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samedi, 30 avril 2016

Camerone

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Officiers

Capitaine Danjou, Sous-lieutenant Maudet et Sous-lieutenant Vilain.

Sous-officiers

Sergent Major Henri Tonel, Sergents Germeys, Louis Morzycki, Alfred Palmaert et Charles Schaffner.

Caporaux

Evariste Berg, Adolphe Del Caretto, Amé Favas, Charles Magnin, Louis Philippe Maine et André Pinzinger.

Tambour

Casimir Laï.

Légionnaires

Jean Baas, Aloyse Bernardo, Gustave Bertolotto, Claude Billod, Antoine Bogucki, Félix Brunswick, Nicolas Burgiser, Georges Cathenhusen, Victor Catteau, Laurent Constantin, Constant Dael, François Daglincks, Hartog De Vries, Pierre Dicken, Charles Dubois, Frédéric Friedrich, Frédéric Fritz, Georges Fursbaz, Aloïse Gaertner, Léon Gorski, Louis Groux, Hiller, Emile Hipp, Adolphe Jeannin, Ulrich Konrad, Hippolyte Kunasseg, Jean Kurz, Félix Langmeier, Frédéric Lemmer, Jean-Baptiste Leonard, Louis Lernoud, Edouard Merlet, Joseph Rerbers, Jean-Guillaume Reuss, Louis Rohr, Hernann Schifer, Joseph Schreiblich, Jean Seffrin, Daniel Seiler, Joseph Sergers, Louis Stoller, Jean-Louis Timmermans, Clovis Pharaon Van Den Bulcke, Jacques Van Der Meersche, Luitpog Van Opstal, Henricus Vandesavel, Jean-Baptiste Verjus, Geoffroy Wensel, Karl Wittgens et Nicolas Zey.

Le chaos est imminent, et que vous y croyiez ou pas n’y changera rien

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Le chaos est imminent, et que vous y croyiez ou pas n’y changera rien

Ex: http://zejournal.mobi

De longs mois se sont écoulés depuis la dernière publication du veilleur, et ce laps de temps m’a été bénéfique afin d’avoir une vision plus globale de la situation géopolitique dans le monde et de ses conséquences, mais il n’est nul besoin d’être un fin stratège pour appréhender la chute catastrophique dans laquelle nous entrainent les miasmes de notre gouvernement, du moins pour ceux ou celles qui ont commencés à ouvrir les yeux, et ils sont de plus en plus nombreux.

A l’instar des États-Unis, la France est devenue un état policier, et le basculement de notre république vers un régime autoritaire et dictatorial ne fais plus le moindre doute. La colère du peuple est de plus en plus palpable, et le mouvement de protestation grandissant qui suivit l’annonce de la récente loi travail dictée par Bruxelles en est un signe. Souvenez-vous des anciennes publications du veilleur évoquant la destruction des droits ouvriers, de la disparition de l’argent liquide, de la répression toute dissidence, et autres émanations orwelliennes promulguées par les laquais du lobby banquier au pouvoir.

Que penser d’une brève passée inaperçu et pourtant révélatrice de l’orientation en cours, « Des caméras parlantes pour rappeler les habitants à l’ordre » ! Pour ceux que cela n’interpelle pas, ma compagne me narrait une situation analogue dans laquelle un membre de sa famille s’est retrouvé durant la période franquiste en Espagne, alors qu’il avait osé marcher en dehors des clous…

Nous devrions atteindre prochainement un point de rupture après lequel tout devrait s’accélérer d’un coté comme de l’autre, entrainant inexorablement une surenchère répressive d’une part, et protestataire musclée de l’autre. Les plus naïfs espèrent encore un changement politique à venir pour 2017, mais ils prendront conscience tôt ou tard que quel que soit le parti mis au pouvoir par les urnes, les prérogatives de ce dernier n’iront pas dans le sens des préoccupations pourtant légitimes des « sans dents », et la douche sera plutôt froide.

Merci à Pierre Templar pour ce texte très réaliste qui résume bien la situation à laquelle nous devons nous préparer.

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Le veilleur

Celui qui croyait au chaos et celui qui n’y croyait pas

Les signes de la tourmente se multiplient, et pourtant, nombreux encore sont ceux à ne pas voir son imminence. Ces gens-là continuent à croire benoîtement dans les vertus du système, pensant qu’il les protégera en cas de problème sérieux, comme il a si bien su le faire par le passé.

Chacun de nous possède au moins un spécimen de cette espèce dans sa famille, et sait donc parfaitement qu’il est inutile de tenter de les ramener à la raison. Comme l’a dit un abruti de gauchiste dans un éclair de lucidité, la « botte souveraine de la réalité » s’en chargera en temps utile…

Je ne tenterai donc pas de le faire ici, ce blog s’adressant à tous ceux et celles, survivalistes en premier, qui ont « quelque chose entre les oreilles ». De toute façon, vous aurez sans doute essayé avant moi, probablement sans grand succès, et il est donc inutile d’accorder au gens de cette espèce plus d’intérêt qu’ils ne méritent.

Mais si l’on croit à un prochain chaos, alors il n’y a qu’une chose à faire : Se préparer là où l’on se trouve. Ceux qui pensent qu’ils vont changer quelque chose en militant ou votant pour un parti se trompent lourdement, de même que tous les pantins qui collent des affiches ou défilent dans les rues, quel que soit leur drapeau, en espérant pouvoir ramener à leurs idées ceux qui les voient passer.

Quoi que vous puissiez faire, vous ne changerez RIEN au système, du moins jusqu’à ce qu’il implose. Il faut absolument que vous en soyez persuadés, pour ne pas vous égarer dans des voies sans issue ou gâcher votre énergie dans des combats perdus d’avance. Et surtout, pour ne pas en pâtir inutilement. Tout ce que vous récolteriez en y prenant part, c’est une belle fiche au RG avec votre trombine en premier plan, où pire encore, un séjour dans une cellule au milieu des barbus.

Et ceux qui votent encore et voudraient me faire croire le contraire n’ont qu’à regarder le nombre de députés FN que nous avons à l’Assemblée. Et pourtant Dieu sait si cela fait un moment que le vieux briscard s’agite, et que des millions de citoyens lui ont donné leurs voix ! Tout cela, je l’ai déjà dit dans Les raisons de redouter le pire. Il n’y a pas grand-chose à rajouter. Le système est verrouillé, et il veut notre destruction.

Tout va aller de plus en plus mal, et très probablement de plus en plus vite. Je ne crois absolument pas à une lente agonie du pays jusqu’à l’instauration finale d’une dictature à la Orwell. Si telle était l’intention première de nos maîtres, alors ils ne prendraient pas le soin de faire entrer des millions d’allogènes en Europe. S’ils organisent aussi méticuleusement un tel afflux, c’est parce qu’ils ont un plan précis, qui inclue au préalable un affrontement généralisé entre les communautés caprines et les blancs de souche.

Nous allons au-devant de la plus grande guerre civile que le monde ait jamais connue. Nous tous européens, et il n’y a aucune échappatoire. Il n’est même plus besoin de lire les prophéties à ce sujet pour s’en convaincre ; C’est maintenant une évidence.

Pour un survivaliste digne de ce nom, la guerre civile est le premier péril à considérer, car contrairement au réchauffement climatique et autres fadaises, on peut être sûr que celle-ci va arriver. Alors profitez du temps limité qu’il reste pour vous préparer au mieux. Sortez du système autant que vous le pouvez, ou profitez-en s’il le faut, de manière à mettre de côté les moyens nécessaires pour acquérir les compétences et les équipements dont vous aurez besoin.

Tâchez de constituer un groupe d’amis, de relations, ou de connaissances, que vous puissiez rejoindre ou qui puissent vous rejoindre le jour où les lumières vont s’éteindre. L’important, à mon sens, n’est pas de chercher à constituer à tout prix une véritable équipe, du moins au début. D’abord, parce que cela demande trop de temps et d’énergie, et vous y laisseriez probablement votre enthousiasme. L’important, c’est de ne pas vous retrouver seul au soir du Grand Jour. Vous pouvez être certain que les équipes se constitueront d’elles-mêmes le moment venu, en fonction des tempéraments, des compétences, et des forces de chacun.

Ensuite, parce ce que la ou les équipes que vous pourriez constituer, avec toute la patience et les difficultés que cela implique, ne dureront probablement pas très longtemps. Non pas qu’elles se sépareraient à cause de dissensions internes – bien que cela ne soit pas à exclure – mais parce que leurs rangs pourraient s’éclaircir de manière drastique et très rapide aux premiers jours de la bataille. Si ce n’est dans celle-ci, ce sera par les blessures, le manque d’hygiène et de soins, les « pétages de plomb » et le reste (voir les articles sur les addictions d’Elizabeth). Et vous aurez perdu beaucoup de temps pour vous retrouver au final à trois clampins.

En d’autres termes, la sélection se fera d’elle-même, au fil des allées-venues et des combats, de même que les alliances…

Commencez à rencontrer des gens autour de vous, des gens ordinaires. Lorsque vous tombez sur quelqu’un qui vous dit que d’après lui « tout va péter bientôt », c’est qu’il est un peu moins con que la moyenne et que vous pourrez peut-être en tirer quelque chose. Inutile de lui sortir le baratin survivaliste, voire de chercher à l’intégrer dans votre groupe éventuel pour commencer à vous entraîner ensemble. Gardez ce contact en mémoire, de même que son adresse et son téléphone. Si des « atomes crochus » vous poussent naturellement à resserrer les liens, alors faites-le, tout en gardant à l’esprit que rien ne vous y oblige.

Prévoyez de quoi tenir au moins trois mois, vous et votre famille. Ainsi que des armes et munitions en nombre pour assurer votre défense. Tout cela a été dit maintes fois sur le blog. Il suffit de relire les articles, ainsi que leurs commentaires qui sont le plus souvent très pertinents.

Nous faisons partie, pour la plupart, d’une génération sacrifiée. C’est juste un destin qu’il faut accepter, car il n’y a rien que l’on puisse faire pour l’empêcher ou le changer. Parfois, certaines personnes me demandent « ce que nous avons pu faire pour mériter ça ». La réponse est que nous n’avons rien fait, absolument rien, parce qu’il n’y a rien que l’on aurait pu faire, et que ce n’est pas notre boulot, de toute façon. Ce n’est pas notre faute, pas plus que celle de nos parents.

Le problème est que depuis notre enfance, la République nous berce dans l’illusion que nous pouvons, par une participation toute illusoire, changer quelque chose à notre destinée citoyenne. Mais la vérité est que nous ne pouvons rien. Le système républicain dans son essence même nous laisse à la merci des gens qui nous dirigent, pour le meilleur et pour le pire. Or il se trouve que nous sommes gouvernés par les pires depuis une cinquantaine d’années, voire depuis la décapitation de notre dernier roi, si l’on veut bien remonter jusqu’à la source du problème.

Chaque génération a sa destinée. Celle de 14 était de finir dans les tranchées. La nôtre est d’affronter les grandes tribulations de la gigantesque guerre civile à venir. De nous battre, de souffrir, et de mourir, éventuellement. Une fois que vous aurez accepté cela, vous pourrez arrêter de vous frapper la poitrine et commencer enfin les préparatifs qui s’imposent.

Survivre

Survivre, ce n’est pas juste « tenir une heure de plus » comme un certain couillon a pu l’écrire. Survivre, c’est tenir jusqu’au bout, et vu ce qui nous attend, ce n’est pas une petite heure qui changera grand-chose. Survivre, c’est être encore debout lorsque les moins chanceux et les plus faibles sont tous morts. Et cela va signifier pour nous tous être capables de vivre des mois de plus, peut-être des années.

Et c’est parce que le chaos va durer que la simple force physique et brutale ne sera pas suffisante ; Et que des moins forts physiquement auront aussi leur chance, contrairement aux grandes batailles des siècles passés. Ceux qui vont durer seront les plus tenaces, les moins sentimentalistes, et surtout, les plus stoïques ; Les plus résistants à la souffrance, à la douleur, à la faim et à la soif, aux tentations, addictions et privations de toute nature. Des moines soldats, en quelque sorte. Autrement dit, les moins cool et les plus chiants, selon les critères en vigueur de nos jours.

Au fond, la vie même n’est autre que survie. Depuis le jour de notre naissance nous ne faisons que survivre. A toutes les saloperies qui se trouvent dans les airs et dans nos assiettes, aux vaccins et aux médicaments, au métro et au boulot… Pour certains, à la famille, depuis tout petit. Pour la plupart, aux emmerdes que les malfaisants au pouvoir nous apportent quotidiennement, dans tous les domaines de l’existence ; A cet abruti de kapo qui nous colle une prune de 90 euros parce qu’on a dépassé de 5 km/h la vitesse autorisée, et qu’une frustration légitime nous pousserait à cogner. Ou encore ce spécimen halal qui nous dévisage avec mépris, et que l’on renverrait volontiers au bled avec un pruneau dans le cul ; Avec les conséquences que l’on peut imaginer pour un chrétien blanc noyé dans une société dirigée par des gens qui œuvrent à sa disparition, par tous les moyens.

La jeunesse

J’ai longtemps pensé que la jeunesse actuelle était paumée, et il est vrai que certains spécimens de la Star Ac et autres zoos du même acabit tendaient à me donner raison. Mais finalement, je pense m’être trompé. Le vrai problème, du moins ce que je crois désormais, est qu’elle s’emmerde, tout simplement. Parce que la société moderne, et en premier lieu ceux qui la dirigent, sont incapables de lui donner un but valable qui vaille la peine de se dépasser.

Je crois que le secret de la réalisation personnelle tient dans une seule chose : œuvrer pour une cause qui nous dépasse, quelque chose de plus grand, quelle qu’elle soit. Puis éventuellement y laisser la peau ; Que ce soit pour sa famille ou pour la patrie, voire un quelconque groupe de « niakoués » (citation de l’auteur) aux fin-fonds d’une jungle birmane que l’on aurait pris en affection. Et c’est justement ce dont l’individualisme induit tout naturellement par les « valeurs » de la République nous éloigne le plus jour après jour.

La conséquence directe est que la jeunesse actuelle erre sans but, d’un Mac Donald à un autre, les yeux rivés sur un Ipod, pour finir au Bataclan à écouter des insanités. Elle cherche inconsciemment un sens à donner à sa vie, mais ne peut le trouver dans une société aseptisée, uniformisée, sans relief, sans avenir et sans espoir. Mais donnez-lui une vraie cause à défendre, avec la vie au bout du compte, et je crois que la plupart saisiront l’occasion à pleines mains. Il se pourrait même que ce soit les plus « paumés » qui lèvent le plus haut le flambeau et entraînent les anciens. Du moins j’aime à le croire.

La guerre

La guerre est divine en elle-même parce qu’elle est une loi du monde.

Ainsi parlait Joseph de Maistre, ce grand théosophe chrétien. Une chose parmi d’autres qui nous distingue de l’animal.

L’homme est taillé pour la guerre. Tellement bien qu’il n’a pas arrêté de la faire depuis le premier jour de son apparition sur terre. Sur les quinze cents dernières années de notre histoire, celles de paix relative se compteraient presque sur les doigts d’une main ! Notre nation s’est bâtie sur les batailles que nous avons gagnées, et elle périra dans celles à venir si par malheur nous les perdons.

Ces longues périodes de paix et de facilité relatives, comme celle que nous connaissons depuis la fin de la seconde guerre mondiale, sont épouvantablement débilitantes. Il n’y a qu’à voir l’état actuel de la France et de ses habitants. Nous avons sombré dans la passivité la plus complète. Les corps et les esprits se sont comme liquéfiés jusqu’à laisser le pays se faire tranquillement envahir à nouveau, au point qu’il n’est même plus sûr que nous soyons capables de remonter la pente un jour. A moins de quelque intervention quasi miraculeuse comme il nous a été donné parfois dans un glorieux passé.

Nous sommes tellement loin de notre génie naturel et de notre vocation qu’il est presque impensable d’en être arrivé là. Pourtant nous y sommes, et il faut bien reconnaître que le travail de sape a été sacrément bien orchestré. A ce niveau, il n’y a malheureusement pas d’autre remède que le sang versé pour que les retrouvailles avec nos racines et notre destinée véritable puissent avoir lieu.

A ce moment-là, nous penserons alors à ce que dit Horacius le romain, il y a bien longtemps, tandis qu’il se retrouvait seul face à une armée entière :
Pour chaque homme sur cette terre, la mort vient tôt ou tard. Et comment un homme peut-il mieux mourir qu’en affrontant un destin contraire pour les cendres de ses ancêtres et les temples de ses dieux…


- Source : Survivre au chaos

Postmodernist geopolitics vs Eurasia

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Postmodernist geopolitics vs Eurasia

Ex: http://www.katehon.com

Thomas Barnett Global Involvement and Barack Obama’s Soft-Power Strategy

Like Tuathail and Agnew, T. Barnett rejects the concepts of classical geopolitics, such as the “Sea” and the “Land”. The American geopolitics has a separate “core” and “gap”. The typology, offered by Barnett is similar to the scheme offered by the sociologist I. Wallerstein. The “core” consists of approximately the same countries that are introduced in Wallerstein’s Center (“Old Core”) and semi-periphery (“New Core”), and the “gap” is Wallerstein’s periphery, respectively. The basis of such a division into the “core” and “gap” is the factor of “involvement” of the country into major global processes: economic, informational, demographic, political, etc. According to Barnett, to maintain the security in the “core” amidst threats from the “gap”, which is seeking chaos, as well as to provide the stable absorption of the former, you need to localize a subject in the “core” that is capable of acting as the Leviathan and System Administrator to the “gap”. Barnett regards the US as such a subject, in particular the US Armed Forces. Thus, the arrangement of the political space, according to him, shows how the US geostrategists regard the World after the Sea’s victory over the Land. The Land is no longer considered as a subject that is able to threaten the Sea’s existence, and is transformed into an object to be exposed by a Leviathan. According to Barnett, classical geopolitics lost its importance with the Sea’s victory over the Land at the end of the 20th century, and now the United States, as the leader of the winning Sea civilization, should take it as the approval of its civilizational code, consisting of the Western democracy model, free trade, financial sector’s priority, and information and societal “internationalization”. In practice, Barnett’s views match the US’ military position, revealing the real motives of US foreign policy, which is characterized as soft power.

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Ulrich Beck’s Cosmopolitan Realism

The ideological and methodological basis for the implementation of global soft power can serve the theoretical concept of globalization by the German sociologist and political philosopher Ulrich Beck, whose concept of the “risk society” had an impact on the school of critical geopolitics.

According to Beck, in an era of globalization, the so-called “Cosmopolitan Realism” appears to replace “political realism”, guided only by a national point of view, which “underlines the crucial role of world economic forces and actors of cooperation and confrontation between the states.” There is a destruction of the legitimate world order now, where the dominant Nation-States provide the possibility to create a so-called cosmopolitan state.

“Cosmopolitanism” by Beck opposes the neoliberal unifying globalization and syncretic multiculturalism. Beck defines cosmopolitanism as the recognition of the ”otherness” of the others, removing the “friend-enemy” opposition paradigm. However, this globalist perspective detects anxious moments, showing the true background of the humanistic searchlights of soft globalization.

According to Beck, after the nation-state disappears, the importance of the roles of multinational economic actors and actors of global civil society increase. In the globalized world, the principles of international law are replaced by the un-strict rule of limited sovereignty. The classical boundaries between domestic and foreign policy are blurred and erased. Each State, in the case of ethnic cleansing or serious human rights violations against its citizens, must consider humanitarian intervention based on human and global citizen rights.

CFR Director Richard Haass’ Concept of Nonpolarity

The global world structure and the role that the supranational actors should play in it are regarded in the nonpolar world concept.

The author of this concept is Richard Haass, the current head of one of the most influential “think tanks” of American geostrategy - the Council on Foreign Relations (CFR).

According to Haass, the multipolar world existed already in recent history, in the era preceding the Second World War at the time of the confrontation between the three political theories: liberalism, communism, and fascism. Haass regard the “Cold War” period as the bipolar world’s existence. The period that began after the Soviet Union’s dissolution, according to the CFR head’s perspective, is not the era of unipolarity, but a moment of unipolarity that will last only 15 years. In Haass point of view, the unipolar world will not be replaced by a new multipolarity, but nonpolarity. The main difference between the two concepts is that powerful actors in the nonpolarity era are not states (as would be the case for multipolarity), but non-state actors: energy exporters, terrorist networks, paramilitaries, drug cartels, political parties, various NGOs, as well as 500 of the largest companies in the world.

Haass defines three factors affecting the end of unipolarity:

– new players appearing; this process is unstoppable;

– America creating a nonpolar world through its actions, weakening its own position, for example, the war in Iraq;

– Globalization increases the volume, speed, and importance of cross-border flows (a thesis, similar to the ideas of P. Virilio on “dromocracy”).

According to Haass, a new model of international relations should be based on multilateral cooperation, multilateralism, providing contacts not at the interstate level, but at the level of those actors that are useful for consolidation in order to solve tactical problems. Thus, organizations such as the UN are generally unsuitable for settling most issues. Haass, as well as Beck, actually “buries” the nation-state system. At the same time, the concept advocated by the CFR head does not abolish the idea of American Empire, but takes it to a new level. This empire is not conceptualized as a traditional state, but as a certain network structure. Haass talks not just about nonpolarity, but also about “coordinated nonpolarity”. There is a question: who will coordinate it?

In conclusion, we can identify some of the prerequisites for the formation of multipolar global geopolitics:

1.     The social paradigm is fundamentally changing as well as the understanding of the paradigm – in geopolitics, the economy, and the globalization processes.

2.     The Land pole’s lack of its own existence model in the changed coordinate system threatens its insertion into globalist projects, created by the thalassocratic civilization: whether it is a strict transformation into the Periphery, subordinate to the globalist core, or “soft” dissolution in mondialist “cosmopolitan space.” The neoconservative projects of US global domination or developed CFR soft-power technology for “nonpolar coordination” are just different methods to achieve the same goal.

3.     Under modern conditions, we cannot appeal to the national state, to sovereignty, thus we turn to the old defunct models and naturally fail. On the other hand, we should pay attention to various fasciation theories developed by Western and non-Western geopolitical scientists.

4.     It is necessary to take into account a trend mentioned by all modern geopolitical scientists, without any exception, connected with the supra-state and non-state actors existence in policy: from multinational corporations to rebel movements and “humanitarian funds”. By turning from the interstate to “multilateral” geopolitics, we should notice potential allies defend the Land’s interests among these new players.

5.     It is necessary to carry out a fundamental revision of the entire classical geopolitical knowledge corpus. It is desirable to take into account deconstructive analysis of modern geopolitical scientists and post-modernists. For the formation of geopolitical subjects that can face modern challenges, it is necessary to overcome geographical determinism that is inherent in the naturalistic Cartesian discourse of the 20th century theories, which were taken for granted until recently.

6.     One branch of multipolar world geopolitics should be political-geographical and political-economical approaches in connection to the study of the sociology and social psychology of the people of the Sea or Land civilizations, their social logos, and collective unconscious. The consideration of concepts of classical geopolitics in terms of ethnosociology and sociology of space will allow the avoidance of geopolitical determinism and to understand that the space is a challenge, which can be responded to in different ways by different ethnic groups.

The geopolitical study of society’s attitude towards the space will allow us to rethink and fundamentalize the basis of Eurasianism as the geopolitical doctrine that will allow us to reconsider the Eurasian phenomenon as a mechanical combination of two nihilistic concepts of the “East” and the “West”. The study of ethnosociology and ethnopsychology of the Eurasian societies allows the comprehension of Russia-Eurasia not as a “geographical axis of history”, but as an organic community, and offers the geopolitical concept of the multipolar world as an expression of ontological constants that define our existence.

00:05 Publié dans Eurasisme, Géopolitique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : eurasisme, géopolitique | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

What Would A Trump Presidency Mean For Europe?

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What Would A Trump Presidency Mean For Europe?

After winning primary contests in five more states, Donald Trump looks like he will most likely become the Republican Nominee. Indeed, Trump didn’t just win narrow victories, he won every single county and every single Congressional District in all five states. He annihilated his opponents — Cruz and Kasich — and may well have vaulted over the clutching tentacles of the #NeverTrump movement and squarely into the GOP captain’s seat, squaring-off against Hilary Clinton. 

In that general election matchup I feel strongly that Trump will win. He has proven himself to be light years ahead of every other candidate in terms of strategy. He has played the media like a fiddle, and understands the modern news cycle and how to position oneself tactically in ways previous candidates have never come close to. I predict that in a general election matchup against Hilary Clinton Trump will come away with a strong victory, an event that would have seemed completely impossible a year ago.

While I will leave it to others to analyze the impact this will have here in America where it is taking place, I am more concerned with the impact it might have in Europe, where the majority of my focus and concern rests, and where our people’s survival is most immediately threatened.

In this regard I feel there are both pros and cons to a potential Trump presidency. We face in Europe today a steadily-building wave of terrorism, mass rape, demographic replacement, and what can only be described as the purposeful genocide of White citizens by left-wing, negationist, suicidalist governments. This portends a crisis greater than WWI, WWII, or even the Black Death. This is not hyperbole. In most West European nations today, the 18-30 year old male demographic — those of fighting age — will be majority Muslim in the next 1-5 years.

This is the most sudden and violent societal transformation in the history of the continent, if not the earth, and bodes tremendously ill for native Europeans. There is no nation in the world’s history in which Muslims have become a majority that was not eventually conquered completely by Islam, with its non-Muslim inhabitants either forcibly converted or enslaved. And indeed in Europe today we already see the beginnings of this from the Muslim population. We are witnessing mass ethnically-driven rape against White women and children that would be considered war crimes in any other place on earth, as well as massive levels of criminality, complete opposition to their host societies’ governments, and continued, consistent anti-state terrorism (4th-Generation Warfare). All of this should have been expected, but as it was not, or was allowed to occur anyway.

Europe now looks likely to descend into horrors beyond our worst nightmares. What impact a Trump presidency might have on Europe at this critical juncture is thus a question of significant importance.

There are a number of potential positives which I will discuss first.

  1. A Trump Presidency would increase the visibility and legitimacy of White Identitarian thought. The President of the most important nation on earth could, to at least some extent, be referred to as “proudly White.” Through the temporary banning of Muslims, he would be publicly declaring that culture matters, that some cultures are superior to others, and that Muslims represent a threat to Western society. His administration would be supporting closed borders, and opposing unfettered multinational corporatism. Surely this must have a positive impact across the Atlantic, at least in its ability to project these thought-patterns into mainstream society.
  2. Trump could potentially exert leverage on European leaders to stop the wholesale genocide of their people. Trump has attacked European-suicidalism on numerous occasions, and just the other day endorsed Matteo Salvini [2], the anti-immigration Northern League candidate seeking to become Italian Prime Minister. The survival of White Europeans would be a concern of a Trump administration, which is more than we can say for most Western leaders. It should not be considered overly-optimistic to hope that Trump’s aforementioned strategic genius, and his obvious concern for Europe’s future, could combine to potentially improve the situation there for our people.
  3. Finally, and perhaps most importantly, is the template a Trump victory and Trump administration would represent for European nations. This is because Trump’s success is, among other things, a response to the increasingly 4GW nature of the world. William S. Lind, one of the fathers of 4th-Generation Warfare theory, says that this will be the century of the nation-state’s disintegration, as non-state forces and non-state identities increasingly rip apart the fabrics of the nation-state system. He predicts that only strong countries with robust, autocratic governments, working to cultivate and ensure strong “shared identity-groups,” will be able to survive. We are in fact already witnessing this phenomenon. In Russia it took place almost twenty years ago, and interestingly that could very well be attributed to the fact that Russia was at that time facing 4GW disintegration — where multiple non-state actors and identity groups were facilitating the destabilization of the Russian nation from within — that is very much like what is facing Europe today. The Russian people turned to Putin and his strength-based, nationalist, traditionalist policies, and have for the most part righted their ship and ensured their people’s continued survival. We are seeing the same thing today in Poland and Hungary, where nationalist, autocratic governments have been elected, and are taking pains to build their nations’ societal cohesion, eliminate or prevent the build-up of non-state threats (immigrants primarily), and set their countries on a course for survival. In my opinion the rise of Trump in America represents the exact same thing, as normal White Americans note with dread the rise of Hispanic Nationalism within their borders, “refugee” resettlement, Islam, left-wing hatred of Whites and White men specifically, and the insidious effects of multinational-corporatism. They are turning to Trump as an autocratic force from within their same shared identity-group, to (again) “right the ship” and expel those forces that threaten the American (or White American) “tribe.” This can continue the template that Russia, Poland, and Hungary represent, and hopefully demonstrate to Western European nations a potential path to survival.

Of course in Western Europe it will not be as simple as that, as most of these nations will need to fight violent insurrections if not civil wars with the vast populations of Muslims they have brought into their lands. This brings up the one “neutral” or “unknown” influence of a Trump administration I would like to point out, which is his position vis-à-vis ISIS, the Islamic State. So far at least, Trump has proclaimed his desire to invade Syria and Iraq, and forcefully take out ISIS. If he did this, it would be emotionally satisfying in the short term but disastrous from a 4GW vs. nation-state perspective. The main concern is that it would undoubtedly make ISIS far stronger, in that it would earn them the sympathy and loyalty of an even broader segment of the Muslim world. By attacking them, Trump would in fact give them legitimacy within the minds of Muslims. That could be a negative, and end up harming the Occident in several ways.

But it could also potentially be a positive. For the more powerful Islamism gets and the more outwardly aggressive Muslims in Europe become, the quicker all-out 4GW will begin within its borders. It is in our strategic interest for 4GW hostilities to break out in Europe now, rather than later, for every year Europe becomes home to far more Muslims, particularly in that crucially important male 18-30 year old demographic. The traitorous European elites can cite “official” statistics as often as they want that show Muslims only making up small percentages of various European populations, and while the vast number of White Baby-Boomers are still alive those statistics might even be half true. But the bottom line is that when over half of your nation’s fighting-age men are Muslims, you are already a Muslim nation or soon to be one. Demographics are destiny, one just has to know which statistics to look at.

That leaves us to discuss one negative impact I believe a Trump presidency would have on Europe. At first glance it appears almost incidental, but this is unfortunately not the case. This is the fact that the election of Donald Trump would cause the entire mainstream, Left-wing, self-hating White population of Europe to double-down on negationist, Cultural-Marxist insanity. It would be like the presidency of George W. Bush times 100, as millions upon millions of brainwashed Europeans dive into a suicidal orgy of virtue-signaling, heaping wood upon their already blazing funeral pyre. We might see the importation of Muslim “refugees” rise to levels far-surpassing what we see now. We very likely would see a negative electoral impact on Right-wing, anti-immigration parties. This would have disastrous effects upon Europe. And despite their idiocy there will be nothing funny about it, because all of these actions will lead to mass-rapes of White children, attacks on our vulnerable and elderly, overwhelming levels of crime, terrorism, and other manifold horrors. Not to mention an even-bleaker demographic picture.

This concern is similar to why Jack Donovan argued for a Hilary Clinton Presidency [3], since it will at least “wake men up” to just how reviled and unwanted they are by America’s ruling class. While this is humorous it also conceals a hugely critical truth, which is that our movement is almost never to be served by the election of parties or individuals just because they are moderately or ostensibly closer to our beliefs. In Europe especially, our greatest hope is for the system as a whole to fall apart, so that it can be replaced with something else. It is hard to see any path to survival in Europe if the current political systems continue — both those of individual nations and the EU as a whole. They are not functional and robust enough in their current form to face the battle that is coming, even were they to have the “right” political parties governing them. In this regard, if a Donald Trump victory in America strengthens governments and Left-wing parties in Europe, it could represent no less than a death knell for our ancestral homelands.

politique,élections américaines,états-unis,donald trump,politique internationale,europe,affaires européennesThe question of whether Trump is elected president, and what that would portend for Europe, is one more momentous issue for these turbulent times. Let us not be blind to the magnitude of events, for surely our descendants will read about them in the history books for long centuries to come. The next decade will mark either Europe’s submission and death, or its decision to fight and survive. A two thousand year old civilization stands on the edge of a knife.  And no matter what happens in the American Presidential Election, in the French one, in the Austrian one; I do not believe that politicians will decide Europe’s fate. It will be the individual members of our race that decide it. Our destiny resides in our willingness to fight; to give our time, our treasure, and perhaps our lives, for the future of our people. With this being the case, it lends clarity to the question of Trump’s — or any other candidate’s — potential victory. For we should hope for their election not for what they might do for Europe, but for how that result might aid the fight for its survival that we shall undertake.

About the Author

Julian Langness is the author of Fistfights With Muslims In Europe: One Man’s Journey Through Modernity [4]and is the editor of europeancivilwar.com [5].

Article printed from Counter-Currents Publishing: http://www.counter-currents.com

URL to article: http://www.counter-currents.com/2016/04/what-would-a-trump-presidency-mean-for-europe/

URLs in this post:

[1] Image: http://www.counter-currents.com/wp-content/uploads/2016/04/TrumpEconomist.jpg

[2] endorsed Matteo Salvini: http://www.theguardian.com/world/2016/apr/26/donald-trump-gets-my-backing-says-italys-matteo-salvini

[3] Jack Donovan argued for a Hilary Clinton Presidency: http://www.radixjournal.com/journal/2014/2/21/why-we-need-hillary

[4] Fistfights With Muslims In Europe: One Man’s Journey Through Modernity: http://www.amazon.com/gp/product/B01B2FNUI0/ref=as_li_tl?ie=UTF8&camp=1789&creative=390957&creativeASIN=B01B2FNUI0&linkCode=as2&tag=thesavdevarc-20&linkId=BSZYG34WYUDOWUJL

[5] europeancivilwar.com: http://europeancivilwar.com

 

LE PROJET D'ETHNOCIDE DES PEUPLES EUROPEENS

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Chers Amis, 

La prochaine conférence du CASTELLARAS aura lieu Jeudi 12 mai 2016, à 18h45.  

Restaurant le VERGUETIER,  7 chemin d'Eguilles, CD 17. Aix en Provence 13090

La conférence sera animée par Guillaume FAYE, auteur d'une trentaine de livres dont le dernier est "Comprendre l'Islam" (Ed Tatamis) et animateur du blog gfaye.com ou J'ai tout compris.

« LE PROJET D'ETHNOCIDE DES PEUPLES EUROPEENS »

Un génocide est l'anéantissement physique d'un peuple par la violence. Un ethnocide est la destruction d'un peuple par des procédés non sanglants et plus longs: submersion migratoire progressive, destruction de l'identité culturelle et de la mémoire historique, mesures de répression, de spoliation et de relégation des autochtones.

fayecoleur.gifLa "crise des migrants" qui suit 40 ans de colonisation de peuplement massive en Europe de l'Ouest, l'islamisation de la société parallèle au terrorisme islamique, les politiques de préférence étrangère, l'effondrement du niveau de l'Education Nationale avec l'abolition des enseignements historiques et identitaires, le laxisme judiciaire synonyme d'une explosion de la criminalité, les politiques fiscales anti-familiales, ne sont pas la conséquence d'une déliquescence, d'une faiblesse, d'une démission de l'Etat et des élites. C'est l'inverse.

Il s'agit  d'un projet, d'une action volontaire de la part de minorités actives au sein des Etats européens (surtout l'Etat français) et des institutions de Bruxelles; le but raciste est la disparition démographique et culturelle des peuples européens au cours du XXIe siècle. La collaboration avec l'islam invasif est manifeste. Qui sont les auteurs, les inspirateurs et les complices de ce projet d'ethnocide des peuples européens? Le conférencier proposera une réponse.

Pour une bonne organisation, merci de nous confirmer votre présence par mail à : lecastellaras@gmail.com

Participation 10€ - Un apéritif / cocktail suivra cette conférence.

Cordialement et à très bientôt. 

L'équipe du Castellaras

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