vendredi, 09 septembre 2022
Oskar Lafontaine demande que l'Europe se détache des États-Unis
Oskar Lafontaine demande que l'Europe se détache des États-Unis
Bernhard Tomaschitz
Source: https://zurzeit.at/index.php/oskar-lafontaine-fordert-abkoppelung-europas-von-den-usa/
Les dirigeants politiques de la coalition "Ampel" sont de "fidèles vassaux des États-Unis" !
Oskar Lafontaine a tenu des propos clairs dans une tribune publiée dans le Berliner Zeitung. L'ancien politicien de la SPD et de Die Linke y attire l'attention sur les dessous du conflit ukrainien, et plus précisément sur "l'image que les Etats-Unis ont d'eux-mêmes, à savoir qu'ils sont une nation élue qui prétend être et rester la seule puissance mondiale".
Et au plus tard avec le coup d'Etat de Maidan en 2014, les Etats-Unis auraient montré qu'ils n'étaient pas prêts à prendre en compte les intérêts de la Russie en matière de sécurité: "Ils ont mis en place un gouvernement fantoche pro-américain et ont tout fait pour intégrer les forces armées de l'Ukraine dans les structures de l'OTAN". Lafontaine fait également référence à la crise de Cuba en 1962, lorsque les États-Unis ont risqué une guerre nucléaire en raison du déploiement de missiles nucléaires soviétiques à Cuba.
Lafontaine s'en prend durement à l'Allemagne, qui "n'est pas un pays souverain". Pour l'homme de 78 ans, les dirigeants de la coalition "Ampel" comme le chancelier Scholz (SPD), la ministre des Affaires étrangères Baerbock et le ministre de l'Economie Habeck (tous deux membres du parti Die Grünen) ainsi que le ministre des Finances Lindner (FDP) sont de "fidèles vassaux des Etats-Unis", et le chef de la CDU Merz un "fidèle atlantiste".
Lafontaine écrit que "la politique étrangère allemande nuit aux intérêts de notre pays et ne contribue pas à la paix en Europe". Il demande que l'Europe se détache des États-Unis et joue un rôle de médiateur entre les puissances mondiales rivales. Selon lui, l'Allemagne et la France ont le potentiel pour mettre en place une politique étrangère et de sécurité européenne indépendante.
Pour conclure son intervention, Lafontaine pointe du doigt le grand bénéficiaire du conflit ukrainien et des sanctions contre la Russie, suicidaires pour l'Europe : "Les entreprises industrielles européennes sont en train de partir et de créer de nouvelles filiales aux Etats-Unis. De même, les énormes commandes pour l'industrie de l'armement américaine et les bénéfices exorbitants engrangés par l'industrie de la fracturation hydraulique américaine, nuisible à l'environnement, montrent de manière éclatante à qui profitent cette guerre et ces sanctions".
18:52 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : allemagne, europe, affaires européennes, politique internationale, oskar lafontaine, gauche allemande | |
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samedi, 04 juin 2022
La malédiction de l'hypocrisie de gauche - Comment les pacifistes sont devenus des bellicistes
La malédiction de l'hypocrisie de gauche
Comment les pacifistes sont devenus des bellicistes
Andreas Mölzer
Source: https://andreasmoelzer.wordpress.com/2022/06/02/vom-fluch-der-linken-heuchelei/
Si l'on analyse le débat actuel sur la guerre en Ukraine, on ne peut tirer qu'une seule conclusion: les plus grands bellicistes sont actuellement issus des rangs de la gauche européenne. Ces dernières semaines, les appels à la livraison d'armes lourdes, à un engagement toujours plus fort en faveur de Kiev et, dans certains cas, à une intervention active dans le conflit, ont été les plus virulents, voire les plus hystériques, de la part des représentants de la gauche de l'échiquier politique.
Si vous écoutez les Verts allemands, de la plus grande ministre des Affaires étrangères de tous les temps au président des Verts bavarois aux cheveux hirsutes, vous savez qu'un parti de véritables bellicistes s'est formé, abandonnant derrière lui l'ancien pacifisme de la révolte de 68 et de la Nouvelle Gauche. A l'époque, on disait "Des socs plutôt que des épées" et "Faire la paix sans armes" et on manifestait contre la guerre du Vietnam et contre le réarmement de l'OTAN. Aujourd'hui, ce sont les épigones de cette ancienne Nouvelle Gauche qui critiquent massivement le chancelier allemand Olaf Scholz parce qu'il n'est pas prêt à livrer des armes lourdes offensives à l'Ukraine.
Il convient d'analyser plus en détail comment peut s'expliquer un changement aussi radical dans l'attitude fondamentale de la gauche vis-à-vis de la guerre et de la paix. D'une part, cela tient bien sûr à l'adversaire actuel dans cette guerre en cours. Vladimir Poutine est depuis longtemps l'ennemi idéal de la gauche, car il incarne tout ce que la gauche déteste et rejette avec ses positions conservatrices en matière de patriotisme, de famille et d'attitude envers les homosexuels. Vladimir Poutine est alors rapidement comparé à Adolf Hitler, et les spécialistes en sciences politiques affirment plus facilement que le régime actuel du Kremlin est bien sûr un fascisme bien réel. Ils ignorent les voix modérées qui font remarquer que Poutine ne menace d'extermination aucun groupe ethnique ou social et que le fascisme implique la pénétration organisationnelle de la population et de tous les secteurs de la société. L'image de l'ennemi Poutine et du méchant impérialisme russe suffit à motiver le nouvel enthousiasme de la gauche pour la guerre.
Une autre cause de ce changement de paradigme idéologique au sein de la gauche est sans doute l'hypocrisie que ces messieurs-dames ont depuis longtemps intériorisée, hypocrisie à laquelle on s'est concrètement habitué dans ce domaine et dans la fonction de bien-pensant attitré. Cette bien-pensance de gauche, qui s'est notamment développée sur la question de l'immigration de masse au cours de ces dernières années, est naturellement capable de porter des jugements en matière de guerre et de paix en toute décontraction, dans une pose complaisante de supériorité morale. Les Ukrainiens et leur président Zelenski, considérés auparavant comme l'un des pays les plus corrompus avec un président, lui, extrêmement corrompu, sont soudain ceux qui mènent une guerre juste, à savoir une guerre défensive, alors que Poutine est présenté comme un tyran fou et sanguinaire à la tête d'un régime tout aussi sanguinaire et d'une armée non moins sanguinaire. Et contre cela, l'utilisation d'armes lourdes est alors la moindre des choses.
Dans le paysage politique et médiatique allemand, la gauche belliciste rejoint curieusement les chrétiens-démocrates de Friedrich Merz et le style journalistique et polémique du "Bild-Zeitung". Alors que les sociaux-démocrates d'Olaf Scholz freinent des quatre fers et se montrent réticents à l'idée de livrer des armes lourdes, ce sont ces deux secteurs politiques-là qui se profilent carrément comme des bellicistes. Et quiconque adopte une attitude prudente en ce qui concerne la prise de position dans la guerre en Ukraine est aussitôt diffamé parce qu'il "comprend Poutine" (est un "Putin-Versteher").
Bien que de plus en plus de voix s'élèvent dans les médias pour reconnaître qu'une défaite militaire totale des Russes est tout simplement impensable et que toute nouvelle escalade et extension de la guerre vers un conflit européen, voire mondial, doit être évitée à tout prix, la seule conséquence logique de cette reconnaissance, à savoir la recherche d'une paix négociée, semble encore lointaine. Ces dernières semaines, les discussions entre Moscou et Kiev se sont révélées fausses négociations et ont échoué sans donner le moindre résultat.
Les tentatives de médiation, comme celles du Turc Erdogan ou d'Israël, sont restées lettre morte jusqu'à présent, et les contacts téléphoniques réels ou supposés entre Macron et Poutine ou entre Scholz et Poutine n'ont guère donné de résultats. Sans parler des tentatives plutôt ridicules du chancelier autrichien de communiquer avec le maître du Kremlin. Il n'en reste pas moins que des négociations sérieuses devront avoir lieu un jour. Et celles-ci devront partir du principe qu'un éventuel compromis de paix devra naturellement tenir compte de la partie russe, c'est-à-dire que les gains de terrain russes dans l'est et le sud-est de l'Ukraine devront probablement être maintenus à long terme. Les bellicistes de gauche en Occident ne veulent pas en entendre parler. De même, les francs-tireurs du 10 Downing Street et de la Maison Blanche à Washington tentent encore aujourd'hui de nous faire croire que seule une défaite totale des Russes pourrait mettre fin à la guerre. Mais tout cela est illusoire et ne fait qu'accroître le risque d'une escalade généralisée jusqu'à la guerre nucléaire mondiale.
C'est ainsi que les va-t-en-guerre de gauche, tout comme les anglo-américains qui haïssent les Russes, s'avèrent être la véritable grande menace pour la paix mondiale. Bien entendu, cela ne change rien au fait que Vladimir Poutine et la Russie ont déclenché une guerre d'agression que rien ne justifie au regard du droit international. Néanmoins, les négociations restent le seul moyen d'y mettre fin. Et pour cela, il faudra offrir à Poutine un scénario de sortie. La soif de guerre, hypocritement déguisée en défense des "valeurs occidentales", comme le fait actuellement la gauche, rendra impossible la fin de la guerre et une solution pacifique.
12:29 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : andreas mölzer, autriche, allemagne, verts, pacifistes, bellicistes, gauche allemande, europe, affaires européennes, russie, ukraine, politique internationale | |
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jeudi, 09 août 2018
Le mouvement AUFSTEHEN de Sahra Wagenknecht fait polémique
Le mouvement AUFSTEHEN de Sahra Wagenknecht fait polémique: « l’ouverture des frontières désavantage les plus pauvres de nos concitoyens »
Sahra Wagenknecht, Présidente de la fraction LINKS (« La Gauche ») à la Diète fédérale allemande, vient de créer un nouveau mouvement rassembleur, AUFSTEHEN (Debout) ; elle entend proposer et imposer une nouvelle politique d’asile dans son parti et dans la société allemande. Dans un article rédigé spécialement pour la Nordwest-Zeitung d’Oldenbourg, elle a fustigé le « ressentiments » qui animerait les militants de l’AfD mais aussi et surtout, « cette morale générale qui entend promouvoir une culture de l’accueil sans frontières ». Elle écrit : « Une politique réaliste de gauche rejette ces deux exigences maximalistes ». Ce texte a été écrit en collaboration avec le dramaturge berlinois Bernd Stegemann, également membre du nouveau mouvement rassembleur.
Selon Wagenknecht et Stegemann, « les nombreux volontaires de la société civile qui s’occupent d’intégrer les réfugiés » devront recevoir toute l’aide nécessaire mais, par ailleurs, la gauche ne doit plus se laisser dicter sa conduite « par des bandes de passeurs criminels qui amènent des gens en Europe par des voies illégales ». Parce qu’elle a écrit cet article, et quelques autres de même teneur, Wagenknecht a essuyé de vives critiques dans les rangs de son propre parti.
On lui reproche notamment cette phrase : « Nous pensons que la fixation sur la thème des réfugiés est l’expression d’une colère qui s’est accumulée au fil du temps et provient de tous autres domaines de la vie quotidienne. Celui ou celle qui n’a plus que des contrats de travail à durée limitée, celui ou celle dont la retraite est trop chiche et dont les enfants ne peuvent plus recevoir une éducation scolaire décente parce que les écoles publiques vont à vau-l’eau et qu’il manque des professeurs, eh bien, tous ceux-là ont plein de raisons d’être furieux contre ‘ceux d’en haut’ ».
Dans un entretien accordé au Spiegel, elle s’est exprimée sans détour : « Les frontières ouvertes n’apportent que désavantages aux plus pauvres de nos concitoyens car ils n’auront jamais l’opportunité de s’en aller ailleurs. Nous combattons la pauvreté dans les pays en voie de développement mais cela n’est pas possible si nous importons en Europe leur classe moyenne ».
12:57 Publié dans Actualité, Affaires européennes, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : actualité, politique, politique allemande, affaires européennes, europe, allemagne, sahra waenknecht, aufstehen, die linke, gauche, gauche allemande, politique internationale | |
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vendredi, 11 mai 2018
Das linke Schiff steuert nach rechts: Fünf Beispiele
Das linke Schiff steuert nach rechts: Fünf Beispiele
20:42 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gauche, gauche allemande, allemagne, actualité, europe, affaires européennes | |
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jeudi, 02 juin 2016
German Left Party's Geopolitical Split
00:05 Publié dans Actualité, Affaires européennes, Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique internationale, politique, actualité, europe, allemagne, affaires européennes, géopolitique, gauche, gauche allemande, die linke, sarah wagenknecht | |
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Ganz leicht weicht das stinkende linke Narrativschiff von seinem seit Jahren festen Kurs ab. Ob heraufziehende Klippen den Steuermann umdenken lassen? Vom „Kurve kriegen“ kann natürlich noch keine Rede sein, aber ein paar kleine Details stechen messerscharf ins Auge.
Fünf total nazihafte Vorfälle, die verwundern – und ein bisschen Hoffnung entstehen lassen.
Erstens: Volker Beck
Ex-Bundestagsabgeordneter Volker Beck, der wegen seines Crystal-Meth-Konsums in die Schlagzeilen geraten war, forderte im April das Land Hessen auf, dem islamischen Verband DITIB den Status als Religionsgemeinschaft abzuerkennen. Grund dafür war ein militärisch inszeniertes Kindertheaterstück in einer Moschee.
Beck wollte zwar hauptsächlich die Kurden, die linke Lieblingsethnie in Schutz nehmen, aber das Ergebnis ist das Gleiche: Ein bekannter Linker, selbst wenn er aus dem Bundestag gegangen wurde, greift klar und offen den Islam in Deutschland an – das hätte es vor zwei Jahren noch nicht gegeben.
Zweitens: Indymedia
Das linke Fußvolk marschiert neben dem Flaggschiff MS-Links. Auch ihre Richtung hat sich geändert. Etwa nach rechts? Die neue Indymedia-Seite, die nach dem Verbot durch das Bundesverfassungsgericht innerhalb kürzester Zeit aus dem Boden schoss, berichtete kürzlich über den Angriff der Antifa. Nichts Besonderes? Schließlich wird jedes Wochenende eine neue Schweinerei begangen.
Tatsächlich warfen die Linksterroristen ihren Brandsatz nicht in ein AfD-Bürgerbüro, sondern in eine Moschee. Grund: Die stand angeblich türkischen Rechtsextremen, der Partei BBP (Büyük Birlik Partisi) nahe. „Nachdem bereits viel spekuliert worden ist, bekennen wir uns zu dem Angriff mit Molotow-Cocktails gegen den Treffpunkt türkischer Faschisten in der Kasseler Bunsenstraße“, gibt die Antifa im Wortlaut bekannt.
Drittens: Wagenknecht
Sara Wagenknecht und Oskar Lafontaine trauten sich. Sie stellten sich als rebellische Establishment-Vertreter, im Angesicht brennenden Realismus gegen die bunte Multi-Kulti-Ideologie. Zumindest ein bisschen. Dazu hagelte es zwar Torten und linke Kritik, man sprach von rechten Verwirrungen, einer Querfront und Alterssenilität. Aber die „Nazi“-Vorwürfe gegen eine demokratische Sozialistin ließen Wagenknecht nicht von ihrer realpolitischen Überzeugung abrücken.
Zwar ist es ruhiger geworden, und die Politikerin ist froh die Sache nicht wieder ausdiskutieren zu müssen, aber in oppositionellen und im patriotischen Lager setzt man die ehemalige Stalinistin nicht mehr mit Blümchen-Hofreiter, Fatima-Roth oder „Freu-mich-drauf“-Göring-Eckardt gleich. Es gibt also noch eine, zumindest akzeptable Linke im Land.
Die wird zwar noch immer von Multikultis gewählt, allerdings mischen sich auch halbpatriotische Sozialisten und desillusionierte Grünwähler unter die Anhängerschaft. Von daher hat Wagenknecht strategisch alles richtig gemacht, auch wenn sie zum linken Buhmann auserkoren wurde. Sie erweitert das Spektrum der Linken und bietet der „Nummer vier“ eine Heimat.
Viertens: Kreuzberg
Im April gab der Berliner Senat bekannt, wo sogenannte „MUFs“ gebaut werden. Modulare Flüchtlingsunterkünfte, „Sammelwohnorte im Schnellbauverfahren“ nennt der RBB die neuen Wohnungen für Flüchtlinge. Die werden jetzt eben nicht weit weg gebaut, um linkes Gewissen zu befriedigen, aber niemanden zu stören, sondern direkt vor ihre Nase. In Berlin-Kreuzberg, der Ratiborstraße, direkt neben ein linkes Kollektiv. Dort leben Handwerker, Künstler, Lebenskünstler und Hippies auf einem freiräumigen Areal, wo durch die Politik nun 500 Flüchtlinge angesiedelt werden sollen.
Die Linken sträuben sich, egal ob Anwohner oder Handwerker, und sind „nicht generell dagegen“ Auch sagen sie: „Wir sind gerne bereit, als Kreuzberger diese Verantwortung anzunehmen“, aber – und damit löscht man alles, was vor dem „aber“ steht und outet sich als Nazi – aber eben nicht bei uns. Auch wollen sie „keinen falschen Applaus von irgendwelchen AfD-Leuten, weil Kreuzberg jetzt gegen Flüchtlinge ist“, deswegen schweige ich sofort.
Betonen sollte man abschließend, dass noch kein einziger Flüchtling auf dem Areal lebt, wo Linke der verschiedensten Couleur sich durch ihr Leben improvisieren – was geht da erst ab, wenn 500 Neubürger zwischen Familien und Arbeitsstätten umherwuseln?
Fünftens: Boris Palmer
Absolut wunderbar ist einfach „Grünen-Chef-Nazi“ Boris Palmer, seines Zeichens Oberbürgermeister von Tübingen. Dass man „Grünen-Chef-Nazi“ auch mit „gesundem Menschenverstand“ übersetzen kann, zeigt die aktuelle Stellungnahme Palmers. Dieser war vor einer Versammlung auf dem Weg durch die Fußgängerzone, als er sich von einem schwarzen Radfahrer gestört fühlte, der lässig im Zick-Zack durch die Leute fuhr und dabei Musik hörte.
Palmer machte seinem Ärger Luft und kritisierte das Verhalten des Schwarzen. Eine Grüne KritikerX_In meinte anschließend, was denn die Hautfarbe mit dem Fehlverhalten des Mannes zu tun habe. Palmer platzte der Kragen: „Weil der Typ mit nacktem Oberkörper, Kopfhörer und einer unglaublichen Dreistigkeit um die Leute rumgekurvt ist. Das gehört sich für niemand und für einen Asylbewerber schon dreimal nicht.“ Später ruderte er ein wenig zurück und verlor sich in Wischi-waschi-Begründungen, aber bei seiner Grundaussage blieb er.
Abschluss mit Houellebecq
Die nächsten Jahre werden Klarheit bringen. Die Stellung der politischen Akteure könnte sich wandeln, wie das bereits Michel Houellebecq in seinem Roman Unterwerfung beschrieben hatte. Bisher koalierten die Linken mit ihren gewünschten Neubürgern. Doch das ist ein Spiel auf Zeit. Zu brachial wird der Islam in unser Leben eintreten und selbst den verblendetsten linken Spinner sich zumindest überlegen lassen, wer die „Guten“ sind. Hoffen wir, dass es bis dahin nicht zu spät ist.
Ein letztes persönliches Wort als „Nazi“: Dafür, dass ihr Linken die letzten Jahre echt scheiße wart, würde ich mich freuen wieder was mit euch zu unternehmen. Im Gegenzug werde ich aber den Rest meines Lebens selbstgefällig grinsen. Wenn euch das nicht passt, könnt ihr ja wieder zu euren anderen Freunden gehen.