Il a fait remarquer que l’UE, qui est la troisième économie mondiale, doit être plus « sûre d’elle » sur la scène internationale.
vendredi, 01 février 2019
Jürgen Egyptien: Stefan George – Dichter und Prophet
Jürgen Egyptien: Stefan George – Dichter und Prophet
01:37 Publié dans Littérature, Révolution conservatrice | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poésie, stefan george, littérature, littérature allemande, lettres, lettres allemandes, révolution conservatrice, allemagne | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Le président autrichien accuse les USA de traiter l’UE comme des colonies
Le président autrichien accuse les USA de traiter l’UE comme des colonies
par Charles Sannat
La grosse colère autrichienne est liée à la double affaire Nord Stream 2, qui est un gazoduc censé alimenter l’Europe en gaz russe, et les sanctions avec l’Iran qui empêchent les pays européens de commercer avec Téhéran.
Il a fait remarquer que l’UE, qui est la troisième économie mondiale, doit être plus « sûre d’elle » sur la scène internationale.
01:08 Publié dans Actualité, Affaires européennes, Géopolitique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : hégémonisme, hégémonisme américain, donald trump, autriche, europe, affaires européennes, union européennes, politique internationale, géopolitique, impérialisme américain | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Gregory Swer auf der Oswald-Spengler-Konferenz 2018
Gregory Swer auf der Oswald-Spengler-Konferenz 2018
00:35 Publié dans Philosophie, Révolution conservatrice | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philosophie, philosophie de l'histoire, oswald spengler, révolution conservatrice, allemagne | | del.icio.us | | Digg | Facebook
A propos du traité d'Aix la chapelle et de la notion de souveraineté
A propos du traité d'Aix la chapelle et de la notion de souveraineté
par Pierre Eisner
Ex: http://thomasferrier.hautetfort.com
La signature du traité dit d’Aix-la-Chapelle entre la France et l’Allemagne a suscité beaucoup de réactions. Sans doute a-t-on attaché trop d’importance à ce qui n’était qu’une opération de communication. Elle a été voulue par Emmanuel Macron pour l’aider à construire une façade de partisan de l’Europe, et concédée par Angela Merkel qui n’a plus de poids politique. Même s’il a fallu flatter le voisin allemand pour y parvenir. Mais tout texte, fût-il mal conçu et peu contraignant, a malgré tout une signification.
Le Rassemblement national (RN), comme une certaine partie de la droite, y a vu une perte de souveraineté, certains parlant de trahison. C’est sur cette perte supposée qu’il nous faut réfléchir. De quelle souveraineté s’agit-il quand on parle de celle de la France ? Est-ce celle du pouvoir de son dirigeant ou est-ce celle du pouvoir de son peuple ?
Le président Emmanuel Macron n’a pas perdu la moindre parcelle de son pouvoir par le fait du traité. Prenons ainsi l’exemple de la politique étrangère et de la défense. La France et l’Allemagne se sont engagées à coordonner leurs actions dans ces domaines, favorisant les échanges de personnel diplomatique et instituant notamment un Conseil franco-allemand de défense et de sécurité. Si, pour une raison quelconque, les dirigeants français et allemands sont amenés à prendre des décisions contradictoires, comme cela a été souvent la cas dans un passé récent, rien ne pourra les en empêcher. Alors ils se garderont bien de faire jouer les instances communes qu’ils ont instituées. En revanche si l’un ou l’autre, à propos d’une question un peu épineuse et faisant débat, est en phase avec son homologue ou parvient à le convaincre de rejoindre sa position, il pourra expliquer dans son pays qu’il est contraint par l’obligation de trouver une position commune, sollicitant par exemple l’avis d’un Conseil compétent.
En revanche le peuple français, comme le peuple allemand, aura perdu un peu de son pouvoir. On vient d’expliquer le mécanisme qui permet de court-circuiter le peuple lorsque sa position pourrait ne pas être celle attendue par son dirigeant.
C’est exactement ce qui se passe avec l’actuelle Union européenne. Il est inexact de dire que telle ou telle décision est imposée par Bruxelles. Lorsque l’avis des représentants du peuple français n’est pas sollicité, au prétexte de l’obligation de se conformer à telle règle européenne, c’est parce que son dirigeant s’est arrangé auparavant avec ses homologues pour ladite règle soit instaurée. Il y a bien un cas où la règle européenne est légitime. C’est celui de l’Euro et de la règle des 3% relative au déficits publics. En France au moins, le peuple s’est prononcé par référendum. Le paradoxe est que cette règle a été peu contraignante. On a accepté n’importe quoi de la Grèce pour son admission, comme de la France pour s’y conformer. Si la règle n’est pas respectée en 2019, il est peu probable que cela fasse des vagues.
Il y a bien un transfert de pouvoir, aussi bien à l’occasion de ce traité franco-allemand qu’à l’occasion des traités européens. Mais un transfert du pouvoir populaire au bénéfice du pouvoir discrétionnaire d’un dirigeant. C’est une perte sèche de démocratie, indépendamment de ce qu’on peut mettre comme périmètre pour définir le peuple.
Ce n’est pas comme si une Europe politique était installée, sous la forme d’un état unifié. Ou comme si la France et l’Allemagne fusionnaient pour donner naissance à un état commun. On pourrait alors parler de transfert de souveraineté démocratique. Aujourd’hui la souveraineté démocratique n’est pas transférée : elle est dissoute au bénéfice d’une techno-structure et in fine des membres d’un club.
Pour revenir au traité franco-allemand ou à toutes les opérations qui y ressemblent, dans l’absence d’une instance politique installée au niveau adéquat, pour produire les rapprochements, les convergences que l’on peut raisonnablement souhaiter, ce ne sont pas des institutions qu’il faut créer pour tenter de les imposer, mais des convergences qu’il faut réaliser, sous le contrôle des citoyens de tous les états concernés.
Évidemment c’est difficile : il faut des dirigeants éclairés et courageux pour cela. Et cela concerne certains sujets comme l’économie, quand la diplomatie a besoin d’une légitimité politique et quand la lutte contre le terrorisme peut se contenter d’une coopération avec une mise en commun de moyens. A l’inverse, les institutions nouvelles, qui se multiplient à l’infini avec un coût incontrôlé, ne sont que des alibis. Chacun le sait : quand on veut évacuer un problème, on crée une commission.
C’est ainsi qu’il faut apprécier le traité d’Aix-la-Chapelle. Beaucoup de bruit pour rien, surtout pour ne rien faire de sérieux. Juste de la poudre aux yeux, mais qui peut aveugler.
Pierre EISNER (Le Parti des Européens)
00:28 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique internationale, europe, affaires européennes, union européenne, traité d'aix-la-chapelle, aix-la-chapelle, emmanuel marcron, angela merkel, france, allemagne | | del.icio.us | | Digg | Facebook
Europa y el alma del Oriente, de Walter Schubart
Europa y el alma del Oriente, de Walter Schubart
La editorial Fides está llevando a cabo en España una meritoria labor de difusión cultural, poniendo al alcance del lector inquieto y disidente toda una serie de textos fundamentales que, de otra manera, difícilmente serían conocidos más allá de minorías exiguas. Uno de los frentes abiertos por esta empresa es la edición de textosmetapolíticos. Podríamos decir, en líneas muy generales, que lametapolítica no es otra cosa que la Filosofía. Pero la Filosofía entendida como arma de combate para futuras y posibles luchas políticas más concretas y pedestres.
La metapolítica podría entenderse como un arsenal cultural al cual podrán acudir futuros combatientes en orden a cambiar el status quo. El Sistema, el Nuevo Orden Mundial, nunca va a celebrar que se publiquen las obras de importantes pensadores verdaderamente críticos, incompatibles con ésta dominación mundial. Los autores de la Revolución Conservadora alemana, los pensadores identitarios franceses y de la Nueva Derecha, las obras (casi) completas de Alain de Benoist, los textos de Spengler, Sombart, Schmitt … todo este arsenal nos lo pone en las manos la editorial Fides, un arsenal literario-filosófico traducido a la lengua española, apto para ir abriendo puertas y ventanas en los gruesos muros del Sistema. Para que nos entre un poco de luz, y tracemos sendas de libertad contrarias al pensamiento único.
Entre las últimas novedades editoriales de esta casa, figura la reedición de un texto que en España no se publicaba desde los años 40. Se trata de la obra del filósofo, teólogo y sociólogo balto-alemán Walter Schubart (1897-1942), Europa y el alma del Oriente. La obra, además de contar con el prólogo original de su traductor, cuenta con un estudio preliminar deCarlos X. Blanco, colaborador habitual de La Tribuna del País Vasco, en el que se establecen comparaciones entre las ideas del filósofo contemporáneo Oswald Spengler y las de Schubart. Schubart exhibe un pensamiento menos "belicista" que Spengler, dotado de un mayor vuelo y profundidad de tipo espiritual. En cualquier caso, los dos grandes de la filosofía del siglo XX percibieron la decadencia de Europa y olieron la cercanía de esa tragedia de la Gran Guerra. Spengler no llegó a verla, y Schubart hubo de sufrir sus comienzos y conocer la muerte en 1942, cautivo en un campo de concentración de los bolcheviques. Como balto-alemán que era, Schubart reunía las condiciones nacionales idóneas para procurar un acercamiento entre esas dos Europas que todavía hoy se dan la espalda, seguramente por la cizaña extra-europea y globalista: la Europa occidental y la oriental, ésta última representada especialmente por el mundo espiritual ruso.
Rusia es, en sí misma, una Civilización y una Espiritualidad. El abrazo que puede brindar Rusia a nosotros los occidentales no es "el abrazo de oso", antes bien, puede ser el abrazo salvífico de quien nos vuelve a enseñar la fe y las tradiciones que aquí, en el otro extremo geográfico, ya hace tiempo hemos perdido. Rusia, con su cristianismo tan auténtico (en su versión ortodoxa) y su defensa de la familia, la tradición, la convivencia ordenada de nacionalidades y culturas, es y debe ser un ejemplo para todos nosotros. Schubart sabía que Rusia sobreviviría al bolchevismo, como España sobrevivirá a ésta y a mil ideologías foráneas y artificiales, inoculadas como virus de intención letal, pero ineficaces a la postre si al menos queda una llama de ese espíritu tradicional inmarcesible. No en vano, Schubart nos ve a los españoles, en cierta medida, como "los rusos de occidente".
Un libro sin duda recomendable ahora que los identitarios, los conservadores anti-sistema, los reformadores en el sentido anti-mundialista, los rebeldes de toda Europa occidental buscan una "reserva espiritual", y perciben que el acercamiento entre Europa y Rusia (Eurasia) se torna absolutamente imprescindible, casi una cuestión de supervivencia
00:05 Publié dans Histoire, Livre, Livre, Révolution conservatrice | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : walter schubart, orient, russie, livre, révolution conservatrice | | del.icio.us | | Digg | Facebook