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samedi, 06 mars 2010

Terre & Peuple Magazine: La force du sacré

Communiqué de "Terre & Peuple - Wallonie"

terre_et_peuple_42.jpgTERRE & PEUPLE Magazine

 

Le numéro 42 de TERRE & PEUPLE Magazine est placé sous l’unique signe de ‘La Force du Sacré’ et du mot d’ordre ‘Terre et Peuple en action.

 

Dans son éditorial, Pierre Vial invite à cesser de nous sacrifier pour ceux qui ne le valent pas. Les sondages sur l’identité menés sur le territoire français révèlent trois catégories : ceux qui s’y déclarent étrangers, par leurs origines, les traîtres collabos d’origine européenne qui déclarent tenir ces origines pour nulles et ceux qui y sont au contraire enracinés. Il l’illustre ensuite le fait avec ces supporters allochtones qui célèbrent ‘festivement’ une victoire sportive en accrochant le drapeau algérien au balcon de l’Hôtel de ville de Toulouse, après avoir décroché et brûlé le drapeau français, pourtant protégé par un cordon de policiers menottés dans leurs consignes !

 

A propos du referendum suisse en faveur de l’interdiction des minarets, les sondages organisés par la plupart des grands organes de presse européens révèlent que leur clientèle approuve les Suisses à 86% (L’Express), 76,98% (Le Figaro), 70% (Euronews) ; 63,2% (Le Soir), 76,3% (Der Spiegel, de), 87% (Die Welt, de), 79% (El Mundo, esp)94% (20 Minutos, esp), 94% (Diario de Noticias, port), 68% (Elsevier, nl). Les lecteurs du Monde estiment même, à 61,5%, que le referendum est un signe de démocratie.

 

Jean Haudry met en gerbe les fleurs que Claude Lévi-Strauss a adressées à Georges Dumézil dans son discours d’accueil à l’Académie française. C’est un véritable canon de béatification.

Pierre Vial, en ouvrant le dossier central, rappelle que la dictature intellectuelle des Lumières, et celle de ses rejetons jumeaux le libéralisme et le marxisme, a imposé une vision matérialiste du monde comme seule idéologiquement correcte, rompant avec la tradition qui voit dans l’homme le produit subtil de trois composantes, le corps, l’esprit et l’âme. Ce que saint Benoît avait, au VIe siècle, repris pour sa communauté monastique dans une règle qui a passé l’épreuve des siècles, équilibrant la vie des moines entre leur corpus (par le travail), leur animus (par l’étude) et leur anima (par la prière).

 

Michèle Favard-Jirard liste les professeurs d’université israéliens, archéologues et historiens, qui font la démonstration de l’inexistence historique de l’Ancien Testament. Les murs de Jéricho ont été emportées par les pluies bien avant que par les trompettes de lévites. Le royaume de David et Salomon se réduit au terroir d’une petite tribu qui inventera l’historiographie biblique durant son exil babylonien. Elle est formée en fait des rescapés de la débâcle des Hyksos, ainsi que le soutenait déjà l’historien juif antique Flavius Josèphe (37 à 100 PC). Il s’agit d’une peuplade qui, refoulée d’Asie centrale par les Indo-européens, s’était installée en Egypte et en sera finalement chassée par le pharaon Amosis (-1580 à -1558), fondateur de cette XVIIIe dynastie qui tentera d’introduire le monothéisme. S’ajoutant à cela la découverte (commanditée par le Congrès Juif) au nord de la Mer Caspienne des vestiges d’Itil, la capitale du royaume des Khazars, tribu d’Asie centrale pas sémitique du tout, qui a servi aux Byzantins de pare-choc contre la poussée de l’islam et s’est convertie en bloc au judaïsme au IXe siècle, il y a largement de quoi troubler tous les Billancourt du sionisme ! Pas tant que cela, semble-t-il, car avec la masse plus c’est gros et mieux ça passe ! Jusqu’à envisager en fin de compte que les Palestiniens soient les seul vrais Juifs, convertis à l’islam ?

Pour Jean Haudry, la Sainte Trinité (de l’évangile de Mathieu 28, 18) provient probablement des diverses triades de divinités du monde indo-européen. Mais celle-ci sont constituées de trois divinités, et non d’une seule en trois personnes. Cette unité se retrouve toutefois dans le mazdéisme de Zarathustra, où le Dieu suprême Ahura Mazda a des rapports privilégiés avec le Saint Esprit (Spanta Manyu, le Bénéfique) et avec le Feu, qui devient le fils du Dieu suprême. Toutefois, à la différence de la conception catholique de la Trinité (avec le filioque), le Saint Esprit mazdéen ne procède que du Père et pas du Fils. On notera que, dans l’Avesta ancien, Manyu ne signifie pas esprit, mais fureur et que Spanta Manyu a un correspondant néfaste, Ahra Manyu, le futur Ahriman, qui préfigure le Satan du christianisme. Les analogies sont foisonnantes !

 

Pélage dévoile ‘l’islam tel qu’on nous le cache’ : la Sunna (tradition transmise par le Prophète à travers le Coran), la Sira (vie du Prophète et de ses compagnons immédiats) et les Hadiths (recueil de ses paroles : 1,5 millions authentifiées ou non). On compte quatre écoles d’interprétation sunnite : le malékisme (Maghreb et France), le hanéfisme (Empire ottoman), le chafisme (Egypte et Proche-Orient) et le hanbalisme, la plus intransigeante, dont le wahabisme (Arabie saoudite) est l’héritier, qui récuse la tolérance, de pur opportunisme économique, à l’égard des infidèles. C’est avec la bénédiction des USA et de l’URSS que la tribu nomade des Bani Saoud s’est emparée des Lieux Saints en s’appuyant sur le wahabisme, par le sabre et le livre.

 

Après avoir parlé à Abraham, Moïse et Jésus, Allah dicte à l’ultime prophète le Livre qui ne peut être que parfait et justifiera de brûler la centaine de milliers d’ouvrages grecs et persans de la bibliothèque d’Alexandrie, qui sont soit faux soit surabondants. Le Coran (le mot signifie ‘récitation’) comporte 114 sourates, classées sans autre ordre que leur longueur, qui comptent ensemble 6.325 versets hétéroclites, aux répétitions incessantes ! Les emprunts sont très nombreux à la Torah, au Talmud et à la Bible et l’analyse linguistique révèle une pluralité d’auteurs. Le texte justifie le rezzou et l’esclavage par le butin, dont un cinquième appartient à Allah, à son Messager et ses proches parents. Les Barbaresques exploiteront la veine du commerce d’esclaves et du rapt non seulement en Afrique subsaharienne, mais en Europe, Islande comprise, jusqu’en 1830 ! On estime à 1.250.000 les Européens raptés au XVIe et XVIIe siècles.

 

Les versions du Coran rédigées en langue vulgaire sont édulcorées et ne rendent qu’un reflet de son mépris pour les kafirs. La colère d’Allah contre eux occupe 650 versets et le jihad 250. La distinction entre grand jihad (victoire sur soi-même) et petit jihad (guerre sainte) n’apparaîtra qu’après trois siècles. En plus d’une religion, l’islam prétend être un code civil, un code pénal et un code moral. La charia est un assemblage de prescriptions empruntées aux autres religions, notamment au judaïsme, dont la haine de l’autre, la persécution des minorités, l’esclavage, le talion, la punition par mutilation, le statut inférieur de la femme, etc. L’apostat qui voudrait s’en émanciper est passible de mort. C’est par faveur d’Allah que les hommes ont autorité sur les femmes, lesquelles leur doivent obéissance, à défaut de quoi Allah recommande : « Frappez-les. » L’honneur de l’homme repose sur ce contrôle sur le corps de la femme. En dépendent ses vertus viriles, y compris sa vaillance guerrière. L’adultère mérite la lapidation, héritée du judaïsme. L’excision, comme la circoncision, est une pratique antérieure au Coran, mais certains hadiths la qualifient d’honneur pour la femme. Le seul péché mortel est d’être incroyant. Le parjure d’un musulman est insignifiant s’il conserve la foi. Il est même louable si c’est pour tromper un incroyant (baise la main que tu ne peux couper). A la différence des païens et des athées qui ne méritent que la mort, les chrétiens et les juifs (« Qu’Allah les anéantisse ! ») n’y sont pas promis tout de suite. Il leur est fait d’abord obligation de coudre sur leur vêtement un signe distinctif, le zunnâr. Il ne peuvent pas pratiquer ouvertement leur religion, ni posséder un cheval, ni des armes, ni un esclave musulman, ni épouser une musulmane, ni assigner un musulman pour s’en faire rendre justice. Cette ‘protection’ se paie d’un impôt mensuel, la jizyat, et d’un impôt foncier, le kharâdj, qui sont perçus sous peine de prison, voire de mort. Dans les pays de charia stricte, toute pratique d’une autre religion est passible de mort. Les pays ‘démocratiques’ s’en tiennent à multiplier l’impôt général par 3,5. Mais dans ces derniers comme dans les autres, le statut des kafirs ne cesse de se dégrader.

 

Sunnites et chiites s’entretuent pour des motifs plus politiques que religieux, en tout cas entre les talibans sunnites et les chiites iraniens. Le Petit Livre Vert de Khomeiny est révélateur : outre la guerre sainte, il promet la république islamique universelle, où en un an les loi punitives déracineront l’immoralité, notamment de manger la viande d’un animal qui a été sodomisé par un homme ou de forniquer en adultère. Mais une femme appartient légalement à un homme par mariage temporaire d’un jour ou même d’une heure et, si un musulman ne peut épouser une chrétienne en mariage continu, il le peut en mariage temporaire. Les sunnites ont eux aussi leur fous de Dieu, qui prouvent que la science est néfaste à la civilisation (islamique) puisqu’elle met le Coran en question. Ils sont résolus à rétablir l’esclavage au Pakistan et, en attendant, à maintenir le pays en jihad permanent, par le terrorisme dans les zones kafirs et la négociation dans les autres. Dans celles-ci, ils comptent sur la pression fiscale pour achever de convertir. Pas si fous que cela, donc !

 

Les uns et les autres se flattent que la civilisation arabo-musulmane soit la matrice du monde moderne, sans s’embarrasser du fait que les grands penseurs musulmans ignoraient le grec et le latin, s’en tenant par piété à l’arabe, langue divine sans doute, mais peu propre à traduire le message classique. Et sans tenir compte de l’apport iranien, indien, arménien.

Conclusion : il faut être ignorant, naïf ou malhonnête pour croire que l’islam est soluble dans la société européenne moderne.

 

A propos de la vision du sacré, lequel de tout temps fait le lien entre l’humain et le divin, Pierre Vial relève d’emblée que notre paganisme unit notre communauté dans la croyance en un univers un, où le contact au divin passe par l’immersion dans le monde et par l’adhésion au vivant. Il se distingue en cela de la croyance en un Dieu unique, seul éternel, extérieur à notre monde transitoire. Les païens que nous sommes contestent à ces croyants le monopole de la transcendance qu’ils s’arrogent. Nous nous situons à la croisée, essentielle et existentielle, du vertical et de l’horizontal, solidaires de tout ce qui vit, comme l’arbre qui plonge ses racines dans la terre et lance dans le ciel ses branches vers les quatre horizons. C’est ce que symbolise pour nous la rune d’Hagal et les croix grecque et celtique. C’est ce qu’évoque Dom Sterckx (OSB) dans son ‘Orientation totale de l’homme’. Cette vision du sacré, bien antérieure au christianisme, est la colonne vertébrale de la culture européenne.

On peut déjà situer un seuil qualitatif de perception du sacré certainement au Paléolithique supérieur (-15.000), avec des manifestations esthétiques et religieuses et avec déjà la référence à un au-delà dans l’apparition des sépultures (-60.000). Dans l’art rupestre animalier, l’homme se représente lui-même, paré d’une ramure de cerf, comme officiant dans la magie de la chasse. Les Vénus et les déesses-mères sont des allusions au principe, vital pour la communauté, de la fécondité féminine, solidaire de la fécondité de la terre pour laquelle l’agriculture et l’élevage néolithiques sacrifient au rythme des saison. L’âge des métaux (-5.000) verra surgir la notion d’axe du monde, centre d’un ordre cosmique sans cesse renouvelé, où le soleil représente le principe transcendant, surveillant hommes et dieux. Homère (-800) dira que le soleil est le garant de la vérité. Il est parfois représenté au centre d’une ramure de cervidé, dont la croix lumineuse du cerf de saint Hubert pourrait être un prolongement, car le disque solaire est censé être tiré le jour par des cerfs et la nuit par des loups. L’âge des métaux va conférer au forgeron un prestige lié aux puissances souterraines démoniaques. Honoré par les guerriers autant que le dieu de la guerre, le dieu forgeron fabrique des armes miraculeuses. Le feu de sa forge l’associe au soleil, au rythme saisonnier et, avec les roues et les chars solaires, au mouvement perpétuel.

 

Jean Haudry souligne, chez les Indo-européens, la dualité du sacré, qui peut être positif et chargé de puissance divine ou négatif et interdit au contact des hommes. Le premier invite à la familiarité avec le dieu, car notre paganisme est une religion d’hommes libres. C’est encore le sacré qui intègre politiquement ces hommes libres à leur communauté, chacun s’y inscrivant dans un cadre divisé en quatre structures, la famille, le clan, la tribu et la nation, toutes fondées sur le sol et le sang. Le célébrant du culte familial est le chef de famille assisté de son épouse, et ainsi pour le chef de clan, le chef de tribu, le roi. Ils officient au centre des membres du groupe, à l’exclusion de tout étranger, autour de la flamme du foyer, qui représente l’âme de la communauté. La révolution culturelle du christianisme visait à éradiquer cette conception païenne du sacré (lapidation d’Hypathie, destruction des sites sacrés par les saints Boniface et Martin). Mais finalement certains ecclésiastiques (dont saint Grégoire 1er) ont estimé, dans les débuts du moyen âge, qu’il serait plus efficace d’intégrer à la nouvelle religion cette vision, si séduisante par ‘le charme infini qu’elle donne à toutes les circonstances de la vie’. Et on se mit à installer des églises à la place, voire dans les lieux sacrés païens (la cathédrale de Syracuse et Saint-Michel-Mont-Mercure). La tripartition indo-européenne trouve alors écho dans les ordres chevaleresques (oratores/laboratores/bellatores) et le culte des bonnes Dames dans la dévotion à la Vierge Marie. Les fêtes païennes sont rebaptisées. Les colonnes des églises, avec leurs chapiteaux feuillus évoquent le bois sacré. Le Christ, nouveau soleil, rayonne dans la rosace des cathédrales. Il faudra attendre le protestantisme pour réagir et revenir aux sources judaïques et Vatican II pour lui emboîter le pas.

 

Le professeur Claude Perrin tente de définir ce qu’est ‘l’honneur aujourd’hui’. Au regard de l’abnégation souvent héroïque des mille morts par jour de la Première Guerre, dont il ne subsiste que le parfum d’un vase vide. L’honneur est alors le corollaire de l’estime de soi-même, par le dépassement dans le sacrifice au bien public. Il tient au sacré, à la croyance en une transcendance. Nos pères, qui avaient un sens aigu de l’honneur, révéraient le sacrifice de Vercingétorix. Le mythe du héros, mobilisateur et réunificateur a été largement utilisé dans cette guerre. Dans l’Ancien Régime, la fidélité au roi était la manifestation de l’honneur dans la soumission à un pouvoir légitime pour qui on nourrit la tendresse qu’on a pour un père et le respect qu’on ne doit qu’à Dieu, sentiments que la Révolution a rendus presque incompréhensibles, en ce qu’ils conservaient l’âme libre jusque dans la plus extrême dépendance. Les piliers honneur-hiérarchie-dignité ont été remplacés par liberté-égalité-fraternité, qui prétendent étendre avec la dignité le devoir d’honneur des nobles aux vilains. Mais ce n’est plus le même code et il faudra les commissaires de la Révolution pour briser les réflexes, les loyautés, les appartenances. L’appartenance suppose l’allégeance dans une foi aux valeurs communes. C’est le contraire de la contrainte de lois liberticides comme la Loi Gayssot. Socrate est mort, en effet, d’avoir parlé sur les sujets prohibés, non par le tyran, mais par les représentants démocratiques de la cité.

 

Comment ne pas citer en regard Albert Camus : « Nous vivons dans un monde où on peut manquer à l’honneur sans cesser de respecter la loi. » ? Ou citer Luc Ferry, ministre de l’Education nationale, qui juge ‘un peu ridicule’ le patriotisme. Abandonnant le code de l’honneur à certains truands, il parle pour une société de bobos, que le suicide de certains perdants laisse perplexe. Il parle pour ces responsables de la crise qui s’obstinent à donner des leçons d’économie. Il parle au monde sportif, où le fair play comme le dopage sont laissés à la discrétion des sponsors. Et au monde politique, où le principe de précaution sert d’alibi au refus du moindre risque. Bernanos avertissait que, dans la civilisation de la machine, la plus redoutable est la machine ‘à liquéfier les cerveaux’, notamment cette télévision dont un de ses grands patrons, Patrick Le Play, se vante qu’elle lui permet ‘de vendre des cerveaux disponibles à Coca Cola’. L’auteur dénonce ainsi, bien sûr, Mai 68 avec l’absence de toute distance, par le tutoiement universel. Et on passe bientôt des enfants battus aux mères battues. L’hédonisme multisensoriel (Alain de Benoist) a vite fait de tuer les engagements sur la durée, de même que les emplois contraignants : les cultivateurs, les médecins de campagne, les petits patrons ne trouvent plus de remplaçants. La tolérance, qui est le mot d’ordre, est en fin de compte la peur de l’avenir et la drogue est le refuge de cette peur. Les gouvernants de cette société de la peur la dirigent en suivant une logique d’épicier ou d’éleveur de volailles, pour qui même l’espérance de vie n’est plus l’objet de souhait. C’est normal dans une civilisation dont le modèle n’est plus le Sage, comme dans l’Antiquité, ni le Saint, comme au Moyen Age, ni l’Uomo Universalis, comme à la Renaissance, mais le Technicien, robot inculte, et tricheur ! Le mot de la fin est au soldat engagé exposé aux risques de l’Afghanistan : « Cela vaut quand même mieux que mourir ivre au volant ! »

Jean Haudry, enfin, éclaire les liens entre Gaulois et Germains, qui sont linguistiquement cousins, si pas jumeaux. Contrairement à ce qu’en écrit Tacite dans sa ‘Germanie’, les Gaulois n’ont pas été les envahisseurs comme le suggère ‘le divin Jules’, mais les premiers occupants. Et il y a eu nombre de populations celto-germaniques, comme ces Eburons dont on ne sait s’ils sont des Germains celtisés ou des Celtes germanisés.

 

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