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samedi, 25 décembre 2021

La mode comme matrice de la dictature écologiste et woke

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La mode comme matrice de la dictature écologiste et woke

par Nicolas Bonnal

Je revoyais le film de Robert Altman Prêt-à-porter mal reçu en son temps (1994). Il ne s’agit certainement pas d’un policier (un gros bourgeois s’étrangle avec un sandwich) mais d’une satire « chorale » (des dizaines de grands acteurs) et sociale dont le Maître avait le secret et qui renouait avec le génie d’opus pétroniens comme MASH ou Nashville. Mais en voyant ce cortège de tarés (les gens de la mode donc) balayés par la caméra acide d’Altman, on découvrait que la mode ne reflète pas la dictature actuelle qui sévit rageusement en occident, mais qu’elle l’inspire.

51iPzeSMPKL._AC_SY445_.jpgLa fin du film montre un défilé à poil comme on sait, alors essayons en quelques lignes de mettre à nu ce monde abominable dont les défilés « genrés » accompagnent et précèdent les décisions totalitaires et démentes de la commission de Bruxelles et de Washington. Rappelons que c’est un type de la mode (JP Goude) qui organisa le défilé du bicentenaire de la Révolution qui consacra la tyrannie de la gauche-caviar qui achève la liquidation de la France actuellement (cf. mon Mitterrand le grand initié) : les grands travaux auront eu un impact psychologique et occultiste mondial. Résumons donc (à chacun d’ajouter et de développer un thème à son goût) :

La mode (IE les gens de la mode) est new Age et occultiste en diable. Elle court après les gourous. La mode est bourrée de pognon, ne crache pas dessus, se fout des pauvres mais est à l’avant-garde de tous les bouleversements sociétaux.

La mode est végétarienne et si possible véganienne.

La mode veut voyager en jet exclusivement mais ne veut pas d’avions pour le reste de la planète. Idem pour nos oligarques et politiques.

La mode est unisexe ou transmaniaque ; elle baigne dans tous les scandales liés au blanchiment, à la drogue, aux mafias (Versace etc.).

Antiraciste avant tout le monde (années soixante déjà), la mode a imposé l’agenda multiculturel anti-blanc d’aujourd’hui : si seulement il pouvait nous débarrasser des « créateurs » blancs dégénérés d’aujourd’hui ! On nage dans le Sardanapale de notre cher Artaud qui sous-titrait ainsi son livre : l’anarchiste couronné.

La mode est hystérique et dispose depuis longtemps de ses propres chaînes de télé (ils les regardent toute la journée pour s’y voir et se rassurer).

 La mode est bavarde, pédante et surtout irresponsable, comme tous les toqués qui nous dirigent. On attend les défilés-seringue.

La mode est stupide et ne vit comme un petit insecte que pour une saison ou même quelques jours. Elle partage le présent permanent des imbéciles.

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La mode a gagné le catholicisme romain (Castelbajac ou le Roma de Fellini) et l’on pourra donc rappeler que l’habit fait le moine ; être à la mode, c’est être moderne. Elle frappe surtout un pays comme la France. Montesquieu a écrit sur cette mode folie française dans ses lettres persanes (dans une lettre, la C, beaucoup plus importante que celle imposée à l’école) :

« Quand je te dis qu’ils méprisent tout ce qui est étranger, je ne parle que des bagatelles ; car, sur les choses importantes, ils semblent s’être méfiés d’eux-mêmes jusqu’à se dégrader. Ils avouent de bon cœur que les autres peuples sont plus sages, pourvu qu’on convienne qu’ils sont mieux vêtus ; ils veulent bien s’assujettir aux lois d’une nation rivale, pourvu que les perruquiers français décident en législateurs sur la forme des perruques étrangères. Rien ne leur paraît si beau que de voir le goût de leurs cuisiniers régner du septentrion au midi, et les ordonnances de leurs coiffeuses portées dans toutes les toilettes de l’Europe. » Montesquieu parle de SERVITUDE dans la même lettre.

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Et dans la lettre la plus connue il évoque ce présent permanent dont je parle souvent et cette capacité d’oubli débile :

« Je trouve les caprices de la mode, chez les Français, étonnants. Ils ont oublié comment ils étaient habillés cet été ; ils ignorent encore plus comment ils le seront cet hiver ; mais surtout on ne saurait croire combien il en coûte à un mari pour mettre sa femme à la mode. »

Le texte de Montesquieu est essentiel pour comprendre que nous entrons dans la modernité : le temps des abrutis est arrivé. Comment peut-on être persan (et pas perçant en effet ?). Ajoutons que Montesquieu a inventé le style journalistique dans ce même méphitique ouvrage à la solde de l’Angleterre.

Mais concluons pour souligner l’importance de ce sujet négligé. Le vêtement n’est pas secondaire, et le métaphysicien traditionaliste Frithjof Schuon en a parlé mieux que Carlyle ou Montesquieu dans son texte sur LE MESSAGE D’UN ART VESTIMENTAIRE.

Schuon donc : « le vêtement, comme le langage et la position verticale, est une des prérogatives de l’homme ; beaucoup moins important sans doute que les deux autres prérogatives mentionnées, il n’en est pas moins caractéristique de l’homo faber. »

Schuon ajoute : « …le « vêtement » pouvant avoir pour fonction, soit de dissimuler le corps, soit au contraire d’en rehausser le symbolisme ou la beauté. L’existence des vêtements princiers et sacerdotaux prouve que le vêtement confère à l’homme une personnalité, c’est-à-dire qu’il exprime ou manifeste une fonction qui éventuellement dépasse ou ennoblit l’individu. »

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Et on terminera par cette belle envolée :

« Le vêtement en soi peut représenter ce qui voile, donc l’exotérisme, mais il s’intériorise et s’« ésotérise » moyennant ses éléments symboliques, son langage sacerdotal précisément. Dans ce cas, le vêtement représente à son tour l’âme ou l’esprit, donc l’intérieur, le corps ne signifiant alors que notre existence matérielle et terrestre. »

Assez pour Schuon. La consécration de l’occident à Satan, évidente aujourd’hui,  n’est pas visible que dans la mode ; voyez le site vigilantcitizen.com qui fait très bien le lien entre musique, vidéo, mode et même politique (la noce rouge des Getty avec Pelosi, les liens de Microsoft avec Abramovici, Apple et les défilés Queer). La transformation en diable par le costume a été bien filmée par Ridley Scott (voyez mon livre) dans le négligé film Légende, qui forme sans doute l’épicentre de son œuvre alchimique. Scott est le producteur exécutif des clips de Lady Gaga dont on ne rappellera pas ici les exploits.

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Et revoyez le Vatican Fashion Show de Fellini-Roma pour rire : il avait prévu et filmé la fin de la religion en occident. Le cinéma aura pu tout montrer car la foule télé était trop nulle pour croire et voir.

Sources:

Schuon – Avoir un centre (recueil)

Bonnal – Ridley Scott (Amazon, Dualpha)

Montesquieu – Les lettres persanes

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dimanche, 02 septembre 2018

La mode : les manipulations physiques de la subversion mondiale

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La mode : les manipulations physiques de la subversion mondiale

par Pierre-Emile Blairon

Nous avons plusieurs corps

Les traditions indoues distinguent chez l’individu cinq types de corps subtils, par ordre ascendant de l’immatérialité : le corps physique, puis éthérique, astral, causal, et mental.

La Tradition primordiale, qui inclut les traditions indoues et toutes les autres, admet comme seule hiérarchie celle qui va du haut vers le bas, donc du supérieur à l’inférieur, de la Tradition aux traditions, du spirituel au matériel, de l’intérieur à l’extérieur, du naturel à l’artificiel, du fondamental au superficiel, de l’être au paraître, principe que nous avons signifié symboliquement par la roue[1] où le moyeu immobile, au point le plus central et le plus intérieur, représente le fondement immuable, intangible, permanent, celui qui ne tourne pas, et, au bout des rayons qui convergent vers ce centre, en contact direct avec le sol et la matérialité, le cercle de fer ou de bois, le point le plus extérieur.

Comme tout est analogique, le corps humain procède du même principe. Le plus vulnérable, soumis à toutes les agressions, est sa surface, sa peau, tout comme l’écorce de la Terre est la partie la plus fragile de son entité.

Cette hiérarchie s’applique avec toute sa force au début d’un cycle civilisationnel (ce que les Grecs appelaient l’Age d’or) mais, les civilisations étant aussi mortelles que tout ce qui vit, le déclin advient lentement, amenuise leurs défenses immunitaires et les rend plus vulnérables, les sciences sacrées cèdent la place aux profanes, les exigeants fondements spirituels sont grignotés par les besoins matériels créées artificiellement.

Des fonctions qui ne sont plus vitales

Les fonctions qui étaient vitales et nécessaires autrefois : se nourrir, se protéger des variations climatiques (les vêtements) et des agressions (la maison) n’ont cessé de grossir artificiellement – le règne de la quantité, qui est aussi celui de l’argent - (prolifération des obèses, accroissement de l’offre vestimentaire, envolée des prix du logement) alors mêmes qu’elles sont devenues superflues puisqu’abondantes dans nos sociétés occidentalisées. D’autres fonctions sont apparues, communication, déplacements, loisirs… qui ne sont ni vitales ni nécessaires mais tout aussi superflues et pléthoriques.

A la fin du dernier Age, l’Age de fer, celui dont nous vivons les derniers instants, les valeurs positives de bon sens, de respect et de rectitude qui maintenaient l’équilibre de la société et réglaient sa bonne marche sont désavouées, ignorées, méprisés et périclitent sous les coups de boutoir des populations fanatisées ou décérébrées par les gourous du désordre mondial et du chaos qui prêchent l’uniformité, la confusion, la facilité, l’hédonisme, l’égalitarisme et l’anarchie. Toutes les fins de cycle civilisationnelles voient l’apparition de non-valeurs qui sont l’inversion systématique de celles qui constituaient la colonne vertébrale des dites civilisations.

Le corps vestimentaire

A la liste des cinq types de corps subtils, nous ajouterons un corps de plus, dans le sens de la matérialité : le corps vestimentaire, qui constitue comme une seconde peau de l’Homme.

Sans remonter aux débuts de notre cycle (ni même à celui de notre dernier Age, le Kali-Yuga, qui a commencé son processus involutif 4500 ans avant notre ère), en s’en tenant aux temps historiques bien plus récents, on sait que le vêtement était très codifié, en accord avec le type de culture que s’était donnée la communauté de sang et de sol qui l’avait adopté ; parmi les exemples les plus intéressants, celui des clans écossais qui portaient des tartans (kilts) dont les couleurs étaient tirées de plantes qui poussaient sur le sol qu’ils occupaient. Cette coutume est très ancienne puisqu’on a retrouvé des momies tokhariennes dans le désert du Tarim en Chine, qui vivaient 3500 ans avant notre ère ; ces momies portant des tartans sont supposées être indo-européennes, voire ancêtres des Celtes.

Le vêtement, à l’origine marque d’une tribu, d’une communauté, d’un clan, d’une fonction, s’est ensuite individualisé chez presque tous les peuples du monde, pour s’uniformiser en même temps que progressait l’emprise du mondialisme initié par la sous-culture américaine destructrice des cultures natives. L’Homme est passé, sans se révéler entièrement en tant qu’être humain, du statut naturel à celui de la machine et même de « produit ».

Le vêtement : voile ou dévoilement de l’être intérieur ?

En Europe, les familles royales qui voulaient s’accaparer le plus de territoire possible ont pratiqué une centralisation effrénée et ont exigé de leurs vassaux l’abandon des langues, coutumes et vêtements régionaux bien vite méprisés. La « mode » en pratique dans les cours royales, commune à toute l’Europe, est née mais le rapport avec les fondamentaux traditionnels a subsisté sous d’autres formes et l’élégance qui a remplacé la tradition est l’une des formes de cet héritage ancien.

Quelques princesses ont été remarquées et admirées dans ces cours, non seulement pour leur beauté, mais aussi pour leur maintien, leur port de tête. Certains hommes, princes et officiers, se distinguaient par leur stature, une élégance désinvolte et une prestance qui les supposaient aussi à l’aise à cheval sur un champ de bataille que sous les lustres des salons royaux.

Les cas extrêmement rares où la beauté extérieure reflète parfaitement la beauté intérieure sont une résurgence miraculeuse des temps anciens où cette adéquation était la règle ; où le paraître était l’expression de l’être ; la cohésion de la personne était assurée par la cohérence de ses divers composants ; c’était de vrais aristocrates, qui n’avaient pas besoin de prouver leurs quartiers de noblesse qui trouvaient leurs sources dans les traditions enfouies.

Chez les Européens de l’Ouest, certains peuples ont conservé cet héritage à travers leurs traditions, comme en témoignent encore de nos jours les Arlésiennes ou les Bavarois. Les Françaises, d’une manière générale, ont su longtemps imposer leur distinction naturelle et leur grâce au monde jusqu’à une période très récente ; ce fut ensuite la dégringolade et la disparition quasi-totale de tout ce qui pouvait se rapporter à cette intelligence du goût et de la beauté.

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La dictature de l’informe

On peut facilement situer ce basculement qui a vu disparaître toute trace de raffinement en France après les manifestations des « révoltés » de mai 68, petits-bourgeois, enfants de grands bourgeois, ceux-là même qui sont maintenant au pouvoir.

La forme a alors disparu au profit de l’informe et la prestance au profit de l’inconsistance. Le vêtement reflétait bien la décomposition des caractères et des corps.

Les pseudo-rebelles de 68 se sont insurgés contre les uniformes (surtout militaires)… pour en adopter d’autres ; après le passage de ces gauchistes qui prétendaient s’affranchir de la pesanteur américaine sur la culture mondiale, on a vu déferler en France et en Europe le « style » américain : baskets, jeans, tee-shirts, casquettes ; les petits écoliers français et européens ont été sommés d’adopter cet uniforme sous peine d’être exclus des cours de récréation.

Les enfants du nouveau système, lentement dépossédés de toute éducation, d’exemple, de repères et, plus encore, d’héritage culturel, se glissèrent avec joie sous le rouleau compresseur de Big Brother ; le mimétisme et le paraître devinrent pour eux les seules attitudes gratifiantes, l’argent, qui leur permettait d’acheter les gadgets à la mode, la seule valeur susceptible d’éveiller chez eux un soupçon d’intérêt.

Des trous à l’âme

Le débraillé vestimentaire, l’absence de recherche esthétique, a ensuite franchi un nouveau pas au début du XXIe siècle avec la mode des jeans troués qui nous fait penser aux « trous » du corps astral, lorsque l’individu est en état d’agression ou de faiblesse, et nous pensons aussi aux trous de la couche d’ozone, agression opérée par l’être humain sur la nature.

Pendant ce temps, les couturiers invertis – il fallait bien ceux-là dans une société en inversion complète des valeurs - qui donnent le ton de ce qu’on appelle la « mode » dans les salons parisiens, anglais, italiens ou américains ne visent qu’à ridiculiser les femmes et efféminer les hommes. Il suffit de voir les vidéos des défilés conçus par ces « génies » de la « haute » couture pour réaliser à quel niveau de perversité le citoyen est tenu d’adhérer[2]. Le « show » que nous avait offert le Président de la République sur le perron de l’Elysée le 21 juin 2018 procède de la même démarche « esthétique ».

C’est vrai qu’il n’y a là qu’un très lointain rapport avec cette mode populaire somme toute banale, et presque innocente, des jeans troués. Encore faut-il bien comprendre ce que cette démarche qui consiste à acheter un jeans usagé (quelquefois beaucoup plus cher qu’un neuf) dans une boutique représente d’absurde et de pathologique.

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Une ethnospiritualité de l’enveloppe

Mais il y a plus grave. Le jeans troué est le symptôme de l’attaque de forces négatives sur le processus même de la vie, le processus vital. Le vêtement, symboliquement, est une protection (sans doute illusoire concrètement) contre les agressions extérieures. Le triomphe de la matière advient quand elle commence à grignoter ce qui n’est plus de son domaine. Sous son action, le corps vestimentaire se délite, devient poreux, le chemin vers le centre intérieur s’insinue par les brèches ouvertes. L’usure de l’enveloppe, qui était naturelle et l’œuvre du temps, est devenue artificielle et l’œuvre de puissances malsaines.

Mais les forces de la subversion mondiale ne s’en sont pas tenues là ; l’objectif, leur semble-t-il, est à leur portée.

Sous le corps vestimentaire commence le corps physique qui, tout physique qu’il est, n’en fait pas moins partie des cinq corps subtils de la Tradition. La peau est son enveloppe extérieure. Première ou ultime protection selon qu’on l’envisage de l’extérieur ou de l’intérieur. Notre corps recèle en effet d’autres système de protection, contre les multiples agressions, extérieures ou intérieures (les maladies). Mais la peau constitue aussi l’interface entre l’intérieur et l’extérieur, entre la matière et le spirituel. Et elle donne aussi à connaître au monde le mode de vie et le sol que le divin, qui n’aime pas l’uniformité, a choisi pour matérialiser l’âme que transporte ce corps sur notre Terre : notamment sa couleur.

Les forces anti-traditionnelles s’efforcent de nier cette évidence par tout un système de propagande que nous connaissons bien. Ceci reste du domaine de l’idéologie mais ces forces négatives s’attaquent désormais concrètement, matériellement, à cette protection naturelle et à cette forme d’identité qu’est la peau par le biais, encore une fois, de la mode.

Il faut sauver sa peau !

Toutes les formes d’agression sont utilisées pour décomposer et meurtrir cette enveloppe. La contre-tradition, comme son nom l’indique déjà, est une imposture qui s’efforce de reprendre maladroitement les codes présumés et incompris de la Tradition qui seraient restés vaguement ancrés dans les esprits, comme une mémoire collective. C’est ainsi que prolifèrent sur les visages des jeunes gens (mais aussi des plus âgés, mais aussi ailleurs que sur les visages) toutes sortes d’anneaux ou de bijoux accrochés, insérés, à toutes les parties symboliques du corps comme il était souvent coutume chez les peuples dits primitifs (lesquels sont en réalité des peuples tardifs découlant d’un processus dégénératif, mais ceci est une autre histoire[3]). De même que les scarifications en pratique chez ces peuples lors de rites initiatiques sont reprises sous forme de tatouages indiscrets et pléthoriques qui font ressembler de frêles jeunes filles européennes à de vigoureux camionneurs ou à des membres de la secte japonaise des Yakuzas.

La subversion mondiale, qui croit avoir déjà gagné, n’a qu’un but : atteindre le centre de la Tradition pour le détruire et empêcher le retour à un nouveau cycle. Le corps humain est la représentation analogique du corps de la Tradition et la plus vulnérable. Il convient que chacun résiste à cette intrusion.

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Face à ces agressions, que doivent faire les hommes différenciés ?

Les hommes différenciés sont, selon l’expression employée par Julius Evola, cette infime minorité de personnes lucides et responsables, celle-là même qui est investie d’une mission propre à faire repartir la roue du temps pour un nouveau cycle.

Selon Guénon, les individus n’ayant pas su conserver dans leurs différents êtres une cohérence et une consistance seront irrémédiablement condamnés à disparaître, à se « volatiliser »  lorsqu’adviendra, inévitablement, la catastrophe finale ; seule, une minorité, dotée encore de la conscience des valeurs traditionnelles primordiales, un souvenir de l’Age d’Or, ayant conservé les repères naturels, biologiques, spirituels, culturels, intellectuels, émotifs, de la Tradition, sera sauvegardée afin d’accomplir sa mission de transition, cette mission consistant à semer les germes du nouveau cycle.

L’on n’est pas toujours maître de son apparence physique mais on est presque toujours responsable de l’aspect de son corps vestimentaire et, plus intimement, de son enveloppe corporelle.

Il convient donc pour ces personnes appartenant à cette minorité de ressembler à ce qu’elles sont, ou à ce qu’elles essayent d’être sans qu’il y ait, entre les différents corps, de visible différence. Le principe étant celui de l’équilibre et du bon sens. Il est indispensable de recentrer ses différents corps pour les besoins de sa cohérence psychologique et de sa cohésion physique. La tradition exige de disposer d’une colonne vertébrale solide et de présenter une forme définie dans toutes les circonstances de la vie. Il appartient à chacun, à la fois dans sa démarche spirituelle et dans son comportement extérieur, d’être à la hauteur de ce qu’il est ou de ce qu’il prétend être, dans son désir d’être perfectible.

La vie est faite de signes perceptibles et apparents ; mais les symbolistes savent qu’un monde parallèle existe qui est fait de signes imperceptibles et apparents seulement à certains, et que ces signes sont aussi nombreux, aussi clairs et aussi évidents que ceux du monde directement perceptible. Le paraître est une composante essentielle de la vie ; il n’est superficiel, inconsistant, que si on l’est soi-même profondément. Le paraître est le miroir de ce que nous sommes au regard des autres ; il n’est l’œuvre que de notre intelligence, de notre sensibilité et de notre volonté ; il est un aspect de l’exercice de notre responsabilité, de notre libre-arbitre, il reflète, dans la forme, le respect que nous avons de nous-mêmes et des autres. Il nous situe, et nous revendiquons cette situation.

Notes:

[1] Pierre-Emile Blairon, La Roue et le sablier, Amazon

[2] https://www.vogue.fr/video/vogue-hommes/videos/les-backstage-du-defile-man-printemps-ete-2019-a-la-fashion-week-de-londres/34833

[3] Julius Evola : La Métaphysique du sexe, éditions L’Age d’Homme, page 18.

samedi, 26 novembre 2016

Montesquieu et la naissance du crétinisme médiatique

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Montesquieu et la naissance du crétinisme médiatique

par Nicolas Bonnal

Ex: http://www.dedefensa.org

Que Donald Trump aura fait couler d'encre odieuse et imbécile ! Que Fillon est méprisé, que le vénéneux Juppé est encensé ! Que le Brexit fut sous-estimé !

Mais pourquoi la presse française – ou même anglo-saxonne - est-elle si nulle ? Un peu d'histoire.

En 1721 Montesquieu publie les lettres persanes, ouvrage destiné à être bouquiné par le public décalé, jouisseur et rigolard de la Régence. Le livre est lu par une « élite » qui est déjà celle d’aujourd’hui, bourgeoise, collabo, humoriste.

esprit_des_lois.jpgLe bouquin devient un classique, sans que l’on ait compris pourquoi, au milieu de cette littérature du dix-huitième siècle décadent, si proche de nos marottes et de nos caprices de vieux. Le livre recycle le style journalistique venu d’Angleterre, comme toute la décadence française et même européenne, le matérialisme et la superficialité. A la même époque, dans un article passionnant (je l’ai étudié ailleurs), Jonathan Swift se demande par quoi on va remplacer le christianisme en Angleterre ; ou comment le bourgeois british aux affaires pourrait se nourrir d’enfants irlandais (en 1846 ce même bourgeois libéral le prendra au mot). C’est le même bourgeois libéral qui veut déclencher une guerre contre la Russie – pour protéger ses Indes ou la Turquie ottomane - durant tout le dix-neuvième siècle ! Car le gouvernement anglais obéit à sa presse, remarque Tocqueville dans ses Souvenirs. Surtout quand il s’agit de faire la guerre à la Russie.

Ce qui est le plus marrant dans le style journalistique, c’est qu’il ne sait pas quand il dit la vérité (« le vrai est un moment du faux »). L’homme moderne, comme a dit Soljenitsyne à Harvard, ne sait pas s’il est vivant, et le journaliste occidental ne sait pas quand il dit vrai. Sur Montesquieu et son style incisif, sa lucidité parfois réelle, on peut citer cette phrase mémorable des Commentaires de Debord :

« Il est vrai que cette critique spectaculaire du spectacle, venue tard et qui pour comble voudrait « se faire connaître » sur le même terrain, s’en tiendra forcément à des généralités vaines ou à d’hypocrites regrets ; comme aussi paraît vaine cette sagesse désabusée qui bouffonne dans un journal. »

Mais Montesquieu reste peut-être avec Molière le seul classique qui nous quitte les remords de ne pas être né avant, à cette époque, in illo tempore, comme on dit chez Virgile. Et ce n’est pas un compliment, car nous sommes déjà postmodernes à son époque.

lettrespers.jpgReprenons le scolaire et incompris passage sur les persans à Paris. Ils deviennent des célébrités exotiques et on les « reproduit ». On est dans une société de l’image, de la curiosité extatique momentanée, de la pensée jetable, de l’icône culturelle :

« Chose admirable ! Je trouvais de mes portraits partout ; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m'avoir pas assez vu. »

La société de la Régence rompt avec le Grand siècle, Bossuet et Louis XIV. On récolte les escroqueries financières, la déprime de Watteau, la culture du badaud amusé, les casinos de Manon Lescaut et le libertinage en attendant la Révolution. Les lettres persanes sont en grande partie faites des cancans du harem, des minettes préférées, des eunuques bavards et du reste qui annonce nos reality-shows. On n’y possède pas encore de gadgets Apple, mais c’est tout comme :

« Si j'étais aux spectacles, je voyais aussitôt cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin jamais homme n'a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d'entendre des gens qui n'étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux : Il faut avouer qu'il a l'air bien persan. »

On remarque dans ce texte finalement les préoccupations très people de ces beaufs qui veulent être tenus au courant du dernier perçant venu à paris, en attendant celles sur le persan bombardé par l’Hillary Air Force. Le fait de tous faire mécaniquement la même chose, au siècle de l’homme-machine de La Mettrie ou de Vaucanson ne fait peur personne, bien au contraire ! Être branché, être au courant, être réactif, c’est faire comme le troupeau. Pouchkine se moque de ce tropisme anglo-français dans Eugène Onéguine, quand il dénonce le mimétisme russe – dans ses premiers chapitres. C’est l’apophtegme de la démocratie libérale et libertaire : sois toi-même, donc fais comme tous. Il faut être là où ça bouge, c’est-à-dire là où ça s’entasse. Montesquieu au passage du pape, « vieille idole que l’on encense par habitude ; il se moque du roi, « grand magicien en matière monétaire », qui fait croire qu'un égale deux. Et sur la mode ?

« Je trouve les caprices de la mode, chez les Français, étonnants. Ils ont oublié comment ils étaient habillés cet été ; ils ignorent encore plus comment ils le seront cet hiver : mais surtout on ne saurait croire combien il en coûte à un mari, pour mettre sa femme à la mode. »

Ces phrases sont étonnantes de lucidité inconsciente. Montesquieu annonce le présent permanent des penseurs post-hégéliens les plus profonds comme le russe Kojève ou notre Guy Debord. Son texte marque aussi une indifférence générale, un assoupissement citoyen, cette « anesthésie » postmoderne, comme dit l’historien Stanley Payne de l’Espagne.

Montesquieu décrit donc ce déraillement postmoderne et cette  crétinisation médiatique du monde, et il illustre à merveille ce « plus petit des siècles » (dixit Léon Bloy) qui n'arrête pas de se reproduire depuis, comme les portraits de son persan et les pages des journaux idiots, snobs et branchés qui aboutirent à la plus cruelle et surtout plus inutile Révolution de l’histoire. Ces mêmes journaux gavés par les oracles néocons demandent aujourd’hui et la hausse de la bourse (pour eux l’économie n’existe plus) et la guerre contre la Russie – ou contre le pauvre Iran.

Un con ça ose tout disait Audiard avec raison ; mais il faut ajouter qu’un con ça ose tout dans tous les domaines. On ne le voit que trop de ce côté-ci de l’Atlantique ou de la Volga maintenant.

lundi, 25 mai 2015

Débardeurs et Sweatshirts

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mercredi, 09 février 2011

Nazi Fashion Wars: The Evolian Revolt Against Aphroditism in the THird Reich

Nazi Fashion Wars:

The Evolian Revolt Against Aphroditism in the Third Reich

Part 1

Amanda Bradley

Ex: http://www.counter-currents.com/

“We would like women to remain women in their nature, in the whole of their lives, in the aim and fulfilment of these lives, just as we likewise wish men to remain men in their nature and in the aim and fulfilment of their nature and their aims.”—Adolf Hitler

girl1.jpgNational Socialism promoted two images of woman: the hardworking peasant mother in traditional dress, and the uniformed woman in service to her people. Both images were an attempt to combat two types of woman that are foreign to Traditional European societies: the Aphrodisian and Amazonian woman.

To understand the implications of these types, we must first outline J. J. Bachofen’s theory of the phases of human development and their relation to the Traditionalism of Julius Evola, who translated Bachofen’s Das Mutterrecht (Mother Right) into Italian and wrote the introduction. Bachofen posited a progressive view of history. The earliest and most primitive civilizations were earth-based, what Bachofen called “hetaerist-aphroditic,” since they were characterized by promiscuity.

As a revolt against the mistreatment of women in these early societies, Bachofen determined, agricultural-based Demetrian societies were developed. This phase of development was matriarchal, and exalted woman in her role of wife and mother, since it viewed woman and the earth as sources of generation.

Next, patriarchy developed, in which the sun and man were seen as the source of life. States of consciousness, correspondingly, went beyond the earth and the moon in solar-oriented societies.

Bachofen also outlined several regressions within his system. The cult of Dionysus was a regression from a Demetrian back into an earth-based cult, as exemplified by its emphasis on the vine (i.e., earth), a drunken dissolution into nature, and the promiscuous maenads who were its followers. Another regression was found in the various examples of Amazonian women in Western history, who did away with the need for a male principle.

Evola said that he integrated Bachofen’s ideas in “a wider and more up-to-date order of ideas.” [1]. He posits the Arctic cycle of the Golden Age as the primordial tradition. Demetrian societies came later, and eventually declined into Amazonian and Aphrodisian cycles. Meanwhile, there were descents into Titanic and Dionysian cycles, with a brief revival of the Northern spirit in the heroic age. Although Evola and Bachofen disagreed about the primacy of the Northern tradition, their interpretations of Aphroditism and other degenerations are similar.

As an earth-based society, the Aphrodisian is entirely focused on the material world. These societies are ruled by “the natural law (ius naturale) of sex motivated by lust, and with no understanding of the relationship of intercourse to conception.” [2] Even the afterlife is viewed not as an ascent to a heaven, but a return to nature. Bachofen describes woman’s status in these cultures as the lowest—she is only a sex object, the property of the tribal chief or any man who wants her. Evola’s interpretation is that in Aphrodisian societies, it is man’s status that is the lowest, since woman is the “sovereign of the man who is merely slave of his senses and sexuality, merely the ‘telluric’ being that finds its rest and its ecstasy only in the woman.” [3] Whether interpreting Aphrodisian societies as degrading to men, women, or both, one aspect is clear: Such a worldview emphasizes the lower aspects of sex, and presents woman as an object of base lust. Contrasted to this are Demetrian societies, in which monogamy and the love of the wife and mother replace mere lust.

Such Aphrodisian cultures are found only in pre-Aryan and anti-Aryan societies. In the history of the West, Evola theorizes that solar-based societies originally were found throughout Europe. In the more southern areas of Europe, in the timeline of recorded history at least, the solar forces did not withstand opposing forces for long. According to Joseph Campbell, these earth and lunar forces migrated to the Mediterranean from the East, as the Oriental principle was found in the “Aphroditic, Demetrian, and Dionysian legacies of the Sabines and Etruscans, Hellenistic Carthage and, finally, Cleopatra’s Hellenistic Egypt.”[4] Thus, much of what we associate with classical Greece cannot be assumed to be European, but must be interpreted in light of the degenerations that developed from its contact with the East. Rome, according to Evola, was able to ward off the influence of the telluric-maternal cult due to its establishment of a firm political organization that was centered on the virile principles of a solar worldview.

In addition to the spheres of love and family, Aphrodisian societies have far-reaching political implications as well. Earth and lunar cults were not necessarily (in fact, rarely) governed by women, yet like gynaecocracy, they foster “the egalitarism of the natural law, universalism and communism.” The idea is that Aphrodisian, earth-based societies viewed all men as children of one earth. Thus, “any inequality is an ‘injustice’, an outrage to the law of nature.” The ancient orgies, Evola writes, “were meant to celebrate the return of men to the state of nature through the momentary obliteration of any social difference and of any hierarchy.”[5] This also explains why in some cultures, the lower castes practiced tellurian or lunar rites, while solar rites were reserved for the aristocracy.

roekk-gross.jpgThese were the Aphrodisian elements that had made their way into the Weimar Republic and Third Reich, and which the National Socialists tried to restrain, along with modern Amazonian woman (the unmarried, childless, career woman in mannish dress). The Aphrodite type was represented by the “movie ‘star’ or some similar fascinating Aphrodisian apparition.”[6] In his introduction to the writings of Bachofen, National Socialist scholar Alfred Baeumler wrote that the modern world has all of the characteristics of a gynaecocratic age. In writing about the European city-woman, he says, “The fascinating female is the idol of our times, and, with painted lips, she walks through the European cities as she once did through Babylon.”[7]

(PICTURE: Hungarian-born singer Marikka Rökk)

The Nazis’ attempts to combat the Aphrodisian type of woman were manifest in various campaigns and in the writings of Nazi leaders. Most prominent was the promotion of the Gretchen type (the Demetrian woman, in her role as mother and wife), and the discouragement of anything that encouraged the fall of woman into a sex toy rather than a partner for men. Primary emphasis was placed on the discouragement of provocative dress, makeup, and unnatural hair, all which have associations with earth-based cults from the East. According to Evola, the Jewish spirit emphasizes the materialist and sensualist sides of life, with the body viewed as a material instrument of pleasure rather than an instrument of the spirit. Thus, ideologies such as cosmopolitanism, egalitarianism, materialism, and feminism are prevalent in a society that has a worldview infused with a Semitic spirit.[8]

Evola categorized the Aryan spirit as solar and virile, and the Jewish spirit as lunar and feminine. Using Bachofen’s classification system, the latter classifies most easily with Aphrodisian and earth-based cultures — where woman-as-sex-object prevails over woman-as-mother. In fact, there were various versions of “royal Asian women with Aphrodisian features, above all in ancient civilizations of Semitic stock.”[9] A review of archaeological evidence of Aryan and Semitic peoples reveals that, indeed, the only records of Aphrodisian culture in the West (as determined by a culture’s molding of woman into a sex object through fashion, makeup, and the idea of unnatural beauty) are the result of Eastern influence.

Aphrodisian Fashion and Cosmetics Are Absent from the History of Northern Europeans, and Found in Mediterranean Cultures as a Result of Eastern Influence

European civilizations unanimously associated unnatural beauty, achieved by cosmetics and dyed hair, with the lowest castes. This is because in Traditional societies, “health” was a symbol of “virtue” — to feign health or beauty was an attempt to mask the Truth.[10] Although cosmetics and jewelry were used ritually in ancient civilizations, their use eventually degenerated into a purely materialistic function.

 

girl4.jpgThe earliest Europeans tended toward simplicity in dress and appearance. Adornments were used solely to signify caste or heroic deeds, or were amulets or talismans. In ancient Greece, jewels were never worn for everyday use, but reserved for special occasions and public appearances. In Rome, also, jewelry was thought to have a spiritual power.[11] Western fashion often was used to display rank, as in Roman patricians’ purple sash and red shoes. The Mediterranean cultures, influenced by the East, were the first to become extravagant in dress and makeup. By the time this influence spread to northern Europe, it had been Christianized, and makeup did not appear again in northern Europe until the fourteenth century, after which followed a long period of its association with immorality.[12]

There is no firm evidence, archeological or narrative, for the use of makeup among the Anglo-Saxons. Only one story exists about its use among the Vikings, that of tenth century A.D. traveler  Ibrahim Al-Tartushi, who suggested that Vikings in Hedeby (in modern northern Germany) used kohl to protect against the evil eye (obviously an import from the East). Instead of makeup (outside of their often-described war paint), early northern Europeans focused on cleanliness and simplicity, as well as plant-based oils and aromatherapy. Archeological evidence reveals grooming tools for keeping hair tidy and teeth clean, and long hair was an essential beauty element for women.[13] Much of the jewelry worn by Vikings was religious, received as a reward for bravery in battle, or used to fasten clothing (such as brooches).[14]

Ancient Greece and Rome started out similar to northern Europe in the realms of fashion and beauty, but were quickly influenced by the East. Cosmetics were introduced to Rome from Egypt, and become associated with prostitutes and slaves. Prostitutes tended to use more makeup and perfume as they got older, practices that were looked down on as attempts to mask the unpleasant sights and odors of the lower classes. In fact, the Latin lenocinium means both “prostitution” and “makeup.” For a long time, cosmetics also were associated with non-white races, particular those from the Orient. As Rome degenerated, however, the use of makeup spread to many classes, with specialized slaves devoting much time to applying face paint to their masters, especially to lighten the skin color.

Although cosmetics became more accepted in Rome, their use was contrary to Roman beliefs and discouraged in their writings. Romans did not believe in “unnatural embellishment,” but only the preservation of natural beauty, for which there were many concoctions. Such unadulterated beauty was associated with chastity and morality. As an example, the Vestal Virgins did not use makeup. One who did, Postumia, was accused of incestum, a broad category that signifies immoral and irreligious acts.

In addition, Roman men found it suspicious when women tried to appear beautiful: the implications of cosmetic use included a lack of natural beauty, lack of chastity, potential for adultery, seductiveness, unnatural aversion to the traditional roles for women, manipulation, and deceitfulness. The poet Juvenal wrote, “a woman buys scents and lotions with adultery in mind.” Seneca believed the use of cosmetics was contributing to the decline in morality in the Rome Empire, and advised virtuous women to avoid them.[15] The only surviving text from Rome that approves of cosmetics, Ovid’s Medicamina Faciei Femineae (Cosmetics for the Female Face), gives natural remedies for whiter skin and blemishes but extols the virtues of good manners and a good disposition as highest of all beauty treatments.

Originally, the simplest hairstyles were prized in Rome, with women wearing their hair long, often with a headband. Younger girls favored a bun at the nape of the neck, or a knot on top of their head. Elaborate hairstyles only came into fashion during the Roman Empire as it degenerated.[16]

In ancient Greece, as well, makeup was the domain of lower-class women, who attempted to emulate the fair skin of the upper classes who stayed indoors. Rouge was sometimes used to give the skin a healthy and energetic glow. This tradition was continued by women in the Middle Ages, who also valued fair skin.

Cosmetics, dyed hair, and over-accessorizing continued to be associated with loose women as Western society was Christianized. Saint Irenaeus included cosmetics in a list of evils brought to the women who married fallen angels. The early Christian writers Clement of Alexandria, Tatian the Assyrian, and Tertullian also trace the origin of cosmetics to fallen angels.[17]

Dress presents a more difficult area to examine. Although the Nazis associated skimpy dress with foreign elements, this has not always been the case in West. Aryan societies generally did not moralize sex, nor see the body as shameful; women could show a bare breast or wear a short tunic without being viewed as a sex object. In fact, Bachofen reports that more restrictive dress represented a move toward Eastern cultures, which, seeing woman as temptress, insist on extensive covering. According to Plutarch, speaking on the old Dorian spirit:

There was nothing shameful about the nakedness of the virgins, for they were always accompanied by modesty and lechery was banned. Rather, it gave them a taste for simplicity and a care for outward dignity.[18]

Much of these distinctions in beauty treatments can be traced to deeper sources, to the differences in spirit of different peoples. Evola asserts the Roman spirit as the positive side of the Italian people, and the Mediterranean (more influenced by the East) as the negative that needs to be rectified. The first Mediterranean trait is “love for outward appearances and grand gestures”—it is the type that “needs a stage.” In such people, he says, there is a split in the personality: there is “an ‘I’ that plays the role and an ‘I’ that regards his part from the point of view of a possible observer or spectator, more or less as actors do.”

A different kind of split, one that instead supervises one’s conduct to avoid “primitive spontaneity,” is more befitting of the Roman character. The ancient Romans had a model of “sober, austere, active style, free form exhibitionism, measured, endowed with a calm awareness of one’s dignity.” Another negative trait of the Mediterranean type, Evola notes, is individualism, brought about by “the propensity toward outward appearances.” Evola also cites “concern for appearances but with little or no substance” as typical of the Mediterranean type.[19] Such differences in spirit will manifest in the material choices that are inherent to different peoples.

Notes

 

1. Julius Evola, Revolt Against the Modern World, trans. Guido Stucco (Rochester, Vt.: Inner Traditions, 1995), 211, footnote.

2. Joseph Campbell, Introduction, Myth, Religion, and Mother Right, by J. J. Bachofen, trans. Ralph Manheim (Princeton: Princeton University Press, 1967), xxx–xxxi.

3. Evola, “Do We Live in a Gynaecocratic Society?”

4. Campbell, “Introduction” to Bachofen, xlviii.

5. Evola, “Gynaecocratic.”

6. Evola, “Matriarchy in J.J. Bachofen’s Work.”

7. Alfred Baeumler, quoted in Evola, “Matriarchy.”

8. Michael O’Meara, “Evola’s Anti-Semitism.”

9. Evola, “Gynaecocratic.”

10. Evola, Revolt, 102.

11. “Creationism & the Early Church.”

12. “Cosmetics use resurfaces in Middle Ages.”

13. “In Pursuit of Beauty.”

14. Fiona McDonald,Jewelry And Makeup Through History (Milwaukee, Wis.: Gareth Stevens, 2007), 13.

15. Wikipedia. “Cosmetics in Ancient Rome.”

16. “Roman Hairstyles.”

17. “Creationism & the Early Church.”

18. Plutarch, quoted in Bachofen, 171.

19. Evola, Men Among the Ruins: Post-War Reflections of a Radical Traditionalist, trans. Guido Stucco (Rochester, Vt.: Inner Traditions, 2002), 260–62.

Nazi Fashion Wars:
The Evolian Revolt Against Aphroditism in the Third Reich, Part 2

girl2.jpgThere is much archeological evidence for cosmetics and other beauty treatments in the East, particularly in Egypt and Asia. In Arab cultures, cosmetic use is traced back to ancient times, and there are no prohibitions in Islamic law against cosmetics. Though a simple use of makeup or hair dye could not be evidence of an Aphrodisian belief system, if such use is intended to limit woman’s role to the sexual realm, then we can assume there are elements of the culture that are earth-based and opposed to the Aryan solar cults.

Judaism is not historically opposed to cosmetics and jewelry, although two stories can be interpreted as negative indictments on cosmetics and too much finery: Esther rejected beauty treatments before her presentation to the Persian king, indicating that the highest beauty is pure and natural; and Jezebel, who dressed in finery and eye makeup before her death, may the root of some associations between makeup and prostitutes.

In most cases, however, Jewish views on cosmetics and jewelry tend to be positive and indicate woman’s role as sexual: “In the rabbinic culture, ornamentation, attractive dress and cosmetics are considered entirely appropriate to the woman in her ordained role of sexual partner.” In addition to daily use, cosmetics also are allowed on holidays on which work (including painting, drawing, and other arts) are forbidden; the idea is that since it is pleasurable for women to fix themselves up, it does not fall into the prohibited category of work.[1]

In addition to the historical distinctions between cultures on cosmetics, jewelry, and fashion, the modern era has demonstrated that certain races enter industries associated with the Aphrodisian worldview more than others. Overwhelmingly, Jews are overrepresented in all of these arenas. Following World War I, the beauty and fashion industries became dominated by huge corporations, many of the Jewish-owned. Of the four cosmetics pioneers — Helena Rubenstein, Elizabeth Arden, Estée Lauder (née Mentzer), and Charles Revson (founder of Revlon) — only Elizabeth Arden was not Jewish. In addition, more than 50 percent of department stores in America today were started or run by Jews. (Click here for information about Jewish department stores and jewelers, and here for Jewish fashion designers).

Hitler was not the only one who noticed Jewish influence in fashion and thought it harmful. Already in Germany, a belief existed that Jewish women were “prone to excess and extravagance in their clothing.” In addition, Jews were accused of purposefully denigrating women by designing immoral, trashy clothing for German women.[2] There was an economic aspect to the opposition of Jews in fashion, as many Germans thought them responsible for driving smaller, German-owned clothiers out of business. In 1933, an organization was founded to remove Jews from the Germany fashion industry. Adefa “came about not because of any orders emanating from high within the state hierarchy. Rather, it was founded and membered by persons working in the fashion industry.”[3] According to Adefa’s figures, Jewish participation was 35 percent in men’s outerwear, hats, and accessories; 40 percent in underclothing; 55 percent in the fur industry; and 70 percent in women’s outerwear.[4]

Although many Germans disliked the Jewish influence in beauty and fashion, it was recognized that the problem was not so much what particular foreign race was impacting German women, but that any foreign influence was shaping their lives and altering their spirit. The Nazis obviously were aware of the power of dress and beauty regimes to impact the core of woman’s self-image and being. According to Agnes Gerlach, chairwoman for the Association for German Women’s Culture:

Not only is the beauty ideal of another race physically different, but the position of a woman in another country will be different in its inclination. It depends on the race if a woman is respected as a free person or as a kept female. These basic attitudes also influence the clothes of a woman. The southern ‘showtype’ will subordinate her clothes to presentation, the Nordic ‘achievement type’ to activity. The southern ideal is the young lover; the Nordic ideal is the motherly woman. Exhibitionism leads to the deformation of the body, while being active obligates caring for the body. These hints already show what falsifying and degenerating influences emanate from a fashion born of foreign law and a foreign race.[5]

Gerlach’s statements echo descriptions of Aphrodisian cultures entirely: Some cultures view women as a sex object, and elements of promiscuity run through all areas of women’s dress and toilette; Aryan cultures have a broader understanding of the possibilities of the female being and celebrate woman’s natural beauty.

The Introduction of Aphrodisian Elements into Germany and the Beginning of the Fashion Battles

Long before the Third Reich, Germans battled the French on the field of fashion; it was a battle between the Aphrodisian culture that had made its way to France, and the Demetrian placement of woman as a wife and mother. As early as the 1600s, German satirical picture sheets were distributed that showed the “Latin morals, manners, customs, and vanity” of the French as threatening Nordic culture in Germany. In the twentieth century, Paris was the height of high fashion, and as tensions between the two countries increased, the French increased their derogatory characterizations of German women for not being stereotypically Aphrodisian. In 1914, a Parisian comic book presented Germans as “a nation of fat, unrefined, badly dressed clowns.”[6] And in 1917, a French depiction of “Virtuous Germania” shows her as “a fat, large-breasted, mean-looking woman, with a severe scowl on her chubby face.”[7]

Hitler saw the French fashion conglomerate as a manifestation of the Jewish spirit, and it was common to hear that Paris was controlled by Jews. Women were discouraged from wearing foreign modes of dress such as those in the Jewish and Parisian shops: “Sex appeal was considered to be ‘Jewish cosmopolitanism’, whilst slimming cures were frowned upon as counter to the birth drive.”[8] Thus, the Nazis staunch stance against anything French was in part a reaction to the Latin qualities of French culture, which had migrated to the Mediterranean thousands of years earlier, and that set the highest image of woman as something German men did not want: “a frivolous play toy that superficially only thinks about pleasure, adorns herself with trinkets and spangles, and resembles a glittering vessel, the interior of which is hollow and desolate.”[9] Such values had no place in National Socialism, which promoted autarky, frugalness, respect for the earth’s resources, natural beauty, a true religiosity (Christian at first, with the eventual goal to return to paganism), devotion to higher causes (such as to God and the state), service to one’s community, and the role of women as a wife and mother.

Opposition to the Aphrodisian Culture in the Third Reich

Most students of Third Reich history are familiar with the more popular efforts to shape women’s lives: the Lebensborn program for unwed mothers, interest-free loans for marriage and children, and propaganda posters that emphasized health and motherhood. But some of the largest battles in the fight for women occurred almost entirely within the sphere of fashion—in magazines, beauty salons, and women’s organizations.

The Nazis did not discount fashion, only its Aphrodisian manifestations. On the contrary, they understood fashion as a powerful political tool in shaping the mores of generations of women. Fashion and beauty also were recognized as important elements in the cultural revolution that is necessary for lasting political change. German author Stafan Zweig commented on fashion in the 1920s:

Today its dictatorship becomes universal in a heartbeat. No emperor, no khan in the history of the world ever experienced a similar power, no spiritual commandment a similar speed. Christianity and socialism required centuries and decades to win their followings, to enforce their commandments on as many people as a modern Parisian tailor enslaves in eight days.[10]

Thus, Nazi Germany established a fashion bureau and numerous women’s organizations as active forces of cultural hegemony. Gertrud Scholtz-Klink, the national leader of the NS-Frauenschaft (NSF, or National Socialist Women’s League), said the organization’s aim was to show women how their small actions could impact the entire nation.[11] Many of these “small actions” involved daily choices about dress, shopping, health, and hygiene.

The biggest enemies of women, according to the Nazi regime, were those un-German forces that worked to denigrate the German woman. These included Parisian high fashion and cosmetics, Jewish fashion, and the Hollywood image of the heavily made up, cigarette-smoking vamp—the archetype of the Aphrodisian. These forces not only impacted women’s clothing, personal care choices, and activities, but were dangerous since they touched the German woman’s very spirit.

girl5.jpgAlthough the image of the dirndl-wearing woman working the fields was heavily promoted, Hitler was not anti-fashion and realized the value in beautiful dress and that in order to retain women’s support, he could not do away with their luxury items completely. Part of the reason he opposed Joseph Goebbels’ 1944 plans to close fashion houses and beauty parlors was not because he disagreed, but because he was “fearful that this would antagonize German women,” particular those of the middle classes who he relied on for support.[12] Hitler showed his concern for tasteful clothing when he rejected the first design of girls’ uniforms for the Bund Deutscher Mädel (BDM, League of German Girls) as “old sacks” and said the look should not be “too primitive.”[13] And in a conference with party leaders he said:

Clothing should not now suddenly return to the Stone Age; one should remain where we are now. I am of the opinion that when one wants a coat made, one can allow it to be made handsomely. It doesn’t become more expensive because of that. . . . Is it really something so horrible when [a woman] looks pretty? Let’s be honest, we all like to see it.[14]

Though understanding the need for tasteful and beautiful dress, the Nazis were adamantly against elements foreign to the Nordic spirit. The list included foreign fashion, trousers, provocative clothing, cosmetics, perfumes, hair alterations (such as coloring and permanents), extensive eyebrow plucking, dieting, alcohol, and smoking. In February 1916, the government issued a list of “forbidden luxury items” that included foreign (i.e., French) cosmetics and perfumes.[15] Permanents and hair coloring were strongly discouraged. Although the Nazis were against provocative clothing in everyday dress, they encouraged sportiness and were certainly not prudish about young girls wearing shorts to exercise. A parallel can be seen in the scanty dress worn by Spartan girls during their exercises, a civilization characterized by its Nordic spirit and solar-orientation.

Some have said that Hitler was opposed to cosmetics because of his vegetarian leanings, since cosmetics were made from animal byproducts. More likely, he retained the same views that kept women from wearing makeup for centuries in Western countries—the innate understanding that the Aphrodisian woman is opposed to Aryan culture. Nazi proponents said “red lips and painted cheeks suited the ‘Oriental’ or ‘Southern’ woman, but such artificial means only falsified the true beauty and femininity of the German woman.”[16] Others said that any amount of makeup or jewelry was considered “sluttish.”[17] Magazines in the Third Reich still carried advertisements for perfumes and cosmetics, but articles started advocating minimal, natural-looking makeup, for the truth was that most women were unable to pull off a fresh and healthy image without a little help from cosmetics.

Although jewelry and cosmetics were not banned, many areas of the Third Reich were impossible to enter unless conforming to Nazi ideals. In 1933, “painted” women were banned from Kreisleitung party meetings in Breslau. Women in the Lebensborn program were not allowed to use lipstick, pluck their eyebrows, or paint their nails.[18] When in uniform, women were forbidden to wear conspicuous jewelry, brightly colored gloves, bright purses, and obvious makeup.[19] The BDM also was influential in shaping fashion in the regime, with young girls taking up the use of clever pejoratives to reinforce the regime’s message that unnatural beauty was not Aryan. The Reich Youth Leader said:

The BDM does not subscribe to the untruthful ideal of a painted and external beauty, but rather strives for an honest beauty, which is situated in the harmonious training of the body and in the noble triad of body, soul, and mind. Staunch BDM members whole-heartedly embraced the message, and called those women who cosmetically tried to attain the Aryan female ideal ‘n2 (nordic ninnies)’ or ‘b3 (blue-eyed, blonde blithering idiots).’[20]

The Nazis offered many alternatives to Aphrodisian values: beauty would be derived from good character, exercise outdoors, a good diet, healthy skin free of the harsh chemicals in makeup, comfortable (yet still stylish and flattering) clothing, and from the love for her husband, children, home, and country. The most encouraged hairstyles were in buns or plaits—styles that saved money on trips to the beauty salon and were seen as more wholesome and befitting of the German character. In fact, Tracht (traditional German dress) was viewed as not merely clothing, but also as “the expression of a spiritual demeanor and a feeling of worth . . . Outwardly, it conveys the expression of the steadfastness and solid unity of the rural community.”[21] Foreign clothing designs, according to Gerlach, led to physical and “psychological distortion and damage, and thereby to national and racial deterioration.”[22]

*   *   *

Some people may be inclined to interpret Aphrodisian culture as positive for the sexes—it puts the emphasis for women not on careers but on their existence as sexual beings. Men often encourage such behavior by their dating choices and by complimenting an Aphrodisian “look” in women. But Aphrodisian culture is not only damaging to women, as Bachofen relates, by reducing them to the status of sex slave of multiple men. It also is degrading for men, at the level of personality and at the deepest levels of being. As Evola writes about the degeneration into Aphroditism:

The chthonic and infernal nature penetrates the virile principle and lowers it to a phallic level. The woman now dominates man as he becomes enslaved to the senses and a mere instrument of procreation. Vis-à-vis the Aphrodistic goddess, the divine male is subjected to the magic of the feminine principle and is reduced to the likes of an earthly demon or a god of the fecundating waters—in other words, to an insufficient and dark power.[23]

(PICTURE: Swedish singer Zarah Leander)

Zarah_Leander_DW_Ku_389109g.jpgAphroditism also contributes to the loss of wonder that is essential to a transcendent-based worldview, since many now find it hard to be moved by the ordinary. Josef Pieper discusses the importance of being able to see the divine in the natural:

If someone needs the ‘unusual’ to be moved to astonishment, that person has lost the ability to respond rightly to the wondrous, the mirandum, of being. The hunger for the sensational . . . is an unmistakable sign of the loss of the true power of wonder, for a bourgeois-ized humanity.[24]

A society that promotes so much unnatural beauty will no doubt lose the ability to experience the wondrous in the natural. It is essential that people retain the ability to love and be moved by the pure and natural, in order to once again return to a civilization centered in a Traditional Aryan worldview.

Notes

1. Daniel Boyarin, “Sex,” Jewish Women’s Archive.

2. Irene Guenther, Nazi ‘Chic’?: Fashioning Women in the Third Reich (Oxford: Berg, 2004), 50–51.

3. Guenther, 16.

4. Guenther, 159.

5. Agnes Gerlach,  quoted in Guenther, 146.

6. Guenther, 21–22.

7. Guenther, 26.

8. Matthew Stibbe, “Women and the Nazi state,” History Today, vol. 43, November 1993.

9. Guenther, 93.

10. Stefan  Zweig, quoted in Guenther, 9.

11. Jill Stephenson, Women in Nazi Germany (Essex, UK: Pearson, 2001), 88.

12. Stephenson, 133.

13. Guenther, 120.

14. Adolf Hitler, quoted in Guenther, 141.

15. Guenther, 32.

16. Guenther, 100.

17. Guido Knopp,  Hitler’s Women (New York: Routledge, 2003), 231.

18. Guenther, 99.

19. Guenther, 129.

20. Guenther, 121.

21. Guenther, 111.

22. Gerlach, quoted in Guenther, 145.

23. Evola, Revolt, 223.

24. Josef Pieper,  Leisure: The Basis of Culture, trans. Gerald Malsbary (South Bend, Ind.: St. Augustine’s Press, 1998), 102.