lundi, 13 avril 2020
Sonnet en souvenir de Guillaume Faye - L’IGNÉ ET L’ACQUIS
Sonnet en souvenir de Guillaume Faye
par Michel Dejus
L’IGNÉ ET L’ACQUIS
Le visage grimé et une faim de loup
De l’avaleur de feu qui se moque du pire.
Un envol vertical pour débonder la lyre.
La fièvre de l’aède qui enfonce le clou.
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Éructer au micro d’une radio gageure
Sur un chemin à part sans souci du retour.
Mais la muse se tient dans ses plus beaux atours.
L’orichalque flamboie sous la robe de bure.
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Les poisons circonspects apitoient le destin
Qui griffe vivement les pages d’un festin.
Synapses cuirassées d’une mémoire sauve.
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Nos jeunes ricochets en mer occidentale
Musique de l’espoir, trémulations de fauve.
Para bien/para mal tu es la marque mâle.
00:58 Publié dans Hommages, Nouvelle Droite, Synergies européennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : guillaume faye, nouvelle droite, poésie, hommage | | del.icio.us | | Digg | Facebook
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