J.O. sataniques de Paris: Frankenstein s’est échappé!
Pierre-Emile Blairon
Eh bien oui ! Encore une fois, la créature de Frankenstein a échappé à son maître !
Les monstres qui ont monté l’opération de saccage de la France (qu’ils ont appelé « cérémonie d’ouverture des J.O. ») ne maîtrisent plus leur créature !
Rappelons que Frankenstein est le titre d’un roman écrit par l’Anglaise Mary Shelley en 1818, qui raconte l’histoire de la création, par un scientifique suisse nommé Frankenstein, d’une chimère (1) d’apparence humaine assemblée de diverses parties de corps glanées par le savant dans les cimetières. Dans l’imaginaire populaire, le nom de la créature va prendre celui de son créateur.
Voilà qui nous met déjà dans l’ambiance de cette cérémonie d’ouverture des J.O. de Paris 2024 qui ne nous aura rien épargné.
Plus intéressant encore est le sous-titre de ce roman d’horreur : Frankenstein ou le Prométhée moderne. Pourquoi ce rapprochement ? Prométhée fait partie de ces divinités primordiales qui ont précédé les Dieux de l’Olympe ; elles sont appelées Titans ; Prométhée est le plus emblématique de ces Titans parce qu’il est chargé de la création des humains ; il en fait des êtres à son image ; puis, après bien des péripéties, les Titans se révoltent contre les dieux de l’Olympe dirigés par Zeus parce qu’ils en sont jaloux et parce qu’ils veulent les remplacer ; évidemment, il seront punis par Zeus, qui va les chasser de l’Olympe et va condamner Prométhée à voir son foie dévoré par un vautour (ou un aigle selon les versions) ; c’est à peu près la même histoire que celle de Satan, cet ange rebelle qui se retrouve chassé du Paradis par Dieu, descend dans la matérialité et se retrouve Prince de ce monde, prince de la Terre, où il est jeté et confiné ; j’ai développé ce thème, assez complexe, dans plusieurs de mes précédents articles parce qu’il est capital pour la compréhension de ce qui se passe dans les loges obscures des sectes qui nous dirigent et veulent faire de nous, humains, des robots ou des esclaves dans le meilleur des cas, le pire étant d’anéantir la plus grande majorité d’entre nous. Dans l’une et l’autre circonstance, Titan et Satan seront punis par Dieu parce qu’ils auront été guidés par l’hubris, qu’on peut définir comme une vanité narcissique débridée, on les appellerait de nos jours des psychopathes, ou des manipulateurs pervers narcissiques ; je suppose que vous voyez bien le type de profil dont il est question et que vous pouvez même intégrer spontanément des noms à ce type de caractère ; je rappelle que les noms de Titan et de Satan ont la même origine sémantique.
Un déchaînement d’horreurs
Personne n’est sommé de croire à l’un ou l’autre Dieu trois fois unique de chacune des trois religions du Livre issues toutes les trois du Proche et du Moyen-Orient, de la même manière qu’il ne s’agit pas de « croire » ou de ne pas « croire » à Satan ; mais la secte qui dirige actuellement le monde a choisi son camp depuis fort longtemps : elle y « croit » et même revendique son attachement au démon. Ce n’est donc pas une question de « croyance » mais bien de « réalité », une réalité dont nous subissons tous les jours les méfaits ; la secte pédo-sataniste qui envoie quotidiennement ses injonctions au monde et la secte transhumaniste qui lui est intimement liée, procèdent, la première, de Satan, et la deuxième, du Titan Prométhée.
Les réactions sont vives de par le monde à la suite de cette inconcevable cérémonie d’ouverture des J.O. de Paris où l’on a vu la représentation et le déchaînement de tout ce qui constitue la négation de toutes les valeurs que l’Humanité a portées depuis l’aube des temps de quelque religion ou contrée qu’on se réclame : le beau, le bien, la bravoure, le panache, le sens de l’amitié, l’amour de son pays, de sa terre, de ses traditions, de son patrimoine, le respect de la nature et de sa nature, celui de sa naissance, de sa personne, de ses origines et de ses ancêtres, celui de ses enfants,le désintéressement, le don de soi, la compassion et, particulièrement, en ce qui concerne la France et Paris, parce qu’il s’agissait de donner en représentation ces valeurs-là, à cette occasion-là: l’élégance et la distinction de ses femmes et de ses hommes, la beauté de son architecture millénaire, de ses paysages, de ses régions, de sa culture qui a envoûté le monde, de sa langue, de son histoire… Bref, à l’énoncé de ces valeurs immuables qui fondent une civilisation, on se dit que la bonne idée aurait été de faire appel pour cette organisation aux équipes du Puy-du-Fou qui ont montré leur compétence en ce domaine, savoir-faire qui les a rendus célèbres dans le monde entier.
Les coupeurs de tête
Je ne reviendrai pas sur les abominations qui ont ponctué cette cérémonie, tout le monde les a dénoncées, sauf, peut-être, l’une d’elles, qui est passée presque inaperçue mais dont la répétition en de nombreuses circonstances et la sauvagerie même du geste ne cesse de m’interpeller.
On sait que la communauté du spectacle est particulièrement visée et choyée par la secte mondialiste, du fait de son influence sur les esprits faibles (les idolâtres, les « fans »), et les saltimbanques sont sommés, sous peine de ne plus exister, d’adhérer à l’adoration de Satan ; j’en ai déjà fait état dans d’autres circonstances et articles, et je ne reviendrai pas sur les prestations des trois étranges chanteuses qui ont été sollicitées pour se produire (à grands frais payés par le contribuable) à cette occasion.
En revanche, et c’est là où je veux en venir, on voit, à plusieurs reprises, certains des acteurs de cette mascarade effectuer un geste qui ne laisse aucune place au doute, celui de trancher la gorge (geste, bien sûr, tout à fait amical et élégant, nous dirait l’AFP factuel si on interrogeait sur le sujet cette officine de « vérification »).
- Première séquence : le danseur-étoile Germain Louvet qui fait le mouvement de se trancher la gorge en se penchant sur la petite fille qui fait partie du spectacle et qui effectue le même geste (2). Qui est cette petite fille? Qui sont ses parents qui ont accepté de la salir dans cette incroyable scène?
Dans un article (3) de la presse « people », tellement complaisant qu’il en devient franchement risible, on apprend que ce jeune garçon (qui laisse apparaître un testicule dans la séquence de la représentation de la Cène (4) est en couple avec un journaliste de BFMTV (si, si, il n’y a pas de hasard) nommé Pablo Vivien-Pillaud ; je vous donne un extrait de cet article, juste pour détendre l’atmosphère : « Toujours très proche de sa maman, Pablo l’appelle tous les jours. Et s’entend aussi très bien avec la mère de Germain, qui s’adresse à lui lorsqu’elle ne peut pas joindre son fils. Il éteint son téléphone quand il répète quotidiennement à l’Opéra de 10 heures à 16 heures. Lorsqu’ils se rencontrent, ils viennent d’univers différents, même s’ils gravitent chacun dans des sphères intellos et artistiques. Pablo, qui a travaillé dans des cabinets au ministère de la Culture ou à la mairie de Paris, avant de choisir la voie médiatique, est déjà très engagé à gauche et tous ses amis, dans des cercles militants ». C’est-y pas mignon ? Croiriez-vous que ce freluquet ou son « compagnon » seraient capables d’égorger qui que ce soit ? Evidemment non ; ce geste fait partie de la panoplie des « valeurs » fondatrices républicaines mises en scène avec la représentation, dans cette même cérémonie, de la reine Marie-Antoinette décapitée par les racailles de l’époque, qui tient sa tête dans les mains.
- Deuxième séquence : Où l’on voit le chanteur franco-algérien Slimane faire un simulacre de signe de croix qu’il termine par une mimique d’égorgement ou d’étranglement (5); doit-on penser qu’il y a un rapport d’intention symbolique entre les deux gestes ? Certains se souviennent (il n’y a quand même pas si longtemps) que c’est ce chanteur bêlant (6) qui a représenté la France à l’Eurovision cette année, une manifestation tout aussi mondialiste et satanique que cette cérémonie d’ouverture des J.O.
- Troisième séquence : La chanteuse milliardaire Taylor Swift, parfaitement inconnue, en tout cas des Français, il y a quelques années, qui accomplit ce geste au cours d’un tableau sataniste (7). Je me suis demandé si ce geste de couper la gorge, ou la tête, était une invention locale, française, sortie du cerveau fumeux et fort dérangé des auteurs de ce spectacle, qui faisaient une fois de plus référence à la grande victoire, bien lâche, des gauchistes révolutionnaires de l’époque, ignominie qui va rester dans l’Histoire de France comme l’une des « valeurs » de la naissance de la République : à savoir la « décollation » de la famille royale française, à laquelle il conviendrait légitimement d’ajouter un autre marqueur : le génocide du peuple vendéen par ces mêmes « révolutionnaires » perpétré dans des conditions tout aussi grand-guignolesques (Larousse : Qui est d'une horreur exagérée et invraisemblable) comme, par exemple, les noyades de masse dans la Loire à Nantes (plusieurs milliers en quelques jours), ou les tanneries de peaux humaines après l’écorchement de ces mêmes Vendéens.
En fait, les auteurs de cette cérémonie d’ouverture très « gore » (Larousse : Se dit d'une œuvre de fiction privilégiant les scènes sanglantes) ne pourront même pas se prévaloir d’une « création » originale, l’idée, ou l’ordre, leur venant d’instances supérieures d’origine anglo-saxonne ou américaine, ceux qui dirigent la secte mondialiste-sataniste qui donne le « la » et qui sont les vrais concepteurs de cette cérémonie ; c’est ainsi qu’on voit la nouvelle star mondiale Taylor Swift (qui fait passer la tout aussi sataniste Céline Dion pour une chanteuse de tripot ringarde) faire ce geste d’égorgement dans un spectacle démoniaque.
Wikipedia, qui est devenu partie intégrante du Système, dans son article sur Taylor Swift, sert ici d’officine de vérification: « Dans la perspective de l'élection présidentielle de novembre 2024, une théorie du complot mensongère, soulignant sa forte exposition médiatique et celle de son compagnon Travis Kelce, la présente comme ayant été recrutée par le Pentagone pour promouvoir la réélection du démocrate Joe Biden qu'elle avait soutenu en 2020, au détriment de Donald Trump. »
Tous ces saltimbanques sont-ils obligés de faire ce geste, ou d’autres tout aussi marqués, en signe d’allégeance à la secte sataniste ? La décapitation de la famille royale par les révolutionnaires républicains doit-elle être considérée comme le geste de magie noire qui a scellé le sombre destin de la France et du monde ?
Comme nous l’avons vu à propos des épisodes de pseudo-pandémie ou de l’apparition des pseudo-sables du Sahara, en réalité des épandages chimiques (8), les officines de « vérification » sont montées au créneau pour nous expliquer que ce que nous avons vu n’était qu’une illusion.
On peut constater, en effet, que les promoteurs et les organisateurs de cette cérémonie, le gouvernement et la gauche font le forcing pour tenter de désamorcer la polémique mondiale qui ne cesse de prendre de l'ampleur à propos de cette cérémonie d'ouverture, satanique à l'évidence ; il semble que des milliers de trolls (vraisemblablement bien payés) interviennent sur tous les réseaux sociaux sous divers pseudos pour atténuer les abominations que tout le monde a vues (à moins d'être aveugles) et pour glorifier d'une manière dithyrambique les tombereaux de crachats déversés sur la France et les Français.
Les officines (qui se drapent dans une légitimité pseudo-scientifique) chargées de ramener les dissidents dans le bon chemin politiquement correct et qui sont largement subventionnées pour traquer la vérité, sont sur le pont pour tenter de justifier l'injustifiable telle celle qui édite cet article nauséeux dont l’arrogance, la duplicité et l’hypocrisie n’échapperont à personne (9):
"Quelques poignées de minutes concentrent le gros des critiques et décrivent ce que serait le « wokisme » de la cérémonie. Avant l’évènement, l’affiche des JO défrayait déjà la chronique. On suspectait alors l’« idéologie woke » de vouloir effacer l’histoire de France : or, comme relevé par un journaliste du HuffPost, ces modifications répondent simplement à des exigences posées par le règlement des JO : il convient d’exclure les démonstrations immédiatement religieuses, et de ne pas favoriser de pays".
"Surtout, nous voyons que l’Histoire est tantôt prise à témoin, tantôt oubliée par ceux qui se posent en parangons de sa défense: Marie-Antoinette a bel et bien subi la décollation sous la Terreur et, officiellement, L’Ultima Cena de Da Vinci n’est pas une relique religieuse, entendu strictement, sinon un morceau de patrimoine artistique: il s’agit d’une illustration libre, produite par le peintre (vraisemblablement homosexuel)".
"Plus largement, en analysant le fond des critiques qui visent cette cérémonie, de quoi parle-t-on ? De personnes amoureuses, parfois dans des triangles maintes fois convoqués par la littérature et autres arts, d’artistes sur scène, de performances qui mettent à l’honneur des individus, quel que soit leur genre, quelle que soit leur identité, quelle que soit leur corpulence ou leur coupe de cheveux".
Après le déferlement d’images horribles, nous avons droit à un déchaînement de mépris, de lieux communs, de mensonges et de boniments plus ridicules et malintentionnés les uns que les autres pour tenter d’en minimiser l’impact sur les populations mondiales qu’elles ont profondément choquées.
Silence radio du RN
Nous estimons que les 10 millions de Français qui ont voté pour le RN lors des dernières législatives étaient en droit d’attendre une réponse cinglante sur le déroulement de cette cérémonie, de la part de Marine Le Pen, de Jordan Bardella, ou d’un responsable de ce parti supposé défendre les valeurs traditionnelles de notre pays ; eh bien, que nenni : silence radio, silence journaux et silence télé. Un éditorial de France Info est là pour nous éclairer en nous donnant quelques pistes de recherches :
"Si Marion Maréchal ou la Conférence des évêques de France (CEF) ont semblé irrités (sic) par certaines scènes de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques à Paris, ni Marine Le Pen, ni Jordan Bardella n'ont exprimé la moindre critique".
En réalité, ce n'est pas si surprenant. D'après une source qui la connaît bien, des hommes qui s’embrassent, ce n’est pas un sujet pour Marine Le Pen. Un trouple ? La belle affaire. La présidente du groupe à l’Assemblée a toujours dit : chez nous, chacun est libre sur les questions de société. En mars, pour la constitutionnalisation de l’IVG, elle vote pour, mais accepte que 24 députés RN votent contre. […] Jordan Bardella, président du RN est sans doute plus conservateur. A-t-il été invité à se taire cette fois-ci ? Impossible de l’affirmer, mais impossible de l’exclure. Un sondage IFOP pour Têtu avant la présidentielle de 2022 montrait que l’électorat LGBT au RN dépassait la moyenne nationale. Le plus gros score était promis à Emmanuel Macron : 22%, suivi directement par Marine Le Pen : 17% (10). Loin devant les 4% d’Anne Hidalgo au PS. D'autres en Europe, Geert Wilders notamment, le Premier ministre néerlandais, défend d’habitude les gays comme pour prolonger sa position anti-musulman. Mais cette fois, la cérémonie d’ouverture l’a fait sortir de ses gonds ! De quoi rendre encore plus assourdissant le silence du duo Le Pen/Bardella (France Info, Renaud Dély, 30 juillet 2024).
Nous avons déjà souligné l’accointance des personnalités du RN avec la secte transhumaniste (11) par l’intermédiaire de son représentant français, Laurent Alexandre, qui tient ici des propos complètement délirants (12).
Le journaliste Richard Boutry, que nous avons maintes fois cité dans nos articles en reproduisant ses mini-vidéos, dans sa récente « Minute de Ricardo » intitulée: J.O. : pourquoi un tel silence de Le Pen et Bardella (13) ? condamne lui aussi ce désengagement des « ir-responsables » RN sur un sujet aussi polémique qui illustre assez bien l’attitude adoptée par ce parti depuis sa volonté de se « dédiaboliser » et d’être reconnu par le Système sans autre ambition que d’y placer ses pions et d’y conserver ses prébendes, et non de représenter ses électeurs.
Ricardo conclut sa vidéo en reprenant la fin de mon article sur les J.O. (14): "Résistance ! Seul, un petit groupe réussira à se tenir debout au milieu des ruines, comme l’ont fait en d’autres temps, les Spartiates des Thermopyles, les Francs, les Burgondes et les Aquitains de Charles Martel à la bataille de Poitiers, les légionnaires de Camerone ou les paras de Diên Biên Phu".
Juste pour l’honneur ? Non, pour préparer le nouveau monde quand celui-ci, dans lequel nous survivons, rendra son dernier soupir. »
Apparition mariale !
Pour conclure, face à l’impéritie et à la lâcheté de nos politiciens RN, parce qu’il n’y avait aucun autre parti qui avait la légitimité de le faire, dont c’était le devoir absolu de défendre l’honneur des Français et de la France devant une telle humiliation à la face du monde, constituée par cette mascarade décadente transgenre qui a choqué des milliards de personnes et a donné de notre pays et de notre peuple une image dégradante et maintenant dégradée, il fallait bien que quelqu’un se lève et ose dire tout haut ce que la grande majorité des Français en pensaient.
Nous avons trouvé cette personne qui a surgi opportunément, miraculeusement, dans le paysage médiatique des réseaux sociaux et qui a su trouver les mots justes et fermes pour dénoncer clairement et avec détermination cet attentat à la dignité de la France qu’a constitué cette « cérémonie » satanique.
Merci, madame ! Vous êtes apparue comme une madone pour vous dresser seule contre ce flétrissement de nos valeurs les plus essentielles et porter courageusement le drapeau de notre pays. Ecoutons-la (15).
Pierre-Emile Blairon
Notes:
- (1) Selon le Larousse : « Être ou objet bizarre composé de parties disparates, formant un ensemble sans unité. »
- (2) https://www.facebook.com/reel/499369619295166
- (3) https://www.gala.fr/l_actu/news_de_stars/interview-germai...
- (4) photo en pj
- (5) https://www.facebook.com/Vive.la.resistance.dissidence/videos/1035574061240539
- (6) Oui, bêlant comme ces pauvres moutons égorgés sans étourdissement un peu partout en France, baignant dans des mares de sang, lors de la fête de l’Aïd-El-Kébir.
- (7) https://www.facebook.com/reel/454249607452985
- (8) http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2024/07/22/j-aime-l-odeur-du-napalm-au-petit-matin-a-propos-des-epandages-chimiques-e.html
- (9) https://theconversation.com/ceremonie-douverture-des-jo-quest-ce-que-ce-wokisme-tant-critique-235707
- (10) Ce pourcentage élevé de l’électorat LGBTQ a quelque chance d’être en proportion avec le nombre de députés RN eux-mêmes sympathisants de ce même mouvement.
- (11) http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2024/02/23/traditionalistes-contre-globalistes-le-grand-chambardement-planetaire.html
- (12) https://www.facebook.com/reel/1011941403502420
- (13) https://www.laminutedericardo.com/LMDR/jo-pourquoi-un-tel-silence-de-lepen-et-bardella/
- (14) http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2024/07/28/j-o-de-paris-le-spectacle-de-la-fin-des-temps-et-celui-de-la-honte-pour-la.html
- (15) https://x.com/MickaelLaffont/status/1818655358673424836
Vor gut 80 Jahren begann Ernst Jünger sein Tagebuch zum Zweiten Weltkrieg.
Sein Kriegstagebuch über den Ersten Weltkrieg, In Stahlgewittern, ist zumindest vom Titel und groben Inhalt her sehr vielen bekannt. Dieses Erstlingswerk ist bis heute ohne Frage eines der erschütterndsten Zeugnisse über den Frontalltag des Grabenkrieges, welchen Jünger vier Jahre lang erlebte. Weitaus unbeachteter blieben hingegen seine Notizen über den Zweiten Weltkrieg, die Strahlungen.
Ein anderer Soldat als der von 1914
Davon abgesehen, erschien die Erstausgabe bereits 1949 mit einer Auflage von 20.000 Exemplaren und zählt für viele Jünger-Kenner mit zum Besten, was der Literat je zu Papier brachte. Die geringere Bekanntheit mag heute dadurch zu erklären sein, daß Jünger während des Zweiten Weltkrieges hauptsächlich in der Verwaltung tätig war, und nicht an der Front kämpfte, was bei einigen potentiellen Lesern sicherlich die „Action“ vermissen lässt. Ganz gefahrlos waren jedoch auch für Jünger die Jahre 1939 bis 1945 nicht.
Die von April 1939 bis Dezember 1948 reichenden Strahlungen, welche – je nach Auflage – über 1.000 Seiten umfassen, setzen zunächst mit dem Buch Gärten und Straßen an. In diesem schildert Jünger seine Erlebnisse aus dem Frankreichfeldzug, an welchem er als Hauptmann teilnahm. Prägten während des Ersten Weltkrieges buchstäbliche „Stahlgewitter“ seinen Kriegsalltag, bekam der Hauptmann der Infanterie nun nur noch „Gärten und Straßen“ zu sehen. Der Feldzug im Mai und Juni 1940 war bereits zu Ende, noch bevor seine stets zu Fuß vorwärts marschierende Truppe in das Kriegsgeschehen eingreifen konnte.
Die Jahre an der Seine
Dieser bereits 1942 veröffentlichte erste Teil ist dabei deutlich zurückhaltender geschrieben als der nach dem Krieg veröffentlichte Rest seines Tagebuches, was man insbesondere an den politischen Beurteilungen der Zeit erkennt. Den ergiebigeren Kern bilden daher die beiden aus den Jahren 1941-44 geschriebenen „Pariser Tagebücher“, die im besetzten Paris vom Leben in der Etappe erzählen.
Hier unterhielt Jünger auch Beziehungen zu unterschiedlichen Größen der Zeit, wie Pablo Picasso, Louise Ferdinand Céline und auch Carl Schmitt, der ihn in Paris besuchen kam. Aber auch zu den in Paris aktiv arbeitenden Verschwörern des 20. Juli, wie Speidel, Stülpnagel und Hofacker, unterhielt Jünger regen Kontakt.
Im Gegensatz zu den drei genannten blieb Jüngers Mitwisserschaft am Umsturzversuch jedoch unentdeckt. Seinen Beitrag am Widerstand lieferte er in Form der 1942 verfassten Friedensschrift, die nach dem Krieg gesondert veröffentlicht wurde. Eine noch spätere Veröffentlichung fand gar seine Schrift Zur Geiselfrage, in welcher er die Umstände der aus Berlin befohlenen Hinrichtungen inhaftierter Franzosen schildert, die 1941 als Racheakt durchgeführt werden mussten. Auf Grundlage dieser Schrift spielt zudem der 2011 erschienene Film vom Volker Schlöndorff Das Meer am Morgen.
Die innere Freiheit bewahren
Diese und viele weitere Themen sind es, welche gerade die beiden Pariser Tagebücher als den wertvollsten Teil der Strahlungen erscheinen lassen. Die öffentliche Beschäftigung mit ihnen beschränkt sich jedoch für gewöhnlich leider recht oberflächlich auf die immer gleichen Aspekte. So auf seine verschiedenen Liaisons in Paris oder auf seinen angeblich rein elitären Blick, der ihn das Leid um sich herum vergessen ließ.
Was hier allgemein zu kurz kommt, ist die ernsthafte Beschäftigung mit seinen zahlreichen Schilderungen einer Welt, welche droht, gänzlich dem mechanischen Moloch der geschichtlichen Abläufe zu verfallen. Dem entgegengesetzt, versuchte Jünger gerade im alltäglichen Betrachten, der Freiheit im Menschen eine Bahn zu schlagen, die alle Bomben der Welt nicht vernichten können.
Paris, 14. März 1943
Wenn alle Gebäude zerstört sein werden, bleibt doch die Sprache bestehen, als Zauberschloß mit Türmen und Zinnen und mit uralten Gewölben und Gängen, die niemand je erforschen wird. Dort, in den Schächten, Oublietten und Bergwerken, wird man noch weilen können und dieser Welt verlorengehen.
Derlei Sentenzen bilden den eigentlichen Gewinn seiner Schriften. Sie sind zeitlich ungebunden. „Das Ordnen der Geschehnisse als Akt der Selbstbehauptung“, wie es in einem Vorwort des Verlages heißt.
„Wenn ein Pulverturm in die Luft fliegt, überschätzt man die Bedeutung der Streichhölzer.“
Nach dem Rückzug aus Paris vor den Invasionstruppen der Alliierten wird Jünger schließlich aus der Wehrmacht entlassen und kehrt zurück in das niedersächsische Kirchhorst, wo er das Kriegsende erlebt. Festgehalten wird diese Zeit in den beiden letzten Büchern Kirchhorster Blätter und Die Hütte im Weinberg (Jahre der Okkupation). Wie bereits 1940 in Frankreich, beschreibt Jünger den Einbruch einer gewaltigen Übermacht in eine bereits besiegte Region.
Kirchhorst, 11. April 1945
Von einer solchen Niederlage erholt man sich nicht wieder wie einst nach Jena oder nach Sedan. Sie deutet eine Wende im Leben der Völker an, und nicht nur zahllose Menschen müssen sterben, sondern auch vieles, was uns im Innersten bewegte, geht unter bei diesem Übergang. Man kann das Notwendige sehen, begreifen, wollen und sogar lieben und doch zugleich von ungeheurem Schmerz durchdrungen sein.
Nun braucht es keinen Weltkrieg, um zu vielen Einsichten zu gelangen, die Jünger in seinem Tagebuch niederschrieb. Diese Erkenntnis schließt denn auch wiederum den Bogen zu uns heutigen Lesern, die gerade in dieser Schrift Jüngers weitaus mehr finden als nur zeitbezogene Singularitäten. „Hinsichtlich der Wahrnehmung der historischen Realitäten bin ich vorgeschaltet – das heißt, ich nehme sie etwas eher, etwas vor ihrem Erscheinen wahr. Für meine praktische Existenz ist das nicht günstig, da es mich zu den jeweils waltenden Mächten in Widerspruch bringt.“