lundi, 21 février 2022
L'histoire secrète du triangle États-Unis-Belgique-Congo qui a conduit à la première bombe atomique
L'histoire secrète du triangle États-Unis-Belgique-Congo qui a conduit à la première bombe atomique
Source: https://it.insideover.com/storia/
Avec le début de la Seconde Guerre mondiale, le Congo est devenu une arme politique et économique essentielle pour le gouvernement belge en exil à Londres : en 1940, l'alignement, obtorto collo, du gouverneur Pierre Ryckmans sur les ministres fugitifs - de manière ambiguë, le nouveau souverain Léopold III, certain de la victoire de l'Axe, était resté chez lui -, permit l'inclusion des immenses ressources coloniales (caoutchouc, cuivre, tungstène, étain, zinc, huile de palme) dans l'économie de guerre anglo-américaine et permit à la faible entité belge d'assumer un semblant de légitimité face aux alliés envahissants. Pas seulement ça.
C'est le Congo belge qui a fourni, outre les matières premières indispensables, l'uranium nécessaire au projet atomique américain "Manhattan" et à la destruction d'Hiroshima et de Nagasaki. Une histoire complexe, dont une partie est encore enfouie dans les archives américaines, belges et britanniques.
Tout a commencé en 1915, lorsque le plus grand gisement d'uranium du monde a été découvert à Shinkolobwe, dans la région du Katanga. À l'époque, personne n'y a prêté attention, car le minéral n'intéressait que l'industrie de la céramique, qui produisait de la peinture luminescente et rien de plus. Puis l'inattendu s'est produit. En décembre 1938, deux scientifiques allemands, Otto Hahn et Fritz Strassmann, ont découvert qu'une réaction en chaîne pouvait être déclenchée par un atome d'uranium. Il s'agissait de la fission nucléaire, un processus qui pouvait produire de l'énergie mais aussi une arme terrible: la bombe atomique.
C'était un terrible secret qui n'était partagé que par un très petit nombre. Parmi eux se trouvait Edgar Sengier, le directeur de l'Union Minière. Comme le raconte David Van Reybrouck dans son livre Congo (Feltrinelli, 2014), " à la veille du conflit, il a fait expédier 1250 tonnes d'uranium, soit la production de trois années, du Katanga à New York, puis a inondé la mine. Lorsque le projet Manhattan a débuté en 1942, les chercheurs américains travaillant sur la bombe atomique se sont mis en quête d'uranium de haute qualité. Le minerai canadien qu'ils utilisaient était en fait très faible. À leur grande surprise, il s'est avéré qu'une énorme réserve était stockée dans les Archer Daniels Midland Warehouses, un entrepôt situé dans le port de New York. Cela a donné lieu à de très vives négociations avec la Belgique, qui a tiré de l'opération 2,5 milliards de dollars en espèces. C'est une excellente affaire qui a permis le formidable redressement économique du royaume à la fin du conflit.
La vente du minerai stratégique aux États-Unis et la réactivation de Shinkolobwe ont été couvertes par le plus grand secret. La mine a été rayée de la carte et les États-Unis ont lancé une opération de renseignement dans la région pour détourner les soupçons et diffuser de fausses informations sur l'exploitation minière. Tout au long de la guerre froide et des nombreuses vicissitudes du Congo indépendant, Shinkolobwe est resté actif (sous un contrôle américain discret mais strict) et a été officiellement fermé en 2004, après l'effondrement d'un passage souterrain dans lequel huit personnes ont trouvé la mort. Mais les excavations illégales se poursuivent autour des anciennes installations, dans des conditions précaires et sans protection contre les radiations, alimentant la contrebande d'uranium.
Retour en 1945. Malgré les accords secrets entre les deux gouvernements, les relations belgo-américaines changent progressivement : une fois les matériaux et les concessions acquis, Washington lésine sur l'aide promise pour la création d'une industrie nucléaire belge et commence, de plus en plus ouvertement, à critiquer la présence coloniale du petit allié européen.
Répétant le schéma de 1919, les dirigeants belges - pressés par les Américains et contestés de plus en plus violemment par les Nations unies nouvellement créées - lancent un ambitieux "plan décennal pour le développement économique du Congo". Un projet de modernisation qui, selon Bruxelles, était censé apaiser les courants anticolonialistes de l'administration américaine, faire taire les protestations de l'ONU - synergique avec la galaxie tiers-mondiste et le bloc soviétique (mais toujours fonctionnelle aux intérêts américains) - et permettre une intégration "douce" et lente, très lente, de la région dans une hypothétique et futuriste "communauté belgo-congolaise". Une illusion cruelle.
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lundi, 29 octobre 2012
Die wirklichen Gründe für den amerikanischen Abwurf der Atombomben über Japan
Die wirklichen Gründe für den amerikanischen Abwurf der Atombomben über Japan
Redaktion
Wie allen Amerikanern wurde auch mir beigebracht, dass die USA die Atombomben über Hiroshima und Nagasaki abwarfen, um den Zweiten Weltkrieg zu beenden und sowohl amerikanische wie japanische Menschenleben zu retten.
Aber die meisten führenden amerikanischen Militärs vertraten damals eine andere Auffassung.
Die amerikanische Untersuchungsgruppe Strategic Bombing Survey (USSBS), die im August 1945 von Präsident Truman beauftragt worden war, die Auswirkungen der Luftangriffe auf Japan zu untersuchen, kam in ihrem Bericht vom Juli 1946 zu dem Schluss:
»Auf der Grundlage einer ausführlichen Untersuchung aller Tatsachen und unter Berücksichtigung der Aussagen der überlebenden beteiligten japanischen Führer, vertritt die Untersuchungsgruppe die Auffassung, Japan hätte auch ohne den Abwurf der Atombomben, mit Sicherheit vor dem 31. Dezember 1945 und aller Wahrscheinlichkeit nach schon vor dem 1. November 1945 kapituliert. [Dies gilt auch dann,] wenn Russland nicht in den Krieg eingetreten und eine Invasion weder geplant noch angedacht worden wäre.« (United States Strategic Bombing Survey: »Japans’s Struggle to End the War«, 1. Juli 1946, Harry S. Truman Administration, Elsey Papers, S. 50)
Der spätere Präsident General Dwight Eisenhower war zum damaligen Zeitpunkt »Oberbefehlshaber der alliierten Streitkräfte« in Nordwesteuropa (»Supreme Commander of Allied Expeditionary Forces«, SHAEF) und für einen Großteil der amerikanischen militärischen Planungen des Zweiten Weltkriegs für Europa und Japan zuständig. Er erklärte damals: »Die Japaner waren zur Kapitulation bereit, und es war unnötig, sie noch mit diesen furchtbaren [Waffen] anzugreifen.« (Newsweek, 11.11.63, »Ike on Ike«.)
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mercredi, 09 mai 2012
Keine US-Atombomben im Juli/August 1945!
Keine US-Atombomben im Juli/August 1945!
220 Seiten - Leinen - 110 Abbildungen
Kurztext:
Dieses Buch enthüllt ein seit Kriegsende von den Siegermächten streng gehütetes Geheimnis des deutschen Untergangs 1945.Die sofortige Geheimhaltung der bei Kriegsende in Mitteldeutschland erbeuteten nuklearen Hochtechnologie wurde mit der lapidaren Behauptung »die US-Army hat nichts gefunden« verbunden. Die Untersuchung des historischen Sachverhaltes bestätigt jetzt eine von den USA inszenierte und seit 1945 gepflegte Falschdarstellung der Atombomben-Entwicklungsgeschichte. Die Reichsregierung hatte sich felsenfest auf den von der Wissenschaft zugesicherten Besitz der Atombombe verlassen. So wurde die Entwicklung der ›Siegeswaffe‹ gegenüber der eigenen Bevölkerung bis zum Kriegsende streng geheimgehalten. Als der Zusammenbruch kam, bevor die Atombomben eingesetzt wurden, brauchte die Geheimhaltung der deutschen Atombombe von den USA lediglich fortgeführt zu werden.
Das Buch räumt mit bisherigen Ansichten zur Frühzeit der Atombomben auf und zeigt, wie das offizielle Amerika die Zeitgeschichte in einem wichtigen Bereich fälschte.
Klappentext:
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dimanche, 09 août 2009
El genocidio de Hiroshima
El genocidio de Hiroshima
Hace 64 años el presidente Truman ordeno lanzar la primera bomba atomica contra la humanidad, cometiendo un genocidio que aun no se ha juzgado en ningun tribunal internacional
El 6 de agosto de 1945 Estados Unidos asesino a mas de 200.000 civiles en la ciudad de Hiroshima, lanzando contra ella la primera bomba nuclear utilizada como arma de guerra en la historia de la humanidad, y tres dias despues sucedio lo mismo en Nagasaki. Se estima que hacia finales de 1945, las bombas habían matado a 140.000 personas en Hiroshima y 80.000 en Nagasaki, aunque solo la mitad había fallecido los días de los bombardeos y el resto por heridas incurables o enfermedades atribuidas al envenenamiento por radiación.
El presidente Harry S. Truman, quien ordeno el bombardeo, no lo hizo para acabar con la guerra y la escasa resistencia de Japon. Los mismos japoneses estaban intentando negociar la paz, y habian pedido la mediacion a Stalin. Antes de que la URSS pudiera aceptarla, EE.UU. se encargo de que las negociaciones de paz no tuvieran lugar y Japon se entregara a una rendicion incondicional. Japon ya estaba practicamente vencido, y la escusa de que la bomba se lanzo para evitar “mas muertes de civiles”, como cinicamente aseguro Truman, se desarma cuando miramos los miles de japoneses inocentes que murieron con los lanzamientos. En ningun caso hubieran muerto tantos si la guerra hubiera durado dos meses mas.
Estados Unidos demostro con el uso de la bomba atomica la calidad humana de sus dirigentes, su personalidad genocida. La Segunda Guerra Mundial pasara a la historia no solo por el holocausto perpetrado por los nazis, contra judios, gitanos, comunistas y homosexuales (entre otros), sino tambien por la extrema crueldad de Estados Unidos, que entonces demostro que la vida humana no le importa lo mas minimo, actitud que ha continuado de diversas formas asesinas hasta hoy dia.
El genocidio de Hiroshima y Nagasaki no ha sido juzgado por ningun tribunal internacional todavia, porque los genocidas fueron los vencedores en esta ocasion. No hubo Tribunal de Nuremberg para Truman y sus secuaces. Pero la historia, a pesar de las justificaciones que han inventado los medios de comunicacion actuando de silenciador moral, no deja de mostrarnos lo horrible de los actos de los que son capaces de utilizar cualquier metodo para lograr sus fines materiales.
Con una hipocresia que hiela toda capacidad de sentimiento, que indigna hasta a las piedras, los EEUU han venido acusando a todos sus enemigos de asesinos, crueles genocidas, o tiranos, mientras que ellos, tras el silenciador de la opinion publica, creada por los escribanos y voceros del sistema, muy bien pagados, continuan orgullosos de sus crimenes y ejecutándolos, de una manera u otra, hasta el presente y a lo largo de todo el planeta.
Aunque de sus horrendos y continuos crimenes el asesinato de 220.000 japoneses de un golpe, (sin contar las secuelas radioactivas producidas en los pocos supervivientes), el genocidio producido por el lanzamiento de las dos unicas bombas nucleares lanzadas hasta hoy contra la humanidad, es, si cabe, el mas ilustrativo de la verdadera naturaleza criminal del imperio yankee y del corazon podrido de sus primeros peones, los presidentes de Estados Unidos (independientemente del color de su piel).
Jose Luis Forneo
Extraído de CuestiónateloTodo.
00:20 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : histoire, japon, deuxième guerre mondiale, seconde guerre mondiale, armes nucléaires, bombe atomique, pacifique | | del.icio.us | | Digg | Facebook