Le Système incarne aujourd’hui à travers la Nouvelle Gauche, les médias, la justice et le grand patronat, le pouvoir réel dans notre pays. Informel et invisible, il entraîne la France sur la voie tracée par son idéologie ultralibérale, mondialiste et déconstructiviste. La droite nouvelle, qui représente la seule véritable opposition à cette entreprise politique délétère, doit donc, selon Ligne droite, se positionner clairement comme l’alternative au Système.
Un double dispositif de gouvernement
Aujourd’hui, notre pays connaît en effet un double niveau de gouvernement. En apparence, il est régi par les institutions officielles telles que définies par la Constitution. Dans ce monde-là, le pouvoir politique est censé avoir la prééminence. Le président de la République domine, soutenu par sa majorité parlementaire. Face à lui, l’opposition est supposée incarner une autre vision de l’avenir du pays. Et, à côté du pouvoir, la justice fait respecter les lois, les médias informent les citoyens et les entreprises leur fournissent des biens et des services.
Le Système derrière la façade institutionnelle
Mais ce monde est à bien des égards factice ou en tout cas il ne fonctionne pas comme on pourrait le croire au premier abord car, derrière la façade institutionnelle, c’est une autre réalité qui s’impose. Une réalité qu’on peut qualifier de Système puisque, dans la pratique, les différents pouvoirs ne sont pas indépendants mais corrélés les uns aux autres à travers les hommes qui en ont la charge. Même l’opposition procède de ce Système, comme la France insoumise qui n’est qu’une fausse opposition tout aussi immigrationniste que le parti de Macron et donc bien utile pour empêcher l’attention de se porter vers une véritable alternative. Et comme tous les acteurs du Système communient dans la même idéologie politiquement correcte, toutes les entités qu’ils dirigent œuvrent, non pas indépendamment, mais de concert et selon un ordre hiérarchique qui n’est pas celui des apparences. Les médias comme la justice dominent le pouvoir politique et le grand patronat domine les médias, de telle sorte que le monde économique et financier exerce sur le Système un pouvoir aussi absolu que discret.
L’idéologie politiquement correcte comme moteur du Système
Une discrétion qui est de règle et qui est d’ailleurs d’autant mieux respectée que le Système fonctionne en pilotage automatique. D’abord parce que tous les acteurs du Système se tiennent et que ceux qui en sortiraient seraient aussitôt diabolisés et marginalisés. Ensuite parce que tous ceux qui y occupent des postes de responsabilité connaissent la direction à suivre. Aussi n’y a-t-il aucun chef secret qui en dirige les ramifications. Aucune organisation parallèle ne structure le réseau. Sans doute existe-t-il des personnalités plus influentes que d’autres, peut-être y a-t-il des cénacles qui comptent plus que d’autres, mais le Système s’autorégule car tous ses membres ont la même feuille de route, celle de la pensée unique, une idéologie qui repose sur trois piliers.
L’ultralibéralisme international qui prône la dérégulation totale des échanges économiques et financiers à l’échelle de la planète. Le mondialisme qui pousse à la fusion des peuples et des nations et donc à l’immigration sans limite. Et la déconstruction des valeurs sociétales, cette espèce de relativisme militant qui cherche à abattre les valeurs et à gommer toutes les différences. Au résultat le Système œuvre dans le sens du libre-échangisme, de l’internationalisme, de l’européisme, de l’atlantisme, de l’immigrationnisme, de l’écologisme et du libertarisme.
Telle est la raison pour laquelle on ne peut pas, sans risquer la diabolisation ou l’ostracisme, défendre le protectionnisme économique, contester l’Europe bruxelloise, réclamer l’arrêt de toute immigration, ou même s’interroger sur la validité de la parité homme femme généralisée. Ces questions sont taboues parce que contraires aux options du Système, lequel impose ses vues sans contestation possible.
La droite nouvelle, cible principale du Système
La droite nouvelle, dont les choix idéologiques sont presque tous contraires à ceux du Système, se situe donc dans l’opposition, non seulement à la Nouvelle Gauche de M. Macron actuellement au pouvoir, mais aussi au Système dans son ensemble. C’est pourquoi elle ne peut qu’être combattue par les médias et maltraitée par la justice. Le Système est en effet bien conscient qu’une victoire politique de la droite nouvelle pourrait signifier son démantèlement puis sa disparition. Il mettra donc tout en œuvre pour s’opposer à elle, pour freiner son émergence et empêcher sa victoire.
La droite nouvelle en alternative au Système
C’est pourquoi la droite nouvelle doit, selon Ligne droite, se positionner clairement en alternative au Système. Une alternative qui apparaît comme une nécessité impérieuse pour la survie même de notre nation et de notre civilisation aujourd’hui gravement menacées. Toutes les actions du Système détruisent en effet les valeurs qui ordonnent notre société et conduisent au chaos. Le chaos migratoire, qui déracine notre peuple et l’expose au risque d’être remplacé par des populations venues d’ailleurs. Le chaos économique, qui appauvrit les Français, crée le chômage de masse et dépossède la France de ses outils de production. Le chaos sociétal, qui détruit les valeurs traditionnelles, effacent les repères et génère la médiocrité. Pis, ce Système provoque la guerre de tous contre tous, il fragmente la France, dresse les minorités contre la majorité et laisse émerger des communautés qui s’opposent les unes aux autres.
Pour mettre un terme à ces funestes entreprises, il est donc essentiel de s’opposer au Système et de réussir à le démanteler. C’est à cette tâche que la droite nouvelle doit s’atteler en se positionnant clairement comme l’alternative au Système.




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Negli anni Sessanta, in qualità di giovanissimo militante della Giovane Europa, l’organizzazione da lui diretta, ebbi modo di vederlo diverse volte. Lo conobbi a Parma, nel 1964, accanto a un monumento che colpì in maniera particolare la sua sensibilità di “eurafricano”: quello di Vittorio Bottego, l’esploratore del corso del Giuba. Poi lo incontrai in occasione di alcune riunioni della Giovane Europa e in un campeggio sulle Alpi. Nel 1967, alla vigilia dell’aggressione sionista contro l’Egitto e la Siria, fui presente a un’affollata conferenza che egli tenne in una sala di Bologna, dove spiegò perché l’Europa doveva schierarsi a fianco del mondo arabo e contro l’entità sionista. Nel 1968, a Ferrara, partecipai a un convegno di dirigenti della Giovane Europa, nel corso del quale Thiriart sviluppò a tutto campo la linea antimperialista: “Qui in Europa, la sola leva antiamericana è e resterà un nazionalismo europeo ‘di sinistra’ (…) Quello che voglio dire è che all’Europa sarà necessario un nazionalismo di carattere popolare (…) Un nazionalcomunismo europeo avrebbe sollevato un’ondata enorme di entusiasmo. (…) Guevara ha detto che sono necessari molti Vietnam; e aveva ragione. Bisogna trasformare la Palestina in un nuovo Vietnam”. Fu l’ultimo suo discorso che ebbi modo di ascoltare.
All’inizio degli anni Ottanta, Thiriart lavora a un libro che non ha mai visto la luce: L’Empire euro-soviétique de Vladivostok à Dublin. Il piano dell’opera prevede quindici capitoli, ciascuno dei quali si articola in numerosi paragrafi. Come appare evidente dal titolo di quest’opera, la posizione di Thiriart nei confronti dell’Unione Sovietica è notevolmente cambiata. Abbandonata la vecchia parola d’ordine “Né Mosca né Washington”, Thiriart assume ora una posizione che potrebbe essere riassunta così: “Con Mosca contro Washington”. Già tredici anni prima, d’altronde, in un articolo intitolato Prague, l’URSS et l’Europe (“La Nation Européenne”, n. 29, novembre 1968), denunciando gli intrighi sionisti nella cosiddetta “primavera di Praga”, Thiriart aveva espresso una certa soddisfazione per l’intervento sovietico e aveva cominciato a delineare una “strategia dell’attenzione” nei confronti dell’URSS. “Un’Europa occidentale NON AMERICANA – aveva scritto – permetterebbe all’Unione Sovietica di svolgere un ruolo quasi antagonista degli USA. Un’Europa occidentale alleata, o un’Europa occidentale AGGREGATA all’URSS sarebbe la fine dell’imperialismo americano (…) Se i Russi vogliono staccare gli Europei dall’America – e a lungo termine essi devono necessariamente lavorare per questo scopo – bisogna che ci offrano, in cambio della SCHIAVITU’ DORATA americana, la possibilità di costruire un’entità politica europea. Se la temono, il modo migliore di scongiurarla consiste nell’integrarvisi”.
Apparso nel 1964 in lingua francese, nel giro di due anni Un Empire de 400 millions d’hommes: l’Europe vide la luce in altre sei lingue europee. La traduzione italiana venne eseguita da Massimo Costanzo, (all’epoca redattore di “Europa Combattente”, organo italofono della Giovane Europa), il quale presentò l’opera con queste parole: “Il libro di Jean Thiriart è destinato a suscitare, per la sua profondità e per la sua chiarezza, un forte interesse. Ma da dove deriva questa chiarezza? Da un fatto molto semplice: l’autore ha usato un linguaggio essenzialmente politico, lontano dai fumi dell’ideologia e dalle costruzioni astratte o pseudometafisiche. Dopo una lettura attenta, nel libro si possono anche trovare impostazioni ideologiche, ma queste traspaiono dalle tesi politiche e non il contrario, come fino ad oggi è avvenuto nel campo nazionaleuropeo”. Nonostante le riserve che alcune “impostazioni ideologiche” dell’Autore (eurocentrismo, razionalismo, giacobinismo ecc.) potranno suscitare, il lettore di questa seconda edizione italiana probabilmente concorderà con quanto scriveva Massimo Costanzo quarant’anni or sono; anzi, si renderà conto che questo libro, senza dubbio il più famoso dei testi redatti da Thiriart
Truyens considera que la elección de Emmanuel Macron es, sin duda, un efecto de la estrategia popperiana de Georges Soros. Macron no tenía un partido detrás, sino un movimiento de muy reciente constitución, puesto en marcha rápidamente según las tácticas aprobadas por la fundación que Soros había aplicado en otras partes del mundo. Tanto si Soros ha financiado como si no el movimiento “En marcha” de Macron, la política de éste, como la de Merkel y otros supuestos “líderes” europeos sigue una lógica Popper-sorosiana de disolución de los pueblos, sociedades y Estados en mayor medida que la lógica sesentayochista derivada de la Escuela de Frankfurt, instrumento que ahora consideran inadecuado porque podría tener los efectos contrarios a los esperados.