d’autres dogmes matérialistes sinistres. En fait, les masses occidentales ont été tellement déboussolées qu’à de nombreux égards, elles sont elles-mêmes à blâmer. Bien qu’une énorme quantité de propagande ennemie ait été diffusée continuellement pendant les dernières décennies, la simple vérité est que les gens ne sont pas obligés de la croire. La triste vérité est que de nombreuses familles ont volontairement renoncé à transmettre à leurs enfants ne serait-ce qu’un semblant de valeurs traditionnelles et patriarcales. En faisant cela, ils font volontairement honte à chacun de leurs ancêtres.
Les fruits bien trop mûrs de l’égocentrisme extrême, d’abord semés à l’époque des Lumières, ont finalement éclaté pour que tout le monde puisse les voir, et quelle affreuse et vraiment tragique vision est-ce là ! Aujourd’hui aux Etats-Unis, presque tous les enfants sont affligés d’un « désordre de déficit d’attention » et d’autisme, entre autres maladies. Bien sûr l’usage de drogues est aussi répandu parmi la jeunesse américaine, ainsi que la violence des gangs et toutes les autres formes de dégénérescence. Pendant ce temps les vrais parents – c’est-à-dire les mères et les pères qui ont transmis des valeurs traditionnelles à leurs enfants – deviennent de moins en moins nombreux.
Maintenant tournons notre attention vers le jumeau idéologique du féminisme : l’agenda homosexuel et la part qu’il joue dans la destruction de la famille hétérosexuelle traditionnelle. Ce n’est certainement pas un hasard si cette forme spécifique de perversion sexuelle a, pendant de nombreuses décennies, été systématiquement imposée aux hétéros dans tout le Monde Occidental. Ce royaume psychotique de dégénérescence pornographique, avec le féminisme et le libéralisme, est l’un des fronts américains les plus visibles de la contre-culture et de l’anti-Tradition.
Quand on examine le sujet de l’activisme homosexuel, on trouvera une surabondance d’Américains libéraux parmi les plus fanatiques défenseurs du « style de vie alternatif ». Les noms qui suivent ne sont que quelques-uns de ceux qu’on peut rencontrer : Harvey Milk, Mark Segal, Mary Bernstein, Brenda Howard, Paul Goodman, Andy Thayer, Larry Kramer et d’autres trop nombreux pour être cités ici. En gros, les Américains libéraux de gauche ont « conquis le marché » (pour ainsi dire) avec l’agenda homosexuel dans leur effort pour pervertir les esprits des masses avides de pop-culture et à la mentalité de troupeau, dans leur propre pays et dans les autres pays. Naturellement, les « icônes » de la pop-culture américaine qui soutiennent les soi-disant « droits des gays » sont alors indispensables à la promotion de l’agenda homosexuel dans le monde entier.
Cependant, dans ces temps de dégénérescence abjecte, dans ces temps de Kali Yuga (comme disent les hindous), peu importe si tel ou tel homosexuel ou féministe déclaré est américain ou pas. Il y a une quantité d’autres activistes homosexuels et féministes dans le monde. Ce qui est important, c’est qu’une écrasante majorité de ces activistes sont des libéraux. En fait, il semblerait qu’ontologiquement, pour devenir un homosexuel ou un féministe, il faille d’abord être un libéral effronté !
Que cette dernière observation de l’auteur soit vraie ou pas, c’est un fait absolu que ces trois dégénérés moraux – l’homosexuel, la féministe et le libéral – sont identiques lorsqu’on en arrive au sens de l’honneur. De même que l’homosexuel trahit l’honneur de la nature, la féministe trahit l’honneur de son genre. Quant au libéral, il ou elle trahit l’honneur de tous les êtres humains. En tant que déformateurs-de-culture, cette anti-Trinité dépravée se révèle dans sa défense commune de l’anarchie érotique totale. En tant que destructeurs-de-culture, l’anti-Trinité est conduite par un sentiment de haine profonde pour tous les aspects du patriarcat et toutes les formes de traditionalisme socioculturel. D’où les facéties dépravées des groupes pro-homosexuels et pro-féministes comme les Femen et les « Pussy Riot ».
Spécialement concernant l’homosexualité, le concept d’honneur n’a même pas un semblant d’existence dans le cerveau d’un homosexuel. L’homosexuel est quelqu’un qui est défini par le sexe ; son désir de sexe est incorporé dans l’être même de l’homosexuel. Cela est facilement constatable dès qu’on a le malheur de croiser le chemin du mâle « ouvertement gay ». Cette pauvre âme perdue, qui a souvent son « boyfriend » en train de glapir joyeusement à coté de lui, ne cessera jamais de tenter d’avoir un contact visuel clair avec chaque mâle assez attirant qui passe dans la rue. Cette pathétique créature n’est manifestement jamais satisfaite sexuellement, et donc il tente d’établir un « contact » avec autant d’hommes que possible, et même au grand plaisir de son partenaire ! Un tel comportement ouvertement « libéré » de la part d’un mâle hétérosexuel conduirait rapidement sa femme ou sa petite amie à le quitter. Mais pas pour l’homosexuel ; car il (ou elle) a une vie de vampirisme – une quête incessante et infatigable pour convertir autant d’autres dégénérés à la perversion gay. Souvent la conversion est faite en échange d’un gain monétaire, comme à Hollywood où des « jeunes talents » sont continuellement « découverts » et ensuite promptement « lancés », simplement pour satisfaire les besoins momentanés des directeurs de studios sodomites.
Le désir pour le même sexe est le coté visible de l’agenda homosexuel. Cependant, il y a aussi un motif caché derrière cela et c’est la destruction de la famille. Plus spécifiquement : la destruction de la famille traditionnelle. Pour chaque personne qui est gay ou lesbienne, c’est la fin de sa lignée familiale. Dans certains cas les lesbiennes portent des enfants par insémination artificielle, mais l’adoption est beaucoup plus fréquente. Et bien sûr tous les groupes d’intérêts spéciaux féministes soutiennent ardemment l’avortement et les styles de vie alternatifs – spécialement pour les femmes seules.
Avant de conclure, disons quelques mots sur l’avortement. Du fait des taux de plus en plus élevés de cette erreur de la Justice Naturelle parmi les parents biologiquement sains, le nombre d’enfants sains décline rapidement. En même temps, et en conséquence, le nombre d’enfants physiquement maltraités et émotionnellement instables augmente. C’est la mission de l’avortement : convaincre les parents potentiels et sains (spécialement les femmes) qu’il est naturel et même nécessaire de s’engager dans l’activité sexuelle sans le désir de produire des enfants. Et ainsi la mission libérale d’avortement est l’extinction totale de la race humaine – un processus totalement anti-Naturel qui mise sur l’auto-annihilation consciente et volontaire d’une espèce entière. Encore une fois, si l’on regarde le royaume animal, où trouvera-t-on quelque chose de comparable ? Où voit-on un massacre intentionnel de la progéniture ? Quand a-t-on vu une louve frottant intentionnellement son ventre contre un arbre pour tuer l’embryon ? Réponse : jamais. Cela n’arrive pas. Pourtant c’est exactement ce qui se produit aujourd’hui en masse parmi l’espèce humaine.
Par conséquent, la vision-du-monde eurasiste s’oppose résolument à l’horreur de l’avortement – au génocide inspiré par Steinem-Friedan-Abzug et qui se produit en ce moment même. L’eurasiste comprend mieux que quiconque que son enfant représente le futur sacré et le plus précieux de son peuple. Il comprend que ses enfants ont le droit de grandir physiquement, mentalement et émotionnellement pour eux-mêmes, ainsi que pour leur famille, leur culture et leur peuple. En effet, les enfants sont le plus grand investissement que tout être humain peut faire ou fera.
Donc le futur Etat Eurasien devra être fermement opposé au crime de l’avortement dans tous les cas sauf si le fœtus est le produit du viol, de l’inceste, ou si on peut médicalement prouver qu’il est une menace pour la propre survie de la mère ou qu’il est défectueux, c’est-à-dire déformé. Permettre à la vie de naître après ces derniers crimes est en soi criminel et irrationnel pour des humains civilisés (soit dit au passage, c’est un parfait exemple de la manière dont la philosophie morale eurasiste est en opposition avec les valeurs hypocrites de la religion organisé).
Pour conclure, c’est le rôle du Mouvement Eurasien International de corriger et d’inverser l’actuel cours cataclysmique que nous subissons en tant qu’espèce. De plus, c’est le rôle du dit Mouvement de défendre et de promouvoir les normes patriarcales à l’échelle mondiale, et spécialement dans la culture eurasienne.
Quand la Bête Atlantiste Mondiale sera finalement vaincue en même temps que son idéologie libérale décadente, et dès que le Comité Central du Mouvement Eurasien se sera assuré d’un pouvoir politique durable, les normes patriarcales seront renforcées dans la société eurasienne et ainsi le traditionalisme sera (finalement !) sauvegardé. Le renouveau du patriarcat et du traditionalisme sèmera même de nouvelles racines et deviendra un sujet d’inspiration pour les peuples dans le monde entier.
17:31 Publié dans Traditions | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tradition, patriarcat | | del.icio.us | | Digg | Facebook
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