mercredi, 08 mai 2013
L’Ue resta alla mercé delle agenzie di rating americane
L’Ue resta alla mercé delle agenzie di rating americane
Non riesce la strategia di rompere il monopolio delle agenzie private statunitensi. Dopo molti tentativi la società di consulenza Berger getta la spugna e i tecnocrati europei non favellano
Andrea Perrone
Fallisce il disegno europeo di rompere il monopolio delle agenzie di rating statunitensi. L’intenzione di lanciare un’agenzia indipendente tutta europea non ha avuto seguito per non aver suscitato l’interesse sperato nel mondo delle imprese. Dopo tre anni di sforzi, ha dichiarato il suo cofondatore si è rinunciato ai piani, come si evince da un’intervista pubblicata dal quotidiano tedesco Handelsblatt. “Non c’erano abbastanza investitori”, ha commentato nel corso di una serie di domande il quarantanovenne Markus Krall (nella foto), ex partner tedesco della società di consulenza Roland Berger e ipotetico presidente della naufragata – ancor prima di nascere – agenzia di rating europea.
La società Berger aveva previsto di contribuire a lanciare l’impresa attraverso una ricerca di ben 30 investitori per creare una fondazione con circa 300 milioni di euro di capitale iniziale. I progetti di Krall avevano immaginato un’agenzia in grado di competere alla pari con le statunitensi Standard&Poor’s, Moody’s e Fitch. Tutte e tre le agenzie statunitensi agiscono a scopo di lucro per i loro clienti e per questo Krall aveva tentato di sfidarle nel tentativo di creare un’agenzia di rating Ue sul modello di una Fondazione, affinché contrastasse attivamente e positivamente lo strapotere delle tre Parche della finanza apolide e cosmopolita al servizio dell’usura internazionale, che elevano o affossano Stati e istituti di credito a loro piacimento. Gli investitori, mutuatari, e le amministrazioni pubbliche utilizzano i rapporti di agenzia per contribuire a rendere decisioni di investimento e finanziarie. Tuttavia non va dimenticato il dominio a livello globale dell’impero a stelle e strisce non soltanto politico-militare, ma come conseguenza di questo anche economico fondato sulla potenza del biglietto verde. Le agenzie statunitensi infatti dominano infatti il 95 per cento del mercato globale che ancora usa come moneta di riferimento per il peso a livello globale il dollaro Usa. Tutte e tre hanno subito delle dure critiche in passato per il modo in cui non hanno saputo valutare gli inizi della crisi finanziaria nel 2008. Standard&Poor’s e Moody’s ha avuto una serie di cause legali stabilirono con l’Abu Dhabi Commercial Bank e la King County di Washington, nei giorni scorsi accettando di pagare dei crediti con l’accusa di aver truffato degli investitori poco prima della crisi immobiliare statunitense, come ha riportato il quotidiano della City, Financial Times. Standard&Poor’s ha precisato che l’insediamento non è un’ammissione di colpa. Il dipartimento di Giustizia degli Stati Uniti è stato anche citato in giudizio da Standard&’sPoor’s per una somma pari a 5 miliardi di euro per aver preteso la concessione di rating migliori sui mutui subprime sulle grandi spese pur conoscendo i pericoli insiti nella loro natura finanziaria. E così i Signori del danaro, i banksters, quelli che speculano ignobilmente sulle miserie dei popoli riescono sempre a farla franca, grazie naturalmente al sostegno palese o velato dei politicanti di tutto il mondo, come dei tecnocrati di Bruxelles e Strasburgo.
Nel gennaio di quest’anno, infatti, l’Europarlamento ha votato nuove regole su quando e come le agenzie di rating possono votare i debiti dello Stato e allo stesso tempo valutare la salute finanziaria delle aziende private. Le nuove regole – affermano gli eurocrati – permetteranno agli investitori privati di citare in giudizio le agenzie per eventuali negligenze, omissioni o attacchi indiscriminati. In più si è posto anche un limite alla partecipazione di un’agenzia di rating nelle aziende valutate, per evitare conflitti di interessi e quindi di valutazione. “Le nuove regole contribuiranno ad una maggiore concorrenza nel settore del rating dominato da pochi operatori di mercato”, ha osservato con poca verve il commissario Ue al Mercato interno Michel Barnier, in linea con il voto espresso dall’Assemblea di Strasburgo. Insomma gli eurocrati sono soddisfatti dell’insuccesso, che lascia lo stesso libertà di movimento in favore dell’usura internazionale alle agenzie di rating made in Usa. I tecnocrati preferiscono lo status quo per restare legati mani e piedi a Signori del danaro, quelli che speculano ignobilmente sui prestiti ad usura, così come all’impero a stelle e strisce, che laddove non arriva a conquistare nuovi mercati causando la povertà con l’oppressione del dollaro, giunge nei luoghi prefissati con i cacciabombardieri a portare la morte.
03 Maggio 2013 12:00:00 - http://rinascita.eu/index.php?action=news&id=20688
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Dans l’Hexagone de François Hollande
Dans l’Hexagone de François Hollande
par Georges FELTIN-TRACOL
Dans l’Hexagone de François Hollande, il ne fait pas bon être opposant. Ce triste constat se vérifiait déjà au temps de l’atlantiste Nicolas Sarközy. À cette époque oubliée par quelques demeurés droitards sans cervelle, ni mémoire, désormais fans d’une véritable imposture appelée la « Droite forte », C.R.S. et gendarmes arrêtaient avec une violence certaine les manifestants hostiles aux pièces de théâtre blasphématoires, en particulier la pièce de Romeo Castellucci, Sur le concept du visage du fils de Dieu. Des manifestants courageux tentèrent d’interrompre certaines représentations et se firent arrêter. Prévenus d’entraves de manière concertée à la liberté d’expression, par voies de fait, destruction ou dégradation et violence, ces victimes du politiquement correct risquent d’après l’article 431 – 1 du Code pénal 45 000 € d’amende et trois ans d’emprisonnement. Qu’en pensent Amnesty International, la Ligue internationale des droits de l’homme et Human Rights Watch si prompts en général à dénoncer les législations iranienne, russe et bélarussienne ?
Pigiste à l’hebdomadaire bourgeois mondialiste Charlie Hebdo, Sigolène Vinson rapporte que « leur action se doublait d’actes subversifs constituant à balancer des poules puantes ou à souffler dans des sifflets à roulette (1) ». De vrais actes terroristes… « À l’audience, la présidente rappelle les termes de la commission rogatoire, faisant état de propos tenus par les manifestants : “ Le Seigneur vous pardonne ” “ Allez au diable ”, etc. (2) ». De pareils mots bafouent vraiment la sacro-sainte (sic !) laïcité républicaine et la dignité de policiers guère habitués à de telles « injures » probablement plus scandaleuses que les insultes proférées par la racaille des banlieues de l’immigration…
Ce « deux poids deux mesures » est une caractéristique constante de la part des pseudo-autorités ripoublicaines. Alors que quatre militants de Génération Identitaire pâtissent de conditions draconiennes inacceptables de contrôle judiciaire parce qu’ils ont osé organiser l’occupation pacifique du chantier de la future grande mosquée de Poitiers, les FemHaine qui investissent, seins nus, la nef de Notre-Dame de Paris, beuglent leur joie à l’abdication de Benoît XVI et saccagent les nouvelles cloches, n’ont qu’un simple contrôle d’identité…
Ces faits ne sont pas isolés; ils se répandent plutôt. Le 18 octobre 2012, le président d’Entraide-Solidarité, François Maris, fut placé en garde à vue pendant dix-sept heures. Pourquoi ? Parce qu’il défendait un couple de harkis à Gorniès dans l’Hérault. Les gendarmes l’accusèrent d’« installation en réunion sans autorisation d’un mobil-home » (un délit puni de six mois de prison !), et de… « génocide » ! Vite conscients de l’absurdité des accusations, les pandores enquêtèrent alors sur le « vol d’une banderole » ! Puis, comprenant que l’objet du délit avait été récupéré dans une décharge, ces Sherlock Holmes de bas-étage retinrent finalement une banale « installation d’une habitation légère en un lieu non autorisé».
Le Régime aime terroriser. Outre des pressions psychologiques et sociales sur l’entourage de ses proies, il n’hésite pas à instrumentaliser le fisc contre ceux qui lui tiennent tête. Suite à un redressement fiscal, l’humoriste Dieudonné a été condamné à une amende d’un million d’euros. On cherche ainsi à museler les grandes gueules. À leur faire peur aussi. Le 18 novembre 2012, les FemHaine agressaient les paisibles manifestants de Civitas qui, voyant l’inaction des policiers, réagirent avec vigueur. Or, raconte Aurélien, l’une des victimes de ces hystériques, « le mercredi 28 novembre à six heures précise, j’ai été réveillé par les forces de l’ordre (le S.I.T. [Service d'investigation transversale, une unité de la police nationale hexagonale chargée des enquêtes pour motif politique] plus précisément) qui m’ont menotté dans mon lit, une arme à feu braquée sur ma tempe. J’ai ensuite fait quarante-huit heures de garde à vue et quinze heures de dépôt (une sorte de prison sous le tribunal de Paris) et je suis désormais sous contrôle judiciaire avec interdiction de sortir du territoire Français, et l’obligation de pointer tous les quinze jours au commissariat de ma ville, tant que le jugement ne sera pas rendu. J’ai un travail, je n’avais pas de casier judiciaire, j’ai été traité comme un terroriste, alors que c’est nous qui avons été agressés ! Il y a eu quatre autres interpellés ce même jour… […] Nous risquons 45 000 € d’amende et trois ans de prison, sans compter les dommages et intérêts (3) ».
L’action policière contre des personnes solvables et honnêtes a atteint son point culminant au moment des démonstrations de force de la « Manif pour tous ». Suite à des manœuvres provocatrices d’agents infiltrés parmi les manifestants, le 24 mars 2013, des enfants ont été gazés par les lacrymogènes des forces du « désordre » établi ! Conditionné à s’élever à la seconde près contre les soi-disant violences policières à l’Est ou ailleurs dans le monde, le Parlement européen, cette pétaudière inutile, a gardé un silence éloquent et n’a nullement protesté contre la centaine d’interpellations et les six gardes à vue ! La République a maintenant ses prisonniers politiques.
Quant aux prisonniers d’opinion, après l’historien dissident Vincent Reynouard, voici le président de l’Œuvre française, Yvan Benedetti, et le responsable des Jeunesses nationalistes, Alexandre Gabriac, d’être poursuivis pour des motifs futiles par une justice devenue par enchantement d’une rare intransigeance. Incapables d’empêcher les « nouvelles attaques de diligence » dans le R.E.R. D en Île-de-France ou des T.E.R. en Provence – Alpes – Côte d’Azur ou l’épidémie de kalachnikovite aiguë dans les quartiers marseillais, le Pouvoir préfère réprimer les « factieux ». Il faut dire que les risques sont souvent bien moindres face aux familles, aux jeunes gens sympathiques et aux « veilleurs » que devant la voyoucratie des banlieues lourdement armée.
Les responsables du désordre public légal ont en effet reçu des consignes précises, iniques et grotesques. Le 1er avril dernier, venu depuis l’Aisne pour passer quelques jours dans la capitale avec son épouse et leurs six enfants, Franck Talleu est arrêté par les agents du parc du Luxembourg, conduit une heure au poste et poursuivi par le ministère public. Qu’a donc commis cet honorable père de famille ? A-t-il agressé une personne âgée qui promenait son chien sous le contrôle vigilant des pervenches des caniveaux ? Entraîné ses enfants dans une salle de shoot ou bien payé son séjour parisien grâce au compte singapourien de Jérôme Cahuzac ? Non, Franck Talleu a fait pire. Il portait, ce jour-là, un maillot de corps sans slogan, ni inscription, de la « Manif pour tous ». Il a d’abord été verbalisé pour « port d’une tenue contraire aux bonnes mœurs ». On hallucine ! Voilà pourquoi la Gay Pride ne passe jamais par ces jardins… Devant l’énormité du motif, le procès-verbal a ensuite été modifié (4). Fort de ce précédent incroyable, les gendarmes ont ensuite réprimé une douzaine de personnes au même endroit pour le port de maillots semblables. « Interpellés, emmenés au poste, écrit Delphine de Mallevoüe, certains ont été fouillés et ont subi un interrogatoire de une à deux heures, avant de recevoir un P.V. [pour] organisation d’une manifestation ludique sans autorisation spéciale [ou] gêne à la tranquillité des promeneurs par affichage ostentatoire d’éléments relatifs à une manifestation interdite (5) ». Ces zélés fonctionnaires auraient-ils ainsi agi devant les solides gaillards des Jeunesses nationalistes, de Génération Identitaire, du Renouveau français ou du G.U.D. ?
Une telle entrave à la liberté d’expression réelle (on n’est pas dans un théâtre subventionné !) est somme tout cohérente venant d’un Système mortifère qui proscrit le voile intégral musulman. La police du vêtement et des tenues va de pair avec le flicage de la pensée. La peste du politiquement correct contamine tout. En raison d’un risque supposé de troubles à l’ordre public (toujours la même rengaine), la journée régionale de Synthèse nationale dans le Nord a été interdite, Synthèse nationale devant même payer un millier d’euros au maire U.M.P. de Marcq-en-Barœul. Fort heureusement, l’équipe nordiste a pu trouver une autre salle, ailleurs, et la réunion prévue du 28 avril s’est bien tenue. Elle a été un succès. Le fait est révélateur qu’il est maintenant difficile pour les résistants au Nouvel Ordre mondial d’organiser des réunions publiques et de trouver des salles.
Sous le prétexte fallacieux de maintenir la « légalité républicaine », le Régime entend frapper fort afin de contenir, voire d’étouffer, tout mouvement protestataire durable. Dans la nuit du 14 au 15 avril, soixante-sept « campeurs illégaux », les « veilleurs », âgés de 18 à 25 ans, ont été raflés et placés en garde à vue. Stéphane Kovacs évoque des gardes à vue de quarante-quatre heures ! Outre « la fouille – intégrale -, la prise d’empreintes, les photos de face et de profil, “ comme des criminels ” (6) », ces nouveaux prisonniers politiques « ont dû se soumettre à des tests A.D.N. et seront inscrits au fichier (7) ». Or le fichage génétique ne concernait à l’origine que les affaires de terrorisme et les crimes sexuels. « La Manif pour tous n’est pas du tout appréciée en haut lieu… » avance Amicie, une étudiante de 25 ans interpellée qui a eu droit à une confidence de policier (8). Sur la même place près du Palais-Bourbon se tiennent régulièrement des manifestations d’étrangers clandestins sous l’œil placide des policiers. « Les délinquants sont ici ceux qui ont le front de s’opposer au Pouvoir pour des raisons de conviction », écrit la philosophe Chantal Delsol (9). Taubira adore tellement les délinquants qu’elle en crée de nouveaux…
Les exactions policières témoignent de l’étroite connivence de l’appareil d’État aux mains de l’hyper-classe mondialiste avec les racailles allogènes des banlieues annoncée en son temps par Éric Werner qui voit son hypothèse validée. La protection des sites officiels implique pour l’heure « moins de sécurisation des cités et plus de mission pour protéger les palais nationaux (10) », affirme un officier des forces mobiles.
Un an après l’élection du « capitaine de pédalo (heureuse expression de Jean-Luc Mélenchon) » « Flamby le Pépère », une ambiance de fin de règne s’installe dans la population. Des comités de hués de ministres se lèvent partout dans le pays. Certes, les conditions de 1992 quand les membres du gouvernement socialiste ne pouvaient plus circuler ne sont pas encore réunies. En outre, parier sur une convergence des luttes entre les opposants de l’Ayraultport à Notre-Dame des Landes, la colère sociale incitée par la fermeture massive d’entreprises et l’Accord national interprofessionnel (A.N.I.) qui nie les droits des salariés, et le combat sociétal contre le mensonger « Mariage pour tous » relève de l’impossibilité tactique, faute d’investissements militants tangibles dans le syndicalisme et l’action écolo-agricole. Les tensions actuelles traduisent néanmoins un ras-le-bol patent du pays réel. Son réveil pourrait à terme provoquer un anti-Mai 68 ou un contre-4 Septembre 1870. On comprend que pour les hiérarques faillis du Pouvoir, la répression, c’est maintenant !
Georges Feltin-Tracol
Notes
1 : dans Charlie Hebdo, 6 février 2013.
2 : Idem.
3 : entretien d’Aurélien avec Laurent Bayard, La Voix de la Russie, 13 décembre 2012.
4 : La contravention porte sur « organisation d’une manifestation ludique dans le jardin du Luxembourg sans autorisation spéciale », dans Emmanuel Ratier, Faits & Documents, du 15 au 30 avril 2013, p. 9.
5 : dans Le Figaro, 9 avril 2013.
6 : Stéphane Kovacs, dans Le Figaro, 24 avril 2013.
7 : Stéphane Kovacs et Jean-Marc Leclerc, dans Le Figaro, 16 avril 2013.
8 : Stéphane Kovacs, dans Le Figaro, 24 avril 2013.
9 : dans Le Figaro, 25 avril 2013.
10 : cité par Jean-Marc Leclerc, dans Le Figaro, 16 avril 2013.
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Schweiz und Russland verbindet eine lange Geschichte
Schweiz und Russland verbindet eine lange Geschichte
thk. Die Beziehungen zwischen der Schweiz und dem riesigen russischen Reich bzw. der Russischen Föderation haben eine lange und bewegte Geschichte. Während Jahrhunderten gab es einen regen Austausch zwischen beiden Staaten, sowohl auf offizieller als auch auf privater Ebene. Das geht zurück bis in die Zeit Peters des Grossen. Damals entstanden erste Ausländervorstädte in Moskau, die auch von Schweizern, vor allem Handwerkern und Offizieren, als neue «Heimat» gewählt worden waren. Das Buch «Käser, Künstler, Kommunisten», herausgegeben von Eva Maeder und Peter Niederhäuser, berichtet über das interessante Kapitel schweizerisch-russischer Beziehungen.1 Berühmtheit erlangte der Genfer Francois Lefort, der ein Vertrauter Peters des Grossen wurde und es bis zum General und ersten Admiral der russischen Geschichte brachte.2 Aber auch weniger berühmte Schweizer versuchten ihr Glück in den russischen Weiten und sorgten so für einen Austausch zwischen den Kulturen. Letztlich kam der vorzügliche Tilsiter Käse ursprünglich aus der Schweiz. Ausgewanderte Schweizer Käser stellten diese Käsesorte in Tilsit her, und interessierte Berufskollegen vor Ort lernten die schweizerische Verkäsungskunst. So wurde der Tilsiter geboren, dessen Name wieder zurück in die Schweiz importiert wurde und sich bei uns grösster Beliebtheit erfreut.
Im Bereich der Architektur haben Schweizer offensichtlich bis heute sichtbare Spuren hinterlassen. Der Tessiner Architekt Luigi Fontana wanderte im jungen Alter von 21 Jahren im Jahre 1845 nach Petersburg aus. Hier stellte er seine grossen Fähigkeiten unter Beweis und bekam den Titel eines «kaiserlichen Architekten» verliehen. Er erschuf sowohl öffentliche Bauten, wie zum Beispiel das grosse dramatische Theater «Towstonogow», das ursprünglich «kleines kaiserliches Theater» hiess und am rechten Ufer der Fontanka liegt, als auch neben Ausstellungs- und Handelshäusern ganz «einfache» Wohnhäuser.
Russen in der Schweiz
Ungefähr 25 000 Schweizer wanderten nach Russland aus. Es zog aber nicht nur Schweizer nach Russland, sondern auch Russen lockte es in die kleine, aber nicht minder attraktive Schweiz. Bereits 1667 nehmen die Republik Genf und die Moskauer Kanzlei für auswärtige Angelegenheiten offizielle Beziehungen auf. Zar Iwan V. tauschte mit der Genfer Regierung offizielle Gesandte aus. Das interessante Werk von Michail Schischkin, «Die russische Schweiz»3, berichtet über die Beziehungen von Russen zur Schweiz. Im 17. und 18. Jahrhundert, so schreibt Schischkin, war es die hohe Gesellschaft, die besonders Genf wegen seiner ausgezeichneten Akademie grosse Beachtung schenkte, «die strengen Sitten der Stadt Calvins, der hohe Wissenstand der Professoren und die Verständlichkeit der Sprache» waren triftige Gründe für die russische Aristokratie, Genf als einen wichtigen Bestimmungsort wahrzunehmen. So galt Genf lange als das Zentrum russischer Immigranten. Als sicherer Hort erwies sich die Schweiz und insbesondere Genf, als gegen Ende des 19. Jahrhunderts das zaristische Russland gegen die politische Opposition und die Aktivitäten der sogenannten russischen Sozialrevolutionäre vorging.
Der russische General Suworow will Napoleon aus der Schweiz vertreiben
Nahezu hundert Jahre vorher, im Zuge der Napoleonischen Kriege, wird die Schweiz zum Schauplatz militärischer Auseinandersetzungen. 1798 besetzte Napoleons General André Masséna die Schweiz. Paris zwingt den Schweizern die Helvetische Republik auf; die alte Eidgenossenschaft bricht zusammen.
Napoleon hatte daraufhin Österreich, das mit Russland und England verbündet war, den Krieg erklärt. Die monarchischen Länder beschliessen eine gemeinsame Offensive gegen Frankreich. Im Jahre 1799 tobt die Schlacht in der Schweiz, in deren Zuge der russische General Suworow eine wichtige Rolle spielt, auch wenn es nicht gelingt, die Franzosen entscheidend zu schlagen und aus der Schweiz zu vertreiben. Unter grossen Verlusten muss sich die antinapoleonische Koalition zurückziehen. Mit der Neuordnung Europas auf dem Wiener Kongress 1814/15 nach der endgültigen Niederlage Napoleons erhält die Eidgenossenschaft ihre volle Souveränität zurück. Auch wenn Napoleon der Schweiz schon 1803 den Rücken zugekehrt hatte, stand das Land bis 1813 noch in direkter Abhängigkeit zu ihm. Der Wiener Kongress bringt die ersehnte Wende.
Russischer Zar stützt Schweizer Neutralität
Es war auch Zar Alexander II., der sich auf dem Wiener Kongress massgeblich für die völkerrechtliche Anerkennung der Schweizer Neutralität eingesetzt hat, so wie sie der Schweizer Diplomat Charles Pictet de Rochemont eingebracht hatte. Für den Zaren war klar, dass die Schweiz als Kleinstaat zwischen den europäischen Grossmächten wie Frankreich, Italien, Österreich und Preussen nur dann überleben kann, wenn sie den neutralen Status erhält und dieser auch von den umliegenden Grossmächten respektiert wird. Zwar bietet die völkerrechtliche Anerkennung einem neutralen Kleinstaat einen gewissen Schutz, aber den Respekt, im Ernstfall nicht doch angegriffen zu werden, erreicht man nur mit einer schlagkräftigen Armee, sonst sind die Begehrlichkeiten der Grossmächte, wie ein Blick in die Geschichte beweist, nur allzugross. Wohlweislich haben die Gründerväter der modernen Schweiz der Neutralität den Zusatz «bewaffnete» und «immerwährende» gegeben. Nur so konnte das erreicht werden, was der Schweiz seit dieser Zeit gelungen ist, sich aus allen internationalen Kriegen und Konflikten herauszuhalten.
Schweiz bietet Verfolgten Asyl
Die Neutralität der Schweiz und ihr liberaldemokratischer Aufbau machten sowohl im 19. als auch im 20. Jahrhundert das Land zu einem Zufluchtsort politisch Verfolgter aus aller Herren Ländern, besonders aus jenen Ländern, die im 19. Jahrhundert mit aller Härte gegen liberale und demokratische Bewegungen vorgegangen sind und an dem monarchischen System festhalten wollten. Dass die neutrale Schweiz hier einen wichtigen Beitrag zur Demokratisierung Europas geleistet hat und im Grunde genommen immer noch leistet, wird oft viel zuwenig wahrgenommen. So bot die Schweiz auch Kritikern des zaristischen Russland ein sicheres Zuhause.
Dass Wladimir Iljitsch Uljanow, genannt Lenin, der seine April-Thesen in der Zentralbibliothek der Stadt Zürich verfasste, schon längere Zeit in der Schweiz politisches Asyl genossen hatte, zeigt uns, wie konsequent die Schweiz damals ihren Anspruch als neutrales Land umgesetzt hatte.
Besonders Genf blieb das Zentrum der russischen Revolutionäre. Erst mit dem Ausbruch der Oktober-Revolution zog es die russischen Immigranten in ihre Heimat zurück, um am Aufbau Sowjetrusslands teilzunehmen.
Schweiz nimmt 1946 diplomatische Beziehungen mit der Sowjetunion auf
Auch nach dem Zweiten Weltkrieg blieben die Schweiz und Russland (bis 1991 Sowjetunion) im Austausch. So nahm die Schweiz kurz nach dem Zweiten Weltkrieg diplomatische Beziehungen mit Moskau auf und die Sowjetunion mit der Schweiz. Bis heute ist die russische Botschaft in Bern ein wichtiges Bindeglied zwischen der Schweiz und der Russischen Föderation.
Achtung anderer Staaten als gleichwertige Mitglieder der Staatengemeinschaft
Mit der Öffnung und dem Ende des Kalten Krieges wurden die Beziehungen zwischen der Schweiz und Russland immer intensiver. Das hängt unter anderem damit zusammen, dass beide Staaten eine Politik der Unabhängigkeit verfolgen. Die Grundprinzipien der Nichteinmischung in die inneren Angelegenheiten eines anderen Staates, die Achtung anderer Staaten als gleichwertige Mitglieder der Staatengemeinschaft und die Wahrung legitimer Interessen, wie sie von Präsident Putin immer wieder erwähnt und von ihm als Grundlage einer partnerschaftlichen Zusammenarbeit zwischen den Staaten gesehen werden, werden im Grundsatz auch von der Schweiz geteilt und stehen in Übereinstimmung mit der Uno-Charta.
Für die Schweiz als Kleinstaat inmitten einer sich immer dreister gebärdenden EU sind bilaterale Beziehungen zu anderen Staaten von äusserster Wichtigkeit, und vor allem dann auch von grosser Bedeutung, wenn das Interesse auf Gegenseitigkeit beruht.
Der offizielle Besuch des damaligen russischen Präsidenten Dmitri Medwedew, der als erster russischer Staatspräsident im Jahre 2009 die Schweiz bereist, und schon damals die Schweiz als ganz besonderen Partner bezeichnet hat, unterstreicht die Qualität der schweizerisch-russischen Beziehungen.
Wenn der russische Aussenminister Sergej Lawrow in die Schweiz kommt und sich den Fragen der Presse stellt, ist das letztlich Ausdruck einer bilateralen Partnerschaft zwischen zwei Ländern, die, wenn sie in bedeutenden Fragen weiterhin einen Konsens finden, eine gewichtige Stimme in Europa und auch weltweit sein werden. •
1 Eva Maeder, Peter Niederhäuser (Hg.). Käser, Künstler, Kommunisten. Vierzig russisch-schweizerische Lebensgeschichten aus vier Jahrhunderten. ISBN 978-3-0340-0508-1
2 Zeit-Fragen vom 11.12.2011
3 Michail Schischkin. Die russische Schweiz. Ein literarisch-historischer Reiseführer. ISBN 3-85791438-6
Was ist die OSZE?
Die in Wien ansässige Organisation für Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa (OSZE) wurde 1975 als Konferenz für Sicherheit und Zusammenarbeit in Europa (KSZE) gegründet und 1992 als regionale Abmachung im Sinne von Kapitel VIII der Charta der Vereinten Nationen anerkannt. 1994 wurde die KSZE in OSZE umbenannt. Die Schwerpunkte der Tätigkeit der OSZE liegen in der Präventivdiplomatie, der Konfliktverhütung und Krisenbewältigung sowie im Wiederaufbau und der Festigung demokratischer Gesellschaftsstrukturen nach Konflikten. Damit trägt die OSZE aktiv zur Förderung von Demokratie, Menschenrechten und Rechtsstaatlichkeit bei. Im politisch-militärischen Bereich bemüht sie sich durch Herstellung von Offenheit, Transparenz und Berechenbarkeit darum, Spannungen abzubauen, das gegenseitige Vertrauen zu stärken und dadurch zur gegenseitigen Rüstungskontrolle im OSZE-Raum beizutragen. Die OSZE umfasst 57 Teilnehmerstaaten, darunter die Schweiz seit 1975. Nächstes Jahr wird die Schweiz den Vorsitz in der OSZE für ein Jahr übernehmen.
Quelle: www.eda.admin.ch/eda/de/home/topics/intorg/osce.html
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'Alliantie Israël met Arabische Golfstaten, Jordanië en Turkije in de maak'
Ex: http://xandernieuws.punt.nl/
Wordt dit het in de Bijbel voorzegde 'verbond met de dood' dat de laatste eindtijdoorlog zal inluiden?
De ondertekening van de Camp David vredesakkoorden in 1979. Zal dit verbond binnenkort worden 'versterkt' met andere Arabische/islamitische landen?
Volgens een artikel in de Sunday Times probeert het Witte Huis achter de schermen een nieuwe defensie alliantie in het Midden Oosten te vormen waar behalve Israël ook Saudi Arabië, Jordanië, Turkije en de Verenigde Arabische Emiraten aan deel zouden moeten nemen. Het doel van het verbond is om een nucleair bewapend Iran in bedwang te houden, en niet militair te confronteren. Strategie analist Mark Langfan heeft het al over de MEATO, de Middle East Alliance Treaty Organization.
Russia Today bericht dat de Joodse staat samen met de genoemde 'gematigde' Soennitische islamitische staten een front wil vormen om een met kernwapens bewapend Iran in bedwang te houden. Israël en de Arabische landen zouden onder andere informatie van elkaars radar- en antiraketsystemen gaan delen. In het voorstel moet Jordanië beschermd gaan worden door Israëls Arrow lange-afstands afweerraketten.
Diplomaten spreken van een '4+1' voorstel waar de Verenigde Staten een bemiddelende rol in spelen. Een official van het Turkse ministerie van Buitenlandse Zaken verklaarde echter dat het 'manipulatieve bericht niets van doen heeft met de realiteit.'
Midden Oosten versie van de NAVO
Israël en Amerika hebben jarenlang volgehouden dat een nucleair bewapend Iran onacceptabel is. Voormalige hoge Israëlische veiligheidsofficials, waaronder oud Mossad directeur Meir Dagan, verzetten zich echter met hand en tand tegen een militaire aanval op de Iraanse kerninstallaties. Het nieuws zou dan ook een signaal kunnen zijn dat Israël en de VS besloten hebben het -al dan niet toekomstige- bestaan van Iraanse kernwapens te accepteren.
Het is onduidelijk of en wanneer dit bericht bevestigd wordt. Strategie analist Mark Langfan neemt het in ieder geval heel serieus. 'De MEATO is geboren. De Middle East Alliance Treaty Organization is gecreëerd op de puinhopen van de val van (de Egyptische president) Hosni Mubarak.' (1)
Bijbel voorzegt verbond Israël met 'de dood'
We berichtten de laatste maanden al vaker dat er geruchten en aanwijzingen zijn voor een baanbrekend akkoord tussen Israël en diverse islamitische landen. Het is niet ondenkbaar dat ook Egypte hier deel van zal uitmaken. De profeet Jesaja voorzegde duizenden jaren geleden dat zo'n verbond er in de eindtijd inderdaad gaat komen:
'Omdat u zegt: Wij hebben een verbond gesloten met de dood, en met het rijk van de dood zijn wij een verdrag aangegaan, wanneer de alles wegspoelende gesel voorbijtrekt komt hij niet bij ons, want van de leugen hebben wij ons toevluchtsoord gemaakt en in het bedrog hebben wij ons verborgen,... Dan zal uw verbond met de dood tenietgedaan worden, uw verdrag met het rijk van de dood zal geen stand houden. Trekt de alles wegspoelende gesel voorbij, dan zult u door hem afgeranseld worden.' (Jes.28;15+18)
De tot het christendom bekeerde voormalige Palestijnse terrorist Walid Shoebat zegt al jaren dat de uitleg van dit vers duidelijk is: Israël zal (met o.a. Turkije) een vredesverdrag sluiten -mogelijk in Egypte-, een 'verbond met de dood' dat wellicht een bevestiging '('versterking' genoemd door de profeet Daniël) en uitbreiding zal zijn van de bestaande Camp David akkoorden tussen Egypte en Israël en de vrede met Jordanië. Dit nieuwe verdrag zal voor Israël echter op een compleet drama uitlopen:
'Wee jullie, koppige kinderen -spreekt de Heer- die plannen uitvoeren tegen mijn wil (NBG/SV: 'niet van mijn Geest'), verdragen sluiten tegen mijn zin en zo zonde op zonde stapelen; die zonder mij te raadplegen op weg gaan naar Egypte, om te schuilen in de vesting van de farao en bescherming te zoeken in de schaduw van Egypte.' (Jes.30:1-2)
Turken zullen Israël aanvallen
Vanaf het moment dat de Turken Israël zover krijgen een nieuw of versterkt vredesverdrag te sluiten, waarschijnlijk met steun en deelname van Amerika en andere islamitische landen en wellicht ook de EU, zullen er volgens de profeet Daniël slechts 3,5 jaar voorbij gaan voordat de Turken Jeruzalem zullen aanvallen en zullen bezetten. 'Maar dan zal de G-d van Israël de stad (en het volk) redden van deze gesel (het Tweede Paasfeest),' aldus Shoebat.
In zijn visioen (of droom) zag Daniël het laatste wereldrijk, het rijk van de Antichrist: het opnieuw opgerichte Ottomaanse Rijk, het rijk van 'het beest' dat zal herstellen van zijn dodelijk wond, opgelopen in 1917 toen de Turken zonder slag of stoot werden verdreven uit Jeruzalem. Het Tweede Paasfeest, de definitieve verlossing van Israël door de komst van de Messias, zal volgens Shoebat worden ingeluid door de totale vernietiging van dit in de maak zijnde Turks-islamistische imperium.Xander
(1) Arutz 7
Zie ook o.a.:
29-03: Door profeet Daniël voorzegd vredesverdrag met Israël nabij
23-03: Turkse minister BuZa: Wij zullen weer heersen van Sarajevo tot Damascus
21-03: Jordaanse koning waarschuwt het Westen voor Turkse premier Erdogan
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Exposition Tardi - Paris
00:05 Publié dans art, Bandes dessinées, Evénement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : tardi, bandes dessinées, bd, événement, paris, france | | del.icio.us | | Digg | Facebook