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jeudi, 28 mai 2020

Quel monde envisager après l'actuelle pandémie ?

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Quel monde envisager après l'actuelle pandémie ?

Ex: http://www.europesolidaire.eu

Nous publions ci-dessous à la demande de notre Comité de rédaction une liste provisoire des questions posées selon nous par la pandémie due au Covid 19, sans évidemment y répondre dans l'immédiat. Toutes critiques ou propositions sont les bienvenues.

Introduction

Même si les effets de l'actuelle pandémie en termes de santé publique (nombre de patients, létalité) se révèlent tous les jours moins importants qu'initialement craints, ils ont obligé à une réflexion critique générale sur le monde actuel. Dans l'hypothèse où apparaîtraient dans les prochaines décennies de nouvelles pandémies pouvant être plus dangereuses, il paraît utile d'examiner dès maintenant comment s'y préparer au mieux. Plusieurs points devraient être abordés, en se demandant à chaque fois jusqu'où faudrait-il aller sans mettre en danger la civilisation actuelle. La liste ci-dessous est présentée dans un certain désordre et n'est évidemment pas exhaustive. 24/05/2020

- Le rôle des services publics essentiels face au libéralisme financier dans les domaines de santé publique. Services hospitaliers ou services urgentistes...) mais aussi dans les domaines de l'éducation, protection de l'environnement...

- La validité d'un système économique reposant sur la production de biens de consommation à court terme plutôt que sur des investissements d'avenir indispensables mais qui ne seraient productifs qu'à moyen ou long terme (5 à 15 ans, sinon plus).

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- Comment éviter que les salariés et professions indépendantes, ainsi que les retraités, supportent seuls les mesures d'adaptation nécessaires alors que les grands entrepreneurs et les banques réussissent à échapper aux sacrifices indispensables ?

- Faut-il craindre un développement irréversible des mesures publiques dites autoritaires, voire dictatoriales, au prétexte de lutte contre les pandémies ?

- Comment éviter que des « milliardaires s'enrichissent malgré un appauvrissement général ? Faudrait-il accepter voire encourager les fondations privées dite philanthropiques (type Fondation Bill-et-Melinda Gates) au détriment des services publics ?

-Faut-il faciliter l'accès de certains services administratifs ou de santé aux données dites personnelles  ou au traçage des itinéraires et contacts?

-Le rôle des collectivités locales face aux administrations d'Etat. Intérêts respectifs ? Elles devraient toutes avoir un rôle complémentaire, mais comment éviter les recouvrements ou les lacunes ?

-Faut-il craindre les abus de pouvoirs de la « big pharma » refusant des traitements déjà éprouvés au profit de spécialités coûteuses, obtenues à partir de financements importants apportés par la sécurité sociale et les usagers ?

-Quel crédit attribuer aux statistiques en matière de santé, concernant notamment les évolutions du nombre des personnes atteintes ou des décès ? Ceci en premier lieu dans des pays ou l'appareil statistique est quasi-illusoire, mais aussi dans l'Union européenne ou la France. Comment par exemple distinguer faute de diagnostic post-mortem les décès imputables à la pandémies de ceux découlant d'autres causes

- Faut-il craindre un « gouvernement des médecins » se substituant aux autorités pour définir les mesures de prévention ou les mesures-barrières?

- Le rôle croissant de l'Intelligence artificielle en recherche médicale et biologique. Jusqu'où aller ?

- Comment prélever sur les hauts revenus les moyens d'aider les moins favorises ? Et comment ? Verser des aides directes, prendre en charge des emprunts ?

- La fermeture des frontières géographiques. De plus en plus ouvertes jusqu'à ces derniers mois, elles se sont progressivement refermées. En ce qui concerne les personnes physiques et les marchandises en premier lieu. Le phénomène a même concerné certaines frontières intérieures à l'espace Schengen.

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- Les remises en cause du concept de mondialisation, tout au moins dans certains domaines.

- Les différences de résistance face aux pandémies entre pays riches et pays pauvres. Faudrait-il prévoir au plan mondial des mesures de protection des derniers face notamment à de graves pandémies ;

- L'explosion du télétravail. Travail intellectuel mais aussi travail physique. S'agirait-il d'une perspective inévitable, compte-tenu de la numérisation croissante des sociétés

- La domination des Géants de l'Internet (GAFAM), principalement américains, profitant sans contrôle collectif possible, de cette numérisation des sociétés.

- La collaboration de ces GAFAM avec les pouvoirs militaires, notamment aux Etats-Unis la CIA et les Agences Fédérales de Défense.

- Les risques liés à l'extension des mégapoles (clusters) notamment dans les zones à forte densité de population et sous-administrées, comme au Brésil ou dans certains pays africains.

- La surexploitation des ressources naturelles avec diminution rapide de la biodiversité, susceptible notamment de faire apparaître de nouveaux virus.

- Les risques en terme de santé publique de la croissance démographique non contrôlée (Afrique notamment). Quel taux de croissance serait supportable au plan mondial. Mais comment intervenir sur des comportements déterminés notamment par des croyances religieuses  ?

- Le rejet des migrants : migrants politiques, migrants économiques, notamment compte-tenu des risques d'entrée de personnes contaminées. Ceci provoquera sans doute à terme des franchissements armées de frontières entraînant des réponses militaires de la part des pays menacés.

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- Les perspectives de la guerre biologique, microbiologique et virologique. Ne sera-t-elle pas inévitable ?

-Pourrait-on envisager, pour éviter les risques et mobiliser les ressources, un concept d' »économies raisonnablement planifiées », ceci dans quelles limites et dans quelles durées ?

Conclusion

Comment encourager la participation des citoyens et des opinions publiques concernant l'approche et la recherche de solutions aux difficultés et problèmes évoqués ci-dessus ?

mercredi, 06 mai 2020

Corona-Zwangsmaßnahmen: Die Wut wächst!

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Stefan Schubert:

Corona-Zwangsmaßnahmen: Die Wut wächst!

Ex: https://kopp-report.de

Am vergangenen Wochenende hat sich der Souverän dieses Landes eindrucksvoll mit Demonstrationen zurückgemeldet und die Wiederherstellung seiner elementaren Freiheitsrechte eingefordert. Während Linksterroristen der Antifa einmal mehr versuchten, politisch Andersdenkende zu unterdrücken, führten Medien und Politik gleichzeitig eine Diffamierungskampagne gegen regierungskritische Bürger durch.

Deutschlandweit beteiligten sich Zehntausende Bürger an Demonstrationen und forderten ihre (eigentlich) vom Grundgesetz geschützten Rechte ein. Die Reaktionen der politisch-medialen Eliten darauf beweist einmal mehr, wie fortgeschritten der Meinungstotalitarismus in diesem Land bereits ist.

Anstatt Positionen des Volkes anzuhören, sein eigenes Handeln und seine eigenen Positionen zu hinterfragen, stellt der Mainstream lediglich erneut seine Diskursunfähigkeit unter Beweis. Jegliche Regierungskritik wird von der Staatspropaganda versucht als »Rechts« oder als eine »Verschwörungstheorie« zu framen. Die Protagonisten dieser Willkür reichen von herrschenden Politikern, Staatsjournalisten von ARD und ZDF sowie deren Anhängsel bei Spiegel, Süddeutsche und Co. bis zu den schwarzuniformierten Linksterroristen der Antifa.

Die Meinungsfreiheit in diesem Land ist auf den Personenkreis beschränkt, der die Meinung des Mainstreams widerspiegelt und die Meinung der Regierung beklatscht.

Das Waffenarsenal der Totalitären ähnelt in der Corona-Krise auch deren Vorgehen bei Themen wie Flüchtlingskrise, Migration, Ausländerkriminalität und Islam. Auch bei diesen Themen verweigern sie sich jeglicher Diskussion, weil sie argumentativ nicht in der Lage sind eine offene Debatte zu führen, geschweige denn diese für sich zu gewinnen.

Mangels Argumenten bedienen diese sich einzig einem moralisierenden Ton, der allein darauf gerichtet ist, jeglichen Diskurs im Keim zu ersticken. Betraf es vor Corona mehrheitlich Bürger die politisch rechts von einer extrem nach links gerutschten Merkel-CDU standen, erfahren aktuell Millionen Bürger dieses Landes, wie schnell und wie willkürlich man von dieser Regierung und ihren Staatsmedien als »Verschwörungstheoretiker« zu stigmatisieren versucht wird:

• Sie haben sich eine eigene Meinung zum Coronavirus gebildet? – Verdachtsfall Verschwörungstheoretiker!

• Sie haben eine regierungsabweichende Meinung zum Coronavirus? – Verschwörungstheoretiker!

• Sie äußern öffentlich eine regierungswidersprechende Meinung zum Coronavirus? – Rechter Verschwörungstheoretiker!

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Stasi-Journalismus bei der Tagesschau

Vorneweg bei dieser »Menschenjagd« marschiert die Tagesschau der ARD. Ein Artikel auf tageschau.de über eine Demonstration für Grundrechte ist mit »Jahrmarkt der kruden Ideen« betitelt.

Die Kommentarfunktion ist hier natürlich abgeschaltet. Die Diffamierungen der mit über acht Milliarden Euro zwangsfinanzierten medialen Blockwarte, in diesem Fall zeichnet die »Journalistin« Silvia Stöber für dieses Machwerk verantwortlich, sind mehrheitlich nach dem gleichen Muster aufgebaut. Obwohl deutschlandweit zehntausende und in dem Berliner Fall mehrere hundert  Menschen aus der Mitte der Gesellschaft sich friedlich versammelten, um für ihre Freiheitsrechte einzustehen, suchen sich die Häscher der ARD gezielt diskussionswürdige Minderheitenmeinungen aus der Menge heraus, um damit dann die Demonstration als Ganzes zu stigmatisieren.

Ein Mann hält ein kleines Pappschild mit der Aufschrift »5 G Kills« vor sich und wird sofort fotografiert und für die Bebilderung des Artikels verwendet. Die wenigsten Bürger auf dem Rosa-Luxemburg-Platz dürften mit der »Verschwörungsideologie QAnon«, so Silvia Stöber auf tageschau.de, bekannt, geschweige denn mit dieser übereinstimmen, doch trotzdem wird diese Einzelmeinung ganz am Anfang prominent in den Artikel eingebaut, um die gesamte Demonstration ins Lächerliche zu ziehen – dieser ein verschwörungsideologisches framing zu verpassen.

Die drehende Stimmung in der Bevölkerung lässt die Merkel-Regierung und ihre medialen Handlanger merklich nervöser werden. Doch selbst die reihenweise Aufhebung der Zwangsmaßnahmen durch Gerichte lässt den Staatsapparat nicht innehalten, sondern immer wilder um sich schlagen.

Erfahren muss dies aktuell der Rechtsanwalt und FDP-Bundestagsvizepräsident Wolfgang Kubicki. Im Angesicht des Festhaltens der Bundesregierung an den weitreichenden Grundrechtseinschränkungen kritisiert Kubicki:

»Mittlerweile habe ich das Gefühl, einige Ministerpräsidenten gefallen sich in der Rolle, dass sie auftreten können wie Sonnenkönige und den Eindruck vermitteln, die Gewährung von Freiheiten seien Gnadenakte.«

Auch bezüglich der widersprüchlichen Argumentation zur Einschränkung elementarer Freiheitsrechte der Bundesregierung und des Robert-Koch-Instituts leistet sich Kubicki eine eigene Meinung. Bekanntlich wurden die Zwangsmaßnahmen zuerst mit der Verdopplungszahl der Infizierten begründet, als diese das vorgegebene Ziel unterschritten, führten die Berliner Eliten nun die sogenannte Reproduktionsrate als alles verbindliche Messlatte an. Ein mehr als befremdliches Verhalten findet auch Kubicki:

»Heute habe ich gelernt, dass der R-Wert offenbar gar nicht mehr alleine aussagekräftig ist, anders, als es die Bundeskanzlerin Mitte April noch vermittelte. Was mich wundert, weil wesentliche Grundrechtseinschränkungen mit diesem R-Wert begründet worden sind.«

Weiter äußert sich Kubicki: »Ein Schelm, wer Böses dabei denkt. Der R-Wert des Robert-Koch-Instituts steigt ausgerechnet zur Konferenz der Kanzlerin mit den Ministerpräsidenten, bei der vor weiteren Lockerungen gewarnt werden soll“, so der Bundestagsvizepräsident. Er haben den Eindruck, dass die Zahlen »politisch motiviert« seien, so Kubicki.

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Die Bundesregierung und die Mainstream-Medien verstricken sich immer tiefer in Widersprüche um die Zwangsmaßnahmen aufrechtzuerhalten und werden dabei ertappt und vorgeführt.

Was meinen Sie, wie die Bundesregierung darauf reagiert? Einsicht? Aufklärung? Und mit dem Einräumen der widersprüchlichen Positionen?

Natürlich nicht, die Staatsmacht schaltet umgehend in den Diffamierungsmodus. Der Chef der bayerischen Staatskanzlei Florian Herrmann (CSU) nahm Kubicki ins Visier und verbreitete über die Medien: »Diesen Vorwurf halte ich für äußerst problematisch… Das sind Vorwürfe, die man normalerweise nur von der AfD kennt. Das sind Verschwörungstheorien.«

Inzwischen in der VSA:

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mardi, 07 avril 2020

Déconfinement par étapes : l’opposition politique au Système doit définir ses priorités et imposer son agenda

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Déconfinement par étapes : l’opposition politique au Système doit définir ses priorités et imposer son agenda

par le Dr. Dominique Baettig

Ex: http://www.lesobservateurs.ch

Plus la pandémie se développe et plus le questionnement légitime des citoyens se justifie. Si l’origine du virus, sa spécificité et sa dangerosité restent encore incertaines, l’instrumentalisation dans une tentative globaliste d’activer le passage à un stade supérieur de gestion et de contrôle de la population est nettement perceptible.

Soyons clair, le principe de précaution l’emporte dans de telles situations. Et seul l’Etat souverain national est encore en position de parer au plus pressé : fermeture des frontières, directives globales de précaution pour ne pas contaminer les groupes à risque, développement de structures médicales supplémentaires d’urgence, recours à l’armée, redéfinition des priorités hospitalières, mobilisation de ressources bénévoles. Il semble évident aujourd’hui que nos autorités fédérales, malgré le degré d’urgence, ont tergiversé par idéologie (le libre-échange et la libre circulation des biens et des personnes sont des valeurs saintes et intouchables) et aussi par peur des réactions internationales. Il n’est pas normal, dans ces conditions, que les citoyens soient punis après coup par de l’emprisonnement volontaire et l’arrêt d’activités économiques vitales. Sur une période limitée, dans le doute oui, mais pas dans l’incertitude, la prolongation sans limite des mesures liée aux décisions arbitraires, à la lecture de statistiques peu nuancées par les augures de l’OFSP qui n’oseront jamais desserrer le nœud coulant sans se coordonner avec nos voisins de l’Union européenne. Confinement avec exceptions, recommandations contradictoires et culpabilisantes, port de masques par la population recommandé mais sans moyens suffisants, découverte de la dépendance de l’acheminement de médicaments, masques, réactifs nécessaires au diagnostic qui viennent de Chine. Retour au chacun pour soi avec les pays voisins, culpabilisation de la population vecteur du virus qui aggraverait la vitesse de propagation si elle n’obéit pas aux injonctions (rester chez soi sauve des vies) mais il faut quand même soigner les malades, assurer la vente de denrées alimentaires, assurer la sécurité, produire des biens de première nécessité. C’est la porte ouverte à toutes sortes de revendications plus ou moins légitimes puisque les bobos disent que la santé vaut mieux que le profit…Mais l’économie doit continuer à fonctionner, pour garantir les prestations sociales, payer les salaires, dédommager ceux qui se trouvent privés de revenus. La vie associative est annulée, les parents contraints de s’occuper des devoirs scolaires de leurs enfants, on fait miroiter des prêts, des suspensions douteuses de loyers, un report des échéances, une suspension de la vie parlementaire.

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Il est très important que l’opposition antiglobaliste se mobilise et puisse imposer un agenda souverainiste au déconfinement :

a) Priorité à l’économie de proximité : maraîchers, paysans, travailleurs indépendants qui doivent reprendre leur activité, avec des précautions (masques, distance de protection)

b) Laisser faire la débrouille et auto-organisation citoyenne pour éviter le blocage complet de l’économie

c) Favoriser l’accès aux soins efficaces (hydroxycholoroquine et analogues) pour éviter le chantage à la priorité des soins aigus, avec le risque de saturation, pour les victimes majoritairement très âgées et vulnérables à l’épidémie.

d) Ne pas permettre aux problèmes induits par un confinement arbitraire et culpabilisant de s’accumuler : blocage de l’économie autonome, stress relationnel et violences induites du confinement, mise en attente d’interventions médicales qui exploseront dans un second temps.

e) Rapatrier les industries vitales pour l’économie : respirateurs, réactifs pour tests, masques recommandés pour tous, ouverture aux thérapies alternatives et locales (contre le diktat du pharmacologiquement correct et les exigences inappropriées de documentation de l’efficacité par des procédures bureaucratiques irréalistes dans un état d’urgence et de guerre).

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f) Ne pas laisser miroiter des solutions durables par la création de nouvelles dettes par les banques. La monnaie cash doit impérativement être sauvegardée

g) La fermeture des frontières et son contrôle peut durer, il n’est pas prioritaire d’y surseoir…

h) Favoriser les énergies non fossiles existantes, y compris le nucléaire, l’énergie hydraulique et géotherminque non profonde.

i) Ne pas laisser le contrôle social (par Internet, 5G, etc.) s’installer. Y préférer les solutions alternatives, les opinions critiques.

j) Reprendre le contrôle civique par les citoyens plutôt que la bureaucratie administrative médicale pilotée par l’OMS et les institutions centralisatrices globalistes. Le législatif doit impérativement fonctionner

k) Faire confiance au bon sens et à l’auto-organisation citoyenne. Non à l’isolement, non au gavage totalitaire d’informations catastrophistes qui empêchent toute critique et toute contestation.

l) La pandémie est la résultante d’un système dysfonctionnel (agriculture industrielle, médecine industrielle, libre circulation comme idéal, immigration systématique de remplacement ou de mélange imposé, dépendance de la distribution globale). Il ne faut pas continuer comme si de rien n’était mais organiser la souveraineté politique, économique, agricole. Revenir au local de manière prioritaire. Redimensionnement à échelon humain.

m) La décroissance qui s’annonce implique la fin de l’immigration sans limites et la préparation de la remigration indispensable, vu la surpopulation problématique sur les plans écologique, économique, social.

Le travail  le plus important arrive. Ne laissons pas ceux qui sont responsables de cette situation, par idéologie ou cynisme, ou instrumentalisation par propagande, profiter d’imposer leurs solutions.

Dominique Baettig, 05.04.2020