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mardi, 18 octobre 2016

Alexandre Mendel à Toulouse

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mercredi, 21 septembre 2016

Le Djihad asiatique en pleine prolifération

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Le Djihad asiatique en pleine prolifération

par Jean-Paul Baquiast

Ex: http://www.europesolidaire.eu

Depuis plusieurs mois, de plus en plus de djihadistes combattant en Syrie n'étaient pas syriens, ni même arabes. Ils provenaient d'Asie, Asie centrale, Chine, Russie et principalement d'Ouzbékistan. Connus comme les Ouzbeck d'Alep, différents groupes tels la Katibat al Taqhid wal Jihad (KTJ), l'Imam Bukhari Jamaat (IBJ) et la Jaish al-Muhajireen wal Ansar,se sont alignés sur Al Nusra. Début 2016, on estimait qu'ils étaient 5.000 en Syrie dont 1500 à Alep, principalement Chechens, Ouzbeck et Tajiks. S'y ajoutent des combattants chinois Ouighours au nombre de plus de 1000 à Idlib. Les effectifs des uns et des autres ne cessent d'augmenter.
 
Cette situation explique la volonté de la Russie, qui se sent menacée directement, à combattre les groupes terroristes en Syrie et principalement à Alep, conjointement avec les forces de Bashar al Assad. Les Américains n'ont évidemment pas le même souci. Comme nous l'avons rappelé dans un éditorial précédent (http://www.europesolidaire.eu/article.php?article_id=2293...?, ils continuent à vouloir faire remplacer Bashar par un gouvernement sous contrôle. Aussi bien pour les Russes, comme ils viennent de l'expliquer au Conseil de Sécurité, l'erreur américaine ayant conduit le 17 septembre à bombarder des positions loyalistes, entrainant plus de 50 morts, n'était peut-être pas une simple erreur.
 
L'Indonésie et l'Inde

L'emprise djihadiste en Asie ne se limite pas à l'Ouzbekistan et pays voisins. En janvier 2016, il y eu l'attentat meurtrier à Djakarta en Indonésie. Même si l'Inde paraît moins immédiatement menacée, les autorités s'inquiètent du pullulement de groupes Wahhabites soutenu par l'Arabie saoudite et en liaison avec des djihadistes syriens. Dès 2011, le major général (er) Afsir Garim avait mis en garde contre les menaces des fondamentalistes (voir http://www.indiandefencereview.com/interviews/the-new-fun... ) Le danger n'a fait que s'aggraver depuis. Il en est de même en Malaisie où le diplomate (er) Dennis Ignatius ne cesse de dénoncer la « saoudisation » de l'Asie du sud-est. Ceci a été exploité par Daesh qui a créé une unité combattante de langue malaise, la Katibah Nusantara Lid Daulah Islamiyyah ila.

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Il faudrait se demander par ailleurs pourquoi les Etats asiatiques menacés par un terrorisme largement financé et instruit par l'Arabie saoudite ne s'unissent pas enfin pour obliger, si besoin par les armes, le Royaume à cesser de nuire. La même question se pose à l'égard des pays européens. La réponse sera toujours la même. Ryad est inattaquable, compte tenu des ressources pétrolières qu'il détient et dont profitent tous ces Etats, notamment sous la forme de commandes à leur industrie civile ou militaire. Comme par ailleurs, s'en prendre directement à l'Arabie saoudite serait s'en prendre directement au lobby militaro-pétrolier américain, on comprend que les volontaires ne se précipitent pas.

Note. Pour plus de détails, voir atimes.com daté du 9 février 2016 mais encore utile

http://atimes.com/2016/02/asian-rebels-in-aleppo-western-blind-spot/

 

vendredi, 25 mars 2016

Jeu de miroir entre le « boboïsme » et le jihadisme

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Jeu de miroir entre le « boboïsme » et le jihadisme

Ex: http://lesalonbeige.blogs.com

Lu sur Eecho qui fait un amalgame politiquement très incorrect:

"Le terrorisme jihadiste interpelle nos sociétés au plus profond. Saurons nous l’appréhender en vérité ? La propagande radicale des islamistes exige une réponse radicale, à son niveau. Mais nos sociétés en semblent bien incapables… 

[...] Mais on ne comprendra ces actes qu’en considérant les facteurs déterminants du terrorisme :

  • l’existence d’une doctrine, d’un corpus idéologique, permettant de justifier le terrorisme (au nom d’un bien supérieur), que cette justification soit laïque, religieuse ou autre encore ;
  • l’existence de grands intérêts (Etats, groupes à visée de domination politique ou idéologique),  prêts à financer et/ou à armer des groupes et des actions terroristes en vue de se servir d’eux ;
  • l’existence de franges de population idéologiquement prêtes à soutenir ces groupes ou actions, voire à s’y engager.

Nos dirigeants ont-ils agi sur – contre – ces trois facteurs ? Rarement. L’action de la police et de la justice est entravée. Aucun commanditaire du terrorisme n’est en prison, ni n’a été privé de ses avoirs financiers (au contraire de certains Syriens et Russes qui, eux, combattent le terrorisme), et, historiquement, on a souvent vu que ceux que nos médias et dirigeants ont accusés d’être de ces commanditaires n’en étaient en fait pas (Saddam Hussein, Mouammar Kadhafi). On n’en a pas moins mis en oeuvre les moyens pour les liquider sans états d’âme. Les vrais commanditaires, eux, sont reçus dans nos capitales avec tous les honneurs, quand ils n’organisent pas en Europe même leurs meetings politico-religieux sans être inquiétés.

Face à la « radicalisation », des puérilités ?

Quant à « l’islam radical » comme on dit maintenant, il se porte bien, merci. Sa propagande circule librement, rien n’est fait pour s’opposer à ses idées. Le comble en la matière a-t-il été atteint ? A la suite d’autres entités (comme l’Etat jordanien), la région de Bruxelles s’était mise en tête de produire des vidéos (30 fois 3 mn) pour « lutter contre la radicalisation » et avait offert 275 000 € à Ismaël Saidi, aidé par un belgo-marocain et un Belge islamisé, pour réaliser ce projet ; ceux-ci, découragés, ou pour d’autres raisons, avaient finalement renoncé

[...] La propagande radicale des islamistes exige une réponse radicale, à son niveau. Elle manipule des espérances qui touchent aux ressorts les plus profonds de l’âme humaine. Pensons-nous vraiment que l’on puisse répondre à tel imam britannique radical, qui expliquait publiquement et très posément que les musulmans sont, par nature, des victimes innocentes et les non-musulmans des coupables qui ne méritent pas vraiment de vivre, par une vidéo sur les dangers de la réalité virtuelle pour les adolescents ? Les déclarations de cet imam, et de tant d’autres établis en Europe même, s’inscrivent dans un schéma de pensée cohérent et très séducteur. Elles sont très logiques si l’on croit vraiment, conformément à l’islam, que le salut du monde est en jeu. Nos gouvernants n’ont rien à répondre et opposer sur le fond : « [face au jihadisme] il ne peut y avoir aucune explication qui vaille. Car expliquer, c’est déjà vouloir un peu excuser » tonitruait Manuel Valls début janvier 2016. Cette parfaite incarnation de la défaite de la pensée est gravissime. Car la violence justifiée ne se résume pas au seul jihadisme. [...]

Ainsi, s’il existe une doctrine et un « projet jihadiste », appuyés par de grands intérêts et des franges de population prêtes à les soutenir, il nous faut être tout aussi lucides sur la doctrine et le « projet de l’Occident », eux aussi appuyés par de grands intérêts (d’autres ou les mêmes ?) et soutenus idéologiquement par certaines populations : ces attentats et leur contexte révèlent une troublante gémellité des sociétés musulmanes et occidentales. Le dogme de la « bienpensance européenne » obligatoire nous fait en effet rêver lui aussi d’un monde délivré du mal, sous l’aspect d’un monde de paix, fait de convivialité, de consommation heureuse et de dialogue des cultures. À ce dogme de foi laïciste, tout doit être sacrifié. Certains parlent de « boboïsme » pour qualifier ce qui ressemble bien à un « Royaume de Dieu » sans Dieu.

Objectivement, il ne s’agit de rien de moins que de sauver le monde de son mal, tout comme le veulent les jihadistes. Dans ce projet tout aussi séducteur que le leur, seule diffère la voie empruntée. Pour les uns comme pour les autres, il n’y a plus de morale qui tienne : la fin justifie tous les moyens. Espérant atteindre celle-ci, les dirigeants européens (et leurs électeurs ?) laissent les populations délibérément exposées aux atrocités du jihadisme que l’islam contient en germe. Traiter efficacement ce problème à la racine exigerait de renoncer au dogmatique projet de « dialogue des cultures », auquel on sacrifie tout à Bruxelles comme à Paris. On préférera s’enfoncer dans la voie de l’Etat policier pour forcer les franges réticentes à accepter la mise en oeuvre de ce « boboïsme », en déployant d’un autre côté des trésors de propagande subventionnée pour leur en faire accepter les contradictions : pour vivre « en paix » dans un « monde convivial », il faudrait y accepter l’autre tel quel, y compris lorsqu’il défend les pires sectarismes – qui portent tous les ferments de la violence, notamment contre les femmes et les chrétiens.

Eviter le piège et construire l’avenir

Des oppositions idéologiques existent certes entre le « boboïsme » et le jihadisme : le piège est de leur accorder plus d’importance qu’elles n’en méritent. Elles ne sont qu’accessoires dans la vaste pièce de théâtre médiatique qui nous est jouée. Les convergences de fond, elles, sont déterminantes : les « boboïstes » sont les premiers à aller manger dans la main des commanditaires du terrorisme, une main pleine de pétrodollars. Mais surtout : il existe un jeu de miroir entre le « boboïsme », qui recourt au terrorisme intellectuel et à l’Etat policier, et le jihadisme, qui recourt au terrorisme que l’on connaît – l’un ayant besoin de l’autre pour se justifier, en identifiant celui-ci à la figure du mal à éradiquer en vue du salut du monde. Voilà également ce qu’il faudrait dire aux jihadistes décervelés, qui n’imaginent pas qui ils servent, notamment lorsqu’ils partent en Syrie tuer des musulmans sunnites et s’y faire tuer : à qui cela profite-t-il ? Telle est l’autre question qui mériterait d’être posée…

Croire naïvement aux jeux d’opposition entre le « boboïsme » et le jihadisme, c’est tomber dans un piège qui ne conduira qu’à la répétition des épisodes de Bruxelles et Paris, à laquelle répondront l’affermissement de la « guerre contre le terrorisme » et la frénésie consumériste de la « génération Bataclan » (au « mode de vie hédoniste et urbain » revendiqué par Libération comme antidote au jihadisme…). Cet engrenage sans fin et maléfique entraîne le monde dans une montée aux extrêmes, vers une conflagration générale.

En sortir exigerait de considérer en vérité les présupposés idéologiques qui nous animent, de poser la question du mal et en particulier celle du salut du monde. Et d’écouter les chrétiens : ils s’échinent à clamer qu’on ne viendra pas à bout du mal qui accable ce monde avec des rêves idéologiques qui ne font qu’ajouter du mal au mal. Le sommet de tous les pièges, c’est précisément de rêver d’éradiquer le mal du monde. Car, si nous pouvons rendre celui-ci meilleur autour de nous (ce qui se passe là où les chrétiens ont de l’influence, en Orient comme en Occident), nous ne trierons jamais le bon grain de l’ivraie, comme Jésus l’a prévenu. Avons-nous retenu les leçons du 20e siècle ? Chaque tentative se solde immanquablement par l’arrachage du bon grain en même temps que l’ivraie, par le sacrifice de wagons entiers d’innocents aux idoles que représentent les perspectives de faux saluts. Encore faudrait-il que les chrétiens puissent porter cette parole : lorsqu’ils ne sont pas réduits au silence et persécutés à cause d’elles, ils sont si facilement séduits par ces fausses espérances."

00:10 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : terrorisme, jihadisme, bobos, boboïsme, philosophie | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

lundi, 07 décembre 2015

Albania, uno scenario di primo piano nel jihadismo dei Balcani

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Albania, uno scenario di primo piano nel jihadismo dei Balcani

Giovanni Giacalone

Ex: http://www.ispionline.it

L'Albania sta assumendo un ruolo centrale riguardo alla radicalizzazione islamica nei Balcani. Lo conferma l'arresto, a Tirana, di due reclutatori dell'ISIS che, tra l'altro, avevano stretti legami con l'Italia. Una questione importante è legata al contesto delle moschee radicali albanesi, potenzialmente veri e propri centri di reclutamento di individui in situazioni socio-economiche precarie, a cui l'ISIS sembra offrire "nuove opportunità". Per questo motivo, e perché si contano già più di 140 jihadisti albanesi in Siria, l'Albania risulta un paese a rischio: da monitorare con attenzione.

L’Albania è recentemente diventata un panorama di primo piano per quanto riguarda la radicalizzazione islamista nei Balcani, con reti di propaganda e reclutamento attive sul territorio e con una stima di 140-160 jihadisti partiti per la Siria con l’obiettivo di unirsi a Isis e a gruppi qaedisti.  Risultano numerose le moschee fuori controllo, terreno potenzialmente fertile per la propaganda jihadista ed emergono inoltre interessanti i legami con l’Italia.

La rete di Genci Balla e Bujar Hysa e i legami con Almir Daci

Il principale network albanese di reclutamento era guidato da Genci Balla e Bujar Hysa, due imam attualmente in carcere a Tirana e sotto processo con l’accusa di propaganda e reclutamento. I predicatori erano stati arrestati nel marzo 2014 assieme ad altri sette individui: Gert Pashja (il punto di riferimento in Turchia che coordinava i viaggi dall’Albania alla Siria), Fadil Muslimani, Orion Reci, Edmond Balla, Astrit Tola, Zeqir Imeri e Verdi Morava.  Imeri e Hysa sono inoltre stati accusati di detenzione e fabbricazione di armi (Art. 278/2 Cod Penale albanese).1

Due degli arrestati avevano legami, diretti o indiretti, anche con l’Italia; Verdi Morava aveva infatti risieduto per diversi anni in Italia, dove aveva conseguito una laurea in ingegneria meccanica ed era inoltre titolare di una società di trasporti a Bologna.

Grande-albanie.pngBujar Hysa aveva invece svolto un ruolo chiave nel reclutamento di Aldo Kobuzi e di Maria Giulia Sergio. A inizio gennaio 2014 veniva intercettata una telefonata tra Hysa e il cognato di Aldo, Mariglen Dervishllari, il quale avvertiva l’imam: “Ti sto mandando mio fratello; gli ho dato il tuo numero di cellulare”.  Senza il supporto della rete di Balla e Hysa sarebbe stato impossibile per i due volontari jihadisti organizzare  e finanziarsi il viaggio in Siria.

Anche Dervishllari e sua moglie, Serjola Kobuzi, pare siano giunti in Siria grazie al supporto della medesima rete di reclutamento. E’ tra l’altro di due giorni fa la conferma della morte di Mariglen Dervishllari, avvenuta in territorio siriano e in circostanze ancora da chiarire.

Un altro personaggio che merita attenzione è Almir Daci, ex imam della moschea di Leshnica, nella zona di Pogradec, anch’egli legato alla rete di Balla e Hysa. Daci è apparso con il nome  “Abu Bilqis Al-Albani” nel noto video sui Balcani rilasciato dall’Isis a giugno 2015 e dal titolo “Honor is Jihad”. Daci non era soltanto in contatto con Dervishllari ma è anche ritenuto responsabile del reclutamento di Ervis Alinji e Denis Hamzaj, due ragazzi albanesi presumibilmente morti in Siria. Secondo fonti di Tirana, Hamzaj si sarebbe laureato in un’università italiana prima di rientrare in Albania e scomparire.2

Le moschee radicali

La Comunità Islamica Albanese (KMSH) ha recentemente chiesto l’aiuto delle Istituzioni per controllare le moschee radicali.  Secondo alcune stime sarebbero ben 89 le moschee a rischio e fuori della giurisdizione della KMSH, molte delle quali in zone ritenute a rischio, come la periferia di Tirana, Kavaja, Cerrik, Librazhd e Pogradec. Nei mesi scorsi sono poi stati segnalati diversi nuovi cantieri destinati alla costruzione di moschee e i cui finanziamenti risultano al momento poco chiari.3,4,5

In settimana presso la moschea Mezezit di Tirana, dove predicava Bujar Hysa, è stato nominato un imam ufficiale legato alla Comunità Islamica Albanese; potrebbe essere il primo passo verso una serie di misure che prevedono un allargamento del controllo sulle moschee da parte dell’Islam ufficialmente riconosciuto.

Albania come “trampolino di lancio” per i jihadisti

I reclutatori dell’Isis trovano terreno fertile in Albania,  focalizzandosi in molti casi su individui in precarie condizioni sociali, culturali ed economiche; è a questo punto che entra in gioco il meccanismo di reclutamento individuato dall’analista russo Alexei Grishin, fondato su approcci individuali al reclutamento, a seconda dell’età, del sesso, della condizione socio-psicologica del “candidato”. Un vero e proprio processo di “screening” col quale si individuano i “punti sensibili” sui quali far leva: risentimento nei confronti del contesto sociale, disagio economico, problematiche psicologiche di rilievo, esigenze personali. Non a caso l’Isis promette un’identità, uno stipendio, il matrimonio, illude i potenziali reclutati di ricoprire un ruolo di tutto rilievo nella costruzione di un’entità statale secondo dei dettami religiosi totalmente decontestualizzati e manipolati.

Al momento le stime ufficiali parlano di circa 140 jihadisti albanesi attivatisi in Siria: una trentina sarebbero rientrati in patria, una decina sarebbero morti. I nuclei familiari di albanesi trasferitisi nello “Stato Islamico” sarebbero  intorno ai 18 e 17 gli orfani.6

Conclusione

L’Albania sta progressivamente assumendo un ruolo di primo piano nel panorama jihadista balcanico, sia come sede di radicalizzazione e reclutamento e sia come luogo di partenza per la Siria. Uno scenario che non è certo da meno rispetto a quello bosniaco, con una storia di radicalizzazione un po’ più datata. L’incremento del radicalismo nel Pase delle Aquile rischia di avere conseguenze, dirette e indirette, anche sull’Italia, vista la vicinanza geografica e gli intensi rapporti tra le due aree; un contesto dunque da monitorare attentamente.

Giovanni Giacalone,  ISPI Associate Research Fellow

1.http://www.pp.gov.al/web/Prosecution_Office_sent_to_trial...

2.http://www.itstime.it/w/il-video-di-is-sui-balcani-a-mess...

3.http://www.lapsi.al/lajme/2015/11/26/raporti-sekret-89-xh...

4.http://www.balkaninsight.com/en/article/albania-muslims-c...

5.http://shqiptarja.com/home/1/gurra-xhamia-e-unaz-s-s--re-...

6.http://www.lapsi.al/lajme/2015/11/26/ekskluzive-17-f%C3%A...

Documento: 

commentarygiacalone1.12.2015.pdf

jeudi, 26 novembre 2015

De l’attentat du 12 novembre 2015 à Beyrouth à ceux de Paris le 13 novembre suivant…

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De l’attentat du 12 novembre 2015 à Beyrouth à ceux de Paris le 13 novembre suivant…

par l’inter-collectif L’INTERNATIONALE

De l’attentat du 12 novembre 2015 à Beyrouth à ceux de Paris le 13 novembre suivant, en passant par tous les 11 septembre petits, grands ou moyens, le terrorisme c’est toujours et partout le spectacle d’imposture étatique de la crise mondiale du chaos de la marchandise !

 

« Les bombes-fusées qui tombaient chaque jour sur Londres étaient probablement lancées par le gouvernement de l’Océania

lui-même, juste pour maintenir les gens dans la peur »

George Orwell, 1984

 

Les opérations sous fausse bannière ou « sous faux pavillon », parfois désignées sous l’anglicisme de false flag sont des actions de perfidie et d’artifice stratégiques menées avec utilisation de marques de reconnaissance fabriquées, contrefaites, postiches, fourbes ou empruntées, dans le cadre d’opérations clandestines destinées à désigner un responsable inexact, imaginaire et trafiqué qui commise par tout autre que lui mais qui permettra de la sorte que tous les bénéfices en reviennent à celui qui justement l’aura cependant perpétré.

 

Au tout début du mois d’août 1964, deux destroyers américains qui s’étaient engagés dans les eaux territoriales du Nord-Viêtnam, essuyèrent soi-disant des tirs de la part de batteries nord vietnamiennes.

 

Il est établi aujourd’hui par la documentation déclassifiée que ces « Incidents du Golfe du Tonkin » ont constitué une manoeuvre délibérée de feinte, de provocation et de simulation pour prétexter une escalade de l’intervention américaine dans le conflit indochinois. Les Papiers du Pentagone ont de la sorte révélé que le texte de la position rédigée par l’administration Johnson l’avait été en fait plusieurs mois avant la date desdits « incidents ». Le manège légendaire de cet accrochage arrangé a donc fourni au président Johnson la couverture tant attendue pour faire voter le texte de la Résolution qui lui donna les moyens de déclarer la guerre sans avoir à demander au préalable l’autorisation du Congrès.

 

Même si cette péripétie fut en réalité le contraire de ce que le spectacle officiel en a dit puisqu’elle n’a jamais existé réellement qu’en stricte contradiction avec la logorrhée des experts étatico-médiatiques du faux omniprésent qui l’ont évidemment narrée de manière retournée, cela a bien entendu suffi à convaincre la conscience hallucinée et obéissante des Américains de l’utilité d’une riposte. Johnson a donc pu paisiblement autoriser alors les raids aériens de terreur sur le Viêtnam par ce casus belli entièrement forgé par les officines et les ateliers de l’ombre. Sur cette lancée de simulacres, de fourberie, de sang et de larmes, les Bush, Clinton et Obama et tous leurs laquais de l’Europe bruxelloise n’ont cessé en Irak, en Yougoslavie en Afghanistan et ailleurs, de démontrer que partout où règne le spectacle capitaliste de la terreur démocratique, les seules forces autorisées sont celles qui reproduisent la terreur capitaliste du spectacle démocratique.

 

Durant ces dernières années, les premiers grands attentats étatiques sous fausse bannière eurent spectaculairement lieu en Italie lors des années de plomb lorsque la modernisation de l’esclavage citoyenniste rendit nécessaire que le gouvernement fit de l’attentat aveugle le mode opératoire le plus approprié à la psychologie de masse de la soumission, de l’in-conscience et de la cécité. Ainsi, le 2 août 1980, à 10 h 25, à la gare de Bologne, une bombe posée dans la salle d’attente explosait. Elle tuait 85 personnes et en blessait plus de 200, arrivant ou partant de la gare pour cette période de fort trafic estival.

 

Dans son arrêt du 23 novembre 1995, la Cour de cassation du tripatouillage officiel italien, malgré mille et une occultations savantes ou grossières, fut néanmoins obligée de reconnaître que derrière cet attentat, il y avait bien l’existence d’une vaste organisation criminelle gouvernementale où l’on retrouvait la maffia, la loge maçonnique P2 et les services spéciaux les plus secrets de l’appareil d’État… Bien entendu, les commanditaires profonds du massacre n’ont jamais été découverts puisque cachés derrière les comparses secondaires de l’organisation Gladio, ceux-ci se trouvaient au cœur central et insaisissable de l’état-major de la stratégie de la tension élaborée par les États-Unis via l’OTAN et ses divers magasins et affidés, ceci tant pour neutraliser les velléités dommageables de non-alignement de certains courants politiciens italiens que pour briser la radicalité ouvrière des grèves sauvages qui débordait alors dangereusement les chiens de gardes politiques et syndicaux.

 

La crise du spectacle démocratique de la dictature marchande est désormais à son point culminant et le chaos étatiquement programmé y est alors amené à produire partout et sans cesse son mythique ennemi inventé, le terrorisme qui est en fait sa seule vraie défense en ce temps de décomposition universelle où la liberté despotique de l’argent et ses conséquences véritables ne peuvent être encore acceptées qu’au regard d’antagonismes factices et d’attaques insidieuses sous fausses bannières constamment mises en scène par le biais d’orchestrations machiniques de vaste ampleur.

 

L’histoire du terrorisme est désormais l’une des forces productives majeures du spectacle étatique mondialiste; elle définit donc le cœur stratégique du dressage social puisque les spectateurs doivent retenir de la pédagogie de l’attentat, que, en comparaison au terrorisme, toute la pourriture quotidienne de la vie fausse devra leur demeurer préférable et préférée.

 

L’union sacrée de la servitude volontaire n’a bien évidemment qu’un temps mais le confusianisme mystérieux des bombes barbouzardes conserve toujours là un intérêt évident bien que sa durée soit éminemment toujours et de plus en plus rétrécie…

 

Dans le monde du spectacle de la marchandise où les intérêts agissants de la dictature démocratique des Mafia de l’argent sont à la fois si bien et si mal obscurcis, il convient toujours pour saisir les mystères du terrorisme d’aller au-delà des rumeurs médiatiques policières puisque la sauvegarde des secrets de la domination opère continûment par attaques fardées et véridiques artifices.

 

Le leurre commande le monde du fétichisme de la marchandise et aujourd’hui d’abord en tant que leurre d’une domination qui ne parvient plus à vraiment s’imposer au moment où l’économie historique de la crise manifeste explosivement la crise historique de l’économie elle-même. Du meurtre d’Aldo Moro par les brigades rouges étatiques aux attentats pentagonistes du 11 septembre et en passant évidemment par la disparition violemment paramétrée de John Fitzgerald Kennedy sans oublier les tueries hautement calculées des télépilotés Merah, Kouachi et autres Coulibaly, la société du spectacle de l’indistinction marchande ne cesse de s’éminemment montrer comme le monde de l’inversion universelle où le vrai est toujours réécrit comme un simple moment nécessaire de la célébration du faux.

 

Derrière les figurants, les obscurs tirages de ficelles et les drapeaux mal bricolés, les vrais commanditaires sont adroitement camouflés puisqu’ils résident invariablement dans ces lieux impénétrables et énigmatiques, inaccessibles à tout regard, mais qui du même coup les désignent par cette ruse de la raison qui rend précisément percevable ce qui se voulait justement in-soupçonnable.

 

Le masquage généralisé se tient derrière le spectacle qui donne ainsi à infiniment contempler quelque chose en tant que complément décisif et stratégique de ce qu’il doit empêcher simultanément que l’on voit et, si l’on va au fond des choses, c’est bien là son opération la plus importante; obliger à sans cesse observer ceci pour surtout ne point laisser appréhender cela.

 

Par-delà chaque tueur fou opportunément manipulé dans les eaux troubles du djihadisme téléguidé, ou de l’extrémisme supervisé existe, en premier lieu, l’incontournable réalité du gouvernement du spectacle de la marchandise lequel dorénavant possède tous les moyens techniques et tous les pouvoirs gestionnaires d’altérer et de contre-faire l’ensemble de la production sociale de toute la perception humaine mise sous contrôle. Despote absolu des écritures du passé et tyran sans limite de toutes les combinaisons qui arrangent le futur, Big Brother pose et impose seul et partout les jugements sommaires de l’absolutisme démocratique des nécessités du marché de l’inhumain. On commet une très lourde erreur lorsque l’on s’exerce à vouloir expliquer quelque attentat en opposant la terreur à l’État puisqu’ils ne sont jamais en rivalité. Bien au contraire, la théorie critique vérifie avec aisance ce que toutes les rumeurs de la vie pratique avaient si facilement rapporté lors des très enténébrées disparitions de Jean de Broglie, Robert Boulin, Joseph Fontanet, Pierre Berégovoy et François de Grossouvre. L’assassinat n’est pas étranger au monde policé des hommes cultivés de l’État de droit car cette technique de mise en scène y est parfaitement chez elle en tant qu’elle en est désormais l’articulation de l’un des plus grands quartiers d’affaires de la civilisation moderne.

 

Le temps terroriste de la manipulation étatique actuelle signale que la crise de la baisse du taux de profit est entrée dans sa phase de fétichisme supérieur…

 

Dans les contradictions historiques du temps présent, le gouvernement du spectacle mondial vise tout à la fois à briser le réveil communard des luttes de classe (qui vient…) et « OTANiser » toujours plus sa province française  par le biais du faux drapeau terroriste spectacliste…

 

Le chaos terroriste étatique de la marchandise est le seul langage possible de la crise terminale du Capital… Nous contemplons ainsi le tableau faussaire d’un chaos spectaculaire impeccablement organisé pour le Proche- et le Moyen-Orient puis pour la planète toute entière, dans des cadres de déguisement strictement conformes à la stratégie du gouvernement du spectacle mondial qui tente désespérément d’échapper au marasme catastrophique d’un dollar en débâcle chronique… Al-Qaïda puis Daech sont là les accablantes métastases de la crise mondiale du taux de profit provisionnés par les pétrodollars du Qatar et de l’Arabie Saoudite et armés par eux avec délégation directe de Washington et blanc-seing de Tel-Aviv… Et la France atlantisée jusqu’à la mœlle est de la sorte bombardée jusqu’au cœur de Paris pour toujours davantage marcher au pas des réseaux et services clandestins terroristes de l’OTAN dont les faux drapeaux constituent bien sûr une industrie marchande spectaculaire de premier ordre fétichiste…

 

À Beyrouth au Liban, le 12 novembre 2015, deux attentats quasi-simultanés frappent le quartier chiite de Burj El-Barajneh sous contrôle du Hezbollah. Les deux attentats sont revendiqués par l’organisation des services américains de l’État islamique. Cette attaque terroriste intervient deux jours après que l’armée syrienne, soutenue par le Hezbollah et des troupes iraniennes, ait remporté une victoire significative contre Daech en reprenant l’aéroport de Kweires, à l’Est d’Alep. Le lendemain, 13 novembre, les attentats spectaculaires commis à Paris sous le même  drapeau à multiples tiroirs cabalistiques et qui ont tué 130 personnes en faisant de multiples blessés, sont venus solennellement rappeler à la province américaine d’Europe que la guerre sans fin du chaos OTANiste est un dogme obligatoire du capitalisme intégral qui doit pulvériser tout le Levant ainsi que l’ensemble des périphéries de l’Eurasie afin d’en faire une chasse gardée de la fusion terroristo-pananoïaque israélo-américaine de la crise universalisée du fétichisme de la marchandise.

 

Le terrorisme d’État industriel n’est rien d’autre que  l’errance de la religion monothéiste de la crise historique de la marchandise…

 

Au moment arrivé de la tyrannie spectaculaire de la crise du capitalisme drogué, le crime règne en fait comme le paradigme le plus parfait de toutes les entreprises commerciales et industrielles dont l’État est le centre étant donné qu’il se confirme là finalement comme le sommet des bas-fonds et le grand argentier des trafics illégaux, des disparitions obscures et des protections cabalistiques. Plus que jamais, en ce moment très spécifiquement crisique où en France, reprenant le témoin d’une droite complètement épuisée, la gauche du Capital bien vite superbement exténuée est en charge des affaires d’un marché en pleine décomposition, l’exutoire terroriste risque de devenir de plus en plus tentant pour détourner la colère qui monte, il est temps d’en finir avec toutes les mystifications et tous les malheurs historiques de l’aliénation gouvernementaliste afin de commencer à pressentir la possibilité de situations humaines authentiques.

 

Hors de l’économie politique de la non-vie, il convient exclusivement d’organiser le retour aux sources à une communauté d’existence enfin débarrassée de toute exploitation et de toute domination.

 

Inter-collectif L’Internationale

novembre 2015


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mardi, 15 septembre 2009

Al-Qaeda: una util herramienta de guerra para el Imperio

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Al-Qaeda: una útil herramienta de guerra para el Imperio

Ex: http://antimperialista.blogia.com/

(Extracto del artículo "Ex secretario de seguridad de Bush revela dato clave del uso imperial del terrorismo" publicado en IAR noticias)

En el libro "La prueba de nuestro tiempo: Estados Unidos asediado... y cómo podemos estar nuevamente seguros" Ridge (Ex secretario de seguridad de Bush ) cuenta que pese a los pedidos del ex secretario de Defensa, Rumsfeld, y del entonces secretario de Justicia John Ashcroft, él se opuso a elevar el nivel de alerta y, finalmente, no fue elevado, aunque le costó el cargo.

Semanas antes de las elecciones de 2004 habían sido difundidas dos grabacioness de Al-Qaeda: una con Osama Bin Laden y la otra con un hombre llamado "Azzam el estadounidense’’. La CIA -como lo hace siempre- reconoció la "autenticidad" de las amenazas. "El aumento de la alarma terrorista en EEUU poco antes de las presidenciales de 2004 pretendía  influir en los resultados y favorecer a George W. Bush", afirma Ridge en su libro.

"Bush y el candidato contrincante demócrata John Kerry -señala- estaban muy igualados en las encuestas y los funcionarios claves de Bush  afirmaban que el video de Bin Laden, incluso sin elevar el nivel de alarma, contribuiría a una victoria final de Bush por un resultado abrumante."

Pese a todo se tomaron grandes prevenciones de seguridad en edificios públicos y en lugares claves de Nueva York, lo que ayudó a recrear el "clima terrorista" que lo llevó a Bush a ganar las elecciones y ser reelecto en el cargo presidencial.   

En pleno despliegue del aparato de seguridad para prevenir el "ataque terrorista", Ridge renunció el 30 de noviembre del 2004.

Desde el punto de vista geopolítico y estratégico, el   "terrorismo" no es un objeto diabólico del fundamentalismo islámico, sino una herramienta de la Guerra de Cuarta Generación que la inteligencia estadounidense y europea vienen utilizando (en Asia y Europa) para mantener y consolidar  la alianza USA-UE en el campo de las operaciones, para derrotar a los talibanes en Afganistán, justificar acciones militares contra Irán, antes de que se convierta en potencia nuclear, y generar un posible 11-S para distraer la atención de la crisis recesiva mundial.

A nivel geoeconómico se registra otra lectura:  Si se detuviera la industria y el negocio armamentista centralizado alrededor del combate contra el "terrorismo" (hoy alimentado por un presupuesto bélico mundial de US$ 1,460 billones) terminaría de colapsar la economía norteamericana que hoy se encuentra en una crisis financiera-recesiva de características inéditas.

Esta es la mejor explicación de porqué Obama, hoy sentado en el sillón de la Casa Blanca, ya se convirtió en el "heredero forzoso" de la "guerra contraterrorista" de Bush a escala global.

La "guerra contraterrorista" no es una política coyuntural de Bush y los halcones neocon, sino una estrategia global del Estado imperial norteamericano diseñada y aplicada tras el 11-S en EEUU, que ya tiene una clara  línea de continuidad con el gobierno demócrata de Obama.

La "simbiosis" funcional e interactiva entre Bush y Al Qaeda tiñó 8 años claves de la política imperial de EEUU. A punto tal, que a los expertos les resulta imposible pensar al uno sin el otro. Durante 8 años de gestión, Bin Laden y Al Qaeda se convirtieron casi en una "herramienta de Estado" para Bush y los halcones neocon que convirtieron al "terrorismo" ( y a la "guerra contraterrorista") en su principal estrategia de supervivencia en el poder.

Hay suficientes pruebas históricas en la materia: El 11-S sirvió de justificación para las invasiones de Irak y Afganistán, el 11-M en España preparó la campaña de reelección de Bush y fue la principal excusa para que EEUU impusiera en la ONU la tesis de "democratización" de Irak legitimando la ocupación militar, el 7-J en Londres  y las sucesivas oleadas de "amenazas" y "alertas rojas" le sirvieron a Washington para instaurar el "terrorismo" como primera hipótesis de conflicto mundial,  e imponer a Europa  los "planes contraterroristas" hoy institucionalizados a escala global.

Decenas de informes y de especialistas -silenciados por la prensa oficial del sistema- han construido un cuerpo de pruebas irrefutables de que Bin Laden y Al Qaeda son instrumentos genuinos de la CIA estadounidense que los ha utilizado para justificar las invasiones a Irak y Afganistán y para instalar la "guerra contraterrorista" a escala global.

La "versión oficial" del 11-S fue cuestionada y denunciada como "falsa y manipulada" por un conjunto de ex funcionarios políticos y de inteligencia, así como de investigadores tanto de EEUU como de Europa, que constan en documentos y pruebas presentados a la justicia de EEUU que nunca los investigó aduciendo el carácter "conspirativo" de los mismos (Ver: Documentos e informes del 11-S. / Al Qaeda y el terrorismo "tercerizado" de la CIA / La CIA ocultó datos y protegió a los autores del 11-S / Ex ministro alemán confirma que la CIA estuvo implicada en los atentados del 11-S / Informe del Inspector General del FBI: Más evidencias de complicidad del gobierno con el 11-S / Atentados del 11-S: 100 personalidades impugnan la versión oficial )

El establishment del poder demócrata (que ejerce la alternancia presidencial con los republicanos en la Casa Blanca) jamás mencionó la existencia de estas investigaciones y denuncias en una complicidad tácita de ocultamiento con el gobierno de Bush.

Simultáneamente, y durante los ocho años de gestión de Bush, los demócratas no solamente avalaron las invasiones de Irak y de Afganistán y votaron todos los presupuestos de la "guerra contraterrorista", sino que también adoptaron como propia la "versión oficial" del 11-S.

Este pacto de silencio y de encubrimiento entre la prensa y el poder imperial norteamericano preservó las verdaderas causas del  accionar terrorista de Bin laden y Al Qaeda, cuyas "amenazas" periódicas son publicadas sin ningún análisis y tal cual la difunden el gobierno y  sus organismos oficiales como la CIA y el FBI.