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samedi, 05 mars 2016

La franko-latinisation de l’Europe

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La franko-latinisation de l’Europe

par Alain Santacreu

romancier, essayiste

Ex: http://metamag.fr

De quelque côté que l’on se tourne, aucun intellectuel n’est aujourd’hui en mesure de répondre à cette question : « Qu’est-ce qu’être français ? »

Et pour cause : les prémisses de tout raisonnement sont instantanément faussées par la falsification de l’histoire elle-même. Ce n’est donc pas le moindre mérite du théologien grec Jean Romanidès (sous le titre Théologie empirique est récemment paru chez L’Harmattan, dans la coll. « Contrelittérature », la première édition française d’un ouvrage de Jean Romanidès) d’avoir réactualisé une vision rectificatrice de l’Histoire de France, marginalisée ou ridiculisée par la doxa universitaire, celle illustrée par des historiens totalement oubliés comme l’abbé Sieyès, Jules Michelet ou encore Augustin Thierry.

Selon Jean Romanidès, les fondements véritables de la démocratie et de la liberté ont été annihilés très tôt en Europe par la théologie politico- racialiste de la noblesse frank qui engendra Charlemagne et Napoléon. En écrivant Frank(e), avec un « k », nous reprenons l’orthographe proposée par Augustin Thierry qui la justifiait ainsi : « Frank est le mot tudesque, le nom national des conquérants de la Gaule, articulé suivant leur idiome ; Franc est le mot français, le terme qui dans notre vieille langue exprimait la qualité d’homme libre, puissant, considérable ; d’un côté, il y a une signification ethnographique et, de l’autre, une signification sociale correspondant à deux époques bien distinctes de notre histoire ; c’est cette diversité de sens que j’ai voulu marquer d’un signe matériel par la différence d’orthographe. » (Augustin Thierry, Lettres sur l’Histoire de France, Paris, 1884, lettre II, p.20, note 2).

romanides18674842.jpgDans Qu’est-ce le Tiers-État ? Sieyès montre que la Révolution française de 1789 fut l’expression de la révolte des Gallo-Romains asservis contre les nobles Franks — qui représentaient à peine 2% de la population. Napoléon Bonaparte était un Frank de la petite noblesse de Toscane qui avait pu suivre une école d’officiers. Il usurpa la Révolution des Gallo- Romains et la retourna au bénéfice des Franks. Près de neuf mille officiers franks, en grande majorité issus de la petite noblesse, appartenant à vingt cinq loges militaires de la franc-maçonnerie, participèrent à la Révolution française aux côtés des Gallo-Romains. Ces officiers, payés avec l’argent de l’impôt que le roi prélevait sur la classe moyenne et non plus par l’attribution de fiefs, comme cela s’était fait durant des siècles jusqu’au quinzième, prétendaient devenir les égaux de la haute noblesse. Cette dernière, avec la royauté, possédait en effet les grandes propriétés foncières. Les officiers franks, ainsi acculés à une pauvreté relative eu égard à leurs richissimes confrères, surent utiliser la révolte du peuple gallo-romain pour confisquer le pouvoir. Napoléon était de ceux-là.

Nombre de ces officiers franks avait pris part à la révolution américaine dont ils avaient promulgué l’idéologie dans les loges maçonniques. Après le régicide, la plupart des officiers franks abandonnèrent la Révolution qui évolua en une guerre « raciste » des Franks contre les Gallo-Romains. C’est à partir de cette clef qu’il faut envisager le génocide vendéen. Environ trois mille officiers franks restèrent dans les rangs de la Révolution, les uns par loyauté, comme Barras, d’autres par félonie, comme Bonaparte. Les félons se lièrent au futur empereur qui, à travers ses frères et la franc-maçonnerie, abolit toutes les garantiesdémocratiques, prévues par la constitution de l’abbé Sieyès, pour acquérir un pouvoir dictatorial. Couronné empereur, le 2 décembre 1804, Napoléon reprit les symboles carolingiens : couronne, sceptre, glaive, globe.

À l’entrée de Notre-Dame, on voyait les statues de Clovis et de Charlemagne, les fondateurs de l’empire et de la monarchie franks. Les Franks connaissaient la force du monachisme. Lorsqu’ils conquirent la Gallo-Romanie, au cinquième siècle, le monachisme orthodoxe d’un Cassien avait alors atteint son apogée. Aussi cessèrent-ils de choisir les évêques parmi les moines, et transformèrent-ils les évêques en administrateurs responsables du peuple asservi.

Le totalitarisme d’État se construisit dans le royaume de France à partir de la théologie politique franko-latine. Enfin, les Franks carolingiens chassèrent les évêques romains. Ils s’instituèrent eux-mêmes évêques et abbés, cooptèrent leurs concitoyens franks dans les charges les plus prestigieuses, devinrent des policiers oppresseurs du peuple qu’ils maintinrent dans une obéissance servile par l’institution d’une religion de la terreur et de la crainte. Le monachisme carolingien inquisitorial culminera dans l’ordre cistercien de Bernard de Clairvaux, un des principaux instigateurs du génocide des cathares albigeois. Sans doute est-ce pour cela que tant de clercs franks furent massacrés par les Gallo-Romains pendant la Révolution.  Un siècle et demi plus tard, en 1936, en Espagne, on retrouvera un phénomène similaire avec les exécutions de prêtres et de religieux par le peuple en lutte contre le fascisme. D’une façon générale, cette vision rectifiée de l’Histoire permet d’envisager les deux types de socialismes : le socialisme d’État « allemand » (Frank)  et le socialisme de la commune « français » (Gallo-romain).

La controverse du Filioque fut l’arme politico-théologique utilisée par les Franks carolingiens afin de provoquer le schisme qui, en scindant la Romanité, consacrerait le triomphe de l’Église franko-latine et son hégémonie dans le monde.

Nous assistons maintenant à l’ultime phase de la franko-latinisation de l’Europe qui vise à éteindre à jamais les dernières étincelles civilisationnelles de la Romanité. La politique immigrationniste d’Angéla Merckel, moralement justifiée par le Grand Inquisiteur mondialiste, ignore cyniquement le génocide des chrétiens Romains d’Orient.

La haute classe financière et sa garde politico-médiatique, dans la lignée des Franks usurpateurs de la Révolution, représente les mêmes 2% de la population globale, non seulement de la France mais de l’Europe  en voie de mondialisation.

Durant des siècles, des multitudes de Romains occidentaux furent asservis par les rois et les nobles des dynasties frankes de l’Europe, tandis que l’empire ottoman asservissait les Romains d’Orient. De nos jours, les vagues migratoires stratégiquement suscitées, visent à exterminer les derniers survivants gallo-romains.

Si quelques étincelles de Romanité demeurent encore parmi les peuples de l’ancienne Rome, nous assisterons bientôt à d’apocalyptiques jacqueries contre les pseudo-élites franko- latines mondialisées, sinon les peuples d’Europe s’éteindront pour toujours, sous le déferlement désespéré d’ultimes hordes manipulées.

Alain Santacreu est également directeur de la collection Contre Littérature chez L’Harmattan et responsable du site du même nom .

jeudi, 02 mai 2013

Deutschlands unbekannte Jahrhunderte

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Reinhard Schmoeckel

 

Deutschlands unbekannte Jahrhunderte

 

Geheimnisse aus dem Frühmittelalter

 

524 Seiten, 11 Karten im Text, geb., fester Einband

ISBN 978-3-938176-41-2

Preis: 29,80 Euro

Erscheinungstermin: Mai 2013

Was war in unserem Land - Deutschland - vor etwa 1500 Jahren los ? Das war die Zeit zwischen dem Ende des Römischen Kaiserreichs und den Kaisern eines „heiligen römischen Reichs", die nun plötzlich aus Mitteleuropa stammten ? Gab es da bei uns überhaupt „Geschichte" ? Gab es Ereignisse, die vielleicht bestimmend für die weitere Entwicklung der Menschen und des Landes waren ? Und ob.

Allerdings glauben die Historiker, davon kaum etwas zu wissen, denn niemand hat ja damals in unserem Land schreiben können. Aber Indizien aus den archäologischen Funden, aus der Heraldik, der Namens- und Sprachforschung, aus der Sagenforschung und zahlreichen anderen Wissenschaften ergeben Mosaiksteinchen für ein riesiges Puzzle. Man muss nur bereit sein, sie als zusammengehörig zu erkennen und verständlich zu beschreiben, dann kann man viele Bild-Bruchstücke sichtbar machen, die das Frühmittelalter, „Deutschlands unbekannte Jahrhunderte", gar nicht mehr so dunkel, so unbekannt erscheinen lassen.

Dr. Reinhard Schmoeckel ist es gelungen, aus einer großen Fülle von Detailuntersuchungen vieler Privatforscher, darunter auch seiner eigenen, ein überraschend lebendiges Bild jener Zeit vor anderthalb Jahrtausenden zusammenzustellen, ein Bild, das bisher noch keinen Eingang in die bisher übliche Vorstellungswelt der Geschichtswissenschaft gefunden hat. Dabei lassen sich alle Einzelheiten präzise belegen.

Das Buch zeigt, wie Menschen mehrerer Völker - keineswegs nur Germanen ! - nach Mitteleuropa kamen, zu verschiedenen Zeiten und aus unterschiedlichen Richtungen. Ganz allmählich wuchs der Einfluss des westlichen Nachbarn, des inzwischen entstandenen Königreichs der Franken, und des Christentums. Doch wie fragil war damals noch diese Herrschaft, bevor die Frankenkönige aus dem Haus der Karolinger die Macht in einem Land bekamen, das erst viel später „Deutschland" heißen sollte.

Als populärwissenschaftlicher Schriftsteller mit großer Erfahrung in der Frühgeschichte Europas bringt es der Autor fertig, dem Leser die allmählichen Veränderungen plastisch vor Augen zu stellen, die in jener Zeit mit den Menschen vor sich gingen.

Reinhard Schmoeckel, geb. 1928 in Berlin, journalistische Ausbildung, Dr. jur., langjährige Tätigkeit im Bundespresseamt, Bundskanzleramt, Bundespräsidialamt in Bonn. Autor mehrerer erfolgreicher populärwissenschaftlicher Bücher über deutsche und europäische Vor-und Frühgeschichte und historische Romane, darunter das Buch „Die Indoeuropäer" (Neuauflage 2012 im Lindenbaum Verlag).

Vielen Dank!

Mit freundlichen Grüßen

Siegfried Bublies

Lindenbaum Verlag GmbH, Bergstr. 11, 56290 Beltheim-Schnellbach, Tel. 06746 / 730047, Fax 06746 / 730048

E-Brief: lindenbaum-verlag@web.de

Internet: www.lindenbaum-verlag.de

 

Inhaltsverzeichnis des Buches "Deutschlands unbekannte Jahrhunderte" von Dr. Reinhard Schmoeckel:

 

Vorwort          

Teil I: Hunnen am Horizont  (407 – 454 n. Chr.)

1   Die Nachhut der Völkerwanderung

     „Ein schöner Platz für unser Vieh” (April 407 n. Chr., beim heutigen Mainz-Kastell) – Wer waren die Sarmaten ?Pferdegräber: Indizien für die Einwanderung von Sarmaten

2   Die Burgunder und der Kaiser

     „Vivat Imperator Jovinus !” (Mitte August 411, Mündt, Gem. Titz, Kreis Düren) – Die Burgunder lebten doch in Worms !?

3   Der lange Weg der sarmatischen Reiter von der Donau zur Schelde....

     „Auf Befehl des Kaisers…” (Frühjahr 414 in Castra Vetera / Xanten am Rhein)  – Unbekanntes über die Vorfahren der Merowinger-Könige – Sicambrer und  Sigambrer, ein bemerkenswertes historisches  Zusammentreffen

4   Die Wanderungen der Alt-Sachsen

     Abschied von der uralten Heimat  (Frühjahr 430 an der Wesermündung bei Bremerhaven) – Ein Land verliert seine Menschen – Keine “drei Schiffe”, kein „Hengist und Horsa”

5   Das Ende des „ersten Reichs” der Burgunder

     Des Königs Gundahari und seiner Nibelungen tapferer Tod (Spätherbst 436, in König Attilas Lager in Ungarn) –Geschichtsforschung widerlegt und bestätigt das  Nibelungenlied – Burgunder, ein Volk, das wanderte

6   Kölns Weg aus dem Römerreich in eine neue Zeit

     Ein Heil zu wenig ? (Sommer 442 in Köln)  –  Plausible Indizien gegen „Überzeugungen”

7   Der Anfang vom Ende Attilas

     Hunnen am Rhein (Spätherbst 451 bei Unkel/Rhein) – Wenn  es  keine Heimatforscher gäbe … – Was wollte 

Attila in Gallien ?

Teil II  Zuwanderer in ein menschenarmes Land  (455 – ca. 490 n. Chr.)

8   Mit Mensch und Vieh ins Hunenland

     Auf der Flucht vor den Kriegen der Anderen  (Sommer 455 in Ungarn) – „Man muss sich gegen die Schachmänner wehren !” (Sommer 456 an der oberen Lippe in Westfalen) – Von „Schachmännern” und „Schächern”  – Mustangs  in  Westfalen – Ein Mithras-Heiligtum an den Externsteinen

9   Das römische Köln noch einmal gerettet

     Die Colonia in Bedrängnis (Herbst 460 in Köln) – Fiktive und realistische Geschichtsdarstellung  Plausible Gründe gegen eine „Herrschaft” von Germanen am Rhein – „Bayern” in Köln ?

10 Sarmatische Könige in Thüringen ?

     Die Männer in den blauen Umhängen (Sommer 465 im heutigen Erfurt) – Warum Archäologen nie etwas von den Sarmaten finden konnten – Erstaunliches über die Verbindung von Thüringen zu den Merowingern – Wie aus Mänteln Feldzeichen und aus diesen Wappen wurden

11 Aus Turkerern und Sueben werden Schwaben

     Der Ritt ins Anderland für einen Edlen  (Herbst 480 bei Donzdorf, Baden-Württemberg)   Die unglaubliche und dennoch wahre Geschichte der Turkerer im Schwabenland – Vom toten Babai zum Kaiser Barbarossa ? – Waren die  Sarmaten bereits Christen ?

12 Einwanderung von der Maas an den Rhein

     Der Mutige kann König werden (Sommer 495,  im Maifeld, Rheinland-Pfalz – Die Samson-Geschichte in derThidrekssaga Rätselhafte „Völker” in der “Svava

13 Schachmänner und Hunen in Westfalen

     Das Kastell an der Lippe (Sommer 500 an der Lippe nördlich von Dortmund ) – Indizien aus Sage und Geographie

Teil III  Das Reich der Franken greift über den Rhein (ca. 500 – 560 n. Chr.)

14 König Chlodwig und die Alemannen

     In der neuen Patria Francorum (Spätherbst 506 in Worms/ Rhein)  - Nur aus Indizien zu schließen

15 Endlich König in Köln

     Chlodwig am Ziel seiner Wünsche (Weihnachten  509, Paris) – Das Zeugnis des Bischofs  Gregor von Tours –Chlodwigs umfassendes Konzept

16 Die letzten Römer werden Franken

     „Im Auftrag des Königs der Franken…” (Sommer 515, in Krefeld-Gellep) – Das größte römische Gräberfeldnördlich der Alpen  – Woher will man wissen, dass der Tote eine Sarmate war ?

17 Völkerwanderungen an der Ostsee

     König Granmars trauriges Ende und die Auswanderung der Dänen (Spätsommer 520, an der Warnow in Mecklenburg) –  Ein Geschichtsbild aus Mosaiksteinchen rekonstruiert

18 Ganz unmerklich wächst der Einfluss

     Eine Heirat zwischen Freunden (Sommer 525 in Alt-Paffrath b.Bergisch Gladbach) – Kleine Anfänge der  „Herren von  Berg” – „Tu, felix Francia, nube…”

19 Die Frankenkönige erobern das Thüringerreich ihrer Vettern

     Ein Aufstand kurz vor dem Ausbruch gescheitert (Sommer 534, Großörner bei Eisleben, Sachsen-Anhalt) – Versuch eines  Blicks auf die Politik hinter den Ereignissen

20 Eine Klimakatastrophe und ihre Folgen für das Frankenreich

     Das Heer, das die Sonne suchte (Sommer 536, in Metz, Frankreich, später in Soest/Westfalen) – Als die Sonneerlosch – Der tiefe Eindruck auf die Menschen und ein erster „Kreuzzug” nach Westfalen – Die Ausdehnung des Frankenreichs ins südliche Deutschland

21 Ein Volk auf Wanderschaft

     Neuer Aufbruch für die Langobarden (Spätsommer 548  in Mähren/Tschechien) – Die Nachzügler der Völkerwanderung

Teil IV   Mitteleuropa im Kräftefeld zweier Mächte (562 – 640 n. Chr.)

22 Abwehr an der Elbe

     Ein denkwürdiger Sieg (Sommer 562, an der Elbe bei Dessau) – Informationen über die Awaren – Die Bürger-kriege der Frankenkönige

23 Die Völkerwanderung der Slawen

     Die Sorben am Ziel (Spätherbst 564, beim heutigen Bautzen / Lausitz) – Theorien zur Entstehung slawischerund baltischer Völker im Frühmittelalter –  Die weiteren Schicksale der Sorben  – Andere slawische Einwander ins spätere Deutschland

24 Der Fürst von Beckum

     Ein Grab in der Heimat (Spätherbst 575, in Beckum/ Westfalen) – Der „Fürst von Beckum” war kein Sachse –Das rot-weiße Schachwappen der Grafen von der Mark

25 Der abenteuerliche „Sachsen”-Zug in die Fremde und  wieder in die Heimat

     Die Erinnerungen der edlen Frau Baldegunde (Spätherbst 590 in Dortmund-Asseln) – Ein archäologischer Beleg fürdie Erzählung Gregors von Tours  – Ein Drama an der Bode

26 Die Friesen müssen neue Wohnsitze suchen

     Flucht vor dem „blanken Hans” (Sommer 600 in Butjadingen westlich der Wesermündung) Ein Stamm im  frühen und heutigen Deutschland: die Friesen

27     Das Urteil von Köln

     „Das war eines Königs unwürdig !” (Jahreswende 612, in Soest/Westf.) – Die Grausamkeiten innerhalb der 

Merowinger-Dynastie und deren Folgen im „Land jenseits des Rheins”   

28 In ein freies Land

     Die Burg der Papen (Frühsommer 630 in Papenburg/ Ems) – Die Ausbreitung von Sarmaten in Niedersachsen –Papen: die ersten christlichen „Missionare” in Deutschland – Wie kamen Pferdegräber in die Niederlande und nach Belgien?

29 Franken und Slawen – Der schlechte Beginn einer schwierigen Nachbarschaft

     König Dagoberts schmähliche Flucht (Frühjahr 631, bei Lauterbach/Hessen) – Die historische Lage im Frankenreich und in Osteuropa um das Jahr 630 – Slawen lebten einst bis zum Vogelsberg in Hessen

30 Ein Massenmord im Mittelalter

     Die Nacht des Tötens (Sylvester 631 bei Linz/Donau) – Staatsräson gegen ein uraltes Sittengesetz – Der Bulgarenmord als Vorbild für das Nibelungenlied 

31 Herrschaftswechsel

     Die neuen Knechte des Bischofs (Herbst 639 in Soest/Westf.) – Vermutungen zu einem „schwarzen Loch des Nichtwissens”

Teil V  Ein neuer Glaube breitet sich aus  –  aber nicht überall  (650 – 755 n. Chr.)

 

32 Ein neues Volk wächst zusammen

     Burgenbau mit doppeltem Zweck (Frühsommer 645,  an der Mecklenburg bei Schwerin) – Die Ursprünge der  slawischen Obotriten

33 Christliche Sendboten bei den Alemannen

     Das wundersame Begräbnis des Mönchs Fridolin (März 660 in Säckingen / Hochrhein) –Der heilige Fridolin: Legende und Realität – Die zarten Anfänge christlicher Mission – Wer herrschte über die Alemannen ? –  Spekulationen über den Weg der Habsburger in die Schweiz

34 Der Ursprung des Kölner Karnevals

     Das Fest der Handwerker (21. März 670 in Köln) – Karnevalsbräuche aus Mittelasien ?

35 Die Zeit der Frisia Magna

     König Radbods Goldgruben am Rhein (Sommer 681, in Utrecht/ Niederlande) – Ein Blick in die Geschichte derFriesen – Vorgeschichtlicher Handel an Meeren und Flüssen

36 In den „Landen um den Main”

     Drei Glaubensboten spurlos verschwunden (Winter 691, in Würzburg/Main) – Die iro-schottischen Missionare – Warum Franken Franken heißt  

37 Der Aufstieg eines starken Mannes

     Kraft aus geheimnisvollen Quellen (Oktober 715 in Echternach/Luxemburg) – Von Pippin II. zu Karl Martell – Ein heiliger Bezirk seit tausenden von Jahren – Der vergebliche Versuch einer merowingischen Restauration

38 Bonifatius und seine Kollegen

     „Die Kirche braucht den Schutz der Krieger !” (Herbst 723 in Mainz) – Ein neuer Ansatz zur Heidenmission –Bonifatius, der „Apostel der Deutschen”

39 Aus der Jugend Widukinds

     Letzte Ehre für einen Edlen (Herbst 755 in Drantum, Krs. Cloppenburg) – Ist das Dunkel um das Leben  Widukinds wirklich so dicht ? Von den West-Falen zu den „Sachsen”

Nachwort       

Literatur         

Register:

Völker, Stämme, Herrschergeschlechter

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