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dimanche, 01 janvier 2017

Meilleurs vœux pour 2017: l’année du réveil de la dormition?

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Meilleurs vœux pour 2017: l’année du réveil de la dormition?

par Thomas Ferrier

Ex: http://thomasferrier.hautetfort.com 

La crise morale qui affecte l’Europe depuis maintenant près d’un demi-siècle va continuer en 2017. Les raisons de l’effondrement de notre civilisation sont toujours là. L’impuissance si ce n’est la complicité de nos dirigeants à cet état de fait va continuer. Beaucoup de Français espèrent un changement politique important à l’issue des élections présidentielles et législatives qui se dérouleront de mai à juin 2017. Ils se trompent. Rien ne sortira des urnes nationales, ni chez nous ni chez notre voisin allemand.

Le plus probable en France est un second tour opposant Marine Le Pen à François Fillon, même si la première fait une très mauvaise campagne, entretenant une confusion idéologique permanente afin de ne pas porter la tunique de Nessus de son père, adoucissant son programme jusqu’à le rendre méconnaissable, aboutissant sous l’influence de son conseiller Florian Philippot à une sorte de social-démocratie ayant comme seul axe de différenciation un programme non seulement anti-UE mais en vérité anti-européen. François Fillon, qui a tenu une ligne très libérale pour gagner les primaires de la droite et du centre, va également recentrer son positionnement. Ses positions pro-russes, salutaires sur le papier, semblent également s’amenuiser au fur et à mesure des semaines qui s’écoulent. Il décevra, et il ne peut que décevoir.

La gauche est laminée, même si Macron semble placé très haut dans les sondages, et ce centrisme libéral, qui empêche Bayrou d’exister à nouveau, pourrait créer la surprise. Cet ancien ministre de Hollande, qui n’a jamais été élu à la moindre élection, et dont le statut médiatique est parfaitement artificiel, exactement comme celui d’Alain Juppé avant sa défaite aux primaires, a néanmoins toutes les caractéristiques d’une baudruche politique. Je ne le vois pas si haut à l’arrivée.

En Allemagne, les choses sont également simples. L’AfD, mouvement populiste ayant axé sa campagne sur la dénonciation de l’insécurité migratoire, et fustigeant à juste titre la politique délirant d’Angela Merkel, devrait créer la surprise et dépasser les 15% des voix aux élections législatives. Ils seront alors victimes d’un évident cordon sanitaire des partis dits « respectables », maintenant au pouvoir une grande coalition affaiblie, à moins qu’une gauche plurielle, avec Die Linke, se mette en place. Comme en France, par la faute de la droite classique, ce serait alors la gauche la plus mondialiste qui imposerait ses vues à une population de plus en plus inquiète et hostile à cette immigration qu’on nous présente mensongèrement comme une force. La droite aurait pu depuis longtemps, en cessant de courir derrière la gauche ou de céder à ses oukases, briser ce consensus mou en osant une droite plurielle qui, à défaut d’être salutaire, limiterait la casse.

Il convient de noter que deux lignes s’opposent au sein de ce qu’il est convenu d’appeler la droite nationale en Europe, entre un courant identitaire, qu’on nous présente comme libéral, et un courant souverainiste, qu’on nous présente comme social. Au sein du FN, ce clivage est représenté par l’opposition entre Marion Maréchal-Le Pen et Florian Philippot. Un discours social et identitaire ne serait-il pas pourtant le plus adapté ? Le discours anti-européen, qui dépasse la seule critique de l’UE actuelle ou du pilotage de l’euro, que sagement le candidat FPÖ a su taire en 2016 (Norbert Hofer), n’est-il pas avant tout une façon de ne pas s’attaquer aux vrais problèmes que sont la dénatalité des populations européennes indigènes et la submersion migratoire ?

Si l’Union Européenne actuelle doit être sévèrement critiquée, c’est d’abord parce qu’elle est à l’image des gouvernements nationaux qui en choisissent les dirigeants. Opposer un sain Etat « national » à l’UE est un mensonge et une forfaiture. Prétendre qu’on pourrait au niveau national réaliser ce que l’on se refuse de réaliser au niveau européen l’est aussi. Dire que l’Etat protège quand il trahit est aberrant.

La victoire du camp du brexit, qui a galvanisé les droites nationales en Europe, l’illustre amplement. Les Britanniques ont voté contre l’UE pour dénoncer des politiques dont sont responsables avant tout les gouvernements britanniques depuis un demi-siècle. Car ce sont eux, et eux seuls, qui ont ouvert les portes à l’immigration postcoloniale issue de son ancien empire, un phénomène grave que dénonçait déjà le conservateur Powell dans les années 60. Ce ne sont pas les Polonais qui posent problème à leur pays, contrairement aux tirades stupidement xénophobes de certains ténors de la droite. Les émeutes de 2010 et le scandale sexuel de Rotherham rappellent où est la vraie menace. Et ce n’est pas la faute de l’UE, même si elle partage les mêmes idées mondialistes que les dirigeants britanniques de « gauche » et de « droite ». Le brexit est donc une voie de détournement de la colère populaire vers un bouc émissaire facile, dont les tabloïdes britanniques depuis des années dénonçaient les travers.

Les malheurs des Britanniques ne viennent pas de l’UE, même si sa gouvernance actuelle n’est pas meilleure, mais d’abord de l’ancien empire colonial et des gouvernements « nationaux » qui les dirigent et les emmènent dans le mur depuis des décennies. Le brexit était donc une mauvaise réponse apportée à une mauvaise question.

Néanmoins, 2016 nous a enseigné que les Européens se méfient de plus en plus et à juste titre là encore de leurs dirigeants. En conséquence tout référendum est détourné pour devenir un vote de confiance à l’égard du pouvoir en place et à chaque fois, ce pouvoir est mis à bas. Matteo Renzi et David Cameron l’ont su amèrement à leurs dépens. L’alternance gauche/droite continue néanmoins comme auparavant et à chaque fois qu’une tête de l’hydre est coupée, elle repousse immédiatement sous un autre nom. En matière de promotion du multiculturalisme et d’opportunisme politique, Teresa May vaut bien David Cameron. Après avoir été favorable, certes du bout des lèvres, au maintien du Royaume-Uni dans l’Union Européenne, la voilà désormais une farouche eurosceptique. Dans le même temps, son ministre Boris Johnson, rallié à la cause du brexit par carriérisme pur, se ridiculise et a dû reconnaître avoir menti, tout comme Nigel Farage, lors de la campagne référendaire.

En somme, euro-mondialistes et eurosceptiques, même s’ils s’opposent, utilisent les mêmes méthodes de désinformation pour convaincre les citoyens de les suivre. Les uns promettaient une catastrophe économique totale en cas de brexit. Les seconds annonçaient que tout changerait avec ce vote. Même si le brexit réel n’a pas eu lieu, et n’est pas annoncé avant 2019 au mieux, on ne voit pas ce qu’il changera pour un pays qui n’avait pas l’euro et n’était pas dans l’espace Schengen.

2017 donc, une année pour rien ? Probablement. Mais tôt ou tard, les Européens vont bien finir par se rendre compte que tous leur mentent et voudront donner un grand coup de balai à cette classe politique incapable. Ce jour-là, les menteurs mondialistes et les faussaires souverainistes seront démasqués en même temps et envoyés dans les oubliettes de l’histoire. En attendant, pendant toute l’année 2017, le Parti des Européens va continuer de prôner une vraie alternative, défendre son programme révolutionnaire, en espérant qu’il pourra connaître cette année son ascension médiatique.

En tant que dirigeant du Parti des Européens, je souhaite à tous les Européens une très bonne année 2017, en les invitant à la méfiance face aux dialectiques de renoncement. N’espérez aucun changement politique par les voies traditionnelles ou les partis existants. Mais gardez espoir !

Thomas FERRIER (Le Parti des Européens)

18:48 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : actualité, voeux, thomas ferrier, 2017 | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

ZEHN GUTE VORSÄTZE FÜR 2017

Wachsamkeit, Skepsis und vor allem Gelassenheit

Den Mut, zu ändern, was man ändern kann, die Gelassenheit hinzunehmen, was nicht zu ändern ist und die Hoffnung, unterscheiden zu können, was in welche Kategorie gehört - wäre in Zeiten wie diesen ein passender Vorsatz: ein frohes neues Jahr!

Weihnachten ist vorbei, das neue Jahr hat noch nicht begonnen. “Zwischen den Jahren” – das ist die Zeit der Rück- und Ausblicke und der guten Vorsätze für das neue Jahr. Wohl keiner hat es je geschafft, zwölf Monate lange nach den selbst aufgestellten Grundsätzen zu leben. Aber es hat noch niemandem geschadet, darüber nachzudenken, was er selbst im nächsten Jahr anders und besser machen könnte. Hier also ein paar Vorschläge für gute Vorsätze.

1. Wachsam und wehrhaft sein

Islamistische Terroristen haben uns den Krieg erklärt. Nach den Morden am Breitscheidplatz muss selbst der Friedfertigste merken, dass im Namen Allahs unter uns lebende Killer sich nicht dafür interessieren, ob wir Verständnis für sie haben oder nicht. Sie wollen töten, weil sie uns hassen: unseren Lebensstil, unsere Freiheiten, unseren Rechtsstaat, unsere Demokratie. Im Namen ihrer verqueren, pseudoreligiösen Ideologie ergötzen sie sich am Tod anderer.

Da bekommt der Begriff “wehrhafte Demokratie”, der sich einst auf den Kampf gegen Anti-Demokraten im Innern bezog, eine neue Bedeutung. Eine wehrhafte Demokratie erfordert heute sichere europäische Außengrenzen, kontrollierte Binnengrenzen, Transitzentren, schnelle Abschiebung von illegalen Migranten und Scheinasylanten, eine Aufrüstung unserer Sicherheitsorgane, eine bessere Videoüberwachung, eine Kontrolle der Hinterhofmoscheen und vieles mehr. Demokraten sollten sich dafür einsetzen – jeder an seinem Platz, jeder nach seinen Möglichkeiten.

2. Skeptisch gegenüber Gutmenschen bleiben

“Jeder Zuwanderer ist eine Bereicherung” war schon in vergangenen Jahren das Dümmste, was zum Thema “Flüchtlinge” zu hören war. Denn die schlichte Wahrheit lautet: Auch nicht jeder “Bio-Deutsche” ist eine Bereicherung. Doch man sollte die Macht derer, die in Politik, Medien und gesellschaftlichen Institutionen die Gefahren unkontrollierter Zuwanderung klein reden und die angeblichen Segnungen einer Multi-Kulti-Idylle groß herausstellen, nicht unterschätzen. Unsere freiheitliche Gesellschaft wird nicht allein durch Terroristen gefährdet. Gefährlich sind auch jene politisch korrekten Schönredner, deren Geschäft die Relativierung und Verharmlosung ist.

Wenn Mörder “Gott ist groß” rufen, dann hat das sehr wohl etwas mit dem Islam zu tun. Wenn tausende Migranten Frauen sexuell belästigen, wie an Silvester in Köln, dann sind das nicht 1.000 Einzelfälle; hier spiegelt sich vielmehr das Frauenbild von Männern aus muslimischen Gesellschaften wider. Wenn junge Muslime in der Schule oder am Arbeitsplatz Lehrerinnen oder weiblichen Vorgesetzten den notwendigen Respekt versagen, dann hilft kein Verständnis, sondern nur das Pochen auf eindeutige Regeln. Lassen wir uns 2017 von den Gutmenschen nicht einlullen. Für den Missbrauch unserer Freiheiten muss gelten: null Toleranz.

3. Zwischen religiöser Verkündigung und politischer Indoktrination unterscheiden

Die Kirchen sind unverändert wichtige Pfeiler unserer Gesellschaft. Die freiheitliche Gesellschaft wird auch vom Geist der Bergpredigt getragen. Ein Land ohne religiöse Fundamente ist keine erstrebenswerte Perspektive. Doch bei allem Respekt vor den Kirchen und ihren Repräsentanten: Die Neigung vieler Geistlicher, die Kanzel mit einer politischen Rednertribüne zu verwechseln, nimmt zu. Je leerer die Kirchen werden, um so eilfertiger versuchen Pfarrer wie Bischöfe, dem Zeitgeist hinterherzuhecheln. Mündige Christen sollten sich dagegen verwahren.

4. Auf Etikettenschwindel achten

Die politische Linke – SPD, Grüne, Linkspartei – setzt im Wahljahr 2017 auf das Thema soziale Gerechtigkeit. Genauer gesagt: Die vereinte Linke wird die angeblich schreiende Ungerechtigkeit beklagen. Sie darf sich breiter medialer Unterstützung sicher sein: Gegen “die Reichen” machen viele Medien gerne mobil – nicht zuletzt die öffentlich-rechtlichen Anstalten.

Die Bürger sollten sich nichts vormachen lassen. Wenn von der “Armutsquote” die Rede ist, dann muss man erstens wissen, dass es sich um die “Armutsgefährdungsquote” handelt. Und dass diese zweitens nicht absolute Armut, sondern Ungleichheit misst. So gibt es nach dieser “Statistik” in Tschechien, Slowenien oder der Slowakei weniger Arme als in der reichen Bundesrepublik. Was natürlich Unsinn ist: In diesen im Vergleich armen Ländern ist die “Armut” nur gleichmäßiger verteilt. Wer den Etikettenschwindlern unter den Armutsforschern und ihren Jüngern nicht auf den Leim gehen möchte, sollte stets daran denken: Nach dieser “Berechnungsmethode” gab es in der DDR viel weniger “Arme” als in der Bundesrepublik. Nur konnten sich die DDR-Bürger davon nichts kaufen.

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5. Dem Zeitgeist widerstehen

Nie war der Satz so richtig wie heute: Wer den Zeitgeist heiratet, kann ganz schnell Witwer werden. Wer sich unkritisch an der “herrschenden” Meinung orientiert, also an dem, was die sogenannten Leitmedien veröffentlich, der muss ziemlich flexibel sein. Wer noch in Erinnerung hat, was im Zeichen des “Willkommensrauschs” Ende 2015 alles geschrieben und gesendet wurde, der erkennt heute Spiegel, Zeit oder Bild nicht mehr. Fakten lassen sich eben nur eine zeitlang schönen; im Zweifelsfall ist die Wirklichkeit stärker als das Wunschbild.

Da hilft nur eines: skeptisch bleiben und nicht alle politische Moden mitmachen. Wenn Spiegel, Süddeutsche Zeitung, Zeit, ARD und ZDF alle dieselbe Melodie spielen, dann hilft bisweilen ein Blick in ausländische Medien – zur nüchternen Analyse.

6. Dem Staat mehr vertrauen als selbst ernannten Bürgeranwälten

Wir leben in einem funktionierenden Gemeinwesen, einem Rechtsstaat mit der besten Verfassung, die es in der deutschen Geschichte jemals gab. Das heißt nicht, dass auch manches schief läuft, dass es unentschuldbare Pannen und schwere Versäumnisse staatlicher Institutionen gibt. Aber das macht eine Demokratie aus: dass sie zur Selbstkorrektur fähig ist.

Deshalb sollten wir dem Staat und seinen demokratisch legitimierten Institutionen das notwendige Vertrauen entgegenbringen. Selbst ernannte “Bürgeranwälte”, die hinter jeder Gesetzesänderung und jeder Aktionen unserer Sicherheitsorgane sofort einen Anschlag auf die Freiheit wittern, sollte man links liegen lassen – im wörtlichen wie im übertragenen Sinn.

7. Managern ihre Bekenntnisse zur Marktwirtschaft nicht unbesehen abnehmen

Es geht den Herren in Nadelstreifen so leicht von den Lippen: die Beschwörung der Sozialen Marktwirtschaft, das Bekenntnis zu Leistung und Wettbewerb. Im Alltag handeln viele Bosse aber ganz anders, wie die dreisten Betrügereien des Volkswagen-Konzerns und anderer Automobilhersteller uns plastisch vor Augen geführt haben. Für viele Manager – nicht für alle – rangieren die Interessen ihrer eigenen Arbeitnehmer, ihrer Zulieferer und Kunden sowie der Allgemeinheit ganz hinten. Für viele – zu viele – zählen nur der eigene Kontostand und die eigene Macht. Gier schlägt Gemeinwohl! Das spricht keineswegs gegen die Soziale Marktwirtschaft, aber sehr wohl gegen die Lippenbekenntnisse vieler Bosse. Auch da ist Skepsis nicht nur angebracht, sondern geradezu Pflicht aufgeklärter Wirtschaftsbürger.

8. Polizisten, Feuerwehrleute und Pflegekräfte mehr schätzen

Nie waren sie so wertvoll wie heute: unsere Polizisten, Feuerwehrleute und Pflegekräfte. Sie sind gefordert – und vielfach wegen ständig steigender Anforderungen und Personalmangels überfordert. Sie setzen sich für uns alle ein, aber wir entgelten ihnen ihre Dienste nicht angemessen – weder materiell noch ideell. Wenn Politiker diese Dienstleister am Gemeinwesen rühmen, dann sollten wir sie immer fragen, was sie konkret tun, um deren personelle und finanzielle Situation zu verbessern. Und wir sollten, wann immer wir können, Polizisten, Feuerwehrleuten und Pflegenden unseren Respekt bekunden. Wir Bürger können das öffentliche Klima durchaus verändern – wenn wir nur wollen.

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9. In den “sozialen” Medien für einen zivilisierten Ton sorgen

Facebook, Twitter und so weiter gelten als “soziale” Netzwerke. Vielfach geht es dort aber höchst unsozial, ja asozial zu. Üble Beschimpfungen, gezielt gestreute Gerüchte, erfundene “Fakten”, das Überhandnehmen von Fäkalausdrücken – und das alles häufig im Schutz der Anonymität. Generell gilt: je anonymer, umso unver-schämter, je feiger, umso primitiver. Wobei es zwischen der Primitivität der Ausdrucksweise und der Primitivität der dahinter steckenden Gedanken meistens einen engen Zusammenhang gibt.

Als Nutzer dieser Dienste kann man sich wehren: unverschämte anonyme Feiglinge ignorieren oder blockieren. Das kostet Follower, erhöht aber die Lebensqualität im “Net”.

10. Vor allem aber: auch 2017 gelassen bleiben

Das neue Jahr wird politisch ausgesprochen spannend. Wird Donald Trump berechenbar? Werden die Franzosen eine rechtspopulistische, antieuropäische Präsidentin wählen? Werden neue Flüchtlingsströme auf Deutschland zukommen? Wird der islamistische Terror unsere alltäglichen Freiheiten einschränken? Wird das Land in zehn Monaten zum ersten Mal von einer Bundesregierung unter Einschluss der Linken alias SED regiert? Wir wissen das alles nicht.

Deshalb ist Gelassenheit ein ganz wichtiger Vorsatz für 2017. Die Lebenserfahrung lehrt, dass es eigentlich nie so schlimm kommt, wie wir in unseren Albträumen befürchten, und nie so gut, wie wir uns als Ideal ausgemalt haben. Den Mut, zu ändern, was man ändern kann, die Gelassenheit hinzunehmen, was nicht zu ändern ist und die Hoffnung, unterscheiden zu können, was in welche Kategorie gehört – das wäre in Zeiten wie diesen ein passender Vorsatz.

In diesem Sinne: ein frohes neues Jahr!

00:05 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : 2017, voeux 2017 | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook