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dimanche, 27 juin 2021

Une démocratie mal entendue, la ruine du peuple (Ernest Renan)

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Une démocratie mal entendue, la ruine du peuple (Ernest Renan)

 
Dans cette vidéo, nous nous intéressons à un auteur fameux, plus souvent cité que lu de nos jours : Ernest Renan et son livre fondamental, "la Réforme intellectuelle et morale". Ce livre, capital, fut écrit à la suite de la défaite française de 1870 et l'auteur s'interroge sur les causes de la faiblesse de la France. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, ce texte, loin d'être dépassé, est plus actuel que jamais : les mêmes causes engendrent les mêmes effets.
 
 
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Musiques utilisées dans la vidéo :
- Felix Mendelssohn : Les Hébrides, ouverture
- Gabriel Fauré : Pavane, Op. 50
- Franz Schubert : Trio op. 100
- Andante con moto
 
Pour vous procurer le livre d'Henri Levavasseur : https://nouvelle-librairie.com/boutiq...

La revue de presse de CD - 27 juin 2021

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La revue de presse de CD

27 juin 2021

AFRIQUE

Corruption au Mali : La justice, la police et les douanes en tête du classement de Mali-Mètre

Que pensent les Maliens de la gestion des affaires publiques ? C’est la question posée pour la 12ème fois dans cette édition du Mali-Mètre. A l’analyse du présent sondage, on note l’insatisfaction des Maliens dans plusieurs domaines.

Notamment au niveau de la justice, la police et les douanes.

La Dépêche du Mali

http://depechesdumali.com/economie/33999-corruption-au-ma...

BIOETHIQUE

PMA : Le Droit à l’oncle

Ses apôtres les plus convaincus, pour le moment, ne sont pas des États totalitaires, mais Google et les libertarians californiens. On ne voit pas du tout comment on pourrait avoir, dans les conditions actuelles, une PMA sans renforcer la poussée vers l’homme génétiquement augmenté et renforcer ultérieurement le pouvoir de ceux qui en détiennent les clefs. Mais ceux et celles qui ne pensent qu’à leur « droit à l’enfant » en sont tellement obsédés qu’ils jettent sans hésiter par-dessus bord tous leurs principes habituels. Certains féministes, surtout dans les années 1980-90 avaient dénoncé dans les techniques de reproduction une expropriation des corps des femmes par une technoscience de caractère masculine. Ont-elles été « invisibilisées » par les fanatiques de la PMA ?

Pièces et Main d’OEuvre

http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&a...

FOOTBALL

À qui profite le foot ?

Transferts de joueurs d’un club à l’autre, paris aux sommes astronomiques, salaires indécents, milliards d’euros de droits télévisés : les revenus issus du « footbusiness » ne cessent de passionner. Pourtant ce jeu n’a pas toujours été aux mains de grandes multinationales.

Contrepoints

https://www.contrepoints.org/2021/06/19/317936-a-qui-prof...

GEOPOLITIQUE

ONU/Yemen : le courrier secret qui valide le permis de tuer de l’Arabie saoudite

La chaîne de Denis Robert, Blast, publie un document exclusif qui dévoile un épisode jusque-là secret : à l’été 2016, soucieuse que le conflit - dans lequel elle intervient à la tête d’une coalition - reste une guerre oubliée, la monarchie des Saoud a fait pression pour que le secrétaire général de l’ONU ferme les yeux sur les dizaines de milliers de morts civils, dont les enfants yéménites.

Blast-info

https://www.blast-info.fr/articles/2021/onu-yemen-le-cour...

2539206_medium.jpgLivre – L’Irak chiite parle persan

Théo Nencini, diplômé de Sciences Po Grenoble, fin connaisseur de l’Iran et persanophone, a écrit cet ouvrage au retour d’un séjour académique à l’université de Téhéran. Spécialiste des questions géopolitiques et sécuritaires au Moyen-Orient, il a été consultant en sûreté internationale. Cette triple expérience lui a permis de se poser les bonnes questions tout en inscrivant sa recherche sur le temps long, prisme indispensable pour décrypter les évènements d’aujourd’hui.

Conflits

https://www.revueconflits.com/livre-theo-nencini-l-irak-c...  

Ethiopie, Egypte, Soudan. Le Grand Barrage de la Renaissance

Le barrage de la Renaissance sera-t-il le barrage de la guerre ? Si ce barrage est vital pour assurer l’apport hydraulique dont l’Ethiopie a besoin, pour l’Egypte c’est un casus belli car celui-ci bloque l’approvisionnement en eau du Nil. La mise en route de celui-ci va-t-il provoquer une guerre de l’eau ? Entretien avec Mikail Barah, chargé du parcours Sciences Politiques et Relations Internationales de l’Université Saint Louis à Madrid ; directeur de l’Observatoire des Crises contemporaines ; auteur notamment de l’ouvrage L’eau, source de menaces ?

Conflits

https://www.revueconflits.com/egypte-ethiopie-eau-nil-mik...

MEDIAS

Mort des médias de grand chemin ? Une tribune de Modeste Schwartz

L Observatoire du journalisme nous permet cette semaine de pouvoir accéder exceptionnellement à un article de Modeste Schwartz paru dans la revue en ligne de Slobodan Despot, Antipresse, du 13 juin 2021, exclusivement réservé aux abonnés. Le thème : l’empire des médias de grand chemin est mort et déjà enterré. La presse papier n’intoxique plus qu’un dernier stock de retraités provinciaux ; quant aux médias « 2.0 », ils ne survivent que moyennant une orgie de subventions et ne sont, de fait, que des prostituées de l’oligarchie. Tableau du désastre,

OJIM

https://www.ojim.fr/mort-des-medias-de-grand-chemin-une-t...

 

La guerre contre la Russie, un alibi pour accélérer le Reset?

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La guerre contre la Russie, un alibi pour accélérer le Reset?

par Nicolas Bonnal

Pourquoi cette guerre contre la Russie ? Les fous alliés ne savent-ils pas qu’ils s’écroulent économiquement et militairement – et surtout intellectuellement ? Mais au moment où certains optimistes les voient s’écrouler, eux se voient resplendissants, en train de mettre la population européenne au pas. Le traité Tafta qui faisait peur aux naïfs il y a quelques années va être appliqué, et nous sommes plus impuissants que jamais face à des élites devenues folles, et devenues les sectatrices de la secte technognostique (voyez mon premier livre sur internet) de Davos, secte illuminée d’un monde aussi farfelu et irréel (disait Borges le 23 novembre 1944) que celui de ces mêmes nazis.

C’est là qu’on peut juger de l’utilité d’une guerre contre la Russie ; et mon lecteur Alexandre Karadimas (le Grand Reset c’est la pénurie et internet) me dit comme ça en passant que cette guerre – une guerre immobile comme celle de 1984, que l’on ne gagne pas et où l’on ne bouge pas – serait pour ces élites tarées une merveilleuse opportunité, comme dirait Klaus Schwab, pour nous mettre au pas.

En vrac ils pourraient (vous pourrez ajouter ce que vous voudrez naturellement) :

Supprimer le web contestataire et ne garder que le web abrutissant. Voyez Biden qui a fait interdire entre deux gargouillements 17 sites de la résistance.

Ils pourraient passer très vite à la confiscation des logements.

Ils pourraient passer à l’argent numérique encore plus vite que prévu et confisquer nos avoirs bancaires (que faut-il faire ? Acheter des monnaies mais un Gold Reserve Act nous attend au tournant).

Ils pourraient institutionnaliser définitivement les couvre-feux.

Ils pourraient récupérer le nationalisme débile qui est increvable en Europe et le systématiser contre la Russie, non pour envahir ce grand pays, mais pour nous faire mener une vie de crève-misère. Orwell le précise bien dans son livre-phare (un manuel du pouvoir, comme dit Lucien Cerise). Céline a parfaitement compris que le nationalisme est toujours le plus grand ami des Etats, et qu’un Etat totalitaire a toujours à gagner d’un regain de chauvinisme ou de jingoïsme. Et en Europe on n’en n’est jamais très loin.

Ils pourraient mettre en place le camp de concentration électronique, profitant comme toujours de la trouille et de l’abrutissement des populations.

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Attention, cette guerre devra être dosée. Il n’est pas question pour nos bourricots fascisés de vaincre la Russie : il est question de l’utiliser pour nous anéantir humainement, démographiquement (-20% de natalité depuis le Covid) et économiquement. Evidemment en anéantissant leur propre socle matériel ces imbéciles ne pourront écraser ni la Chine ni la Russie. Mais allez chercher une logique chez une secte ; comme disait Borges, les nazis veulent être battus.

Puissent-ils l’être et radicalement, et prochainement.

Orwell et le Reset, en attendant : « Le but primordial de la guerre moderne est de consommer entièrement les produits de la machine sans élever le niveau général de la vie. »

A lire: https://www.dedefensa.org/article/lantirussisme-a-la-lumiere-de-george-orwell

 

 

La stratégie italienne vis-à-vis de l'Asie centrale

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La stratégie italienne vis-à-vis de l'Asie centrale

Par Vincenzo D'Esposito

http://osservatorioglobalizzazione.it/progetto-italia/la-...

Située au centre de la mer Méditerranée, la péninsule italienne joue le rôle de charnière entre l'Orient et l'Occident depuis l'époque de Marco Polo. Avec la fin de la guerre froide, en particulier, il a été possible de lancer une activité importante pour promouvoir l'influence du Bel Paese dans les nouvelles républiques postsoviétiques d'Asie centrale. Dans cette stratégie, un rôle clé a été joué par les excellentes relations que Rome a pu cultiver avec les principales puissances régionales d'Asie centrale. La politique de l'Italie à l'égard des ‘’Stans’’ doit donc être lue à la lumière d'un large éventail de variables.

La recherche de ‘’Living Space’’

L'Italie est un État pauvre en matières premières. Au cours des deux derniers siècles, sa principale préoccupation a toujours été d'assurer un approvisionnement suffisant en matières premières et, en particulier, en combustibles fossiles. Cette nécessité a conduit Rome à s'impliquer, surtout après la seconde guerre mondiale, dans de nombreuses régions importantes en vue de leur extraction.

Compte tenu de la projection géoéconomique traditionnelle de l'Italie en tant que région, qui voit dans la Méditerranée dite élargie la principale zone d'influence du Bel Paese, il n'est pas surprenant qu'en termes de géopolitique énergétique, Rome soit allée bien au-delà de la région euro-méditerranéenne. Devant importer la quasi-totalité des combustibles fossiles nécessaires à son économie, l'Italie a, au fil des décennies, tissé des relations économiques avec d'innombrables États présents dans les principales régions extractives situées au-delà de sa sphère d'influence historique.

Au cours des dernières décennies, l'Italie a également dû faire face à l'essor économique de la Chine et de l'Asie du Sud-Est. Le développement des pays d'Extrême-Orient a entraîné une réorientation commerciale stratégique pour l'Italie, ce qui l'a amenée à considérer avec un intérêt croissant les territoires traversés par le projet géo-économique chinois des Routes de la Soie.

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La recherche de nouvelles régions d'où importer des combustibles fossiles et la nécessité de trouver un débouché pour les produits finis italiens vers l'Extrême-Orient ont placé l'Asie centrale dans une position de premier plan. Située à mi-chemin entre l'Europe et la Chine, cette région est devenue au fil des ans un élément fondamental de la vision géopolitique de l'Italie.

Pourquoi l'Asie centrale ?

L'ancien Heartland de Mackinder s'étendait de l'Arctique russe aux rives de la mer Caspienne, en passant par l'Himalaya et les hauteurs de l'Afghanistan. C'était un territoire pratiquement inaccessible depuis la mer, surtout au cours des siècles passés, lorsque la navigation dans l'Arctique était presque totalement absente et que les grandes puissances maritimes avaient du mal à pénétrer dans cette région vaste mais, par endroits, totalement inhospitalière. L'Italie, puissance maritime mais aussi partiellement terrestre, fait exception à cette règle. Depuis le Moyen Âge, en effet, les marchands génois et vénitiens ont commercé avec les riches villes qui ont surgi le long de la route de la soie. Le voyage de Marco Polo, de Venise à la Chine en passant par l'Asie centrale, est célèbre.

Cette région coincée entre la Chine, la Turquie, la Russie et l'Iran a donc appris très tôt à connaître les Italiens. Avec la chute de l'Union soviétique, un État qui considérait déjà l'Italie sous un jour beaucoup moins favorable que le reste de l'Occident, la région située de l'autre côté de la mer Caspienne a ouvert une multitude de possibilités aux entreprises italiennes. Poursuivant une politique de diversification des approvisionnements énergétiques, Rome a résolument visé ce territoire stratégique également pour les implications politiques qu'une coopération économique pourrait faciliter.

Les champs pétrolifères du Kazakhstan ont immédiatement attiré l'attention de la principale compagnie pétrolière italienne, ENI, qui a commencé à opérer dans le pays en 1992, en acquérant la concession en coopération avec Shell du champ de Karachaganak. Chaque jour, ENI extrait 240.000 barils de pétrole et 280 millions de mètres cubes de gaz de ce champ. Les autres champs kazakhs dans lesquels ENI est active sont Isatay, Abay et Kashagan. Un autre pays important en termes d'énergie est le Turkménistan, où l'Italie est entrée en 2008, toujours grâce à ENI, avec le champ pétrolifère de Burun dans la partie occidentale du pays. Dans ce cas, environ 3 millions de barils de pétrole sont extraits par an. Le dernier pays important du point de vue des ressources gazières et pétrolières est l'Ouzbékistan, auquel l'Italie accède à partir de 2021 par le biais d'une filiale d'ENI, Versalis, qui devrait construire un complexe chimique à Karakul.

Si la question énergétique reste la priorité pour guider l'approche de l'Italie en Asie centrale, les relations avec les États-Unis et l'Union européenne ne sont pas les mêmes.

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Si la question énergétique reste la priorité pour orienter l'approche italienne en Asie centrale, les relations cordiales que l'État a réussi à établir avec les cinq anciennes républiques soviétiques ont également favorisé des initiatives dans des secteurs autres que le pétrole et le gaz. Les investissements dans les énergies renouvelables au Kazakhstan, dans l'agriculture et la mécanique en Ouzbékistan et dans l'hydroélectricité au Tadjikistan ne sont que quelques-uns des vecteurs par lesquels Rome projette son influence le long de la route de la soie. Au Tadjikistan, en particulier, le géant Webuild, anciennement Salini Impregilo, construit ce qui sera le plus grand barrage d'Asie centrale: le barrage de Rogun.

Les gouvernements italiens ont été particulièrement attentifs aux États d'Asie centrale, s'attirant parfois même les critiques de la communauté internationale, comme dans l'affaire Shalabayeva. Les intérêts économiques qui lient Rome à Nursultan Nazarbaïev ont en effet conduit le gouvernement Letta de l'époque à renvoyer au Kazakhstan, en mai 2013, la femme du dissident Mukhtar Ablyazov et sa fille. Les juges de Pérouse ont appelé à juger les sept policiers impliqués et ont récemment décidé qu'il s'agissait d'un "enlèvement d'État".

Une région habitée par des acteurs différents

L'avantage majeur dont bénéficie l'Italie dans son approche de la région d'Asie centrale est toutefois lié aux relations particulièrement favorables qu'elle a établies avec les grandes puissances actives dans la région. La Russie, la Chine et la Turquie ont, en effet, des intérêts importants en Asie centrale.

La Russie, qui domine la région depuis plus de deux siècles, est particulièrement active dans les questions liées à la sécurité et à l'intégration eurasienne, avec un certain nombre d'organisations impliquant

Draghi, le dialogue entre Rome et l'Asie centrale revêt une importance fondamentale. Assurer la présence italienne le long des nouveaux canaux commerciaux vers la Chine à travers une chaîne d'États amis, bien huilés par les investissements et la collaboration politique, pourrait être un choix gagnant. Le monde regarde Moscou et les États d'Asie centrale. L'OTSC, la CEI et l'UEE sont les piliers qui soutiennent l'architecture que la Russie a mise en place pour lier à elle les anciennes républiques soviétiques d'Asie centrale.

La Chine, terminus historique de la route de la soie, a donné un nouveau souffle à ce projet, en le soutenant par des investissements importants. Les ‘’stans’’ ont été fortement intéressés par le flux d'investissements venant de Pékin, en en profitant pour moderniser leurs infrastructures et ouvrir leurs économies à un marché de près d'un milliard et demi de personnes. Enfin, en profitant du mécanisme multilatéral de l'OCS, la Chine s'est progressivement insérée dans la région également en termes de sécurité.

La Turquie est l'État qui est culturellement le plus proche des républiques d'Asie centrale, puisque celles-ci parlent le turc et ont une culture mongole-turque au nord et une culture perse-turque au sud. Moins présente sur le front de la sécurité, la Turquie se montre très active vis-à-vis de la région au-delà de la Caspienne par le biais du Conseil turc pour promouvoir l'idée du pan-turquisme. Le corollaire de cette idée devrait être une coopération économique et politique renforcée, que la Turquie poursuit à la fois sur le plan bilatéral et par un intérêt renouvelé pour l'ECO.

Des conditions favorables pour l'Italie

La relation historique privilégiée entre Rome et Moscou, ainsi que les relations positives que l'Italie a su créer avec la Turquie dans les principales zones où les deux sphères d'influence se chevauchent, jusqu'au dialogue positif existant avec la Chine, font de l'Italie un partenaire idéal pour les ‘’Stans’’.

Acteurs particulièrement affirmés dans la défense de leurs intérêts, les Etats d'Asie centrale trouvent dans le Bel Paese un canal privilégié de dialogue avec l'Union européenne. Rome est, en effet, le principal importateur de pétrole kazakh et l'un des plus grands investisseurs européens dans la région. La culture italienne est par ailleurs largement appréciée, tandis qu'au niveau national, un intérêt se crée à l'égard de ces pays si stratégiques dans le dessein géo-économique de relier l'Europe à l'Asie par les routes de la soie.

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Le gouvernement italien a mis en place en 2019 une table de dialogue Italie/Asie centrale qui sert à coordonner les politiques et les investissements vers une région qui devient de plus en plus attractive à cet égard. À ce niveau, le processus de libéralisation de l'économie de l'Ouzbékistan, le deuxième moteur économique de la région, qui permet aux investisseurs internationaux de considérer l'Asie centrale comme un ensemble de marchés complémentaires, a été très utile.

Du point de vue de la réorientation stratégique de l'Italie vers l'Est, malgré certains coups de frein du nouveau président vers l'Est et l'Italie aussi.