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lundi, 06 juin 2016

Les Brigandes récidivent avec un nouveau CD

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Après le succès de leur premier album, Les Brigandes récidivent avec un nouveau CD intitulé "France notre Terre"...

Thierry Bouzard

EuroLibertés cliquez ici

Les Brigandes sortent leur 2e CD avec 14 nouvelles chansons, toujours aussi fortes, mais avec une évolution dans leur thématique. Deux CDs en huit mois, c’est quasiment un exploit. Une partie des chansons est déjà en ligne et si certaines, au lieu de chorégraphie n’ont droit qu’à une simple animation, elles ont toutes des vidéos.

Avec humour et sourire, elles s’en prennent à une génération qui « a fait le vide » avec Les Soixante-huitards, un des titres qui n’a pas encore été mis en ligne : « Ô vous les soixante-huitards/ Je vous vois dans vos beaux costards/ Qui parlez maintenant/ Au nom du gouvernement. »

Jakadi des millions est aussi une découverte. Elle chante l’hypocrisie des vedettes du show-biz qui font la leçon, mais ne veulent surtout pas donner l’exemple. L’inventaire est large et tous en prennent pour leur grade « On en veut des millions, Jakadi des millions/ Mais pas dans ma maison. »

Les Brigandes en veulent aux fossoyeurs, aux révolutionnaires et aux transhumanitaires de tous poils, elles les veulent En Enfer, « les jacobins génocidaires, les bétonneurs de l’équerre, les maîtres des secrets bancaires… en enfer ». Tout cela dit avec gentillesse, accompagné au piano, à la guitare et à la clarinette, les Brigandes sont aussi des musiciennes.

Pas vraiment optimiste mais lucide, leurs jolies voix décrivent le temps de l’Antéchrist : « Si on désire un monde meilleur/ Il faut s’attendre à des malheurs/ Une aggravation de la laideur/ De nos vies. » Nul besoin d’être prophète pour s’en rendre compte, mais trop nombreux sont encore ceux qui ne veulent pas l’envisager.

Elles dézinguent les médias avec Cerveau lavé : « Un journaliste qui prend sa plume, pour écrire/ Se demande avec amertume, comment mentir ». Dommage qu’elles s’en prennent à l’Inquisition, la sainte Inquisition devrait-on dire puisque c’est une œuvre d’Église et qu’elle a introduit la procédure contradictoire dans les procès, ce qui a constitué un progrès avec une réelle prise en compte des droits de la défense. Quand désinformé rime avec télé, ce qui n’est pas assez répété, on ne peut que les approuver.

La Nuit où ils ont serré Jack, fait un rapprochement entre un célèbre assassin londonien du XIXe siècle et les figures médiatiques actuelles. Son sort pourrait être celui qui serait réservé à tous les « juges compromis… psys chabraques… journalistes… flics et complices » qui couvrent les infâmes.

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Francis Cabrel serait-il une référence pour les Brigandes ? Pour la musique et le style peut-être, pas pour ses engagements, c’est sûr. Si Une Chanson pour Cabrel est quand même lucide « Mais quand on trime dans le mainstream/ Y’a pas d’erreur, on s’abîme/ Et Francis, n’y échappe pas », elle n’exclut pas une certaine reconnaissance.

L’évolution de leur nouvel album vient dans la place faite aux titres dont le thème se retrouvait précédemment dans Jeanne et France notre terre. C’est-à-dire des titres qui ne se contentent pas de s’en prendre à l’adversaire, mais fournissent des motifs d’espoir ou des modèles positifs comme dans Le Retour des héros qui évoque les figures de Charlotte Corday, Alexandre, Patton et Rommel.

Rêve de reconquête est celui de la reprise d’Algéziras (pour Alger ?) par des hommes venus du Nord : « Nous reviendrons du Nord sauvage/ Comme les loups pour un carnage/ Sonnez trompettes de la reconquête. »

Dans le style musical et poétique des ballades du temps jadis, le Rondeau de France évoque les couleurs de l’ancienne France, quand les chevaliers lançaient Montjoie-Saint-Denis en montant à l’assaut. On en aurait bien besoin. « Quand je vois flotter le drapeau de la France/ Dans l’or et l’azur mon cœur revit/ Par les temps de peine renaît l’espérance. »

Plus ancienne car elle remonte à octobre 2015 et avait été chantée lors du concert de Rungis, France notre terre est un plaidoyer pour l’amour de notre terre ancestrale, « France, notre mère/ On ne peut te laisser humiliée et vaincue. »

On est pas mécontentes d’être des Brigandes fait partie des nouveaux titres. À travers un inventaire de chansons traditionnelles françaises (la Bourgogne, la Paimpolaise, le P’tit Quinquin…), c’est une revendication à s’inscrire dans la continuité des chansonniers populaires anonymes ou célèbres et exprimer la joie de chanter. C’est aussi un appel pour éviter que les anciens répertoires soient remplacés par d’autres venus d’ailleurs : « Ils sont descendus du Nord y’a plus de mille ans/ Pour nous crier haut et fort : « Debout là-dedans ! »/ Ma parole, est-ce qu’ils sont morts, que font les Normands ? »

Seigneur, je ne veux pas devenir Charlie est un appel à se lever pour ne pas sombrer avec ceux qui sont dans le déni de réalité. « Demain l’âme qui vient au monde cherchera cet endroit béni/ Hors des cités nauséabondes où vit la race de Charlie. »

Jèze Society est la réponse des Brigandes aux attaques que le groupe a eues à subir récemment. On peut discuter certaines options des Brigandes, leur fixation sur les jésuites, leurs références au symbolisme ou à l’eschatologie, mais en cela elles sont bien de leur époque, celle du complot, des illuminatis ou du secret des francs-maçons. Et leurs chansons ne font que suivre l’évolution de nos sociétés, d’un certain point de vue de la dissidence. Quoi qu’il en soit de leurs options personnelles, elles savent faire passer avec douceur et poésie des paroles de combat et d’espoir. C’est un beau projet comme il n’y en a pas eu depuis bien longtemps dans la chanson qui défend notre identité.

CD est à 20€ + 3€ de frais de port = 23 €.

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00:05 Publié dans Musique, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : brigandes, france, chansons, satire, humour | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

mardi, 12 avril 2016

Ankara exige des poursuites pénales contre le comédien allemand pour ses propos sur Erdogan

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Ankara exige des poursuites pénales contre le comédien allemand pour ses propos sur Erdogan

Ex: http://www.lesobservateurs.ch
 

Jan-Böhmermann-Alles-alles-über-Deutschland.jpgLe satiriste allemand Jan Böhmermann (photos) avait, lors d’une émission diffusée par la chaîne publique ZDF-neo, traité le président turc de pédophile et de zoophile. Ankara exige à présent que des poursuites pénales soient engagées contre le comédien.

Le gouvernement turc a réclamé au ministre allemand des Affaires étrangères d’ouvrir des poursuites pénales suite à la diffusion, fin mars, de l’émission télévisée dans laquelle Jan Böhmermann avait lu un poème sur le président turc, Recep Tayyip Erdogan.

Selon le ministère allemand des Affaires étrangères, l’Allemagne envisage d’étudier méticuleusement le contenu des revendications demandées par la Turquie afin de déterminer un plan d’action approprié.

Le parquet allemand avait déjà ouvert une enquête préliminaire à l’encontre du comédien après qu’une vingtaine de plaintes ont été déposées, et, que le porte-parole de la chancelière allemande, Angela Merkel, a qualifié les propos du comédien de «sciemment insultants».

Source : RT

vendredi, 08 avril 2016

J'avance ou je recule?

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vendredi, 27 novembre 2015

ISIS Terrorismus: Political satire by Max Uthoff and Claus von Wagner

Die Anstalt: ISIS terrorism documentary doku 2015 terrorist

English subtitles ENG SUB

Political satire by Max Uthoff and Claus von Wagner

Topic: ISIS and terrorism in general and how it all began - An entertaining summary with real facts.
Chronological topics for reserach:
Mohammad Mosaddegh
1953 Iranian coup d'état
Mohammad Reza Shah Pahlavi
1979 Iranian Revolution
Ayatollah Ruhollah Khomeini
Saddam Hussain
1979 Soviet war in Afghanistan
Osama Bin Laden
1990 Invasion of Kuwait
Nayirah (testimony)
Nayirah al-sabah
Hill & Knowlton
Citizens for a Free Kuwait
1990 Holy Ground: Mecca and Medina
Al-Qaeda
Osama bin Laden
2013 IS – Islamic State
ISIS - Islamic State of Iraq and Syria
ISIL - Islamic State of Iraq and the Levant

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samedi, 14 novembre 2015

Is Charlie Hebdo a Western Hate-Machine?

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Is Charlie Hebdo a Western Hate-Machine?

By Ahmed RAJEEV (Bangladesh)

Ex: http://orientalreview.org

On Thursday French satirical weekly magazine Charlie Hebdo published another insulting cartoon on the tragic incident of Russian plane crash in Sinai, Egypt. Charlie Hebdo ridiculed the plane crash by two cartoons. The first cartoon shows parts of the aircraft and a passenger falling toward the ground, while an Islamic State militant, armed with a gun, ducks for cover to avoid the falling debris. Underneath the caricature is the caption: “Daesh: Russia’s aviation intensifies its bombardments.” And the second cartoon showed a skull and a destroyed plane on the ground, with the caption: “The dangers of low-cost Russia. I should have taken Air Cocaine.””

From the very beginning, Charlie Hebdo has been intentionally injecting inhumane hatred in traditional societies worldwide. It published cartoons of Prophet Mohammad (PUBH) who has a follower of more than 1.5 billion, to pump up religious hatred worldwide.  It published a cartoon after the discovery of plane wreckage confirmed to belong to missing Malaysian Airline flight MH370. The cover of the edition showed a pair of hands groping what appeared to be at first glance coconuts, but was actually a pair of breasts. And the caption says, “We’ve found a bit of the pilot and the air hostess,” as two onlookers celebrate in the background.  Another publication mocked the drowning of Syrian toddler Aylan Kurdi who died during a perilous journey across the Mediterranean to try and reach Europe along with his family. The poster showed Jesus walking on water with the dead Muslim boy next to him. And the caption said, “Welcome migrants, you are so close to the goal.” There was another cartoon with captioned “Christians walk on water… Muslims kids sink,” They kept their unacceptable offensive satirical reporting despite the global wave of empathy after their office suffered a deadly terrorist attack in January 2015.

Charlie Hebdo never criticizes liberalism or liberal ideologies. It works irresponsibly as a fascist’s tool for the liberals. It attacks recklessly any kind of anti-liberal, anti-western establishments. On the other hand, on the disguise of liberalism or freedom or freedom of expression they are being used as a tool of social-psycho oppression for the West. The Western geopolitical aims to destroy the organic social harmony and install puppet governments in resilient states, are very aligned to the Charlie Hebdo’s editorial policy. So Charlie Hebdo is a direct threat to traditional cultures and lifestyles. It is a hate-machine! It is a Western tool to promote psychopathic hatred among different racial and cultural groups in the name of “freedom of expression” to serve geopolitical purposes of their masters.

Ahmed Rajeev is the Executive Editor of Bangla Hunters News web-site.

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vendredi, 27 février 2015

Unelected, Unwanted, Eurocrats

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dimanche, 28 septembre 2014

Hilarious German Satire of Anti-Russian Propaganda

Hilarious German Satire of Anti-Russian Propaganda

While the German media has been at least as propagandistic as the US/UK media in its resurrection of wild, Cold War-style rhetoric over the Ukraine situation, cracks are beginning to appear. Satire, humor, and ridicule have always been among the best forms of social critique, and the below clip lampooning the information war over Ukraine is among the very best. When people laugh at government propaganda, truth begins to break through. It was true with the Soviet Union and it is true today in the west.  Watch and enjoy — turn subtitles on at the “cc” button on bottom frame:

dimanche, 18 août 2013

Porträt A. Paul Weber

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Porträt A. Paul Weber

von Christoph George

Ex: http://www.blauenarzisse.de

 

Die Graphiken A. Paul Webers (18931980) gehören zu den bekanntesten künstlerischen Äußerungen der deutschen Rechten. An Aktualität haben sie bis heute nichts eingebüßt.

Der aus dem thüringischen Arnstadt stammende Heinrich Andreas Paul Weber, so sein bürgerlicher Name, schuf während seiner Schaffenszeit über 5000 Graphiken. Von 1908 bis 1914 war er Mitglied im Jung-​Wandervogel. Seine hier geweckte Liebe zu Nation und Natur spiegelten sich in vielen seiner späteren Werke. Erfahrungen konnte er bereits als Gebrauchsgraphiker sammeln, bis er 1916 erste Karikaturen und Zeichnungen für die Zeitschrift der 10. Armee entwarf.

Weber beschäftigte sich mit den unterschiedlichsten Themen. Zeichnungen wie Der Denunziant, Wir sind überm Berg! oder Das Gerücht, haben über die Jahrzehnte längst Kultstatus erreicht. Sie dürften mittlerweile bekannter sein als ihr Schöpfer. Die übrigen Zeichnungen werden gern vergessen ‒ lohnen sich jedoch unzweifelhaft für eine nähere Betrachtung.

Die NS-​Bewegung als reaktionäre Nebelkerze

apw2.jpgZusammen mit Ernst Niekisch und dessen Widerstands-​Verlag brachte Weber 1932 die Schrift Hitler – Ein deutsches Verhängnis heraus, der er fünf Federzeichnungen beifügte. Eine der erschütterndsten Darstellungen trägt den Titel Der Sumpf. Unter düsterem Himmel ist ein schier endlos erscheinendes Feld zu sehen, welches gespickt mit zerfetzten Fahnen und einer Standarte ist. Aus Gräbern gestreckt, bieten sich unzählige Arme zum Hitlergruß dar. Obwohl hier vor allem das Versinken der NS-​Bewegung im bürgerlichen Sumpf angeprangert werden sollte, schwingt im Bilde doch eine dunkle Vorahnung mit. Das lag auch in der Intention des Künstlers.

Die Reihe dieser gegen Hitler gerichteten Bilder ist aus der nationalrevolutionären Richtung heraus zu verstehen, wie sie damals insbesondere Ernst Niekisch vertrat. Nach Niekischs Theorie mußte die drohende Hitlerherrschaft in einer erneuten totalen Niederlage Deutschlands gipfeln. Er sah in Hitler nur einen Vertreter der für ihn überholten wilhelminischen Epoche. Niekisch jedoch war der Ansicht, Deutschland bedürfe eines revolutionären Staatsmannes. Der uniformierte Kleinbürger in Gestalt Hitlers aber verzichte zugunsten eines bürgerlichen Lebensstils auf die Strenge der eigentlichen Herausforderung der Zeit. Unter dieser Prämisse bleibt auch das bekannteste Bild aus dieser Reihe, Deutsches Verhängnis, zu verstehen, welches später auch in Schulbüchern abgedruckt wurde.

Zeichnungen für die Kriegspropaganda

Nach der Inhaftierung Niekischs 1937 wegen angeblichen Hochverrats wurde auch Weber für einige Monate verhaftet. Gegen Kaution kam er nach circa einem halben Jahr wieder frei. Trotz grundsätzlich distanzierter Haltung zum NS-​Regime und seinen Zeichnungen für den Widerstands-​Verlag arbeitete Weber während des Zweiten Weltkrieges auch für die deutsche Kriegspropaganda. Nach eigenen Angaben hätte er jedoch nichts gezeichnet, womit er ohne Goebbels Auftrag nicht einverstanden gewesen wäre. Bemerkenswert bleiben aus dieser Periode vor allem die antibritischen Zeichnungen, insbesondere die Bilder Der Plumpudding und Westminster. Aus ihnen spricht eine deutsche Sicht auf den westlich-​liberalen Kapitalismus und dessen vermeintliche Segnungen.

Selten jedoch schockieren Webers Bilder derart wie in Der Sumpf. Ein typisches Bild Webers ist geprägt durch weiche Formen, üppige Rundungen und irrwitzige Gestalten. Sie lassen in das Thema, und sei es noch so ernst, eine deutliche Spur Gelassenheit einfließen. Gerade das dargestellte Böse erscheint bei Weber aber nicht weniger bedrohlich als etwa bei dessen Künstlerkollegen Alfred Kubin, dessen Bilder zumeist auf den ersten Blick schon schockierend auf den Betrachter wirken.

Aber Weber erzeugt gerade dadurch, daß er den eigentlichen Schrecken auf eine tiefere Ebene in seinen Bildern verlagert, einen Sinn für eben jene Banalität menschlicher Unzulänglichkeiten. Der Schrecken vermittelt sich dem Betrachter nicht sofort, sondern erst durch die nähere Beschäftigung. Die Möglichkeit der Bewahrung menschlicher Größe bleibt so gewahrt, während Kubin vor allem ein Gefühl der Hilflosigkeit erzeugt.

Durch gegenständliche Kunst zu höheren Wahrheiten

Es gilt hier, was Martin Heidegger über das Kunstwerk am Beispiel des Schuh-​Gemäldes van Goghs sagte. Durch deren Darstellung erfahren wir weniger, was es mit jenen konkret gemalten Schuhen auf sich hat. Vielmehr bekommen wir durch ihre Darstellung eine Idee der Schuhe an sich vermittelt: Sie werden durch das Kunstwerk aus der Zeit heraus genommen und verkünden so eine höhere Wahrheit. Das zeigt sich ebenso an Webers Lithographie Rückgrat raus!

Ein weiteres Bild Webers ziert das soeben neu erschienene Buch Manfred Kleine-​Hartlages: Der Schlag ins Leere von 1951. Zu sehen ist darauf der deutsche Michel mit Schlafmütze und Nachthemd. An einem Baum stehend, einer Hinrichtungsszene gleich, scheint er Suizid zu begehen. Er hält sich einen Zimmermannsnagel an den Kopf und will mit dem Hammer darauf schlagen. Der apathische Blick erinnert dabei an einen Zustand der Trance, wie er im Zusammenhang mit einer absurden Tat unter Hypnose denkbar wäre.

Tod oder Kopfschmerz

Das Bild passt ohne Frage auch in unsere zeitlichen Umstände. Es erfüllt seine Aufgabe, indem es die erkannte Tendenz auf die Spitze treibt und künstlerisch wiedergibt. Die Situation aus dem Bild heraus zu Ende denkend, eröffnen sich dem Betrachter dabei zwei Konsequenzen des anstehenden Schlages: Bei der einen reicht die selbstdestruktive Kraft aus, um den Nagel bis in den Baumstamm hinein zu treiben. Andernfalls wacht Michel unter gehörigem Kopfschmerz durch den zu laschen Schlag auf. Nach überwundener Verwirrung findet er zurück zur Besinnung. Webers Zeichnungen bieten uns stets ein Stückchen Hoffnung vor der drohenden Katastrophe.

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Buchempfehlung: Helmut Schumacher/​Klaus J. Dorsch: A. Paul Weber – Leben und Werk in Texten und Bildern. Verlag E. S. Mittler & Sohn 2003. 352 Seiten. 356 s/​w– und 17 Farbabbildungen. Antiquarisch ab 18 Euro erhältlich.

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mardi, 30 août 2011

Hommage à Paul Jamin (1911-1995)

Picard/’t Pallieterke:

Hommage à Paul Jamin (1911-1995)

 

A l’occasion du centenaire de sa naissance

 

dupont.jpgL’un des derniers numéros du journal satirique bruxellois “Père Ubu/Pan” (11 août 2011) comprenait un encart fort intéressant: quatre pages consacrées à Paul Jamin (1911-1995), qui fut, pendant de longues décennies, le principal caricaturiste de “Pan” d’abord, de “Père Ubu” ensuite. Aujourd’hui les deux feuilles ont fusionné pour devenir “Ubu/Pan”, le seul hebdomadaire satirique de droite en Belgique francophone (et les critiques acerbes de cette feuille disent qu’elle est “islamophobe”). Paul Jamin a été indubitablement l’un des meilleurs caricaturiste dans la Belgique d’après guerre.

 

C’est parce qu’on célèbre le centième anniversaire de sa naissance qu’“Ubu/Pan” a voulu attirer l’attention de ses lecteurs. Jamin était natif de Liège. Sa biographie peut se lire en parallèle avec la période la plus effervescente de l’histoire au 20ème siècle. Jamin et sa famille émigrèrent assez tôt à Bruxelles. Au départ, il ne semblait pas prédestiné au dessin. A l’école, les résultats qu’il obtenait dans cette branche étaient au mieux “bons”. Jamin avait toutefois des talents cachés. Il avait à peine dix-sept ans quand il fut impliqué dans le lancement du supplément-jeunesse du quotidien catholique de droite “Le Vingtième Siècle”. Pour ceux qui connaissent bien l’univers de la bande dessinée, ce supplément-jeunesse, baptisé “Le Petit Vingtième”, est une référence. Car c’est dans cet encart que furent publiées les premières aventures de Tintin. Jamin et Georges Remi (alias “Hergé”) étaient tous deux des protégés du charismatique Abbé Norbert Wallez, patron du “Vingtième Siècle”. Le journal étaient d’obédience conservatrice et autoritariste, résolument catholique, et cultivait une sympathie certaine pour le régime de Benito Mussolini en Italie.

 

On ne doit pas sous-estimer l’influence de Paul Jamin sur “Le Petit Vingtième”. Trop d’analystes de cette époque font l’équation entre cet encart destiné à la jeunesse et Hergé mais il ne faut pas oublier que ce fut Jamin qui patronna la naissance de Quick et Flupke et fut l’inspirateur de leurs innombrables gags. Il y a plus à dire encore à ce propos: au moins un biographe d’Hergé signale, en conclusion, que c’est grâce à Jamin que des personnages comme les Dupont/Dupond n’ont pas disparu des aventures de Tintin. Hergé voulait les supprimer mais Jamin a pu le convaincre de ne pas le faire.

 

Bon élève de l’Abbé Wallez, Jamin n’était pas insensible au charme des idées d’Ordre Nouveau. On ne s’étonnera pas, dès lors, qu’en 1936, il ait abandonné “Le Petit Vingtième” pour rejoindre “Le Pays Réel”, le journal de combat de Rex et de son leader flamboyant, Léon Degrelle. Jamin et Degrelle sont alors devenus amis pour la vie. Jamin publia dans “Le Pays Réel” quantité de caricatures sous le pseudonyme de “Jam”. N’oublions pas que Rex, à ce moment-là, était un jeune mouvement politique encore très proche de l’aile droite du “pilier catholique” et de l’Action catholique. Ce n’est que lorsque le Cardinal Van Roey estima que c’était péché de voter pour les listes de Rex que le mouvement bascula dans la marginalité (“Il essaie de me crosser” disait Degrelle).

 

Mais Jamin est toujours resté fidèle à Degrelle. Y compris lorsque ce dernier s’est rapproché de l’occupant allemand pendant la seconde guerre mondiale. Jamin appartenait aux cercles d’Ordre Nouveau qui demeuraient “belgicains”. Dans le petit univers médiatique francophone de Belgique, ces groupes de la collaboration belgicaine ont été délibérément effacés des mémoires. Jamin, qui en faisait partie, estimait, tout comme le Roi Léopold III et son entourage d’ailleurs, que le salut pouvait venir d’une nouvelle Europe sous domination allemande. Aux yeux de Jamin, il fallait essayer de tirer le meilleur profit de cette situation. “Jam” ne se contenta pas dès lors du seul “Pays réel” mais dessina aussi ses caricatures mordantes pour “Le Soir” (alors sous contrôle allemand), pour “Le Nouveau Journal” (de Robert Poulet) et pour le “Brüsseler Zeitung”. On n’insistera jamais assez sur le fait que les collaborateurs du “Nouveau Journal” de Poulet étaient convaincus qu’ils plaidaient pour une “politique d’accomodement” avec les nationaux-socialistes, avec l’approbation du Palais de Laeken.

 

Après l’entrée des troups anglaises dans Bruxelles en septembre 1944, on n’a tenu compte d’aucune de ces nuances: Jamin fut arrêté et condamné à mort. Il échappa au peloton d’exécution mais ne fut libéré qu’en 1952. Il reprit une carrière de caricaturiste sous le pseudo d’”Alidor” dans les colonnes du journal satirique “Pan”. Tout comme dans “’t Pallieterke”, le journal satirique anversois, les figures politiques qu’étaient Achiel Van Acker, Paul-Henri Spaak, Théo Lefebvre et Gaston Eyskens constituaient les principales têtes de Turc. “Alidor” commit aussi des dessins pour le “Standaard”, “De Vlaamse Linie” et “Trends”. On ne peut affirmer avec certitude s’il a été engagé dans ces deux dernières publications par le Sénateur Lode Claes (Volksunie) qui avait son mot à dire dans chacune d’elles.

 

On remarquera que Jamin ornait toujours sa signature “Alidor” d’une petite couronne. C’est une allusion à Léopold III, prétend aujourd’hui “Ubu/Pan”. Alidor était un léopoldiste convaincu mais après la guerre et la question royale, il ressentait une réelle frustration: Léopold III, à ses yeux, avait laissé froidement tomber les hommes qui l’avaient soutenu.

 

Jamin n’a jamais pris ses distances par rapport à Léon Degrelle. Il allait régulièrement lui rendre visite dans son exil espagnol. Il faut encore mentionner que Jamin a quitté “Pan” en 1990 parce qu’il n’était pas d’accord avec le nouveau propriétaire de la feuille, Stéphane Jourdain. Au cours des dernières années de sa vie, Jamin a donc dessiné pour “Père Ubu”, un journal qu’il a fondé avec son ami Henri Vellut (qui, pendant la campagne des Dix-Huit Jours, en mai 1940, avait perdu un oeil). En 2010, quinze ans après sa mort, “Pan” et “Père Ubu” ont fusionné.

 

PICARD/ ’t Pallieterke.

(texte paru dans ’t Pallieterke, Anvers, 24 août 2011).

 

 

mercredi, 27 octobre 2010

Humor as a Weapon

Humor as a Weapon

Andreas FAUST

Ex: http://www.counter-currents.com/

secret_weapon.jpgThis article has been researched and compiled for the purposes of educating New Right and N-A activists in the use of humor as a political weapon. There is a paranoid feeling amongst many on the New Right that the mass media is our greatest enemy. Not so. This article looks at the ways in which activists can use and manipulate the media, rather than the other way around.

As an example: mention the 1932 opening of the Sydney Harbour Bridge to any older Australian, and the first image that will spring to their mind is a man on horseback, galloping forward to slash the ribbon with his sword, before the ‘official’ representative could get to it. The swordsman was a member of a political group called the New Guard. And while this stunt was not especially humorous, it was certainly eye-catching – it remains in the mass mind to this day. In that same city in 2007, the crew of television show The Chaser made world headlines when they infiltrated the APEC forum (one of them dressed as Osama bin Laden), making a complete mockery of the forum’s expensive security measures.

In general, the media doesn’t give coverage to alternative politics (the recent 9/11 Truth Forum in Sydney was completely ignored, even though one of the speakers was a prominent Japanese MP). But ‘fringe’ views can get past the editors if they are presented by means of some humorous prank or stunt. Humor equals saleability . . . it’s as simple as that. People like to laugh, and the editors know it. For the mass media, the dollar is the bottom line . . . and the skilled prankster can actually make this work in his or her favor. A prankster called Mark Pauline claimed that “the media can never deny coverage to a good spectacle. No matter how ridiculous, absurd, insane or illogical something is, if it achieves a certain identity as a spectacle, the media has to deal with it.” In other words, instead of letting the mainstream media pigeonhole and stereotype them, activists using humor and spectacle can turn this around and actually use the media.

This was confirmed by a spokesman for the environmental group EarthFirst!: “The media need stories – they want to run them, especially the television media. What they don’t want is some meeting or run-of-the-mill visual situation they’ve seen a million times before. You give them something different and they actually get excited about working on the story.” Perhaps (shock horror!) it might even lead to greater accuracy in their reporting.

Humor also wins favor with the common man in the street. Stridency and self-righteousness turn people off – but humor can get them on side. It’s considered ‘cute’, and could even help you attract the opposite sex. As punk singer Jello Biafra said, “historically the ‘Merry Prankster’ has had a lot more to look forward to than the humorless politico who sits around moaning about ‘the struggle’.” And trickster characters have a rich history in mythology and literature.

Targets for political pranks are rife – for instance, the legions of pseudo-left academics who condemn ‘privilege’ and praise ‘globalism’ whilst making over $100,000 a year. The obnoxious billboards of Benettons are just begging to be creatively altered, as are posters for phoney humanitarians such as the rock group U2. I remember seeing footage of U2 on the news a few years ago when they were touring Australia. Bono, the singer, was here to lecture people about giving more money to Africa. Then the cameras showed the band members leaving the airport – in four separate limousines! One limo just wasn’t enough. For the cost of a stretch limo you could probably feed an African village for twenty years. The band are currently engaged in trying to build a skyscraper in Dublin – an act of cultural vandalism if there ever was one.

U2 have already been the target of an amusing prank in the past. A band called Negativeland put out a CD entitled ‘U2′, with the name prominently featured on the cover so people would think it was a U2 album. When people took it home and put it on, they found it was a recording of someone insulting and attacking U2! The bloated multi-millionaires failed to see the funny side and (predictably) sued Negativeland.

A punk band called CRASS (posing as Creative Recording and Sound Services) managed to get some tacky music (with subversive lyrics) inserted as a flexidisc into a bestselling teenage bride magazine. CRASS also leaked a faked conversation between Margaret Thatcher and Ronald Reagan discussing the possibilities of launching a nuclear war. The conversation was spliced together from radio and TV statements, but was taken seriously by the media and caused an uproar.

When the US Forestry Service (responsible for a lot of old growth logging) put on a ‘Smokey the Bear’ birthday party for 300 children, an EarthFirst! activist hired a Smokey the Bear costume and walked through the crowd handing out anti-logging flyers. The kids were treated to the bizarre spectacle of the rangers trying to arrest Smokey at his own birthday! This made front page headlines the next day.

A media prankster called Joey Skaggs tricked a room full of journalists and news readers (including some famous ones) into getting down on their hands and knees and roaring like lions. He simply issued fake press releases, pretending to be a trendy new therapist called ‘Baba Wa Simba’ (the Lion King), and the journalists fell for it hook, line and sinker. The journalists were induced to take part in ‘roaring sessions’, which many reported on positively afterwards. People can be fooled into believing almost anything if it’s seen to emanate from some ‘official’ quarter. There are no end to the ways in which consensus reality can be manipulated.

Websites are also fair game. A musician from a band called Feederz once set up a site parodying CNN. To add authenticity, when someone clicked on the masthead they would be taken back to the real CNN site. As a result, some of his fake stories actually found their way into mainstream papers. It was seriously reported that Saddam Hussein was training suicide camels, and that he had plans to blow up Pearl Harbour!

A group called the Yes Men set up a fake website for Dow Chemical. On the anniversary of the Bhopal disaster (where thousands were killed by chemical contamination in Bhopal, India) they were contacted by the BBC (who thought they were genuine representatives of Dow), and proceeded to give a statement saying that Dow claimed responsibility for the disaster and were now going to do something about it. Because of this the real Dow was embarrassed into cleaning up the mess.

A group called the Cacophony Society once held a fake welcoming party for a new Starbucks, which seemed to praise Starbucks while actually ridiculing everything they stood for. A member of the group spoke of the successful nature of this strategy “where you pretend to side with the thing you really hate. It makes it hard for the subject of the protest to get rid of you.” Similarly, the aforementioned Yes Men have done speaking tours claiming to represent the World Trade Organisation. Taking WTO logic to its ultimate conclusion, they delivered lectures with messages like ’sweatshops are great’. The same tactic could easily be employed by nationalists or National-Anarchists. For instance, a nationalist posing as a pro-multiculturalist could get invited onto a public forum, and then give a speech saying that “multiculturalism is great, because it causes social alienation and helps advance our ideal of a rootless global population, more easily herded into line…”

Obnoxious advertising billboards are excellent targets for humorous or creative political statements. A group called the Billboard Liberation Front, established in 1977, have published a handy guide for billboard alteration at: http://www.billboardliberation.com/guidebook.html When doing a prank like this in an area with surveillance cameras, it might be an idea for the prankster to wear some kind of ridiculous disguise.

Pranks can also be played on establishment politicians. Once when Richard Nixon was giving a speech from a stationary train, someone put on a conductor’s cap and waved the train out of the station with Nixon still in mid-speech. A Texas politician called Tim Moore highlighted the way in which representatives often pass bills without even understanding the content, by convincing his fellow pollies to pass a motion commending one Albert de Salvo (actually the Boston Strangler).

Pranksters can even run for office. Local elections are easy to run in, and candidates with a humorous platform often attract a protest vote from those who are sick of the lies of the mainstream candidates. When Jello Biafra ran for mayor of San Francisco, one of his policies required all corporate businessmen to wear clown suits between the hours of nine and five. He finished fourth out of ten candidates – quite a respectable result.

The contemporary art world is also ripe for satire. Australia has a well-known history of literary pranks, including the Ern Malley hoax, where two writers created a fictitious modernist ‘poet’ to expose what they saw (rightly or wrongly) as the shallow nature of literary modernism. Another one was the Wanda Koolmatrie hoax, where a writer called Leon Carmen posed as an aboriginal woman in order to get his book published, thereby illustrating the biases inherent in the publishing industry.

In Austria, a group of artists who wanted to expose the pretensions of the art world created a non-existent writer called Georg Paul Thomann, and it actually worked. Newspaper articles were written about him because he was perceived to be a ’somebody’ . . . even though he was fictional and his work was non-existent! This fake ‘artist’ was even chosen to represent Austria at a world art fair.

An artist called Jeffrey Vallance couldn’t get a major gallery to show his work, so he bought a number of power point wall sockets from the hardware shop, and covered them with his art. Then he went around the art gallery in a tradesman’s outfit and replaced all the wall sockets with his own ones. Next he printed up programs, and invited his friends to view his work on the art gallery wall sockets. He sent a program to the art gallery itself – and they were so shocked they didn’t do anything about it. The employees hushed it up, in case they got in trouble! The wall sockets weren’t removed, and it was only two years later that they were finally painted over.

Schwaller de Lubicz defined magic as “the science of the right gesture, the right word, at the right moment.” That is what a successful prank is – an act of magic. I hope this short article has provided suggestive ideas for anti-global activists of all stripes, whether National-Anarchist or otherwise.

Hail to the clowns.

Source: http://newrightausnz.blogspot.com/2008/05/humour-as-weapo...

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mercredi, 03 mars 2010

Les Etats-Unis comme contre-modèle

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Les Etats-Unis comme contre-modèle

Ex: http://unitepopulaire.org/

« De même qu’en Europe, en 1919, avec leur stupide Traité de Versailles, les généraux Foch et Clémenceau ont réduit à l’esclavage l’Allemagne perdante jusqu’à ce qu’elle finisse par se donner, jambes écartées, au premier führer venu ; de même, aux USA, les présidents démocrates ou républicains (n’importe !) ont poussé le manque de magnanimité jusqu’à ôter au peuple irakien la force et la volonté de se débarrasser de son dictateur. C’est ainsi qu’on exacerbe la rancœur arabe. Pas autrement. Et c’est trop tard pour s’en plaindre.

La caractéristique des Américains est que tous les clichés qu’on colporte sur leur compte sont justes. Les Yankees civilisés préfèrent l’American way of life à ce qu’ils appellent la Diarrhea way of life… Le reste de la terre est une Bougnoulie où on attrape la turista ! Les Américains vivent dans le plus petit pays qui soit : mon ghetto, ma maison, ma voiture, ma télé, mon chien et mon frigo (le chien dans le frigo ?). Tout est réduit à sa plus simple expression. Un grand vide habite ce vaste espace. Et ce vide, il faut le cacher ! Drôle de démocratie que les Etats-Unis où l’abstention est reine et où on finit par élire celui qui obtient le moins de voix… En l’an 2000, le démocrain Bush et le républicrate Gore ont dû tirer leur élection à la courte paille !

Ces protestants sont très vifs à cacher la mort : voilà pourquoi on ne verra pas plus de morceaux carbonisés du puzzle WTC qu’on ne vit de bombardés chirurgicalement à Bagdad… Les coach potatoes ont deux cent chaînes de télé sattelisées pour surtout ne rien savoir du monde ! Pas besoin d’être un islamiste pour constater que la télévision est une source de perversion. Les Talibans déchiquettent les bandes vidéo et font flotter au vent des étendards de bandes magnétiques… »

 

Marc-Edouard Nabe, Une Lueur d’Espoir, Editions du Rocher, 2001, p.70-71

jeudi, 03 décembre 2009

Flash Magazine n°28 est paru!

FLASH INFOS MAGAZINE N° 28 EST PARU (www.flashmagazine.fr)

AU SOMMAIRE :

Dieudonné en Iran : l’artiste rencontre Mahmoud Ahmadinejad ! Les Américains et les sionistes ont beau dire… L’Axe du Mal nous fait tellement de Bien ! Dieudonné raconte à Flash ce qu’il n’a pas dit aux autres journaux !

Qu’est ce que l’amour ? Après la féminisation, la marchandisation, la perversion… Qu’en reste-t-il ? Flash fait l’état des lieux.
La tyrannie de la « beauté ». Ou quand les adolescentes américaines se font plastiquer et siliconer… À quels seins se vouer ?
Les révélations de notre correspondant aux USA, James OREGON.

Internet censuré. En Chine, en Iran… ? Non, en Australie ! Par Lionel PLACET

Téléthon versus Sidaction : Hier, les crimes de lèse-majesté, aujourd’hui ceux de lèse-charité. Topoline revient sur la polémique suscité par les propos « politiquement incorrects » tenus par Pierre Bergé.

Une petite sociologie de l’amour contemporain par Alain Soral.

Grand amour sur grand écran. Pas de Titanic ou d’Autant en emporte le vent, mais des petites pépites cinématographiques comme seul Flash sait en dénicher…

Pour s’abonner à Flash en ligne et en toute sécurité : www.flashmagazine.fr

– Et les chroniques habituelles de Jean Bourdier, Antoine Le Nort, Philéas, Pierre Le Vigan, Gabriel Fouquet, Philippe Randa, Marie-Claire Roy, etc.
– Tout cela, c’est dans FLASH !
– Pour s’abonner, c’est simple : Seulement 50 euros par an pour 26 numéros !
–Et rapide… sur le site : www.flashmagazine.fr…

© Philippe Randa, écrivain et éditeur (www.dualpha.com), est également rédacteur en chef adjoint de Flash Magazine (www.flashmagazine.fr). Ses chroniques sont libres de reproduction à la seule condition que soit indiquée leurs origines.

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jeudi, 30 avril 2009

Le crépuscule des élites

Le Crépuscule des élites

Cf. : http://www.tatamis.fr 

Préface de Roland Dumas

UN OUVRAGE DECAPANT

Après une carrière riche d’écrivain, de journaliste et de chef d'entreprise, Louis Dalmas consacre son talent à la publication d'un livre intitule de façon amusante “Le crépuscule des élites”.

Mais le plus troublant n’est pas dans le titre, il est dans la lecture de chacun des chapitres. II touche à tout avec une ironie cinglante et des vérités qui sont communicatives. Le tout est bien écrit, de façon agréable, et composé de telle manière qu'on s'y retrouve toujours.

Chacun y découvrira des situations ou bien des problèmes qu'il aura connus dans sa vie, dont il a souffert et sur lesquels il n'a pas toujours conclu ; qu'il s’agisse de l’information, qu'il s’agisse de l'Amérique, qu’il s’agisse du Proche-Orient, qu’il s’agisse de la Yougoslavie dont j’ai cru compren-dre que Louis Dalmas était amoureux (en parti-culier de la Serbie), rien ne manque à cette œuvre.

Mais, le plus drô1e du livre est dans la confection de chaque chapitre. En effet, l’écriture elle-même est composée de personnages qui interviennent et qui disent les choses dans le langage de tout le monde. Madame Sorladon (?) ou Madame Méla-mois (?) dont les noms phonétiquement font déjà rire, sont chargées de nous décrire le cadre dans lequel va se dérouler le prochain chapitre et sont des comparses nécessaires à la bonne marche de cet ouvrage.

On passe de la conversation de tous les jours à quelque chose de plus sophistiqué, de plus recherché, de plus acide aussi. On y trouve des phrases de bon sens, des évidences comme on peut en entendre tous les jours. Celle-ci par exem-ple : “L’évolution des sociétés est lente et l’erreur de certains politiciens est de ne pas s’en rendre compte”. À qui le dites vous, Madame Sorladon ?

Madame Mélamois – au nom si évocateur – est en réalité Madame “Tout le Monde”.

L’information, la presse ne trouvent guère grâce aux yeux de Louis Dalmas. Je ne le lui reproche-rai pas, bien au contraire. J’ai noté ce passage : “Selon ces cuistres (les journalistes !), toute opinion, pour être crédible, doit être aussi en-nuyeuse et difficile à assimiler que possible. Il n'y a qu’à feuilleter le terne oracle de l'intelligentsia française – Le Monde – pour en être convaincu”. C’est une opinion que je partage depuis un grand nombre d’années et que le temps qui passe n’altè-re en rien...
Mais il peut être bien plus sévère encore. Quel spectacle que celui-ci : “L’équipe est sur le terrain. Les joueurs ont les yeux bandés. Comme ils ne voient ni le ballon, ni les buts, ils courent dans tous les sens et shootent dans le vide. Sur les maillots, on distingue le logo du club, un cerveau avec des trous de gruyère sur un plateau de fromages. De temps en temps, deux hommes se heurtent de plein fouet. On les évacue sur une civière marquée ‘offerte par la Banque Mondiale’ et le grand écran à un bout du stade affiche ‘c’est la faute à Milosevic’”. Comme quelqu'un d’autre avait écrit “C'est la faute à Voltaire et à Rous-seau !”...

Tout le texte est à l’avenant, les raccourcis sont saisissants, les images percutantes, mais il res-pecte un certain équilibre quand même dans la critique systématique qui correspond au titre du “Crépuscule des élites”. Le rythme respecte la même cadence tout au long du livre et à chaque chapitre. II est enjoué, équilibré et agréable.
Je recommanderai particulièrement le passage intitulé “Les deux visages de l'Amérique”.
L'ensemble est signifiant. II mérite d’être lu com-me tel. Ce livre connaîtra le succès par son originalité et par la maîtrise de la pensée de l'au-teur.

J’y retrouve à plusieurs occasions ce sentiment d’affection que nourrit l'auteur pour le peuple serbe. Dans le dialogue entre Madame Mélamois et Madame Sorladon, nos deux complices accom-pagnatrices, apparaît cette phrase :
“– Mais ces Serbes, ils ont tout de même commis des atrocités, non ?
– Qu’est ce que vous croyez Madame Mélamois, que la guerre c’est un match de football, déjà que dans les stades on se fout sur la gueule, alors sur les champs de bataille, vous imaginez...”
Et plus loin :
“– Et comme le dit Monsieur, quand on diabolise tout un peuple comme on l’a fait avec les Serbes, ça devient du racisme et c’est d'autant plus triste que ce coup-là, parmi les persécuteurs, se sont trouvés les descendants ou les proches de ceux mêmes qui avaient été persécutés.
– Les juifs ?
– Non, Madame Mélamois, pas les juifs, des juifs...”
Tout cela flaire la bonne humeur en surface. Mais en réalité, on plonge dans la profondeur des choses.
En écrivant cette préface, je ne puis m’empêcher de rapprocher ces pages écrites pour être lues de la période ou je dirigeais le ministère des Affaires étrangères et où le sentiment anti-serbe dominait. En effet, la scène politique internationale, au mé-pris de ce qu'avait été I'histoire de nos deux pays, histoire aux eaux mêlées, en était le reflet.

Roland Dumas
Avocat, ministre des Relations extérieures de 1984 à 1986, ministre des Affaires étrangères de 1988 à 1993, Président du Conseil Constitutionnel de 1995 à 2000.

Prix : 19,90€

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mardi, 17 février 2009

Obama Menace Dress-Up Doll

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lundi, 19 janvier 2009

Tolérance

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vendredi, 16 janvier 2009

L'Europa delle patrie

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jeudi, 15 janvier 2009

Kiezen tussen de Utopische Samenleving en de Naïeve Anarch

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Kiezen tussen de Utopische Samenleving en de Naïeve Anarch

lundi, 03 novembre 2008

Flash Magazine

Flash
Le premier numéro de "FLASH INFOS MAGAZINE" EST PARU !
www.flashmagazine.fr
La Tribune libre
FLASH, c’est tous les quinze jours !
Tout ce que certains voudraient bien vous cacher… Tout ce que vous ne lirez nulle part ailleurs…
C’est dans FLASH que vous le trouverez !


En vente en kiosque (2 euros) et – entre autres – à la librairie Primatice à Paris.

Message de Philippe Randa, Rédacteur en chef adjoint :
« J’ai un vieux complice dans la presse politiquement incorrecte depuis plus d’un quart de siècle. Il s’appelle Nicolas Gau­thier. Il était à mes côtés à
Pas d’Panique à bord, puis à la revue Dualpha… Peu de temps avant qu’il ne nous quitte, le défunt Jean Mabire, l’une des principales plumes de National Hebdo, lui confiait : « Notre journal n’est pas en meilleure forme que moi. Il serait urgent de réfléchir à autre chose, une autre formule, pas forcément “rajeunie”, mais plus en phase avec ce nouveau siècle… »
Aujourd’hui, Nicolas a fait un constat qui rejoint le mien et celui de quel ques autres : la presse d’opinion se porte au plus mal… Aussi, ensemble, nous vou lons inverser la tendance. C’est Flash infos magazine !
Tous les quinze jours, Flash, c’est 16 pages en couleurs, en kiosque et par abonnement : le premier numéro est paru aujourd'hui. C’est dans ce but que Nicolas a réuni – c’est lui qui l’assure – la meilleure équi pe jamais vue depuis l’épo que où, tout jeune homme, il co-fondait le Choc du mois :
Topoline et Béatrice Péreire, les deux lan gues vipérines de National Hebdo, expertes en décryptage de tendances, culturelles, sociétales et politiques ;
Jean Bourdier, ancien directeur de Minute et de National Hebdo ;
Alain Soral, essayiste et dynamiteur bien connu des plateaux télé, partisan de l’alliance de la gauche du travail et de la droite des valeurs et président du mouvement Égalité et Réconciliation ;
Christian Bouchet, expert en géopolitique – ses analyses font autorité à l’Étranger –, et animateur des sites Internet vox.nr et no-media.
Gérard Lucotte, scientifique de renom : il est l’un des rares spécialistes autorisés par le Vatican à avoir pu expertiser le Saint-Suaire de Turin et la Tuni que d’Argenteuil ;
Gabriel Fouquet, fils spirituel d’Antoine Blondin, qui dira désormais dans Flash ses quatre vérités au "bizness" du sport.
• … et moi-même, ce qui prouve s’il en était besoin que rien ne l’arrête ;
Mieux, vous aurez encore le plaisir de lire d’autres journalistes de renom qui, écœurés par le politiquement correct, ont décidé que leurs articles censurés par la « grande presse » seraient désormais publiés dans Flash... Parmi eux, une des papesses de la presse féminine, un spécialiste incontesté du sport et de ses arcanes, un sociologue habitué des plateaux de télévision, quelques technocrates de haut rang...
Fort de cette magnifique équipe,à laquelle il faut ajouter le dessinateur Ignace, l’avocat Xavier Conabady et ses judicieux conseils de défense juridique et deux jeunes plumes prometteuses (Antoine le Nort et Phileas) et, en tribune libre, le philosophe Alain de Benoist.
Flash s’attèlera, pour vous, au décryptage de la désinformation ambiante, au déboulonnage des fausses idoles, médiatiques, culturelles, religieuses et politiques, et à la défense des véritables intérêts de la France. Tout en mettant sur pied cette équipe de choc, nous avons investi les fonds nécessaires au démarrage de ce projet. Chacun de nous est impatient de vous présenter Flash, ce journal nouveau, impertinent, anticonformiste et, surtout… très bien renseigné sur tout ce que certains aimeraient bien vous cacher.
Notre équipe n’attend plus qu’un coup de pouce décisif : le vôtre. Car, vous le savez aussi bien que moi, nous n’aurons pas un centime de publicité pour Flash. Notre seule ressource, cher lecteur, c’est vous ! Ce qui est aussi notre meil leur gage d’indépendance et de qualité.
Je vous demande donc de remplir et de nous renvoyer au plus tôt le bulletin d’abonnement à Flash ! L’abonnement annuel n’est que de 50 euros pour 26 numéros. Pour stabiliser définitivement les finances de Flash et lui permettre d’avoir une diffusion nationale, nous devons réunir très vite un budget de 160 000 euros, soit seulement 3 200 abonnés. En vous abonnant dès aujourd’hui, vous nous apportez une aide décisive.
De notre côté, nous avons consenti d’énormes efforts : pas de locaux, des salaires réduits au strict minimum et toutes nos économies investies dans ce projet commun. C’est pour cela que l’abonnement ne coûte que 50 euros, soit à peine un euro par semaine...
Je compte sur vous.
Chaleureusement »

PS. La ligne éditoriale de Flash est simple : traiter et approfondir les sujets que la “grande presse” laisse de côté, parce que trop “dérangeants”. Bref, tout ce que vous ne trouverez pas ailleurs, ce sera dans Flash… Alors, abonnez-vous vite en nous renvoyant dès aujourd’hui le bulletin ci-joint.
FLASH - journal gentil et intelligent - tous les 15 jours
pour 2 euros seulement !

Conséquence logique d'un consensus antlanto-libéral de plus en plus voyant et mou : la presse d'opinion se dissout dans l'insipide et la collaboration.
Mais plutôt que de nous poser plus longtemps la question de savoir si nous devons le déplorer ou nous en réjouir, nous avons décidé, quelques camarades et moi-même, d'y répondre par FLASH !

FLASH, soit un petit canard trans-courants conçu et écrit par des patriotes issus aussi bien de l'ultra-gauche marxiste que de la droite nationale intelligente, mais tous déterminés à ne plus plier sous la chape de plomb imposée par l'Empire.

En bref, FLASH ce sont 16 pages en couleurs tous les 15 jours pour la modique somme de 2 euros et le numéro 1 en kiosque le 30 octobre…

Si vous voulez en savoir plus, vous avez juste à cliquer ici :

http://www.flashmagazine.fr/

À très bientôt !

Alain SORAL
Pour la rédaction de FLASH