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samedi, 01 août 2009

La vérité sur l'agent Obama

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La vérité sur l'agent Obama

Ex: http://unitepopulaire.org

« En réalité, Obama avait été lancé dans la course au Sénat fédéral et à la présidence dès 2004. Il a fait son entrée en scène lors de la convention démocrate pour l’investiture de John Kerry. Il n’était alors qu’un obscur parlementaire de l’Assemblée de l’Illinois, mais il était déjà encadré et entraîné par Abner Mikva et ses hommes (Jews for Obama) et soutenu par la finance anglo-saxonne (Goldman Sachs, JP Morgan, Excelon). Les multinationales inquiètes de perde des parts de marché au fur et à mesure de la montée de l’anti-impérialisme, les généraux en révolte contre les aventures erratiques des néo-conservateurs, et d’autres encore, se sont progressivement ralliés à lui. […]

En 2000, la Cour suprême a rappelé que le vote des citoyens n’était que consultatif et que le gouverneur de Floride pouvait nommer les délégués de son Etat au collège électoral présidentiel sans même attendre le dépouillement du scrutin général. Dans ce système oligarchique, il y a un parti unique avec deux courants : les républicains et les démocrates. Juridiquement, ils ne forment pas des entités distinctes. Il n’y a donc rien de surprenant à ce que Joe Biden et Barack Obama soient l’un et l’autre de vieux amis de John McCain. Ainsi, McCain préside l’Institut républicain international, un organe du département d’Etat chargée de corrompre les partis de droite dans le monde, tandis qu’Obama travaille au sein de l’Institut démocrate national, présidé par Madeleine Albright, et chargé de la corruption des partis de gauche. Ensemble, Obama, McCain et Albright ont participé à la déstabilisation du Kenya, lors d’une opération de la CIA, pour imposer un cousin d’Obama comme premier ministre.

Tout ça pour dire qu’Obama n’est pas sorti de nulle part. C’est un spécialiste de l’action secrète et de la subversion. Il a été recruté pour faire un travail bien précis. Si les objectifs de la coalition hétéroclite qui le soutient sont globalement les mêmes, il n’existe pas de consensus dans le détail entre ses composantes. Ceci explique l’incroyable bataille à laquelle ont donné lieu les nominations et l’aspect toujours équivoque des discours d’Obama. »

 

Thierry Meyssan, interviewé par Flash n°10, 26 mars 2009

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