samedi, 19 octobre 2013
UN PEUPLE PEU CONNU : LES SARMATES
Jean Pierinot
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mardi, 10 septembre 2013
Le roi Arthur était-il un cavalier sarmate?
Le roi Arthur était-il un cavalier sarmate et les mythes arthuriens ont-ils une origine dans le Caucase ?
(source : agencebretagnepresse)
L’actualité récente en Géorgie a mis les projecteurs sur la République indépendante d’Ossétie (Indépendance proclamée en 1991). Les Ossètes comme les Bretons d’ailleurs, ont des origines ancrées dans la fin de l’Empire romain. Les Ossètes descendent des fameux Alains, ou plutôt de ceux qui sont restés et ne sont pas partis piller l’Empire au Ve siècle.
Les Sarmates en Bretagne insulaire
Ces peuplades qui parlent une langue iranienne apparaissent dans le bas-Empire romain sous le nom de Sarmates quand ils sont alliés ou federati et de Scythes quand ils sont ennemis. Envahisseurs, ils sont connus sous le nom d’Alains alliés des Vandales.
La cavalerie sarmate-alain très appréciée des Romains était quasiment invincible. Elle était appelée cavalerie [1], du nom de leur cuirasse d’écailles, la cataphracte.
Depuis 175, les Sarmates devaient fournir à Rome 5000 cavaliers, pour la plupart envoyés en Bretagne (insulaire) à la frontière nord. Les Sarmates de Bretagne auraient été commandés à la fin du IIe siècle par Lucius Artorius Castus qui serait le roi Arthur historique (1), du moins le premier, car il semblerait que le roi Arthur soit un personnage composé de plusieurs figures historiques. Lucius Artorius ayant vécu 200 ans plus tôt que le roi breton qui rallia les Brito-Romains contre les envahisseurs saxons.
D’après Léon Fleuriot, c’est Artorius Castus, préfet de la VIe légion, qui aurait aussi maté la révolte armoricaine de 184. Une intervention en Gaule que rapporte bien la légende dans la première version écrite, celle de Geoffroy de Monmouth.
C’est cette cavalerie sarmate-alain qui aurait apporté d’Asie le symbole du dragon en Grande-Bretagne. Rien de plus normal pour des cavaliers aux cuirasses écaillées de se battre derrière des enseignes d’un monstre écaillé. Le dragon rouge du roi Arthur, dit justement « Pendragon » comme le roi Uther. Le dragon rouge apparaît aussi dans les prophéties de Merlin. Un dragon que l’on retrouve aujourd’hui jusque sur le drapeau du Pays de Galles.
Les Alains en Armorique
Les Sarmates-Alains, révoltés contre Rome, ont pillé le nord de la Gaule de 407 à 409. Après avoir traversé la Loire en 408, le consul Aetius leur donnera l’Armorique pour qu’ils les laissent tranquilles. Un peu comme le roi de France cinq siècles plus tard donnera la Normandie aux Vikings de Rollon.
Avec à leur tête un chef du nom de Goar, les Alains se divisent en plusieurs bandent et pillent l’Armorique. C’est encore eux, redevenus des mercenaires au service de l’empire qui vont réprimer la dernière révolte armoricaine dite des Bagaudes (bagad = bande en gaulois et en breton moderne) en 445-448 à une époque où justement les Bretons commencent à arriver de Grande-Bretagne puisque les dernières légions la quittent en 441.
Certaines s’établiront juste de l’autre côté de la Manche puisque le mot Léon dérive justement de « légion » et Trégor de tri-cohortes. Voir à ce sujet le Guide des drapeaux bretons et celtes de Divi Kervella et Mikaël Bodloré-Penlaez, qui vient de sortir en librairie. Les symboles héraldiques du Haut-Léon et du Trégor semblent avoir justement hérité du dragon.
Certains linguistes pensaient que les patronymes Alain ou Alan seraient tout simplement des gens descendant d’Alains établis en Gaule mais le vieux breton a un terme alan pour le cerf et cette origine semble plus vraisemblable. Des Alains se sont surtout installes en Île-de-France, en Aquitaine, en Lusitanie (Portugal) autour de Carthagène en Vandalousie qui deviendra Andalousie. Le nom de Tiffauge, célèbre pour son Barbe Bleu viendrait du nom d’une des bandes de barbares alliés aux Alains, les Taïfales, établis dans cette région au Ve siècle. Le nom de l’Aunis viendrait aussi d’Alains.
Les mythes arthuriens d’origine alanique ?
Dans leur livre De la Scythie à Camelot, Covington Scott Littleton, professeur d’anthropologie à Los Angeles et Linda Ann Malcor, docteur en folklore et mythologie, ont remis en cause l’origine celtique du cycle arthurien.
Pour eux, le cour de cet ensemble fut apporté entre le IIe et le Ve siècle par des cavaliers alains-sarmates.
La culture des Ossètes, les cousins contemporains des Alains, possède des récits qui ressembleraient aux aventures d’Arthur et des chevaliers de la Table ronde. On y raconte notamment la saga du héros Batraz et de sa bande, les Narts. Dans cette histoire il est, entre autres, question d’épée magique qui serait l’équivalent d’Excalibur et de coupe sacrée, le Graal donc, la coupe du Wasamonga que l’on retrouve sur l’emblème moderne de l’État d’Ossétie du Sud avec un triskell qui est par contre universel et pré-cetique puisque sur des monuments mégalithiques comme à Newgrange en Irlande. Il semblerait que les échanges de mythes aient eu lieu dans les deux sens.
(1) rapprochement fait pour la première fois par Zimmer, Heinrichen 1890, repris par Kemp Malone en 1925.
Sources : – C. Scott Littleton, Linda A. Malcor, From Scythia to Camelot, New-York ; Oxon, 1994 (rééd. 2000).
- X. Loriot, Un mythe historiographique : l’expédition d’Artorius Castus contre les Armoricains, Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France, 1997.
- Guide des drapeaux bretons et celtes, D. Kervella et M. Bodloré-Penlaez. Éd. Yoran Embanner, 2008.
- Les Origines de la Bretagne, Léon Fleuriot. Payot, 1980 (nombr. rééd.).
Notes
[1] cataphractaire
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jeudi, 02 mai 2013
Deutschlands unbekannte Jahrhunderte
Reinhard Schmoeckel
Deutschlands unbekannte Jahrhunderte
Geheimnisse aus dem Frühmittelalter
524 Seiten, 11 Karten im Text, geb., fester Einband
ISBN 978-3-938176-41-2
Preis: 29,80 Euro
Erscheinungstermin: Mai 2013
Was war in unserem Land - Deutschland - vor etwa 1500 Jahren los ? Das war die Zeit zwischen dem Ende des Römischen Kaiserreichs und den Kaisern eines „heiligen römischen Reichs", die nun plötzlich aus Mitteleuropa stammten ? Gab es da bei uns überhaupt „Geschichte" ? Gab es Ereignisse, die vielleicht bestimmend für die weitere Entwicklung der Menschen und des Landes waren ? Und ob.
Allerdings glauben die Historiker, davon kaum etwas zu wissen, denn niemand hat ja damals in unserem Land schreiben können. Aber Indizien aus den archäologischen Funden, aus der Heraldik, der Namens- und Sprachforschung, aus der Sagenforschung und zahlreichen anderen Wissenschaften ergeben Mosaiksteinchen für ein riesiges Puzzle. Man muss nur bereit sein, sie als zusammengehörig zu erkennen und verständlich zu beschreiben, dann kann man viele Bild-Bruchstücke sichtbar machen, die das Frühmittelalter, „Deutschlands unbekannte Jahrhunderte", gar nicht mehr so dunkel, so unbekannt erscheinen lassen.
Dr. Reinhard Schmoeckel ist es gelungen, aus einer großen Fülle von Detailuntersuchungen vieler Privatforscher, darunter auch seiner eigenen, ein überraschend lebendiges Bild jener Zeit vor anderthalb Jahrtausenden zusammenzustellen, ein Bild, das bisher noch keinen Eingang in die bisher übliche Vorstellungswelt der Geschichtswissenschaft gefunden hat. Dabei lassen sich alle Einzelheiten präzise belegen.
Das Buch zeigt, wie Menschen mehrerer Völker - keineswegs nur Germanen ! - nach Mitteleuropa kamen, zu verschiedenen Zeiten und aus unterschiedlichen Richtungen. Ganz allmählich wuchs der Einfluss des westlichen Nachbarn, des inzwischen entstandenen Königreichs der Franken, und des Christentums. Doch wie fragil war damals noch diese Herrschaft, bevor die Frankenkönige aus dem Haus der Karolinger die Macht in einem Land bekamen, das erst viel später „Deutschland" heißen sollte.
Als populärwissenschaftlicher Schriftsteller mit großer Erfahrung in der Frühgeschichte Europas bringt es der Autor fertig, dem Leser die allmählichen Veränderungen plastisch vor Augen zu stellen, die in jener Zeit mit den Menschen vor sich gingen.
Reinhard Schmoeckel, geb. 1928 in Berlin, journalistische Ausbildung, Dr. jur., langjährige Tätigkeit im Bundespresseamt, Bundskanzleramt, Bundespräsidialamt in Bonn. Autor mehrerer erfolgreicher populärwissenschaftlicher Bücher über deutsche und europäische Vor-und Frühgeschichte und historische Romane, darunter das Buch „Die Indoeuropäer" (Neuauflage 2012 im Lindenbaum Verlag).
Vielen Dank!
Mit freundlichen Grüßen
Siegfried Bublies
Lindenbaum Verlag GmbH, Bergstr. 11, 56290 Beltheim-Schnellbach, Tel. 06746 / 730047, Fax 06746 / 730048
E-Brief: lindenbaum-verlag@web.de
Internet: www.lindenbaum-verlag.de
Inhaltsverzeichnis des Buches "Deutschlands unbekannte Jahrhunderte" von Dr. Reinhard Schmoeckel:
Vorwort
Teil I: Hunnen am Horizont (407 – 454 n. Chr.)
1 Die Nachhut der Völkerwanderung
„Ein schöner Platz für unser Vieh” (April 407 n. Chr., beim heutigen Mainz-Kastell) – Wer waren die Sarmaten ?Pferdegräber: Indizien für die Einwanderung von Sarmaten
2 Die Burgunder und der Kaiser
„Vivat Imperator Jovinus !” (Mitte August 411, Mündt, Gem. Titz, Kreis Düren) – Die Burgunder lebten doch in Worms !?
3 Der lange Weg der sarmatischen Reiter von der Donau zur Schelde....
„Auf Befehl des Kaisers…” (Frühjahr 414 in Castra Vetera / Xanten am Rhein) – Unbekanntes über die Vorfahren der Merowinger-Könige – Sicambrer und Sigambrer, ein bemerkenswertes historisches Zusammentreffen
4 Die Wanderungen der Alt-Sachsen
Abschied von der uralten Heimat (Frühjahr 430 an der Wesermündung bei Bremerhaven) – Ein Land verliert seine Menschen – Keine “drei Schiffe”, kein „Hengist und Horsa”
5 Das Ende des „ersten Reichs” der Burgunder
Des Königs Gundahari und seiner Nibelungen tapferer Tod (Spätherbst 436, in König Attilas Lager in Ungarn) –Geschichtsforschung widerlegt und bestätigt das Nibelungenlied – Burgunder, ein Volk, das wanderte
6 Kölns Weg aus dem Römerreich in eine neue Zeit
Ein Heil zu wenig ? (Sommer 442 in Köln) – Plausible Indizien gegen „Überzeugungen”
7 Der Anfang vom Ende Attilas
Hunnen am Rhein (Spätherbst 451 bei Unkel/Rhein) – Wenn es keine Heimatforscher gäbe … – Was wollte
Attila in Gallien ?
Teil II Zuwanderer in ein menschenarmes Land (455 – ca. 490 n. Chr.)
8 Mit Mensch und Vieh ins Hunenland
Auf der Flucht vor den Kriegen der Anderen (Sommer 455 in Ungarn) – „Man muss sich gegen die Schachmänner wehren !” (Sommer 456 an der oberen Lippe in Westfalen) – Von „Schachmännern” und „Schächern” – Mustangs in Westfalen – Ein Mithras-Heiligtum an den Externsteinen
9 Das römische Köln noch einmal gerettet
Die Colonia in Bedrängnis (Herbst 460 in Köln) – Fiktive und realistische Geschichtsdarstellung – Plausible Gründe gegen eine „Herrschaft” von Germanen am Rhein – „Bayern” in Köln ?
10 Sarmatische Könige in Thüringen ?
Die Männer in den blauen Umhängen (Sommer 465 im heutigen Erfurt) – Warum Archäologen nie etwas von den Sarmaten finden konnten – Erstaunliches über die Verbindung von Thüringen zu den Merowingern – Wie aus Mänteln Feldzeichen und aus diesen Wappen wurden
11 Aus Turkerern und Sueben werden Schwaben
Der Ritt ins Anderland für einen Edlen (Herbst 480 bei Donzdorf, Baden-Württemberg) – Die unglaubliche und dennoch wahre Geschichte der Turkerer im Schwabenland – Vom toten Babai zum Kaiser Barbarossa ? – Waren die Sarmaten bereits Christen ?
12 Einwanderung von der Maas an den Rhein
Der Mutige kann König werden (Sommer 495, im Maifeld, Rheinland-Pfalz – Die Samson-Geschichte in derThidrekssaga – Rätselhafte „Völker” in der “Svava
13 Schachmänner und Hunen in Westfalen
Das Kastell an der Lippe (Sommer 500 an der Lippe nördlich von Dortmund ) – Indizien aus Sage und Geographie
Teil III Das Reich der Franken greift über den Rhein (ca. 500 – 560 n. Chr.)
14 König Chlodwig und die Alemannen
In der neuen Patria Francorum (Spätherbst 506 in Worms/ Rhein) - Nur aus Indizien zu schließen
15 Endlich König in Köln
Chlodwig am Ziel seiner Wünsche (Weihnachten 509, Paris) – Das Zeugnis des Bischofs Gregor von Tours –Chlodwigs umfassendes Konzept
16 Die letzten Römer werden Franken
„Im Auftrag des Königs der Franken…” (Sommer 515, in Krefeld-Gellep) – Das größte römische Gräberfeldnördlich der Alpen – Woher will man wissen, dass der Tote eine Sarmate war ?
17 Völkerwanderungen an der Ostsee
König Granmars trauriges Ende und die Auswanderung der Dänen (Spätsommer 520, an der Warnow in Mecklenburg) – Ein Geschichtsbild aus Mosaiksteinchen rekonstruiert
18 Ganz unmerklich wächst der Einfluss
Eine Heirat zwischen Freunden (Sommer 525 in Alt-Paffrath b.Bergisch Gladbach) – Kleine Anfänge der „Herren von Berg” – „Tu, felix Francia, nube…”
19 Die Frankenkönige erobern das Thüringerreich ihrer Vettern
Ein Aufstand kurz vor dem Ausbruch gescheitert (Sommer 534, Großörner bei Eisleben, Sachsen-Anhalt) – Versuch eines Blicks auf die Politik hinter den Ereignissen
20 Eine Klimakatastrophe und ihre Folgen für das Frankenreich
Das Heer, das die Sonne suchte (Sommer 536, in Metz, Frankreich, später in Soest/Westfalen) – Als die Sonneerlosch – Der tiefe Eindruck auf die Menschen und ein erster „Kreuzzug” nach Westfalen – Die Ausdehnung des Frankenreichs ins südliche Deutschland
21 Ein Volk auf Wanderschaft
Neuer Aufbruch für die Langobarden (Spätsommer 548 in Mähren/Tschechien) – Die Nachzügler der Völkerwanderung
Teil IV Mitteleuropa im Kräftefeld zweier Mächte (562 – 640 n. Chr.)
22 Abwehr an der Elbe
Ein denkwürdiger Sieg (Sommer 562, an der Elbe bei Dessau) – Informationen über die Awaren – Die Bürger-kriege der Frankenkönige
23 Die Völkerwanderung der Slawen
Die Sorben am Ziel (Spätherbst 564, beim heutigen Bautzen / Lausitz) – Theorien zur Entstehung slawischerund baltischer Völker im Frühmittelalter – Die weiteren Schicksale der Sorben – Andere slawische Einwander ins spätere Deutschland
24 Der Fürst von Beckum
Ein Grab in der Heimat (Spätherbst 575, in Beckum/ Westfalen) – Der „Fürst von Beckum” war kein Sachse –Das rot-weiße Schachwappen der Grafen von der Mark
25 Der abenteuerliche „Sachsen”-Zug in die Fremde und wieder in die Heimat
Die Erinnerungen der edlen Frau Baldegunde (Spätherbst 590 in Dortmund-Asseln) – Ein archäologischer Beleg fürdie Erzählung Gregors von Tours – Ein Drama an der Bode
26 Die Friesen müssen neue Wohnsitze suchen
Flucht vor dem „blanken Hans” (Sommer 600 in Butjadingen westlich der Wesermündung) – Ein Stamm im frühen und heutigen Deutschland: die Friesen
27 Das Urteil von Köln
„Das war eines Königs unwürdig !” (Jahreswende 612, in Soest/Westf.) – Die Grausamkeiten innerhalb der
Merowinger-Dynastie und deren Folgen im „Land jenseits des Rheins”
28 In ein freies Land
Die Burg der Papen (Frühsommer 630 in Papenburg/ Ems) – Die Ausbreitung von Sarmaten in Niedersachsen –Papen: die ersten christlichen „Missionare” in Deutschland – Wie kamen Pferdegräber in die Niederlande und nach Belgien?
29 Franken und Slawen – Der schlechte Beginn einer schwierigen Nachbarschaft
König Dagoberts schmähliche Flucht (Frühjahr 631, bei Lauterbach/Hessen) – Die historische Lage im Frankenreich und in Osteuropa um das Jahr 630 – Slawen lebten einst bis zum Vogelsberg in Hessen
30 Ein Massenmord im Mittelalter
Die Nacht des Tötens (Sylvester 631 bei Linz/Donau) – Staatsräson gegen ein uraltes Sittengesetz – Der Bulgarenmord als Vorbild für das Nibelungenlied
31 Herrschaftswechsel
Die neuen Knechte des Bischofs (Herbst 639 in Soest/Westf.) – Vermutungen zu einem „schwarzen Loch des Nichtwissens”
Teil V Ein neuer Glaube breitet sich aus – aber nicht überall (650 – 755 n. Chr.)
32 Ein neues Volk wächst zusammen
Burgenbau mit doppeltem Zweck (Frühsommer 645, an der Mecklenburg bei Schwerin) – Die Ursprünge der slawischen Obotriten
33 Christliche Sendboten bei den Alemannen
Das wundersame Begräbnis des Mönchs Fridolin (März 660 in Säckingen / Hochrhein) –Der heilige Fridolin: Legende und Realität – Die zarten Anfänge christlicher Mission – Wer herrschte über die Alemannen ? – Spekulationen über den Weg der Habsburger in die Schweiz
34 Der Ursprung des Kölner Karnevals
Das Fest der Handwerker (21. März 670 in Köln) – Karnevalsbräuche aus Mittelasien ?
35 Die Zeit der Frisia Magna
König Radbods Goldgruben am Rhein (Sommer 681, in Utrecht/ Niederlande) – Ein Blick in die Geschichte derFriesen – Vorgeschichtlicher Handel an Meeren und Flüssen
36 In den „Landen um den Main”
Drei Glaubensboten spurlos verschwunden (Winter 691, in Würzburg/Main) – Die iro-schottischen Missionare – Warum Franken Franken heißt
37 Der Aufstieg eines starken Mannes
Kraft aus geheimnisvollen Quellen (Oktober 715 in Echternach/Luxemburg) – Von Pippin II. zu Karl Martell – Ein heiliger Bezirk seit tausenden von Jahren – Der vergebliche Versuch einer merowingischen Restauration
38 Bonifatius und seine Kollegen
„Die Kirche braucht den Schutz der Krieger !” (Herbst 723 in Mainz) – Ein neuer Ansatz zur Heidenmission –Bonifatius, der „Apostel der Deutschen”
39 Aus der Jugend Widukinds
Letzte Ehre für einen Edlen (Herbst 755 in Drantum, Krs. Cloppenburg) – Ist das Dunkel um das Leben Widukinds wirklich so dicht ? Von den West-Falen zu den „Sachsen”
Nachwort
Literatur
Register:
Völker, Stämme, Herrschergeschlechter
Karten
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