vendredi, 28 juillet 2023
Le patriarcat n'existe pas...
Le patriarcat n'existe pas...
Par Chiara et Patrizio
Source: https://www.bloccostudentesco.org/2023/07/21/bs-il-patriarcato-non-esiste/
Selon la pensée commune, le féminisme et ses luttes ont permis aux femmes d'affirmer leur voix, de combattre les stéréotypes et d'obtenir une plus grande représentation dans divers domaines.
Mais est-ce vraiment le cas ?
La question fondamentale est la suivante : dans l'ère post-soixante-huitarde, des concepts tels que le patriarcat, le sexisme, la pruderie puritaine, le paternalisme et la moralité ont été déformés par le débat politique et social.
Comme il y a toujours un récit dominant dans le débat, même dans le cas du patriarcat, un récit féministe a été adopté et pris comme base pour décrire un "phénomène culturel", des concepts et des phénomènes historiques qui y sont attachés, construisant de la sorte un récit à partir de rien.
Par exemple, le terme "libération sexuelle", aujourd'hui considéré comme un standard dans le débat sur la prétendue émancipation des femmes, était utilisé à l'époque du "féminisme de la première vague" avec des significations très différentes de celles d'aujourd'hui.
Le terme "libération" lui-même est, d'un point de vue juridique, une erreur, puisqu'il n'existait pas, à l'époque, de lois répressives contre les homosexuels et les pratiques libertines, mais c'est la perception sociale qui a fait la différence.
Le débat politique s'est considérablement aggravé, entraînant l'émergence de générations (post-soixante-huitardes) imprégnées de mythes et d'idéologies erronées : il n'a fait que stimuler un déclin plus rapide de la société, qui opprime tous ceux qui, d'un point de vue idéologique, n'entrent pas dans les normes fixées par la pensée dominante.
Peu importe que les causes féministes et LGBT aient été englouties par le capitalisme de connivence et exploitées par les entreprises dans le seul but de faire du profit : elles feront toujours en sorte d'apparaître comme les victimes d'une société oppressive.
Tout cela pour dire quoi ?
Aujourd'hui, pour ces raisons, les commandements féministes/internationalistes sont considérés comme allant de soi :
- Le mâle est le mal absolu, surtout s'il est blanc et hétérosexuel ;
- L'hétérosexualité est également le mal absolu, mais elle est encore semi-acceptée par les progressistes, car elle est encore répandue même dans leurs rangs ;
- Les homosexuels sont opprimés par un mécanisme systémique (peu importe que nous soyons entourés de leurs slogans et de leurs symboles) ;
- Il est juste de réprimer quiconque rappelle ou prétend être un homme ou un hétérosexuel au sens traditionnel du terme, parce qu'il faut être "tolérant avec les tolérants et intolérant avec les intolérants" (où ce sont les progressistes qui décident ce qui est tolérance et ce qui ne l'est pas).
Par conséquent, il est plus qu'évident qu'il existe des courts-circuits au sein du milieu féministe : l'un des exemples les plus frappants est celui des féministes transphobes (les soi-disant TERF, pour Trans Excluding Radical Feminists en anglais) qui s'opposent à la participation de certaines femmes aux sports féminins, au motif qu'elles ont l'avantage d'être nées mâles. Il s'agit de forces qui, bien qu'elles ne concernent qu'une petite partie de la société, en partie à cause de la propagande rampante qui sévit aux États-Unis, se répandent également en Italie et, plus généralement, en Europe.
20:42 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : actualité, patriarcat, féminisme | | del.icio.us | | Digg | Facebook
samedi, 26 janvier 2019
Le patriarcat : le fondement naturel de la société eurasienne
Le patriarcat : le fondement naturel de la société eurasienne
Les rôles sociétal et familial différents accomplis par les hommes et les femmes se rapprochent des différences physiques évidentes qui existent entre eux – les deux moitiés masculine et féminine également importantes de l’espèce humaine. Loin d’être arbitraires, les rôles spécialisés spécifiques au genre accomplis par les hommes et les femmes dans les sociétés eurasiennes traditionnelles furent développés à partir de la nécessité patriarcale – c’est-à-dire organique – et maintenus pendant des millénaires remontant très loin dans le passé, jusqu’à l’époque obscure de la préhistoire, c’est-à-dire les débuts de l’histoire de l’Homo Sapiens.
Un simple survol des grandes cultures eurasiennes passées et présentes qui ont adopté des formes strictes de patriarcat inclut : les Indo-Aryens, les Perses, les Chinois, les Grecs, les Romains, les Arabes, les Turcs, et les Russes. Si nous laissons l’Histoire être notre guide, c’est tout à fait clair : le patriarcat est la seule forme structurelle de hiérarchie suffisamment forte pour maintenir les cultures eurasiennes traditionnelles à tous les niveaux (socialement, culturellement, politiquement, etc.).
Pour que le système patriarcal fonctionne convenablement, comme un développement de la loi organique, il doit être fermement enraciné dans la société, depuis la cellule familiale de base jusqu’aux échelons supérieurs de la direction politique d’une société. L’ancienne institution romaine du Pater Familias résume le paradigme patriarcal dans toute sa splendeur. Bien sûr, les sociétés générées par les grandes cultures eurasiennes du passé sont en forte opposition avec la « société globale » a-historique postmoderne que nous voyons se déployer tout autour de nous – d’Hollywood à Hong Kong.
En seulement quelques générations, les gens de l’Occident (c’est-à-dire ceux qui habitent l« épicentre » de toute la décadence mondiale) ont pu voir les effets néfastes des normes anti-patriarcales, c’est-à-dire la féminisation forcée, dans presque tous les aspects de leur existence collective. Dans l’éducation, la politique, le commerce, la culture, l’art, l’armée, et même dans l’apparence physique et la manière de parler de plus en plus efféminées de leurs jeunes hommes. Sur tous les fronts, les hommes occidentaux sont en train d’être transformés en simples femmes avec un appareil génital mâle, au point où ils doivent continuellement se sentir coupables et s’excuser d’être des hommes. Est-ce vraiment étonnant que tant de lanceurs de mode culturelle américains (les dénommées « célébrités ») se pressent comme des moutons pour devenir des curiosités de la nature ?
Inutile de le dire, cette féminisation forcée a infligé une énorme quantité de dégâts mentaux, émotionnels et culturels aux Occidentaux dans leur ensemble – aux hommes tout comme aux femmes. De plus, le « totalitarisme soft » de l’Etat démocratique libéral n’a fait qu’envenimer ce problème, puisque c’est la démocratie libérale elle-même qui est si attirante pour le beau sexe, et pour le « coté féminin » des hommes aussi. Des actions comme les élections (un concours de popularité), les manifestations et le boycott (comportement agressif-passif), le lobbying, les avis d’experts (c’est-à-dire le bavardage) – tous ces comportements sont essentiellement féminins.
Maintenant, il faut le souligner, le néo-eurasisme (ou ce qui est désigné simplement sous le nom d’eurasisme) n’est pas contre la féminité lorsqu’elle est convenablement équilibrée par sa contrepartie masculine. En effet, nous les eurasistes pensons fondamentalement qu’une femme est égale à un homme en dignité humaine, de même que nous rejetons catégoriquement la misogynie. Et tout comme les hommes, les femmes ont leurs propres droits uniques ainsi que des devoirs à accomplir. Les femmes sont les grandes éducatrices de l’espèce humaine. Ce n’est pas un idéal abstrait qui a besoin d’être inscrit dans la loi, mais un fait de la Nature tout comme de l’Histoire. Les eurasistes s’opposent seulement à l’émasculation complète d’un peuple qui se produit inévitablement quand le concept anti-patriarcal corrompu du féminisme est autorisé à infecter une société saine. Nous croyons que le féminisme est à égalité dans son pouvoir destructeur avec l’agenda homosexuel, et c’est par conséquent l’un des plus grands crimes qui puisse être commis contre un peuple.
Ainsi, le concept – ou plutôt, l’idéologie ! – du dénommé féminisme est totalement étranger à notre propre moralité eurasienne et incompatible avec elle. De plus, les racines libérales du féminisme sont faciles à découvrir quand on étudie un peu le sujet. En tant qu’idée, le féminisme (comme son progéniteur libéral) est totalement antithétique aux lois de la Nature. Car où exactement peut-on voir dans le royaume animal que la femelle est égale au mâle en termes de force physique et de simple solidité ? Peut-être qu’une meilleure question serait : où dans toute la Nature, et parmi toutes les espèces, trouvez-vous des animaux femelles accomplissant les mêmes rôles exacts que leurs contreparties masculines ? La réponse : parmi les êtres humains, dans le stupide Monde Occidental. C’est-à-dire dans le Monde Occidental politiquement libéral, économiquement capitaliste, culturellement dégénéré, et sous contrôle américain.
Comme Francis P. Yockey l’a souligné il y a bien des années dans son magnum opus Imperium, le libéralisme « lui met [à la femme] un uniforme et l’appelle un ‘soldat’ ». Une telle absurdité ne fait que confirmer, poursuit Yockey, que « les réalités fondamentales ne peuvent être niées, même par les constructions idéologiques les plus élaborées ». Tout à fait illogiquement, par conséquent, les féministes promeuvent leur agenda comme une sorte d’image-miroir déformée de la masculinité, au détriment de la vraie féminité. Julius Evola décrivit ce développement, qui réapparaît d’une manière cyclique à travers l’histoire, sous le nom d’amazonisme – un terme approprié s’il en est !
Au cours du dernier siècle, les Occidentaux ont ardemment tenté de se convaincre que les femmes sont : (1) les égales physiques des hommes, et (2) bien adaptées pour accomplir des rôles traditionnellement masculins. Loin d’améliorer vraiment la stabilité émotionnelle et la qualité de vie des « femmes de carrière », ces mensonges évidents ont conduit à l’un des plus grands crimes dans l’histoire connue : la rupture de la cellule familiale. Les statistiques ont montré qu’à mesure que le nombre de femmes s’accroissait dans le monde du travail, le nombre de divorces s’accroissait aussi, ce qui conduisait ensuite à un accroissement du nombre des enfants négligés, maltraités et délinquants.
Véritablement, depuis les années 1960, quand les super-féministes comme Gloria Steinem, Betty Friedan et Bella Abzug faisaient campagne pour leur version déformée des « droits des femmes » (ce qui signifiait donner aux femmes tout ce qui est masculin, sauf l’anatomie mâle), le nombre des foyers brisés et d’enfants psychotiques a explosé ! Les masses crédules ont été trompées par l’agenda féministe et d’autres dogmes matérialistes sinistres. En fait, les masses occidentales ont été tellement déboussolées qu’à de nombreux égards, elles sont elles-mêmes à blâmer. Bien qu’une énorme quantité de propagande ennemie ait été diffusée continuellement pendant les dernières décennies, la simple vérité est que les gens ne sont pas obligés de la croire. La triste vérité est que de nombreuses familles ont volontairement renoncé à transmettre à leurs enfants ne serait-ce qu’un semblant de valeurs traditionnelles et patriarcales. En faisant cela, ils font volontairement honte à chacun de leurs ancêtres.
Les fruits bien trop mûrs de l’égocentrisme extrême, d’abord semés à l’époque des Lumières, ont finalement éclaté pour que tout le monde puisse les voir, et quelle affreuse et vraiment tragique vision est-ce là ! Aujourd’hui aux Etats-Unis, presque tous les enfants sont affligés d’un « désordre de déficit d’attention » et d’autisme, entre autres maladies. Bien sûr l’usage de drogues est aussi répandu parmi la jeunesse américaine, ainsi que la violence des gangs et toutes les autres formes de dégénérescence. Pendant ce temps les vrais parents – c’est-à-dire les mères et les pères qui ont transmis des valeurs traditionnelles à leurs enfants – deviennent de moins en moins nombreux.
Maintenant tournons notre attention vers le jumeau idéologique du féminisme : l’agenda homosexuel et la part qu’il joue dans la destruction de la famille hétérosexuelle traditionnelle. Ce n’est certainement pas un hasard si cette forme spécifique de perversion sexuelle a, pendant de nombreuses décennies, été systématiquement imposée aux hétéros dans tout le Monde Occidental. Ce royaume psychotique de dégénérescence pornographique, avec le féminisme et le libéralisme, est l’un des fronts américains les plus visibles de la contre-culture et de l’anti-Tradition.
Quand on examine le sujet de l’activisme homosexuel, on trouvera une surabondance d’Américains libéraux parmi les plus fanatiques défenseurs du « style de vie alternatif ». Les noms qui suivent ne sont que quelques-uns de ceux qu’on peut rencontrer : Harvey Milk, Mark Segal, Mary Bernstein, Brenda Howard, Paul Goodman, Andy Thayer, Larry Kramer et d’autres trop nombreux pour être cités ici. En gros, les Américains libéraux de gauche ont « conquis le marché » (pour ainsi dire) avec l’agenda homosexuel dans leur effort pour pervertir les esprits des masses avides de pop-culture et à la mentalité de troupeau, dans leur propre pays et dans les autres pays. Naturellement, les « icônes » de la pop-culture américaine qui soutiennent les soi-disant « droits des gays » sont alors indispensables à la promotion de l’agenda homosexuel dans le monde entier.
Cependant, dans ces temps de dégénérescence abjecte, dans ces temps de Kali Yuga (comme disent les hindous), peu importe si tel ou tel homosexuel ou féministe déclaré est américain ou pas. Il y a une quantité d’autres activistes homosexuels et féministes dans le monde. Ce qui est important, c’est qu’une écrasante majorité de ces activistes sont des libéraux. En fait, il semblerait qu’ontologiquement, pour devenir un homosexuel ou un féministe, il faille d’abord être un libéral effronté !
Que cette dernière observation de l’auteur soit vraie ou pas, c’est un fait absolu que ces trois dégénérés moraux – l’homosexuel, la féministe et le libéral – sont identiques lorsqu’on en arrive au sens de l’honneur. De même que l’homosexuel trahit l’honneur de la nature, la féministe trahit l’honneur de son genre. Quant au libéral, il ou elle trahit l’honneur de tous les êtres humains. En tant que déformateurs-de-culture, cette anti-Trinité dépravée se révèle dans sa défense commune de l’anarchie érotique totale. En tant que destructeurs-de-culture, l’anti-Trinité est conduite par un sentiment de haine profonde pour tous les aspects du patriarcat et toutes les formes de traditionalisme socioculturel. D’où les facéties dépravées des groupes pro-homosexuels et pro-féministes comme les Femen et les « Pussy Riot ».
Spécialement concernant l’homosexualité, le concept d’honneur n’a même pas un semblant d’existence dans le cerveau d’un homosexuel. L’homosexuel est quelqu’un qui est défini par le sexe ; son désir de sexe est incorporé dans l’être même de l’homosexuel. Cela est facilement constatable dès qu’on a le malheur de croiser le chemin du mâle « ouvertement gay ». Cette pauvre âme perdue, qui a souvent son « boyfriend » en train de glapir joyeusement à coté de lui, ne cessera jamais de tenter d’avoir un contact visuel clair avec chaque mâle assez attirant qui passe dans la rue. Cette pathétique créature n’est manifestement jamais satisfaite sexuellement, et donc il tente d’établir un « contact » avec autant d’hommes que possible, et même au grand plaisir de son partenaire ! Un tel comportement ouvertement « libéré » de la part d’un mâle hétérosexuel conduirait rapidement sa femme ou sa petite amie à le quitter. Mais pas pour l’homosexuel ; car il (ou elle) a une vie de vampirisme – une quête incessante et infatigable pour convertir autant d’autres dégénérés à la perversion gay. Souvent la conversion est faite en échange d’un gain monétaire, comme à Hollywood où des « jeunes talents » sont continuellement « découverts » et ensuite promptement « lancés », simplement pour satisfaire les besoins momentanés des directeurs de studios sodomites.
Le désir pour le même sexe est le coté visible de l’agenda homosexuel. Cependant, il y a aussi un motif caché derrière cela et c’est la destruction de la famille. Plus spécifiquement : la destruction de la famille traditionnelle. Pour chaque personne qui est gay ou lesbienne, c’est la fin de sa lignée familiale. Dans certains cas les lesbiennes portent des enfants par insémination artificielle, mais l’adoption est beaucoup plus fréquente. Et bien sûr tous les groupes d’intérêts spéciaux féministes soutiennent ardemment l’avortement et les styles de vie alternatifs – spécialement pour les femmes seules.
Avant de conclure, disons quelques mots sur l’avortement. Du fait des taux de plus en plus élevés de cette erreur de la Justice Naturelle parmi les parents biologiquement sains, le nombre d’enfants sains décline rapidement. En même temps, et en conséquence, le nombre d’enfants physiquement maltraités et émotionnellement instables augmente. C’est la mission de l’avortement : convaincre les parents potentiels et sains (spécialement les femmes) qu’il est naturel et même nécessaire de s’engager dans l’activité sexuelle sans le désir de produire des enfants. Et ainsi la mission libérale d’avortement est l’extinction totale de la race humaine – un processus totalement anti-Naturel qui mise sur l’auto-annihilation consciente et volontaire d’une espèce entière. Encore une fois, si l’on regarde le royaume animal, où trouvera-t-on quelque chose de comparable ? Où voit-on un massacre intentionnel de la progéniture ? Quand a-t-on vu une louve frottant intentionnellement son ventre contre un arbre pour tuer l’embryon ? Réponse : jamais. Cela n’arrive pas. Pourtant c’est exactement ce qui se produit aujourd’hui en masse parmi l’espèce humaine.
Par conséquent, la vision-du-monde eurasiste s’oppose résolument à l’horreur de l’avortement – au génocide inspiré par Steinem-Friedan-Abzug et qui se produit en ce moment même. L’eurasiste comprend mieux que quiconque que son enfant représente le futur sacré et le plus précieux de son peuple. Il comprend que ses enfants ont le droit de grandir physiquement, mentalement et émotionnellement pour eux-mêmes, ainsi que pour leur famille, leur culture et leur peuple. En effet, les enfants sont le plus grand investissement que tout être humain peut faire ou fera.
Donc le futur Etat Eurasien devra être fermement opposé au crime de l’avortement dans tous les cas sauf si le fœtus est le produit du viol, de l’inceste, ou si on peut médicalement prouver qu’il est une menace pour la propre survie de la mère ou qu’il est défectueux, c’est-à-dire déformé. Permettre à la vie de naître après ces derniers crimes est en soi criminel et irrationnel pour des humains civilisés (soit dit au passage, c’est un parfait exemple de la manière dont la philosophie morale eurasiste est en opposition avec les valeurs hypocrites de la religion organisé).
Pour conclure, c’est le rôle du Mouvement Eurasien International de corriger et d’inverser l’actuel cours cataclysmique que nous subissons en tant qu’espèce. De plus, c’est le rôle du dit Mouvement de défendre et de promouvoir les normes patriarcales à l’échelle mondiale, et spécialement dans la culture eurasienne.
Quand la Bête Atlantiste Mondiale sera finalement vaincue en même temps que son idéologie libérale décadente, et dès que le Comité Central du Mouvement Eurasien se sera assuré d’un pouvoir politique durable, les normes patriarcales seront renforcées dans la société eurasienne et ainsi le traditionalisme sera (finalement !) sauvegardé. Le renouveau du patriarcat et du traditionalisme sèmera même de nouvelles racines et deviendra un sujet d’inspiration pour les peuples dans le monde entier.
17:31 Publié dans Traditions | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tradition, patriarcat | | del.icio.us | | Digg | Facebook
mardi, 22 septembre 2015
Patriarchy: The Natural Foundation of Eurasian Society
Ex: http://katehon.com
Like race and ethnicity, gender is not a “social construct.” Gender is real. Thus gender differences are real.
Just a smattering of the great past and present Eurasian cultures that have adopted strict forms of patriarchy include: the Indo-Aryans, Persians, Chinese, Greeks, Romans, Arabs, Turks, and Russians. If we let History be our guide, it is quite clear: Patriarchy is the only structural form of hierarchy strong enough to sustain traditional Eurasian cultures on all levels (socially, culturally, politically, etc.).
For the patriarchal system to function properly, as an outgrowth of organic law, it must be firmly rooted in society, from the basic family unit all the way up to the highest echelons of a society’s political leadership. The ancient Roman institution of the paterfamilias epitomizes the patriarchal paradigm in all its splendor. Of course the societies generated by the great Eurasian cultures of the past stand in stark contrast to the postmodern ahistorical “global society” we see unfolding all around us – from Hollywood to Hong Kong.
In only a couple of generations’ time the people of the West (i.e. those inhabiting “ground zero” of all global decay) have witnessed the ill effects of anti-patriarchal norms, namely forced feminization, in virtually every aspect of their collective existence. In education, politics, business, culture, art, the military, even in the softening physical forms and increasingly effeminate speech patterns of their young men. On all fronts, Western men are being turned into mere women with male genitalia to the point where they have to continuously feel guilty and apologetic for being men. Is it any real wonder why so many American cultural trendsetters (the so-called “celebrities”) are lining up in droves to become transgender freaks of nature?!
Needless to say, this forced feminization has inflicted an enormous amount of mental, emotional and cultural damage on Western people as a whole – to both men and women. Moreover, the “soft-totalitarianism” of the liberal democratic State has only caused this problem to fester, since it is liberal democracy itself which is so appealing to the fairer sex, and to the “feminine side” of men as well. Actions like voting (a popularity contest), demonstrating/boycotting (passive-aggressive behavior), lobbying, punditry (i.e. gossip) – all these are essentially feminine attributes.
Now, it must be stressed, Neo-Eurasianism (or what is also referred to simply as Eurasianism) is not against femininity when it is properly balanced by its masculine counterpart. Indeed, we Eurasianists fundamentally believe that a woman is equal to a man in human dignity just as much as we categorically reject misogyny. And just like men, women have their own unique rights to enjoy as well as duties to perform. Women are the great nurturers of the human species. This is not some abstract ideal which needs to be enshrined in law, but a fact of both Nature and History. Eurasianists only oppose the wholesale emasculation of a people which inevitably occurs when the corrupt anti-patriarchal concept of feminism is permitted to infect an otherwise healthy society. We believe that feminism is co-equal in its destructive value with the homosexual agenda, and is therefore one of the greatest crimes that can be perpetrated against a people.
Thus, the concept – or rather, the ideology! – of so-called feminism is totally foreign to and incompatible with our own Eurasian morality. Moreover, the liberal roots of feminism are easy to uncover when one studies the topic for any small length of time. As an idea, feminism (like its liberal progenitor) is totally antithetical to the laws of Nature. For where exactly can it be seen in the animal kingdom that the female sex is equal to the male in terms of physical strength and sheer hardness? Perhaps a better question would be: where in all of Nature, and among all species, do you find female animals performing the same exact roles as their male counterparts? The answer: among human beings in the asinine Western World. That is, in the politically liberal, economically Capitalist, culturally degenerate, and American-controlled Western World.
As Francis P. Yockey stressed years ago in his magnum opus Imperium, Liberalism “puts a uniform on [a woman] and calls her a ‘soldier.’” Such absurdity only confirms (Yockey continued) that “fundamental realities cannot be renounced, even, by the most elaborate make-believe.” Quite illogically, therefore, feminists promote their agenda as some kind of distorted mirror-image of masculinity, to the detriment of true femininity. Julius Evola described this development, which has appeared cyclically throughout history, as Amazonism – an appropriate term if there ever was one!
Over the course of the past century Westerners have zealously attempted to convince themselves that women are: (1) the physical equals of men, and (2) well-suited to perform traditionally masculine roles. Far from truly advancing the emotional stability and quality of life of “career women,” these obvious lies have led to one of the greatest crimes in recorded history: the breakdown of the family unit. Statistics have shown that as the number of women in the workforce has increased, so too have the number of divorced households, which in turn has led to an increase in neglected, abused and delinquent children.
Truly, since the 1960s, when super-feminists like Gloria Steinem, Betty Friedan and Bella Abzug were campaigning for their distorted version of “women’s rights” (which meant giving everything masculine to women except the male anatomy), the number of broken homes and psychotic children has skyrocketed! The simple masses have been hoodwinked by the feminist agenda and other sinister materialist dogmas. In fact the Western masses have been so bamboozled that, in many ways, they have only themselves to blame. Although a vast amount of enemy propaganda has been circulating continuously for the past several decades, the simple truth is, people do not have to buy into it. It is an unfortunate truth that many families have willfully given up on instilling their children with even a semblance of traditional, patriarchal values. In so doing, they willfully slap each and every one of their ancestors in the face.
The all too withered fruits of extreme egocentrism, first seeded during the Enlightenment, have finally been plucked for all to see, and what a horrible and truly tragic sight it is! Today in the United States, almost every other child is afflicted with “attention deficit disorder” and autism, among other maladies. Of course drug use is also rampant among American youths, along with gang violence and all other forms of degeneration. Meanwhile true parents – i.e. mothers and fathers who have instilled traditional values in their offspring – are becoming fewer and fewer in number.
Now let us turn our attention to feminism’s ideological twin: the homosexual agenda and the part it plays in destroying the traditional heterosexual family unit. It is certainly no accident that this specific form of sexual perversion has, for many decades, been consistently forced down the throats of straight people all over the Western World (no pun intended). This psychotic realm of pornocratic degeneracy, alongside feminism and liberalism, is one of the more blatantly American fronts of counter-culturalism or anti-Tradition.
When one looks into the subject of homosexual activism, one will find a superabundance of liberal Americans among the “alternative lifestyle’s” fiercest proponents. The following are just some of the names one might come across: Harvey Milk, Mark Segal, Mary Bernstein, Brenda Howard, Paul Goodman, Andy Thayer, Larry Kramer and too many others to list here. By and large, left-wing liberal Americans have “cornered the market” (so to speak) on the homosexual agenda in their ongoing effort to pervert the minds of the herd-like, pop-culture guzzling masses both domestically and abroad. Naturally then, American pop-culture “icons” who support so-called “gay rights” are indispensable to the promotion of the homosexual agenda all over the world.
Nevertheless, in these times of abject degeneracy, in these times of Kali Yuga (as the Hindus would say), it does not matter whether or not an outspoken homosexual or feminist happens to be an American. There are plenty of other homosexual and feminist activists worldwide. What does matter, however, is that an overwhelming majority of these activists are liberals. In fact, it would appear, ontologically, that in order to become either a homosexual or a feminist, one must first be baptized a brazenfaced liberal!
Regardless of whether or not this last observance of the author is true, it is an absolute fact that all three of these moral degenerates – the homosexual, the feminist and the liberal – are identical when it comes to having no sense of honor. Just as the homosexual betrays the honor of nature, the feminist betrays the honor of her gender. As for the liberal, he or she betrays the honor of all human beings. As culture-distorters this depraved Anti-Trinity revels in its shared advocacy for total erotic anarchy. As culture-destroyers, the Anti-Trinity is driven by a deep sense of hatred for all aspects of patriarchy and any form of socio-cultural traditionalism. Hence the depraved antics of pro-homosexual/pro-feminist groups like Femen and “Pussy Riot.”
Specifically regarding homosexuality, the concept of honor does not even remotely register anywhere inside the homosexual’s brain. The homosexual is someone who is defined by sex; his/her same-sex lust is incorporated into the homosexual’s very being. This is easily noticeable whenever one has the misfortune of crossing paths with the “openly gay” male. This poor wretched soul, who often has his “boyfriend” gleefully striding beside him, will never cease in brazenly attempting eye contact with every mildly attractive male he passes on the street. This pathetic creature is obviously never satisfied sexually, and so he attempts to make “contact” with as many other men as possible, even to his partner’s delight! Such overtly promiscuous behavior on the part of a heterosexual male would promptly force his wife or girlfriend out of his life for good. Not so with the homosexual; for his (or hers) is a life of vampirism – a ceaseless and tireless quest to convert as many fellow degenerates to the queer perversion as possible. Often the conversion is made in exchange for monetary gain, as is the case in Hollywood where “young talent” is continually “discovered” and then expeditiously tossed aside, merely to satisfy the momentary cravings of the Sodomite studio heads.
Same-sex lust is the overt side to the homosexual agenda. However there is a covert reason behind it as well… and that is: the destruction of the family. More specifically: the destruction of the traditional family. For every person who is gay or lesbian, there is the end of that person’s family line. In some cases lesbians do bear children through artificial insemination, however adoption is much more common. And of course all feminist special interest groups zealously support both abortion and alternative lifestyles – especially for single women.
Before we close, let us say something about abortion. Due to the increasingly high rates of this miscarriage of Natural Justice among biologically fit parents, the number of fit offspring is rapidly declining. At the same time, and as a consequence, the number of physically-challenged and emotionally unstable children is growing. This is the mission of abortion: to convince fit would-be parents (especially women) that it is natural and even necessary for them to engage in sexual activity without the desire to produce children. And so the liberal mission of abortion is the total extinction of the human race – a totally anti-Natural process which relies on the conscious and voluntary self-annihilation of an entire species. Again, if one is to look to the animal kingdom, where will one find a comparable parallel? Where does the intentional mass-killing of offspring occur? When has one ever observed a she-wolf intentionally banging her belly against a tree in order to kill the unborn? Answer: Never. It does not happen. Yet this is exactly what is happening today en masse among the human species.
Therefore, the Eurasianist worldview stands resolutely against the atrocity of abortion – against the Steinem-Friedan-Abzug inspired genocide which is occurring at this very moment. The Eurasianist understands better than anyone that his children represent the most precious, sacred future of his people. He understands that his progeny deserve the right to grow physically, mentally and emotionally for their own glory, as well as for the glory of their family, culture and folk. Indeed, children are the greatest investment any human being can or ever will make.
So it must be that the future Eurasian State shall stand firmly opposed to the crime of abortion in all cases except if the fetus is the product of rape, incest, or if it can be medically proven that the fetus is a threat to the mother’s own survival or is somehow unhealthy, i.e. deformed. To permit life to be born after these latter crimes is itself criminal and irrational to civilized human beings. (Incidentally, this is a perfect example of how Eurasianist moral philosophy is at odds with the hypocritical values of organized religion.)
To conclude, it is the role of the International Eurasian Movement to correct and reverse the current cataclysmic course we are on as a species. Furthermore, it is the role of said Movement to defend and uphold patriarchal norms globally, and especially within the Eurasian culture.
When the Global-Atlanticist Beast is finally defeated alongside its decadent liberal ideology, and once the Central Committee of the Eurasian Movement secures a lasting political power, patriarchal norms shall be reinforced within the Eurasian society and so traditionalism will (at last!) be safeguarded. The replenishment of patriarchy and traditionalism shall even sprout new roots and become an inspiration to people all over the world.
00:05 Publié dans Traditions | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tradition, patriarcat | | del.icio.us | | Digg | Facebook