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mardi, 05 mars 2024

L’avortement gravé dans le marbre de la Constitution: Pulsion de mort ou suicide assisté de la France?

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L’avortement gravé dans le marbre de la Constitution:

Pulsion de mort ou suicide assisté de la France?

Pierre-Emile Blairon

Le 4 mars 2024, le Parlement a été convoqué par le président de la République en Congrès à Versailles (1) pour inscrire définitivement l'IVG dans la Constitution. Le texte a été adopté à 92 % des suffrages exprimés. 

La République de Macron

Il n’est pas besoin d’être catholique intégriste pour trouver singulière, voire suspecte, cette volonté de faire en sorte que l’avortement soit considéré comme une valeur suprême, comme l’un des piliers de la République de Macron (comme il y eut la République de Salo dont on n’aura finalement retenu que la fresque décadente peinte par Pasolini dans son film: Salo ou les 120 journées de Sodome) qui tient, semble-t-il, à poser cette mesure comme emblématique de son double quinquennat ; d’autres présidents avant lui avaient choisi de marquer leur passage, notamment par la construction de monuments qu’ils espéraient pérennes comme l’avait fait Pompidou avec son Centre d’art contemporain éponyme à Beaubourg, monstre urbain parcouru de fragments d’un pipe-line qui aurait explosé avant l’heure, ou Mitterrand avec sa pyramide composée officiellement de 673 panneaux de verre (et non 666 selon les thèses dites complotistes).

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En vérité, la plupart de ses prédécesseurs ne sont restés dans la mémoire du peuple que par les éléments de communication concoctés pour servir leur image ou par leurs incartades bien involontaires et souvent burlesques ; on se souviendra de Giscard et de son accordéon (mais aussi de l’affaire des diamants offerts par Bokassa), l’homme de la rue se souviendra de la gauloiserie de Chirac et de ses bouteilles de Corona, de Sarkozy avec son Kärcher, ses tics et ses TOCS (troubles obsessionnels compulsifs), de Hollande avec ses frasques amoureuses et son casque de scooter.

Nous savons maintenant à peu près comment fonctionne notre président actuel qui, lui, n’amuse personne – et surtout pas le peuple - et qui se révèle comme l’archétype du manipulateur pervers narcissique, comme l’étaient Caligula ou Néron, portrait peu flatteur, de surcroît entaché de sa totale dévotion à la secte psychopathe qui dirige le monde.

Pour en revenir à notre sujet, l’avortement, il est légitime de douter que Macron serait mû par une certaine considération pour la gent féminine qu’il rendrait ainsi « libre de disposer de son corps » comme bon lui semble, l’une des caractéristiques principales de ce type d’individu étant justement de n’avoir d’empathie pour personne d’autre que lui-même.

Origine

C’est sous Giscard d’Estaing qu’a été promulguée la loi sur l’avortement ; On se dit qu’il eût été préférable de relancer la natalité avec des mesures favorisant les familles plutôt que la mortalité ; mais, justement, Giscard l’a fait ! avec le regroupement familial ! hélas ! Cette mesure ne concernait pas les Français mais les travailleurs étrangers, en majorité Algériens qui, jusque là, venaient en France pour une période courte pour ramener le fruit de leur labeur chez eux ; ils se sont donc, par le truchement de ce décret [1], installés définitivement en France et, pour bon nombre d’entre eux, ils n’ont plus travaillé, vivant aux frais de la princesse, celle même qu’ils avaient chassée d’Algérie quelques années plus tôt, en 1962.

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Simone Veil, alors ministre de la Santé sous la présidence de Giscard d’Estaing, est chargée par ce dernier d’entamer un processus visant à dépénaliser l’IVG (interruption volontaire de grossesse), processus qui aboutira à la loi dite « loi Veil » du 17 janvier 1975. A l’origine, Simone Veil précise que « l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue ». Il ne s’agissait donc pas dans son esprit – semble-t-il - d’un droit fondamental et encore moins constitutionnel. Ce qui paraît une position de bon sens que le Président du Sénat, Gérard Larcher, a approuvé : « La Constitution n'est pas un catalogue de droits sociaux et sociétaux ».

Mais, dans ce monde sous l’emprise du mensonge, nous avons appris à nous méfier des déclarations qui semblent de bonne foi et qui ne servent qu’à endormir les facultés de raisonnement des populations.

Simone Veil parlait « d’exception » : selon les derniers chiffres officiels, 234.300 IVG ont été pratiquées en France en 2022 ; ce nombre moyen de 200.000 avortements/an est constant depuis de nombreuses années ; si l’on remonte à la date de la promulgation de la loi Veil, il reviendrait à estimer le nombre total d’avortements depuis 1975 à environ 10 millions de petits Français dont l’espérance de vie a été annihilée, alors que notre taux de natalité est en baisse constante. Posons-nous la question : cette loi de 1975, contemporaine du décret autorisant le regroupement familial des immigrés, était-elle destinée à préparer le grand remplacement, formule chère à Renaud Camus, ou n’est-ce qu’une malheureuse coïncidence? Car, nous allons le voir, les cas d’avortements justifiés par le fait que la santé de la mère ou de l’enfant sont en cause, ou bien que la mère aurait été victime d’un viol, sont infimes par rapport à ce nombre extravagant de plus de 200.000 avortements par an ; quoiqu’en disent la gauche et les association féministes, les avortements dits « de confort » représentent l’énorme majorité.

Quelle est l’utilité de vouloir pérenniser la loi sur l’avortement en la constitutionnalisant ?

On peut se poser la question en constatant, d’une part, le nombre considérable de ces avortements et, d’autre part, la faible opposition aux mesures existantes.

 - Les opposants à l’avortement, opposants pour des raisons d’ordre éthique ou religieux, mais qui disposent d’une capacité de jugement sensé et qui, heureusement, sont les plus nombreux dans cette catégorie, admettent le recours à l'avortement pour des motifs très particuliers pouvant grever le futur de la mère et/ou de l'enfant comme le produit d'un viol ou l'état vital du foetus.

Les conditions d’accès à une interruption médicale de grossesse (IMG) avaient été définies dans la « Loi Veil » ; et répondaient globalement à cette préoccupation.

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En revanche, pour l’Église catholique, il ne saurait y avoir de dérogation, l’avortement est un meurtre  « tout simplement inhumain » pour le pape François tel qu’il s’est exprimé le 10 octobre 2018 lors de son audience générale. Certains fanatiques appliquent à la lettre de telles déclarations comme l’archevêque brésilien Sobrinho (photo) qui, en mars 2009, avait frappé d'excommunication la mère d'une fillette de neuf ans ayant avorté après avoir été violée par son beau-père ; la même sentence avait été prononcée contre les médecins ayant pratiqué l'avortement. Sobrinho sera ensuite désavoué par ses pairs brésiliens.

- Pour revenir en France, sur le plan politique, on pouvait s’attendre à une opposition plus marquée de la part de la droite et de l’extrême-droite. Il n’en a rien été. Ces deux partis restent des « oppositions » contrôlées.

En ce qui concerne la « droite  institutionnelle » (LR), tout au moins l’embryon qui en subsiste, nous ne serons pas étonnés, constatant son rapide déclin, de la prise de position de son Président, Eric Ciotti, pourtant bien en-deça de ce que nous imaginions de la médiocrité de ce parti:  « Evitons à la sortie du débat de nous retrouver dans le camp des ringards anti-IVG ». Comme si ce sujet éminemment fondamental, qui requiert des engagements de nature hautement spirituelle, pouvait se trouver disqualifié par une telle désinvolture qui le placerait au rang d’une simple lubie de mode passagère.

Nous pouvions nous attendre qu’il en serait autrement du groupe RN que nous supposions attaché à des valeurs plus conservatrices et qui aurait pu émettre quelques objections naturellement issues d’une réflexion, même superficielle, telle que nous sommes en train de la développer. En fait, non ; les députés du RN, à quelques exceptions près, n’ont pas plus de hauteur de vue que les députés LR et, désormais, ils ont, de surcroît, une autre vision du monde totalement opposée aux valeurs traditionnelles.

Avec seulement 12 députés contre, et 14 abstentions, le RN poursuit allègrement sa marche vers l’intégration dans le magma mondialiste et le transhumanisme sous la houlette de son gourou, Laurent Alexandre[2]. Ce tournant radical n’a pas été perçu par les électeurs du RN, ni même peut-être, par bon nombre de ses députés. Imaginez que les uns et les autres ne voient dans le RN qu’une étoile qui continue à briller alors qu’elle est morte depuis des millénaires. Il est vraisemblable que Jordan Bardella soit le dernier Young Leader – au moins virtuel – sorti d’urgence, comme un lapin, du chapeau des magiciens de Davos; Gabriel Attal et Edouard Philippe qui avaient à l’origine été pressentis pour succéder à Macron, ne sont plus crédibles, même comme hommes de paille, par leur notoire incompétence ou par leur manque de charisme, alors que Bardella a des atouts plus puissants et plus séduisants, du fait de sa brillante personnalité et du fait qu’il a une bonne partie du peuple français derrière lui; il semble que la nouvelle tactique de la secte mondialiste consisterait à privilégier un rapprochement avec l’extrême-droite, notamment en Europe où elle a le vent en poupe. Georgia Meloni a inauguré avec succès cette nouvelle stratégie et l’on se souviendra du baiser public donné lors de la marche contre l’antisémitisme destinée à soutenir Israël, par le « crapaud » Meyer Habib, (qui aura bien du mal à se transformer en une belle princesse) au prince charmant Bardella.

Bertrand Mathieu écrivait le 31 janvier 2024, dans Le club des juristes, sous le titre  Inscription de l’IVG dans la Constitution: le fantasme d’un retour en arrière: « Inscrire dans la Constitution une liberté reconnue par le Conseil constitutionnel et attribuer au législateur une compétence qui lui appartient déjà relèvent d’une conception idéologique du texte fondamental. Comme l’a souligné à juste titre le président du Sénat, la Constitution ne peut être le réceptacle des questions sociétales. Tout débat, qui en l’espèce n’existe pas, portant sur telle ou telle question de société, devrait-il appeler une réponse constitutionnelle ? [...] Il n’appartient pas au constituant de transcrire dans le marbre de la Constitution toute jurisprudence constitutionnelle se bornant à tirer les conséquences de droits qui y sont déjà inscrits. »

Question importante si nous voulons comprendre les motivations profondes de Macron  qui feront que la France, par ce projet, serait le premier pays au monde à introduire dans sa Constitution la possibilité de recourir à l'avortement, à l’unique bon vouloir des femmes qui en feraient la demande. Bertrand Mathieu parle d’une « conception idéologique du texte fondamental ». Mais quelle conception et quelle idéologie ? C’est ce que nous allons voir

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Macron serait-il obnubilé par tout ce qui touche à Thanatos ?

Dans la mythologie grecque, Thanatos personnifie la mort ; pour le psychanalyste Freud, il est la représentation des pulsions de mort, opposé à Eros, qui représente les pulsions de vie.

Eros est un être androgyne, dont le sexe n’est pas clairement défini, qui pourrait aujourd’hui être apparenté à l’une des nombreuses classifications contenues dans l’acronyme LGBTQ +.

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Selon Jean-Pierre Vernant, éminent historien spécialiste de la mythologie grecque, il existe un autre Eros qui, lui, est sexué qui naît de la castration du sexe d’Ouranos, coupé par son fils Cronos. Cronos (chez les Romains, Saturne), est le roi des Titans, dont nous avons, dans notre article déjà cité[3], établi une filiation probable avec la secte mondialiste et les transhumanistes.

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Thanatos a un frère qui s’appelle Hypnos qui a le pouvoir d’endormir les hommes et les dieux ;  maître du sommeil des hommes, il est aussi maître du sommeil des dieux, incluant donc l’éternité, le sommeil éternel étant une métaphore de la mort, ce qui explique qu’Hypnos est le frère de Thanatos. Endormir les hommes, c’est le principe même de la propagande, désignée de nos jours par l’expression « ingénierie sociale » ; quant à endormir les dieux, les globalistes y songent mais l’entreprise se révèlera plus difficile...

On comprend mieux pourquoi Freud s’est emparé de ces personnages mythologiques et pourquoi nous supposons que Macron, personnalité fort confuse et complexe, pourrait s’intéresser à ces diverses représentations.

Donc, pour répondre à la question : quelle est la motivation profonde pour laquelle Macron veut absolument inscrire l’avortement comme une valeur pérenne de la France ? Eh bien, pour lui, il s’agit de faire en sorte que, après son passage au pouvoir, ses successeurs aient les plus grandes difficultés à détricoter ce qu’il a mis en place privilégiant dans sa démarche un système de cliquet qui fera qu’on ne pourra pas, ou bien difficilement, revenir en arrière ; c’est, à un autre niveau, le sien, qui est quand même celui de Président de la république d’un pays qui fut autrefois le phare du monde, la même démarche qui consiste pour les globalistes satanistes à tenter d’arrêter le cours de l’histoire cosmique en faveur de leur seul intérêt[4].

Panthéonisation

Dans cette obsession de Macron pour ce qui touche au domaine de la mort, nous ne devons pas oublier sa « panthéonite » qui consiste à graver dans le marbre non plus de la Constitution mais du Panthéon (on se rapproche plus concrètement de l’Hadès) le nom de certains personnages qui ont contribué, par diverses actions, à la disparition en cours de notre pays. Effectivement, avant d’intervenir pour assister la France dans son grand suicide, il fallait l’inciter à y songer par de multiples biais et grâce à la complicité de ces personnalités que Macron a récompensées – ou récompensera – post-mortem en inscrivant leurs noms pour « l’éternité » dans le marbre de leur tombeau au Panthéon.

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En premier lieu se trouve, évidemment, Simone Veil, qui est à l’origine de la dépénalisation de l’avortement, ce qui revient à dire qu’il s’agit là de la disparition, dans l’œuf, de millions de vies françaises, sur la demande, ne l’oublions pas, de Giscard d’Estaing. Simone Veil n’avait pas prévu ni voulu, comme nous l’avons souligné plus haut, que les fragiles barrières, qu’elle avait instaurées pour que le recours à l’avortement reste limité aux cas les plus dramatiques, cèdent et que l’IVG se généralise et soit accessible à toutes les demandes faites par les femmes, pour des raisons économiques ou sociales, voire esthétiques dans les cas les plus extrêmes mais, plus généralement, pour des raisons dites « de confort ».

La dépénalisation de l’avortement était-elle une raison suffisante pour accueillir sa dépouille ainsi que celle de son mari au Panthéon, compte tenu du revers de la médaille que comportait inévitablement son action, à savoir les pertes en vies humaines  ?

Elle était Ministre de la Santé sous le gouvernement de Jacques Chirac lorsqu’elle a fait promulguer la loi qui porte son nom ; n’est-ce pas problématique en regard du serment d’Hippocrate ?

Pour l’anecdote, est-ce pour lui rendre hommage que Macron nommera en 2017 celle qui fut la belle-fille de Simone Veil, Agnès Buzyn, à ce même poste de Ministre de la Santé où elle se distinguera en portant de trois à onze le nombre de vaccins obligatoires pour les enfants et, entre autres affaires scabreuses, en faisant classer l’hydroxychloroquine sur la liste des "substances vénéneuses » le 13 janvier 2020, avant même le début de la pseudo-pandémie, ce qui a fait mourir, sans soin, des milliers de malades.

Enfin, toujours dans le cadre de cette panthéonite, un projet que Macron aura à cœur de mener à son terme : l’accueil au Panthéon du corps de Robert Badinter, cet avocat qui, Ministre de la Justice sous François Mitterrand, est l’auteur d’une loi abolissant la peine de mort promulguée le 9 octobre 1981.

J’entends certains me dire : mais voilà justement qui va à l’encontre de votre thèse funèbre, puisque cette loi est justement contre la peine de mort. En réalité, pas vraiment, elle est contre la peine de mort pour les assassins, qui sont beaucoup moins nombreux que ceux qu’ils ont assassinés. La peine de mort ayant été instaurée par exemplarité tout au long des siècles passés, et la prison à vie n’ayant jamais été réellement appliquée en France pour la remplacer, les assassins et meurtriers continueront à infliger cette peine de mort à leurs victimes innocentes en nombre toujours plus croissant. Il y a donc là, de surcroît, une ignominie morale favorisant le malfrat par rapport à la victime, ce qui semble être actuellement la doctrine de la Justice française appliquée à toutes sortes de délits.

Pour finir, qui se préoccupe du sort post mortem de ces petits êtres qui ne demandaient qu’à naître ? Vous pensez peut-être que les dix millions de fœtus avortés en France ont été tout simplement jetés et incinérés en « déchets hospitaliers » ? Ce que nous connaissons de cette société marchande dans laquelle nous vivons et qui transforme tout en espèces sonores et trébuchantes nous laisse à penser que ce n’est probablement pas le cas ; et c’est peut-être là la vraie raison de cet acharnement anti-vie.

Pierre-Emile Blairon

Notes:

[1]. décret du 29 avril 1976, signé par le premier ministre du président Giscard d’Estaing, Jacques Chirac.

[2] Voir mon article : Traditionalistes contre globalistes : le grand chambardement planétaire du 25 février 2024 sur ce même site.

[3]. Op.cit.

[4]. Op.cit.

Commentaires

Très bon rappel concernant Giscard, typique âne politicien christianoïde, pro-américain, affilié à l'axe anglo-islamique et oeuvrant d'arrache-pied à détruire l'Europe, tout en se disant fermement européiste.
L'immigration, c'est la droite française qui l'a organisée.

Écrit par : Oscar | mardi, 05 mars 2024

Avorter n'est jamais anodin et beaucoup de femmes qui recourent à l'avortement en seront traumatisées à vie, et seront hantées par le fantôme du petit être qu'on n'a pas laissé vivre. L'avortement dans la Constitution est donc un acte malveillant envers les femmes qui tente de pérenniser leur malheur, leur traumatisme et leur regret.

Inscrire l'avortement dans la Constitution (où il n'a rien à faire) c'est manipuler les institutions et les symboles, l'auteur parle de "confusion".

A part leur conformisme et leur prudence, les élus ont renoncé à s'opposer à cette manipulation perverse de nos institutions, parce qu'ils n'ont pas trouvé les mots pour défendre un autre point de vue. Manque d'éloquence et d'énergie, de volonté.

Merci à l'auteur de l'article !

Écrit par : Laetizia | mercredi, 06 mars 2024

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