samedi, 05 décembre 2015
Rébellion n°72: une autre éducation!
Une autre éducation !...
Nous vous signalons la parution de la revue Rébellion (n°72, novembre - décembre 2015). Vous pourrez notamment lire dans ce numéro un dossier sur l'éducation et des articles de David L'Epée et de Charles Robin, l'auteur de La gauche du Capital (2014).
On notera au passage que la revue dispose désormais d'un très beau site que nous vous invitons à consulter : Rébellion
Au sommaire de ce numéro :
Éditorial: Hic Sunt Dracones
Réflexion : L’allogénat, ou l’appel au coucher des luttes révolutionnaires françaises et africaines, par Dany Colin
Actualité : Et revoilà les gaucho-humanitaristes dans la rue ! par Jean Morvan
Dossier : Pour une autre Education
La fabrique de l’aliénation sur l’école techno-libérale, par Charles Robin
« Produire du temps de cerveau disponible » : l’éducation dans le monde moderne, par Marie Chancel et Dazibao
La destruction de l’Ecole : Objectif politique prioritaire du Pouvoir, par Patrick ViscontiPolémique : Les chiens de garde aboient et la caravane passe, par David L’Epée
Commande 4 euros (port compris) :
Sur la boutique ou par courrier :
Rébellion c/o RSE BP 62124 31020 TOULOUSE cedex 02
00:05 Publié dans Actualité, Ecole/Education, Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : actualité, france, revue, école, éducation, socialisme révolutionnaire | | del.icio.us | | Digg | Facebook
jeudi, 01 octobre 2015
Rébellion: nouvelle radicalité
Editorial : Pour une nouvelle radicalité !
Société : La vidéosurveillance - Argos Panoptès du monde moderne ( Marie Chancel)
Politique : Réflexion sur l'organisation de l'immigration de masse ( Patrick Visconti)
Ecologie : Entretien avec Nicolas Fabre sur le retour à la terre.
International : Entretien avec Dari Douguina du mouvement eurasiste.
Histoire : Déboulonnons le XVIII ème Siècle ( David l'Epée)
Cinéma : Le Cinéma français et sa critique, entre “chien-de-gardisme” et schizophrénie ( D. Colin)
Commande 4 euros (port compris) :
Rébellion c/o RSE BP 62124 31020 TOULOUSE cedex 02
Contact : rebellion_larevue@yahoo.fr
00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, rébellion, radicalité, idéologie, socialisme révolutionnaire | | del.icio.us | | Digg | Facebook
vendredi, 15 mai 2015
Rébellion n°69
Rébellion n°69
SOMMAIRE
ÉDITORIAL
A quoi sert Rébellion ?
L'ÉDITORIAL DE JEAN GALIÉ
Le langage de la vie réelle.
INTERNATIONAL
Les nouveaux Communards du Donbass
ENTRETIEN
Du Kosovo au Donbass, solidarité européenne.
Rencontre avec Nikola Mirkovic.
IMPÉRIALISME
Vers une occupation des USA au coeur de l'Europe.
ACTUALITÉS
SOCIAL
La loi Macron ou les fonds de tiroir de la dérégulation.
RÉFLEXIONS
La nécessité de la terreur.
Pour une reconstruction idéologique radicale !
ALTERNATIVES
Réflexions sur la vie en communauté et les Z.A.D.
Autonomie et imaginaire.
Commande 4 euros (port compris) :
Rébellion c/o RSE
BP 62124
F-31020 TOULOUSE cedex 02
Contact : rebellion_larevue@yahoo.fr
www.facebook.com/rebellion.osre
00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, socialisme révolutionnaire, france | | del.icio.us | | Digg | Facebook
vendredi, 08 mai 2015
Le Cercle Proudhon: le sursaut de l'esprit français
Entretien avec Pierre de Brague
Le Cercle Proudhon: le sursaut de l'esprit français
Ex: http://zentropa.info
Jeune historien et membre d'Egalité et Réconciliation, Pierre de Brague oeuvre à la redécouverte d'une expérience politique les plus originale du XX siècle : Le Cercle Proudhon.
Rivarol/ Quelles sont les origines idéologiques du Cercle Proudhon ?
Le Cercle Proudhon est à mon sens l’incarnation française la plus aboutie qui soit (au niveau de la formulation intellectuelle) de la conjonction des deux non-dits de la matrice bourgeoise issue de 1789 à savoir cette escroquerie philosophique (les Lumières), politique (la démocratie) et économique (l’exploitation capitaliste) qui constitue notre actuelle mythologie officielle. Face à ce « système », certains ont plébiscité l’appui sur le « monde d’avant », l’Histoire et la Tradition, devenant alors d’affreux réactionnaires pour le libéralisme (dont la définition pourrait être : la dictature du présent), et d’autres ont voulu bâtir le « monde d’après », arc-boutant leurs aspirations Révolutionnaires sur la défense des intérêts du prolétariat, devenant alors l’alibi progressiste de toutes les compromissions socialistes… Lorsqu’elles furent intègres, radicales et authentiques, les mouvances monarchistes et syndicalistes ont représenté, chacune à leur manière, la quintessence des alternatives à cette « civilisation » bourgeoise. Ainsi de l’Action Française et du syndicalisme révolutionnaire. Le Cercle Proudhon est la réunion de certains militants - à mes yeux les meilleurs éléments - de ces organisations ; la crème de la crème de la radicalité patriote : une sorte d’union sacrée anti-démocratique, anti-capitaliste, anti-bourgeoise et anti-Lumières qui nous apparaît impensable au premier abord, mais qui se révèle conforme à ce que le véritable « esprit politique français » a produit (et doit produire) de manière plus ou moins explicite au fil des époques.
Rivarol / Pourquoi reprendre Proudhon comme figure tutélaire?
À première vue, rien de plus éloigné des monarchistes catholiques de l’AF et des syndicalistes révolutionnaires que le supposé anarchiste libertaire se revendiquant de 1789 que serait Pierre-Joseph Proudhon. Mais c’est se borner aux délimitations malhonnêtes du conditionnement intellectuel de ne pas faire l’exégèse profonde de l’homme et de son œuvre. Le Cercle ne tombe évidemment pas dans cet écueil et s’il peut arborer légitimement le sulfureux patronage du penseur franc-comtois c’est par une fidélité quasiment métapolitique à « l’esprit proudhonien », cet esprit parfaitement français, à la fois traditionnel et révolutionnaire, qui, par une vive et libre opposition des antagonismes, se transcende et trouve l’équilibre, cette notion fondamentale à la richesse insoupçonnée (et pour le coup quasiment métaphysique).
Si l’on s’en tient aux théories, Proudhon, par son fédéralisme, son mutualisme, sa critique acide de la démocratie et de la propriété capitaliste, ainsi que son caractère de farouche pourfendeur de la culture bourgeoise, a su permettre –malgré les tentatives de récupération des socialistes républicains- « à des Français, qui se croyaient ennemis jurés, de s’unir pour travailler de concert à l’organisation du pays français ». Nous touchons là un point essentiel : Proudhon était un homme d’ordre et non cet anti-étatiste anti-théiste et anti-propriétaire primaire que l’on veut nous faire accroire… C’est en tant que prophète de « l’ordre social français » que les membres du Cercle célèbrent ce « grand réaliste », ce « Maître de la contre-révolution », ce « Proudhon constructeur » à l’esprit et à la foi révolutionnaire. J’arrête ici, c’est certainement déjà trop de dialectique pour les quelques placides intellectuels de « gôche » qui prétendent s’accaparer la figure de ce rude fils de paysan, viril et guerrier, inaltérable et hardi défenseur du Travail, de la Famille et de la Terre (qui a dit Patrie ?) ; je ne voudrai pas être désigné responsable de l’ataraxie mentale dont ils souffrent, si peu nombreux soient-ils.
Rivarol / Cette alliance de royalistes et de syndicalistes révolutionnaires a-t-elle reçue le soutien de leurs « maîtres » Charles Maurras et Georges Sorel ? Quelles furent les principaux animateurs du cercle ?
Allons immédiatement, si vous le voulez bien, au fond du sujet : Proudhon, Maurras et Sorel, incarnent pleinement et précisément, chacun à leur manière, avec des variations et des idiosyncrasies propres -que nous n’ôterons pour rien au monde à l’histoire et à la fortune de l’humanité- cet « esprit politique français » si précieux à mes yeux. Ils le personnifient par leurs « êtres », par leurs pensées, par leurs authenticités mêmes. Ils sont, ensemble et chacun de leur côté, cet esprit révolutionnaire conservateur français qui configure certainement le pire affrontement possible pour la pseudo-« civilisation » ploutocratique actuellement bourgeoise et soi-disant démocratique et libérale dans laquelle nous baignons depuis bien trop longtemps.
Pour être concret tout en restant succinct : que l’on songe aux conjonctions profondes qui animent cette si belle triade. Que ce soit sur l’Action, sur l’Intelligence, sur l’Organisation ou même sur l’État, les concordances, les filiations, les accords, les rapprochements et les frottements sont finalement prégnants ! Et ce jusqu’à constituer une philosophie politique véritablement française, foncière et radicale, qui se définirait par la recherche de l’organisation sociale qui rendra le plus justice à la dignité des travailleurs français et à la défense de leurs libertés et de leurs intérêts spirituels et matériels. J’invite le lecteur à reprendre un par uns les mots de cette dernière phrase et à y déceler une quelconque résonance avec notre contemporanéité…
Il n’y avait donc aucun problème de fond à ce que Maurras et Sorel soutiennent l’initiative de leurs meilleurs (ou atypiques selon l’angle de vue) disciples, surtout lorsqu’elle se fit sous ce glorieux patronyme de Proudhon. Cessons ici tout essentialisme pour revenir aux réalités et aux contextes : il n’était pas question pour les « maîtres » de fusionner leurs mouvements ou de participer activement et personnellement à ce genre « d’expériences » conférant pratiquement à l’aventure. Les maîtres respectifs sont restés à l’écart, en retrait, accompagnant d’abord avec entrain et bienveillance, mais également avec méfiance, la « tentative » du Cercle Proudhon. Notons néanmoins que c’est Sorel qui a fait le premier pas « officiel » dès 1908 dans une revue syndicaliste italienne en dressant l’éloge pragmatique de l’AF, considérée alors comme une vraie force vivante pour l’avenir de la France. Remarquons aussi que Maurras prononça une allocution à la première réunion du Cercle, qui fut tenue à l’Institut d’Action Française, donc dans ses locaux, le 17 décembre 1911.
Dans la pure lignée de cet « esprit proudhonien », à l’instar, et peut-être plus encore que leurs aînés, Georges Valois et Édouard Berth furent les principaux protagonistes du Cercle, lui donnant une vie et une aura rares, représentant et formulant magnifiquement la Combativité et la Vitalité française, comme, ai-je l’impression, la France savait -malgré tout- encore en produire il y a quelques décennies… Citons les autres fondateurs et participants rédacteurs aux Cahiers du Cercle : Henri Lagrange, Gilbert Maire, René de Marans, Marius Riquier, André Pascalon et Albert Vincent.
Rivarol/ Le rejet de la Démocratie est-il commun aux deux mouvances ?
Et comment !
Qualifiée de « plus grande erreur du siècle passé », de « maladie mortelle » et de « plus sotte des rêveries », la démocratie est mise en cause par ces deux écoles pour des raisons propres qui sont finalement similaires. À droite, on rejette la république démocratique car c’est le régime et le système politique de l’avènement de la classe bourgeoise, soit ce gouvernement des intérêts étrangers et anti-traditionnels, et à gauche parce que c’est l’alibi majeur de l’exploitation capitaliste. Le Cercle va directement à l’essentiel en attestant de la consubstantialité des institutions démocratiques, des « valeurs » bourgeoises et de la domination socio-économique.
La démocratie libérale bourgeoise est explicitement vomie en tant que « totalité » pour des raisons politiques et économiques, et en dernière instance parce qu’elle n’est que le symbole d’une vision du monde hypocrite et mortifère. Si l’on accepte de l’utiliser comme un terme générique, cette Démocratie (qui est encore la nôtre aujourd’hui) n’est qu’une fable avilissante, abrutissante, précaire, anti-Production et anti-Culture. « Ramenée parmi nous pour instaurer le règne de la vertu, elle tolère et encourage toutes les licences. Elle est théoriquement un régime de liberté ; pratiquement elle a horreur des libertés concrètes, réelles et elle nous a livrés à quelques grandes compagnies de pillards, politiciens associés à des financiers ou dominés par eux, qui vivent de l’exploitation des producteurs. » Voilà comment le Cercle Proudhon définissait la démocratie dans sa première Déclaration !
Rivarol / Les animateurs du cercle insistaient sur les vertus viriles, vitalistes et héroïques. L'aspect guerrier était-il au coeur de la démarche de ce groupe ?
Proudhon restera l’immortel auteur de La Guerre et la Paix, ouvrage majeur par lequel il établit que toute construction humaine –et toute humanité- tient son origine dans la guerre. Il s’agit ici d’exalter le sentiment guerrier, mobilisateur, générateur « du sublime, de la gloire, de l’héroïsme, de l’idéal et de la poésie » et non de vanter la barbarie ou les va-t-en-guerre. Cet esprit combattant se retrouve transposé chez Sorel via ses Réflexions sur la Violence et le mythe de la « grève générale » où l’ouvrier devient le nouveau héros ; quant à Maurras et son Si le Coup de Force est possible, les vertus aristocratiques qu’il défend ne pouvaient que tomber en accord avec cette aspect. Tout ceci évidemment en opposition dialectique avec les pseudo « valeurs » bourgeoises bien-pensantes hypocrites et maniérées que seraient le pacifisme, l’humanitarisme et l’intellectualisme.
Rivarol / L'équipe de rédaction n'hésitait pas à attaquer la finance anonyme et vagabonde. En quoi l'anti-capitalisme était-il un élément fondamental de la démarche du cercle ?
Anonyme, anonyme… Pas tant anonyme que ça si l’on en croit certains textes ! L’anti-capitalisme est effectivement un élément fondamental de la démarche du Cercle, au même titre que l’anti-démocratisme, et pour cause : ils sont indissociables, et ce constat n’a pas échappé aux militants du Cercle, bien au contraire. Admettant l’alliance des démocrates et des financiers, comme aujourd’hui celle des socialistes bobos et des néo-libéraux bling-bling, le Cercle y oppose une alliance des royalistes et des syndicalistes révolutionnaires, et ce sans forcer sa cohésion car la mise à bas du « régime de l’Or » (par opposition au « Sang ») est une thématique forte chez les partisans de Maurras. Georges Valois lui-même, le principal initiateur du Cercle, la « recrue prolétarienne » de l’AF, fut toute sa vie durant l’homme d’un combat, celui de l’Humain contre l’Argent, et ce quoique l’on en dise.
Citons encore une fois la si concise prose du Cercle : « La démocratie enfin a permis, dans l’économie et dans la politique, le rétablissement du régime capitaliste qui détruit dans la cité ce que les idées démocratiques dissolvent dans l’esprit, c’est-à-dire la nation, la famille, les mœurs, en substituant la loi de l’or aux lois du sang. La démocratie vit de l’or et d’une perversion de l’intelligence. » Nous retrouvons ici le véritable moteur métapolitique du Cercle : c’est le combat de la Vie et de la Civilisation contre son placebo fantoche aliénant et destructeur.
Rivarol/ L'accusation d'antisémitisme lancée contre le Cercle Proudhon est-elle valable ?
Plus largement, comment analysez-vous l'antijudaisme présent dans le mouvement ouvrier de la fin du XIXe siècle ?
L’antijudaïsme du mouvement ouvrier, comme celui du Cercle Proudhon, de Proudhon lui-même ou de beaucoup d’autres, fut rarement racial ou théologique. La question juive s’y présente comme un problème essentiellement économique et social, perçu sous l’angle de la lutte des classes. Concernant le Cercle, si attester de la place prééminente de la bourgeoisie juive dans la société française suite à sa prise de pouvoir au sein même de cette classe bourgeoise (par l’instauration de la république démocratique) est un fait suffisant pour être taxé d’antisémitisme, alors oui le Cercle est antisémite !
Rivarol / Pour vous, en quoi consiste le mélange de Réaction et de Révolution qui incarne l'esprit français ?
Il convient de manier les termes avec exactitude, comme dirait un certain Professeur. Il est question de Tradition et non de Réaction. Comme expliciter plus haut, toute la vérité de cet « esprit français » résulte de la libre opposition des antagonismes, que ce soit au point de vue politique ou individuel. Ce qui, à mon avis, définit le mieux l’esprit français tient en un mot : l’équilibre, auquel nous devons impérativement accoler une qualité chérie par Proudhon lui-même, je veux parler de l’ironie. Définition simple mais subtile, et qui se décline à une multiplicité de niveaux. En dehors de ses théorisations politiques, Proudhon devient ici le symbole de la France éternelle, celui qui mêle « esprit classique et christianisme fondamental », ce révolutionnaire patriote, ce gaulois frondeur et spirituel, ce mélange unique et réussi entre la rudesse et la légèreté. Un « miracle français » reconnu dans le monde entier et qui engendrait, il y a encore peu de temps, une vision du monde, une identité et une mentalité propres que les agressions répétées du libéralisme mondialisé anti-humain ont mis à mal, illustrant cette « mutation anthropologique » que Pasolini constatait dans son pays dès les années 1970. Faire revivre l'esprit de la France, voilà ce qui importe !
Propos recueillis par Monika Berchvok. (Rivarol)
A lire :
Les Cahiers du Cercle Proudhon, préface de Pierre De Brague, Editions Kontre Kulture (http://www.kontrekulture.com/) , 2014, 496 pages – 18 euros.
Le numéro 68 de la revue Rébellion avec un important dossier sur Sorel, le syndicalisme révolutionnaire français et le Cercle Proudhon ( 5 euros – Rébellion c/o RSE BP 62124 31020 Toulouse cedex 02)
00:05 Publié dans Entretiens, Histoire, Théorie politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : entretien, histoire, cercle proudhon, france, socialisme révolutionnaire, revue, théorie politique, sciences politiques, politologie, philosophie, philosophie politique | | del.icio.us | | Digg | Facebook
vendredi, 28 novembre 2014
Rupture Politique et Ecologie
Sortie du numéro 67 de "Rébellion":
Rupture Politique et Ecologie
Editorial de Jean Galié : la démocratie contre la botanique
SOCIETE
L'amour , un bien de consommation comme un autre ?
( Marie Chancel)
RUPTURE POLITIQUE
En finir avec les illusions de la démocratie
L'utopie réformiste ( Julius)
Analyse du cas Besancenot ( Charles Robin)
ECOLOGIE
Une révolution silencieuse ( Stéphane C.)
Une brève histoire de l'écologie politique ( Marie Chancel)
L'écologie politique comme phénomène révolutionnaire
( Guillaume Le Carbonel)
CHRONIQUES LIVRES
CULTURE
Musique Folk : accords populaires et dissidents ( Dazibao)
Le rock français, un patrimoine à redécouvrir ( GC)
Commande 4 euros ( port compris) :
Rébellion c/o RSE
BP 62124
F-31020 TOULOUSE cedex 02
00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, socialisme révolutionnaire, socialisme, écologie, écologisme, france, théorie politique, sciences politiques, politologie | | del.icio.us | | Digg | Facebook
vendredi, 26 septembre 2014
Rébellion n°65: spiritualité et engagement
Rébellion n°65:
Spiritualité et engagement
Au sommaire du numéro 65 de la revue Rébellion :
Edito : Théologie de la décomposition.
Dossier Spiritualité et engagement :
Seule la Tradition est révolutionnaire !
Enquête par Marie Chancel: Spiritualité et militantisme
un lien entre le Profane et le Sacré ?
Entretien avec Michel Lhomme : Christ et Révolution, la Théologie de la Libération.
Réhabiliter la raison ! par David L'Epée.
Histoire : Harro Schulze-Boysen, un NB dans l'Orchestre Rouge ( suite et fin)
HP Lovecraft, rêveries contre le monde moderne.
Numéro disponible contre 5 euros ( en chèque, timbres ou liquide) à notre adresse :
Rébellion c/o RSE BP 62124 31020 TOULOUSE cedex 02
00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, socialisme révolutionnaire, rebellion, france, spiritualité, engagement | | del.icio.us | | Digg | Facebook
mercredi, 18 juin 2014
Une nouvelle campagne d’autocollants
Une nouvelle campagne d’autocollants est maintenant disponible
pour la diffusion militante :
3 euros les 25 exemplaires - 6 euros les 50 exemplaires
12 euros les 100 exemplaires
Commande ( port compris) : Rébellion c/o RSE BP 62124 31020 TOULOUSE cedex 02
Les autocollants de Rébellion et de l'OSRE fleurissent sur les murs de différentes villes ; merci à toutes celles et tous ceux qui nous envoyés des photos ; n’hésitez pas à faire de même, nous les publierons avec plaisir.
00:05 Publié dans Actualité, Affiches | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : affiche, socialisme, socialisme européen, socialisme révolutionnaire, france, europe, affaires européennes, traité transatlantique | | del.icio.us | | Digg | Facebook
vendredi, 23 mai 2014
Rébellion n°64
Sortie du numéro 64
de la revue Rébellion
EDITO : Survie du capitalisme ou du genre humain ?
DOSSIER : Abattre la théorie du Genre
Un combat spirituel ou un combat scientifique ? par David L'Epée.
Rencontre avec Farida Belghoul.
Pornographie. l'autre discours dominent par Terouga
HISTOIRE : Harro-Shulze Boysen. Un national-bolchevik dans l'orchestre rouge
( partie 2)
Nationalisme russe à l'époque soviétique par David l'Epée.
MUSIQUE : Assaut électronique et musique bruitiste par Diaphane Polaris
Sinweldi. la guerre comme hygiène du monde.
Disponible contre 4 euros à notre adresse :
Rébellion c/o BP 62124 - 31020 TOULOUSE cedex 02
Pour s'abonner :
http://rebellion.hautetfort.com
00:05 Publié dans Actualité, Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, rébellion, socialisme révolutionnaire, revue, théorie du genre | | del.icio.us | | Digg | Facebook
mardi, 25 mars 2014
Rebellion n°63
00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, rebellion, socialisme révolutionnaire, socialisme | | del.icio.us | | Digg | Facebook
mardi, 04 février 2014
Rébellion n°62
10:42 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : socialisme révolutionnaire, rébellion, revue, socialisme | | del.icio.us | | Digg | Facebook
samedi, 30 novembre 2013
Rebellion n°61
00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, rébellion, socialisme, socialisme révolutionnaire, militantisme, féminisme, rené guénon, hezbollah, québec, antigones | | del.icio.us | | Digg | Facebook
dimanche, 25 août 2013
Numéro 59 de la revue Rébellion
Sortie du numéro 59
de la revue Rébellion
Au sommaire :
- Editorial : Désordem e Progresso
Réflexion : La révolution à déjà commencé.
- Le complexe de la Droite.
-La connerie pour tous.
- Que des ennemis à Droite.
Analyse : Splendeur et misère de l'anticapitalisme de Gauche.
Histoire : Il y a 20 ans, un appel à la résistance ( J.P. Cruse - Vers un Front national)
Philo : La politique comme un art.
Entretien : Louis Dalmas, les fossoyeurs de l'Occident.
Chroniques livres.
Le numéro est disponible contre 4 euros à notre adresse :
Rébellion c/o RSE BP 62124 31020 TOULOUSE cedex 02
00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, revue, socialisme révolutionnaire, france, rébellion, contestation | | del.icio.us | | Digg | Facebook
mardi, 21 mai 2013
Rébellion n°58
La critique moralisante
La rue abattra les tyrans !
Découragement ? par zentropa
Venezuela. Viva Chavez !
Elections Italiennes. Entre populisme et paralysie par Xavier Eman
Le Printemps arabe change-t-il la géopolitique du Proche-Orient ? par Terouga
Alexandre Douguine. Révolte contre le monde post-moderne.
CULTURE
Rap & Business. Qui veut la part du Ghetto ?
Rencontre avec Mathias Cardet. L'effroyable imposture du Rap.
00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, socialisme révolutionnaire, contestation, rébellion | | del.icio.us | | Digg | Facebook
samedi, 13 avril 2013
Peuples d'Europe, soulevez-vous !
Peuples d'Europe, soulevez-vous !
00:05 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : socialisme révolutionnaire, rébellion, europe, affaires européennes | | del.icio.us | | Digg | Facebook
dimanche, 17 février 2013
Rébellion n°57
17:24 Publié dans Géopolitique, Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, rébellion, socialisme révolutionnaire, france, géopolitique | | del.icio.us | | Digg | Facebook
vendredi, 01 février 2013
REBELLION n° 56
REBELLION n° 56 EST SORTI !
Au sommaire du numéro :
Editorial : Réflexion en écho à celle d'un philosophe transalpin
Actualité : la rébellion des peuples européens.
Idées : Penser le libéralisme par Charles Robin.
L'Odyssée de la crise.
Entretien avec Francis Cousin : L'Etre contre l'Avoir.
Esprit Libre : La liberté d'expression ne se demande pas. elle se prend !
Entretiens avec Arnaud Guyot-Jeannin et Javier R. Portella
Polémique : Retour sur la pensée de Richard Millet.
Culture : Les illusions de la contre-culture par David l'Epée.
Chroniques livres.
Le numéro est disponible contre 4 euros à l'adresse suivante :
Rébellion
c/o RSE BP 62124
F-31020 TOULOUSE cedex 02
19:01 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, révbellion, socialisme révolutionnaire, france, révolte | | del.icio.us | | Digg | Facebook
jeudi, 24 janvier 2013
Angelica Balabanoff: du Duce à Lénine
Bruno GRAVAGNUOLO:
Angelica Balabanoff: du Duce à Lénine
Angelica Balabanoff était une “libertaire” qui ne faisait pas de compromis. Cette révolutionnaire venue d’Ukraine a fini par se mettre au service de despotes, au nom même de ses principes, ce qui est un paradoxe. De 1880 à 1965, elle a mené une vie extraordinaire. Un livre récent esquisse sa biographie.
Le destin d’Angelica Balabanoff a été tragique et paradoxal: cette révolutionnaire ukrainienne, fille d’un riche propriétaire terrien juif, fugue, très jeune, et quitte Tchernigov, pour partir à la recherche d’elle-même. Dans cette quête, elle est devenue une icône du socialisme révolutionnaire européen à cheval sur deux siècles. Les vicissitudes de cette existence, Amedeo La Mattina, journaliste à la “Stampa” en Italie, les raconte avec toute la rigueur et la précision voulues dans son livre “La vita di Angelica Balabanoff. La donna che ruppe con Mussolini e Lenin” (Einaudi, 314 pages, 20 euro; “La vie d’Angelica Balabanoff. La femme qui rompit avec Mussolini et Lénine”). Il y a beaucoup d’amertume dans ce destin surtout parce qu’Angelica a cru aux despotes au nom d’une utopie libertaire qui refusait tout compromis. Désillusionnée, se sentant trahie, elle a finit par confier cette utopie à ce qu’elle détestait le plus dans sa tendre jeunesse, le réformisme ministériel (celui de Saragat). Désarmée par les médisants, oubliée au terme de sa vie, elle n’a jamais renié ses choix (mis à part au moment où elle était consumée de douleur à la mort de sa mère dont elle s’était séparée pour vivre sa propre vie).
D’Octobre à Saragat
Entre sa naissance en Ukraine vers 1880 et sa mort solitaire à Rome en 1965 s’est pourtant déroulée une vie extraordinaire. C’est donc cette existence que nous narre La Mattina, avec, pour toite de fond, l’émergence dans toute l’Europe du socialisme, des racines du fascisme, avec la révolution d’octobre 1917, le fascisme, la guerre et l’anti-fascisme. Beaucoup de femmes exceptionnelles ont été les amies d’Angelica, comme l’anarchiste Emma Goldmann, Rosa Luxemburg, Anna Koulichiov, Clara Zetkin, etc. Ces amitiés sont le fil d’Ariane de la vie d’Angelica, les étapes aussi de toute la tragédie du 20ème siècle.
Parmi les atouts de cette biographie, citons surtout la capacité, dont l’auteur fait montre, à éclairer les rapports qu’Angelica a entretenus avec les despotes. Ce qui permet de saisir l’esprit qui les animait. Il y a d’abord Mussolini qu’Angelica a véritablement introduit dans les milieux révolutionnaires à Zürich en 1902, où le futur Duce errait parmi les émigrants et les proscrits subversifs de toute l’Europe. Pour ceux qui connaissaient déjà les grands du socialisme de l’époque, les Turati, Labriola et Kautski, Benito Mussolini apparaissait comme un paumé qui se gobait. Perdu, sans style ni manières, sans le sou, sans rôle à jouer, toujours furieux et désespéré, personne ne le prenait au sérieux. Angelica va prendre le futur Duce en mains, non seulement elle le formera en philosophie, lui fera saisir ce qu’est le socialisme, mais elle lui fera prendre conscience de sa valeur. Elle tombera amoureuse de cet Italien rustique et en deviendra sans doute l’amante, donnant force et puissance à cet ego tourmenté et blessé, piquant au vif la volonté de grandeur encore frustrée qui gisait en lui. Mussolini admettra sa dette dans une conversation avec Yvonne de Begnac: “Sans la Balabanoff, je serais resté un petit fonctionnaire, un révolutionnaire du dimanche”. C’est donc Angelica qui donnera l’impulsion première à tous les succès politiques ultérieurs du futur Duce, à commencer par la victoire des maximalistes lors du congrès socialiste de Reggio Emilia en 1912. Cette année 1912 fut la première où Mussolini joua un rôle de premier plan, notamment en s’opposant à la guerre de Libye, pour devenir rapidement, par la suite, directeur du journal “Avanti”.
En octobre 1914, toutefois, Mussolini trahit les idées qu’Angelica Balabanoff avait tenté de lui inculquer: il passe d’abord à ce que l’on nommait la “neutralité active” pendant la première guerre mondiale puis opte carrément pour l’interventionnisme. Qui plus est, dans la vie de Benito, déjà marié à Rachele, apparaît une nouvelle femme: Margherita Sarfatti, issue de la haute bourgeoisie juive et “moderniste”. Ce sera elle —répudiée plus tard quand Mussolini sera influencé par l’antisémitisme— qui initiera le Duce aux arts et aux avant-gardes du 20ème siècle, notamment au futurisme qu’il aimera avant de retourner à l‘”ordre esthétique”. C’est ainsi que Mussolini, homme toujours en colère et en révolte, a pu convertir son impétuosité plébéienne initiale en un révolutionnarisme conservateur et populiste concret, qui deviendra bien vite le fascisme. Nous avons donc une curieux mélange de subversion par le haut et par le bas chez un homme, au départ marginal, qui n’a pour but que le pouvoir tandis que l’Italie libérale pré-révolutionnaire et pré-fasciste était en crise profonde. Mussolini fut dominé et sauvé par les femmes: ce sont elles qui l’ont fait homme et despote. Nous avons là, plus que probablement, une clef pour comprendre le 20ème siècle italien et le Ventennio fasciste, une clef que nous fournit le livre de La Mattina sur Angelica Balabanoff. Cet ouvrage constitue une source plus vraie que bien d’autres pour comprendre le véritable caractère du Duce, natif de Predappio. Son fond personnel intime le porte à déployer un “transformisme d’assaut”, porté par un mimétisme psychologique de nature subversive.
Russocentrisme
Pour ce qui concerne les rapports Balabanoff/Lénine, les circonstances sont différentes. Angelica l’admirait mais s’en défiait tout autant: le leader bolchevique est “probe, ascétique et tranquillement féroce”, pense-t-elle de prime abord. C’est en tant que socialiste qu’Angelica adhère à ses thèses communistes, mais elle se détachera de lui dès 1921, quand elle s’est rendu compte que le bolchevisme était un despotisme russocentré, cynique, de surcroît terroriste et hostile à tout humanisme éthique. Mais malgré cette déception, Angelica Balabanoff restera marxiste et socialiste, montrant une intransigeance outre mesure: ainsi, elle s’oppose à Nenni et à toute unité avec les communistes italiens. Harcelée par les espions de Mussolini (qui la craignait toujours), elle émigre en Amérique, où elle témoignera de son socialisme libertaire et anti-réformiste. Quand elle revient en Italie, elle quittera le PSI pour adhérer au PSDI de gauche. Ce sera la ennième désillusion, une grande leçon qui prouve, une fois de plus, son “impolitisme”. Angelica Balabanoff est surtout un témoin capital pour comprendre à quelles écoles ont été s’abreuver les dictateurs et pour connaître leur psychologie.
Bruno GRAVAGNUOLO.
(ex: http://www.ariannaeditrice.it/articoli.php?id_articolo=37619/ ).
00:05 Publié dans Biographie, Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire, biographie, 20ème siècle, socialisme, socialisme révolutionnaire | | del.icio.us | | Digg | Facebook
mercredi, 24 octobre 2012
Rébellion 55 !
SOMMAIRE
00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, socialisme révolutionnaire, balkans, france, politique, théorie politique | | del.icio.us | | Digg | Facebook
vendredi, 14 septembre 2012
Rébellion n°54
10:42 Publié dans Actualité, Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, socialisme révolutionnaire, rébellion | | del.icio.us | | Digg | Facebook
samedi, 26 mai 2012
Au sommaire du numéro 53 de la revue Rébellion :
00:05 Publié dans Actualité, Géopolitique, Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, socialisme, socialisme révolutionnaire, france, géopolitique | | del.icio.us | | Digg | Facebook
mercredi, 11 avril 2012
Rébellion 52 disponible !
Rébellion 52 disponible !
ÉDITORIAL
A BAS LES ÉLECTIONS, VIVE LA PLANIFICATION!
ACTUALITÉS
SARKOZY. ESSAI DE BILAN
VERTUS ET ILLUSIONS DU VOLONTARISME DE GAUCHE.
PIERRE LE VIGAN DÉCORTIQUE L’ESSAI DE JACQUES GÉNÉREUX NOUS ON PEUT !
VIE ET MORT DU CAPITALISME.
RÉFLEXIONS SUR L’ESSAI DE ROBERT KURZ.
CRISE
LE CAPITALISME AU BORD DU GOUFFRE.
ENTRETIEN AVEC ALAIN DE BENOIST.
COMBATS DES IDÉES
LA COMMUNAUTÉ. L’ESPRIT DE COMMUNAUTÉ, C’EST LE SOCIALISME !
LA COMMUNAUTÉ, CAUCHEMAR DU SYSTÈME
IDENTITÉ ET COMMUNAUTÉ
SURVIE COMMUNAUTAIRE
SURVIVRE À L’EFFONDREMENT ÉCONOMIQUE.
ENTRETIEN AVEC PIERO SAN GIORGIO
CULTURE
CINÉMA. PULP FICTION. ANATOMIE D’UN SIMULACRE
ROBERT MITCHUM. PORTRAIT D’UN REBELLE
Numéro disponible contre 4 euros à notre adresse :
Rébellion c/o RSE BP 62124 31020 - Toulouse Cedex 2
12:10 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, rébellion, socialisme, socialisme européen, socialisme révolutionnaire | | del.icio.us | | Digg | Facebook
mercredi, 08 février 2012
Rebellion numéro 51
00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, france, socialisme révolutionnaire, socialisme | | del.icio.us | | Digg | Facebook
samedi, 31 décembre 2011
Rébellion n°51
Rébellion n°51
Sommaire
00:06 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, révolution, socialisme révolutionnaire, socialisme, localisme, gauche, gauche européenne | | del.icio.us | | Digg | Facebook
vendredi, 18 novembre 2011
Rébellion n°50 est disponible !
Rébellion n°50 est disponible !
ÉVÉNEMENT
Limonov star de la rentrée littéraire. Un voyou Ukrainien sous la plume d’un bobo parisien
PHILOSOPHIE
Qu’est-ce qu’un bon stratège? Une étude comparée des mentalités Chinoises et Occidentales
ENTRETIEN
Maria Poumier s’entretient avec Israel Shamir
00:05 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, france, rébellion, esprit révolutionnaire, socialisme, socialisme européen, socialisme révolutionnaire | | del.icio.us | | Digg | Facebook
vendredi, 13 mai 2011
Rébellion n°47
Rébellion n°47
Au sommaire :
Editorial
Le crépuscule de l’Odyssée
Sciences et capitalisme
>La science en péril
>La question de la science
>Courte réflexion sur la science et le cas du « nanomonde »
>Les Nanotechnologies : Aux frontières du réel ?
Entretien
Des animaux et des hommes, entretien avec Alain de Benoist
Chronique des livres
Des animaux et des hommes. La place de l’homme dans la nature d’Alain de Benoist
Clelia ou le pouvoir des prêtres, de Giuseppe Garibaldi
Disponible contre 4 euros à l'adresse :
Rébellion C/O RSE - BP 62124 - 31020 TOULOUSE Cedex 02 FRANCE
18:24 Publié dans Revue | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : revue, socialisme révolutionnaire, médecine, nanotechnologie, sciences | | del.icio.us | | Digg | Facebook