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jeudi, 11 juin 2020

L’opinion vient se heurter de plein fouet dans la paroi invisible des mensonges d’État

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L’opinion vient se heurter de plein fouet dans la paroi invisible des mensonges d’État

Ex: http://www.geopolintel.fr

Le 30 octobre 1938, Orson Welles, acteur, réalisateur, producteur et scénariste américain bien connu, diffusait une mise en scène radiophonique préenregistrée d’après « La guerre des mondes » roman de H.G. Wells publié en 1898. Autrement dit : « Mars attaque ! »… Le lendemain de l’émission, les journaux évoquent des scènes d’hystérie collective, d’émeutes à travers le territoire des États-Unis et une vague de suicides ! Cette réaction aurait été, dit-on aujourd’hui, largement exagérée pour ne pas dire inventée par des gens de presse en mal de ventes et de sensationnalisme. N’oublions pas cependant que réécrire l’histoire est devenu un sport extensivement pratiqué par toutes les grandes démocraties – populaires ou libérales - toujours en proie au démon tentateur de la dérive totalitaire… Cela a commencé avec la Terreur – de l’échafaud à l’hôpital psychiatrique pour tous – et se poursuit à présent avec le goulag mental dont les médiacrates dominants sont les gardiens avisés… Tenant le haut du pavé dans nos lucarnes ce sont nos commissaires politiques et idéologiques, prêtraille de la pensée unique, conforme et bienséante. 

Ceci d’autant plus que les moyens de communication modernes sont devenus d’extraordinaires instruments pour qui veut redessiner le monde à son image [1]. Ainsi le 9 mai 2020 un rapport interne du service de “protection des infrastructures” du ministère allemand de l’Intérieur, contestant la dangerosité du Covid-19, fuitait et parvenait au magazine libéral-conservateur “Tichys Einblick”. Le document épinglait l’estimation de la dangerosité du virus, laquelle au final se révélait singulièrement fantaisiste et notamment moins létale que la grippe de 2017/2018. Concluant par une mise en garde contre les conséquences désastreuses, sociales et économiques, des mesures générales de confinement [2].

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Reste que, dans l’affaire de « La guerre des mondes », il s’est vraisemblablement agi d’effacer ou de gommer a posteriori ce que le montage hertzien de Welles avait mis en exergue, à savoir l’extrême sensibilité (vulnérabilité) des foules à la peur créée puis véhiculée par les nouveaux grands médias – en l’occurrence la TSF - et la facilité avec laquelle l’effroi était alors susceptible de se répandre jusqu’à se transformer en vent de panique. Mieux valait en effet que les applications pratiques des cogitations d’un Edward Bernays (1891-1995), neveu de Sigmund Freud, relatives à ce qu’il a lui-même appelé « la fabrique du consentement » ne soient pas divulguées hors de propos. Comprenons bien que la négation de la réalité et la révision du déroulé des faits - préalables à leur réaménagement selon un narratif aussi politiquement correct qu’utile - sont les deux mamelles sèches de l’histoire officielle… Car en ce qui concerne le 30 octobre 1934, les témoignages recueillis à chaud ne laissent guère de doute : certaines personnes rapportent avoir ressenti des signes matériels, tangibles comme l’odeur des gaz utilisés par les Martiens ou la chaleur des rayons mortels émis par leurs armes [3]. Ce qui en dit long sur la suggestibilité des humains, animaux sociaux puissamment grégaires pour certains et le goût immodéré de quelques-uns pour la falsification des faits d’histoire.

Justice et guerres sans limites

Autre exemple du fonctionnement peu rationnel du psychisme humain… Dans la nuit du 20 au 21 septembre 2001, George Walker Bush déclarait « une guerre sans limites » aux ennemis de l’Amérique annonçant la guerre éclair qui allait faire mettre un genou en terre à ces gueux d’Afghans accusés d’avoir abattu les orgueilleux symboles de la super puissance financière mondiale… En fait, c’est l’expression “justice sans limites” qui a été utilisée par le président américain, mais d’opportuns tripatouillages sémantiques vont se multiplier dans la confusion générale. L’Amérique, après les attentats de Manhattan, se trouve plongée dans un profond état de stupeur ; en France Le Monde, journal officieux de la République, titre le 13 septembre : « Nous sommes tous Américains » comme plus tard, en janvier 2015, nous serons « Charlie ».

L’onde de choc a parcouru la planète entière avec les images terrifiantes diffusées en boucle de l’écroulement des tours jumelles à la vitesse de la chute libre. Or, dans toutes les oreilles des bipèdes interloqués, résonnaient le chiffre stupéfiant de 20.000 morts… dus aux génies du mal qu’incarnaient à merveille Ben Laden dans sa grotte – une sorte de gourbi et non un formidable complexe digne des Fu Manchu et autres Spectres de Ian Fleming - et Mollah Omar, le borgne, en fuite sur sa mobylette. Ce total extravaguant de 20.000 victimes poursuivit sa carrière au cours des mois suivants avant de se dissoudre dans les sables mouvants de l’inconstante mémoire des foules et des gens de presse. Qui d’ailleurs s’en souvient ? Un bilan qui sera à l’arrivée arrêté à 2977 morts pour l’ensemble des attentats, Pentagone compris. Mais impossible maintenant de retrouver trace du décompte, et surtout pas sur la Toile nettoyée et astiquée quotidiennement par les techniciens de surface du consortium des GAFAM [4] ?

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Le dernier épisode en date de manipulation globale, la pandémie de Covid-19, dont l’Afrique noire - quoique continent réputé sous-développé en matière d’infrastructures sanitaires - est sortie indemne, illustre à merveille l’idée que dans les pays administrés par des technocraties, les opinions publiques n’ont plus de rapport tangible à la réalité qu’à travers la vitre déformantes des écrans médiatiques. Au sens précis du terme, leur rapport au monde est médiatisé (médié) et les images qui s’affichent dans les lucarnes électroniques acquièrent plus de réalité que la réalité elle-même. Le mythe platonicien de la caverne n’aura jamais possédé autant d’actualité et de vigueur que depuis ce fameux 30 octobre 1938. On comprend à ce titre que les pouvoirs soient tentés d’user de l’extrême perméabilité des esprits pour les manier à leur guise et en tant que de besoin… Le 11/9, nouveau Pearl Harbor, a légitimé et autorisé un chapelet de guerres loin encore d’être achevées au prix de millions de morts… Afghanistan, Irak, Syrie, Libye et cætera. Le Covid justifie l’enfermement volontaire des masses, leur contrôle policier et l’inoculation obligée des substances - pour le coup - vénéneuses. L’homme définitivement domestiqué, à l’instar de ses animaux familiers, ne pourra plus franchir les frontières sans son passeport sanitaire.

Guerre globale contre les Nations

Citons un article récent du discret “Jeune-Nation” :Covid : stratégie du choc et chant du cygne du Nouvel Ordre Mondial, 5 juin 2020… Résumé : Avec la pandémie, la Silicon Valley prend ouvertement le relais des États-nations dans des domaines aussi stratégiques que les questions de santé et de surveillance des populations, disposant, et elle seule, d’une force de frappe avec son monopole de la communication numérique à échelle planétaire. Elle colonise actuellement les instances de commandement du monde occidental d’après-guerre : ONU et autres organismes internationaux ou les ONG altermondialistes de la pieuvre Soros, tous concourant et aspirant à la cogestion de la Gouvernance mondiale ; OTAN ; marchés financiers, institutions européennes, Partis politiques, médias, mafias en tous genres nourrissant d’argent noir l’économie visible. Microsoft possède un bureau à l’ONU, Bill Gates dirige de facto l’OMS et le royaume pourri du Danemark nomme un ambassadeur auprès des GAFAM.

À six mois de la prochaine élection présidentielle américaine, le coronavirus est devenu l’alibi idéal pour renforcer le contrôle idéologique de l’information : Twitter censure la parole du Président des États-Unis parce que ses twitts relatifs au virus enfreignent, selon la formule consacrée, les « règles de la communauté  »… Mais de quelle communauté s’agit-il ? Au même moment, Facebook met 130 millions de dollars sur la table pour créer sa propre « Cour suprême » composée de politiciens progressistes (liberal en anglo-américain) à la retraite, épaulés par des universitaires et des journalistes de gauche (pléonasme), soit un conseil de surveillance habilité à exercer une censure souveraine sur les messages non conformes à leurs choix partisans. Cynique et lucide à la fois, la communautariste Susan Wojcicki, directrice générale YouTube (une filiale de Google), admet que sa politique d’étroite surveillance des contenus rebute les usagers, mais elle n’en a cure eu égard à la position dominante de sa « chaîne » ! Le projet avoué de tout ce beau monde : l’identification biométrique ou marquage du bétail humain… autrement dit les bœufs masqués ! Cela associé à des campagnes de vaccinations rendues obligatoires [5] en raison d’un risque pandémique toujours présent ou prêt à ressurgir à chaque virage saisonnier. L’illuminé Bill Gates, fondateur de Microsoft, finance la mise au point de tatouages à points quantiques permettant à la fois de vacciner et d’identifier les vaccinés (voir l’initiative ID2020 visant à imposer l’identification biométrique). La suppression de l’argent liquide est également à l’ordre du jour ce qui permettrait le pistage intégral des contribuables astreints ou réduits aux seules transactions électroniques.

Et pour parachever l’ensemble et afin d’accompagner la censure numérique nous assistons au développement d’un système généralisé de fact-checking – dénonciation et correction en temps réel et sur mesure – prémisse d’un Ministère de la Vérité universelle. Les algorithmes ouvertement biaisés de Google et les armées de fact-checkers de YouTube, Twitter et Facebook font et feront remonter les “vérités” utiles ou opportunes… et disparaître les opinions dérangeantes ou indésirables. Facebook émet déjà des « avertissements » aux utilisateurs imprudents qui ont aimé ou cliqué sur « désinformation coronavirus » ; YouTube supprime les vidéos mettant en cause l’OMS. Bref, les algorithmes de la Silicon Valley aspirent au contrôle de notre carte cognitive et mentale » [AstolpheJN]… et apparemment ils y parviennent sans trop de peine !

cover.tif.jpgLe scandale planétaire de la revue The Lancet

Trois des quatre auteurs de l’article objet du scandale – son maître d’œuvre Mandeep Mehra [6], Amit N. Patel et Franck Ruschitzka – n’ont pas traînés devant la levée de bouclier suscitée par leurs analyses « foireuses » réalisées par des « pieds nickelés » selon le professeur Didier Raoult (vidéo mise en ligne le 2 juin et qui a autorité pour les qualifier en ces termes) pour se rétracter. La télévision publique hexagonale, tout aussi foireuse qualifie ces méthodes inqualifiables d’erreurs… « Ils se sont trompés !  ». Sous-entendu, sans doute de bonne foi ? [7]. Pratiques fâcheuses, très regrettables mêmes et singulièrement inexcusables tant le trucage est patent. Les auteurs « accusent » l’entreprise chargée de collecter les données, Surgisphere Corporation, laquelle refuserait à présent de leur donner un libre accès à l’intégralité des sources utiles à de plus amples vérifications. Que ne s’en sont-ils préoccupés avant ? Avant les décisions politiques (à nouveau inversées depuis) de l’OMS et du ministre Olivier Véran d’interdire aussitôt après la publication de leur article, les tests et l’utilisation de l’hydroxychloroquine. La précipitation du ministre de la santé est aussi désolante que coupable sachant que, si le protocole de Didier Raoult avait été reconnu plus tôt et non âprement combattu, nous aurions certainement à déplorer beaucoup moins de morts.

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Le faisan en chef.
Mandeep R. Mehra membre du conseil consultatif scientifique de Leviticus Cardio. Les titres ronflants ne lui manquent pas avant de passer à l’épidémiologie bidon : directeur du Heart and Vascular Center et du Collaborative Center for Advanced Heart Disease du Brigham and Women’s Hospital de Boston, Massachusetts.

Le 2 juin, l’ex prestigieuse revue médicale The Lancet – que restera-t-il de ce prestige à la fin de la tourmente… lui survivra-t-elle ? – prenait ses distances avec l’étude [8] dénigrant gravement le protocole du Dr. Raoult (utilisé dans le traitement précoce du SRAS-CoV-2)… publication qui en principe avait été soumis à son comité de lecture avant d’être imprimée. The Lancet souhaitait « alerter ses lecteurs - par le truchement d’une “expression of concern”- sur le fait que de sérieuses questions scientifiques ont été portées à [son] attention »… Un dernier mot relatif à Surgisphere, société ayant abondé l’étude du Pr. Mehra… Surgisphere possèdent plusieurs adresses ou boîte aux lettres et ne comptent pas plus de cinq salariés… et très peu d’activité jusqu’à mars 2020 sur son site internet jusqu’à la publication de leur fracassante étude en forme de faux-pas monumental pour BigPharma.

Le faisan et la prostituée

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Ce sont donc, désormais, les ex escort-girls qui dirigent le monde médical ?

Créée le 1er mars 2007 par le Dr. Sapan Desai (l’un des co-auteurs de l’étude du Pr. Mehra), la société se dit spécialisée dans le big data et l’utilisation de l’intelligence artificielle dans l’analyse de données. Une autre société au nom de Sapan Desai, Surgisphere Corporation avait déjà été créée le 28 juin 2012 puis dissoute en janvier 2016 [9]. Personnage folklorique, Ariane Anderson est directrice des ventes de Surgisphere, elle vient des milieux de la prostitution mondaine et de l’industrie pornographique (photos publiques à l’appui). Un détail éclairant quant au contexte de l’article de The Lancet commandés par on ne sait qui (mais on devine pourquoi) en vue de démolir les travaux d’un médecin de province mais internationalement reconnu, qui avait l’immense tort de soigner et guérir ses malades autant que faire se peut ! Faut-il encore insister sur l’amateurisme et l’incompétence du ministre de la Santé – ne vaudrait-il pas mieux parler de stupidité bornée, voire plus ? – lequel a démarré au quart de tour, en toute hâte, sans le moindre recul face à une étude bidon, truquée de À à Z ?

Le 8 juin 2020

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Notes

[1Au chapitre des mensonges sidérants et meurtriers, pensons à l’effondrement spontané le 11 Septembre 2001 de la Tour N°7 du WTC, ou à la fiole d’anthrax que le Secrétaire d’État américain Colin Powell agita le 5 février 2003 sous le nez d’un Conseil de Sécurité médusé… ou encore aux parfaits alunissages à répétition avec des véhicules aérospatiaux qui tous eurent le bon goût de ne jamais tomber en panne durant les dix années du programme Apollo (1961/1972)… Mais qui hélas ne purent jamais y retourner depuis… Jusqu’à ce que l’on salue comme un exploit indescriptible l’envol le 30 mai 2020 de la fusée SpaceX d’Elon Musk après neuf ans d’absence des É-U dans l’espace extra-atmosphérique uniquement occupé par les Soyouz russes qui eux, n’ont jamais déposé que de modestes robots sur le sol poudreux de Séléné.

[2Bundesministerium des Innern, für Bau und Heimat [cf.voltaire.org2juin20] - pdf // KM 4 – 51000/29#2 - KM4 Analyse des Krisenmanagements (Kurzfassung)

[3Handley Cantril (Princeton University) “The Invasion from Mars : A Study in the Psychology of Panic” 1940.

[4GAFAM pour Google/Apple/Facebook/Amazon/Microsoft

[5Depuis 2018 un rapport de l’UE prévoit un plan d’action pour un « passeport de vaccination ». Une véritable et suspecte obsession du vaccin obligatoire… Rappelons qu’à peine nommée au ministère, Mme Buzyn a rendu obligatoire un cocktail de 11 vaccins pour les nouveaux nés français.

[6Petah-Tikva, Israël 16 juillet 2019. Levitecus Cardio annonce la nomination du professeur Mandeep R. Mehra à son conseil consultatif scientifique. Si les laboratoires israéliens sont intervenus pour discréditer à tout prix le travail de cet hurluberlu de Raoult (lequel soigne et guérit sans chichi ni blabla et à moindre frais), c’est bien évidemment en raison des gigantesques enjeux financiers liés à la mise sur le marché du c-vaccin miracle. Ce pourquoi Américains et Hébreux ont soufflé via l’OMS et l’Imperial College de Londres, un vent de panique planétaire, 7 milliards d’humains à vacciner valent bien ça, non ?

[7cf.francetvinfo.fr3mai20

[8L’étude en cause ayant conclu que ce traitement n’était pas bénéfique aux malades et même éventuellement néfaste a déterminé un peu partout dans le monde développé, l’interruption des essais cliniques sur l’hydroxychloroquine. Publiée le 22 mai dans The Lancet, elle se fonde sur les données de 96 000 patients hospitalisés entre décembre et avril dans 671 hôpitaux de quatre continents. Immédiatement de nombreux chercheurs ont exprimé leur scepticisme, y compris des scientifiques opposés à l’usage de l’hydroxychloroquine : dans une lettre ouverte datée du 28 mai, des dizaines de scientifiques dénonce l’article de The Lancet pour les « inquiétudes liées à la méthodologie [qu’il soulève] et [quant] à l’intégrité des données".

[9Geopolintel3juin20

Produktinformationen "Ein Tag im Leben des Dimitri Leonidowitsch Oblomow"

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Produktinformationen "Ein Tag im Leben des Dimitri Leonidowitsch Oblomow"

Ethnische und religiöse Bürgerkriege, Wirtschaftskrisen, Umweltkatastrophen, Umverteilungskämpfe, verursacht durch Liberalismus, Multikulturalismus, Humanitarismus, Globalismus, Masseneudämonie, Umweltverschmutzung und Ressourcenraubbau: der französische Vordenker Guillaume Faye (1949–2019) prophezeite das apokalyptische Ende der modernen Welt in einer »Konvergenz der Katastrophen«, die nicht mehr aufzuhalten sei.

Doch wie könnte eine Welt nach dem großen Zusammenbruch aussehen? Hat Europa eine Chance auf eine Wiedergeburt?

Faye entwirft in seiner Science-Fiction-Erzählung eine aus der Asche wiedergeborene Welt jenseits der egalitären Irrwege der Neuzeit, in der sich Europa mit Russland zu einem mächtigen, ethnopluralistischen Kontinental-Imperium vereinigt hat, das sich von der Bretagne bis an die Beringstraße erstreckt, und in der der faustische Geist eine nie dagewesene Synthese zwischen Mensch, Technik und Natur, Tradition und Wissenschaft, ewiger Wiederkehr und titanischer Grenzüberschreitung, zwischen dem Ur-Alten und dem Immer-Neuen entwickelt hat: den Archäofuturismus.

Der Übersetzer Martin Lichtmesz konstatiert: 

»Guillaume Faye hat eine von schwarzem Humor durchzogene Erzählung von erheblichem Reiz geschaffen, die noch lange in der Fantasie des Lesers fortleben wird, der sich selbst die Frage stellen kann, ob er in einer solchen Welt leben will oder ob er sie überhaupt für möglich oder wünschenswert hält.«

Mit einem Nachwort von Martin Lichtmesz.

Dieses Buch erscheint am 5. Juni 2020. Bitte vormerken!

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Ein Tag im Leben des Dimitri Leonidowitsch Oblomow

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    • Artikel-Nr.: 978-3-948145-06-4
    • Info: 128 Seiten, Klappenbroschur, Fadenbindung
    • Info: Erscheint am 5. Juni 2020

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Comment des «samouraïs russes» se sont battus pour le Japon lors de la Seconde Guerre mondiale

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Comment des «samouraïs russes» se sont battus pour le Japon lors de la Seconde Guerre mondiale

Les Russes sont peut-être les seuls Européens à s'être portés volontaires afin de se battre pour la création de la sphère de coprospérité de la Grande Asie orientale, sous l'égide du Japon. Mais ils avaient aussi leurs propres objectifs.

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La victoire des bolcheviks lors de la guerre civile russe a contraint des centaines de milliers de Russes à quitter le pays. Avec leurs enfants, ils ne cessaient d'espérer qu'ils pourraient un jour rentrer chez eux et renverser ce pouvoir soviétique qu'ils détestaient tant.

Mais si de nombreux émigrants russes en Europe ont parié sur Hitler pour leur lutte contre l'URSS, ceux qui se sont installés en Extrême-Orient ont choisi de s'allier à l'Empire du Japon.

Alliés

À partir des années 20, les Japonais ont tissé des liens avec les Russes blancs s'étant installés dans le Nord-Est de la Chine, dans la région de Mandchourie. Lorsque l'armée japonaise du Guandong a occupé la région en 1931, une grande partie de la population l'a donc soutenue dans sa lutte contre les troupes chinoises.

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Soldats de l'armée blanche en Chine.

L'État fantoche de Mandchoukouo a été proclamé sur les territoires de Mandchourie et de Mongolie intérieure et Puyi, dernier empereur de Chine, a été placé à sa tête. Cependant, le réel pouvoir était entre les mains des conseillers japonais et du commandement de l'armée du Guandong.

Les Japonais et les Russes se sont alors unis sur la base de leur rejet commun du communisme. Ils avaient besoin les uns des autres dans la guerre de « libération » contre l'Union soviétique qui s'annonçait.

>>> Rouges vs. blancs: le jour où les ennemis jurés sont devenus alliés

Les « samouraïs russes »

Comme le proclamait l'idéologie officielle du Mandchoukouo, les Russes étaient l'un des cinq peuples « indigènes » du pays, et avaient les mêmes droits que les Japonais, Chinois, Mongols et Coréens qui y vivaient.

Démontrant leur attitude bienveillante envers les Russes blancs émigrés, les Japonais les ont activement impliqués dans leur bureau de renseignement en Mandchourie, l'Agence Spéciale de Harbin. Comme l'a noté Michitarō Komatsubara, son dirigeant : « Ils sont prêts à n'importe quel sacrifice matériel, et acceptent avec joie toute entreprise dangereuse pouvant mener à la destruction du communisme ».

En outre, des détachements militaires russes ont été créés pour protéger les principales infrastructures de transport contre les attaques des Honghuzi, des bandits locaux. Plus tard, ces détachements seront impliqués dans des opérations contre les partisans chinois et coréens.

Les « samouraïs russes », comme le général Genzo Yanagita appelait les Russes blancs qui collaboraient avec les Japonais, ont reçu une formation à la fois militaire et idéologique.Généralement, ils étaient indifférents, voire favorables, à l'idée de construire la Grande Asie orientale sous l'égide du Japon, mais leur projet d'annexer toutes les terres russes jusqu'en Oural les irritait grandement, ce qu'ils devaient soigneusement cacher.

« Nous avons filtré tout ce que les orateurs nous disaient, et nous ne gardions pas en tête tout ce qui avait un esprit trop nippon qui ne correspondait pas à notre esprit russe »,a témoigné l’un des cadets, un certain Goloubenko.

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Le détachement Asano

Le plus important des détachements militaires russes créés par les Japonais était le détachement Asano, nommé en l'honneur de son commandant, le major Asano Makoto. Selon les époques, il comptait entre 400 et 3 500 soldats.

>>> Harbin, étonnante ville chinoise construite par les Russes et refuge des tsaristes

Fondé le jour de l'anniversaire de l'empereur Hirohito, le 29 avril 1938, le détachement comprenait des unités d'infanterie, de cavalerie et d'artillerie. Basés à Mandchoukouo, les soldats du détachement Asano étaient toutefois entièrement supervisés par l'armée japonaise.

Les soldats de cette unité secrète se préparaient à mener des opérations de sabotage et de surveillance sur les terres de l'Extrême-Orient soviétique lors de la guerre à venir contre l'URSS. Les soldats d'Asano devaient en effet prendre ou détruire les ponts et nœuds de communication importants, s'infiltrer dans les camps d'unités soviétiques et y empoisonner la nourriture et les sources d'eau.

L'Empire du Japon a par deux fois pu se confronter au potentiel militaire de l'Armée rouge : d'abord en 1938, lors de la bataille du lac Khassan, puis en 1939 lors de la bataille de Khalkhin Gol. Les soldats d'Asano ont été envoyés dans les zones de combats, où ils s'occupaient principalement des interrogatoires des prisonniers de guerre.

On peut trouver des informations sur des heurts militaires entre les soldats du détachement et leurs adversaires. Ainsi, lors de la bataille de Khalkhin Gol, un détachement de cavalerie de la République populaire mongole a rencontré les cavaliers du détachement Asano, mais les soldats mongols les ont d'abord pris pour les leurs ; cette erreur leur a presque à tous coûté la vie.

>>> Portraits de descendants d’émigrés blancs en France

Un nouveau rôle

Fin 1941, les dirigeants japonais ont abandonné l'idée d'une « guerre éclair » contre l'URSS, connue sous le nom de « plan Kantokuen ». En 1943, il devenait clair que les incursions japonaises en Extrême-Orient soviétique n’auraient lieu sous aucune forme.

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Les Japonais ont par conséquent procédé à la réforme des unités russes. Les soldats russes sont passés de leur détachement spécial dédié à la surveillance et au sabotage, à l'armée générale. Ainsi, le détachement Asano, qui avait perdu son statut de détachement secret, est devenu subordonné au 162e régiment des fusiliers des forces armées de Mandchoukouo.

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Drapeau de l'empereur du Mandchoukouo.

Cependant, les soldats russes étaient encore très appréciés à Tokyo. En mai 1944, Takahito de Mikasa, frère cadet de l'empereur Hirohito, est venu sur les lieux où se trouvaient les soldats d'Asano. Il a prononcé un discours, dans lequel il souhaitait renforcer l'esprit et la formation militaire des peuples japonais et russe.

L’effondrement

La lutte difficile et héroïque de l'Union soviétique contre l'Allemagne nazie a provoqué la croissance rapide des sentiments patriotiques et antijaponais au sein des populations russes de Mandchourie. De nombreux officiers ont alors commencé à coopérer avec les services de renseignements soviétiques. Il s'est d'ailleurs avéré que l'un des dirigeants du détachement Asano, Gourgen Nagolian, était en fait un agent du NKVD.

>>> Comment le dernier empereur chinois est tombé entre les mains de l'Armée rouge

Quand l'Armée rouge a envahi la Mandchourie, le 9 août 1945, les détachements de soldats russes ont réagi différemment : une petite partie d'entre eux a résisté, mais est rapidement tombée avec les troupes de Mandchoukouo. Le major soviétique Piotr Melnikov se souvenait que les soldats du côté japonais criaient souvent en russe pour perturber les soldats soviétiques, afin qu'ils ne puissent pas distinguer leurs ennemis de leurs alliés.

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Arrivée des troupes soviétiques en Mandchourie.

La majorité des Russes a choisi de changer de camp. Ils ont arrêté leurs commandants nippons, organisé des détachements de partisans pour combattre les Japonais, et pris le contrôle de villages pour les livrer aux troupes soviétiques qui arrivaient. Il est même arrivé que les relations entre les soldats de l'Armée rouge et les Russes blancs émigrés soient amicales, et ces derniers étaient autorisés à assurer la garde de certains sites.

Mais cela a pris fin lorsque les officiers de l'organisation de contre-espionnage de l'Armée rouge SMERCH sont arrivés à la suite des soldats. Moscou disposait en Mandchourie d'un vaste réseau de renseignement et était bien au courant des activités des Russes blancs émigrés lors des années précédentes. Ces derniers ont été massivement déportés en URSS, où les figures les plus importantes ont été exécutées, pendant que les autres ont écopé de jusqu'à 15 ans de détention dans les camps.

Dans cet autre article, découvrez le mystérieux peuple des Aïnous, à cheval entre Japon et Russie.

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La sociedad virtual destruye la Comunidad

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La sociedad virtual destruye la Comunidad

Ex: https://www.geopolitica.ru

Se vive pero no se expresa. Hay podredumbre en el ambiente. Un hedor penetrante y difícil de describir. De hecho, no hay "narrativa" al respecto. No sé si es debido a la falta de recursos conceptuales o porque interesa mucho que así sea. Todo cuanto nos pasa "interesa" a alguien. Es la lógica de las cosas desde finales de la II Guerra Mundial. La historia del hombre no es ya sólo la historia de la guerra entre potencias, sino la historia del control, dominación y sumisión de extensos contingentes de la humanidad, alienación hecha a cargo de poderes que no están localizables de manera exacta en un cuartel general, en una potencia nacional, en un locus de control universal. Poderes mundiales cada vez más opacos y que distribuyen falsos discursos para que nuestras reacciones se neutralicen y disipen, para que nuestra irrelevancia e inefectividad sean cada vez más evidentes.

Se siente, pero no se quiere encajar el golpe. El mundo, tal y como lo teníamos concebido y al que nos habíamos acostumbrado, se nos escapa de las manos. Nos cortan los lazos con el suelo, con el sistema de seguridades que todo hombre precisa: una familia, una patria, la fe, una comunidad orgánica local. Lo lazos con aquello que hace humano al hombre, lo convierte en persona, le vincula a una sociedad y no a una manada de simios: el trabajo, la productividad, la responsabilidad y el deber hacia el prójimo. La sociedad virtual, ese sistema de mónadas aisladas, sin verdaderas puertas y ventanas con las que asomarnos al otro, está para quedarse. La más horrenda sociedad panóptica, como la imaginada por Bentham, está aquí para quedarse. Todo acto, pensamiento, palabra y omisión procedente de nosotros puede quedar registrado. ¿Por Dios? Por un Dios que perdona, que habita en lo más íntimo de cada ser, que es un Padre de sus hijos a quienes desea salvos… esa ciencia divina, bien está. Pero si el acto, el pensamiento, palabra y omisión de cada hombre quedan registrados por poderes ocultos, o no tan ocultos, que mueven sus hilos desde 1945 ajenos a toda consideración moral, que actúan de forma extra-humana, diríamos diabólica… entonces la cosa debe movernos a pensar, y a reaccionar.

La pandemia nos traerá un nuevo totalitarismo. Indicios los hay por doquier. Geo-localización, chips incorporados al cuerpo, drones, registros cibernéticos… El mundo entero se ha puesto de rodillas ante unos poderes que parecen omnímodos, y que, al más puro estilo satánico, quieren ser como Dios. En realidad, se trata de la prolongación de políticas que ya llevaban en activo muchos años. Ahora es el momento en que debemos plantearnos por qué se puso tanta carne en el asador a la hora de quitar los libros de las escuelas e institutos, sustituyéndolos por dispositivos electrónicos que no hacen más que dispersar la atención, dificultar la comprensión lectora, separar al joven del mundo de la lectura y la alta cultura. Ahora es la ocasión para que reflexionemos mucho más seriamente sobre el acceso universal y libre de los niños a Internet. Cuando se implantó la red de redes nadie movió un dedo para proteger realmente a nuestros menores ante la avalancha dañina de contenidos que podían penetrar violentamente en sus mentes. Hubo –y sigue habiendo- un proceso de adiestramiento de los niños y jóvenes a la realidad "virtual", donde se les quería ver instalados, ajenos al futuro de esclavitud real que les aguardaba.

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Un futuro de esclavitud, porque esas mónadas, esos entes cada vez más solitarios, cada día más sub-humanos, ajenos a su verdadera condición de personas, no están capacitados para emprender verdaderas rebeliones y subvertir su situación. Los antiguos esclavos y siervos de la gleba intuían de manera más o menos transparente el grado de humillación y pisoteo de sus verdaderos atributos y derechos. Los modernos siervos del mundo digitalizado ya poseen, casi antes de nacer, un cerebro manipulado, una mente con un virus informático que trastoca todos los programas neuronales, y aún más allá, que trastocan las potencias del alma.

Y así vemos, en la sociedad del espectáculo, gestos y puestas en escena que expresan más bien la obediencia a las consignas de los poderes sin rostro antes que auténticos anhelos de liberación. Lo que se ve en las películas y series americanas se quiere llevar a nuestro barrio y ciudad, y Greta Thunberg se vuelve heroína no por el bien que cause al planeta, sino por lo que representa ser famosa y no tener obligación de ir al Instituto y formarse, que es lo que corresponde con su edad. Ahora han salido de los agujeros millares de Martin Luther King, no todos con rostro negro sino de todos los colores, ansiosos de golpear a un Sistema que, de sobra, ha capitalizado el anti-racismo después de haberse beneficiado del propio racismo.

Estamos ante lo que Diego Fusaro denomina una "re-plebeyización" de las clases trabajadoras y populares. Éstas vivían en sus carnes la explotación a través del trabajo, pero ese mismo trabajo las dignificaba, les daba fuerza (paralizándolo, por medio de huelgas, por ejemplo), les creaba un vínculo o punto de inserción con la realidad. Por el contrario hoy se está creando, de forma planificada, una masa humana dependiente, plebeya. Al igual que la plebe romana, o mucho peor, una serie de entretenimientos virtuales y audiovisuales (series, móvil, pornografía, chascarrillos) son suministrados a la masa para que vibre al unísono cuando el Poder lo diga, y se aquieten y se confinen cuando ese mismo Poder lo diga. Con movimientos contráctiles y espasmos inducidos por galvanización mecánica, el monstruo plebeyo simulará tener vida propia. Ayer contra la violencia machista y el fascismo, ahora contra el racismo, mañana contra la carne de cerdo o a favor de los derechos de los pepinillos. Todo da igual, una masa mecánica, en este "turbocapitalismo", se ha formado ya y ese es el punto más bajo de la condición humana. Una combinación de renta básica (paguitas) y aprobados generales, más la ampliación del voto a los que tengan catorce o dieciséis años, para arriba, y a los extranjeros recién venidos, hará el resto. Se destruirá así una sociedad en lo que tiene de lazos orgánicos y afectivos, arraigos y lealtades, es decir, para ser más preciso, se destruirá la Comunidad