jeudi, 07 mai 2015
Signez la pétition de soutien à Robert Ménard !
Signez la pétition de soutien à
Robert Ménard !
Paris, mai 2015
Madame, Monsieur,
Face au déchainement médiatique orchestré par le gouvernement de François Hollande et de Manuel Valls,
Au nom de la liberté d’expression,
Parce que le thème de l’immigration et ses conséquences ne doit plus être un tabou,
Apportez votre soutien à Robert Ménard et à la municipalité de Béziers en signant la pétition mise en ligne par Boulevard Voltaire.
Merci.
17:04 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : actualité, france, béziers, robert ménard | 
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Commentaires
les atteintes à la liberté d'expression cachent ici une véritable violation de la séparation des pouvoirs et font de la justice un instrument de la régression du droit dont les récentes normes prétendument anti terroristes marquent une nouvelles et inquiétante étape.
Écrit par : Junod Pascal | jeudi, 07 mai 2015
On nage dans l'absurdité :
On peut compter les blancs mais pas les autres (notez que M. Ménard aurait dû compter par soustraction, le résultat était le même mais peut-être qu'il aurait eu moins de problèmes face à la bêtise du politiquement correct).
De plus, un maire gère les cantines et doit donc savoir les différents types de repas (malheureusement) à préparer.
Comme l'a dit M. Ménard, M Valls, avant d'être "indissolublement lié", s'est rendu coupable de racisme sans que cele ait fait beaucoup de vagues ...
Écrit par : D'Hollander | jeudi, 07 mai 2015
Pour une liberté d'expression totale et sans aucune limite quelle qu'elle soit. Contre toute loi liberticide limitant la liberté d'expression. L'Europe doit adopter d'urgence le Premier Amendement de la Constitution U.S.
Écrit par : Daniel Wyns | jeudi, 07 mai 2015
Il est vrai que l'on nage dans la connerie
Écrit par : miryam rochez | vendredi, 08 mai 2015
Si on appliquait à la lettre leur loi sur le comptage non discriminant et d'autres textes législatifs absurdes, les historiens ne pourraient plus travailler. Et il n'existerait pas de Shoa... C'est le serpent décrit par Voltaire qui se mord la queue. Il mordit un jésuite et que croyez-vous qu'il arriva... il creva !
Écrit par : Frédéric Kisters | vendredi, 08 mai 2015
Le serpent de Voltaire ne s'est pas mordu la queue mais a mordu le jésuite Féron. C'est ainsi que la pauvre bête creva... Si une aspic mord Valls ou Hollande, je ne crois pas qu'elle crèvera, elle aura un sale goût de guimauve dans la bouche, sera définitivement dégoûtée de mordre pour assoupir ses victimes qu'elle mange ensuite et mourra d'inanition. C'est le Kali Yuga: on ne peut plus tomber plus bas.
Écrit par : Jean Fesnard | vendredi, 08 mai 2015
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