dimanche, 27 juillet 2025
Est-ce la fin de Zelensky?
Est-ce la fin de Zelensky?
Andrea Marcigliano
Source: https://electomagazine.it/la-fine-di-zelensky/
Zelensky, le petit, minuscule et envahissant tyran de Kiev, semble arrivé à la fin de sa route.
Beaucoup de signaux indiquent qu’il perd presque tout soutien.
À commencer par celui, évidemment essentiel, de Washington.
Trump ne l’a jamais estimé. Et ne l’a jamais considéré comme utile. Au contraire, il l’a toujours vu comme une créature de Biden. Et comme un obstacle concret à ses propres stratégies.
Des stratégies qui visent à détendre les relations avec Moscou. Et cela pour des raisons économiques – l’importation de matières premières dont la Russie est un grand producteur – ainsi que pour des raisons purement politiques.
Le problème de Trump, c’est Pékin. Un rival commercial de première importance. Et le président américain sait bien qu’en isolant la Chine de Moscou, il pourra tenter d’affaiblir la concurrence chinoise dans la guerre en cours. Une guerre commerciale, du moins pour l’instant, mais une guerre quand même.
Donc Zelensky doit être houspillé hors des sphères du pouvoir à Kiev. D’une manière ou d’une autre. Parce qu’il a trop souvent dépassé les limites, instauré une dictature personnelle, s’est enrichi, lui et son cercle, aux dépens des Ukrainiens. Qu’il a envoyés à la boucherie.
Et il doit aussi être chassé parce que Poutine n’a aucune intention de négocier avec lui. Il le considère, non sans raison, comme illégitime. Et si Zelensky restait en place à Kiev, il n'y aurait aucune possibilité de rétablir la situation.
Il n’y a donc que deux solutions: soit les Russes arrivent jusqu’à Kiev et effacent l’Ukraine des cartes géographiques, soit il y aura la guerre totale. Que Trump ne veut absolument pas.
Donc Zelensky doit partir. En douceur ou par la force. Et à Kiev, quelqu’un, probablement un militaire, doit prendre le pouvoir et négocier officiellement avec le Kremlin. Et il faut aussi que ce nouveau personnage soit accepté par Poutine.
Le petit, minuscule, tyran de pacotille, cependant, ne semble pas vouloir se rendre. Il s’est probablement trop identifié à son rôle, et tente, désespérément, de s'accrocher au pouvoir. En espérant le soutien des Anglais et des Européens.
Un espoir vain. Car, malgré leurs discours et leurs promesses (n'es-ce pas, Madame Meloni ?), les Européens, sans les États-Unis, ne sont tout simplement pas capables d’affronter la Russie.
Et Poutine le sait très bien.
En attendant, la rue à Kiev s’enflamme. Elle demande, à haute voix, la démission de Zelensky.
Je peux me tromper, mais il me semble que cette mobilisation est fabriquée. Préparée et provoquée par des centres de pouvoir occidentaux. Emanant de Washington. De Trump, pour être clair.
Zelensky a toujours contrôlé le pays, en déployant une censure stricte et une répression violente.
Et cette politique, disons, s’est accentuée au cours des deux dernières années.
Il est donc très peu probable que les manifestations demandant sa démission soient « spontanées ».
Il est plutôt envisageable de les voir comme un signal clair de Washington. Qui veut un changement de personnage dans la triste farce que les Américains ont mise en scène à Kiev.
Pour lui, pour cet acteur jadis forcé à se hisser au pouvoir, c’est désormais la dernière cloche qu'il entend sonner.
Et s’il ne le comprend pas, en se retirant dans l’un des paradis fiscaux où il a amassé des fortunes volées à l’Ukraine, ce sera peut-être le glas.
12:45 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : volodymir zelensky, actualité, europe, ukraine, affaires européennes | |
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