vendredi, 01 août 2025
L’Europe est pareille à une nouvelle dynastie Qing en plein déclin
L’Europe est pareille à une nouvelle dynastie Qing en plein déclin
Hua Bing
Source: https://dissident.one/europa-is-de-nieuwe-late-qing-dynas...
En tant que Chinois, on nous enseigne dès notre plus jeune âge les humiliations que la Chine a dû endurer pendant un siècle à cause des puissances coloniales, d’abord les Européens, puis les Japonais, écrit Hua Bing.
Pendant les cours d’histoire, chaque élève chinois apprend quels furent les traités inégaux et les énormes réparations de guerre que la dynastie Qing a dû accepter après ses défaites humiliantes lors des deux guerres de l’Opium et de la guerre sino-japonaise de 1894/95, lorsque Taïwan a été cédé aux Japonais jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Nous n’avions aucune idée qu’en l’absence d’une guerre perdue, nous vivrions une répétition de telles humiliations, qui seraient infligées à la plupart de nos anciens colonisateurs eux-mêmes. Cette fois, ce sont les traités inégaux que les Européens sont contraints de signer avec les États-Unis dont ils sont pourtant les « alliés » ; et les réparations de guerre consistent en l’achat obligatoire de gaz américain, facturé trop cher, pour une somme totale 750 milliards de dollars à payer par l’Europe, auxquels il faut ajouter des centaines de milliards supplémentaires pour l’achat, tout aussi obligatoire, d’armes américaines, et encore 600 milliards de dollars en investissements européens promis aux États-Unis.
Ursula von der Leyen, qui, comme une concubine obéissante, siégeait à côté d’un Trump victorieux, a signé, abandonnant ainsi les dernières bribes de dignité et de souveraineté européennes.
Elle a joyeusement annoncé que « nous avons fait quelque chose contre le déficit commercial… nous pouvons au moins continuer à faire des affaires avec les États-Unis », alors que l’Europe est contrainte d’offrir aux États-Unis un tarif zéro en échange d’une taxe américaine générale de 15% sur les importations européennes et d’une exemption pour les produits pharmaceutiques, qui devraient même accepter des taxes encore plus élevées.
Il y a un mois, nous avons vu le spectacle triste et hilarant d'un Mark Rutte, chef de l’OTAN et ancien Premier ministre néerlandais, qui appelait Trump affectueusement « papa » et écrivait une lettre d’amour et de soumission pour se réjouir de la façon dont les États-Unis incitent avec succès les Européens à dépenser plus d’argent pour préparer la guerre. Trump a filmé cela sans pitié et l’a montré au monde. Cela amène à se demander ce qui pousse un Néerlandais, un peuple généralement fier, à se dégrader d'une aussi pénible façon.
Plus tôt, au début de l'ère Trump 2, nous avons vu un Keir Starmer soumis, démuni et contrit, venir humblement se prosterner devant Trump dans le bureau ovale (et toucher le bras de Trump comme un domestique affectueux). J’en ai la chair de poule rien qu’en en parlant. Il y a des choses qu’on ne peut pas ignorer, et, là, c’en est une.
Trump a décrit sommairement comment les dirigeants d’autres pays « baisent mon cul… tout en quémandant "s’il vous plaît, monsieur, s’il vous plaît" » dès qu’il a lancé la guerre commerciale tarifaire. Maintenant, nous savons à qui il faisait référence.
La vassalisation de l’Europe est achevée.
Les États-Unis ont réussi à démolir et à soumettre l’Europe à grande échelle. Leurs agents, soigneusement préparés par le Conseil de l’Atlantique et autres, ont pris le relais des organisations comme l’OTAN et l’UE. L’Europe est tout simplement la dernière victime d’une révolution de couleur sans effusion de sang, menée contre les pays européens par leurs propres maîtres.
Avec une prétention aux « valeurs partagées » et un zèle idéologique qui ferait rougir les fondamentalistes religieux, l’Europe a abandonné son autonomie et ses intérêts nationaux sans tirer un seul coup de feu. Les anciens colonialistes sont maintenant les nouveaux colonisés.
Von der Leyen, Rutte, Starmer, Macron et Merz sont en fait des agents américains, tout comme Trump, Wolfowitz et Cruz sont des agents israéliens.
De tels vassaux sont accueillis avec mépris et relégués en dehors des affaires d’État. La froide réception réservée à von der Leyen et ses complices par Pékin la semaine dernière montre au monde la faible position que l’Europe occupe désormais dans le monde – il n’y eut ni cérémonie d’accueil, ni déclaration commune, ni accord substantiel, et les dirigeants européens ont été transportés en bus comme des invités indésirables, ce qu’ils sont de fait.
L’Europe est comme la dynastie Qing tardive d’il y a 170 ans. Elle est technologiquement en retard et militairement faible. Elle s’accroche encore à un sentiment de supériorité culturelle et à un passé glorieux, mais semble ne pas réaliser à quel point elle est limitée dans le monde.
L’Europe considère encore le reste du monde comme des barbares (ou comme la Jungle, ainsi que l’a appelé le dernier chef de la diplomatie étrangère), mais le reste du monde voit l’Europe comme un bande de vieillards malades et incohérents, l'UE comme un empereur sans vêtements.
Contrairement à la dynastie Qing, qui a au moins essayé de lutter contre les envahisseurs et n’a abandonné qu’après plusieurs défaites, l’Europe semble embrasser avec enthousiasme son statut de vassal.
Après la Seconde Guerre mondiale, il n’y a jamais eu de coopération égalitaire entre les États-Unis et l’Europe. Cependant, une apparence de souveraineté et d’indépendance a été maintenue, bien que timidement.
Maintenant, le voile est tombé et une soumission nue et sans caractère est visible pour tous.
18:27 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : actualité, europe, affaires européennes, déclin européen | |
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Fragmentation occidentale contre cohésion asiatique - Quand le déclin rencontre la discipline
Fragmentation occidentale contre cohésion asiatique
Quand le déclin rencontre la discipline
Brecht Jonkers
Source: https://www.multipolarpress.com/p/western-fragmentation-v...
Brecht Jonkers oppose la vision cohésive, duty-bound (lié au devoir), de l’État en Asie à la dérive atomisée et individualiste de l’Occident, lequel se dirige vers l'insignifiance bureaucratique.
Il existe une différence fondamentale entre l’attitude « européenne », c’est-à-dire essentiellement libérale, et l’attitude « asiatique » concernant l’existence et le rôle de l’État. C’est une fracture civilisationnelle qui dépasse le débat idéologique habituel et qui met en évidence la différence claire entre les attitudes « occidentales » individualistes et les attitudes « orientales » collectivistes vis-à-vis de la société humaine.
En simplifiant à l’extrême cette question complexe, je pense qu’il est correct de dire que l’Asie voit l’État comme un outil nécessaire, en fin de compte, pour assurer (idéalement) la justice, la cohésion sociale, l’ordre et l’harmonie. L’Occident, en revanche, a une attitude fondamentalement antagoniste et négative envers l’existence de l’État en lui-même, le voyant au mieux comme un mal nécessaire pour empêcher les gens de voler et de tuer dans la rue. Ce qui, incidemment, correspond à la vision négative et misanthropique sous-jacente de la nature humaine qui sous-tend la philosophie occidentale moderne. Mais je m’égare.
L’État occidental reste, en son cœur, un « État veilleur de nuit » selon le modèle britannique/américain qui a vu le jour au 18ème siècle : un État principalement (ou uniquement) préoccupé par la prévention de la violence dans la sphère publique, la protection de la propriété et la poursuite tranquille du statu quo, peu importe ce qu’est ce statu quo. Intervention minimale, législation minimale, soutien minimal à ceux qui en ont besoin.
Naturellement, les choses ont changé considérablement après la Seconde Guerre mondiale avec l’adoption du modèle de l’État-providence, établi principalement pour empêcher la classe ouvrière de se révolter. Ce changement a été provoqué par deux facteurs principaux : la représentation organisée des forces de travail, qui ont exigé leur juste part après les sacrifices consentis lors des deux guerres mondiales, et la menace « communiste » grandissante venant de l’Est, qui présentait un système alternatif pouvant attirer la classe ouvrière loin du soutien au modèle libéral et capitaliste.
Les changements liés au « grand gouvernement » depuis 1945 se sont lentement érodés depuis les années 1990, alors que le modèle « néolibéral » (en réalité : le capitalisme à l’ancienne) s’est profondément enraciné dans la société et la mentalité occidentales. Margaret Thatcher a résumé cette mentalité en disant : « … qu'est-ce que la société ? Il n’y a pas de société ! Il n’y a que des hommes et des femmes individuels, et il y a des familles. » Cela ne l’a pas empêchée de mobiliser l’armée britannique contre l’Argentine ou de laisser des Irlandais républicains mourir de faim dans des prisons très largement contrôlées par l’État et financées par les impôts.
De nos jours, l’un des thèmes favoris du discours politique européen est : « cela ne relève pas de la responsabilité du gouvernement » : il n’est pas de la tâche du gouvernement d’aider les gens à trouver un emploi, de leur assurer des soins de santé abordables, de créer et maintenir le nombre nécessaire de logements disponibles, ou de garantir une économie nationale durable. Cela incite à se demander à quoi sert encore le gouvernement, et pourquoi nous payons des impôts et obéissons à la loi pour un État qui donne très peu en retour.
En résumé, c’est la mentalité politique occidentale contemporaine : les gens doivent obéir et respecter la loi, payer des impôts et se soumettre à une bureaucratie étouffante ; mais quoi que vous fassiez, ne demandez pas trop en retour. Tout le reste, c’est à vous. Et cela s’applique à toute la sphère atlantique, des plus ardents fondamentalistes du marché libre aux libéraux scandinaves, voire aux partis de gauche qui brandissent le drapeau rouge, que ce soit sur les îles britanniques ou sur le continent européen.
La “vision asiatique” est nettement différente dans sa propre essence. Rattachée aux traditions antiques, telles que le Mandat du Ciel en Chine et l’idée d’une société harmonieuse comme dans les textes confucéens, l’État est un pilier central de la société et de l’histoire humaine.
L’état d’esprit traditionnel asiatique, que j'explique encore une fois de manière simplifiée pour plus de clarté, est en réalité une situation plus quid pro quo qu’une idée libérale occidentale. Oui, l’État exige et attend une obéissance et une conformité étendues. La responsabilité collective assumée par chaque individu est beaucoup plus omniprésente en Orient qu’en Occident. La société civile et les citoyens sont censés respecter les traditions et les règles dictées par l’État, la religion et la coutume ancienne. L’accent occidental sur « vivre sa propre vérité » et « être qui tu veux être » est étranger à la société asiatique traditionnelle. Et ces traditions perdurent, à travers et au-delà des divisions droite/gauche, comblant le fossé entre des systèmes politiques très différents.
Le contrat social dans le système de l’État « asiatique » est très clair : la population doit faire preuve de piété filiale et respecter les lois et traditions, et en retour, l’État a une tâche très claire, presque religieusement mandatée, de garantir le bien-être public dans la mesure du possible. L’intérêt collectif dépasse toujours celui de l’individu en politique et en société.
Encore une fois, cette vision tend à dépasser les idéologies politiques typiques. Il est évident que des communistes comme Mao Zedong et Kim Il Sung ont des tendances collectivistes, mais cela va bien au-delà. Le fondateur de Singapour, un État très capitaliste et généralement pro-occidental, Lee Kuan Yew, a déclaré un jour : « [L]eurs valeurs peuvent ne pas nécessairement être celles que valorisent les Américains ou les Européens. Les Occidentaux valorisent la liberté et la liberté de l’individu. En tant qu’Asiatiques d’origine chinoise, mes valeurs meportent à valoriser un gouvernement honnête, efficace et efficient. » L’ancien Premier ministre malaisien Mahathir Mohamad a également mis en avant, pendant et après son mandat, les « valeurs asiatiques » et une politique de « regard vers l’est ».
L’État dans le système « asiatique », en particulier en Asie de l’Est et du Sud-Est, est là pour réguler, contrôler et assurer dans la plus grande mesure possible l’harmonie et le bien-être de la population. Ce n’est peut-être pas un système « démocratique » dans le sens occidental du terme, c’est vrai. Mais soyons honnêtes : la démocratie libérale n’est pas le facteur déterminant en politique internationale.
Et on ne peut nier que ça marche. Des États comme Hong Kong, Singapour ou la Corée du Sud, souvent loués par les médias occidentaux, jusqu’à la plus rapide et la plus étendue amélioration des conditions de vie de l’histoire humaine, qui s’est produite en République populaire de Chine : le « système asiatique » fonctionne clairement pour l’Asie.
Cela a conduit à une situation que l’analyste indien et auteur Parag Khanna (photo) a décrite dans son livre : The Future is Asian.
Si l’Occident veut jouer un rôle important dans le monde multipolaire présent et futur, il pourrait peut-être emprunter quelques pages aux anciennes sociétés d’Asie. Tant la longue histoire que les événements récents ont prouvé la ténacité, la vitalité et la sophistication de ces sociétés, qui sont bâties autour du bien-être collectif, d’une autorité clairement définie, de la tradition et de la piété filiale. Après tout, l’Asie a été le centre de la civilisation humaine pendant des siècles ; et après seulement deux siècles de domination euro-américaine, cela recommence à être le cas.
18:03 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : occident, asie | |
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„Zelensky ne partira pas volontairement!“ - Les États-Unis veulent-ils se débarrasser du président ukrainien?
„Zelensky ne partira pas volontairement!“
Les États-Unis veulent-ils se débarrasser du président ukrainien?
par Guido Grandt
Source: https://report24.news/selenskyj-wird-nicht-freiwillig-geh...
Indéniablement, le journaliste d’investigation et pamphlétaire politique américain Seymour Hersh, qui a acquis une reconnaissance mondiale en 1969 pour avoir révélé le massacre de My Lai, initialement dissimulé, lors de la guerre du Vietnam, est l’un des meilleurs en son domaine. Dans un rapport récent, Seymour Hersh explique que les États-Unis seraient désormais déterminés à destituer le président ukrainien Volodymyr Zelensky – malgré les nouvelles promesses américaines pour la guerre en cours.
Selon Hersh, le général Valerii Zaluzhnyi, ancien commandant en chef de l’armée ukrainienne, serait le successeur probable de Zelensky. Cette décision des Américains, selon les suppositions, pourrait être considérée comme une offre à la Russie pour sortir de cette guerre dévastatrice.
Zelensky a destitué la personne la plus populaire en Ukraine
À l’automne 2023, Zaluzhnyi a déclaré dans une interview à The Economist que la guerre entre la Russie et l’Ukraine avait atteint une « impasse ». Cela a déclenché un effet domino politique, aboutissant à la destitution du général populaire par le président ukrainien.
Zaluzhnyi (photo), considéré à cette époque comme la figure la plus appréciée en Ukraine, a été rapidement nommé ambassadeur à Londres, où il continue de jouer un rôle diplomatique sur la scène internationale. Et pourtant, il reste loin du front et de ses soldats.
Un changement de stratégie en Occident ?
Selon Hersh, il y aurait à Washington des discussions officielles selon lesquelles Zaluzhnyi pourrait bientôt prendre la présidence. Zelensky, constamment sous pression pour dépendre davantage des États-Unis et des partenaires européens, semble percevoir cette menace imminente.
Ces dernières semaines, il a transféré ou remplacé trois hauts responsables politiques, notamment le ministre de la Défense, le Premier ministre et l’ambassadeur aux États-Unis.
Une indication possible que Zelensky a lui-même compris les signaux du moment et tente peut-être de se sécuriser.
Zelensky n’aura pas le choix
Un responsable américain a indiqué à l’investigateur Hersh que tout dépendrait essentiellement de la volonté de la population ukrainienne d’accepter un changement de direction.
Mais la question n’est pas de savoir si Zelensky démissionnera volontairement, mais plutôt, comme on le dit, «par quels moyens » il abandonnera ses fonctions.
La pression sur Zelensky augmente, et beaucoup pensent qu’il serait possible, s’il refuse de quitter le pays, qu’il soit évacué par la force. Et cela « en avançant à reculons ». Tout le monde sait ce que cela signifie.
Des critiques américaines mettent cependant en garde contre l’implication de la CIA, spécialisée dans les assassinats politiques. Selon eux, il serait préférable que les Ukrainiens règlent la situation eux-mêmes.
Trump et Zelensky – pas « meilleurs amis »
Même si le président Donald Trump a exprimé publiquement une position plus dure envers la Russie et a continué à augmenter les livraisons d’armes américaines en Ukraine, il demeure incertain comment il se positionne réellement face à une possible destitution de Zelensky.
En tout cas, ils ne semblent pas être « les meilleurs amis », comme l’a montré la scène du 28 février 2025 à la Maison Blanche, malgré une réconciliation ultérieure.
Après une dispute publique devant les caméras, la rencontre de l’époque a été interrompue. Trump a accusé Zelensky de risquer une guerre mondiale et a exigé qu’il modifie sa position. Des échanges acerbes ont suivi, Trump menaçant de laisser tomber l’Ukraine dans sa lutte contre la Russie si aucun accord n’était trouvé avec Vladimir Poutine.
Trump a également critiqué Zelensky pour son attitude ingrate et a souligné qu’en l’absence d’équipements militaires américains, la guerre aurait été rapidement terminée. L’accord prévu et une conférence de presse ont été annulés, et Zelensky a quitté la Maison Blanche. Trump a ensuite déclaré que Zelensky « pouvait revenir quand il serait prêt à la paix ».
L’influence de Trump et le rôle de la Russie
Hersh note que Trump a adopté une ligne claire contre la Russie dans ses déclarations, mais a exprimé des doutes quant à la volonté et à la capacité réelle de Zelensky à mettre fin à la guerre.
L’officiel américain avec qui Hersh s’est entretenu a déclaré que Trump était considéré comme « le seul » capable de faire cela, c’est-à-dire d’offrir à la Russie « une échappatoire » si Zelensky était remplacé par Zaluzhnyi.
La disparition de Zelensky apporterait-elle la paix ?
Selon Hersh, le départ de Zelensky et la montée de Zaluzhnyi pourraient non seulement entraîner un changement politique en Ukraine, mais aussi servir de signal à la Russie pour mettre fin à la guerre. Le journaliste américain explique que cela pourrait être vu comme une « sortie » pour le président Poutine, qui doit faire face à des pertes massives.
Une récente estimation fuitée des pertes russes, basée sur des sources du renseignement américain et britannique, indique deux millions de pertes russes depuis le début de la guerre, soit presque le double de ce qui était connu jusqu’alors.
Les États-Unis veulent mettre fin à la guerre – à tout prix
La situation en Ukraine semble atteindre un tournant dramatique. Washington semble déterminé à provoquer un changement de leadership pour mettre fin à la guerre et offrir à la Russie une possibilité de désescalade.
Mais qu’adviendra-t-il alors de Zelensky ? Et comment les citoyens ukrainiens réagiront-ils à une telle révolution politique ?
Il est clair que l’issue du conflit ne dépend pas uniquement des opérations militaires, mais aussi des dynamiques géopolitiques et des luttes internes de pouvoir en Ukraine. Le rôle des États-Unis, l’influence de Trump et le possible changement de direction à Kiev pourraient être décisifs dans les mois, voire les années à venir.
En tout cas, le message de Washington à Moscou est clair : « Vous pouvez toujours dire que vous avez gagné si Zelensky est remplacé ! »
Source:
- Seymour Hersh, Substack (Rapport sur les plans américains concernant Zelenski et Zaluzhny): https://seymourhersh.substack.com
- Interview de Valerii Zaluzhnyi pour The Economist (Automne 2023)
- Paul Sonne, New York Times (Réactions russes suite aux dires de Trump)
- https://tkp.at/2025/07/19/usa-wollen-aera-selenski-beende...
- https://www.tagesschau.de/ausland/amerika/trump-selenskyj...
12:59 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : volodymir zelenski, ukraine, europe, affaires européennes | |
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