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lundi, 18 novembre 2024

Le Sahara cesse de se désertifier. Et les semeurs de panique se plaignent

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Le Sahara cesse de se désertifier. Et les semeurs de panique se plaignent

Augusto Grandi

Source: https://electomagazine.it/il-sahara-ferma-la-desertificaz...

L'important est de créer la panique. Peu importe comment, même au prix de l'effacement de l'histoire et de l'actualité. Le nouveau drame, pour la télévision et les journaux, ce sont les pluies dans le Sahara, qui redevient vert.

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On ignore donc les gravures rupestres qui montrent que le désert actuel était autrefois habité et peuplé d'animaux même de grande taille qui pouvaient s'abreuver à de nombreux ruisseaux.

Patience, l'histoire n'est qu'une option facultative pour de nombreux vulgarisateurs et communicateurs. Mais l'actualité est aussi une inconnue. Car l'année dernière encore, on se plaignait des retards dans la construction de la Grande Muraille Verte, le grand projet qui doit aboutir d'ici 2030 à la construction d'un mur de 8000 km de long à travers 11 pays africains et de 15 km de large dans la zone au sud du Sahara, pour éviter l'expansion du désert. Un projet chiffré à 33 milliards de dollars dont 14 milliards ont déjà été investis.

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Et les images de ces jours-ci montraient une partie du travail accompli, puisqu'on pouvait voir les arbres plantés régulièrement aux distances prévues. Ce qui n'était pas prévu, c'était les pluies de cette année, qui ont fait pousser de l'herbe autour des plantes et qui a redonné vie aux lits des rivières d'autrefois.

Dans la pratique, la Grande Muraille Verte devient une réalité, démentant le catastrophisme des années précédentes où l'on craignait l'échec du projet.

Il y aurait alors lieu de se réjouir. Au lieu de cela, on sème la panique à propos des pluies excessives qui pourraient mettre en péril les barrages et provoquer des inondations dans les villages. Pas un seul des catastrophistes pense qu'un barrage peut être renforcé ou même refait. Que l'eau, c'est la vie, qu'elle permet aux hommes et aux animaux de se désaltérer, qu'elle sert à irriguer les terres. De l'eau de pluie plutôt que des puits de plus en plus chers et de plus en plus profonds. Il n'en est pas question. La pensée unique obligatoire a besoin de panique, pas de célébration. Au prix d'aller détruire toutes les gravures rupestres, de peur que quelqu'un ne découvre que le Sahara fut jadis vert.

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16:43 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : actualité, sahara, désertification, inondations | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

samedi, 16 novembre 2024

Valence, l'échec d'un modèle et d'une classe politique

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Valence, l'échec d'un modèle et d'une classe politique

Enric Ravello Barber

Source: https://euro-sinergias.blogspot.com/2024/11/valencia-el-f...

« Son lit profond et large est toujours sec, sauf en période de crue où il reçoit tant d'eau et coule si furieusement qu'il détruit ce qu'il rencontre ».   Ces mots ont été écrits par l'illustre botaniste valencien Antonio Cavanilles à la fin du XVIIIe siècle. Comme vous l'avez peut-être deviné, il fait référence au Barranco del Poyo, dont le débordement, le 5 novembre 2024, a causé la mort de près de 300 personnes dans plusieurs villes de la province de Valence. L'avertissement concernant l'inondation de la zone et l'inopportunité d'y construire remonte à bien plus loin, au moins à l'époque romaine (1).

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Les zélateurs du prétendu changement climatique prétendent expliquer la tragédie par l'irresponsabilité qu'il y a d'ignorer leurs « postulats verts ». Les conspirationnistes parlent de nuages et d'éclairs spatiaux lancés depuis le Maroc pour justifier le déluge. Bref, de la paranoïa pour cacher la réalité: les inondations sont récurrentes dans cette zone de Valence et construire sur des terrains inondables conduit irrémédiablement au drame, ce n'est qu'une question de temps. Cette irresponsabilité urbanistique et politique ne concerne pas seulement la zone frappée tragiquement; le modèle d'urbanisme spéculatif basé sur le « libre marché » condamne 3 millions d'Espagnols à être potentiellement engloutis par des inondations qui, comme nous l'avons vu, ne sont pas toujours faciles à prévoir et à gérer. Un véritable terrorisme spéculatif (2).

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Le roi et sa cour sont nus. Une classe dirigeante en faillite

Jamais, au cours des années de démocratie, nous n'avons vu une réaction aussi violente et survoltée lors d'une visite du roi - ni avec Felipe V, ni avec Juan Carlos I (3). Après plusieurs jours de flottement politique et d'abandon absolu des victimes, le roi, accompagné de la reine et de Sánchez -président du gouvernement espagnol- et de Carlos Mazón -président du gouvernement valencien- s'est rendu dans l'une des villes les plus touchées: Paiporta. La réponse de la population a été virulente: elle criait « assassins » et jetait de la boue sur eux: la reine a été atteinte au visage, le roi a dû être protégé par le parapluie d'un garde du corps (3). Alors que le Roi et la Reine tentaient de calmer l'agitation, le Premier ministre a été attaqué et a dû quitter les lieux alors que la population endommageait sa voiture. S'il n'avait pas quitté les lieux, les conséquences auraient pu être bien plus graves (4). Le président Sánchez, dans son immense démagogie manipulatrice, a dénoncé l'agression comme étant le fait d'« éléments d'ultra-droite » - bien sûr, qui l'eut cru ! Mais c'est tout le peuple, au-delà des idées et des sensibilités politiques, qui a réagi avec rage contre une classe politique dont l'indécence ne connait pas de bornes (5).

Si le degré d'inefficacité des premiers jours de la tragédie dépasse tout ce que l'on peut imaginer, le degré de mesquinerie et de bêtise politique les surpasse encore. Le président du gouvernement a eu le culot de répondre aux autorités valenciennes que « si elles ont besoin de plus de moyens, qu'elles les demandent », démontrant non seulement son aveuglement et son ignorance, mais aussi un cynisme qui dépasse toutes les limites.

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Entre-temps, le président valencien n'a donné aucune explication sur sa « disparition » pendant les heures cruciales où il aurait dû prendre des décisions, alors que le besoin d'explication devenait pressant en raison de la pression médiatique et populaire, Mazón a prétendu qu'il était en réunion avec le président du patronat valencien, qui l'a immédiatement démentie (6).  Finalement, la vérité a éclaté: Mazón avait passé six heures à « déjeuner » avec une séduisante journaliste à qui il proposait le poste de directrice de la télévision valencienne, un poste ouvert à la concurrence publique (7). Mais le plus grave est que même en sachant cela, elle n'a pas démissionné, et elle ne le fera pas parce que la direction de son parti (PP) pense que sa démission pourrait donner le gouvernement valencien au PSOE et que c'est un coût politique trop élevé. C'est bien là la misère de la classe politique, aussi profonde que méprisable.

La gestion désastreuse de la crise a connu des épisodes vraiment invraisemblables, comme le rejet par Pedro Sánchez de l'aide très généreuse offerte par le président salvadorien Bukele (8) et a déjà fait sa première victime politique avec le blocage de la candidature de Teresa Rivera (PSOE) au poste de vice-présidente de la Commission européenne pour sa gestion désastreuse pendant les jours d'inondations (9).

Après l'indignation légitime, tout restera comme avant. La classe politique restera à son poste, la même qui a été incapable pendant 15 ans de réaliser les travaux recommandés par les experts qui auraient évité cette catastrophe humanitaire (10), les mêmes prédateurs urbains continueront à construire dans des zones où ils ne devraient pas, personne n'aura de politiques urbaines et hydrographiques dont la mise en œuvre prendrait des décennies et qui ne fournissent pas de recettes électorales pour les « rendez-vous avec les urnes » immédiats.

mercredi, 28 mai 2014

HAARP : les vraies causes des inondations en Serbie

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HAARP : les vraies causes des inondations en Serbie

par Laurent Glauzy

Ex: http://anti-mythes.blogspot.com

« Le 18 mai 2014, après sa victoire aux Masters 1000 de Rome, le n° 2 mondial de tennis d’origine serbe, Novak Djokovic, s’est exprimé au sujet des inondations qui ravagent actuellement l’ex-Yougoslavie, ayant provoqué la mort de plus de trente personnes et contraint des dizaines de milliers de personnes à évacuer leur maison : « C’est une catastrophe avec des proportions bibliques, je ne comprends pas que les médias internationaux en parlent si peu. »
Et pour cause ! Le projet Haarp, arme de destruction massive et climatique entre les mains des Illuminati, serait bien, une fois de plus, à l’origine de ces catastrophes.
 
Dans son livre paru en 1970, Between Two Ages : America’s Role in the Technetronic Era (Entre deux âges : le rôle de l’Amérique dans l’ère technétronique), Zbigniew Brzezinski, un des principaux concepteurs de la politique étrangère américaine, directeur de la sécurité nationale du président Carter, mentionne : « La technologie mettra à la disposition des grandes nations des procédés qui leur permettront de mener des guerres furtives, dont seule une infime partie des forces de sécurité auront connaissance. Nous disposons de méthodes climatiques permettant de créer des sécheresses et des tempêtes, ce qui peut affaiblir les capacités d’un ennemi potentiel et le pousser à accepter nos conditions. Le contrôle de l’espace et du climat a remplacé Suez et Gibraltar comme enjeux stratégiques majeurs. »
Cette arme secrète abordé par Zbigniew Brzezinski correspond au projet Haarp, qui prépare notre monde à un Nouvel ordre mondial que les occultistes appellent l’« âge d’or » et à propos duquel Henry Kissinger, secrétaire d’État américain de 1973 à 1977 (du président Nixon), a déclaré : « Oui, beaucoup de gens mourront lorsque sera établi le nouvel ordre mondial. Mais ce sera un monde bien meilleur pour tous ceux qui survivront. » [Cf. Extraterrestres, les messagers du New Age ou Du mystère des Crop Circles au Mind Control : Quand la CIA et l’ufologie préparent un nouvel armement, 2009, p. 244.] Ces propos sont d’autant plus troublant lorsqu’ils émanent d’un homme d’origine juive allemande. Mais il est vrai que les satanistes ou les Illuminati sont au-dessus de toutes les religions.
Voilà l’avenir que nous prépare la secte supra-maçonnique, les survivants des Pike, Weishaupt : des holocaustes auxquels les populations de l’ancienne Yougoslavie, par des pluies diluviennes, ou de l’Afrique, par des périodes de sécheresses sans précédent, sont à présent confrontées.
Le docteur en science militaire Konstantin Sivkov, qui a travaillé pour l’État-major russe de 1995 à 2007, pense également que l’OTAN a utilisé cette arme climatique dans la massacre rituel contre la Yougoslavie, entre 1991 et 2001. Sirkov atteste qu’il est possible d’engendrer sur une zone limitée des pluies diluviennes comme déjà lors de la guerre du Vietnam, ou d’assurer un temps clair favorable au vol des avions de combat.
Des journalistes de grande renommée, qui ne se plient pas à la vulgate officielle, ont depuis longtemps ouvert les yeux sur les réalités de ce monde entre les mains de satanistes.
Ainsi, à propos du projet Haarp et des inondations de Serbie, John Robles, diplômé en russe de l’Université de Pennsylvanie, expose sur le site de la radio The Voice of Russia que « plusieurs de ses contacts en Serbie parlent d’un déluge sans précédent en lien avec le projet américain Haarp. » Il affirme notamment qu’un journaliste de la Pravda serbe a reçu des appels anonyme lui demandant de ne plus écrire sur ce programme d’arme climatique secret et sur une des stations mettant en œuvre le trait discret ELF System qui serait implantée à Barajevo. Cette base de localité proche de Belgrade, est munie d’antennes surdimensionnées.
On se souvient qu’en 2012, la Serbie menaçait non seulement de ne pas entrer dans l’Union européenne, mais d’accueillir de nouvelles enceintes militaires russes. En outre, sa population refuse les plans mondialistes au Kosovo. Qui plus est, le projet de gazoduc South Stream lancé par le président russe Vladimir Poutine devrait, fin 2015, alimenter l’Europe en gaz par un réseau qui traverse les Balkans, et plus particulièrement la Serbie, qui se trouvera au cœur du dispositif. Peut-être ces faits expliquent-ils les malheurs aussi imprévisibles qu’inégalés qui affligent précisément la Serbie ? »
Laurent Glauzy