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mercredi, 05 août 2020

Qu’est-ce qui ne va pas avec la diversité ?

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Qu’est-ce qui ne va pas avec la diversité ?

Greg Johnson

Il y a des contextes dans lesquels la diversité est une bonne chose. Par exemple, la diversité des produits sur le marché, la diversité des choix dans la vie, la diversité des opinions dans la politique et le milieu universitaire, et une diversité de points de vue dans les jurys pour décerner des prix ou rendre un jugement.

Mais dans le contexte de la politique contemporaine, la diversité signifie quelque chose de très spécifique, c’est-à-dire intégrer une variété de races et de groupes ethniques différents dans la même société ou institution. La diversité signifie aussi l’intégration des femmes et des minorités sexuelles dans des institutions qui les excluaient traditionnellement, comme l’armée. Evidemment, on peut imaginer une société sans diversité raciale et ethnique, mais on ne peut pas imaginer une société sans des hommes et des femmes. On peut cependant imaginer une société dans laquelle les hommes et les femmes ont des domaines et des rôles sociaux assez distincts.

Le multiculturalisme, le multiracialisme, le féminisme, et l’agenda LGBTQ constituent le sens principal de la diversité aujourd’hui. Les gens qui la promeuvent ont souvent très peu de respect pour la diversité d’opinions et la liberté de choix. Cette version politiquement correcte de la diversité est mon sujet ici.

Ce n’est pas une exagération de dire que l’éloge de la diversité est la religion civile de notre époque. Alors que dans le passé, il était obligatoire pour chacun – spécialement les ambitieux et les puissants – de rendre un hommage formel au christianisme, aujourd’hui les gens rivalisent pour offrir les éloges les plus excessifs et les professions de foi sincères au Dieu de la diversité. A partir de Bill Clinton, les présidents US – républicains et démocrates – ont répété le mantra que « la diversité est la plus grande force de l’Amérique ». Pas seulement une force parmi d’autres, mais notre plus grande force.

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Même si l’armée, la police et les pompiers abaissent les standards de force physique pour accroître la diversité, ils proclament que leur vraie force se trouve dans la diversité elle-même. En fait, en 2007, le général George Casey, alors commandant de toutes les troupes US en Irak, proclama : « Je crois fermement que la force de notre armée vient de notre diversité » [1]. Pas des armes, pas de la technologie, pas de la formation, pas des muscles et du caractère des hommes, pas de l’unité d’un objectif commun. Mais de la diversité. Espérons que cette théorie ne sera jamais testée dans une bataille contre un adversaire sérieux.

Même si les institutions éducatives abaissent les standards d’admission et de diplômes, les programmes de base des classes, créent des disciplines nouvelles pour donner des diplômes et des emplois universitaires à des membres de groupes marginalisés, et dépensent des sommes énormes pour le recrutement des minorités et pour la propagande de la diversité, ils prétendent que l’éducation est plus forte que jamais du fait de toute cette diversité, même si par tous les standards objectifs la société dépense davantage pour l’éducation et les gens apprennent moins de choses que jamais auparavant.

La même pensée illusoire est endémique dans tous les autres secteurs de la société : les affaires, la religion, les associations caritatives, les arts, etc.

Les Nationalistes Blancs s’opposent à la diversité. Nous voulons des patries racialement et culturellement homogènes pour tous les peuples blancs. Parce que nos idées s’opposent à tout le courant majoritaire culturel et politique, les Nationalistes Blancs doivent avoir une bonne réponse à la question : « Qu’est-ce qui ne va pas avec la diversité ? ». Voici quatre raisons pour lesquelles la diversité serait une mauvaise chose, même si les Blancs n’étaient pas menacés d’extinction.

  1. La diversité signifie dépossession blanche

La raison primordiale pour laquelle la diversité est mauvaise est très simple. Dès que nous parlons d’accroître la diversité dans une communauté ou une entreprise ou une église ou une école, c’est toujours un euphémisme pour avoir moins de Blancs. Pourquoi donc les Blancs devraient-ils penser que c’est souhaitable ? Il n’y a vraiment pas de bonne réponse à cela.

Donc quand quelqu’un dit : « Vous avez une jolie petite ville ici – c’est prospère, c’est propre, c’est amical –, mais elle manque d’une certaine diversité », la bonne réponse est : « Donc, vous pensez qu’il y a trop de Blancs ici ? Qu’est-ce qui ne va pas avec les Blancs ? Pourquoi n’aimez-vous pas les Blancs ? »

Maintenant certains pourraient répondre qu’ils ne veulent pas diminuer le nombre des Blancs. Ils veulent juste ajouter un peu d’épices. Mais cette réponse suppose que la pénurie n’existe pas, donc que vous pouvez ajouter des gens à une communauté sans accroître les coûts et abaisser les bénéfices pour les gens qui sont déjà là. Pourtant il est légitime de demander si l’accroissement de la diversité enlèvera des opportunités aux Blancs tout en accroissant la circulation, le crime, l’aliénation, les conflits, et d’autres fardeaux sociaux.

En plus de cela, même si quelqu’un dit qu’il ne veut pas diminuer le nombre absolu de Blancs, il maintient tout de même qu’il y a un trop grand pourcentage de Blancs dans la population totale. Donc demandez-lui pourquoi il veut que la population blanche soit diluée.

Si la diversité signifie simplement dépossession blanche, alors évidemment c’est une mauvaise chose pour les Blancs. Evidemment les Blancs allaient fatalement s’en offusquer. Maintenant nous commençons à résister à cela. Le Nationalisme Blanc est simplement la résistance inévitable au nettoyage ethnique anti-Blancs que nous appelons diversité. Bienvenue à la résistance.

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Bien sûr l’accroissement de la diversité est mauvais pour les peuples indigènes de n’importe quel pays, pas seulement pour les Blancs. Quand les Blancs arrivèrent en Afrique, en Asie, et dans les Amériques, est-ce qu’ils n’accroissaient pas simplement la diversité de l’endroit ? Mon premier ancêtre à arriver dans les Amériques débarqua à Jamestown en 1612. Il fuyait l’oppression et la pauvreté. Il tentait de construire une vie meilleure pour lui-même et sa famille. Et il apportait de la diversité au Nouveau Monde. Mais les Blancs n’obtiennent jamais de reconnaissance pour cela. C’est toujours décrit comme du colonialisme et du génocide quand les Blancs le font. N’est-ce pas aussi mauvais quand des non-Blancs le font à nous ?

  1. La diversité affaiblit toutes les institutions

La diversité, nous dit-on, renforcera littéralement tout. Probablement cette force signifie que chaque institution touchée par la diversité accomplira mieux sa fonction. Les quartiers seront de meilleurs endroits où vivre. Les gouvernements promouvront mieux la justice et l’harmonie. Les écoles éduqueront et formeront mieux les étudiants. Les hôpitaux guériront mieux les malades. Les armées et la police produiront plus de sécurité. Les pompiers et les équipes médicales d’urgence sauveront plus de vies. Les Eglises sauveront plus d’âmes. Les hommes d’affaires produiront plus de profits. Et ainsi de suite.

Mais cela n’a pas de sens. Chaque institution est définie par ses buts. Donc pour bien fonctionner, chaque institution doit trouver des gens qui sont bons pour promouvoir ses buts. Les enseignants doivent enseigner. Les pompiers doivent combattre les feux. Les soldats doivent combattre les ennemis. Etc. Dans toute institution, le critère principal pour engager et promouvoir des gens est l’aptitude à contribuer au but de l’institution. Aucune institution ne peut être améliorée en introduisant des critères rivaux de succès, comme la diversité.

Par conséquent, dès que la diversité devient la « plus grande force » d’une institution, les gens abaisseront naturellement ses standards de succès pour promouvoir la diversité. Par exemple, les soldats et les pompiers doivent être physiquement forts pour accomplir leurs fonctions. Mais quand la diversité devient une valeur – spécialement l’intégration des femmes dans des professions requérant de la force physique – les standards sont inévitablement abaissés, affaiblissant ainsi l’institution de la manière la plus importante : en la rendant moins capable d’accomplir sa fonction. Donc la diversité n’est pas une force. C’est une faiblesse.

  1. La diversité est une source de conflits

La diversité est une source de conflit à l’intérieur des institutions et à l’intérieur des sociétés en général. Ces conflits les gênent dans l’accomplissement de leurs fonctions, même si l’on n’adopte pas le but d’une promotion artificielle de la diversité. Une école divisée par des  conflits ne peut pas enseigner aussi bien qu’une école harmonieuse. Une armée divisée par des conflits ne peut pas combattre aussi bien qu’une armée unifiée. Une société affectée par des conflits est un endroit moins agréable à vivre qu’une société pacifique.

L’idée qu’une société ou une institution puisse être améliorée par la diversité est une aberration de la fin du XXe siècle et du début du XXIe siècle. Aucun philosophe politique ou homme d’Etat sérieux du passé n’aurait entretenu cette idée pendant un instant.

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Le but de la politique est de créer de l’ordre social et de l’harmonie. Fondamentalement, c’est le problème de s’entendre les uns avec les autres. La vie sociale doit apporter des bénéfices nets à ses participants, ou les gens suivront chacun leur chemin séparément, et la société s’effondrera. Mais au-delà de cela, puisque nous ne sommes pas juste des individualistes égoïstes, nous devons cultiver la responsabilité sociale et l’investissement social, afin que les gens travaillent à améliorer la société et soient en fait prêts à mourir pour assurer qu’elle soit préservée et perpétuée. Ce sont les grands problèmes de la politique : créer de l’harmonie sociale et un sens profond d’identification avec l’organisme politique, de responsabilité vis-à-vis de l’organisme politique, de bonne volonté à donner sa vie pour l’organisme politique.

Maintenant, comment la diversité raciale et ethnique aide-t-elle à atteindre ces buts ? Imaginez que vous vivez dans une rue arborée d’un quartier idyllique où beaucoup d’enfants jouent. Mais à mesure que la population s’accroît et que la circulation devient plus difficile, vous remarquez que beaucoup de gens traversent en voiture votre quartier plutôt rapidement. Ils ont découvert que votre rue est un raccourci pour passer d’une grande artère congestionnée à une autre, donc ils traversent à toute vitesse votre quartier autrefois tranquille, mettant en danger les petits enfants.

Vous décidez de faire quelque chose. Vous voulez que la ville installe des ralentisseurs. Pour faire cela, vous devez d’abord allez voir vos voisins et les mettre de votre coté, pour pouvoir faire bloc et faire une pétition pour réclamer des ralentisseurs. Mais pour mettre vos voisins de votre coté, vous devez pouvoir communiquer avec eux. Ne serait-ce pas bien ? Mais en Amérique aujourd’hui, il y a beaucoup de quartiers où vous ne pouvez plus communiquer avec vos voisins. Ils ne parlent pas la même langue.

Au-delà de cela, même si vous parlez la même langue, vous devez encore avoir les mêmes valeurs. Les nations blanches sont aujourd’hui colonisées par des gens qui ne s’investissent pas du tout pour celles-ci. Ils sont ici uniquement pour prendre. Ils viennent de sociétés qui sont caractérisées par la misère publique et la splendeur privée. A l’intérieur des murs de leurs maisons, tout est charmant, mais dehors dans les rues il y a des chiens morts et des nids de poule, et c’est très bien pour eux. C’est leur système de valeurs. Essayez de motiver des gens ayant ce système de valeurs pour qu’ils s’impliquent afin de faire mettre des ralentisseurs dans votre rue, même s’ils ont des petits enfants, même si cela pourrait les protéger. C’est très difficile.

Pour poursuivre des buts communs, vous devez déjà avoir des choses en commun. Vous devez avoir une langue commune pour communiquer. Vous devez connaître la mentalité des autres gens. Mais quand vous connaissez la mentalité des autres, c’est que vous avez les mêmes valeurs qu’eux, ou vous ne pourrez jamais poursuivre les mêmes buts.

La diversité mine toutes ces choses. A un certain moment, il devient impossible de rechercher ou de préserver les nombreux biens sociaux qui furent créés quand les Etats-Unis ou la Suède ou toute autre société européenne étaient en grande majorité européens, c’est-à-dire quand les gens parlaient la même langue, avaient les mêmes valeurs, connaissaient la mentalité des autres gens, et sentaient qu’ils pouvaient donner à la communauté parce que ce ne serait pas un acte de sacrifice sans réciprocité. Une diversité accrue cause une confiance sociale plus faible, un engagement social plus faible, et la destruction du domaine public. Ce n’est pas bon pour la société.

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Ainsi, les philosophes et les hommes d’Etat à travers les âges ont considéré que l’homogénéité raciale, ethnique et religieuse était une énorme bénédiction. Par exemple, le père fondateur américain John Jay – qui a dû réfléchir plus profondément que Bill Clinton ou Barack Obama sur les sources de l’ordre politique – remarqua avec plaisir dans les Federalist Papers No. 2 que « la Providence avait été heureuse de donner ce pays unique à un peuple uni – des gens descendant des mêmes ancêtres, parlant la même langue, professant la même religion, attachés aux mêmes principes de gouvernement, très similaires dans leurs manières et coutumes… ». Jay ne considérait même pas les esclaves nègres ou les Indiens américains comme faisant partie du peuple américain. Les Fondateurs pensaient que tenter de les intégrer dans le nouveau système sur un pied d’égalité avec les Blancs aurait rendu la nouvelle société plus faible, pas plus forte.

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Lee Kuan Yew, le fondateur de la Singapour moderne, devait créer de l’ordre dans une société multiraciale, ce qui le conduisit à adopter l’autoritarisme, pas la démocratie libérale. Dans une interview avec le Spiegel, Yew déclara : « Dans les sociétés multiraciales, vous ne votez pas d’après vos intérêts économiques et sociaux, vous votez d’après la race et la religion » [2]. Ainsi la démocratie dans un contexte multiracial n’était pas cohérente avec un ordre politique, particulièrement un ordre politique qui pouvait poursuivre un bien commun. La démocratie ne peut pas parvenir d’une manière fiable à un consensus de gouvernement si les gens qui votent ne sont pas déjà très similaires entre eux. Sans une population relativement homogène, l’ordre doit être imposé de haut en bas. Donc plus la diversité augmente, plus la démocratie échoue.

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L’ancienne vérité que la diversité cause le conflit est également appuyée par la science sociale contemporaine. Par exemple, le sociologue de Harvard, Robert D. Putnam étudia 41 communautés aux Etats-Unis, allant de celles hautement diverses à d’autres hautement homogènes. Il découvrit que la confiance sociale était fortement corrélée avec l’homogénéité et la méfiance sociale avec la diversité. Il découvrit que même des gens de la même race et du même groupe ethnique se font moins confiance lorsqu’ils vivent dans des communautés diverses. Après avoir éliminé les autres causes possibles pour les variations de la confiance sociale, Putnam conclut que « la diversité a en soi un effet majeur » [3]. La diversité conduit à la rupture de la confiance sociale, qui mène au déclin général de l’ordre social. Ainsi, d’après Putnam, dans les communautés diverses les gens font moins confiance au gouvernement et aux médias, se sentent politiquement dépossédés, participent moins à la politique et aux projets de la communauté, proposent moins leur aide, donnent moins aux organisations caritatives, ont moins d’amis, passent plus de temps à regarder la TV, et se sentent moins heureux dans leur vie.

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Le spécialiste de science politique Tatu Vanhanen parvint à des conclusions similaires à partir d’une étude comparative de la diversité et des conflits dans 148 pays [4]. Vanhanen découvrit que le conflit social n’est pas fortement corrélé avec les différences de richesse et de pauvreté, ou avec les différences entre gouvernements démocratiques et autoritaires. Mais il est fortement corrélé avec la diversité. Qu’elles soient riches ou pauvres, démocratiques ou autoritaires, les sociétés diverses ont plus de conflits que les sociétés homogènes, qui sont plus harmonieuses, quels que soient les niveaux de richesse ou de démocratisation.

Promouvoir la diversité est une mauvaise manière de gouverner une société, même celles qui ne sont pas menacées de déclin démographique.

  1. La source la plus profonde d’harmonie sociale

Pourquoi la diversité est-elle une source de disharmonie ? Et pourquoi la similarité est-elle une source d’harmonie ? Est-ce entièrement une question de culture, c’est-à-dire une langue commune et un système de valeurs commun ? Ou y a-t-il quelque chose de plus, quelque chose de plus profond ? Les Nationalistes Blancs disent que la source ultime d’harmonie politique n’est pas la culture. C’est la génétique.

L’idée nationaliste civique est essentiellement que nous pouvons créer une société harmonieuse unifiée à partir de groupes de gens radicalement différents si nous les assimilons dans une langue commune et un système de valeurs commun. Les nationalistes civiques s’accrochent à l’idée d’assimilation, parce que sans elle ils devraient briser le terrible tabou du « racisme ».

Bien sûr nous ne tentons même pas d’assimiler des immigrants aujourd’hui. Nous avons perdu la confiance en nous culturelle pour obliger les étrangers à adopter nos normes et notre mode de vie. En plus de cela, les immigrants tentent très agressivement de nous assimiler, morceau par morceau. En outre, tant que nous n’aurons pas regagné la confiance en nous pour tenter d’assimiler les étrangers, les assimilationnistes conservateurs devraient soutenir un arrêt total de l’immigration. Et nous devons demander : les conservateurs veulent-ils vraiment assimiler nos immigrants les plus récents ? Ces gens peuvent-ils vraiment améliorer l’Amérique ou tout autre pays blanc ?

Franchement, je suis heureux que l’assimilationnisme ait été abandonné quand nous avons ouvert nos frontières au Tiers Monde. Je ne veux pas du tout assimiler des non-Blancs, car plus ils sont assimilés, plus ils se marient souvent avec des Blancs et plus ils gagnent du pouvoir et de l’influence dans nos sociétés. Donc il vaut mieux que leurs communautés restent aussi séparées et aliénées que possible, plutôt que de se mêler au reste de la société. Cela leur rendra beaucoup plus facile de rentrer chez eux un jour.

Mais même si nous regagnions assez de confiance en nous culturelle pour demander l’assimilation, ce n’est pas une chose facile. La plupart des Américains aujourd’hui sont un mélange de souches européennes différentes. Certains pensent : « Eh bien, ce fut facile ». Mais ce ne le fut pas. Même la connaissance la plus superficielle de l’histoire américaine nous enseigne qu’il y eut des conflits énormes quand des groupes très similaires vinrent d’Europe pour s’installer aux Etats-Unis.

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Les gens des Iles Britanniques sont très similaires entre eux, génétiquement et culturellement. Ils parlent même une langue commune. Mais les Irlandais n’étaient pas les bienvenus en Amérique, principalement à cause d’une unique différence culturelle : le catholicisme. Mais c’était suffisant pour créer d’énormes conflits et beaucoup de mauvaise volonté.

Ces conflits furent exacerbés quand des groupes encore plus différents culturellement vinrent aux Etats-Unis, venant d’Europe du Sud et de l’Est. A cause de ces conflits, les Etats-Unis votèrent un acte de restriction de l’immigration en 1924, pas pour s’occuper de l’immigration non-blanche, qui était presque inexistante, mais de l’immigration blanche venant d’Europe.

Je suis heureux que l’Amérique ait traversé ces crises et ait réussi à fondre des groupes d’immigrants européens différents en un nouveau peuple : les Américains. Je suis absolument opposé à toute tentative, même sous l’apparence de l’humour, de rouvrir de vieux conflits ethniques en Amérique. Nous sommes tous des Américains maintenant, et la plupart du temps quand des Blancs affichent une identité américaine à trait d’union, c’est simplement une personne d’ascendance européenne mélangée prétendant être un Italien ou un Irlandais ou un Polonais à cause de son nom de famille.

L’assimilation eut aussi d’énormes coûts culturels. Par exemple, les Américains se souciaient énormément des différences entre protestantisme et catholicisme. Pour assimiler de grands nombres d’immigrants catholiques, les Américains finirent simplement par cesser de se soucier des différences religieuses. Nous cessâmes de nous soucier d’un grand nombre de différences historiques et culturelles entre les Européens, c’est seulement ainsi que nous pûmes cesser de nous battre pour celles-ci. L’assimilation culturelle, en bref, efface les différences culturelles. Cesser de nous soucier d’elles est une forme rampante de nihilisme qui nous a aliénés de nos ancêtres, qui nous regarderaient comme des héritiers indignes qui ont abandonné leur héritage culturel.

Donc il est absurde de dire : « C’est du gâteau d’assimiler tous ces groupes européens, donc jetons des Pakistanais et des Somalis dans le melting-pot ! ». C’était déjà difficile d’assimiler d’autres Européens. Donc pourquoi créer des problèmes en important des gens encore plus radicalement différents ? Il n’y a pas de bénéfice égoïste ou d’impératif moral qui nous oblige à transformer nos sociétés en champs de bataille une fois de plus. Spécialement parce que cette fois c’est une bataille que nous ne pouvons pas gagner, puisque des peuples radicalement étrangers ne pourraient pas être assimilés, même si nous le tentions.

Il fut possible d’assimiler d’autres Européens seulement parce qu’ils n’étaient pas si différents, pour commencer. Les Etats-Unis ne réussirent jamais à assimiler les Noirs, les Indiens américains, et les Asiatiques, dont la plupart sont simplement en Amérique, mais n’en font pas partie. L’assimilation blanche fut possible parce que, au-delà de toutes nos différences culturelles, nous sommes génétiquement très similaires.

Les Blancs sont en fait les plus génétiquement similaires de toutes les races, parce qu’il y a eu des moments dans notre histoire évolutionnaire où il y avait très peu d’entre nous, et nous avons tous une ascendance commune. Donc les différences génétiques entre l’Europe de l’Est et de l’Ouest et l’Europe du Nord et du Sud sont très petites, et cette similarité génétique fut suffisante pour combler de vastes gouffres et conflits culturels.

  1. La Théorie de la similarité génétique
  2.  
  3. Race,_Evolution,_and_Behavior,_first_edition.jpgPhilippe Rushton était un psychologue évolutionnaire qui est surtout connu pour son livre Race, Evolution, and Behavior [Race, évolution et comportement]. Il est moins connu pour ses recherches sur ce qu’il appelait la Théorie de la similarité génétique [5]. Quand Rushton me présenta cette idée, c’était dans le contexte d’une relation personnelle. Il dit : « Les contraires ne s’attirent pas, et je peux le prouver avec la science ». Mais il aurait tout aussi bien pu dire : « La diversité cause le conflit, et je peux le prouver avec la science ».

La Théorie de la similarité génétique montre que l’affection, l’harmonie et l’altruisme parmi les humains – et les êtres vivants en général – dépendent de la similarité génétique. Plus deux créatures sont génétiquement similaires, plus probablement elles auront des relations harmonieuses.

L’explication ultime pour cela est l’impératif biologique pour les gènes de se reproduire. On pourrait penser que cet impératif conduirait à un comportement impitoyablement égoïste et compétitif. Mais ce n’est pas le cas, parce que les gènes qui cherchent à se propager sont présents dans de multiples individus. On partage le plus de gènes avec la famille proche, de moins en moins de gènes avec des parents plus éloignés, et quelques gènes avec chacun dans son groupe ethnique et racial plus large.

Donc chaque individu aura une tendance à un comportement coopératif, harmonieux et même altruiste envers ceux qui partagent le plus de gènes avec lui. Les individus sont souvent capables de sacrifier leurs vies pour leurs familles et communautés si cela assure la plus grande propagation de leurs gènes parmi leurs semblables.

Mais l’autre face de l’amour de ses semblables est l’hostilité envers les étrangers. Ainsi les êtres humains et les autres animaux sont prêts à combattre les étrangers pour protéger les intérêts génétiques de leur famille, tribu, nation, et race. C’est le fondement de la politique, et de la politique par d’autres moyens, c’est-à-dire la guerre.

La science derrière la Théorie de la similarité génétique est très forte. Mais nous n’avons pas vraiment besoin des études de Rushton pour prouver cela, parce que nous connaissons tous un phénomène qui montre que la similarité génétique génère l’harmonie : les vrais jumeaux. Les vrais jumeaux ont exactement les mêmes gènes.

J’ai rencontré un jour une paire de vrais jumeaux, et l’un d’eux dit quelque chose de très touchant et mémorable. Ce devrait être le titre d’un livre sur les jumeaux. Il dit : « Nous sommes moins deux personnes qu’un seul œuf divisé ». C’était une indication du niveau d’harmonie entre eux. Simplement en les regardant discuter et interagir, on pouvait voir qu’ils savaient exactement ce que l’autre allait dire, ce que l’autre pensait ; ils pouvaient finir les phrases de l’autre. Et de fait, les études sur les vrais jumeaux, spécialement les jumeaux élevés séparément, démontrent à quel point le déterminisme génétique est vraiment massif et finement détaillé, par opposition aux facteurs environnementaux et culturels [6].

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La plus grande harmonie entre deux personnes est l’harmonie des vrais jumeaux. Ils connaissent les idées de l’autre d’une manière telle que même les faux jumeaux ou les frères et sœurs ordinaires ne la connaissent simplement pas. En fait, si vous vouliez créer la société la plus harmonieuse possible, ce serait une société de clones. Bien sûr vous auriez besoin d’un peu plus de diversité génétique si vous vouliez avoir une reproduction sexuelle, mais étonnamment peu. En Islande, on a découvert que les mariages les plus harmonieux et la plupart des enfants les plus équilibrés viennent de gens qui sont génétiquement aussi similaires que des cousins au troisième ou au quatrième degré [7].

La Théorie de la similarité génétique prédirait que les sociétés les plus heureuses dans le monde sont aussi les plus homogènes génétiquement. C’est certainement vrai dans le cas du Danemark, qui est souvent classé comme le pays le plus heureux dans le monde [8] et qui est aussi l’un des plus homogènes génétiquement [9]. La Théorie de la similarité génétique prédit aussi que plus une société augmentera sa diversité génétique, moins elle sera harmonieuse, unifiée, et heureuse. Même si une telle société réussissait d’une manière ou d’une autre à « assimiler » cette diversité croissante dans une langue et un système de valeurs communs, elle serait quand même moins harmonieuse et moins heureuse qu’une société génétiquement homogène. Une société peut accroître sa diversité génétique même en assimilant des gens de la même race, mais l’accroissement le plus spectaculaire de la diversité génétique vient des immigrants de races entièrement différentes. Une diversité raciale accrue rend une société plus faible et moins harmonieuse. La diversité n’est pas une force du tout.

NiceWhiteCountryCover.jpgLe Nationalisme Blanc est simplement l’idée d’une société où tout le monde autour de vous est votre parentèle. C’est une société où vous pouvez comprendre vos concitoyens et leur faire confiance. Où vous pouvez coopérer pour poursuivre le bien commun. Où vous aurez envie de participer à de grands projets, même si vous ne les verrez peut-être pas terminés de votre vivant. Où les gens plantent des arbres pour que les générations futures puissent avoir de l’ombre. C’est une société dans laquelle les gens ressentent une identité si forte avec l’organisme politique qu’ils sont prêts à sacrifier leur vie pour lui, s’ils le doivent. Mais le plus important, c’est une société dans laquelle vous pouvez vous sentir chez vous. C’est le but du Nationalisme Blanc : assurer des patries pour tous les peuples blancs.

Sans patries, les gens de notre peuple se sentent déracinés, détachés, et aliénés. Ils désirent être avec des gens de même culture, de même histoire, et de même destin. Mais il y a plus que cela. Ils désirent aussi être avec des gens qui vibrent sur les mêmes fréquences inconscientes profondes de la parenté raciale blanche qui nous réunit tous. C’est ce que le Nationalisme Blanc veut recréer pour notre peuple.

Nous sommes pour la fraternité et l’appartenance. La diversité nous les enlève. C’est ce qui ne va pas avec la diversité.

from_plato.jpgNotes

[1] https://www.army.mil/article/6405/gen_casey_announces _creation_of_diversity_task_force

[2] http://infoproc.blogspot.com/2005/08/lee-kuan-yew-interview.html

[3] Robert D. Putnam, “E Pluribus Unum: Diversity and Community in the Twenty-First Century,” Scandinavian Political Studies, 30 (2007), p. 153.

[4] Tatu Vanhanen, Ethnic Conflicts Explained by Ethnic Nepotism (Stamford, Conn.: JAI Press, 1999).

[5] J. P. Rushton, “Ethnic Nationalism, Evolutionary Psychology, and Genetic Similarity

Theory,” Nations and Nationalism 11 (2005): 489–507.

[6] Nancy Segal, Born Together―Reared Apart: The Landmark Minnesota Twin Study

(Cambridge: Harvard University Press, 2012).

[7] https://www.nature.com/news/2008/080207/full/news. 2008.562.html

[8] https://www.livescience.com/62150-why-denmark-is-happiest-country.html

[9] https://www.sciencedaily.com/releases/2016/10/161011131428.htm

541x840.jpgCe texte constitue le chapitre 10 de The White Nationalist Manifesto (Le Manifeste Nationaliste Blanc) de Greg Johnson, publié aux USA en 2018.

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