jeudi, 25 août 2022
L'Allemagne des corps francs
L'Allemagne des corps francs
Giovanni Sessa
SOURCE : https://www.barbadillo.it/105730-la-germania-dei-corpi-franchi/
I soldati perduti d'Ernst von Salomon, volume en langue italienne édité par Antonio Chimisso.
Ernst von Salomon était l'un des hommes les plus emblématiques de la composante nationale-révolutionnaire au sein de la révolution conservatrice. Il était proche, du moins pendant une certaine période, des cercles du bolchevisme national mais, contrairement à son frère Bruno, avec qui il a partagé une partie de son propre parcours théorico-politique, il n'est jamais tombé dans l'illusion de vivifier le communisme, une idée abstraite et moderne, avec l'esprit germanique. Il était un écrivain exceptionnel. C'est ce que montrent des œuvres telles que Les réprouvés, La Ville et Les Cadets. Comme preuve de l'extraordinaire importance littéraire de sa production et de sa valeur en tant que témoignage participatif de l'une des périodes les plus dramatiques de l'histoire allemande, à savoir les années qui ont suivi la Première Guerre mondiale, un de ses volumes, I soldati perduti (Les soldats perdus), publié par Oaks et soigneusement édité par Antonio Chimisso, a récemment été mis en librairie (pour les commandes : info@oakseditrice.it, pp. 144, euro 15,00). Outre le texte qui donne son nom au recueil, le livre comprend trois nouvelles, Der Totschläger, Senta et Besuch zu Ernst Jünger, une chronique de la visite, vingt ans après leur dernière rencontre, rendue au grand écrivain et ami de toujours. Le texte est accompagné d'un vaste dossier photographique, dans lequel von Salomon est présenté à différents moments de sa vie.
Ernst von Salomon est le témoin d'une grande tragédie : "Ma tragédie [...] est [...] d'être un Allemand sans Allemagne, un Prussien sans Prusse, un monarchiste sans monarchie" (p. 45). Bien que sa vaste production traverse la dimension de l'absence, de la fin d'un monde, commune à tant de littératures d'Europe centrale, il ne vit pas avec des regrets mais se dépense en quête d'une action salvatrice. Depuis le début de l'après-guerre, son intention la plus profonde était d'affirmer la valeur et le trait spirituel de l'idée nationale allemande, bien au-delà des clôtures de tout nationalisme ethnique. Il en a tiré son propre : "détachement du national-socialisme, dont il ne partageait pas la vision de la souveraineté aux mains du peuple porteur de sa propre volonté interprétée par le Führer" (p. 13). Pour von Salomon, authentique Prussien, l'autorité est incarnée par le Souverain: "le premier serviteur de l'État" (p. 13). L'ennemi de la souveraineté traditionnelle était la bourgeoisie, dont l'esprit était incarné par le capitalisme. Il fallait se battre pour les classes qui ont souffert de la tyrannie économique de la bourgeoisie internationale à la fin de la Première Guerre mondiale, les paysans. Ernst von Salomon était actif, avec d'autres membres de la révolution conservatrice aux côtés de son frère, dans le Schleswig-Holstein pendant le soulèvement rural. Il a été arrêté. À cette occasion, Jünger lui a écrit que le soulèvement avait exposé les traits bourgeois et systémiques des nazis et des communistes eux-mêmes.
Son amitié avec l'écrivain entomologiste l'a conduit à écrire Der verlorene Haufen, un texte inclus dans le recueil intitulé Krieg und Krieger, édité par Jünger. Dans ses pages, l'auteur évoque l'épopée et l'échec ultérieur de l'expérience des Corps francs. Le style d'écriture est lapidaire, presque mécanique, apparemment froid mais efficace : il nous fait ressentir le pathos qui animait ces groupes de guerriers, déterminés par le contact avec le danger, avec l'élémentaire que la guerre avait permis de redécouvrir. Les membres du corps franc avaient fait un choix né "de l'indistinct, du cœur, d'un malaise qui ne peut trouver son remède que dans le danger, dans la confrontation, dans la lutte" (p. 26). Leurs succès ont été rendus insignifiants par une classe politique inepte. Au terme de leur expérience, ils se sont dispersés. Nombre d'entre eux, comme von Salomon, dans les années de l'hitlérisme, étaient exilés dans leur propre patrie, car ils voyaient dans la NSDAP, rappelle Chimisso, un "héritier illégitime et profiteur des sacrifices de ceux qui avaient donné naissance à cette épopée" (p. 27). Plusieurs fois au fil du temps, von Salomon est revenu pour discuter de cette expérience. Dans ses derniers écrits, la désillusion de la trahison subie semble s'estomper et le souvenir d'une expérience unique émerge.
Dans la nouvelle Der Totschläger, le protagoniste est l'alter ego de l'auteur : il incarne le malaise qu'il ressent à l'égard du monde bourgeois. Invité à une fête chez des connaissances liées à ce milieu, il ne se reconnaît pas dans les personnes présentes, il se sent éloigné, différent d'elles. Puis, dans un crescendo narratif, magistralement rendu par l'écrivain, il se jette sur les objets de l'appartement et finalement, de manière inattendue, tue l'un des invités. C'est, une fois encore, l'émergence de l'élémentaire qui guide sa main. Ces pages plantent le décor de l'élan émotionnel qui a poussé von Salomon à s'engager dans les Corps francs : "Ce que nous voulions, nous ne le savions pas, et ce que nous savions, nous ne le voulions pas" (p. 32). Ce n'est qu'en retournant à la nature que l'on pouvait trouver une issue au conformisme chloroformant de la société mercantile.
Un autre thème est évident dans Senta. C'est le nom d'un chien, un berger allemand femelle élevé à l'école de police et entraîné à contrôler les prisonniers dans la prison où était détenu von Salomon. C'était un chien agressif. Malgré cela, le détenu von Salomon a établi une relation amicale avec l'animal. Lorsqu'il a décidé de sauter par-dessus les murs de la prison, il était convaincu que le chien ne se jetterait pas sur lui. Senta, au contraire, l'a attaqué, l'a immobilisé. Le chien est devenu un symbole de loyauté envers le devoir auquel il a été élevé, un emblème de la Haltung : "du citoyen dans l'état idéal de von Salomon" (p. 34). Enfin, dans le souvenir de la rencontre avec Jünger dans la maison de Wilflingen, l'auteur reconstitue l'amitié intense qui les avait liés dans leur jeunesse et qui ne s'était pas estompée, malgré les vingt ans de séparation. Une rencontre entre des hommes qui, à la fin de la Seconde Guerre mondiale, ont perdu le monde auquel ils avaient appartenu. Ce monde a continué à vivre dans l'espace libre de leur cœur.
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samedi, 27 juin 2009
Petite bibliographie sur la Révolution Conservatrice allemande
GENERALITES
-Armin MOHLER : La Révolution Conservatrice allemande (1918-1932), Pardès, Puiseaux, 1993 (Première édition 1950).
-Dominique VENNER : Histoire d’un fascisme allemand, les corps-francs du Baltikum et la Révolution Conservatrice, Pygmalion/Gerard Watelet,Paris, 1996.
-Stefan BREUER : Anatomie de la Révolution conservatrice, Editions de la Maison des Sciences de l’Homme, Paris, 1996.
-Louis DUPEUX : Aspects du fondamentalisme national en Allemagne de 1890 à 1945 et essais complémentaires, Presses Universitaires de Strasbourg, 2001.
-Louis DUPEUX (sous la direction de) : La « Révolution Conservatrice » dans l’Allemagne de Weimar, Editions Kime, Paris, 1992.
-Barbara KOEHN (sous la direction de) : La Révolution conservatrice et ses élites intellectuelles, Presse Universitaires de Rennes, 2003.
-Paul LACOSTE : La Révolution Conservatrice allemande (1918-1932), Imperium, Epinay sur Orge, 1997.
-Edmond VERMEIL : Doctrinaires de la Révolution allemande 1918-1938, Nouvelles Editions Latines, Paris, 1948.
-Robert STEUCKERS (éditeur) : in Vouloir n°8 nouvelle série, Révolution Conservatrice, automne 1996.
-Robert STEUCKERS : La « Révolution Conservatrice » en Allemagne, 1918-1932 in Vouloir ancienne série n°59/60, novembre-décembre 1989, p : 11-16.
-Luc PAUWELS : Armin MOHLER et la « Révolution Conservatrice » in Vouloir ancienne série n°63/64, Printemps 1990, p : 13-19.
-Alain de BENOIST (entretien avec) : in Eléments n°70, printemps 1991, p : 24-37.
-Giorgio LOCCHI : Die Konservative Revolution in Deutschland 1918-1932 in Nouvelle Ecole n°23, automne 1973, p : 94-107.
-Erwin BUCHEL : Armin MOHLER, l’historien de la « Révolution Conservatrice » in Nouvelle Revue d’histoire n°8, septembre-octobre 2003, p : 22-23.
LES JEUNES CONSERVATEURS
-Oswald SPENGLER : Le déclin de l’Occident, 2 volumes, Gallimard, Paris, 1948.
-Oswald SPENGLER : Prussianisme et socialisme, Actes Sud/ Hubert Nyssen, Arles, 1986.
-Oswald SPENGLER : L’homme et la technique, Idées, Gallimard, Paris, 1969.
-Oswald SPENGLER : Années décisives, Copernic, Paris, 1980.
-Oswald SPENGLER : Écrits et pensées, Copernic, Paris, 1980.
-Robert STEUCKERS (éditeur) : Dossier Spengler in Orientations n°1, janvier 1982, p : 14-25.
-Thomas MANN : Considérations d’un apolitique, Grasset, Paris, 1975 (réédition 2002).
-Denis MAGNE : Thomas MANN ou la domination des contraires in Nouvelle Ecole n°41, Automne 1984, p : 11-44.
-Laurent SCHANG : La jeunesse « apolitique » de Thomas Mann in Nouvelles de Synergies Européennes n°33, mars-avril 1998, p : 21-22.
-Carl SCHMITT : La notion de politique/ théorie du partisan, Champs/Flammarion, Paris, 1992.
-Carl SCHMITT : Terre et mer. Un point de vue sur l’histoire mondiale, Labyrinthe, Paris, 1985.
-Carl SCHMITT : Du politique, « légalité et légitimité » et autres essais, Pardès, Puiseaux, 1990.
-Carl SCHMITT : Machiavel-Clausewitz, droit et politique face aux défis de l’histoire, Krisis, Paris, 2007.
-Carl SCHMITT : La dictature, Seuil, Paris, 2000.
-Carl SCHMITT : Théologie politique, Gallimard, Paris, 1988.
-Alain de BENOIST : Carl Schmitt actuel-« Guerre juste, terrorisme, état de guerre, Nomos de la terre », Krisis, Paris, 2007.
-Arthur MOELLER VAN DEN BRUCK : Le troisième Reich, Fernand Sorlot, Paris, 1981.
Arthur MOELLER VAN DEN BRUCK : La révolution des peuples jeunes, Pardès, Puiseaux, 1993.
-Alain DE BENOIST : Arthur MOELLER VAN DEN BRUCK, une « question à la destinée allemande » in Nouvelle Ecole n°35, Hiver 1979-1980, p : 40-73.
-Giselher WIRSING : L’âge d’Icare, de la loi et des frontières de notre temps, PanEuropa, Paris, 2003 (édition originale 1944).
LES NATIONAUX-REVOLUTIONNAIRES/NEO-NATIONALISTES
-Ernst JUNGER : Orages d’acier, Livre de poche, Paris, 1989.
-Ernst JUNGER : Le boqueteau 125, Christian Bourgois (nouvelle traduction), Paris, 1995
-Ernst JUNGER : La guerre comme expérience intérieure, Christian Bourgois, Paris, 1997 (nouvelle traduction de La guerre, notre mère).
-Ernst JUNGER : Feu et sang, Christian Bourgois, Paris, 1998.
-Ernst JUNGER : Lieutenant Sturm, Viviane Hamy, Paris, 1991.
-Ernst JUNGER : Le travailleur, Christian Bourgois, Paris, 1989.
-Ernst JUNGER : Sur les falaises de marbre, Gallimard, Paris, 1979.
-Alain de BENOIST : La figure du travailleur entre dieux et titans in Nouvelle Ecole, n°40, automne 1983, p :11-61.
-Alain de BENOIST (Editeur) : in Nouvelle Ecole, n°48, année 1996, Ernst JUNGER.
-Robert STEUCKERS (Editeur) : in Vouloir n°4 nouvelle série, printemps 1995, Ernst JUNGER 100 ans.
Robert STEUCKERS (Editeur) : in Nouvelles de Synergies Européennes, Hommage à Ernst JUNGER, n°33, mars-avril 1998, p : 2-10
-Isabelle GRAZIOLI-ROZET : JUNGER, Qui suis-je ?, Pardès, Grez-Sur-Loing, 2007.
-Isabelle GRAZIOLI-ROZET : Hommage à Ernst JUNGER in Eléments n°92, Juillet 1998, p : 4-8.
-Philippe BARTHELET (Sous la direction de) : Ernst JUNGER, Les Dossiers H, L’Âge d’Homme, Paris/ Lausanne, 2000.
-Ernst VON SALOMON : Les cadets, UGE/10-18, Paris, 1986.
-Ernst VON SALOMON : Les réprouvés, Christian Bartillat, Paris, 2007.
-Ernst VON SALOMON : Histoire proche, essai sur l’esprit corps-franc, Porte Glaive, Paris, 1987.
-Ernst VON SALOMON : Le questionnaire, Gallimard, Paris, 1982.
-Ernst NIEKISCH : « Hitler, une fatalité allemande » et autres écrits nationaux-bolcheviks, Pardès, Puiseaux, 1991.
-Thierry MUDRY : L’itinéraire d’Ernst NIEKISCH in Orientations n°7, septembre-octobre 1986, p : 34-37.
-Paul BAHN : L’itinéraire de Friedrich HIELSCHER, 1902-1990 in Nouvelle Ecole n°53-54 (Le Fascisme), année 2003, p : 170-182.
-Robert STEUCKERS : Friedrich-Georg JUNGER (1898-1977), la perfection de la technique, Synergies Européennes, Bruxelles, 1996.
-Robert STEUCKERS : L’itinéraire philosophique et poétique de Friedrich-Georg JUNGER in Vouloir n° 45/46 ancienne série, janvier-mars 1988, p : 10-12.
LES VOLKISCHEN/ FOLCISTES
-Ludwig FERDINAND CLAUSS : L’âme des races, L’homme Libre, Paris, 2001.
-Ludwig FERDINAND CLAUSS : David et Goliath in Etudes et Recherches nouvelle série, n°2, quatrième trimestre 1983, p :17-23.
-Hans F. K. GUNTHER : Platon, eugéniste et vitaliste, Pardès, Puiseaux, 1987.
-Hans F. K. GUNTHER Religiosité indo-européenne, Pardès, Puiseaux, 1987.
-Hans F. K. GUNTHER Mon témoignage sur Adolf Hitler, Pardès, Puiseaux, 1990.
-Hans F. K. GUNTHER Les peuples de l’Europe, Editions du Lore, 2006.
-Hans F. K. GUNTHER La race nordique chez les Indo-Européens d’Asie, L’Homme Libre, Paris, 2006.
-Otto RAHN : La cour de Lucifer, Pardès, Puiseaux, 1994.
-Robert STEUCKERS : L’œuvre de Hermann Wirth (1885-1981) in Vouloir n°101/102/103/104 ancienne série, avril-juin 1993, p : 53-55.
-Nicholas GOODRICK-CLARKE : Les racines occultistes du nazisme. Les Aryosophistes en Autriche et en Allemagne, 1890-1935, Pardès, Puiseaux, 1989.
LES BUNDISCHEN
-Karl HOFFKES : Wandervogel révolte contre l’esprit bourgeois, ACE, Saint-Etienne, 2001 (nouvelle édition augmentée).
-Alain THIEME : La jeunesse « Bundisch » en Allemagne au travers de Die Kommenden (janvier 1930-juillet 1931), ACE, Saint-Etienne, 2003.
-Walter FLEX : Le pèlerin entre deux mondes, Porte Glaive, Paris, 1996.
-Hans BLUHER : Wandervogel, histoire d’un mouvement de jeunesse, tome 1, Les Dioscures, Paris, 1994.
-Luc SAINT-ETIENNE : La sexologie politique de Hans BLUHER, GRECE, Paris, 1994.
LE LANDVOLKBEWEGUNG/ MOUVEMENT PAYSAN
-Ernst VON SALOMON : La ville, Gallimard, Paris, 1986.
-Michelle LE BARS : Le mouvement paysan dans le Schleswig Holstein 1928-1932, Peter Lang, Berne, 1986.
DIVERS
-Robert STEUCKERS : Conception de l’homme et Révolution Conservatrice, Heidegger et son temps in Nouvelle Ecole n°37, Printemps 1982, p : 55-75.
-Robert STEUCKERS : Le mouvement métapolitique d’Engelbert PERNERSTORFER à Vienne à la fin du XIXème siècle, précurseur de la « Révolution Conservatrice » in Nouvelles de Synergies Européennes n°55/56, avril-juillet 2002, p : 21-35.
-Stefan GEORGE : Dichtungen/Poèmes, édition bilingue, Aubier/Flammarion, Paris, 1969.
-Stefan GEORGE : L’étoile de l’alliance, Editions de la Différence, Paris, 2005.
-Jean-François THULL : Claus SCHENK Graf von Stauffenberg, un aristocrate dans la tourmente in Le Baucent, n° 19, mai-juin 2000, p : 25-30.
-Henri COURIVAUD : L’Allemagne secrète de Claus von Stauffenberg in Revue Catholica n°97, Automne 2007, p : 111-126.
-H.T. HANSEN : Julius EVOLA et la « Révolution Conservatrice » allemande, association les Deux Etendarts, Montreuil-sous-Bois, 2002.
-Werner SOMBART : Le bourgeois, Petite Bibliothèque Payot, Paris, 1966.
-Werner SOMBART : Le socialisme allemand, Pardès, Puiseaux, 1990.
-Alain de BENOIST : Le paradigme de la culture humaine in Les idées à l’endroit, Editions Libres/Hallier, Paris, 1979, p : 215-249.
-Ferdinand TONNIES : Communauté et société, Retz, Paris, 1977.
-Armin MOHLER : Le « style » fasciste in Nouvelle Ecole n° 42, Eté 1985, p : 59-86.
-Martin KIESSIG : Ludwig KLAGES et son temps in Vouloir ancienne série n°59/60, novembre-décembre 1989, p : 17-19.
-Thierry MUDRY : Le « socialisme allemand », analyse du télescopage entre nationalisme et socialisme de 1900 à 1933 en Allemagne in Orientations n°7, septembre-octobre 1986, p : 21-30.
-Thierry MUDRY : La figure du partisan, approche historique in Le Partisan Européen, n°7-8, Vendémiaire-Brumaire 1986, p :10-22.
-Thierry MUDRY : Le « socialisme allemand » de Werner Sombart in Orientations n°12, été 1990-hiver 1990-91, p : 22-27.
-Julien Freund : La décadence, Sirey, Paris, 1984.
Bibliographie réalisée par Pascal Lassalle Pour Novopress France
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