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mardi, 16 décembre 2025

Police ou milice?

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Police ou milice?

Pierre-Emile Blairon

Blindés de la gendarmerie (Centaures), hélicoptères chargés de gazer les manifestants, CRS en tenue de combat… tout un dispositif jamais vu en France (si ce n’est lors des manifestations des Gilets jaunes) pour abattre… 207 vaches parfaitement saines avec la complicité de certains services vétérinaires soumis à leur Ordre, collaborateur du pouvoir globaliste, tout comme leurs collègues de l’Ordre des médecins avaient persécuté les médecins refusant les faux vaccins lors de la fausse pandémie.

Cet épisode qui a scandalisé la France entière ce 12 décembre 2025 est la suite logique d’une politique voulue par le gouvernement qui gère actuellement la France et qui privilégie et même anticipe l’application des accords passés par la Commission européenne avec certains Etats d’Amérique du Sud (Mercosur) au détriment de la paysannerie française. Nous avions déjà alerté il y a 6 mois les populations des projets radicaux de notre gouvernement qui, non seulement suit aveuglément les directives européennes mais les dépasse avec un zèle inattendu et une violence inédite dans les modalités de leur application. Voir notre article du 30 juillet 2025 : Mercosur en vue : éradication du cheptel français… et de nos paysans avec !

Quand les forces de sécurité retournent leurs armes contre le peuple qu’elles ont pour mission de protéger, quand elles obéissent aveuglément et passivement à des ordres iniques, provenant d’autorités qui dilapident nos ressources et vendent nos entreprises à l’encan, ne deviennent-elles pas une milice au service d'intérêts étrangers ou qui ne sont pas ceux de la Nation ?

Sept membres de ces forces de l’ordre ont sauvé, ce jour-là, l’honneur de leur profession et celui de leurs collègues présents sur place, en refusant de réprimer les paysans présents pour soutenir l’agriculteur obligé de voir l’extermination de son troupeau. Un ancien gendarme, Marc-Jean Clairval, a pris la parole pour rappeler les devoirs et les engagements des forces de l’ordre au service de la patrie [1] et non pas d’un gouvernement, éphémère comme tous les gouvernements.

Les Français ne mourront pas pour BlackRock qui travaille à confisquer nos terres, ni pour Bill Gates qui veut nous faire manger des insectes et de la viande artificielle, ni pour l’Ukraine mafieuse, ni pour l’Otan qui ne rêve que de soumettre la Russie et voler ses ressources, ni pour les institutions européennes corrompues à la solde des globalistes qui nous imposent une immigration débridée, ni pour le Mercosur qui va nous submerger de produits contaminés, ni pour les traîtres qui siègent à l’Assemblée nationale et au Sénat, accrochés à leurs fauteuils bien rembourrés, ceux qui font mine de s’intéresser au sort des citoyens qui les ont élus mais qui, en vérité, s’en balancent éperdument.

Les Français ne mourront pour personne d’autre que leurs familles et leurs amis, et pour rien d’autre que leur terroir, leurs villages, leur qualité de vie, leur patrimoine et leurs coutumes millénaires.

Pierre-Emile Blairon

Note: 

[1] https://www.facebook.com/reel/2988191398033538

États-Unis, Russie et Chine redessinent leurs zones d’influence. L’Europe est ignorée

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États-Unis, Russie et Chine redessinent leurs zones d’influence. L’Europe est ignorée

Enrico Toselli

Source: https://electomagazine.it/usa-russia-e-cina-ridisegnano-l...

L’Europe, à juste titre, s’est préoccupée des pages consacrées au Vieux Continent dans le nouveau document de sécurité américain. Leur sécurité, non la nôtre. Et le mépris envers la classe dirigeante européenne y est apparu évident. Mais les obtus du Bruxelles des eurocrates et les laquais des différents gouvernements étaient trop occupés à se contempler le nombril, tout en pleurnichant, pour se rendre compte que le document de Trump traite aussi d’autres choses.

Ce qui devrait intéresser l’Italie, si elle avait encore une réelle politique étrangère.

Car, en fait, Trump a annoncé qu’il renonçait à un rôle stratégique en Afrique où, de toute façon, les États-Unis resteront pour garantir des affaires pour les entreprises américaines. Question d’argent, mais sans déclencher des guerres.

En même temps, de Moscou, arrivaient des signaux d’abandon du Moyen-Orient. Un choix obligé pour l'essentiel. Trop de chaos y règne, trop de protagonistes sont en lice, trop de favoritisme en faveur d’Israël. Qu’Erdogan se débrouille, qu’il gère la situation. Et avec lui, il y aura aussi des Chinois, des Indiens, des Saoudiens, des Émiratis.

Il vaut mieux s’occuper de l’Afrique, toujours en collaboration ou en concurrence avec les Chinois, les Turcs, les Indiens, les Saoudiens, les Émiratis. Sans Israël, il est même possible de conclure un accord.

Et qui manque? L’Europe, bien sûr. Parce que seuls les proches de notre Giorgia (Meloni) nationale croient encore à la mascarade du plan Mattei. Certes, les Africains prennent de l’argent qui, pour les contribuables italiens, représente beaucoup, mais par rapport aux investissements chinois et indiens, c’est une misère, et ils concèdent quelques affaires économiques. Mais la non pertinence des Européens est totale.

La non pertinence de l’Europe, la non pertinence de l’Italie. Tant dans les pays d’Afrique subsaharienne qu'en Afrique du Nord.

Non pertinents d’un point de vue économique, ce qui est compréhensible. Non pertinents aussi d’un point de vue culturel et, pour l’Italie, c’est encore plus grave.

La République tchèque se désengage de la guerre en Ukraine

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La République tchèque se désengage de la guerre en Ukraine

Source: https://mpr21.info/la-republica-checa-se-desentiende-de-l...

Le soutien financier à l’Ukraine continue de diviser les pays membres de l’Union européenne. C’est une partie de poker. Alors que Bruxelles étudie de nouvelles astuces pour «aider» Kiev, la position annoncée à Prague par le futur chef du gouvernement contraste avec la politique d’Ursula von der Leyen et de ses alliés.

Le futur Premier ministre tchèque, Andrej Babiš, a déclaré que la République tchèque ne participerait pas aux garanties que la Commission européenne envisage pour soutenir le financement de l’Ukraine. «Nous n’accepterons aucune garantie pour quoi que ce soit et nous ne contribuerons pas financièrement», a-t-il déclaré.

Cette déclaration intervient à un moment où les dirigeants de l’Union européenne s’apprêtent à débattre d’un plan de prêts, fondé sur la confiscation des actifs russes gelés, tout en intégrant des garanties nationales.

Babiš a renvoyé la question à la Commission européenne, lui indiquant qu’elle devrait explorer d’autres voies pour obtenir du soutien. La position tchèque ajoute une contrainte politique supplémentaire à un moment où plusieurs États cherchent à mettre en place un mécanisme pour prolonger autant que possible la souffrance de l’Ukraine.

Depuis le début de la guerre, les pays européens ont soutenu Kiev par divers moyens: aide budgétaire, prêts, assistance humanitaire, relogement des réfugiés, livraison d’équipements militaires via des initiatives nationales et des mécanismes européens, formation des troupes ukrainiennes, communications satellitaires, entre autres.

L’Union européenne a également mis en place des instruments financiers pour contribuer au fonctionnement de l’État ukrainien, en parallèle des efforts bilatéraux engagés par plusieurs capitales du continent.

Depuis janvier, les États-Unis se sont désengagés de l’Ukraine, estimant que la guerre est perdue. Cette situation a accru la pression sur l’Europe pour qu’elle établisse des solutions de financement plus régulières et moins dépendantes des tiers, ce qui explique l’intérêt croissant pour des accords reposant sur le vol des actifs russes et des garanties publiques.

Le refus annoncé par Prague ne met pas fin aux négociations, mais complique la recherche d’un accord solide sur un mécanisme où les États membres seraient obligés de partager une partie du risque. L’Union européenne devra désormais gérer des positions nationales tout en tentant de maintenir l’aide sans dépenser l’argent qu’elle ne possède pas.