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mercredi, 05 juin 2024

L'homme et le parfait crétin. Une anatomie de la République fédérale

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L'homme et le parfait crétin. Une anatomie de la République fédérale

Karl Richter

Toute l'Antiquité était fondée sur une conception hiérarchique du monde et de l'homme, qui distinguait également les valeurs éthiques : le meilleur en haut, le pire en bas. En haut, les dieux, en bas les hommes, plus bas encore les animaux et le reste de la création. On voyait bien sûr cet ordre se refléter dans les petites choses, c'est pourquoi il était parfaitement clair pour Platon que chez l'homme, la tête, siège de l'intellect qui prend toutes les décisions, se trouvait en haut, tandis que les organes nécessaires au fonctionnement matériel du corps, la digestion, le métabolisme, etc. se trouvaient dans les régions inférieures du corps. On peut bien sûr en sourire, mais c'est ainsi que les Anciens voyaient les choses.

Ce qui est encore plus intéressant, c'est que Platon voyait des différences de valeur similaires entre les systèmes politiques et faisait des analogies avec le caractère de l'homme. En d'autres termes, l'attitude politique d'une personne se reflète en fin de compte dans sa constitution, ses capacités, son comportement et son apparence. Aujourd'hui, alors que nous connaissons les questions de psychosomatique, de physique quantique, de champs morphogénétiques et autres, cette idée est encore plus convaincante qu'à l'époque de Platon. Nous savons aujourd'hui que les pensées sont puissantes et ont un effet marquant : on est ce que l'on pense et quelles pensées, quels rêves, quels objectifs on laisse s'installer en soi. Le visage est considéré à juste titre comme le miroir de l'âme. Mais l'ensemble de l'apparence, de l'attitude, du rayonnement ne l'est pas moins.

Il est donc évident qu'un homme « aristocratique », qui défend politiquement la sélection des meilleurs, se présente différemment d'un homme « démocratique », qui est sérieusement convaincu de l'égalité de tous et qui vit lui-même ce principe. Le citoyen « démocratique » a tendance à être un paresseux, car il est convaincu que ce qui est en bas a autant de valeur que ce qui est en haut. Ce qui est inférieur, matériel, donne le ton. Selon Marx, c'est l'être qui détermine la conscience, et non l'inverse. L'homme démocratique ne peut donc pas se commander lui-même, il est livré à ses dépendances et à ses addictions et peut être manipulé à volonté par des appâts matériels comme l'argent. Il n'est donc pas étonnant que les communautés démocratiques ressemblent à des cloaques. La plupart des grandes villes d'Europe occidentale sont devenues des fosses à purin remplies de saletés et de graffitis, expression appropriée de l'idéologie de leurs habitants.

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Nota bene : ce qui est dit ici est valable en principe. Bien sûr, il y a aussi des libéraux et des démocrates qui travaillent et s'améliorent, par exemple dans le sport de compétition. Et inversement, il y a des gens de droite qui se laissent aller, qui fument et qui boivent. Mais ce sont des incohérences dans un sens comme dans l'autre. Le personnage démocratique est logiquement une personne obèse, mal lavée et mal rasée, alors que le personnage de droite est idéalement un homme complet, capable de se défendre, en bonne forme physique et mentale.

En tendance, ce sont les personnes politiquement « à droite » qui font figure d'élite, car elles ont intériorisé l'idée hiérarchique, sont orientées vers la performance et recherchent l'optimisation, et non « l'égalité ». Il faut se rappeler que la « virilité » - c'est-à-dire le fait de se maîtriser soi-même - était autrefois, avant 1945, un idéal social évident, dès l'école. L'armée, en particulier, y attachait une grande importance. Comment faire autrement - si l'on n'est pas capable de se dépasser, on ne peut rien attendre de lui en cas d'urgence. Toute la culture occidentale, qui a fait des dons infinis au monde, est fondée sur le dépassement de soi et le renoncement aux pulsions, tandis que les personnages infantiles veulent tout, tout de suite, et n'ont pratiquement aucune tolérance à la frustration. Les jeunes femmes vertes qui ne savent rien faire d'autre que babiller en sont le meilleur exemple.

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Suite à la rééducation d'après-guerre, qui a transformé les Allemands en zombies gauchistes et consuméristes (et suite au sabotage actif de nos amis américains !), notre pays est aujourd'hui en chute libre. La chute économique est prévisible. Une étude récente de la grande banque ING montre que la productivité, le secret de la réussite de l'économie allemande, s'est entre-temps évaporée. Entre 1972 et 1992, la performance économique par employé a encore augmenté d'environ deux pour cent par an, mais entre 2012 et 2022, elle n'a augmenté que de 0,3 pour cent. Ce n'est pas surprenant. Les prestataires sont soit déjà partis, soit passés en mode hibernation. Notre compétitivité internationale n'est donc plus d'actualité.

La chute est également palpable dans l'espace public. On le voit dans le paysage urbain, on le voit sur les gens. Les femmes qui s'habillent délibérément avec des jeans déchirés sont en fait un cas pour l'asile, sans parler des « hoodys », des sneakers et autres vêtements de la classe inférieure. Le façonnage de l'homme, la sélection, l'élevage des meilleurs, qui étaient autrefois la chose la plus naturelle du monde, n'ont plus lieu. Aujourd'hui, c'est considéré comme « d'extrême droite ». Dans les circonstances actuelles, c'est un qualificatif de noblesse pour tous ceux qui s'opposent à la chute.

Le cloaque ne manquera pas d'imploser. Et : le plus tôt sera le mieux. Depuis ses débuts, la République fédérale n'a qu'un seul objectif : être en tout point le contraire de ce que le pays était avant. La conception démocratique du monde, qui repose sur l'inversion des conditions naturelles, l'y aide. La République fédérale est le cancer de l'histoire allemande, qui contamine et dénigre rétroactivement un millénaire et demi de notre passé : pas seulement le Troisième Reich, mais aussi l'Empire, la Prusse de toute façon, l'histoire coloniale, Luther, Richard Wagner, Nietzsche - tout. Et comme elle combat le passé, elle veut aussi détruire l'avenir des Allemands. Le régime actuel en haillons n'est que la conséquence interne de la démocratie ouest-allemande d'après-guerre, installée par les vainqueurs en 1948/49. Il ne peut y avoir aucune discussion : la République fédérale doit disparaître si l'Allemagne veut continuer à vivre. La République fédérale est l'ombre maléfique de l'Allemagne, son zombie, sa rampe résiduelle empoisonnée.

Ce qui est réconfortant, c'est que nous n'avons pas besoin de nous casser la tête. Le voyage en enfer a commencé depuis longtemps. L'ordre reviendra.

mercredi, 19 février 2020

Déconstruction allemande

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Déconstruction allemande

Ex: http://www.dedefensa.org

Plus qu’“à l’Allemande”, nous parlons d’une “déconstruction allemande”, avec l’essentiel de l’expression mis sur le mot “déconstruction”. L’Allemagne elle-même, malgré toutes ses vertus et ses nombreux fleurons, n’a en effet rien d’exceptionnel ni de spécifique dans la crise qui la frappe. Les éléments qui la composent sont similaires à ceux qu’on trouve dans la crise française, dans la crise italienne, dans l’évolution hongroise ou l’évolution polonaise, etc. Il s’agit de l’acte de déconstruction qui joue désormais à fond contre le Système, et qui s’appuie comme sur un levier sur les courants populistes de toutes sortes s’affirmant de différentes façons dans tous ces pays.

Comme on le lit ci-dessous, c’est la démission d’ Annegret Kramp-Karrenbauer (AKK) de la présidence de la CDU qui porte la crise allemande à entrer dans le domaine de son paroxysme. Les éléments crisiques de ce que nous nommons “tourbillon crisique“ ont ceci de particulier par rapport au concept classique de “crise” que leur paroxysme n’est pas un instant de réalisation de toutes les tensions, mais au contraire un épisode de bonne durée, et parfois de longue durée. Ainsi en est-il du “tourbillon crisique” européen, et en son sein la crise allemande est effectivement entrée dans sa phase paroxystique puisque Merkel s’en va avec les élections législatives de 2021, que son successeur désigné AKK prend la décision brutale d’abandonner, que son renoncement est dû au caractère désormais ingouvernable, incohérent, etc., du parti conservateur CDU qui verrouillait jusqu’ici la vie politique allemande.

Forteresse équilibre et référence obligée en Europe, exemple à la fois économique et politique de puissance domestiquée, désormais meneuse de l’Europe depuis la longue agonie (à partir de Sarko, de façon accélérée) de toute ambition française à affirmer une souveraineté régalienne au coeur de l'Europe, l’Allemagne est entrée dans une crise ontologique qui est elle-même en train de pulvériser le “modèle allemand”. La digue a cédé devant la poussée populiste qui n’est évidemment rien d’autre qu’un outil maniée par les forces de résistance et de dissidence, nécessairement antiSystème en raison des positions respectives des uns et des autres. L’originalité de la situation est que la CDU est menacée par des tentations populistes sur ses deux ailes, – sur la droite avec l’AfD, sur la gauche avec Der Linke.

Les étiquettes politiques n’ont évidemment pas grande importance, tout comme le terme “populiste” utilisé à hue et à dia. Ces identifications répondent en général à l’ambition classique et purement défensive de la “diabolisation” des forces contestatrices du Système, pour tenter de retarder le plus possible les instants de vérité de l’effondrement des structures du Système. C’est en cela qu’il s’agit bien d’une bataille de déconstruction, mais d’une déconstruction paradoxale comme nous le notions hier, – avec le terme “déconstructuration” où la puissance déstructurante du Système, qui s’appuie sur ses propres structures pour se déchaîner, et, n’y trouvant plus de structures antiSystème à attaquer mais prisonnière de sa mécanique déstructurante, en vient à s’attaquer à ses propres structures, à se déstructurer elle-même :

« [...C]ette “déconstructuration” passant par l’évolution irrésistible de la surpuissance à l’autodestruction en finissant par une attaque de “déconstructuration” prenant pour cible ultime, – puisque rien d’autre ne subsiste et que la “déconstructuration” est la seule activité possible de cette surpuissance, – les structures et les constructions que le Système avait édifiées pour déstructurer et déconstruire le monde. »

Sans doute la crise allemande, qui atteint brusquement son paroxysme, est-elle la plus grave en Europe, parce qu’elle touche le pays-leader de l'ensemble européen d’une part, et que d’autre part elle touche un pays qui est complètement étranger à l’instabilités depuis sa refonte complète de 1945-1950. Au contraire de la France et de l’Italie par exemple, qui ont l’habitude des crises internes et de l’instabilité, l’Allemagne a surtout connu des crises externes. Ces crises avaient lieu dans le cadre des rapports Est-Ouest en Europe, ce cadre délimité par la position et l’action de l’URSS et la division en deux Allemagnes (RFA à l’Ouest et RDA à l’Est). D’une façon assez logique, ces crises alimentées de l’extérieur renforçaient la stabilité structurelle de la situation intérieure allemande (ouest-allemande), encouragée par les pressions des puissances “occupantes” (les USA particulièrement).

La situation est fondamentalement différente aujourd’hui, et la crise allemande se greffe dans son opérationnalité sur la crise européenne comme par un effet mimétique (alors que les autres crises nationales sont des crises à tendance eurosceptique et anti-européiste). L’Allemagne de l’après-guerre devenue Allemagne réunifiée a été conçue avec la nécessité d’un ou de plusieurs “tuteurs” (les USA, l’OTAN, l’UE) qui contribuaient indirectement mais décisivement à sa stabilité intérieur (à sa structuration intérieure). Bien entendu, les crises déstructurantes que connaissent ces “tuteurs” eux-mêmes contribuent à la fragilisation de l’Allemagne, à sa vulnérabilité aux poussées déstructurantes.

La crise allemande désormais ouverte comme une plaie béante est une crise typique de notre époque, une “crise sans but”, qui n’a pas été provoquée par l’une ou l’autre ambition, l’une ou l’autre stratégie (celle du fasciste de service, par exemple, comme on aime à le proclamer) qui apparaîtrait alors comme une structure alternative à la structure en train d’être détruite. C’est une “crise de destruction”, dont le but et l’ambition se satisfont de la destruction des structures en place ; l’ironie étant que cette sorte de “crise sans but” sinon la destruction est typique des crises suscitées par le Système, et qu’elle se fait aujourd’hui (comme d’autres parallèlement à elle) contre le Système. 

Ci-dessous, un article de RT-français du 11 février 2020, rapportant succinctement les circonstances de la crise qui a conduit à la démission d’AKK.

dedefensa.org

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AKK s'en va, la CDU en crise

Coup de tonnerre politique en Allemagne. Annegret Kramp-Karrenbauer, surnommée AKK, ne sera pas candidate à la succession d’Angela Merkel à la chancellerie et va abandonner la présidence du parti conservateur d'ici quelques mois, le temps de trouver un successeur qui sera en même temps candidat à la chancellerie. 

Lors d'une réunion dans la matinée de la direction du parti démocrate-chrétien CDU de la chancelière, Annegret Kramp-Karrenbauer a justifié sa décision par la tentation d'une partie de son camp de s'allier avec le parti de droite radicale AfD (Alternative pour l’Allemagne). «Une partie de la CDU a une relation non clarifiée avec l’AfD», a-t-elle déclaré. En outre, une frange du CDU est également partisane d'un rapprochement avec le parti de gauche radicale Die Linke, alors que AKK rejette clairement toute alliance avec l'une ou l'autre de ces formations.

Si aucun lien entre la CDU et la gauche de Die Linke n’a – pour l'heure – été établi, une partie significative des conservateurs prône en revanche ouvertement un rapprochement avec l’AfD. C’est le cas de la Werte Union, un cercle de conservateurs au sein de la CDU auquel avait fait face Annegret Kramp-Karrenbauer lors du dernier congrès du parti, à Leipzig.

Cet abandon est une conséquence directe de l'élection du président de la région de Thuringe, le 5 février, grâce aux voix coalisées du parti anti-immigration de l'AfD et de l'aile droite du parti d'Angela Merkel. A la surprise générale, le candidat du petit parti libéral FDP, Thomas Kemmerich, avait été désigné à une très courte majorité pour diriger la Thuringe, provoquant la colère de nombreux responsables politiques. La chancelière allemande avait alors fustigé «un acte impardonnable», et le secrétaire général du parti, Paul Ziemiak, avait accusé la CDU régionale d'avoir «enfreint» les règles édictées au plan national en mêlant leurs votes à ceux «de nazis». 

C'est dans ce contexte que Thomas Kemmerich a annoncé sa démission... moins de 24h après son élection. «La démission est inévitable [...] nous avons décidé de demander la dissolution du parlement de Thuringe», a-t-il déclaré le 6 février, lors d'une conférence de presse. De nouvelles élections régionales anticipées doivent bientôt être organisées.

Sans tête d'affiche à un an des élections législatives 2021, la droite allemande sort de facto affaiblie par ces deux épisodes. L'un des proches de la chancelière, le ministre de l'Economie Peter Altmaier, a parlé d'une «situation extrêmement grave» pour le parti conservateur allemand d'Angela Merkel, l'Union chrétienne-démocrate (CDU). «Il en va de notre avenir», a-t-il affirmé, tandis que la dirigeante des écologistes a parlé d'une «situation dramatique» pour le pays. 

Le départ annoncé d'AKK constitue également un revers majeur pour Angela Merkel, qui avait placé en orbite cette femme partageant peu ou prou, malgré quelques différences de fond, le même cap politique de droite «modérée». 

«Il est possible que la fin de la chancelière se rapproche», juge le quotidien Süddeutsche Zeitung, alors que le dernier mandat en cours d'Angela Merkel, entamé en 2018, est rythmé par des crises incessantes au sein de sa fragile coalition avec les sociaux-démocrates ou à l'intérieur de son propre parti. 

Parmi les potentiels successeurs à AKK, une personnalité se détache : le conservateur Friedrich Merz, vaincu de peu par l'ex-future présidente du CDU. Celui-ci a récemment acté son départ du conseil d’administration de la branche allemande de BlackRock. Objectif : revenir sur le devant de la scène politique allemande en vue de 2021 avec une ligne plus à droite.

dimanche, 25 octobre 2015

The Cost Germany Is Paying For Washington’s Wars

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The Cost Germany Is Paying For Washington’s Wars

I am unable to vett the accuracy of this report from a German hospital beyond the fact that this report was given over Czech TV. It coud be true or it could be anti-Muslim propaganda or some combination of the two.

Nevertheless, it is true in the sense that the sudden appearance of one million pennyless refugees in a European country, which are not of the vast size of the US and Canada, is destabilizing in many ways.

One can commiserate with the Germans and the refugees, but the Germans brought it on themselves. They permitted the Merkel government, which serves Washington and not Germany, to legitimize Washington’s illegal wars that brought Germany the refugees. The same is happening all over Europe and in the UK, where the British also sat on their butts and permitted Blair and Cameron to serve Washington instead of them.

Who is to say that the Europeans and British do not deserve the consequences of their own complicity in Washington’s gratuitous and illegal wars? Nothing more needs to be said.

The local German Press are not allowed to report on what is happening inside German Hospitals

The below letter is from a retired physician who had returned to work at a Munich area hospital where they needed an anaesthesiologist. She e-mailed the following letter to her friend in Prague. The letter has been read out on Czech TV but in Germany the issues mentioned in the letter are not being reported on by the German Press because they have been told to not write anything negative about the migrants. Merkel’s government fears that the German population will react badly to the truth, so like bad governments throughout history the truth is being suppressed. Despite this German’s are protesting in record numbers as they can see the negative effects of record migration in their own towns and cities but you will only find articles and photos describing the protests on New Media. Even international media seem to be going along with the Blackout on bad news about migrants in Germany.

“Yesterday, at the hospital we had a meeting about how the situation here and at the other Munich hospitals is unsustainable. Clinics cannot handle emergencies, so they are starting to send everything to the hospitals.

Many Muslims are refusing treatment by female staff and, we, women, are refusing to go among those animals, especially from Africa. Relations between the staff and migrants are going from bad to worse. Since last weekend, migrants going to the hospitals must be accompanied by police with K-9 units.

Many [Muslim] migrants have AIDS, syphilis, open TB and many exotic diseases that we, in Europe, do not know how to treat them. If they receive a prescription in the pharmacy, they learn they have to pay cash. This leads to unbelievable outbursts, especially when it is about drugs for the children. They abandon the children with pharmacy staff with the words: “So, cure them here yourselves!” So the police are not just guarding the clinics and hospitals, but also large pharmacies.

Truly we said openly: Where are all those who had welcomed in front of TV cameras, with signs at train stations?! Yes, for now, the border has been closed, but a million of them are already here and we will definitely not be able to get rid of them.

Until now, the number of unemployed in Germany was 2.2 million. Now it will be at least 3.5 million. Most of these people are completely unemployable. A bare minimum of them have any education. What is more, their women usually do not work at all. I estimate that one in ten is pregnant. Hundreds of thousands of them have brought along infants and little kids under six, many emaciated and neglected. If this continues and German re-opens its borders, I’m going home to the Czech Republic. Nobody can keep me here in this situation, not even double the salary than at home. I went to Germany, not to Africa or the Middle East.

Even the professor who heads our department told us how sad it makes him to see the cleaning woman, who for 800 Euros cleans every day for years, and then meets young men in the hallways who just wait with their hand outstretched, want everything for free, and when they don’t get it they throw a fit.

I really don’t need this! But I’m afraid that if I return, that at some point it will be the same in the Czech Republic. If the Germans, with their nature cannot handle this, there in Czechia it would be total chaos. Nobody who has not come in contact with them has no idea what kind of animals they are, especially the ones from Africa, and how Muslims act superior to our staff, regarding their religious accommodation.

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For now, the local hospital staff has not come down with the diseases they brought here, but, with so many hundreds of patients every day – this is just a question of time.

In a hospital near the Rhine, migrants attacked the staff with knives after they had handed over an 8-month-old on the brink of death, which they had dragged across half of Europe for three months. The child died in two days, despite having received top care at one of the best pediatric clinics in Germany. The physician had to undergo surgery and two nurses are laid up in the ICU. Nobody has been punished.

The local press is forbidden to write about it, so we know about it through email. What would have happened to a German if he had stabbed a doctor and nurses with a knife? Or if he had flung his own syphilis-infected urine into a nurse’s face and so threatened her with infection? At a minimum he’d go straight to jail and later to court. With these people – so far, nothing has happened.

And so I ask, where are all those greeters and receivers from the train stations? Sitting pretty at home, enjoying their non-profits and looking forward to more trains and their next batch of cash from acting like greeters at the stations. If it were up to me I would round up all these greeters and bring them here first to our hospital’s emergency ward, as attendants. Then, into one building with the migrants so they can look after them there themselves, without armed police, without police dogs who today are in every hospital here in Bavaria, and without medical help.