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vendredi, 06 novembre 2015

Medienkrieg: Washington stockt Etat für Anti-Rußland-Propaganda auf

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Medienkrieg: Washington stockt Etat für Anti-Rußland-Propaganda auf

Ex: http://www.zuerst.de

Washington. In Syrien geben die USA zwar vor, gemeinsam mit Rußland die Terrormiiz “Islamischer Staat” (IS) bekämpfen zu wollen. Gleichzeitig unterläßt Washington aber nichts, um Rußland zu provozieren und unter Druck zu setzen, wie der anhaltende Konfrontationskurs der NATO in Europa zeigt.

Dazu paßt, daß Washington auch an der Medienfront aufrüstet. Jetzt hat der stellvertretende US-Beauftragte für Europa und Eurasien, Benjamin Ziff, in einer Sitzung des Senatsausschusses für auswärtige Angelegenheiten erklärt, daß die USA die Ausgaben für Informations- und Propagandaaktivitäten gegen Rußland auf 83 Millionen Dollar aufstocken werden. Natürlich geht es Ziff zufolge offiziell dabei nicht um “Propaganda”, sondern vielmehr um Gegenpropaganda.

Im neuen Finanzjahr 2016, das am 1. Oktober begonnen hat, werden die Ausgaben für “die Unterstützung der Zivilgesellschaft und der unabhängigen Medien in Eurasien und Süd-Ost-Europa” laut Ziff um 26 Prozent erhöht. Der neue Etat liegt dann bei stattlichen 83 Millionen US-Dollar. 2015 hatte Washington dafür noch 66 Millionen ausgegeben. Der Presse-Anteil lag dabei bei 16 Millionen Dollar, etwa vier Millionen Dollar waren für den Etat “Öffentliche Diplomatie” veranschlagt.

Ziff fügte bei seinem Bericht im Senatsausschuß ergänzend hinzu, daß mit den veranschlagten Geldern nicht nur im russischsprachigen “Informationsraum” gearbeitet wird, sondern zum Beispiel auch auf dem Westbalkan.

Erst kürzlich hatte die Bundesregierung in der Antwort auf eine Parlamentarische Anfrage der Bundestags-LINKEN Einzelheiten zur westlichen Medien- und Propaganda-Infrastruktur im osteuropäischen Aufmarschraum gegen Rußland bekanntgegeben. Demnach sei seit Anfang April eine “EU East Stratcom Task Force” aufgebaut worden, die aus Überlegungen “für ein spezielles Team für strategische Kommunikation in Richtung der Länder der Östlichen Partnerschaft und Rußland” hervorgegangen sei. Seit dem 1. September habe die Medien-“Task Force” ihre “volle Personalstärke erreicht und offiziell ihre Aufgaben übernommen”. Ihre Aufgabe sei es unter anderem, hatte die Bundesregierung in ihrer Antwort weiter erläutert, die “russischsprachigen Medien [zu] beobachten und zu analysieren, um ein besseres Bild von der Wahrnehmung der EU in der Östlichen Partnerschaft zu bekommen”.

Wie für den US-Diplomaten Benjamin Ziff steht auch bei diesem Projekt für die westliche Seite völlig außer Frage, daß die “Propaganda” aus Moskau kommt, während im Westen unabhängige, objektive Medien den Ton angeben. Die Informationen offizieller russischer Medien werden generell als “Desinformationsaktivitäten” und “Fehlinformationen” gewertet. (mü).

 

Crise migratoire, la ruralité mise au pas

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Crise migratoire, la ruralité mise au pas

par Jacques Thomas

Ex: http://cerclenonconforme.hautetfort.com

Le 27 octobre 2015 sera à noter dans les annales. A l'instar d'autres dates symboliques concernant les « progrès » de la submersion migratoire que connaît notre continent depuis plus de quarante ans...

Que s'est-il passé ce jour ?

Le 27 octobre 2015, aux environs de 10h du matin, six autocars transportant près de 292 « migrants » évacués sur « volontariat »  de la Jungle de Calais ont pris la route. En sus de Villeurbanne ou encore de Istres, trois lieux de destination sont à inscrire dans nos esprits : Guerche, Arry et Mauzac-et-Grand-Castang. Trois villages de quelques centaines d'habitants. Un en Bretagne, un en Lorraine et le dernier dans le Périgord.

Ces « migrants », certains ayant vécu pendant près d'un an à Calais, ont été convaincus par diverses structures associatives de renoncer au mirage britannique pour se maintenir en France. Seront étudiées au cas par cas les possibilités de maintien sur le territoire français, qui n'en doutons pas, seront trouvées.

Il s'agit bien évidemment d'un test, d'une première vague. Bernard Cazeneuve a affirmé que, dans un premier temps, près de 2000 personnes allaient bénéficier de ces mesures de délocalisation mais nous pouvons affirmer dès à présent que ce sera bien plus.

Trois éléments sont à considérer.

Premièrement : La volonté étatique, explicitement affirmée, est de diffuser, comme en intraveineuse,  l’immigration clandestine à travers l'ensemble du territoire et particulièrement dans le monde rural.

La ruralité est, que nous le voulions ou non, notre dernier refuge, le lieu où nous pouvons encore envisager un avenir sérieux et durable pour nos familles (recours aux forêts, BAD, projets localistes, etc.). Or, cette décision de transfert voulu par les autorités, sans même prévenir les habitants des lieux, est un message explicite : « Bande de péquenots, vous n'y échapperez pas ! Nulle part vous ne trouverez la paix. »

Deuxièmement : Cette décision est la preuve que la situation sur Calais n'est absolument pas maîtrisée. L'arrivée des froids ne doit pas être étrangère à cette dernière. La crainte de voir encore quelques milliers d'individus supplémentaires venant s'ajouter aux plus de 6000 présents terrorise littéralement les pouvoirs publics. Les associations sur site ne parviennent plus à gérer le flux et à travailler sereinement. La situation est explosive et dégénérera nécessairement dans les semaines à venir.

Troisièmement : Il sera très intéressant de suivre, pour les secteurs concernés par cette mise sous perfusion migratoire, les évolutions des troubles et incivilités (vols, dégradations, viols, etc.) ainsi que celui du vote Front National. En s'attaquant à la France rurale et péri-urbaine, celle déconnectée des métropoles mondialisées et où les sentiments identitaires sont vivaces (malgré une tendance fréquente à voter bizarrement…), le système fait un pari audacieux et dangereux pour sa survie.

Jacques Thomas / C.N.C.

Note du C.N.C.: Toute reproduction éventuelle de ce contenu doit mentionner la source.

Jornadas de la disidencia (Madrid, 2015)

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Le déclin des intellectuels français

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Le déclin des intellectuels français

par Sudhir Hazareesingh

Source : Politico et http://www.les-crises.fr

Paris a cessé d’être un centre majeur d’innovation dans les sciences humaines et sociales.

Une des inventions les plus caractéristiques de la culture française moderne est «l’intellectuel».

En France, les intellectuels ne sont pas seulement des experts dans leurs domaines particuliers, comme la littérature, l’art, la philosophie et l’histoire. Ils parlent aussi en termes universels et l’on attend d’eux qu’ils donnent des conseils moraux sur des questions générales, sociales et politiques. En effet, les plus éminents intellectuels français sont des figures presque sacrées, qui devinrent des symboles mondiaux des causes qu’ils ont soutenues – ainsi la puissante dénonciation de l’intolérance religieuse par Voltaire, la vibrante défense de la liberté républicaine par Rousseau, l’éloquente diatribe de Victor Hugo contre le despotisme napoléonien, le plaidoyer passionné d’Émile Zola pour la justice pendant l’Affaire Dreyfus et la courageuse défense de l’émancipation des femmes par Simone de Beauvoir.

Par-dessus tout, les intellectuels ont fourni aux Français un sentiment réconfortant de fierté nationale. Comme le dit le penseur progressiste Edgar Quinet, non sans une certaine dose de fatuité bien gauloise : « La vocation de la France est de s’employer à la gloire du monde, pour d’autres autant que pour elle, pour un idéal qui reste encore à atteindre d’humanité et de civilisation mondiale. »

* * *

Cet intellectualisme français s’est aussi manifesté à travers un éblouissant éventail de théories sur la connaissance, la liberté et la condition humaine. Les générations successives d’intellectuels modernes – la plupart d’entre eux formés à l’École Normale Supérieure de Paris – ont très vivement débattu du sens de la vie dans des livres, des articles, des pétitions, des revues et des journaux, créant au passage des systèmes philosophiques abscons comme le rationalisme, l’éclectisme, le spiritualisme, le républicanisme, le socialisme, le positivisme et l’existentialisme.

bhlef01a3fcc74323970b.jpgCette fiévreuse activité théorique atteint son apogée dans les décennies suivant la Seconde Guerre mondiale avec l’apparition du structuralisme, une philosophie globale qui soulignait l’importance des mythes et de l’inconscient dans la compréhension humaine. Ses principaux représentants étaient le philosophe Michel Foucault, homme de culture et d’influence, et l’ethnologue Claude Lévi-Strauss, tous deux professeurs au Collège de France. Parce qu’il partageait son nom avec celui d’une célèbre marque de vêtements américains, Lévi-Strauss reçut toute sa vie des lettres lui commandant des blue-jeans.

Le symbole suprême de l’intellectuel « Rive Gauche» fut le philosophe Jean-Paul Sartre, qui mena le rôle de l’intellectuel public à son paroxysme. L’intellectuel engagé avait le devoir de se consacrer à l’activité révolutionnaire, de remettre en cause les orthodoxies et de défendre les intérêts de tous les opprimés. Le rayonnement de Sartre tient beaucoup à sa manière d’incarner l’intellectualisme français et sa promesse utopique d’un avenir radieux : son ton radical et polémique et sa célébration de l’effet purificateur du conflit, son style de vie insouciant et bohème qui rejetait délibérément les conventions de la vie bourgeoise, et son mépris affiché pour les institutions établies de son époque, qu’il s’agisse de l’État républicain, du Parti communiste, du régime colonial français en Algérie ou du système universitaire.

Selon ses termes, il était toujours « un traître » – et cet esprit d’anticonformisme était au centre de l’aura des intellectuels français modernes. Et bien qu’il détestât le nationalisme, Sartre contribua inconsciemment à ce sentiment français de grandeur par son incarnation de la prééminence culturelle et intellectuelle, et par sa supériorité facile. En effet, Sartre était sans aucun doute une des figures françaises les plus célèbres du 20e siècle et ses écrits et polémiques furent ardemment suivis par les élites culturelles à travers le monde, de Buenos Aires à Beyrouth.

* * *

La Rive gauche d’aujourd’hui n’est plus qu’un pâle reflet de cet éminent passé. À Saint-Germain-des-Prés, les boutiques de mode ont remplacé les entreprises de la pensée. En fait, à de rares exceptions près, comme le livre de Thomas Piketty sur le capitalisme, Paris a cessé d’être un centre majeur d’innovation en sciences humaines et sociales.

Les traits dominants de la production intellectuelle française contemporaine sont ses penchants superficiels et convenus (qu’incarne un personnage comme Bernard-Henri Lévy) et son pessimisme austère. Aujourd’hui, en France, les pamphlets en tête des ventes de littérature non-romanesque ne sont pas des œuvres offrant la promesse d’une nouvelle aube, mais de nostalgiques appels à des traditions perdues d’héroïsme, comme « Indignez Vous! » (2010) de Stéphane Hessel, et des monologues islamophobes et pleurnichards répercutant le message du Front national de Marine Le Pen sur la destruction de l’identité française.

Deux exemples récents sont « L’Identité Malheureuse » (2013) d’Alain Finkielkraut et « Le Suicide Français » d’Eric Zemmour (2014), tous deux imprégnés d’images de dégénérescence et de mort. L’œuvre la plus récente dans cette veine morbide est « Soumission » de Michel Houellebecq (2015), un roman dystopique qui met en scène l’élection d’un islamiste à la présidence française, sur fond d’une désintégration générale des valeurs des Lumières dans la société française.

* * *

Comment expliquer cette perte de repères française ? Les changements du paysage culturel environnant ont eu un impact majeur sur la confiance en soi française. La désintégration du marxisme à la fin du 20e siècle a laissé un vide qui n’a été rempli que par le post-modernisme.

Fourest-charia.jpgMais les écrits de gens comme Foucault, Derrida et Baudrillard aggravèrent le problème, par leur opacité délibérée, leur fétichisme du jeu de mots insignifiant et leur refus de la possibilité d’un sens objectif (la vacuité du post-modernisme est brillamment parodiée dans le dernier roman de Laurent Binet, « La septième fonction du langage », une enquête criminelle autour de la mort du philosophe Roland Barthes en 1980).

Mais la réalité française est elle-même loin d’être réconfortante. L’enseignement supérieur français, surpeuplé et sous-financé, part en lambeaux, comme l’indique le rang relativement bas des universités françaises dans le classement académique des universités mondiales de Shanghai. Le système est devenu à la fois moins méritocratique et plus technocratique, produisant une élite manifestement moins sophistiquée et intellectuellement créative que celle de ses prédécesseurs du 19e siècle et du 20e siècle : le contraste à cet égard entre Sarkozy et Hollande, qui peuvent à peine s’exprimer en français, et leurs prédécesseurs à la présidence, éloquents et cérébraux, est saisissant.

Sans doute la raison la plus importante de cette perte de dynamisme intellectuel française est le sentiment croissant qu’il y a eu un recul important de la puissance française sur la scène mondiale, dans ses dimensions basiquement matérielles, mais aussi culturelles. Dans un monde dominé politiquement par les États-Unis, culturellement par les sournois « Anglo-Saxons » et en Europe par le pouvoir économique de l’Allemagne, les Français luttent pour se réinventer.

Peu d’auteurs français contemporains – avec l’exception notable de Houellebecq – sont très connus hors de leurs frontières, pas même de récents prix Nobel comme Le Clézio et Patrick Modiano. L’idéal de la francophonie n’est qu’une coquille vide, et derrière ses beaux discours, l’organisation a peu de résonance réelle parmi les communautés francophones du monde.

Ceci explique pourquoi les intellectuels français semblent si sombres quant à leur avenir national et sont devenus d’autant plus égocentriques, et de plus en plus tournés vers leur passé national : comme l’historien français Pierre Nora l’a déclaré plus franchement, la France souffre « de provincialisme national ». Il est intéressant de noter, dans ce contexte, que ni l’effondrement du communisme dans l’ancien bloc soviétique, ni le printemps arabe, n’ont été inspirés par la pensée française – en opposition totale avec la philosophie de libération nationale qui a soutenu la lutte contre le colonialisme européen, qui fut façonnée de manière décisive par les écrits de Sartre et Fanon.

En effet, alors que l’Europe cafouille honteusement dans sa réponse collective à l’actuelle crise des réfugiés, force est d’admettre que la réaction qui a été le plus en accord avec l’héritage rousseauiste d’humanité et de fraternité cosmopolite des Lumières n’est pas venue de la France socialiste, mais de l’Allemagne chrétienne-démocrate.

Sudhir Hazareesingh est enseignant en sciences politiques au Balliol College, à Oxford. Son nouveau livre, « How the French think: an affectionate portrait of an intellectual people » [« Comment pensent les Français : un portrait affectueux d'un peuple intellectuel »], est publié par Allen Lane à Londres et Basic Books à New York. La version française est publiée par Flammarion sous le titre « Ce pays qui aime les idées ».

Traduit par les lecteurs du site www.les-crises.fr. Traduction librement reproductible en intégralité, en citant la source.

The Punishment Society

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The Punishment Society

By

PaulCraigRoberts.org

Once upon a time, a dental or medical exam was an opportunity to read a book. No more. The TV blares. It was talking heads discussing whether a football player had been sufficiently punished. The offense was unclear. The question was whether the lashes were sufficient.

It brought to mind that punishment has become a primary feature of American, indeed Western, society. A baker in Colorado was punished because he would not bake a wedding cake for a homosexual marriage. A county or state clerk was punished because she would not issue a marriage license for a homosexual marriage. University professors are punished because they criticize Israel’s inhumane treatment of Palestinians. Whistleblowers are punished—despite their protection under federal law—for revealing crimes of the US government. And children are punished for being children.

But not by their parents. Police can slam children around and seriously injure them. But parents must not lay a hand on a child. If a child gets spanked, as everyone in my generation was, in comes the Child Protective Services Gestapo. The child is seized, put into “protective custody,” and the parents are arrested. The CPS Gestapo receives a federal bonus for every child that they seize, and they want the money.

About all parents can do today is to restrict TV or video game playing time. Even this is dicey, because the kids are taught at school to report abusive behavior of parents. For many kids being told what to do by parents is abusive behavior. Kids have learned that they can pay back parents for disciplining them by reporting the parents to teachers or by themselves calling CPS. Kids who retaliate in this socially approved manner do not realize that they run a high risk of ruining the lives of their parents as well as their own and ending up in foster care where the risk of sexual abuse is present.

As society has made it possible for kids to prevail over parents, the kids think this right also applies to teachers, school administrators, and School Resource Officers, psychopaths with police badges who maintain discipline with force and violence. The kids quickly discover,as Shakara discovered in her encounter with Ben Fields, that whereas parents are constrained from using corporal punishment, School Resource Officers are not. Shakara’s desk was overturned as she sat in it. She was slammed onto the floor, dragged across the floor and handcuffed. Any parent who did that would be facing jail time.

pilori.jpegSchools are no longer places of learning. They are places of punishment. Kids are punished for the most absurd reasons. Nothing more than behaving as a child brings on punishment. As Henry Giroux has written, schools have become places of control, repression, and punishment.

17,000 American public schools have a police presence. All common sense has long departed.Five and six year-olds who get into a shoving match are arrested and carried off in handcuffs. Police issue tickets and fines to students for what was ordinary behavior in my school days. Suspensions result as do police records that hamper a child’s prospect of success.

The violence that Ben Fields used against Shakara is routine. Mother Jones reports that a Louisville goon thug, Jonathan Hardin punched a 13-year old in the face for cutting into the cafeteria line and of holding another 13-year old in a chokehold until the student became unconscious. A dispute over cell phone use resulted in a Houston student being hit 18 times with a police weapon.

The police violence extends beyond the schools. Any American unfortunate enough to have a police encounter risks being tasered, beaten, arrested, and even murdered.

Protesters, war and otherwise, are beaten, tear gassed, arrested. The American police state is working hard to criminalize all criticism of itself. Violence has become the defining hallmark of the United States. It is even the basis of US foreign policy. In the 21st century millions of peoples have been killed and displaced by American violence against the world.

With our public schools and police forces working overtime to teach the children who will comprise the future generations that violence is the solution and submission is the only alternative, expect the United States to be unliveable at home and an even worse danger to the rest of the world.

Paris: Premier Forum de la Dissidence

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