dimanche, 26 juin 2022
Le totalitarisme du contre-naturel
Le totalitarisme du contre-naturel
par Maurizio Blondet
Source : Maurizio Blondet & https://www.ariannaeditrice.it/articoli/il-totalitarismo-dell-innaturale
Il existe une vidéo de la BBC où Angiolina Jolie - de son propre aveu membre d'une secte sataniste - apprend aux enfants à manger des insectes. Qui plus est, elle leur montre comment manger un scorpion, après avoir retiré "la partie dure" ; et elle le mord elle-même, en leur assurant : "C'est très bon". Puis elle raconte aux enfants que les insectes faisaient partie du régime alimentaire habituel et qu'en temps de guerre, ils sauvaient les gens de la famine.
LA source de la vidéo, la "BBC qui fait autorité", est révélatrice de la volonté officielle du pouvoir mondial que nous connaissons bien. L'actrice s'acquitte manifestement d'une tâche de l'Agenda 2030 du Forum Economique Mondial : éduquer la jeune génération pour l'avenir programmé qui consiste à réduire à zéro l'élevage de bovins, de moutons et de volailles ("qui augmente le CO2") et à habituer l'humanité à ingérer des protéines provenant d'insectes.
Je voudrais souligner quelques points concernant cette horrible vidéo de propagande dystopique.
La première est qu'il n'est pas vrai que les insectes faisaient, à un quelconque moment donné dans le passé, partie du régime alimentaire habituel ; c'est un énorme mensonge. Bien au contraire, jamais dans l'histoire, ni même dans la préhistoire, les humains n'ont mangé d'insectes. Pas même occasionnellement, et pas même par nécessité : lors des sièges, et même lors de l'Holodmor, la famine ukrainienne provoquée par Kaganovitch, les gens sont certes allés jusqu'à cannibaliser, à dévorer des cadavres et même leurs propres enfants ; mais les insectes, jamais. Sauf, occasionnellement dans le désert, des hommes ont ingurgité des sauterelles - mais dans leur phase grégaire, lorsqu'elles se déplacent par millions et sont morphologiquement différentes de la sauterelle dans sa phase solitaire, qu'aucun Bédouin ne songerait à avaler.
L'exclusion constante de ce vaste règne biologique en tant que nourriture pour l'homme, même "primitif" (c'est-à-dire un goûteur avisé : qui a découvert les racines fertiles et tous les aliments animaux et végétaux possibles et imaginables, y compris les herbes médicinales avec leurs vertus), est un point particulièrement important que nous ne devons pas ignorer, car il est certainement motivé par des connaissances qui nous sont désormais inaccessibles. Au contraire, le Forum économique mondial et la BBC veulent précisément promouvoir la violation de cette exclusion alimentaire, briser même dans ce domaine un tabou profondément enraciné dans l'espèce humaine ; ils croient qu'avec le bon conditionnement ("Education"), les enfants seront induits à avaler cet apport protéique sans précédent et surtout contre nature ; il faut vraiment les éduquer, comme le montre la sataniste Jolie, pour qu'ils ne ressentent plus l'horreur naturelle que nous éprouvons lorsque nous mettons un scorpion, une araignée, un ver dans notre bouche.
En fait, j'avais mal compris: je pensais naguère que le FEM avait l'intention de nous servir des insectes comme substitut protéique au veau ou à la volaille, oui, mais sous la forme d'un produit pulvérisé et méconnaissable; au lieu de cela, non, que la vidéo soit une expérience déjà en cours dans certaines écoles britanniques, l'intention est vraiment de proposer des insectes avec leurs élytres, leurs antennes et leurs carapaces. On leur sert des "spaghettis à la bolognaise" avec un ragoût d'insectes reconnaissables comme tels, des grillons frits...
Ce qui prouve que l'argument alimentaire-écologique n'est qu'un prétexte; la vérité est qu'ils veulent nous forcer à violer un tabou, une limite humaine immémoriale dérivée d'une répugnance radicale, "sacer" dans son double sens latin, et nous forcer à déclarer "normal" et naturel ce qui ne l'est pas. Le véritable objectif est de désacraliser même cet aspect de la vie.
Après tout, n'est-ce pas exactement ce qu'ils font avec l'imposition officielle et massive des "valeurs LGBTQ" ? Avec les défilés de la gay pride auxquels les rédacteurs de La Repubblica sont désormais sommés d'assister, avec le déploiement du drapeau arc-en-ciel à l'ambassade américaine auprès du Saint-Siège, avec la participation de politiciens à des manifestations homosexuelles, il ne s'agit plus de défendre les droits des gays - que personne ne rêve d'entraver, encore moins de discriminer - mais de se livrer à de la profanation pure et simple ; d'imposer l'anormalité comme la norme, le contre-nature comme la nature au reste de la population ; de briser obligatoirement un tabou radical par décision du pouvoir.
Dans les plans de pouvoir, nous voyons ici que le transhumain va beaucoup plus loin que l'implantation de puces et de mémoires numériques dans la chair mortelle de l'homme afin de l'intégrer dans le monde numérique sans séparation et dans la "réalité augmentée" ; ici du transhumain nous voyons le côté métaphysique à l'envers : la promotion obligatoire du contre-naturel est la manifestation la plus ouverte pour le Créateur, qui est l'auteur de la Nature.
Après tout, manger des scorpions et des araignées est le régime alimentaire servi aux damnés du bas enfer. Angelina Jolie est déjà sur place. Que Dieu nous épargne une telle table.
09:59 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : contre-nature, insectes, angelina jolie, bbc, maurizio blondet | | del.icio.us | | Digg | Facebook
mercredi, 01 avril 2015
Angelina Jolie, « icône du courage » ou victime de charcutiers ?
Dans la saison 1, Angelina Jolie s’était fait changer les seins. Pour démarrer la saison 2, la star s’est débarrassée de ses ovaires et de ses trompes de Fallope. Et pour la saison 3, quoi de neuf ?
C’était en 2013. La planète, émue, rendait un hommage appuyé à Madame Brad Pitt. C’est que l’actrice, atteinte d’un gène prédisposant au cancer, s’était fait enlever les deux seins, ce qui, disait-on, constituait « un message d’espoir pour les femmes ».
Bref, amputée de ses deux seins, « Angelina Jolie est un modèle à suivre », nous a-t-on dit en 2013. Et la directrice de l’ARC, fondation pour la recherche contre le cancer, de déclarer alors sur RTL : « Toutes les femmes qui ont un risque de cancer devraient se faire retirer les seins, et la Sécurité sociale devrait prendre ces opérations en charge au titre de la prévention. » Rebelote samedi dernier où la même dame, sur Europe 1 cette fois, a déclaré : « Angelina Jolie est un merveilleux exemple pour la prévention et le dépistage », c’est « une icône du courage » et toutes les femmes… etc. Bis repetita.
Je lisais récemment le dossier sur le cancer d’un éminent docteur qui court le monde entre recherches et conférences. Il y parlait « des mutations défavorables qui touchent en particulier les gènes BRCA1 et et BRCA2 », lesquels « sont devenus célèbres grâce à l’actrice Angelina Jolie qui leur doit l’amputation préventive de ses deux seins ». L’une des chercheuses de l’institut Curie précise bien que « le risque de cancer de l’ovaire cumulé à l’âge de 70 ans pour une femme porteuse de BRCA1 est de l’ordre de 40 % et de 20 % pour celles porteuses de BRCA2, contre 1,5 % pour la population générale ».
Résumons-nous : 40 % ou 20 % de risques de développer un cancer à 70 ans. Ce qui offre également 60 % ou 80 % de chances de ne pas en développer, mais à l’évidence cela paraît nettement moins intéressant abordé sous cet angle. Question, donc, primordiale : faut-il, comme on le recommande tous azimuts, conseiller aux femmes de telles mutilations préventives ?
Je ne suis pas médecin mais je commence à me méfier de la généralisation des « dépistages-ablations » intrusifs, sans doute bientôt pratiqués dès le berceau et même in utero, cela au nom du principe de précaution. Dépistages qui trouvent à chacun ou presque des embryons de maladies encore virtuelles pour celui qui pourrait un jour en être atteint, mais bien réelles pour celui qui encaisse des actes médicaux (en l’espèce, des actes chirurgicaux) et lourdes de conséquences pour celui qu’on charcute préventivement. On a connu cela dans le passé, où l’on retirait utérus et ovaires à des gamines de 15 ans et lobotomisait hardiment les récalcitrants dans les hôpitaux psychiatriques.
Le monsieur cité plus haut – un iconoclaste, assurément – dit que « les porteurs de ces mutations (BRCA1 et BRCA2) ne font pas seulement plus de cancers du sein, mais aussi des ovaires, de la prostate, du pancréas, des mélanomes, des leucémies… » Si bien qu’il considère « l’ablation des seins d’Angelina Jolie et des autres femmes dans son cas pour le moins contestable puisque ces mutations prédisposent à bien d’autres cancers ». Et de conclure : « Pourquoi ne lui a-t-on pas alors retiré aussi la vulve, le col utérin, les ovaires, le foie, le pancréas, les globules blancs, la peau et le cerveau ? Voilà, de mon point de vue, un exemple d’abus techno-réductionniste non éthique qui devrait être beaucoup mieux cadré. »
Au fait, un dernier conseil pour notre jolie Angelina. Qu’elle se méfie : avec ses deux implants mammaires, elle pourrait bien avoir récolté un lymphome anaplasique à grandes cellules. Autrement dit… une cochonnerie de cancer ! Totalement artificiel, celui-là.
00:05 Publié dans Actualité, Réflexions personnelles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : connerie, médecine, chirurgie plastique, angelina jolie, bêtise contemporaine, réflexions personnelles | | del.icio.us | | Digg | Facebook