dimanche, 28 mai 2017
Massenmigration in welthistorischer Perspektive
Massenmigration in welthistorischer Perspektive
10:12 Publié dans Actualité, Affaires européennes, Livre, Livre | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : immigration, réfugiés, livre, allemagne, europe, affaires européennes, actualité, politique internationale, démographie | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Le dossier Macron et le retour de Boris Vian
Le dossier Macron et le retour de Boris Vian
par Nicolas Bonnal
Ex: http://www.dedefensa.org
Tout le monde a souligné à foison leur ressemblance. Or j’avais signé aux Belles Lettres en 2008 un contrat sur Boris Vian et notre modernité. Je vivais alors dans la Bolivie de mon cher Evo Morales, plus précisément à Sucre (et dans le Gran hôtel de Che Guevara qui plus est, un trois étoiles à neuf euros), et malheureusement l’Alliance française du coin de la rue n’avait pas un seul exemplaire de l’œuvre du maître ! Le web était moins riche que maintenant et je n’honorai donc pas mon contrat. Et comme on ne versait plus d’à-valoir…
J’ai tout de même retrouvé quelques textes, et je les donne à mes lecteurs préférés...
"On est curieusement entrés dans l'ère de l'écume des jours"
De l'écume des jours ? Oui, celle de Boris Vian, qui se résume à deux axes, par-delà les provocations verbales du petit maître oublié : les gens deviennent puérils, ludiques, et l'espace, l'espace vital surtout se rétrécit.
Comme nos contemporains, les "adulescents" de Vian sont très ludiques ; ils sont aussi techno-dépendants, rêvent de pianocktail et de patinage ; ils ne sont pas très sexués et ils ne sont pas, mais alors pas du tout politisés. Ils rêvent d'être des ignares, et d'ailleurs on va tuer le Jean-Sol Partre national (ah, nos intellos rive gauche !) pour bien marquer ce rêve américain. On rêve de jazz et de négritude, comme aujourd'hui de rap et d’exotisme cheap. Avec ces certitudes, on ignore où l'on est, on ignore même si l'on est. Vian a célébré le modèle du jeune con, qui allait vieillir un beau jour (le jeune, pas le con). Et on a fait de cela le modèle du progrès, du moderne, de la jeunesse, de la mode. Imaginez les héros de Boris Vian avec cinquante de plus, et vous avez les retraités d’aujourd’hui…
Mais surtout, parce que l'histoire de la bêtise prendrait trop de place, il y a une diminution d'espace. Lorsque la pauvre Chloé devient malade, l'appartement commence à diminuer. J'ai évoqué ironiquement l'odyssée de l'espace, où d'ailleurs on voit les cosmonautes mener des vies considérablement médiocres ; mais cette odyssée est devenue une descente aux abysses. L'individu post-historique est surtout post-spatial, il n'a pas de maison, pas d'appartement ; ou bien il a trois fois moins de place que son grand ancêtre de la Nouvelle Vague (sur ce sujet j’ai bâti mon roman décalé comme on dit, et onirique), et il lui faut travailler pour rembourser, ou plutôt vivre pour rembourser, puisque le travail ne suffira pas, qu'il sera toujours moins rétribué, quand ses études auront été inutilement rallongées. Il faut 500 mois de SMIC pour acheter un deux-pièces dans notre beau Paris.
La diminution d'un espace vital n'est pas sans effet : on a réduit l'espace habitable depuis Thatcher et aussi –surtout – depuis l'euro, et les gens se sont calmés. Ils ont été réduits à la portion congrue, réduits en part de marché, réduits à la merci de l'ennemi. Dans une société où l'on peut plus respirer, se loger, fumer en discutant, ou discuter en fumant, se garer, se déplacer, s'exprimer, on se doute que la possibilité de changement radical, si elle venait encore à l'esprit de quelques-uns capables de structurer leur pensée, serait de facto impossible à exécuter ».
Je rajoute ce texte de célébration du triste maître de ma jeunesse giscardienne :
Il y a cinquante ans mourait Boris Vian. A bien des égards la présence de cet auteur s’est faite discrète, d’autant que les temps qui courent souvent trop vite ont tendance à oublier jusqu’à leurs pères. Pourtant, Boris Vian fait partie d’un patrimoine bien vendu, mais qui ne s’est jamais internationalisé ou même exporté, ni sous la forme de chansons ni sous celle de romans.
Boris Vian c’est la douceur de vivre des années 50, l’intrusion de la sacro-sainte modernité dans la France dite moisie, le sens de l’humour et de la générosité, le refus de tous les chauvinismes et de toutes les intolérances... C’est aussi le sens de l’amour et de la légèreté, la célébration de la jeunesse et de la nouveauté.
France & surmodernité
La société médiatique adore se célébrer : espérons qu’elle saura célébrer Boris Vian, car elle lui doit beaucoup. Vian a été en effet le prophète de la révolution culturelle qui a fait de la vieille mère des arts, des armes et des lois cette fille de Marx et de coca-cola, du fast-food et de Canal +. Vian, sans le vouloir, partout où il a mis le doigt, l’a bien mis. Il a fait un sans-faute dans son œuvre, la plus sérieuse comme la plus décalée, la plus tragique comme la plus dérisoire pour ajourner la France et la mettre à la hauteur de la modernité. Mais la France est fatiguée : aussi userons-nous du terme de surmodernité pour exprimer cet état de dépression satisfaite dans laquelle se trouve le pays. Il y a en effet un double enjeu chez Vian : un enjeu euphorique et un enjeu dramatique.
Exception française & fou-rire
Il y a une dizaine d’années, nous pouvions encore sans rire évoquer ou dénoncer une exception française ; exception que Marc Bloch avait définie ainsi : nous nous reconnaissons aussi bien dans le sacre de Clovis que dans la Fête de la Confédération. La France de gauche comme la France de Droite aimait ses lieux de la mémoire, ses petites fêtes, son 14 juillet, sa Jeanne d’Arc, sa colline inspirée, ses faubourg Saint-Antoine.
Avec Boris Vian, c’est tout cet apanage qui a disparu. On entra dans un procès de déculturation totale, d’américanisation-dépression avec un rejet complet de sa culture et de sa civilisation. Nous y reviendrons.
Vian a réglé ses comptes ou plutôt ses contes avec une France du passé et dépassée qu’il détestait. Il l’a fait avant beaucoup d’autres, et nous l’avons tous suivi.
Nous naviguerons entre américanisation et dépression. Comparez la bonne humeur pornographique d’On tuera tous les affreux (un ex-savant nazi fabrique des modèles nymphomanes et des politiciens sur une nouvelle île du Dr Moreau) à l’atmosphère grise et française de l’arrache-cœur, de l’herbe rose ; comparez ce refus empathique de la petite France profonde et de son clocher fatidique à l’adoration de la grande agglomération yankee et polluée, bourrée de limousines, de gros bras et de filles délurées – et puis vous comprendrez pourquoi ces Français soi-disant exilés à Chicago (764 morts pour ce qui va de cette année) ont voté pour le candidat des supermarchés et du progrès sociétal. Attendez-vous à une réduction de mètres (maîtres) carrés et à une énième révolution culturelle comme celles que promouvait Vian dans ses chansons dérisoires.
Les petites chansons ont certes vieilli car elles étaient de piètre qualité, comme les romans sauce surréaliste, mais elles donnaient l’inspiration du jour et à venir : le changement de sexe (bourrée de complexes !), la complainte du progrès avec le partage des biens (ah, Gudule, écoute-moi…) entre divorcés-remariés, et toute cette entropie de bistrot branché qui nous préparait à la culture détonante de Canal+ et de l’ère bobo. Le slogan de l’arche Delanoë était d’ailleurs de changer d’ère. Vian nous aurait concocté une laide chanson sur les Google babies vendus aux couples LGBT, conçus en Israël et incubés en Inde par des mères porteuses payées trois dollars. Avec le fou rire.
Un dernier mot : le mutant de la gauche libérale et sociétale a écrit une chanson nommée le déserteur. Or c’est bien ce qui résume notre époque. La France est devenue un pays de déserteurs, la France, comme tant d’autres pays occidentaux aussi, est un pays de désertion (revoyez les films de Godard, Tati, Risi et Fellini pour l’Italie pour analyser ce que je veux dire). Cela n’empêchera pas de faire la guerre nucléaire pour Soros et les oligarques humanitaires.
Le cas Vian confirme en tout cas que le Macron-cosmos va naviguer à 80-85% de satisfaits, car vous n’imaginez pas ce qu’on peut faire du peuple français…
Sources
L’écume des jours ; l’arrache-cœurs ; et on tuera tous les affreux ; chansons
Bonnal – les maîtres carrés (roman héroï-comique)
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«Wie der Westen Syrien ins Chaos stürzte»
«Wie der Westen Syrien ins Chaos stürzte»
Ein neues Buch von Michael Lüders
von Carola und Johannes Irsiegler
Ex: http://www.zeit-fragen.ch
Michael Lüders ist Nahost-Experte und war lange Jahre Nahost-Korrespondent für die deutsche Wochenzeitung Die Zeit. Er hat bereits verschiedene Bücher zu den Entwicklungen im Nahen Osten publiziert und wird vielen Lesern von Zeit-Fragen bereits bekannt sein. Sein neuestes Buch, «Die den Sturm ernten. Wie der Westen Syrien ins Chaos stürzte», knüpft, wie bereits der Titel vermuten lässt, thematisch an sein früheres Werk «Wer den Wind sät. Was westliche Politik im Orient anrichtet» an: Wer den Wind sät, wird Sturm ernten. Ging es in jenem, 2015 erschienenen Buch darum, die politischen und strategischen Verwicklungen des Westens im gesamten Nahen Osten und die Mitschuld des Westens unter Führung der USA an der jetzigen Misere aufzuzeigen, so konzentriert sich Lüders in seinem brandaktuellen Buch auf die Entwicklungen in Syrien.
Eine andere Geschichte als die Nato-Hofberichterstattung
«Kriege werden erzählt, nicht anders als Geschichten», so steigt Lüders in das Thema ein und zeigt auf, worum es ihm geht: Er will den anderen Teil der Geschichte beleuchten, der in der Nato-Hofberichterstattung unserer Leitmedien bewusst weggelassen oder in verfälschender Weise dargestellt wird. Der Geschichte von den «Werten», für die westliche Politik stehe und die es in Syrien zu verteidigen gelte, stellt er die strategischen und wirtschaftlichen «Interessen» der Akteure gegenüber. Vor hundert Jahren wurde die Ausbeutung ganzer Erdregionen durch europäische Mächte noch damit begründet, die «Eingeborenen» an die Segnungen der «Zivilisation» heranzuführen. Heute werden im Namen sogenannter westlicher Werte ganze Regionen mittels Soft- und/oder Hardpower destabilisiert, um sie dann um so besser ihrer Schätze berauben und für die eigenen hegemonialen Interessen ausnutzen zu können. Wenn «Werte» zum Alibi einer hegemonialen Politik werden, hören sie auf, Werte zu sein.
Michael Lüders hält klar fest: Der Krieg in Syrien hätte ohne die massive Einmischung von aussen niemals die grösste Fluchtbewegung seit dem Zweiten Weltkrieg ausgelöst. Die Terrorakte in verschiedenen europäischen Ländern wie auch die Flüchtlingskrise sind direkte Folgen einer gewaltsamen Interventionspolitik. «Ohne die Fehler des Westens, namentlich der USA im Irak, wäre der ‹Islamische Staat› gar nicht erst entstanden.»
Eine Geschichte von Staatsstreichen, Putschversuchen und Klientelregimen
Um die aktuellen Entwicklungen einordnen und sich gegen das propagandistische Kriegsgeschrei der Nato-Medien wappnen zu können, muss man die Vorgeschichte kennen. Diese stellt Lüders ausführlich dar. Er beginnt mit den Ränkespielen der imperialistischen Mächte England und Frankreich nach dem Ersten Weltkrieg und fährt mit dem amerikanischen Hegemoniestreben nach dem Zweiten Weltkrieg fort. Es ist eine Geschichte von inszenierten Staatsstreichen, Putschversuchen und Klientelregimen; und von dem Versuch, jegliche Entwicklung hin zu einer eigenständigen, in den eigenen Traditionen fussenden Politik zu verhindern. Es hat im Nahen Osten Ansätze zu einer solchen, den Interessen der eigenen Völker verpflichteten Politik gegeben, es gibt sie auch heute noch, wenn man die Völker nur in Frieden liesse und sie ihr geistiges und kulturelles Potential ausschöpfen könnten. Aber, so Lüders: «Unter den sozialen, gesellschaftlichen und politischen Rahmenbedingungen, wie sie heute in der arabischen Welt bestehen, unter den Bedingungen also von Armut, Unfreiheit, Staatszerfall und Terror, ist kein Raum für Reformdenken. Die Menschen sind hinlänglich mit ihrem eigenen Überleben befasst.»
Friedliche Entwicklung möglich, wenn die Einmischung von aussen aufhört
Eine friedliche Entwicklung in der Region ist möglich, wenn die Einmischung von aussen aufhört und den Völkern die dazu nötige Zeit zugestanden wird. Für eine solche Erneuerung muss, so Lüders, auch der Glaube derjenigen, die dort leben, berücksichtigt werden: «Von Marokko bis Indonesien spielt der Glaube an Gott eine zentrale Rolle im Leben des einzelnen wie auch der Gesellschaft. Wer annimmt, die Region sei ohne den Faktor Islam zu erneuern, denkt westlich.» Islam und Islamismus sind dabei nicht gleichzusetzen. Dass letzterer vom Westen erst gezüchtet wurde, um ihn dann «zur Freude der Rüstungsindustrie» zu bekämpfen, und wohl auch, um einen Vorwand für die permanente Interventionspolitik zu schaffen, kann im gegenwärtigen geistigen Unklima in unseren Ländern nicht genügend betont werden. «Den ‹Islamischen Staat› ein für alle Mal zu besiegen, hat übrigens in letzter Konsequenz niemand ein wirkliches Interesse. Er liefert den kleinsten gemeinsamen Nenner aller Interventionsmächte […].»
Information und Aufklärung statt interessengeleiteter Propaganda
Michael Lüders räumt mit fast allen Narrativen auf, die in unseren Leitmedien mantrahaft wiederholt werden. Zum Beispiel mit dem Narrativ, dass es sich in Syrien um einen Kampf des Volkes gegen ein böses Regime handle. «Das westliche Narrativ, die gesamte syrische Bevölkerung oder wenigstens doch die überwältigende Mehrheit hätte sich gegen Assad erhoben, ist eindeutig falsch […], weder die religiösen Minderheiten, […], noch die sunnitischen Händler» haben sich bis heute dem Aufstand angeschlossen. Rund die Hälfte der Syrer stehe nach wie vor hinter Assad. «Die westliche Wahrnehmung, die syrische ‹Opposition› verträte das gesamte oder auch nur nennenswerte Teile des syrischen Volkes, entbehrt jeder sachlichen Grundlage. Das entwertet nicht die Kritik der Oppositionellen am Regime – aber auch in freien Wahlen hätten sie kaum Chancen auf Sieg.» Die meisten Syrer ziehen die jetzige Regierung mit allen Einschränkungen einer Herrschaft der Dschihadisten vor. Ihnen ist es – wie auch den Verantwortlichen im Westen – bekannt, dass die Herrschaft der Dschihadisten die Alternative sein wird, wenn Assad gehen muss.
Der Leser erhält zudem viele Hintergrundinformationen über die verschiedenen Kriegsparteien, die helfen, die zum Teil widersprüchlichen Entwicklungen besser zu verstehen. Interessant ist in diesem Zusammenhang die Rolle Englands, das im ganzen Syrien-Konflikt und heute wieder verstärkt durch seine bellizistischen und interventionistischen Hetztiraden auffällt. Wie nebenbei erfährt der Leser, dass Grossbritannien zum zweitgrössten Waffenlieferanten Saudi-Arabiens aufgestiegen ist, dort massive Geschäfte mit dem Tod macht und dazu noch die völkerrechtswidrigen saudischen Luftangriffe auf den Jemen leitet und koordiniert. Soviel zu den Werten, die Aussenminister Johnson regelmässig für sich reklamiert. Dass diejenigen, die «sich allein den Menschenrechten verpflichtet glauben», in Syrien laut schreien, aber zum Jemen schweigen, ist ein anderes Kapitel.
Wer ist verantwortlich für die Giftgas-Angriffe?
Besonders aktuell sind Lüders Ausführungen zu den Giftgas-Einsätzen auf Ghouta bei Damaskus im Jahre 2013: «Der Giftgas-Angriff auf Ghouta und die Reaktionen darauf sind ein Lehrstück dafür, wie spielend leicht die Öffentlichkeit in einer so elementaren Frage wie Krieg und Frieden manipuliert werden kann […].» Noch heute wird dieses Verbrechen ungeprüft der Regierung Assad angelastet.
Wie gross war das Geschrei, die USA müssten jetzt endlich Damaskus bombardieren, allen voran damals wie heute auch wieder Hillary Clinton und ihr Verbindungsmann zu den Dschihadisten John McCain, die es erst möglich gemacht haben, dass Waffen aus dem libyschen Arsenal in die Hände der dschihadistischen Kämpfer gelangen konnten.
Lüders legt dar: «Die genannten Indizien legen den Schluss nahe, dass nicht das AssadRegime für den Giftgas-Angriff auf Ghouta verantwortlich war, sondern die Nusra-Front, unter Regie der türkischen Regierung.» Denken wir die jüngsten Ereignisse hinzu, so können wir ein weiteres Mal mitverfolgen, wie Kriegsgründe geschaffen werden und eine ahnungslose Bevölkerung massenmedial für reine Interessenpolitik manipuliert wird – hier bei uns im Westen wie auch in den Ländern des Nahen Ostens.
Eine Weltordnung begründen, die um Ausgleich und Kompromiss bemüht ist
Michael Lüders schliesst sein Buch mit dem Aufruf, eine «Weltordnung zu begründen, die um Ausgleich und Kompromiss unter den jeweiligen Akteuren bemüht ist, einen Dialog auf Augenhöhe führt». Die rechtlichen Grundlagen für ein friedliches Zusammenleben auf unserer Erde sind ja vorhanden. Auf sie könnte man, so man will, gut aufbauen.
Was kann jeder einzelne tun? Lüders plädiert dafür, den offiziellen Verlautbarungen zu misstrauen und auch medialen Darstellungen nicht unkritisch zu folgen. Es ist doch erschreckend, wie wenig es braucht, «politische Feindbilder zu erzeugen oder am Leben zu erhalten».
Der Logik aus Macht und Dominanz entsagen
Die Lektüre von Lüders Buch hilft, sich gegen die permanenten Manipulationsversuche der Kriegsfraktion zu wappnen, einen eigenen inneren Standpunkt zur Frage von Krieg und Frieden, zur Frage von Recht und Unrecht und zur Frage der Gleichwertigkeit zwischen den Völkern zu entwickeln. Am Ende fordert uns der Autor auf, der Logik aus Macht und Dominanz zu entsagen und uns anders zu denken, unter Einbeziehung all derer, die guten Willens sind. Vielleicht bedürfe es «tatsächlich einer grundlegenden Bewusstseinsänderung, der Einsicht, dass wir keine Wahl haben als unsere Zukunft selbst zu gestalten».
Ein lesenswertes Buch, ein Buch das informiert, das zur Diskussion anregt und ein emotionales Gegengift zur Kriegspropaganda darstellt. Es sollte weite Verbreitung finden unter den vielen Mitbürgern, die sich wie wir für eine Welt des friedlichen Miteinanders einsetzen. •
Kampagnen verweisen auf Menschen, die Interessantes zu sagen haben
km. Das neue Buch von Michael Lüders hat in Deutschland sehr unterschiedliche Reaktionen ausgelöst. Ein paar weitverbreitete deutsche Leitmedien haben gegen den Autor scharf polemisiert und versucht, seine Seriosität in Frage zu stellen. Aber das war nicht die durchgängige Reaktion. Michael Lüders wird in ganz Deutschland zu zahlreichen Lesungen und Vorträgen eingeladen, das Kulturmagazin der ARD, «titel, thesen, temperamente», hat Autor und Buch am 30. April positiv gewürdigt. Fazit der Sendung: «Lüders' Buch ist wichtig, man sollte ihm zuhören und mit ihm reden.» Die Universität Trier steht trotz eines Protestbriefes zu einer Gastprofessur des Buchautors – und der Kommentar von zwei für die Vorlesungsreihe verantwortlichen Hochschullehrern spricht für sich: «Den Autoren [des Protestbriefes gegen Michael Lüders] geht es offenkundig darum, die Freiheit der Wissenschaft an der Universität zu behindern, indem man verlangt, jemanden auszuladen, der unbequeme Meinungen vertritt.» Eindrucksvoll auch der Bericht und Kommentar von saarland-fernsehen.de nach der ersten Vorlesung von Michael Lüders in Trier: «Er demaskiert den Narrativ westlicher Politik, ‹in erster Linie Gutes tun zu wollen›, als Deckmantel für interessen- und machtgetriebene Geopolitik. […] Nicht humanitäres Wohlwollen, sondern geopolitisches Kalkül treibt die Grossmächte an […]. Folgt man Michael Lüders’ Vortrag, dann ist er [der Nahe Osten] dem Westen äusserst nahe, wenn es darum geht, dort seine Interessen zu wahren. Aber doch so fern, wenn die Menschen und deren Wohlergehen im Mittelpunkt stehen sollten.»
Der Deutschlandfunk hatte zwar vor allem die Kritik an Lüders referiert, liess ihn aber auch selbst zu Wort kommen, woraufhin der Autor die Vorgehensweise gegen ihn treffend charakterisierte: «Grundsätzlich muss man wohl sagen, wer sich gegen den Mainstream stellt und wer vorherrschende Gewiss-heiten in der Politik, aber auch in der medialen Berichterstattung in Frage stellt, der muss natürlich gewappnet sein, dass er Gegenwind bekommt, denn das gefällt natürlich nicht allen, dass da jemand eine offizielle Lesart, die als richtig empfunden wird, in Frage stellt.» Und: «Mir fällt auf, dass diejenigen, die meine Ansichten teilen, oder generell die Menschen, die nicht eine bestimmte Mainstream-Linie bedienen, häufig nicht in der Sache, sondern als Person kritisiert werden.»
Allem Anschein nach beeindruckt das aber viele Menschen in Deutschland nicht mehr. Das Misstrauen gegenüber dem «Mainstream» ist sehr gross geworden, Kampagnen verweisen auf Menschen, die Interessantes zu sagen haben. Das spricht sich herum.
09:11 Publié dans Actualité, Géopolitique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : géopolitique, actualité, syrie, levant, proche orient, michael lüders, méditerranée | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Frankreich-Wahl – das Syndikat hat eingegriffen
Frankreich-Wahl – das Syndikat hat eingegriffen
Für Deutschland droht Macron teuer zu werden
von Prof. Dr. Eberhard Hamer
Ex: http://www.zeit-fragen.ch
Jeder wundert sich, wie ein politischer Nobody wie Macron plötzlich in Frankreich die meisten Stimmen erringen konnte – vorbei an bewährten Politikern und etablierten Parteien.
Das Geheimnis Macron lüftet sich, wenn man erfährt,
- dass es sich um einen Rothschild-Banker handelt,
- dass die französische ebenso wie die deutsche Presse von der Finanz- und Grosswirtschaft dirigiert werden,
- dass die französischen Konzerne und Arbeitgeberverbände (ebenso wie die deutschen) fanatisch für ein Gesamteuropa und die weitere Zuwanderung von Arbeitskräften kämpfen und Angst davor hatten, dass Le Pen siegen würde,
- dass aber das französische Volk und das Syndikat aus Finanz- und Grosswirtschaft beide von den korrupten Politfunktionären der alten Parteien gründlich enttäuscht sind und diesen Leuten die Unterstützung entzogen haben,
- so dass – um Le Pen zu verhindern – das Syndikat nun einen neuen Mann aus dem Hut gezaubert, finanziert, ihm die Mainstream-Presse zu Hilfe geschickt und ihn so als Retter der eigenen Machtposition, der eigenen Europa-Interessen, für weitere Immigration und gegen den Verfall der Traditionsparteien durchgesetzt hat.
Hier zeigte sich, wie das Machtsyndikat von Finanz- und Konzernwirtschaft die politische Macht über Frankreich hat und über Parteien und Volksströmungen hinweg durchsetzen kann. Die Kluft zwischen dem Wirtschaftssyndikat und dem politischen Frankreich wurde zugunsten ersterer durch einen von ihr ins Rennen geschickten und mit allen Machtmitteln durchgesetzten Kandidaten entschieden.
In Deutschland ist die Ausgangsposition ähnlich. Auch hier besteht längst eine Kluft zwischen einerseits der Finanz- und Konzernindustrie, ihrer Presse und den etablierten Parteien und andererseits den Interessen der Mehrheit des Volkes, welches zum Beispiel keine Haftung für alle Staaten und Banken Europas tragen oder keine Massenimmi-gration nach Deutschland will. Wer diese Interessen des Volkes vertritt, wird vom Machtkartell der Konzerne, der Presse und ihrer Politik als -«populistisch» diffamiert, als Gefahr für die von den Konzernen geforderte Zuwanderung und politische Zentralisierung Europas angesehen und in der von diesen Kräften beherrschten Presse zunehmend mit Hassartikeln verfolgt, so dass inzwischen deren Repräsentanten gefährlich leben und sozial ausgegrenzt werden.
Eins ist in Deutschland wie in Frankreich: Alle etablierten Parteien vertreten die Forderungen der im Hintergrund regierenden Finanzindustrie und Konzerne und trommeln auf die Gegenmeinung ein.
Für Deutschland droht aber Macron teuer zu werden. Seine Hinterleute wollen, dass Europa entgegen allen Verträgen aus der Haftungs- und Schuldenunion zu einer Transfer-union und zu einer Fiskalunion mit einem eigenen Finanzminister fortentwickelt wird. Dann verliert zum Beispiel Deutschland seine Finanzsouveränität, werden unsere Steuern, unsere Exportüberschüsse und unsere Target-Guthaben bei der EZB alle in den gemeinsamen Topf geworfen und von der EU-Kommission nach dem Willen der südeuropäischen Schuldnerländer verteilt. Wir haften dann nicht nur für alle Schulden wie jetzt, sondern wir haben dann auch keine Überschüsse mehr, sondern nur noch gemeinsame und wachsende Schulden – die von mir schon bei der Gründung des ESM beschworene «Lust am gemeinsamen Untergang».
Macron hat auch bereits verkündet, dass für Frankreich die Schuldenbremse (3 %) nicht mehr gelte, dass man entgegen aller EU-Verträge lieber hemmungslos Schulden machen wolle als zu sparen und dass die Sparwünsche Deutschlands nicht mehr die EU blockieren, sondern sich dem Willen des Finanzsyndikats unterwerfen müssten. Praktisch läuft das auf die Sozialisierung aller deutschen Export-überschüsse, Guthaben und Sparanstrengungen hinaus.
Man könnte sagen: «Es wird nichts so heiss gegessen, wie es gekocht wird.» Da aber die südeuropäischen Schuldenländer infolge des Brexit eine deutliche Mehrheit über die Sparländer haben, wird die EU zum hemmungslosen fröhlichen Schuldenstadel, die EZB zur Schuldenmaschine und zum Hedgefonds aller europäischen Staatsschulden, wird dadurch der Euro immer wertloser – bis niemand den Euro mehr haben will oder der Crash aus einer der Finanz- oder Sozial-blasen schon früher eintritt.
Nicht nur Macron hat gewonnen, sondern vor allem das hinter ihm stehende Finanzsyndikat für die Eurozentralisierung und Fortsetzung der Schuldenorgien – alles, was Deutschland nicht wollte und für das es nun mit büssen wird.
08:59 Publié dans Actualité, Affaires européennes, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, actualité, europe, affaires européennes, emmanuel macron, france, politique internationale, élections françaises, présidentielles françaises | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Der Untertitel dieses Buches, Über die Unvereinbarkeit von Sozialstaat und Masseneinwanderung, ist dagegen irreführend. Das ist gut so. Zu diesem Thema gäbe es schließlich wirklich nichts mehr zu sagen. Wer bis jetzt nicht begriffen hat, daß ein Solidarsystem nur aufgrund der Exklusivität seiner Leistungen funktionieren kann, daß auf gut Deutsch „wir nicht das Sozialamt der Welt sein können“, ohne unsere Sozialsysteme durch Überbeanspruchung in den Zusammenbruch zu treiben, der wird es nie verstehen.
Zum Glück hat Rolf Peter Sieferle (1949-2016) weit mehr zu bieten als diese Trivialität. In Das Migrationsproblem versucht er das Phänomen der Masseneinwanderung innerhalb des funktionalen Rahmens der heutigen westlichen Demokratie zu erklären und geschichtlich einzuordnen. Das alles geschieht auf knappen 124 Seiten. Sieferles Problem besteht daher nicht, wie der Titel befürchten ließ, in der ewigen Wiederholung des bereits Gesagten. Im Gegenteil: Bei diesem Großessay – das Wort „Studie“ taugt hier wirklich nicht – muß er sich den Vorwurf gefallen lassen, die Masse gebündelt präsentierter Einsichten kaum zusammenhalten zu können.
Ebenso lesbar wie umfassend
Trotz des Mangels an innerer Struktur bleibt das Buch jedoch ebenso lesbar, wie es umfassend ist. Es gelingt Sieferle vom Kern seiner Erörterung, der destruktiven Wechselwirkung zwischen Sozialstaat und Einwanderung, in welcher der Sozialstaat die Einwanderer anzieht und diese den Sozialstaat überdehnen, Verbindungen in fast alle Richtungen aufzubauen.
Er beginnt mit den Ursachen der Migration und macht deutlich, daß es angesichts der Bevölkerungsexplosion der Dritten Welt keinen relevanten Unterschied zwischen Wirtschaftsmigranten und Bürgerkriegsflüchtlingen gibt. Vom welthistorisch unvermeidlichen Rückgang der „Bürgerschaftsrente“ in den alten Industrieländern geht er über zur Entlarvung der verschiedenen Narrative, mit denen die Politik der Masseneinwanderung ihr Handeln bemäntelt.
Einwanderer stoßen nicht in „leere Räume“
Insbesondere eine einfache Erkenntnis verdient es gerade auch von den Gegnern des multikulturellen Experiments zur Kenntnis genommen zu werden: Die derzeitige Masseneinwanderung hat nichts mit der rückläufigen Demographie der entwickelten Länder zu tun. Diese ist vielmehr eine gesunde Entwicklung in einer Zeit, in der das Massensterben durch Infektionskrankheiten glücklicherweise der Vergangenheit angehört.
Die „Invasoren“ (org. Sieferle) stoßen nicht in leere Räume vor. Im Gegenteil, sie ziehen normalerweise aus dünner besiedelten in dichter besiedelte Gebiete. Sieferle leugnet nicht den von Gunnar Heinsohn postulierten demographischen Druck des Jugendüberschusses, aber die komplementäre Idee eines demographischen Soges aus dem kinderarmen Europa, der ja immer ein „selber schuld“ impliziert, verweist er ins Reich der Legenden. Dasselbe gilt für die sich selbst so bezeichnende antiimperiale Ideologie, die die Armut der Dritten Welt durch angeblich ausbeuterischen Handel mit der Ersten erklärt. Als ob diese Länder nicht schon lange vor der Kolonialzeit arm gewesen wären und das Handelsvolumen der Industrieländer untereinander nicht ihren Warenaustausch mit den Entwicklungsländern um ein Mehrfaches überstiege.
Die ochlokratische Degeneration
Dabei spricht Sieferle den Europäern keineswegs die Verantwortung für ihr derzeitiges Dilemma ab. Im Gegenteil, er betrachtet ihre gegenwärtigen politischen Systeme als unreformierbar korrumpiert. Manchmal beschleicht einen dabei der Verdacht, der unspektakuläre Titel des Buches diene der Verschleierung, um zumindest das Geschrei der Sorte bundesrepublikanischer Kritikaster abzuhalten, die solch ein Buch sowieso nicht lesen, aber bei einer treffenderen Inhaltsbeschreibung schon wegen des Titels in das übliche Gekreische verfallen wären.
Sieferle sieht unsere Demokratie jedenfalls in vollem ochlokratischen Verfall, der sich an der steigenden Staatsverschuldung, die ja nichts anderes als Konsum auf Pump ist, geradezu messen lasse. Kurz erörtert er die Probleme der verschiedenen Formen staatlicher Degeneration um schließlich die Frage zu stellen, ob das chinesische System nicht besser geeignet wäre die Nachhaltigkeitsprobleme des 21. Jahrhunderts zu bewältigen.
Universalistische Ethik und tribalistische Moral
In dieser Ochlokratie wirke nun die universalistische Ethik der Gleichheitsideologie katastrophal. Das infantilisierte Volk wähle auch in der Ethik den Weg des geringsten Widerstandes und finde nichts dabei, sich durch die Aufnahme unintegrierbarer „Barbaren“ (org. Sieferle) jenes gute Gewissen zu kaufen, daß in den Wohlfahrtszonen zum Lebensstandard gehöre.
Hier liegt jedoch auch die größte Schwäche des Buches. Sieferle, der sonst weit mehr Erscheinungen erörtert, als hier behandelt werden können, schweigt sich über die Entstehung und Verbreitung der multikulturellen Ideologie aus. Sie scheint ihm vom Himmel gefallen, ein unabwendbares Schicksal der abendländischen Zivilisation. Lediglich den Nationalsozialismus macht er als Ursache aus. Hier verfällt Sieferle jenem ganz speziellen konservativen Auschwitzkult, der Hitler die Schuld am eigenen Versagen zuschiebt. Angesichts eines solchen Verhängnisses kommt es ihm gar nicht mehr in den Sinn sich zu fragen, ob die gegenwärtige metapolitische Misere nicht vielmehr das Ergebnis harter propagandistischer Arbeit der Linken war, die mit ebensolchen Anstrengungen auch in die Mülltonne der Geschichte getreten werden kann. Stattdessen nimmt das Buch entschieden defätistische Züge an.
Wieder einmal die Deutschen
Mit dem Holocaust als Ursache des Multikulturalismus stößt Sieferle auch auf eine merkwürdige Version der These vom deutschen Sonderweg, die sich durch das ganze Buch zieht. Gerade Deutschland erscheint ihm als das unangefochtene Zentrum und der Ausgangspunkt des multikulturellen Wahnsinns. Damit verglichen sei der restliche Westen noch relativ normal. In seinem anderen Nachlaßwerk, Finis Germania, wird dies noch deutlicher, gepaart mit einer für solche Ansichten nicht untypischen Anglophilie, die das gegenwärtigen England und Amerika, aber auch Frankreich als „bürgerlich-aristokratische Welt“ bezeichnet.
Angesichts des jahrzehntelang von keiner Polizei behinderten Handels pakistanischer Banden mit englischen Mädchen, den regelmäßig brennenden französischen Vorstädten und der absurden Exzesse amerikanischer social justice warriors, dürften jedoch alle auf deutsche Besonderheiten verweisenden Erklärungen der multikulturellen Ideologie schwer haltbar sein. Damit ist es freilich auch nicht möglich, sich durch den Verweis auf ein angebliches geschichtliches Verhängnis von der eigenen Handlungsverantwortung loszusprechen.
Die eigentlichen Probleme
Sehr sinnvoll ist hingegen Sieferles Einordnung des Migrationsproblems in die geschichtlichen Horizonte unserer Zeit. Angesichts seiner langjährigen Beschäftigung mit dem Thema ist es nicht verwunderlich, daß er hier vor allem an die unbewältigten energiewirtschaftlichen Fragen unserer industriellen Zivilisation denkt. Die gegenwärtige Wirtschaftsweise zerstöre rasch die eigenen Grundlagen und eine neue Nachhaltigkeit sei nur durch massive technologische Durchbrüche – und keineswegs durch Nullwachstum – möglich.
Ob ein islamisiertes oder afrikanisiertes Europa zu dieser tatsächlichen Menschheitsaufgabe seinen Beitrag wird leisten können, sei doch mehr als fraglich. Mit dieser Einordnung zeigt Sieferle das Migrationsproblem als das auf, was es letztlich ist: Ein neuer Barbarensturm, den wir angesichts drängendster anderer Probleme derzeit brauchen können wie einen Kopfschuß.
Rolf Peter Sieferle: Das Migrationsproblem. Über die Unvereinbarkeit von Sozialstaat und Masseneinwanderung. Die Werkreihe von TUMULT#01. Hg. von Frank Böckelmann. 136 Seiten.
Bildhintergrund: Regina Sieferle (privat), CC-BY-SA 4.0