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jeudi, 25 août 2022

Bill Gates et Jeff Bezos au Groenland, ces Scrooges à la recherche d'un trésor parmi les glaces

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Bill Gates et Jeff Bezos au Groenland, ces Scrooges à la recherche d'un trésor parmi les glaces

Par Eugenio Palazzini

Source: https://www.ilprimatonazionale.it/esteri/bill-gates-e-jeff-bezos-in-groenlandia-quei-paperoni-a-caccia-del-tesoro-tra-i-ghiacci-241359/

Rome, 11 août - Il y a exactement un an, notre journal, Il Primato Nazionale,  rapportait une nouvelle apparemment singulière: Jeff Bezos, Bill Gates et Michael Bloomberg partaient à la recherche de minéraux au Groenland. Oui, c'était comme lire une bande dessinée, on aurait dit l'histoire de Scrooge McDuck, alias l'Onc'Piscou, à la recherche de pépites d'or dans le Klondike. Mais la fantaisie, du moins dans ce cas, ne s'est pas trop écartée de la réalité. Il était aussi question de milliardaires et d'exploration, la ruée vers l'or étant remplacée par la recherche de métaux tels que le nickel, le cuivre, le cobalt et le platine. Autant de matériaux précieux que la société d'exploration minière KoBold Metals, soutenue par une série de nababs - dont Bezos et Gates - avait annoncé dès 2021 vouloir trouver sur l'île de glace.

Pourquoi Bill Gates et Jeff Bezos se sont retrouvés au Groenland

Aujourd'hui, un an après l'annonce, la chasse au trésor a vraiment commencé. Les hommes les plus riches du monde misent tout sur le Groenland, qui devient de moins en moins glacé en raison du changement climatique, et commencent à exploiter les gisements débordants de minéraux rares. Parmi ces derniers, certains sont essentiels pour les voitures électriques, par exemple, et pour les batteries nécessaires au stockage des énergies renouvelables. Surtout le nickel et le cobalt, comme l'admet Kurt House, PDG de la société KoBold Metals mentionnée plus haut : "Nous recherchons un gisement qui sera le premier ou le deuxième plus important gisement de nickel et de cobalt au monde".

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La société californienne KoBold Metals utilise des systèmes basés sur l'intelligence artificielle et l'apprentissage automatique pour effectuer ses inspections. Elle a également signé un accord avec Bluejay Mining, soutenu par Breakthrough Energy Ventures, un fonds pour le climat et la technologie, lui-même soutenu par le cofondateur de Microsoft Bill Gates, Michael Bloomberg, le fondateur d'Amazon Jeff Bezos et Ray Dalio, fondateur de Bridgewater Associates, le plus grand fonds spéculatif du monde.

Pas de complot, nous parlons d'un club de milliardaires qui ont simplement flairé une nouvelle bonne affaire. Car les voitures électriques, qui sont appelées à gagner de plus en plus de terrain, nécessitent des matières premières largement différentes de celles utilisées pour les voitures traditionnelles. Les hommes les plus riches de la planète visent donc à être les premiers dans une région qui regorge potentiellement de ces ressources. Peut-être en exploitant les effets de ce même changement climatique dont on parle tant - souvent en vain -  face de terres pratiquement vierges.

Eugenio Palazzini

vendredi, 23 octobre 2020

Soros, Gates, Covid-19 : la répression commence ! Entretien avec Pierre-Antoine Plaquevent

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Soros, Gates, Covid-19 : la répression commence !

Entretien avec Pierre-Antoine Plaquevent

 
Pierre Antoine Plaquevent était invité à présenter son travail à l'occasion de la rencontre locale du pays réel organisée par Civitas en région parisienne le 3 octobre 2020 : "Covid, Big Pharma, Bill Gates, Soros, de la tyrannie sous prétexte sanitaire au nouvel ordre mondial". Il reprend ici pour nous son intervention.
 
 
 

Chers amis, 

Voici un entretien d'environ 45 min réalisé avec Média Presse Info. Cet entretien brosse un tableau d'ensemble de la séquence en cours.

Parmi les thématiques abordées :

-          L'enrichissement colossal des milliardaires globalistes pendant le confinement

 

-          La répartition des domaines d'influence métapolitique au sein de la gouvernance mondiale entre milliardaires (Soros, Gates, Buffet etc)

 

-          L’affrontement global entre paléo-capitalisme (personnifié par Trump) et néo-capitalisme (Gates, Soros, Buffet, Bézos etc)

 

-          Les objectifs et les buts de l'opération Covid : vaccination de masse, reset économique, passage à la digitalisation totale, télé-travail généralisé, robotisation, salaire universel, décroissance démographique etc.

 

-          Répression des nationalistes-révolutionnaires à la faveur de l'état d'urgence sanitaire : Ryssen, Soral, Aube dorée etc

 

-          Contours du paysage politique de l’avenir après répression des nationalistes-révolutionnaires : globalistes vs néo-conservateurs

 

-          Récupération et utilisation du Covid par les différents léviathans nationaux

 

-          France : l’état d'exception permanent depuis 2015. Utilisation des menaces terroriste et sanitaire pour soumettre la population majoritaire malgré la déréliction de l'État que génère la soumission de nos politiques à l’agenda globaliste. Le séparatisme vient d'abord d'en-haut. Passage du politique à la cybernétique et à l'ingénierie sociale pure 

 

-          République actuelle = GOG – Gouvernement d'Occupation Globaliste

 

-       Cause réelle de la crise globale actuelle : USA de Trump se découplent de la gouvernance globale  

 

-          L’affrontement interne au sein de la gouvernance globale entre judéo-protestantisme pro-vie et globalitarisme trans / post-humaniste

 

-       USA vs gouvernance globale + Chine

 

-          USA : les démocrates accepteraient-ils de perdre les élections ? Le “Transition Integrity Project” démontre que non

 

-          Gouvernance globale et guerre civile planétaire

 

Bien amicalement, 

Pierre-Antoine Plaquevent

mercredi, 08 avril 2020

Coronaviren: Hat Bill Gates alles schon vor Jahren gewusst?

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F. William Engdahl:

Coronaviren: Hat Bill Gates alles schon vor Jahren gewusst?

Ex: https://kopp-report.de

Wenn es darum geht, die weltweite Forschung an Impfstoffen gegen Coronaviren voranzutreiben und finanziell zu fördern, kann es wohl niemand mit Bill Gates und der Bill & Melinda Gates Foundation aufnehmen. Kaum bekannt: Wenige Wochen bevor der Ausbruch in Wuhan publik wurde, waren sie noch Sponsoren eines Planspiels einer globalen Coronavirus-Pandemie, außerdem haben sie zahlreiche Unternehmen dabei unterstützt, einen Impfstoff für das offenbar neuartige Virus zu entwickeln. Die Präsenz der Gates’ ist überall zu spüren. Aber was lässt sich daraus schließen?

Eines müssen wir zugeben: Bill Gates ist ein Prophet. Seit Jahren hat er behauptet, dass eine globale Killer-Pandemie über uns hereinbrechen wird und dass wir darauf nicht vorbereitet seien. Am 18. März 2015 hielt Gates in Vancouver einen TED-Talk zum Thema Epidemien.

Damals schrieb er in seinem Blog: »Habe gerade eine kurze Rede zu einem Thema gehalten, über das ich in letzter Zeit viel gelernt habe – Epidemien. Der Ebola-Ausbruch in Westafrika ist eine Tragödie – zum jetzigen Zeitpunkt sind über 10 000 Menschen gestorben.«

Und weiter hieß es: »So schlimm diese Epidemie auch war, die nächste könnte deutlich schlimmer ausfallen. Die Welt ist schlichtweg nicht darauf eingestellt, mit einer Krankheit umzugehen – beispielsweise einer besonders ansteckenden Grippe –, die sehr rasch große Mengen an Menschen infiziert. Unter all den Dingen, die 10 Millionen Menschen oder mehr töten könnten, ist die mit Abstand wahrscheinlichste eine Pandemie.«

Im selben Jahr schrieb Bill Gates einen Artikel für das New England Journal of Medicine. In dem Artikel mit der Überschrift »Die nächste Epidemie – Lehren aus Ebola« sprach er von einer besonderen Klasse von Medikamenten, bei denen es darum gehe, Patienten spezielle RNAbasierte Konstrukte zu verabreichen, die es ihnen ermöglichten, spezielle Proteine (darunter Antikörper) zu produzieren. »Es handelt sich um einen sehr neuen, aber sehr viel versprechenden Bereich, denn es ist möglich, dass eine sichere Therapieform ziemlich rasch entwickelt und in großem Stil produziert werden könnte. Mehr Grundlagenforschung sowie die Fortschritte von Unternehmen wie Moderna und CureVac könnten dazu führen, dass diese Vorgehensweise ein zentraler Baustein bei der Bekämpfung von Epidemien wird.« Aktuell werden Moderna und CureVac finanziell von der Gates Foundation unterstützt. Die Unternehmen sind führend beim Wettrennen darum, einen auf Boten-RNA (mRNA) basierenden Impfstoff für Covid-19 zu entwickeln.

Die Gründung von CEPI

Seit Jahren bereiten sich Gates und seine finanziell gut aufgestellte Stiftung auf eine globale grippeähnliche Pandemie vor. Beim Weltwirtschaftsforum 2017 in Davos rief Gates CEPI ins Leben, die »Coalition for Epidemic Preparedness Innovations«. Beteiligt sind auch die Regierungen von Norwegen, Indien, Japan und Deutschland sowie der britische Wellcome Trust. Die Aufgabe von CEPI besteht nach eigenen Angaben darin, die Entwicklung von Impfstoffen voranzutreiben, welche die Menschheit für die Eindämmung künftiger Epidemien benötigen wird. Gates erklärte damals:

»Ein vielversprechender Bereich der Impfstoffentwicklung ist es, die Fortschritte in der Genforschung zum Kartographieren der DNA und der RNA von Pathogenen zum Herstellen von Impfstoffen zu nutzen.«

Darauf gehen wir gleich noch einmal ein.

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»Event 201«

Spätestens 2019 gab es für Bill Gates und die Stiftung kein Halten mehr, was ihre Pandemie-Szenarien anbelangte. Gates produzierte für Netflix ein Video, in dem er ein auf unheimliche Weise imaginäres Szenario entwarf. In dem zur Explained-Serie gehörenden Video ist die Ausgangssituation ein Tiermarkt in China, auf dem sich lebende und geschlachtete Tiere stapeln.

Von diesem Markt breitet sich ein hochgradig tödliches Virus rund um den Globus aus. Gates erscheint in dem Video als Experte und warnt: »Wenn wir über Dinge nachdenken, die Millionen Menschenleben fordern könnten, dann stellt eine Pandemie unser größtes Risiko dar.« Wenn wir nichts unternähmen, um uns besser auf Pandemien vorzubereiten, werde der Zeitpunkt kommen, an dem die Welt zurückschauen und sich wünschen werde, mehr in mögliche Impfstoffe investiert zu haben. Das war Wochen bevor die Welt das erste Mal von Fledermäusen auf dem Tiermarkt im chinesischen Wuhan hörte. Im Oktober tat sich die Gates Foundation mit dem Weltwirtschaftsforum und dem Johns Hopkins Center for Health Security für eine – wie sie es nannten – »fiktive Simulation« zusammen.

An dem Planspiel waren einige der weltweit führenden Persönlichkeiten in Sachen öffentliche Gesundheit beteiligt. Der Name der Veranstaltung war »Event 201«.

Auf der begleitenden Website heißt es, bei »Event 201« simuliere man den Ausbruch eines »neuartigen Zoonose-Coronavirus, das von Fledermäusen über Schweine auf den Menschen übergeht und schließlich wirksam von Person auf Person übertragbar ist, was eine schwere Pandemie nach sich zieht. Der Erreger und die durch ihn verursachte Krankheit basieren größtenteils auf SARS, sind aber in der Gemeinschaft stärker durch Menschen mit leichten Symptomen übertragbar.«

Bei dem »Event 201«-Planspiel bricht die Krankheit auf einer Schweinefarm in Brasilien aus, breitet sich von dort in einkommensschwachen Regionen aus und explodiert schließlich zu einer Pandemie. Durch Flugreisen gelangt die Krankheit nach Portugal, in die USA und China und so weiter, bis schließlich kein Land mehr fähig ist, die Lage zu kontrollieren. Im Rahmen des Szenarios steht während des ersten Jahrs kein möglicher Impfstoff zur Verfügung. »Da die gesamte menschliche Bevölkerung anfällig ist, steigt die Zahl der Fälle während der ersten Monate der Pandemie exponentiell an und verdoppelt sich jede Woche.«

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Das Szenario endet nach 18 Monaten. In diesem Zeitraum hat das fiktive Coronavirus 65 Millionen Tote verursacht. »Die Pandemie beginnt, sich langsamer auszubreiten, da die Zahl der anfälligen Personen sinkt. Die Pandemie wird andauern, bis ein wirksamer Impfstoff gefunden wird oder 80 bis 90 Prozent der Weltbevölkerung mit dem Virus in Kontakt gekommen sind.«

Teilnehmer von »Event 201«

Die Weitsichtigkeit, die man beim von Gates und Johns Hopkins organisierten »Event 201« an den Tag legte, ist sehr interessant; aber genauso interessant sind die Personen, die eingeladen worden waren, um sich an der fiktiven weltweiten Reaktion zu beteiligen. Unter den handverlesenen »Spielern«, wie man sie nannte, war auch George Fu Gao. Professor Gao leitet seit 2017 das chinesische Zentrum für die Bekämpfung und Prävention von Krankheiten. Er ist unter anderem spezialisiert auf die Übertragung des Influenzavirus von Spezies zu Spezies und interessiert an Virusökologie, insbesondere an der Beziehung zwischen dem Influenzavirus und Zugvögeln oder Märkten mit Lebendgeflügel, an der Virusökologie von Viren, die von Fledermäusen stammen, und an Molekularbiologie.

Neben Professor Gao nahm unter anderem auch Avril Haines teil, unter Präsident Obama stellvertretende CIA-Chefin, Assistentin des Präsidenten und stellvertretende Beraterin zur nationalen Sicherheit. Ein weiterer Teilnehmer war Konteradmiral Stephen C. Redd, der bei der US-Gesundheitsbehörde CDC die Abteilung leitet, die dafür sorgen soll, dass das öffentliche Gesundheitssystem auf Krisen vorbereitet und reaktionsbereit ist.

Ebenfalls dabei war Adrian Thomas aus dem Management des skandalgebeutelten Pharmariesen Johnson & Johnson. Thomas ist bei dem Konzern verantwortlich für die Reaktion auf Pandemien. Dazu gehört die Entwicklung von Impfstoffen für Ebola, Denguefieber und HIV. All das zeigt, dass Bill Gates sich erstaunlich intensiv mit der Möglichkeit befasst hat, dass es zu einer globalen Pandemie kommt, von der er sagt, sie könne sogar noch schlimmer werden als die mysteriöse Spanische Grippe von 1918. Seit mindestens 5 Jahren, wenn nicht noch länger, warnt er vor diesem Szenario. Die Bill & Melinda Gates Foundation befasst sich aber nicht nur damit, sie finanziert auch die Entwicklung neuer Impfstoffe. Dabei kommt hochmoderne Technologie wie die Genschere CRISPR zum Einsatz.

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Coronavirus-Impfstoffe

Die Gates Foundation unterstützt die Impfstoffentwicklung an allen Ecken. Inovio Pharmaceuticals aus Pennsylvania beispielsweise erhielt von CEPI, der von Gates unterstützten Organisation »Coalition for Epidemic Preparedness Innovations«, 9 Millionen Dollar für die Entwicklung eines Impfstoffs. Dieser Impfstoff, INO-4800, soll ab April am Menschen getestet werden, was verdächtig rasch wäre. Zusätzlich hat die Gates Foundation dem Unternehmen gerade weitere 5 Millionen Dollar dafür gegeben, ein eigenes intelligentes Gerät zu entwickeln, das den neuen Impfstoff intradermal einspritzen kann.

Das Geld, das von der Gates Foundation über CEPI fließt, finanziert zudem die Entwicklung einer radikal neuen Impfstoffmethode, die auf der sogenannten Boten-RNA (mRNA) basiert.

Die Stiftung unterstützt zudem das Biotech-Unternehmen Moderna aus Cambridge, Massachusetts, bei der Forschung an einem Impfstoff gegen das neuartige Coronavirus aus Wuhan, das inzwischen als SARS-CoV-2 bezeichnet wird. Modernas anderer Partner ist das National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), eine Unterabteilung der amerikanischen Gesundheitsbehörde National Institutes of Health (NIH). NIAID-Chef ist Dr. Anthony Fauci, über den auch die Notfallmaßnahmen der Regierung Trump in Bezug auf die Viruskrise laufen. Das Besondere an Modernas Coronavirus-Impfstoff mRNA-1273: Er wurde nicht innerhalb von Jahren, sondern innerhalb von Wochen entwickelt und ging am 24. Februar bereits direkt zu Faucis NIH. Dort wird der Impfstoff nun nicht, wie es normal wäre, an Mäusen getestet, sondern gleich an menschlichen Versuchskaninchen.

Interessant in diesem Zusammenhang ist der rechtliche Hinweis auf Modernas Website:

»Besonderer Hinweis bezüglich zukunftsbezogener Aussagen: … Zu diesen Risiken, Ungewissheiten und anderen Faktoren gehören: … die Tatsache, dass es nie zuvor ein kommerzielles Produkt gegeben hat, bei dem eine für die Nutzung zugelassene mRNA-Technologie zur Anwendung kam.«

Anders gesagt: Es ist völlig unbekannt, wie sicher das Ganze für die menschliche Gesundheit ist. Auch das deutsche Biotech-Unternehmen CureVac arbeitet mit der völlig unerprobten mRNA-Technologie, um einen Impfstoff für Covid-19 zu entwickeln. Seit 2015 erhält CureVac Geld von der Gates Foundation, um seine eigene mRNA-Technologie entwickeln zu können. Die Gates Foundation und angeschlossene Organisationen wie CEPI gehören zu den größten Geldgebern der öffentlich-privaten Weltgesundheitsorganisation WHO. Addieren wir all das, kommen wir zu dem Schluss, dass es rund um die aktuelle Coronavirus-Pandemie praktisch keinen Bereich gibt, in dem Gates nicht allgegenwärtig ist.

Dieser Beitrag ist zuerst in KOPP Exklusiv (Ausgabe 14/20) erschienen.

mardi, 26 octobre 2010

Macchine da guerra: Blackwater, Monsanto e Bill Gates

Macchine da guerra: Blackwater, Monsanto e Bill Gates

di Silvia Ribeiro

Fonte: megachip [scheda fonte]

Un rapporto di Jeremy Scahill su The Nation (Blackwater’s Black Ops, 15.09.10) ha rivelato che il maggiore esercito mercenario al mondo, Blackwater (ora denominato Xe Services –), ha venduto servizi d’intelligence clandestini alla multinazionale Monsanto. Blackwater è stata ribattezzata nel 2009 dopo essere divenuta famosa nel mondo per via dei numerosi resoconti sui suoi abusi in Iraq, compresi massacri di civili. Resta il maggiore appaltatore privato dei “servizi di sicurezza” del Dipartimento di Stato U.S.A, che pratica il terrorismo di stato dando al governo l’opportunità di negarlo.

blackwater.jpgMolti militari ed ex-funzionari CIA lavorano per Blackwater o società collegate create per sviare l’attenzione dalla propria cattiva reputazione e fanno alti profitti vendendo i propri vili servizi – che vanno dall’informazione e lo spionaggio all’infiltrazione, al lobbying politico fino all’addestramento paramilitare – per altri governi, banche e multinazionali.

Secondo Scahill, gli affari con le multinazionali, come Monsanto, Chevron, e giganti finanziari come Barclays e Deutsche Bank, vengono convogliati tramite due società possedute da Erik Prince, proprietario di Blackwater: Total Intelligence Solutions e Terrorism Research Center. Questi funzionari e direttori si spartiscono la Blackwater.

Uno di loro, Cofer Black, noto per la sua brutalità come uno dei direttori della CIA, è stato quello che ha stabilito il contatto con la Monsanto nel 2008 in qualità di direttore di Total Intelligence, stabilendo un contratto con la società per spiare e infiltrare organizzazioni di attivisti sui diritti animali, anti-OGM e altre attività sporche del gigante della biotecnologia.

Contattato da Scahill, il dirigente Monsanto Kevin Wilson ha rifiutato di commentare, ma ha confermato in seguito a The Nation di aver noleggiato i servizi di Total Intelligence nel 2008 e 2009, secondo la Monsanto solo per tener d’occhio le “quanto divulgato pubblicamente” da parte dei suoi oppositori. Ha aggiunto che Total Intelligence era un’«entità del tutto separata da Blackwater».

Tuttavia, Scahill ha conservato copie di e-mail di Cofer Black dopo l’incontro con Wilson per la Monsanto, dove spiega ad altri ex-agenti CIA, usando le loro e-mail presso Blackwater, che la discussione con Wilson aveva portato Total Intelligence a diventare «il braccio d’intelligence della Monsanto», per spiare attivisti e altre iniziative, compresi «i nostri impegnati a integrare legalmente questi gruppi». Per Total Intelligence Monsanto ha pagato 127mila dollari nel 2008 e 105mila nel 2009.

Non sorprende che una società impegnata nella “scienza della morte” come la Monsanto, dedita fin dall’inizio alla produzione di sostanze tossiche che spaziano dall’Agent Orange ai PCB (bifenili policlorurati), pesticidi, ormoni e semi geneticamente modificati, sia associata a un’altra società di farabutti.

monsanto1.jpgQuasi simultaneamente alla pubblicazione di quest’articolo su The Nation, la Via Campesina ha riferito l’acquisto di 500mila azioni di Monsanto, per più di 23 milioni di dollari, da parte della Fondazione Bill & Melinda Gates, che con tale azione ha finito di gettare via la sua nmaschera “filantropica”. Un’altra connessione che non sorprende.

È un matrimonio fra i due più brutali monopoli nella storia dell’industrialismo: Bill Gates controlla più del 90% della quota di mercato dei software proprietari e Monsanto circa il 90% del mercato globale delle sementi transgeniche e buona parte delle sementi commerciali globali. Non esistono in alcun altro settore industriale monopoli così vasti, la cui stessa esistenza è una negazione del vantato principio della “concorrenza di mercato” del capitalismo.

Sia Gates sia Monsanto sono molto aggressivi nel difendere i loro monopoli ottenuti in malo modo.

billgates7tm-a038d.jpgBenché Bill Gates possa tentare di dire che la Fondazione non sia collegata ai suoi affari, tutto ciò prova che è vero il contrario: la maggior parte delle loro donazioni finiscono per favorire gli investimenti commerciali del magnate, effettivamente non “donando” alcunché: anziché pagare tasse ai forzieri statali, investe i suoi profitti là dove gli frutta economicamente, compresa la propaganda sulle loro presunte buone intenzioni.

Al contrario, le loro “donazioni” finanziano progetti distruttivi come la geoengineering (geoingegneria) o la sostituzione di medicine comunitarie naturali con medicine high-tech brevettate nelle aree più povere del mondo. Quale coincidenza: l’ex-ministro della Sanità Julio Frenk e Ernesto Zedillo sono consulenti della Fondazione.

Come Monsanto, Gates è inoltre impegnato a tentare di distruggere l’agricoltura rurale contadina a livello mondiale, principalmente mediante l’ “Alliance for a Green Revolution in Africa” (AGRA). che funziona come un cavallo di Troia per privare i poveri agricoltori africani delle loro sementi tradizionali, sostituendole con quelle delle proprie aziende per cominciare in seguito con quelle geneticamente modificate (GM).

A tal fine, la Fondazione ha assunto Robert Horsch nel 2006, il direttore di Monsanto. Ora Gates, nell’esporre massicci profitti, ha svelato direttamente la fonte.

Blackwater, Monsanto e Gates sono tre lati della stessa figura: la macchina da guerra al pianeta e a gran parte della gente che lo abita, che siano contadini, comunità indigene, persone che vogliono condividere informazione e conoscenza, o chiunque altro non intenda soggiacere alla cappa del profitto e alla distruttività del capitalismo.

 

* L’autrice è ricercatrice al Gruppo ETC

«La Jornada» ,14.10.10.

 

Traduzione per il Centro Studi Sereno Regis a cura di Miky Lanza, con revisioni di Megachip.

Titolo originale: Machines of War: Blackwater, Monsanto, and Bill Gates

http://www.transcend.org/tms/2010/10/machines-of-war-blac...

 


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