lundi, 28 mars 2011
Zitat: Joachim Fernau
Der „Staat“ hat mich nie gekannt, nie angesehen. Ich habe ihn immer nur kennengelernt, wenn er wie ein von der Sauftour heimkehrender Vater mich entdeckte und prügelte. Fallen Sie nicht auf die Lüge hinein, dass Vaterland gleich Staat ist.
Joachim FERNAU.
L’ « Etat » ne m’a jamais reconnu, ne m’a jamais honoré. Je ne l’ai connu que d’une façon : comme on connaît un père qui revient fin saoul après une virée dans les bistrots, qui vous trouve dans la maison et vous rosse. Ne tombez jamais dans l’erreur de croire que la patrie équivaut à l’Etat.
Joachim FERNAU.
Never was I recognized nor honoured by the “State”. I’ve only known it in a single way : as a shit-faced father coming home after having done all the pubs and who discovers and smacks you. Never believe the lie that tells you that Fatherland equals State.
Joachim FERNAU.
00:05 Publié dans Littérature, Philosophie, Réflexions personnelles | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, lettres, lettres allemandes, littérature allemande, allemagne, joachim fernau, réflexions personnelles, philosophie | | del.icio.us | | Digg | Facebook
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