lundi, 22 juillet 2024
"J'aime l'odeur du napalm au petit matin" (à propos des épandages chimiques et autres « sables du Sahara »)
"J'aime l'odeur du napalm au petit matin" (à propos des épandages chimiques et autres « sables du Sahara »)
Pierre-Emile Blairon
Apocalypse now !
Tout le monde se souvient du grand – et superbe - film de Francis Ford Coppola, Apocalypse now ! (1979) au titre tellement prédestiné, et de la réplique du colonel Kilgore reprise en titre ci-dessus. Ce film relate, d’une manière fictionnelle, un épisode de la guerre du Vietnam qui a opposé les Américains aux communistes vietnamiens de 1955 à 1975 et s’est achevée par la défaite peu glorieuse de l’oncle Sam (comme, d’ailleurs, la quasi-totalité des guerres déclenchées par les Etats-Unis, ou par l’Otan, son bras armé, ou par la CIA, son « cerveau », à la mesure des cerveaux américains ; l’intérêt pour les Américains n’étant pas de perdre ou de gagner les guerres, mais d’enrichir leur complexe militaro-industriel).
On connaît aussi la photo de Nick Ut, qui montre, en 1972, une petite vietnamienne, Kim Phuc, courant nue sur une route parce qu’elle vient d’être brûlée par un bombardement au napalm, « Cette « arme vicieuse, mélange inflammable d’essence gélifiée, de phosphore et de plastique qui colle à la peau et brûle les tissus jusqu’à l’os ». Un « graffeur » britannique, Bansky, a repris la photo en 1994 pour en faire un montage, symbolique d’une certaine Amérique (voir les images).
Cette phrase-culte de ce film-culte est typique de l’esprit américain, dominateur, arrogant, cynique, peu soucieux des dégâts que cette nation belliqueuse inflige, depuis sa création, à la nature et aux êtres vivants, brandissant en toutes occasions, le plus souvent inadéquates, la Bible, et déversant sur le monde son hypocrite moraline universaliste en même temps que ses bombes qui, elles, sont, de facto, beaucoup plus sincères.
Elle rend bien compte de la véritable nature des épandages que le Système ne cesse de déverser sur la planète par voie aérienne depuis de nombreuses années ; car ces épandages, s’ils ne suppriment pas instantanément tout ce qui vit, comme le font les avions américains dans cette séquence du film (1) , ont le même but, sous prétexte de « lutter » contre un improbable réchauffement climatique : dans un premier temps, d‘instiller dans les masses la peur, le découragement et la soumission et, en dessein final, de réduire la population planétaire, les épandages toxiques ne constituant que l’un des volets du vaste panel de la méthodologie mise en place pour arriver à cette fin. Ecoutez parler ce chef Sioux qui a tout compris de ce qui se passe et qui désigne les coupables (2); il sait de quoi il retourne : ses ancêtres ont été les premières victimes de la guerre bactériologique menée par les Blancs américains, Anglais à l’origine, contre la terre entière ; nous évoquons cet épisode douloureux dans le petit historique qui suit.
« Les sables du Sahara »
Ce n’est pas d’hier que nous nous intéressons à ce qui, au début, paraissait être un curieux phénomène, inexplicable, dont nous avions du mal à croire à l’existence, ce qui, pourtant, à l’évidence, ne pouvait constituer qu’une manipulation du climat, de la nature et donc, des êtres vivants dont les hommes sont, paraît-il, le fleuron.
Mais les derniers événements ou, à vrai dire, les non-événements, climatiques, nous ont incités à revenir sur le sujet. Pourquoi « non-événement » ? Eh bien, parce que, traditionnellement – et il s’agit là d’une tradition multimillénaire - nous étions habitués à voir se dérouler les années suivant un processus naturel qui voyait se succéder les saisons ; nous n’y avons peut-être pas prêté attention les années précédentes, trop occupés à nous défendre contre le pseudo-virus, mais les années 2023-2024 ont été marquées par l’absence d’hiver, par l’absence de printemps et par l’absence de cet été qui a bien mal commencé.
Comme, l’année dernière, « on » nous a convaincus qu’il y avait « sécheresse », les édiles locaux se sont dépêchés, suivant les consignes des préfets macronistes, de fermer le débit des fontaines (lesquelles sont, pour la plupart, en circuit justement déjà « fermé ») ; depuis cette mémorable et stupide décision (à laquelle il n’a pas été mis fin), il n’a pas arrêté de pleuvoir sur la Provence et, me semble-t-il, sur toute la France, à quelques exceptions près (le Roussillon).
Le premier jour de l’été 2024 fut, sur l’ensemble de la Provence où je vis, une journée apocalyptique, tempétueuse et pluvieuse. Les nappes phréatiques sont maintenant pleines à ras bord mais « on » nous persuade toujours que nous sommes en situation de sécheresse parce que les pluies que nous subissons fréquemment ne sont qu’une illusion, un « sentiment », comme le « sentiment » d’insécurité, par exemple.
Et puis sont arrivés les épisodes, cocasses et déprimants, de retombées de boues brunâtres et visqueuses déversées par le « ciel » dans une fréquence qui ne correspond à aucune de celles que nous avons vécues dans le passé qui se limitaient à une ou deux pluies par an ; il s’agit, cette année, d’au moins une fois par semaine. Le Français étant particulièrement attaché à sa voiture, il a vu, dans un désespoir à peine dissimulé, son véhicule se couvrir, à intervalles non réguliers mais fréquents, de cette substance brunâtre qu’« on » veut nous faire passer pour des « sables du Sahara». Nous sommes aujourd’hui (lorsque j’écris cet article en Luberon) le 3 juillet 2024, il est 9h30, la température est de 21°, le ciel est voilé, blanc laiteux, le vent souffle ; il y a trois jours, nous avons encore subi une pluie de ces « sables du Sahara » ; les véhicules, les maisons, les plantes, les arbres, les fleurs, les fruits et les légumes (que nous mangeons), les insectes (qu’ils veulent nous faire manger), les animaux de toutes sortes, les vitres, les bancs, les terrasses, les vêtements, les sols, les piscines, les mers, les lacs et les rivières, tout est encore imprégné de cette mélasse brune et pâteuse.
Les présumés « sables du Sahara » ne sont en fait que la production visible et concrète des épandages chimiques que l’on nomme chemtrails ; rappelons que le mot « chemtrail » vient de la contraction de deux mots anglais : chemical et trail, traînée chimique, en opposition avec « contrail », traînée de condensation, qui est le résultat d’un processus naturel.
15h, même jour : le ciel est en fond bleu mais strié, quadrillé, à perte de vue, par des centaines de traînées blanches . 16h : le mistral a tout dégagé.
J’ai voulu savoir ce qu’en disent les médias.
Eh bien, si vous recherchez par Google et que vous tapez « sables du Sahara », ils sont débonnaires, rassurants, vous donnent des conseils pour bien laver votre voiture, ou ne pas la laver du tout car, disent-ils, ça ne sert à rien parce que ces méchants sables maghrébins sont encore attendus pour dans trois ou quatre jours.
En revanche, si vous émettez un doute, du type : « sables du Sahara ou métaux lourds ? », ces mêmes médias vous renvoient sans ménagement à des officines de « vérification » qui vous traitent de complotiste. Et on tombe immédiatement sur le communiqué de l’AFP du 2 mai 2024, le pourvoyeur d’« infos » que tous les autres médias subventionnés doivent répercuter au garde-à-vous : « NON, un laboratoire n'a pas prouvé que les nuages de sable du Sahara sont en fait des composés nocifs largués intentionnellement. Des nuages de sable du Sahara atteignent régulièrement l'Europe, comme cela a été le cas fin mars 2024, jusqu'en Roumanie, et encore fin avril en France. Bien qu'il s'agisse d'un phénomène naturel, des internautes affirment, analyse d'un laboratoire bosnien à l'appui, que ce sable est largué intentionnellement par avion et chargé en substances nocives, reprenant ainsi la théorie complotiste des "chemtrails", selon laquelle les traînées laissées par les avions dans le ciel seraient les traces de produits chimiques. Mais la méthodologie de l'analyse citée est douteuse, ont souligné des experts, notamment parce les lieux et conditions de prélèvements des échantillons n'ont pas été vérifiés. Elle a en outre été réalisée à la demande d'un élu bosnien qui a reconnu lui-même qu'on ne pouvait pas en tirer de conclusions . »
Ah bon, si ce sont « des » experts qui l’ont dit… Des experts « certifiés AFP » ?
Mais nous sommes quand même allés écouter la version (sous-titrée en français) de ces vilains bosniaques qui ont l’outrecuidance de se poser des questions et de faire des analyses qu’on ne leur a pas demandées .
Des filaments aéroportés
Une autre version de ces épandages a été analysée par un laboratoire français, Analytica, situé à Cuers, près de Toulon, dans le Var ; il s’agit de « filaments aéroportés » qui contiennent des perturbateurs endocriniens, des métaux lourds, de fortes teneurs en aluminium, en baryum et en strontium ; pour ceux qui veulent aller plus loin, vous trouverez ci-joint les rapports de ces différentes analyses et les reportages effectués par les médias, notamment ce très honnête reportage de France 3 en mars 2014 . Vous noterez sans peine la gêne des autorités officielles qui s’expriment sur le sujet ; quand elles s’expriment, car, selon le reportage, la plupart des responsables de ces organismes ont refusé de répondre aux questions des journalistes et ceux qui y répondent bottent en touche, comme ce responsable du « service technique environnement de l’aéroport Marseille-Provence » qui affirme qu’il n’a « jamais entendu parler de chemtrails », qu’il « ne sait pas ce que c’est » , ou comme ce médecin qui traite de « charlatans » ceux qui se posent des questions à ce sujet !
Un tel empressement à dénier toute intention malsaine, ou, au contraire, une telle discrétion, une telle unanimité dans le discours, et une telle agressivité de certains médias, de la part des collaborateurs du Système, ne présagent rien de bon.
Car ça ne vous rappelle rien ? Ces mêmes officines de « vérification », qui ne sont rien d’autre que des outils de propagande et de diffusion de fausses nouvelles, ont agi avec les mêmes méthodes et avec les mêmes mots quand il fallait vous dissuader de rechercher les composants toxiques des pseudo-vaccins qu’on a administrés à 80 % de la population française et dont les effets morbides et létaux commencent à se manifester. Le vaste système de désinformation par ingénierie sociale élaboré lors de la grande manipulation sanitaire déclenchée par la secte mondialiste a perdu toute crédibilité. Nos bourreaux comploteurs seront obligés d’inventer d’autres machinations.
Les comploteurs élaborent des complots que les « complotistes » dénoncent.
Quelques précédents historiques
Régressons un peu dans le temps afin de trouver les premières manifestations de guerre bactériologique, ou biologique, ou bioclimatique.
Les couvertures contaminées par la variole
Nous ne remonterons qu’au XVIIIe siècle pour trouver la première trace d’une guerre bactériologique, elle est le fait du général anglais Harmherst (1717-1797), vainqueur des Français du Canada en 1760, et dont le personnage constituera une préfiguration de l’amoralité qui va caractériser le futur homo americanus bellicus.
Cet individu, dont une rue de Montréal portait encore récemment le nom avant de le faire tomber en disgrâce, avait imaginé, avec succès, de répandre une épidémie parmi les Amérindiens, qui ne voulaient pas se séparer de leurs terres au profit des envahisseurs anglais, en fournissant les tribus insoumises en couvertures infectées par la variole. Le but avoué étant bien d’éradiquer totalement les tribus natives.
« Dommage pour les Indiens que les Français n’aient pas pu conserver le Canada, car ils leur auraient permis d’échapper à la volonté exterminatrice des Britanniques qui ont utilisé la méthode des couvertures infectées lors d’autres conflits, comme en Nouvelle-Zélande. » écrit André Boyer dans son blog le 16 mai 2017.
Il a fallu 250 ans pour que Montréal cesse d’honorer le nom de ce sinistre personnage. Il faudra combien de temps pour prouver la culpabilité de la CIA dans les affaires que nous allons relater dans lesquelles l’Agence est soupçonnée d’être impliquée ?
Plusieurs morts dans une contamination par le LSD à Pont-Saint-Esprit
De 5 à 7 personnes ont péri à Pont-Saint-Esprit, une jolie petite ville historique du Gard traversée par le Rhône, de plus de 10.000 habitants actuellement, la moitié à l’époque, dans une curieuse épidémie, c’était en 1951. A première vue, il s’agissait d’une intoxication alimentaire qui aurait été causée par l’ergot du seigle, un champignon vénéneux qu’on peut trouver dans cette céréale et qui a la caractéristique de contenir de l’acide lysergique avec lequel on fabrique le LSD, une drogue hallucinogène. Ce qui explique que 30 Spiripontains aient été internés en hôpital psychiatrique, dont certains se sont suicidés en se jetant par la fenêtre.
En octobre 2009, coup de théâtre avec la parution d’un livre intitulé : A terrible mistake (Une terrible erreur) sous la plume d’un journaliste d’investigation (ce qui devrait être un pléonasme mais ne l’est plus), un Américain dénommé Hank Albarelli qui enquête, dans ce livre, sur la mort mystérieuse d’un scientifique, Frank Olson, lié à des expériences conduites par la CIA sur le contrôle mental. Frank Olson s’est jeté du dixième étage, en 1953, par la fenêtre d’un hôtel de Manhattan ; son fils Eric rouvrira l’enquête après qu’elle ait été clôturée dans un premier temps en échange d’un dédommagement versé par l’État américain à sa famille (750.000 dollars) et les excuses du président des Etats-Unis d’alors, Gerald Ford. Cette seconde enquête menée en 1994 démontrera que Frank Olson a été assassiné avant de passer par la fenêtre. Mais l’accord précédemment conclu par sa famille ne permettra pas de la valider.
Selon Albarelli, Olson aurait mené une expérience avec la CIA sur les habitants de Pont-Saint-Esprit pour tester le LSD comme arme de guerre, d’abord par pulvérisation aérienne, puis par contamination du pain, dans le cadre du programme MK/Naomi.
En 2015, un vidéaste, Olivier Pighetti, réalisera un documentaire intitulé Pont-Saint-Esprit, 1951 : 5 morts, 30 internés, 300 malades - Le complot de la CIA, qui sera diffusé sur France 3.
La tempête de décembre 1999 en France
Avec la création du système HAARP en 1993, les « dérèglements climatiques » de forte intensité vont se multiplier, telles ces tempêtes qui ont gravement touché la France en 1999.
Les 26, 27 et 28 décembre 1999, deux tempêtes successives, dénommées Lothar et Martin, ont mis à terre d’une manière fulgurante des millions d’arbres sur 968.000 hectares. Soufflant à la manière d’un ouragan, des vents atteignant 216 km/h ont ravagé principalement les régions du Sud-Ouest et du Nord-Est occasionnant près de 20 milliards de dollars de dégâts et la mort de 92 personnes en France (la tempête, ignorant les frontières, à la différence du nuage radioactif de Tchernobyl, s’est invitée en Allemagne et en Suisse, faisant au total, avec les victimes françaises, 142 morts).
Dans son livre, La guerre secrète contre les peuples, la regrettée Claire Séverac note (page 230 et suivantes) que « certains observateurs dont le journaliste Jean-Moïse Braitberg dans un article de VSD de juin 2000, intitulé "Les services secrets fantasment : tempête de décembre 99, phénomène naturel ou attaque terroriste ?" laissent entendre que ces tempêtes pourraient avoir été causées par une arme climatique utilisée afin de sanctionner l’attitude récalcitrante de la France sur la mondialisation, les OGM et le traité de l’AMI (accord multilatéral sur l’investissement – le sigle étant plus sympathique que sa signification – NDLR). Cet accord économique se négociant dans le plus grand secret sous l’égide de l’OCDE depuis 1995. […] Avant les « tempêtes », la France était parvenue à influencer de manière décisive la position des autres pays de l’Union européenne sur le refus des OGM, contribuant à l’échec des négociations de l’OMC à Seattle. Et, surtout, la France se retirait des négociations de l’AMI, provoquant l’échec de ce projet-clé du processus de mondialisation. »
D’autres manipulations apparentées à la géoingénierie (techniques de contrôle et de modification du climat) ont été dénoncées lors d’événements tragiques comme :
- l’ouragan Erika : « Que des coïncidences ! L’ouragan Erika qui dévasta la Nouvelle-Calédonie le 14 mars 2003, et coûta très cher à la France… Un mois avant, Dominique de Villepin avait demandé la réunion du Conseil de sécurité de l’ONU, le 14 mars justement, afin d’évaluer la situation en Irak . »
- le tremblement de terre d’Haïti : « En janvier 2010, Hugo Chavez (Président du Vénézuela), citait un rapport de la flotte russe du Nord disant que que le tremblement de terre qui a détruit Haïti a été provoqué par la marine américaine qui a testé un missile dit « sismique », fonctionnant grâce à des générateurs impulsionnels à plasma, en mer des Caraïbes ». Par ailleurs, dans une vidéo , Claire Séverac a rajouté que cela permettrait à l’armée américaine d’investir Haïti sous prétexte humanitaire dans le but d’installer une base de surveillance entre Cuba et le Vénézuela (d’où l’intervention de Chavez.)
- les incendies d’Hawaï : pour l’occasion, nos médias aux ordres ont ressorti le pack bûchers-Inquisition, c’est le déchaînement des « factcheckers », en français : les officines de vérification estampillées politiquement correctes, c’est-à-dire tenues par des médias subventionnés grassement par le Système qui dénoncent à s’en égosiller les « complotistes » qui ont évoqué des brasiers provoqués par l’utilisation d’armes à énergie dirigée. Le 8 août 2023, des incendies d’une grande ampleur ont fait au moins 115 morts à Maui, une île de l’archipel hawaïen, prisée comme lieu de villégiature par quelques grandes fortunes américaines. Les témoins locaux ont parlé de rayons laser qui ciblaient des lieux bien précis et en épargnaient d’autres, afin d’en faire partir la population de souche .
Le système Haarp
Haarp, High Frequency Active Auroral Research Program est officiellement un programme de recherche américain consacré à l’étude de l’ionosphère. Les installations de ce programme sont situées en Alaska dans la région où on peut observer des aurores boréales, d’où son nom ; le site, d’une surface de 16 hectares, est planté de 180 antennes.
En fait, le site, avant sa cession par l’armée en 2015 à un organisme civil, en l’occurrence l’université de l’Alaska, était sous contrôle exclusif des militaires ; ce transfert stratégique tente de désamorcer les critiques.
Selon Claire Séverac, « l’objectif officiel de Haarp est de générer un bouclier protecteur global capable de déceler et de contrer les avions ou les missiles ennemis qui s’engageraient dans l’espace aérien américain. […] Il permet également de communiquer avec les sous-marins en plongée profonde et peut scanner le sous-sol de la Terre entière et les mers à des profondeurs extrêmes. […] Haarp peut aussi être utilisé pour manipuler le climat en créant des perturbations atmosphériques sur d’autres continents avec toutes les conséquences que cela implique sur les écosystèmes.[…] le système agirait en parfaite corrélation avec les chemtrails. Le revers de la médaille est que ce réseau peut aussi interrompre toute forme de communication hertzienne et détruire ou détourner avions et missiles intercontinentaux.
En fait, l’objectif réel de Haarp semble être de pouvoir atteindre et bombarder à volonté n’importe quel point de la Terre et de l’espace proche avec un faisceau d’énergie directif ultra-puissant, sans utiliser de satellite . »
D’où les « essais » que nous avons évoqués avec les « quelques précédents historiques ».
Les épandages chimiques (chemtrails) : la guerre secrète contre les peuples
Claire Séverac a été l’une des premières lanceuses d’alerte à dévoiler l’existence des chemtrails, épandages chimiques illicites (certains sont malheureusement licites comme les engrais et autres insecticides déversés sur les cultures de l’agro-industrie). Aussi étrange que cela puisse paraître, Claire Séverac a fait carrière dans l’industrie du spectacle aux USA ; elle a composé de nombreuses chansons pour des chanteurs connus et a chanté elle-même, notamment en duo avec David Soul (le Hutch de la fameuse série Starsky et Hutch). C’est à partir de 2009 qu’elle se fait connaître en France en militant contre les méfaits de la vaccination, et en publiant un premier livre sur le sujet : Complot mondial contre la santé. Elle donnera à partir de ce moment de nombreuses conférences et dénoncera entre autres les chemtrails qui constituent pour elle le danger primordial pour la survie de l’espèce humaine ; elle tentera avec courage de réveiller ses contemporains, et ses compatriotes, ces pauvres Français, qu’on a connus plus éveillés, qui restent pour la plupart dans le déni ; elle cite, par ironie, le directeur du FBI, Edgar Hoover, qui déclarait : « L’individu est handicapé de se retrouver face à face avec une conspiration si monstrueuse qu’il ne peut pas croire qu’elle existe.»
Son livre le plus connu, Guerre secrète contre les peuples, paraîtra en 2015 ; il sera consacré aux diverses manipulations de la secte mondialiste, dont le programme Haarp, les chemtrails, les mesures pseudo-sanitaires, les empoisonnements par la nourriture, les guerres... qui viseraient toutes, sous des formes différentes, un seul but : la réduction drastique de la population planétaire.
A propos des épandages chimiques, elle a posé des questions simples que tout le monde devrait se poser : « Si les contrails ne peuvent se former qu’à des températures au-dessous de - 40°C et à un niveau d’humidité de 70 % ou plus, s’ils ne peuvent durer plus de trente minutes dans des conditions idéales et si les avions de ligne volent par obligation à plus de 8 km de haut, que sont ces grandes suspensions blanches qui s’étirent indéfiniment au-dessus des villes en formes géométriques précises et ces avions que l’on aperçoit distinctement ? […] Et s’il s’agit d’avions de ligne, pourquoi font-ils demi-tour ? Auraient-ils oublié quelque chose ? Comment expliquer qu’après leur passage dans un beau ciel bleu, celui-ci devienne laiteux avec formation de nuages ? Les contrails n’ont jamais obscurci le ciel. » Ecoutons-la .
Claire Séverac est morte le jour de Noël 2016 dans des conditions obscures après trois mois de maladie. Selon le Média en 4-4-2, « elle gênait beaucoup trop de monde et son décès assez rapide est difficilement explicable. Elle était certaine d’avoir ingéré un poison à l’occasion des conférences qu’elle donnait dans toute la France depuis la sortie en septembre 2015 de son livre sur les chemtrails (abréviation de chemical trails). Elle pensait au polonium, un poison indétectable même au compteur Geiger, et à un cancer digestif aussi fulgurant qui avait effectivement peu de chances d’être naturel. »
Certaines personnes commencent cependant à se réveiller, notamment dans le milieu des pilotes de ligne en Amérique (l’État du Tennessee, entre autres, a même adopté une loi pour interdire les épandages chimiques qui, pour le coup, deviennent officiellement illicites: « l’injection volontaire, la libération ou la dispersion de produits chimiques dans l’air », et interdit « d’affecter la température, la météo ou l’intensité des rayons du soleil ») et en Europe ; c’est tant mieux car c’est dans cette profession qu’on trouve le plus grand nombre d’incrédules sur le sujet des épandages illicites.
Enfin, un dernier témoignage, mais de poids : une scientifique de haut niveau, Kristen Meghan, ancienne spécialiste de l'environnement pour l'armée américaine, est devenue une dénonciatrice de la géo-ingénierie. Elle révèle que l'entreprise pour laquelle elle travaillait injectait des matières dangereuses dans l'atmosphère sous prétexte de lutter contre le changement climatique. Lorsqu'elle a commencé à poser des questions sérieuses, elle a été rapidement diabolisée. "Ces substances se retrouvent dans nos aliments et dans le sol", prévient-elle . Souhaitons-lui bonne chance !
Un monde luciférien
Tout ceci nous ramène à ce que les USA sont devenus, en tout cas, au prisme de leurs dirigeants psychopathes, car les peuples du monde ne sont plus responsables des faits et gestes de leurs élites ni même de les avoir mises en place, les élections, quand il y en a, étant la plupart du temps truquées et leurs résultats convenus d’avance, négociés entre les partis, quels qu’ils soient, que les foules croient adversaires, voire ennemis, mais qui sont complices. Pour exemple flagrant (flagrant pour les esprits éveillés), on peut se reporter aux dernières élections législatives en France le 7 juillet 2024. Le problème, c’est que ces personnes dévoyées, par le truchement de l’impérialisme américain et « occidental » (E.U, U.E. et Israël) ont pris le pouvoir sur l’ensemble de la planète et ont produit des petits clones à leur service à peu près partout dans le monde, et surtout en Europe, et surtout en France.
Lucifer est « le prince de ce monde », le maître de la Terre, de la matière … et de la secte sans âme qui s’en réclame, alors que Dieu règne sur les cieux ; le ciel est le domaine du spirituel.
L’ange rebelle, Lucifer (étymologiquement « le porteur de lumière »), par la loi d’inversion finale, obscurcit le ciel pour couper les liens entre Dieu et les hommes, entre la matière et la spiritualité ; les hommes qui se tournaient vers les cieux pour prier Dieu, en attendre ses bienfaits et la lumière qu’il prodigue par ses rayons de soleil, n’en reçoivent plus que des substances sales et poisseuses. Le monde est placé sous une chape de plomb – de métaux lourds – un ciel brumeux qui ne dispense plus que des immondices, qui obscurcissent le ciel, comme le décrit cette intéressante vidéo .
L’historien grec Strabon a rapporté une entrevue entre des druides gaulois et Alexandre le Grand qui leur demanda ce que les Gaulois craignaient le plus ; ils répondirent cette phrase connue et répandue grâce aux albums d’Astérix, que ce qu’ils craignaient le plus était « que les cieux ne leur tombent sur la tête » ; mais ils parlaient d’un avenir très lointain: notre époque ; les druides étaient réputés pour leurs prédictions et cette réponse se rattachait à ce qu’ils considéraient être la fin du monde, tout au moins du cycle, le même que celui que nous vivons, nous, leurs descendants, 2300 ans plus tard, car cette fin serait constituée par « un déluge tombé du ciel, composé d’eau et de feu, avant l’apparition d’un nouveau cycle où l’âme immortelle des hommes retrouverait sa place ».
Les promoteurs du transhumanisme se sont alliés à la secte mondialiste qui gouverne actuellement la planète en se plaçant sous l’égide de Satan et en le proclamant à chaque occasion ; les uns et les autres, sous l’emprise d’une vanité démentielle et démoniaque, l’hubris, ont pour ambition, non seulement d’égaler Dieu, mais de le remplacer, de dominer le monde, la Terre, les hommes et les cieux ; quoi de plus simple et de plus exaltant, pour eux, de sentir leur puissance en étant ceux qui sont capables, comme les divinités furieuses des panthéons grecs et romains, de « faire la pluie et le beau temps » comme bon leur semble ?
Mais cette puissance technologique étant essentiellement artificielle, tout comme leur intelligence, ils ne réussiront donc pas, in fine ; les « anges » rebelles tomberont de haut et leurs ailes seront déchiquetées dans un grand fracas de ferraille.
Pierre-Emile Blairon
Notes:
[1]. voir vidéo youtube : 2’,13 : j’aime l’odeur… :
[2]. https://odysee.com/@Roms17:d/Un-chef-sioux-parle-des-chemtrails:96
[1]. Traînées chimiques en Luberon
[1]. Voir image : l’AFP, le gendarme du politiquement correct
[1]. https://odysee.com/@Uneautreverite:7/bosnie-sable-sahara:e ; document d’analyse des différents métaux présents dans les échantillons prélevés : https://aeronet.news/zadny-saharsky-pisek-sokujici-chemic... ; document d’accréditation nationale du laboratoire : https://ihi.ba/
[1]. https://www.analytika.fr/investigations/filaments-aeroportes/
[1]. Claire Séverac, La guerre secrète contre les peuples, 2015, éditions KontreKulture
[1]. Ibid.
[1]. Ibid.
[1]. https://tvs24.ru/pub/watch/3352/claire-severac-projet-haarp-chemtrails-black-rock/
[1]. https://ripostelaique.com/hawai-accident-naturel-ou-utilisation-darmes-darmes-a-energie-dirigee.ht
[1]. Op.cit.
[1]. https://www.youtube.com/watch?v=uyvT3a3WshU
[1]. https://eveilhomme.com/2019/10/05/video-chemtrails-pilotes-de-ligne-et-scientifiques-balancent-tout/
[1]. https://www.youtube.com/watch?v=hOFXGewJFXM
[1]. https://x.com/BlackBondPtv/status/1810452048527163802
[1]. https://odysee.com/@Climat-Artificiel:e/VCA-52-min-version-TV-H264:8
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mercredi, 28 mai 2014
HAARP : les vraies causes des inondations en Serbie
HAARP : les vraies causes des inondations en Serbie
par Laurent Glauzy
Ex: http://anti-mythes.blogspot.com
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vendredi, 08 juillet 2011
Neue Forschungen der NASA deuten auf mögliche Verbindung zwischen HAARP und Erdbeben/Tsunami in Japan hin
Neue Forschungen der NASA deuten auf mögliche Verbindung zwischen HAARP und Erdbeben/Tsunami in Japan hin
Ethan A. Huff
Neue Daten, die Dimitar Ourounov und Kollegen am Goddard-Raumfahrtzentrum der NASA im US-Bundesstaat Maryland veröffentlicht haben, verweisen auf merkwürdige atmosphärische Anomalien über Japan, nur wenige Tage vor dem schweren Erdbeben und dem nachfolgenden Tsunami am 11. März. Eine scheinbar nicht erklärliche rapide Aufheizung der Ionosphäre direkt über dem Epizentrum erreichte laut Satellitenbeobachtungen nur drei Tage vor dem Beben ihr Maximum. Dies könnte darauf hindeuten, dass möglicherweise gerichtete Energie, die von Transmittern freigesetzt wird, die beim High Frequency Active Auroral Research Program (HAARP) verwendet werden, für die Auslösung des Erdbebens verantwortlich war.
Die Erkenntnisse, die in der Zeitschrift Technology Review des Massachusetts Institute of Technology (MIT) veröffentlicht wurden, werden gemeinsam mit einer anderen Theorie präsentiert, der sogenannten Lithosphären-Atmosphären-Ionosphären-Kopplung, die von der Hypothese ausgeht, dass die Aufheizung der Ionosphäre durch das bevorstehende Erdbeben verursacht wurde, da aus der Bruchlinie radioaktives Radon ausgetreten sei.
00:05 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : japon, tsunami, séisme, tremblement de terre, haarp, actualité, asie, affaires asiatiques | | del.icio.us | | Digg | Facebook
lundi, 31 mai 2010
Quand les Etats-Unis veulent contrôler le climat sur toute la planète...
Archives de SYNERGIES EUROPEENNES - 2005
Roberto TOSO:
Quand les Etats-Unis veulent contrôler
le climat sur toute la planète...
Y a-t-il quelqu’un qui joue avec les chiffres?
Les dates ne sont que coïncidence: 26 décembre 2002 : cyclone “Zoé” en Polynésie; 26 décembre 2003: tremblement de terre en Iran; 26 décembre 2004: le gigantesque tsunami qui vient de ravager les côtes de l’Océan Indien. Je ne dirais pas, dans la suite de cet article, que le tsunami de décembre 2004 a été provoqué, comme l’affirment certains sites “conspirationnistes”, par une expérimentation technologique secrète, et donc “voulue”, ajouteront certains commentateurs. Mais cette coïncidence dans les dates et cette volonté, qui est mienne, de ne pas céder à la tentation conspirationniste ne doivent pas nous conduire à rejeter en bloc et a priori le fait que l’idée a sûrement déjà germé dans certains esprits, de vouloir contrôler les phénomènes atmosphériques. Dont acte. Les hypothèses conspirationnistes et paranoïaques n’existeraient toutefois pas, si certaines prémisses n’avaient pas existé pour étoffer de tels délires, car, de tous temps, l’imagination la plus débridée a toujours besoin d’un point d’appui dans la réalité pour pouvoir se déployer.
Le Projet HAARP
Au cours des siècles, les modifications climatiques ont toujours représenté l’un des catalyseurs les plus puissants capables de susciter les facultés humaines de penser et de réfléchir. Elles ont en effet influencé les croyances et les actions, les motivations et les décisions, toujours, en apparence sur le mode de la causalité, alors qu’en réalité, nos facultés étaient guidées par une logique de fer: celle que nous impose la nature.
Toutefois, depuis l’ère de la révolution industrielle jusqu’à nos jours, l’homme a infligé à la Terre des blessures profondes, si bien qu’aujourd’hui, celle-ci ne présente plus, comme dans l’antiquité, un équilibre quasi parfait sur le plan bio-environnemental.
La communauté scientifique nous avertit sans cesse des dangers d’une surchauffe de la planète. Il n’en demeure pas moins que le risque majeur, que nous courrons et que les mass-media ignorent en règle générale, provient de mutations climatiques provoquées pour des raisons militaires.
Depuis 1992, le Département de la Défense des Etats-Unis développe un projet, coordonné tout à la fois par la marine et l’aviation américaines, que l’on a appelé HAARP (pour: “High Frequency Active Auroral Research Program”). En réalité, il s’agit du noyau même d’un projet bien plus vaste, et bien plus connu, notamment sur le nom de “Guerre des étoiles”. Il a été commencé dès le début des années 80 sous Reagan, pour se poursuivre à la fin de cette décennie sous Bush-le-Père. Ce projet connaît actuellement une phase d’accélération, dopé par un budget militaire d’une ampleur sans précédent, que l’on justifie au nom d’un “double langage” d’orwellienne mémoire: “La guerre, c’est la paix”.
La base principale, où l’on développe le Projet HAARP, se situe dans une vaste zone à Gakona en Alaska. Sur ce terrain, 180 pylônes d’aluminium, hauts de 23 m, ont été installés. Sur chacun de ces pylônes, nous trouvons deux antennes, l’une pour les basses fréquences, l’autre pour les hautes fréquences. Cette dernière est en mesure de transmettre des ondes de hautes fréquences jusqu’à une distance de 350 km. Ces ondes peuvent être dirigées vers des zones stratégiques pour la planète, que ce soit sur le sol ou dans l’atmosphère.
Comme on peut l’imaginer, toute l’opération se mène au nom de nobles objectifs: il s’agit d’études universitaires sur l’ionosphère et de développer de nouvelles techniques radar, qui permettront, à terme, d’accélérer les communications avec les sous-marins et de rendre possibles des radiographies de terrain, afin de déceler la présence d’armes ou d’équipements, jusqu’à des dizaines de kilomètres de profondeur. Pour confirmer cette vocation pacifique, le projet a mis un site en ligne qui nous donne l’image d’une station scientifique bien innocente, visibilisée par une quantité de “webcams”.
Mais la réalité, comme d’habitude, il faut aller la rechercher en dessous de la surface.
De Tesla à Eastlund
Dans les années 80, Bernard J. Eastlund, un physicien texan attaché au MIT de Boston, s’est inspiré des découvertes de Nikola Tesla, qui avait enregistré aux Etats-Unis le brevet n°4.686.605, dénommé “Méthode et équipement pour modifier une région de l’atmosphère, de la magnetosphère et de l’ionosphère terrestres”. Tesla avait ensuite déposé onze autres brevets. Dans l’un d’eux, il décrivait la propriété réflexive de l’ionosphère, qu’il convenait d’utiliser comme “systèmes de rayons énergétiques”, capables de “produire des explosions nucléaires graduelles sans radiations”, ainsi que des “systèmes de détection et de destruction de missiles nucléaires” et des “systèmes de radars spatiaux”.
L’ARCO a acquis certaines de ces inventions. L’ARCO est propriétaire de vastes réserves de gaz naturel en Alaska, qui peuvent être converties en énergie électrique redistribuable via l’ionosphère à tous les clients dans le monde: la vision de Tesla, qui voulait distribuer l’énergie sans fil et gratuitement à tous les foyers de la Terre, a donc été partiellement réalisée, mais viciée dans son principe généreux par de solides intérêts économiques.
En outre, ces inventions font qu’il devient possible de manipuler le climat, c’est-à-dire de créer de la pluie quand cela s’avère nécessaire pour l’agriculture ou de neutraliser des phénomènes destructeurs comme des tornades ou des ouragans.
C’est à ce niveau-ci que le gouvernement américain est entré dans le jeu, rendant l’histoire plus compliquée.
Tous les brevets d’Eastlund ont d’abord été mis sous scellés, à la suite d’un ordre ultra-secret, pour être ensuite transmis à la “E-Systems”, une des principales entreprises qui fournit des technologies avancées aux services secrets de grandes puissances du monde. Cette entreprise a ensuite été absorbée par Raytheon, l’une des quatre grandes entreprises fournissant du matériel à la défense américaine. Elle produit notamment les missiles Tomahawk et Stinger (dont la plupart ont fini entre les mains de pays classés dans l’Axe du Mal ou de groupes terroristes), ainsi que les fameux “Bunker Busters”. Les connexions, qui unissent ces firmes au pouvoir, passent toutes par la personne de Richard Armitage, aujourd’hui vice-ministre des Affaires Etrangères au sein de l’Administration Bush. Armitage, qui était déjà “consultant”, est membre du conseil d’administration, détenteur de signature et “supporter” convaincu de la PNAC, impliquée dans de nombreuses opérations de la CIA, depuis l’époque de la Guerre du Vietnam à aujourd’hui.
Sur base des découvertes d’Eastlund, c’est lui qui orienterait le potentiel du Projet HAARP en direction d’un point spécifique de l’ionosphère, afin de la réchauffer jusqu’à ce qu’elle s’élève physiquement, de manière à créer un gonflement hautement réfléchissant, qu’il définit comme un “effet lent”. Le but est d’acheminer les rayons vers la Terre en leur procurant des effets dévastateurs: la puissance de telles ondes serait telle qu’elle provoquerait des modifications de dimensions moléculaires au sein de l’atmosphère, causant —suite aux diverses fréquences— des modifications climatiques ou la désagrégation des processus mentaux de l’homme, voire, aussi, des effets sur les mouvements tectoniques de magnitudes encore imprécisées.
Des stratégies globales
Les événements géopolitiques actuels étaient prévisibles depuis de nombreuses années: il suffisait de lire certains livres prophétiques comme “Le Grand échiquier” de Zbignew Brzezinski, paru en 1997, ou les textes programmatiques de la PNAC (“Project for a New American Century”), parus la même année.
Nous pourrions deviner l’avenir aujourd’hui aussi, si nous lisions plus attentivement les écrits et les déclarations de penseurs influents et de personnalités militaires haut placées, qui évoquent un futur relativement proche.
Le même Brzezinski, conseiller en matières de sécurité au temps de Carter, écrivait déjà en 1970, dans son livre “Entre deux époques”: “La technologie va rendre disponibles, aux leaders des principales nations, des moyens pour conduire des opérations de guerre secrète, qui exigeront seulement la mise sur pied de forces de sécurité très réduites [...]. Il s’agit de techniques capables de modifier le climat afin de provoquer des périodes longues de sécheresse ou de tempête”.
Brzezinski fait référence, à cette époque-là, aux armes rudimentaires qui existaient déjà, résultats des premières études sur le développement de la guerre climatique. Songeons, dans ce cadre, au Projet Popeye, visant à étendre la saison des moussons au Vietnam.
Le document le plus intéressant est une étude rédigée par sept officiers de l’armée américaine en août 1996 et qui porte pour titre “Le climat comme démultiplicateur de puissance: le contrôler avant 2025”. Cette étude a vu le jour à la suite d’une directive émise par la Commandement des forces aériennes américaines et visait à stimuler un débat intellectuel au sein de l’armée, pour affirmer finalement : “En 2025, les forces aéro-spatiales des Etats-Unis pourront contrôler le climat, si elles parviennent, dès aujourd’hui, à cumuler les nouvelles technologies et à les développer dans la perspective de les utiliser en cas de guerre [...]. Il s’agira d’améliorer les conditions en cas d’opérations menées par des alliés ou d’annuller les effets de celles menées par l’ennemi, au moyen de scénarios climatiques faits “sur mesure”. Enfin, il s’agira de se donner les moyens de dominer complètement, à l’échelle globale, l’ensemble des moyens de communications et de l’espace; les modifications climatiques offriront aux combattants une vaste gamme de moyens possibles pour battre ou soumettre l’adversaire”.
Ces projets ont été confirmés par une étude ultérieure, qui date de 2003. Celle-ci porte pour titre: “Maîtriser l’ultime champ de bataille: les prochaines avancées dans l’utilisation militaire de l’espace”. Elle est l’oeuvre du “Project Air Force” de la Rand Corporation, une “boîte à penser” liée aux lobbies du pétrole et de l’armement, dont l’un des administrateurs fut Donald Rumsfeld et l’un des conseillers-administrateurs Lewis Libbey, membre fondateur de la PNAC, actuel directeur du personnel de Dick Cheney.
Le concept qui est à la base de ce rapport est celui de “Full Spectrum Dominance”. Ce qui revient à dire: une politique d’investissements militaires exceptionnels, visant la conquête de l’espace et le maintien dans l’espace d’une position de supériorité, sinon de contrôle absolu. Cette position de supoériorité obligerait donc ceux qui veulent en découdre avec l’ “Empire” de le faire pas terre ou par mer. Sur ce chapitre, les paroles prononcées par Joseph W. Ashby, le Commandant en chef du “Spatial Command” américain sont significatives: “Certaines personnes n’aiment pas en entendre parler, mais, en termes absolus, nous serons bientôt capables de combattre dans l’espace. Plus précisément: nous combattrons dans l’espace et depuis l’espace. Un jour, nous frapperons des objectifs terrestres, des navires, des avions ou des objectifs situés sur la terre ferme, tout cela depuis l’espace”.
Le 22 février 2004, le journal “The Observer” a publié un rapport “secret”, réclamé préalablement par Andrew Marshall, un conseiller influent de Rumsfeld, et échappé du Pentagone. La conclusion de ce rapport était la suivante: “Un brusque changement climatique conduira à une catastrophe globale de proportions gigantesques, avec une guerre nucléaire et des désastres naturels, condamnant des nations entières à la disparition sous les eaux des océans; les rares survivants lutteront pour les ressources raréfiées, soit les céréales, l’eau et l’énergie”.
On peut s’imaginer qu’il s’agit là de la description d’un futur fort lointain, tel qu’on le met en scène dans un film d’Hollywood; pourtant, en 2006 déjà, le lancement dans la stratosphère du “Falcon” aura lieu; c’est un drone armé de têtes nucléaires capable de voler à douze fois la vitesse du son, virtuellement inattaquable; des développements ultérieurs le rendront capable de frapper de manière ubiquitaire, à partir du territoire des Etats-Unis.
En 2006 aussi, ce sera l’année où le Projet HAARP se verra doter de ses derniers transmetteurs prévus, portant l’ensemble du système à sa puissance maximale. Est-ce toujours bien dans le but annoncé, celui d’aider l’agriculture dans le monde?
La communauté scientifique
Nombreuses sont les voix qui protestent face à ces folies et ces projets destructeurs. Parmi elles, celle d’une scientifiques de réputation internationale, Rosalie Bertell, qui dénonce “les scientifiques militaires américains qui travaillent sur des systèmes climatiques comme armes potentielles. Les méthodes qu’ils tentent de mettre au point comprennent l’accroissement des tempêtes et le déviement des flux de vapeur de l’atmosphère terrestre afin de produire des sécheresses et des inondations voulues”. Richard Williams, physicien et consultant auprès de l’Université de Princeton, dit que “les tests visant la surchauffe de l’ionosphère constituent autant d’actes irresponsables, relevant d’un vandalisme global [...]. Le Projet HAARP pourrait constituer un danger sérieux pour l’atmosphère terrestre. Avec des expérimentations de ce type, on apportera des dommages irréparables en peu de temps”.
Certains chercheurs soupçonnent d’ores et déjà que quelques modifications climatiques actuelles, bien observables, telles des séismes, des ouragans, des raz-de-marée ou des sécheresses persistantes, proviennent de ces expérimentations à buts militaires.
La Russie
Le Parlement russe, la Douma, a émis un communiqué en 2002, signé par 188 députés, où il était écrit: “Sous le couvert du Programme HAARP, les Etats-Unis sont en train de créer de nouvelles armes géophysiques intégrales, qui pourront influencer les éléments naturels par le biais d’ondes radio de haute fréquence. La signification de ce saut technologique est comparable au passage historique des armes blanches aux armes à feu, ou des armes conventionnelles aux armes nucléaires”. Quelques scientifiques craignent que l’ionosphère pourrait imploser sous l’effet de déséquilibres électriques. Leurs conclusions: “Pouvons-nous en vérité risquer d’altérer quelque chose que nous ne comprenons pas du tout, et qui appartient à toutes les formes de vie (et non pas seulement de la vie humaine) présentes sur cette planète?”.
Récemment, le Président russe Vladimir Poutine a annoncé avoir développé un nouveau type de missile balistique télécommandé, capable de changer de trajectoire au cours de son voyage, rendant du coup complètement inutile les systèmes de défense inclus dans le fameux “bouclier spatial”: est-ce un bluff ou non? Quoi qu’il en soit, il est certain que les projets militaires des Etats-Unis, mis au point au cours de ces dernières années, ont généré une nouvelle course aux armements, sans précédent dans l’histoire, qu’il conviendrait de ralentir et de réguler. Mais ce projet de modérer les effets pervers de cette nouvelle course aux armements est systématiquement freiné et saboté par l’unique super-puissance restante qui s’est arrogé le droit de juger l’accumulation d’armements, non pas au nom d’intérêts globaux, mais au nom de ses seuls intérêts propres. Les accumulations américaines sont donc, dans cette optique, au service du “Bien”, tandis que les autres ne sont que l’expression d’une indicible méchanceté, celle de l’ “Axe du Mal”. Dans de telles conditions, nous avons sous les yeux les prémisses d’une nouvelle guerre froide de dimensions globales.
Quant à la Russie, elle a, elle aussi, mis en avant certains projets basés sur les découvertes de Tesla de la fin des années 50, développant de la sorte une recherche parallèle à celle des Etats-Unis, sauf qu’elle s’avère plus lente vu la faiblesse économique terrible de la Russie actuelle. Qui sait si Emmanuel Todd, le chercheur français qui avait prédit la fin de l’empire soviétique dès 1976, dans “La chute finale. Essai sur la décomposition de la sphère soviétique” (R. Laffont), n’a pas raison une fois de plus quand il décèle, dans ses nouvelles analyses, les mêmes indicateurs, notamment dans son livre de 2003, “Après l’Empire. Essai sur la décomposition du système américain” (Gallimard), où il annonce la déliquescence de l’ultime super-puissance. Pour l’heure, la Chine se tait. Comme l’affirmait Bertold Brecht: “La science, quand elle est au service du pouvoir, n’apporte que des malheurs à l’humanité entière”.
Roberto TOSO.
Article trouvé sur : http://www.luogocomune.net ; sources: New York Times, Heart Island Journal, BBC, Canadian Working TV, Earthpulse Press, autres. Cet article a été reproduit par le quotidien romain “Rinascita”, 11 janvier 2005.
00:05 Publié dans Défense | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : climat, guerre climatique, haarp, etats-unis | | del.icio.us | | Digg | Facebook