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vendredi, 02 septembre 2016

Ezra Pound: décadence des lettres, décadence de la Nation

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Ezra Pound: décadence des lettres, décadence de la Nation

Ezra Pound est la figure majeure de la poésie du XXe siècle. Qu’il s’agisse de ses fameux Cantos, comme de ses abécédaires (et de son  Comment Lire), l’œuvre poundienne constitue une incontournable source d’appréhension et de compréhension de la littérature, comme de la poésie. Cela étant, au travers de ses essais et de ses poèmes, Ezra Pound établit à plusieurs reprises une corrélation entre la décadence littéraire d’une nation et la décadence de cette nation elle-même. Si le langage et la littérature entretiennent des liens évidents, Pound remarquait que la régression littéraire engendrait forcément une régression du langage, et fatalement celle de la culture nationale : « si la littérature d’une nation décline, cette nation s’atrophie et périclite ». S’il évoquait déjà subrepticement la question dans Comment lire, c’est dans son ABC de la lecture qu’il aborda au fil des chapitres le drame du déclin littéraire comme déclin national, dans l’indifférence la plus totale, sinon dans la joie de la masse de consommateurs acculturés.

Si Comment Lire était un pamphlet auquel on reprocha cependant de ne pas aller suffisamment au fond des choses, Ezra Pound se rattrapa dans ABC de la lecture qui doit être lu comme un complément au premier livre où il  y développa sa propre doctrine  littéraire, mais surtout sa propre doctrine du langage. Or, comme la littérature est « du langage chargé de sens », la « grande littérature est tout simplement du langage chargé de sens au plus haut degré possible ». Ainsi, pour Ezra Pound, « le Langage a été manifestement créé pour – et sert manifestement à – la communication » (communication ne s’entendant pas dans son acception moderne qu’est celle du marketing, bien évidemment). De la sorte, lorsque la littérature connaît une phase de déliquescence, cela influe fatalement sur le langage, et donc sur la communication entre les hommes. Pire même, c’est la culture de la nation qui subit cet avilissement ; en s’accoutumant au médiocre, l’homme finit par le considérer comme une normalité des plus banales, avant de le confondre avec l’excellence, puisqu’« un peuple qui croît dans l’habitude d’une mauvaise littérature est un peuple sur le point de lâcher prise sur son empire et sur lui-même ».

« L’Homme sensé ne peut rester assis tranquillement à ne rien faire quand son pays laisse mourir sa littérature, quand la bonne littérature ne rencontre que le mépris, de même qu’un bon docteur ne peut avoir la conscience tranquille quand un enfant ignorant est en train de s’inoculer la tuberculose comme s’il s’agissait simplement de manger des tartes à la confiture. »

-Ezra Pound-

ABC-de-la-lecture_8103.jpgLes causes de l’avilissement du langage selon Ezra Pound convergent avec les observations que fit Pasolini quelques années plus tard dans Empirisme Hérétique ; il pointe les dégâts que cause l’Usure, mais aussi le catholicisme qu’il percevait comme une religion castratrice, en prenant comme point d’appui la décadence de Rome qui transforma « de bons citoyens romains en esclaves ». De fait, si Dieu est aussi mort aux yeux de Pound, l’hégémonie culturelle des sociétés modernes est aux mains de la Technique. Si le degré hégémonique de cette dernière indique le niveau de décadence d’une civilisation, Ezra Pound estime que c’est d’abord la littérature, et donc le langage, qui en pâtit la première, car si « Rome s’éleva avec la langue de César, d’Ovide et de Tacite. Elle déclina dans un ramassis de rhétorique, ce langage des diplomates « faits pour cacher la pensée », et ainsi de suite », dit-il dans ABC de la Lecture. La critique d’Ezra Pound ne diffère guère de celle de Bernanos ou de Pasolini sur ce point, outre le fait qu’il aille plus loin dans la critique, n’hésitant pas à fustiger les universités, au moins étasuniennes, comme agents culturels de la Technique, mais aussi l’indifférence navrante de ses contemporains. Le triomphe des Musso, Levy et autre Meyer ne trouve aucune explication logique, tout du moins sous le prisme littéraire. Seules les volontés capitalistes des éditeurs – se cachant sous les jupes du « marché » qu’ils ont pourtant façonné – expliquent leur invasion dans les librairies. Comme il l’affirme dans Comment Lire, « Quand leur travail [des littérateurs, ndlr] se corrompt, et je ne veux pas dire quand ils expriment des pensées malséantes, mais quand leur matière même, l’essence même de leur travail, l’application du mot à la chose, se corrompt, à savoir devient fadasse et inexacte, ou excessive, ou boursouflée, toute la mécanique de la pensée et de l’ordre, socialement et individuellement, s’en va à vau-l’eau. C’est là une leçon de l’Histoire que l’on n’a même pas encore à demi apprise ».

En lançant pareille provocation, Ezra Pound se refusait cependant à tout élitisme. Au contraire, puisqu’il jugeait l’état littéraire d’une nation comme représentative de sa santé culturelle et politique. Il anticipa néanmoins les critiques de ses détracteurs en déplorant qu’« il [soit] très difficile de faire comprendre aux gens cette indignation impersonnelle qui vous prend à l’idée du déclin de la littérature, de ce que cela implique et de ce que cela produit en fin de compte. Il est à peu près impossible d’exprimer, à quelque degré que ce soir, cette indignation, sans qu’aussitôt l’on vous traite « d’aigri » ou de quelque autre chose, du même genre. »

C’est justement cette incapacité à réagir, et même cette propension incompréhensible à applaudir l’avilissement que provoque la culture de masse, qui hérissait Ezra Pound. Le poète s’accorde plusieurs apartés dans Comment Lire où il raille cette hégémonie de la Technique sur la création. Alors que la poésie, et la littérature, sont chargés de sens, il voyait dans l’avènement des pseudo-manuels du bon écrivain non pas une réelle méthodologie comme celles qu’il aborda dans ABC de la Lecture, mais une recette qui fonctionnerait à tous les coups pour fainéants qui souhaiteraient avoir du succès en matière littéraire, au détriment de la connaissance et du savoir. « Le mépris général voué au « savoir », le mouvement de recul du grand public devant tout livre réputé « bon » et, d’autre part, les publicités flamboyantes sur le mode « Comment avoir l’air de savoir quand on ne sait rien », auraient pu indiquer depuis beau temps aux âmes sensibles que quelque chose cloche dans les méthodes contemporaines de diffusion des belles-lettres »

« Un premier larron invente quelque chose, un deuxième met en valeur, ou plusieurs douzaines généralisent un enthousiasme ou une surabondance mousseuse ou onctueuse, après quoi un dernier tente de remettre de l’ordre. Par exemple, l’estimable Pléiade émascule la langue française, et les classiques anglais, etc., toutes choses bonnes à reléguer en zone subsidiaire : intérêt pour une époque, intérêt historique, bric-à-brac pour musées. »

-Ezra Pound-

Littessays.jpgCette glorification de la médiocrité, Ezra Pound la voyait d’autant plus dans la reproduction hédoniste à laquelle s’adonnent certains scribouillards dans le but de connaître un succès commercial. Aujourd’hui, plus que jamais, la réussite d’un genre littéraire entraîne une surproduction incestueuse de ce même genre, comme c’est notamment le cas en littérature de fantaisie, où l’on vampirise encore Tolkien avec autant de vergogne qu’un charognard. Si la « technicisation » de la littérature comme moyen créatif, ou plutôt en lieu et place de toute création, devient la norme, alors, comme le remarquait plus tard Pasolini, cela débouche sur une extrême uniformisation du langage, dans une forme déracinée, qui efface petit à petit les formes sophistiquées ou argotiques d’une langue au profit d’un galimatias bon pour les robots qui présentent le journal télé comme on lirait un manuel technique. Les vestiges d’une ancienne époque littéraire ne sont plus que le fait de compilations hors de prix et d’hommages ataviques afin de les présenter au public comme d’antiques œuvres dignes d’un musée : belles à regarder, mais réactionnaires si elles venaient à redevenir un modèle. Ezra Pound disait que « le classique est le nouveau qui reste nouveau », non pas la recherche stérile d’originalité qui agite la modernité comme une sorte de tautologie maladive.

Sikhs für Trump & Buddhisten für Le Pen?

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Sikhs für Trump & Buddhisten für Le Pen?

 

Ethnic politics als Mittel zum Machtgewinn

Die heutigen „Linken“, von SPD bis US-Demokraten und Labour in Großbritannien, betreiben ein System, welches sich auf ethnische, religiöse und geschlechtliche Gruppen stützt. Es ist eine Methode zur Wählergewinnung, die zunächst seltsam verwirrend amuten mag, allerdings wenn einmal durschaut, glasklar überall dort in Erscheinung tritt, wo die sogenannten Multikulturalisten Politik betreiben. Denn sie unterteilen die Wahlbevölkerung ganz bewusst in Interessengruppen, denen sie sich anbiedern. Schwule und Lesben, Muslime, Hindus, Evangelikale oder Hispanics, Schwarze und Asiaten. Sie verteilen Wahlgeschenke und Versprechungen um sich die Gunst dieser beispielsweise ethnischen Gruppen zu sichern. Die Muslime sollen ihre Feiertage kriegen, damit sie weiterhin zum Beispiel wie in Großbritannien die „Labour“ Partei wählen. In Deutschland wäre dies die SPD, welche sich ganz genauso verhält. Die US-Demokraten, die in der späten Hälfte des 20. Jahrhunderts einen dramatischen Wechsel ihrer Wählerdemographie vollzogen, sind nicht mehr die Partei des „Weißen Mannes“, wie sie es Anfang des 20. Jahrhunderts noch gewesen waren. Es ist ein offenes Geheimnis, dass die Demokraten sich mehrheitlich im Süden gegen die vom Republikaner Martin Luther King angestrebte Gleichberechtigung von Farbigen in den USA wehrten. Insofern mag es seltsam anmuten, dass es der Partei gelungen ist, ihre einst weiße und christliche Wählergemeinschaft zu diversifizieren.  Man darf nicht überrascht von der Forderung Clintons sein, den illegalen Migranten die über die US-Grenze zu Mexiko einwandern, automatisch und schnellstmöglich die Staatsbürgerschaft und Wahlrecht zu geben. Hillary Clinton oder vielmehr die Partei der Demokraten (übrigens auch die Republikaner) betreiben in den USA astreine sogenannte „ethnic politics“. Sie erhoffen sich durch das Wahlversprechen der Staatsbürgerschaft an die illegalen Einwanderer einen Bonus bei der wachsenden Anzahl der „Hispanics“ in den USA, welche in einigen Bundestaaten eine verhältnismäßige Mehrheit in der Bevölkerung darstellen und weiter nach Norden expandieren. Auch die Etablierung von „Spanisch“ als gleichberechtiger Sprache neben dem Englischen ist ein Wink mit dem Zaunpfahl an alle Hispanics, dass sie sich bitte doch erbarmen mögen und den Demokraten ihre Stimme geben mögen. Nicht das Wohlergehen dieser Migranten interessiert hier die große Partei, sondern vermutlich eher der unmittelbare Erlang von zusätzlichen Wählern für die kommenden Wahlen. Es geht um Machtgewinn in den Parlamenten und um diesen zu erlangen ist „ethnische Politik“ ein gutes Mittel.  Man stützt sich nicht mehr nur auf weiße Christen, sondern eben mehrheitlich auf verschiedene Minderheiten wie Muslime, Hispanics, Schwarze und Schwule/Lesben/Transsexuelle.  Diese Art der Politik ist überall dort präsent geworden, wo die Bevölkerung der Staaten sich auch im Westen auch immer unterschiedlicheren Ethnien und Religionen zusammensetzt. War einst eine Arbeiterschicht die Wählergruppe einer Partei wie der Labour in England, findet diese heute ihre Wähler vor allem bei Muslimen und jungen Städtern.

Aufs falsche Pferd gesetzt?

Nun fahren die mehrheitlich linken und sozialdemokratisch orientierten Parteien in Europa und Nordamerika mit diesem „ethnic politics“ Ansatz bisher gute Ergebnisse ein. Aber das Blatt so scheint es, beginnt sich nun zu wenden. Es tritt ein, was ich bereits in einem älteren Artikel von mir(das linke Paradox) beschrieben habe. Die verschiedenen ethnischen, religiösen und sexuellen Interessengruppen aus denen die Linken ihre Wähler schöpfen, können nicht auf Dauer miteinander. Beziehungsweise kann nur eine einzige dieser Gruppen nicht mit den anderen. Die der Muslime. Es ist nicht erst seit gestern, dass der Trend bei nicht-muslimischen Migranten besteht, sich konservativer zu orientieren. Nahm man bisher die traditionell linken Parteien als Hüter der Rechte von Migranten war, ist es nun soweit gekommen, dass sich Sikhs, Buddhisten und Hindus von ihren ehemaligen „Overlords“ distanzieren und Kontakt zu den Konservativen suchen. So berichtet die BBC darüber, wie immer mehr Sikhs und Hindus bereit wären und sind, auch konservativ zu votieren. Auch in den USA etablieren sich ähnliche Formationen hinter Donald Trump, welcher den Islam bzw. Islamismus klar als Feind der USA und des Westens erkannt hat. Insofern überschneiden sich hier die Sorgen von Trump mit denen der Sikhs und Hindus, die aus ihrer einstigen Komfortzone im Westen durch einen offensiv auftretenden muslimischen Nachbarn in der neuen Heimat bedroht werden. Hier spielt möglicherweise der Konflikte auf dem indischen Subkontinent auch eine Rolle. Aber es war in den letzten Jahrzehnten ja nur durch Binden auf den Augen zu ignorieren, dass Sikhs und Hindus auch „Ungläubige“ für den Islamisten sind. Auch in Deutschland traf es kürzlich einen Sikh-Tempel in Essen. In Großbritannien und USA ereignen sich derzeit ähnliche Vorfälle. Beschädigungen von Hindu-Tempeln, Gewalt gegen Buddhisten und natürlich jeden anderen Andersgläubigen. „Muslime und Sikhs für Trump!“ heißt in den USA sogar eine Gruppe, die sich lautstark für den vermeintlich fremdenfeindlichen Trump einsetzt und ihn inbrünstig unterstützt.   Auch die Gemeinschaft der Ex-Muslime , quasi „Ketzer“ für die islamischen Gemeinschaften, stellen sich breit hinter den Konservativen auf. Und nicht nur die Ketzer, sonder auch solche, die ein mit dem Westen konformes Koranverständnis predigen, sind eher geneigt, bei den Rechten ihre politische Heimat zu finden. Der Vorwurf, die Trump Anhängerschaft bestünde aus „Rednecks“, hält einer Analyse nicht stand. Sie ist äußerst divers.

Überhaupt existiert eine sogenannte „National Diversity Coalition“ in den USA, welche sich eben aus Menschen zusammensetzt, die nicht in das von den Medien propagandierte Bild des weißen Hinterwäldlers hinein passen. Afroamerikaner, Juden, Hindus, Sikhs, Buddhisten und alle Ethnien und „Rassen“ aus denen sich eben die moderne amerikanische Nation zusammensetzt. Trump, entgegen der Medienmeinung über ihn, hat nichts gegen Einwanderer. Sofern diese legal ins Land kommen und sich an den „American Way of Life“ anpassen und zu guten Staatsbürgern werden. Vielen Minoritäten die hinter Trump stehen, eint eine gemeinsame Furcht. Nämlich die Furcht vor einem in den USA stärker werdenden Islamismus, welcher eben IHREN „Way of Life“ bedrohen würde. Es sind reale Ängste, die nur durch die Intoleranz der islamischen Gesellschaften in Asien und Afrika bestätigt werden. Ein multikulturelles Zusammenleben, so argumentieren einige auf der Wahlkampfveranstaltung für Trump, sei mit einer „radikalen“ islamischen Nachbarschaft nicht möglich.

Das Monopol der Linken, nämlich die Minderheiten auf ihre Parteien zu vereinen, scheint gebrochen. Diese Gedankengänge kamen mir auch vor einem Jahr schon, als ich mit einer vietnamesischen Restaurantbesitzerin aus Frankreich sprach, die sich zum Front National bekannte. Aus ganz simplen Gründen: „Sicherheit, Ordnung und weniger Islam.“ Das dies nicht mehr das Frankreich sei, das als Kolonialherr nach Indochina gekommen war und in das man später voller Sehnsucht eingewandert war, liegt auf der Hand für jeden, der nicht blind durch die Straßen von Paris läuft. Für all jene, die in den Augen mancher eben alle gleichermaßen „Ungläubige“ sind, werden die erstarkenden Rechten in Europa und Nordamerika die einzig sinnvolle Alternative.

Und dann ist da noch das Militär, welcher als großer Integrator aus den vielen unterschiedlichen Menschen oft auch DEN Amerikaner formt. Eine Karriere im Militär ist für viele junge Sikhs eine Ehre und man dient mit Stolz den Vereinigten Staaten. Das ist nicht nur in den USA so, sondern hat auch in Großbritannien mit seiner imperialen Geschichte bereits Tradition. Migrationshintergrund zu haben, schwarz oder asiatisch zu sein und im Westen zu leben? Das ist ja nichts Neues. Aber dann für vermeintliche böse „rassistische“ Parteien zu stimmen? Das brachte und bringt vielen Nicht-Europäern schnell den Vorwurf eines sogenannten „Race Traitors“ ein. Also ein „Rasseverräter“. Tatsächlich halte ich diesen Vorwurf für unendlich und abgrundtief rassistisch per Definition, da er impliziert, die Herkunft müsse das Verhalten determinieren. Eigentlich beweisen uns diese Menschen auch, dass die hehre westliche Idee des aufgeklärten Geistes und des freien Willens, die zu eigenen Entscheidungen befähigt, allen Menschen zuteil ist. Und das man den Menschen zunächst nach seinen Taten, nicht nach seinem Aussehen oder seiner Herkunft beurteilen sollte.

‘Ondergang Europa alleen nog te stoppen door nieuwe leiders of revoluties’

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‘Ondergang Europa alleen nog te stoppen door nieuwe leiders of revoluties’

Globalisering en centralisering macht bij elite zoals in Brussel leidt tot tirannie en instorting samenleving

Onze enige overgebleven opties: massaal verzet, of zuchten onder vervolging en dictatuur


‘Veel mensen kunnen maar niet bevatten dat we
(weer) met een groepje narcistische psychopaten te maken hebben, die georganiseerd zijn in een sektarische ideologie... Zij kunnen niet overtuigd worden met superieure logica of een beroep op hun medeleven. Ze zullen zich niet laten afschrikken door massale protesten of vreedzaam verzet. Zij verstaan maar één ding, en dat is de taal van geweervuur en voor hen nuttige leugens.’

In zijn beroemde twaalfdelige werk A Study of History legde Arnold Toynbee uit dat als een regerende elite slechte oplossingen aanbrengt voor nieuwe problemen, deze altijd zullen verergeren en zullen uitlopen op òf de verkiezing van nieuwe leiders, óf de instorting van de bestaande politieke structuur, òf de ondergang van de beschaving zelf. Europa bevindt zich exact in deze situatie, waarin een klein eliteclubje in Brussel nieuwe problemen zoals de massa immigratie beantwoordt met de oude, nooit werkende en altijd fatale oplossing door landen en volken te dwingen tot meer integratie op economisch, financieel en politiek gebied. Nu zelfs leden van de elite beginnen toe te geven dat dit beleid averechts werkt, moeten de burgers in Europa zich realiseren dat de gevreesde instorting niet ver weg meer is.

alchemy-banking.jpgEen van hen is Mervyn King, de voormalige gouverneur van de Bank of England. In zijn recente boek The End of Alchemy schreef hij dat de Europese leiders heel goed wisten dat de euro een economische ramp voor Zuid Europa betekende, maar de eenheidsmunt toch invoerden. Volgens King rekende men zelfs op de verzwakking van de economie, omdat men dacht dat de EU-staten op deze wijze gedwongen konden worden om ‘hervormingen’ te slikken, die overal tot een verlaging van de levensstandaard zouden leiden.

De grote denkfout die men in Brussel, Berlijn, Parijs, Rome en Den Haag maakte was dat men aannam dat de Europeanen zich vervolgens van hun nationale leiders zouden afkeren, en zich tot Brussel zouden wenden voor een uitweg. De gewone man gelooft echter terecht dat hun eigen staat, een door hun eigen volk gekozen eigen regering, de beste garantie is op een veilige en welvarende samenleving, en niet een of andere ongekozen en ondemocratisch functioneerde supranationale autoriteit in een ander land.

IMF geeft enorme fouten en verkeerde inschattingen toe

Inmiddels heeft ook het IMF na een intern onderzoek toegegeven enorme fouten te hebben gemaakt. IMF-stafleden negeerden de overduidelijke fatale constructiefouten in het euro-project, vooral omdat ze hun politieke dromen voorop stelden, en niet de realiteit. Hierdoor gingen ze uit van de dramatisch valse aanname dat er in een gemeenschappelijke muntzone geen monetaire crisis zou kunnen ontstaan. Die ontstond echter toch, en juist dankzij die eenheidsmunt.

De ‘oplossingen’ die voor het eerste getroffen land, Griekenland, werden bedacht, beschadigden de economie zelfs nog meer, waardoor vooral de kwetsbaren in de Griekse samenleving keiharde klappen kregen. De levensstandaard in het land daalde fors. Keer op keer bleken de officiële vooruitzichten voor het ‘herstel’ van de Griekse economie na de drie mega-bailouts waanzinnig ver van de werkelijkheid af te staan.

Meer macht naar Brussel betekent nog meer ellende

De nationale politici, ook de Nederlandse, deden vervolgens hun eigen duit in het verkeerde zakje door de technocraten en transnationale instellingen in Brussel nog meer macht te geven, met voorspelbare verwoestende gevolgen. Hierdoor boekten de EU, de Europese Commissie, de Europese Centrale Bank en het IMF nog meer aan hun toch al tanende geloofwaardigheid in.

Charles Gave, voorzitter van Gavekal Capital, schrijft dat het meest zorgwekkende is dat deze ‘overduidelijk incompetente instituten doorgaan met het grijpen naar nog meer macht, zonder dat ze daar de juiste autoriteit voor hebben. Met deze overmoed hebben ze zo ongeveer alle overeengekomen economische regels die voor de crisis bestonden, gebroken, in een poging om het project dat de Europese economieën aantoonbaar op een ramp afstuurt, te redden.’ Zo maakt bijvoorbeeld niemand zich er nog druk om dat de ECB massaal staatsobligaties opkoopt, iets wat de bank in alle verdragen verboden was.

Volgende EU-exit, mogelijk van Italië, zal grote gevolgen hebben

De geschiedenis wijst uit waar dit op zal uitlopen. Iedere keer als een ongekozen ‘maffia’ de macht grijp over het politieke domein, hebben de burgers nog maar twee opties: òf ze stellen door verkiezingen geheel andere leiders aan, òf ze laten het zover komen dat een revolutie nog de enige uitweg is. De Britten hebben heel verstandig tijdig voor het eerste gekozen, door via een democratisch referendum uit de EU te treden.

Groot Brittannië heeft echter één groot voordeel: het is nooit lid geworden van de eurozone. Die luxe hebben landen zoals Italië, Griekenland, Nederland, Portugal en Finland, waar het anti-EU sentiment begrijpelijk heel groot is geworden, niet. Wij zitten nog altijd strak vastgebonden in de dwangbuis die de euro heet. Als wij hieraan willen ontsnappen en net als de Britten ons land en onze toekomst willen redden, zullen we daarom niet alleen uit de eurozone, maar ook uit de EU moeten treden.

Om deze reden zal het volgende ‘exit’, vermoedelijk van Italië (‘Italeave’), veel grotere gevolgen hebben dan het Brexit. Tijdens de onvermijdelijke volgende financiële crisis zullen investeerders naar veilig geachte landen zoals Duitsland vluchten, en zal de reeds begonnen bankencrisis in het zuiden exploderen. ‘Op het moment dat het pond en de dollar ten opzichte van de euro beginnen te stijgen... is het moment om je schrap te zetten.’ (1)

Mensen hebben natuurlijke afkeer van globalisme

Vaste analist Brand Smith schrijft op Alt-Market dat de komende instorting van de Europese Unie feitelijk niet meer dan logisch is. De meeste gewone mensen hebben namelijk een natuurlijk afkeer van globalisering, van het centraliseren van de macht, ‘omdat velen van ons ten diepste beseffen dat centralisatie de wortel is van tirannie. We weten dat als een elitegroepje de absolute macht krijgt over de massa, er erg slechte dingen gebeuren.’

‘Nog nooit is een kleine groep mensen betrouwbaar, rationaal, meevoelend en wijs genoeg geweest om die verantwoordelijkheid aan te kunnen. Ze verpesten het ALTIJD, of maken doelbewust misbruik van hun extreem invloedrijke positie om anderen een bepaalde ideologie op te leggen. Dit leidt tot verzet, en verzet leidt tot een sociopolitieke onderdrukking waarin grote aantallen mensen gevangen worden gezet, tot slaven worden gemaakt, of zelfs worden vermoord.*’ (* Turkije is daar een afschrikwekkend voorbeeld van).

Chaos en revolutie, of totalitaire dictatuur

Smith stelt dat er dan maar twee mogelijk uitkomsten zijn: chaos en revolutie, of een totalitaire dictatuur die het leven van iedereen tot in de kleinste details controleert, bepaalt en stuurt. ‘Zolang de centralisten doorgaan met het proberen te krijgen van totale macht, zullen we niet kunnen ontsnappen aan dat uiteindelijke conflict. Mannen en vrouwen zullen zich aaneensluiten om tegen hen te vechten, en de situatie zal escaleren. De enige manier om dit gevecht nog te voorkomen is als de elite stopt met wat ze nu doen, als ze plotseling het licht zien en zich hun foute koers realiseren. Misschien kunnen we dan ongeschonden door de problemen komen.’

‘Of dezelfde elite zou plotseling in één klap aan zijn einde moeten komen, zodat hun invloed wordt geneutraliseerd. Dan zou de wereld mogelijk nog eens kans hebben om zich op een structurele manier aan te passen.’

Helaas zijn er nog steeds mensen die weigeren te geloven dat dit conflict, deze uiteindelijke strijd, onvermijdelijk is. ‘Zij willen wanhopig graag geloven dat er nog een andere weg is, en zullen zich daarom in alle mentale bochten wringen om hun geloof te rechtvaardigen.’ En helaas voor ons geldt dit nog steeds voor het overgrote deel van de elite in Brussel, Den Haag en andere Europese hoofdsteden.

Narcistische psychopaten met sektarische ideologie

Veel mensen die denken dat het zover niet zal komen, ‘kunnen maar niet bevatten dat we met een groepje narcistische psychopaten te maken hebben, die georganiseerd zijn in een sektarische ideologie, en bijna ongelimiteerde middelen tot hun beschikking hebben... Zij kunnen niet overtuigd worden met superieure logica of een beroep op hun medeleven. Ze zullen zich niet laten afschrikken door massale protesten of vreedzaam verzet. Zij verstaan maar één ding, en dat is de taal van geweervuur en voor hen nuttige leugens.’

Dit soort leiders laten liever de hele beschaving instorten dan dat ze ooit vrijwillig afstand doen van hun macht en positie. ‘Het is daarom dom een reactie te plannen op basis van het idee dat een confrontatie kan worden vermeden... Maar de globalisten zullen worden verslagen, omdat het onmogelijk is om iedere mogelijke bedreiging voor hun utopische raamwerk in kaart te brengen. Zolang mensen zich tegen hen verzetten, zowel fysiek als met informatie, zullen hun zwakke punten gevonden worden, en dan zullen ze vallen. Maar dit zal echter niet kunnen gebeuren zonder aanzienlijke (persoonlijke) offers.’

CytAl-WMAAH3rv.jpgInstorting is serie van gebeurtenissen en bewust gecreëerde crises

De komende instorting is volgens Smith niet één grote klap, één gebeurtenis, maar een proces, een serie van elkaar opvolgende kleinere crises die steeds erger worden. Zo bevinden de VS en de EU zich reeds sinds 2008 in de periode van stapsgewijs verval. De enorme financieel-economische zeepbel die men creëerde om het einde van het systeem nog een paar jaar te rekken, staat nu op het punt uiteen te spatten. Zodra dat gebeurt, kunnen we beginnen met de wederopbouw.

Belangrijkste vraag is WIE dat gaan doen – de globalisten, met hun ‘Nieuwe Wereld Orde’ agenda die hen alle macht geeft, of het gewone volk, dat in vrijheid en welvaart wil blijven leven? De elite van de EU, de VS, de VN en het IMF stuurt ons in ieder geval op een serie crises af, die men wil gebruiken om ons zover te krijgen de laatste restjes van onze nationale soevereiniteit en democratie aan hen over te dragen. Veel mensen zullen hen nog steunen ook, omdat ze bang zijn hetgeen ze nog hebben te verliezen. Tegelijkertijd zullen steeds meer mensen weigeren hen te (blijven) steunen, omdat ze beseffen dat dit het definitieve einde van hun vrijheid en welvaart betekent.

Technologie voor totale controle

De Amerikaanse en Europese gevestigde orde zal tijdens de komende grote systeemcrisis proberen het volk in bedwang te houden door de totale controle te nemen over cruciale basisbehoeften zoals energie, voedsel en water. Ze zullen net zoals Stalin alle bezittingen van de ‘verkeerde’ burgers en kleine bedrijven afpakken en/of nationaliseren. De Amerikaanse president Obama gaf zichzelf al in 2012 deze macht.

De bevolking zal vermoedelijk met technologische middelen tot gehoorzaamheid worden gedwongen. Daarbij moeten we denken aan vingerafdrukken, gezichts- en oogscans, overal camera’s op straat, en mogelijk zelfs een elektronische identificatiechip op of in ons lijf, waarzonder we niemand zijn en helemaal niets kunnen doen. Daarnaast heeft de elite nog de mogelijkheid om concentratiekampen op te richten, waar politieke tegenstanders in worden opgeborgen of worden afgemaakt.

Overwinning mogelijk door informatie en gezamenlijk verzet

De mogelijkheden om ons te controleren en onderdrukken zijn nog nooit zo groot geweest. Tegelijkertijd heeft het verzet nog nooit zo’n machtig wapen gehad, namelijk het razendsnel verspreiden van informatie via het internet. ‘Daarom willen de globalisten ervoor zorgen dat de volgende opstand de allerlaatste wordt. Ze zijn namelijk nog nooit zo kwetsbaar geweest.’

De elite gebruikt voortdurend de reguliere media om desinformatie te verspreiden en verdeeldheid te creëren, zodat ze, zonder dat de meeste mensen het in de gaten hebben –omdat die nog altijd even naïef als blind de liegende ultralinkse propagandakanalen zoals het NOS journaal en NU.nl vertrouwen- hun finale machtsgreep kunnen doen.

Smith: ‘Het belangrijkste om te onthouden is dat de globalisten een moeilijkere taak hebben dan wij. Zij moeten namelijk mensen, bezit, middelen en de psychologie van de massa controleren. Ze moeten met duizenden variabelen rekening houden, en duizenden situaties die verkeerd kunnen gaan. Alles waar wij ons druk over moeten maken is onze eigen lokale organisatie, ons eigen morele kompas, ons eigen overleven, en het verwijderen van de top globalisten van hun posities.’ (2)

Xander

(1) Zero Hedge
(2) Zero Hedge