J’ai grandi en banlieue parisienne, dans les années 80 et 90. Qu’était le féminisme, pour nous, adolescents du grand remplacement déjà en cours ? Un mot trop récent pour figurer dans nos manuels d’histoire, et pourtant déjà enterré. Les rares fois où je l’ai entendu, c’était par des adultes, et c’était par dérision. Pour eux, le féminisme était un mouvement entaché d’un folklorisme propre aux années 70, comme le groupe Abba ou les pattes d’éph’. Dans les années où je vivais, les femmes avaient le droit de travailler, de faire des études, et celles qu’elles souhaitaient. Elles avaient le droit de se marier ou pas, d’avoir des enfants ou non, et avec qui elles le souhaitaient. Elles avaient le droit de privilégier leur carrière ou de choisir de se consacrer à leur famille. Et tout le monde trouvait cela aussi normal que si cela avait toujours existé. Même si on savait que ce n’était pas le cas. Néanmoins, pas grand-monde n’associait les décisions prises par des responsables politiques pour aboutir à cette égalité, avec l’activisme des femelles hystériques du MLF. Il était connu, par exemple, que le droit de vote avait été octroyé aux femmes en 1945 par le général de Gaulle.
J’entrai dans la vie active, dans la vie « sérieuse », à l’orée des années 2000, et déménageai dans le Val-d’Oise. À l’époque, on commençait à parler des hommes et des femmes, je veux dire des relations qu’ils entretenaient, des différences qui les opposaient, comme d’un sujet problématique et passionnant. C’était l’époque où on se ruait sur le best-seller Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Vénus de John Gray, dont le but était de rapprocher les deux sexes en favorisant leur compréhension mutuelle. Malgré les divorces, malgré la vie moderne et ses inévitables corollaires, les femmes et les hommes continuaient à compter les uns sur les autres, à voir leur avenir ensemble.

Le féminisme était mort, mort et enterré, tout simplement parce que l’égalité des femmes avait été gagnée, et depuis déjà longtemps. On pouvait donc se consacrer à autre chose qu’à ces vieilleries sans intérêt.
Mais cette absence apparente de problème majeur dans les relations entre les sexes, du moins à l’intérieur de la communauté française, représentait sans doute un problème pour certains. Un manque à gagner. Une possibilité de conflit humain qui n’était pas encore exploitée jusqu’à l’envenimer irrémédiablement. Une négligence qu’il fallait corriger. Le Système allait s’en charger.
À l’orée des années 2010, de nouvelles féministes se firent connaître, prétendant continuer la lutte pour un combat qui, disaient-elles, n’était pas encore gagné, malgré l’eau qui avait coulé sous les ponts depuis l’obtention de l’égalité.
Leur grande prêtresse, celle par qui tout s’est enclenché, s’appelle Caroline De Haas (photo). La question de savoir qui est cette intrigante, au cœur d’un système pyramidal et complexe, fait de réseaux et de ramifications qui relient les mondes associatif, commercial et politique, nous parait donc incontournable pour savoir comment a eu lieu cette formidable arnaque, consistant à continuer le match trente ans après le coup de sifflet final.

Sa date et son lieu de naissance ne nous apprennent pas grand-chose, sa jeunesse non plus. Seules comptent son engagement estudiantin à l’UNEF, voie royale pour carriéristes de gauche, et les dix ou quinze dernières années. À partir des années 2010, elle devient l’attachée de presse du porte-parole du Parti socialiste, Benoît Hamon, puis, après l’élection de François Hollande, « conseillère chargée des relations avec les associations et de la lutte contre les violences faites aux femmes ». Les associations féministes, elle connaît, Caroline De Haas, puisqu’elle a été à l’origine de la plus importante de toutes : Oser le féminisme ! en 2009.
En mai 2013, elle quitte le gouvernement. Un mois plus tard, elle se lance dans les affaires, et crée Egaé, une « agence de conseil en égalité professionnelle ».
Dans une sorte de déclaration de principe hallucinante, cet organisme déclare vouloir « percuter l’illusion de l’égalité ». « Le premier frein à la mobilisation d’équipes autour de l’égalité reste “ l’illusion de l’égalité “, ce sentiment partagé par une majorité de la population que les progrès ont été tellement importants ces dernières années que nous serions presque arrivés à l’égalité. »
Vous croyiez que tout allait bien, braves gens ? Que, au milieu de de tout ce désastre économique, identitaire, ethnique, migratoire, sécuritaire, une femme pouvait au moins encore espérer trouver l’amour, le plaisir et l’épanouissement dans ses relations avec l’autre sexe ? Mais heureusement que nous sommes là pour nous vendre nos conseils. Contre des espèces sonnantes et trébuchantes, nous vous expliquerons comment terrasser pour de bon l’infâme, cet homme patriarcal qui continue de vous opprimer alors que vous pensiez naïvement qu’on avait enterré la hache de guerre.
En 2014, Caroline De Haas se présente aux élections européennes en Île-de-France comme tête de liste pour les listes « Féministe pour une Europe solidaire ». Elle obtient 0,29% des voix.

En 2015, par l’intermédiaire d’Egaé, elle crée le site internet Les expertes, moteur de recherche professionnel qui relève d’une sorte de communautarisme féminin. Il est « le premier annuaire gratuit de toutes les femmes expertes françaises et francophones ». Le gouvernement socialiste soutient officiellement le projet par l’intermédiaire de Radio France et de France Télévision.
Les affaires tournent bien, et le malheur des unes fait le bonheur des autresses. Et puis, peu à peu, Caroline dévisse. Elle est obligée de montrer son vrai visage sous la pression de la réalité de l’invasion de l’Europe, et, comme le veut l’expression consacrée, de sortir de l’ambiguïté à son détriment. Des déclarations se succèdent, qui démontrent que son féminisme est, avant toute chose, un racialisme. C’est d’abord l’affaire des agressions sexuelles de masse de Cologne le soir du nouvel an 2016, commises par des migrants arabes. « Ceux qui me disent que les agressions sexuelles en Allemagne sont dues à l’arrivée des migrants : allez déverser votre merde raciste ailleurs », twitte-t-elle.
Alors que François Fillon déclare dans la foulée sur le même média : « Faut-il rappeler aux sauvages qu’en Europe, les femmes ne sont pas des objets qu’on violente et qu’on couvre de noir », la grande « défenseuse » des femmes répond avec fierté « Je viens de signaler le tweet de Français Fillon pour incitation à la haine raciale ».
En 2017, « Caro », de nouveau en grande forme, déclare que, pour lutter contre le harcèlement de rue visant les femmes dans le quartier de la Chapelle-Pajol, commis par le même genre de profil dont parlait Fillon, la meilleure solution est « d’élargir les trottoirs ».
Dans l’entre-deux-tours des présidentielles de 2017, après avoir plaidé sur tous les tons, pendant des années, pour que les femmes accèdent aux postes à responsabilité, elle appelle à voter Emmanuel Macron afin d’empêcher Marine le Pen d’accéder au pouvoir suprême.

Le message est donc clair : il faut maintenir l’immigration, et l’insécurité due à cette immigration, à un niveau maximum. Entre un mâle blanc qui propose de continuer cette politique et une femme qui veut l’arrêter, Caroline choisira toujours le premier. Et sacrifiera les femmes sans aucun état d’âme. Marine le Pen ne deviendra pas la première présidente de la Ve République et les filles continueront à se faire traiter de pute dans la rue, mais un ingénieur raté ne sera pas expulsé et le médecin malgré lui aura sa remise de peine. Et ça, c’est quand même l’essentiel.
Mais foin de polémiques ! Et faisons le bilan. Car il est bel et bien temps, après huit ans de féminisme gouvernemental et associatif hollando-macroniste, sous la férule de Najat Vallaud-Belkacem et Marlène Schiappa. Et un bilan chiffré.
Parlons des familles monoparentales, par exemple, dont l’immense majorité (90 %) partage son quotidien avec la mère, et qui continue sa progression inexorable. 1 700 000 en 2005, 1 800 000 en 2013, deux millions en 2018. Selon l’INSEE, le taux de pauvreté de ces familles est trois fois plus élevé que celui des familles traditionnelles (chiffres de 2011).
Mais ce n’est là qu’une mise en bouche.
Toutes les statistiques sont disponibles sur le Net, tant qu’elles ne concernent que l’année en cours. Si l’on veut connaître la façon dont les choses ont évolué sur le long terme, cela devient beaucoup plus ardu. Il en est ainsi de la délinquance, y compris, et peut-être même surtout, de la délinquance sexuelle, dans un pays dont le régime prétend œuvrer en priorité pour le salut des femmes. Là, il faut faire le travail soi-même, année par année, pour connaître l’évolution statistique.
On comptait 10 406 dépôts de plainte pour viol en 2011.
En 2019, après sept ans d’hystérie féministe anti-hommes, on en comptait 22 900.
Donc plus du double.
Parallèlement, un simple petit tour sur le site de France info ou celui du Monde nous apprend que les condamnations pour viol ont chuté de 40 % entre 2007 et 2016.
Ces deux chiffres, ahurissants, révèlent l’ampleur du désastre, d’un désastre programmé, conséquence de décisions politiques prises froidement, que les médias et les féministes sont chargés de camoufler.
Le féminisme a un but, et un seul : briser ce qui reste de cohérence et de solidarité entre les hommes et les femmes autochtones; casser le mariage, le couple, et au final la société française. Il faut donc désigner l’homme blanc, et uniquement lui, comme un salaud dominateur et prédateur, qui doit faire ses excuses la queue basse pour les siècles d’oppression des femmes sous le joug du « patriarcat ». Ainsi dresse-t-on les femmes contre les hommes, et, par ricochet, on dressera les hommes contre les femmes.
Pour arriver à ses fins, le féminisme est financé, subventionné, soutenu de toutes les façons possibles par le Système, bénéficie de tous les passe-droits médiatiques imaginables.
L’homme blanc ne drague plus, et il rase les murs de crainte de paraître l’oppresseur. Le boulevard est alors ouvert pour les racailles allogènes (qui se torchent avec les « campagnes de prévention ») face aux femmes dorénavant esseulées, et elles-mêmes culpabilisées, refusant comme un devoir sacré de nommer les agresseurs par ce qui les caractérise le mieux, et ce qui explique de la manière la plus évidente leur comportement et leurs exactions, à savoir leur identité ethno-religieuse : car les féministes ont trouvé le précieux sésame, celui qui n’ouvre aucune porte, mais ferme au contraire celles de la réflexion, celui qui interdit de désigner le problème, de désigner les responsables et de désigner l’ennemi, c’est-à-dire les racailles qu’elles ont importées et dressées contre leur propre peuple. Ce sésame, c’est l’« oppression patriarcale » orchestrée depuis la préhistoire par le méchant mâle blanc, ainsi que la « culture du viol » au moins aussi ancienne.
C’est en fait à un véritable redémarrage de l’histoire de la France et de l’Occident auquel nous assistons. Car il est fondamental pour les féministes de faire croire que le harcèlement de rue, par exemple, a toujours existé, et que les femmes se faisaient aussi bien insulter il y a cent ans qu’aujourd’hui. Il est fondamental de faire croire qu’il y a « encore » des viols et du harcèlement, et non pas « de plus en plus ». Il est fondamental de faire croire que le sexisme et le machisme bestial sont des survivances du « patriarcat blanc » et non pas l’avenir de la société islamisée.
Le but est toujours le même, obsessionnel : protéger les véritables bourreaux, continuer de jeter un voile pudique sur leurs innombrables exactions.
Car si l’on commence à admettre que les violences contre les femmes ont explosé durant ces dernières décennies, la question suivante sera : pourquoi ? Et la question subsidiaire sera : que se passe-t-il ? Que se passe-t-il en France depuis quarante ans ?
L’idéologie dominante interdit le raisonnement, interdit d’établir un lien entre une cause et un effet : les choses arrivent parce qu’elles arrivent. Il y a des viols parce qu’il y a des viols; et commencer à penser, c’est déjà désobéir.
Les jeunes femmes, d’abord flattées peut-être par cette idéologie qui leur fait croire qu’elles sont des victimes éternelles, sont très tentées de la suivre, d’adopter à l’endroit des hommes le comportement agressif qu’on veut qu’elles adoptent. J’aimerais dire, par stupide désir de vengeance et par rancœur, qu’elles seront les premières victimes de ce qu’elles soutiennent, mais c’est faux : tout le monde sera perdant.
Quant aux hommes, certains commencent à initier un féminisme à l’envers, ce que d’aucuns appellent le masculinisme. Ce faisant, ils font exactement ce qu’attendent d’eux Caroline De Haas et ses amis. Car ne croyez pas une seule seconde que le féminisme résoudra quelque problème que ce soit : les problèmes, le féminisme est juste là pour en créer de nouveaux et les ajouter à ceux qui existent déjà. Plus de haine, plus de violence, plus de division : c’est sa raison d’être.
S’il existe une clef pour sortir du piège capitonné dans lequel sont en train de nous enfermer ceux qui veulent notre perte, je ne l’ai pas, ni moi ni aucun homme. Nous ne jouons dans cette affaire qu’un rôle secondaire. Seules les femmes, puisque c’est elles que la propagande a choisies pour cible, ont le pouvoir de nous faire sortir de cette impasse, par une réaction massive de rejet, sans aucune nuance ni ambiguïté. L’enjeu est clair : si le féminisme triomphe, non seulement la société européenne traditionnelle sombrera corps et bien, mais disparaîtra également le rêve apparu au cours des années soixante et soixante-dix, celui d’une société désinhibée où les hommes et les femmes auraient pu ensemble opérer un saut anthropologique à la recherche d’une nouvelle harmonie et d’un nouvel âge d’or, en se débarrassant du carcan des interdits judéo-chrétiens et de la logique productiviste. C’était le rêve de Pierre Clastres. C’était le rêve des hippies, anéanti par la prise de pouvoir de la gauche bourgeoise puritaine à partir des années quatre-vingt.
Nous vivrons alors dans le monde créé par nos ennemis, après qu’ils aient mené jusqu’au bout leur entreprise de destruction (pardon, de « déconstruction »). Cela ressemblera à une société totalement atomisée, de plus en plus urbaine et de plus en plus laide, faite d’hommes et de femmes condamnés au célibat et à la solitude, se défiant les uns des autres, sans enfants, ou avec des enfants sans père, trouvant un exutoire dans la pornographie et le virtuel, enfermés chez eux pendant qu’au dehors roderont les bêtes sauvages, et que régnera sur ce chaos l’hyper-bourgeoisie mondialisée. Cela y ressemble déjà.
Répétons-le, cette fois, les hommes n’ont plus la main. Ce ne sont pas eux qui décideront si la guerre à venir sera la guerre civile entre les sexes, où l’union sacrée contre l’ennemi commun. Ce ne sont pas eux qui décideront, ni de l’avenir de la France, ni de celui de l’Occident. Ce ne sont pas eux qui choisiront s’ils veulent redevenir des hommes responsables ou continuer à être des enfants jouisseurs. Ce sont les femmes qui leur feront honte, qui les rappelleront à leur devoir, qui les obligeront à redevenir ce qu’ils étaient- ou ne le feront pas.
Seules les femmes peuvent nous sauver du féminisme.
André Waroch
Liens
Nombre de viols en 2011
http://www.slate.fr/story/65729/75000-viols-an-chiffres#:...
Nombre de viols en 2019
file:///C:/Users/laurent/Downloads/IA24.pdf
Chute de 40% des condamnations pour viol entre 2007 et 2016
(https://www.francetvinfo.fr/societe/harcelement-sexuel/le...)
https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2018/09/14/....




del.icio.us
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Si hablamos de las causas de la guerra, entonces Platón las vio en la riqueza de la gente. Aristóteles argumentó que las guerras se libraban para vivir en paz. Algo similar fue expresado por el antiguo pensador chino Sun Tzu, quien calificó la guerra como una lucha para obtener ganancias. Su diferencia con otros tipos de conflicto era que cuando los ejércitos entran en una confrontación, este tipo de lucha termina siendo la más difícil. Además del hecho de que este método es el menos rentable, también es el más inseguro. Según el trabajo de Sun Tzu, el primer lugar en las prioridades de la guerra es preservar el país del enemigo, y solo en el segundo es su destrucción. De manera similar se piensa en el ejército del enemigo: debe ser derrotado solo cuando no hay forma de conquistarlo. Por lo tanto, "el objetivo principal (del arte de la guerra) debería ser la subyugación de otros Estados sin entrar en un conflicto militar: el ideal completo de la victoria se refleja aquí" (3).
La escuela filosófica del tradicionalismo también consideró la manifestación del conflicto como un reflejo de las leyes universales. “La razón principal de la guerra, desde cualquier punto de vista, es considerada como el fin del desorden y la restauración del orden; en otras palabras, la unificación de lo plural por medios que pertenecen al mundo de la pluralidad misma... Según este entendimiento, la guerra no está limitada únicamente a la condición humana, expresa el proceso cósmico de reintegración de lo manifiesto en la unidad original; Por eso, desde el punto de vista de la manifestación misma, esta reintegración parece destrucción” (8). Además, el papel de catalizador de las cualidades espirituales fue algo atribuido a la guerra. Proporciona a una persona un despertar en sí mismo del héroe que duerme dentro. "La guerra permite que una persona se dé cuenta de la relatividad de la vida humana y, por lo tanto, aprenda la ley de que existe algo "más que la vida", por lo tanto, la guerra siempre tiene un significado espiritual antimaterialista", decía el destacado representante de la escuela del tradicionalismo Julius Evola (9). El filósofo italiano también habló de la necesidad de combatir al enemigo interno, que era una sed animal por la vida y lo extrapolaba a un enemigo externo (10).
Las profundas conexiones entre la cultura y la guerra en varias sociedades fueron estudiadas por el crítico cultural holandés Johan Huizinga en su estudio clásico Homo Ludens. Tanto la batalla sangrienta como los torneos en los festivales tenían ciertas reglas y se percibían como parte de la idea inicial del juego. Existían restricciones incluso si al enemigo no se le reconocía una naturaleza humana (bárbaros, demonios, herejes), pero luego se impusieron ciertas restricciones en nombre del honor. "Hasta el momento, tales restricciones se basaban en el derecho internacional, que expresaba el deseo de incluir la guerra en la esfera de la cultura" (13). La formación de la etiqueta en las artes marciales junto a los líderes militares y los duelo en la época medieval también se asocia con esto. Incluso la guerra se definió de manera diferente. Si se trataba de un conflicto de caballeros contra caballeros, era Guerre, pero si los caballeros se oponían a todas las demás enemigos, era Guerre guerroyante y no se consideraba una guerra como tal. En las guerras modernas, Huizinga observaba los rudimentos de tratar la guerra como un juego honesto y noble: este es un intercambio de regalos y cortesías, aunque a veces, sin embargo, toma la forma de una sátira. Huizinga también introdujo una tipología especial de la guerra, basada en el concepto de "agón" (competencia, un término aparentemente asociado con la palabra "ágora", asamblea popular). Así, el tipo de guerra agonal incluye aquellos "cuando los beligerantes comienzan a verse como un adversario que lucha por lo que tiene derecho" (14). Además de la agonal, existe la esfera sagrada de la guerra, cuando la guerra se considera en la esfera del deber sagrado y el honor. Y ambos tipos de guerra son difíciles de separar el uno del otro. Huizinga también notó una conexión etimológica, refiriendo la antigua palabra alemana oorlog (guerra) al reino sagrado, lo que indica que el significado de las palabras correspondientes a oorlog fluctúa entre el destino, la lucha frente al destino y cuando la alianza jurada por el juramento expira.

