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dimanche, 10 décembre 2023

L'Espagne atlantique face au nationalisme des riches

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L'Espagne atlantique face au nationalisme des riches

Carlos X. Blanco

En cette période de crise aiguë en Espagne, après des siècles de décadence, il est temps de regarder en arrière et de prendre un nouvel élan. C'est l'impulsion que je demande et que j'envisage pour l'Espagne atlantique.

L'Espagne était un empire. En tant que nation politique "bourgeoise", elle ne s'est pas réalisée. Le modèle jacobin français lui a toujours été étranger. D'une manière ou d'une autre, les esprits les plus vifs du pays l'ont senti. Quand on parle de problème territorial en Espagne, il ne s'agit pas d'une lutte entre "nations opprimées" au sein de l'Etat espagnol. Quand les indépendantistes basques ou catalans parlent en ces termes, ils ne font que se ridiculiser. Ils parlent de "leur" problème comme si ce problème était tout à fait similaire à d'autres problèmes beaucoup plus sérieux et authentiques: le problème palestinien, le problème sahraoui, ou même le problème des Écossais et des Bretons.

Les nationalistes basques et catalans parlent souvent, et le font avec sérieux et sans honte, de "forces d'occupation" ou de "prison des peuples", alors que les revendications séparatistes de l'Espagne ne visent qu'à préserver des privilèges.

Dans la lutte des peuples pour leur souveraineté, légitime sous d'autres latitudes, la décision morale qui nous conduit à décider qui a raison, qui est juste, a généralement trait à l'oppression. Il y a une victime et un bourreau : un "centre" riche et exploiteur sépare, exploite, opprime et réduit les possibilités d'une "périphérie" pauvre et objectivement colonisée. C'est le cas de l'exploitation du centre "occidental" sur le Sud mondial (Amérique latine, Afrique, grandes parties de l'Asie...). En Europe même, la politique féroce du "centre", entendu comme État-nation, à savoir la France et l'Angleterre en particulier, a sali à jamais la prétendue mission "civilisatrice" de ces États, qui ne sont pas exactement couverts de gloire lorsqu'il s'agit de traiter avec les nations voisines ou les nations internes plus faibles. Ce sont des États centralisateurs qui ont historiquement agi sur le territoire européen lui-même, et dans les pays adjacents à leur propre métropole, avec une cruauté similaire à celle dont ils ont eux-mêmes fait preuve à l'égard des Africains et des indigènes d'autres terres d'outre-mer.

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La souffrance des Irlandais, des Bretons, des Provençaux, des Corses, etc. résultant de l'État centraliste jacobin fait partie de l'Europe et de son histoire. Une histoire sinistre, qui permet de parler d'un colonialisme intra-européen. La conscience de ces abus nous rappellera toujours que l'Europe doit être une Europe des peuples, pas des rois ou des républiques artificielles. Une Europe des peuples (le peuple, la nation, l'ethnos) et non des bureaucraties et des oligarchies. L'idée de l'oppression centre-périphérie (Samir Amin) s'applique parfaitement ici, tout comme celle de la multipolarité (Douguine), c'est-à-dire des peuples libres solidaires autour de véritables blocs de pouvoir qui servent de rempart contre les puissances intrusives et dominatrices.

Le nationalisme basque et catalan tel qu'il s'articule actuellement n'a rien à voir avec les autres luttes des "nations sans Etat". Il s'agit, dans le cas basque et catalan, d'une "rébellion des riches", qui s'articule sous la forme d'un vulgaire chantage à l'égard de l'État espagnol ; il s'agit d'un nationalisme suprématiste qui semble s'écarter du scénario habituel de l'Europe occidentale. En ce sens, ils sont à l'opposé des nationalismes asturien et galicien, qui se fondent sur l'existence d'entités politiques ayant réellement existé depuis le Moyen Âge, et sur une marginalisation injuste dans le présent.

Les périphéries basques et catalanes ne sont pas des périphéries comme l'Irlande pauvre, la Bretagne marginalisée, etc. Les périphéries qui réclament l'indépendance en recourant au chantage parlementaire et à la violence de rue sont, au contraire, les régions traditionnellement les plus riches d'Espagne.  C'est précisément au moment où la délocalisation des entreprises capitalistes basées dans les provinces basques et en Catalogne met en péril le statut des oligarchies périphériques et le système clientéliste qui a favorisé ces régions que l'État est remis en question, profitant de la médiocrité de la maison politique de Madrid et du capharnaüm constitutionnel, de plus en plus détesté par tous, appelé le "régime de 78".

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La véritable périphérie oubliée, appauvrie par la dynamique centre-périphérie décrite par S. Amin, se trouve à l'extrême nord-ouest de l'Espagne. Cet extrême est précisément celui qui correspond à l'Espagne atlantique, l'Espagne dite - dans le langage populaire - "celtique". Galice, Asturies et "Cantabrie" (c'est-à-dire l'ancienne province de Santander, à l'origine asturienne, qui comprend en réalité, à proprement parler, les Asturies de Santillana et une région traditionnellement et imprécisément appelée "La Montaña", ainsi que le pays de León et d'autres provinces adjacentes qui constituaient le Royaume de León au Moyen Âge, avec la Galice et les Asturies).

L'Espagne atlantique est celle qui comprend des couches de population aux racines indo-européennes anciennes et une série de caractéristiques ethniques, folkloriques, sociétales, juridiques, linguistiques, etc. qui ne correspondent en rien au modèle castillan ou méditerranéen. C'est l'ancien domaine linguistique de la langue galicienne (dont l'un des fils est le portugais et l'un des frères est la langue éonavienne), ainsi que de l'asturléonais (improprement appelé "bable", conservé dans les deux Asturies qui, historiquement, se souviennent encore de son nom, les Asturies d'Oviedo - la "Principauté" - et celles de Santillana. Ces pays perdent de la population, sont coincés dans les politiques européennes perverses des "Eurorégions" et tombent de plus en plus dans l'oubli. C'est peut-être le moment où, puisque le peuple espagnol dans son ensemble ne sait pas défendre ce qui lui appartient (unité nationale, souveraineté), les peuples ibéro-atlantiques apprendront à s'unir, quoi qu'il reste de cette ruine qu'est l'Espagne. Les peuples atlantiques d'Espagne et du Portugal se réunissent à nouveau, comme ils l'ont fait dans le passé, à l'époque de l'Ancien Empire, lorsque l'européanité et le christianisme, partis de Cangas de Onís au VIIIe siècle, ont atteint la frontière du fleuve Duero, et de là, plus au sud, jusqu'au Tage. Le basculement méditerranéen de l'histoire de l'Espagne a pu s'avérer fatal.

La déloyauté d'une bonne partie des Catalans témoigne peut-être d'une origine "phénicienne" et africanisée qui sera toujours fatale à une Espagne unie. De même, le suprémacisme des Basques nationalistes, et de tous ceux qui n'abjurent pas ou ne maudissent pas publiquement les méthodes de l'ETA "tirées à l'arrière de la tête", rappelle excessivement la mentalité sioniste. Elle nous est étrangère et nous la répudions. Les suprémacistes basques sont nos nazis-sionistes ibériques.

S'il faut sauver des essences, c'est vers cet Atlantique ibérique, oublié et dépeuplé, qu'il faut se tourner.

samedi, 30 mai 2020

El Legado Celta en Galicia

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El Legado Celta en Galicia

 
 
Una ambiciosa producción que da a conocer la singular cultura de los castros gallegos, aborda la historia del noroeste de la península ibérica desde la época megalítica hasta la romanización de la cultura castreña.
 
 

dimanche, 08 mai 2011

Indoeuropeos y no indoeuropeos en la Hispania preromana

Las poblaciones y las lenguas prerromanas de Andalucía, Cataluña y Aragón según la información que nos proporciona la toponimia. Ediciones Universidad de Salamanca. Salamanca 2000

El proceso de indoeuropeización de la Península Ibérica es uno de los problemas más complejos a los que, desde hace ya muchos años, se enfrentan tanto la Prehistoria como la Lingüística. Es tal la cantidad de elementos en juego y de cuestiones a resolver que no resulta difícil augurar que serán muchas las generaciones de arqueólogos, filólogos, historiadores de la religión y antropólogos que investigarán y debatirán sobre este campo.  El camino por recorrer es largo y, como es sabido, son pocos los puntos que han  sido firmemente establecidos y, en consecuencia,  aceptados por todos. No es este lugar para hacer balance de la cuestión: un muy breve resumen se podrá encontrar en un artículo que publicamos en un número anterior de Terra Nostra o una exposición mucho más detallada en la Parte V de otra obra del autor del que nos ocupamos aquí, Francisco Villar, Los Indoeuropeos y los orígenes de Europa, 2ª ed., Madrid 1996. Brevemente, recordaremos que parece clara la existencia de tres estratos lingüísticos indoeuropeos prerromanos: por un lado, el  correspondiente al Alteuropäisch, por otro, el de la lengua de las inscripciones lusitanas y, por último, el celtibérico, existiendo posiciones encontradas sobre la naturaleza de cada una y el tipo de relaciones que pudieran haber existido entre ellas.

Este ya de por sí complejo panorama se ha visto más complicado, si cabe, por la hipótesis que presenta F. Villar en esta obra. En efecto, a lo largo de sus casi 500 páginas el autor intenta demostrar, a través del análisis de una ingente cantidad de material lingüístico, la presencia en la Península Ibérica de un estrato lingüístico indoeuropeo diferente a cualquiera de los otros tres detectados hasta el momento, un estrato de rasgos muy arcaicos que de confirmarse atestiguaría que el proceso de indoeuropeización de la Península fue mucho más complejo y profundo de lo que  se había supuesto.

La obra comienza haciendo repaso de una serie cuestiones relativas a la Lingüística Comparada, en especial un alegato de la validez de su método y una descripción de sus características, para continuar con un amplio comentario de la historia de la investigación paleolingüística en España, desde los dislates del padre Astarloa hasta los autores contemporáneos como Gorrochategui o de Hoz, haciendo especial hincapié en la progresiva complejidad de las concepciones del substrato, desde el vasco-iberismo originario, tesis que no se cansa durante toda la obra de denostar, y con razón, hasta la identificación de los diferentes niveles actualmente admitidos: los ya mencionados indoeuropeos junto al vasco, tartesio, ibérico, etc.

Tras estos dos capítulos a guisa de introducción, se adentra en el examen del material recogido: topónimos, hidrónimos, antropónimos y etnónimos, material organizado en series en función de un componente principal que es estudiado en todos los aspectos filológicos posibles, tanto fonéticos como morfológicos, y del que ofrece su correspondiente distribución geográfica, tanto en la Península como en Europa, norte de África u Oriente Próximo. Así, uno a uno, van siendo analizados todos los elementos susceptibles de formar parte de este estrato, proponiendo el carácter indoeuropeo, entre otros, de los siguientes: uba-, relacionado con las raíces indoeuropeas para agua *ap, *ab, *up; ur, relacionado con el ide *(a)wer- / (a)ûr, agua, río, corriente; urc- con el ide *war- / *ur- más el sufijo ko; uc-, en el que se habrían reunido tres componentes diferentes: uko (diminutivo), uko (sufijo hidronímico que aparece en lituano) y un apelativo relacionado con ûkis (lugar de habitación) también presente en lituano, bai-, relacionado con el ide *gwhêi, brillar, etc. Al estudio de los elementos susceptibles de ser agrupados en series que califica de mayores sigue el de las series menores (tur-, turc- y murc-) y de aquellos, muy numerosos, que por su escasa aparición en las fuentes no pueden ser seriados, pero que responden a unas mismas características lingüísticas, así como el análisis de la antroponimia susceptible de ser relacionada con este estrato.

Una vez analizado el material, Villar se adentra en la caracterización de la lengua o lenguas responsables de esta hidronimia,  toponimia y antroponimia, llegando a la conclusión de que no corresponde a ninguna de las lenguas indoeuropeas conocidas, siendo imposible su identificación con ninguno de los tres estratos indoeuropeos conocidos en la Península por diferentes razones (aquí no podemos dejar de mencionar que en su obra mencionada anteriormente relaciona el elemento tur-, presente en nuestro Turia, con el Alteuropäisch pp. 507-509), y sosteniendo que este estrato presenta fuertes relaciones con las lenguas itálicas y con las bálticas, generalmente, aunque no siempre, en las innovaciones con las primeras y en los arcaísmos con las segundas.

Durante toda la obra, y mediante el estudio de la distribución geográfica de los testimonios de este estrato se va evidenciando una concentración de estos elementos en dos áreas principales: la meridional y la ibérico-pirenaica, como el autor las denomina, que se corresponden con el área que hasta ahora se consideraba no indoeuropea (baste recordar la famosa frontera de los briga-). Resulta evidente que las consecuencias de las propuestas de Villar pueden resultar revolucionarias para nuestra protohistoria. El autor es consciente de ello y en un último capítulo analiza algunos de los etnóminos del área ibérica (ilérgetes, indicetes, volciani, etc.) atribuyéndoles etimologías indoeuropeas relacionadas con el estrato objeto del libro (seguras para dieciséis entre veintitrés, aunque posiblemente sean más todavía), lo que implica un masivo substrato indoeuropeo en todo esta área (Aragón, Cataluña y norte de Valencia), pero, sin embargo, renuncia explícitamente a intentar explicar el mecanismo de entrada de estas lenguas, emplazando a arqueólogos y prehistoriadores a abordar esta cuestión. Lo que sí sostiene es la imposibilidad de relacionar los Campos de Urnas con esta toponimia debido a motivos distribucionales (son prácticamente inexistentes en Andalucía) y cronológicos (relaciona el topónimo Alube de la Ilíada con el Guadalquivir y con los hallazgos micénicos allí efectuados, lo que dataría este estrato con anterioridad a las penetraciones de esta cultura. Por otro lado, considera que la densidad de este estrato casa mal con unos «recién llegados» como los Urnenfelder). No obstante, no parecen argumentos excesivamente fuertes: Infiltración y transformación de la cultura material son fenómenos que a menudo van parejos y aunque en la actualidad se tiende a ver en las transformaciones del bronce final tartésico influencias mediterráneas, algunos de los nuevos elementos no dejan de estar relacionados con el ambiente de las urnas, aunque tampoco podemos dejar de señalar que se ha hecho responsable a influencias del Mediterráneo los elementos indoeuropeos presentes en el tartesio. Por otra parte, la relación del Alube homérico con la Península no deja de ser una conjetura toponímica, apoyada sobre conjeturas cronológicas y arqueológicas, y en cuanto a la excesiva densidad que pueda presentar un substrato depende más bien de la profundidad de la «limpieza étnica» que de la antigüedad del proceso. Todo esto, no obstante, no deja de ser un mero comentario ante la superposición de esta toponimia y los Campos de Urnas en el área nordoriental peninsular, que resulta bastante sugerente y ante la propia naturaleza lingüística del substrato (sobre todo la presencia de elementos compartidos con diferentes grupos del «indoeuropeo nordoccidental») que no deja de evocar constantemente las ideas de H. Krahe sobre el «estado líquido» (flüssige Zustand) del complejo de las urnas desde el punto de vista lingüístico. No obstante, evidentemente es todavía muy pronto para intentar elaborar hipótesis arqueológicas sobre esta cuestión.

Un punto que quizá llame la atención a quienes han seguido la labor de Villar es el escaso espacio dedicado al paleoeuropeo y a sus presuntas relaciones con este estrato recién descubierto. Ya que ambas son lenguas ciertamente arcaicas y siguen un modelo distribucional diferente, aunque muy determinado en ambas por los cursos de agua, cabría esperar un análisis comparativo de ambas lenguas que nadie mejor que Villar está en condiciones de realizar. Estamos convencidos de que no tardará en abordar este problema.

En definitiva se trata de una obra destinada a tener un gran eco entre los especialistas no sólo en paleohispanística sino también en indoeuropeística y que abre nuevos caminos para el conocimiento del pasado de nuestros pueblos.                                                                                                                          

 

Olegario de las Eras.        

mercredi, 07 octobre 2009

Politische Information über Portugal

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Politische Information über Portugal

 

Portugal hat ja auch letztes Wochenende gewählt

Dort gibt es auf der "Rechten" (im weitesten Sinne) zwei Parteien,

die rechtsliberalen Sozialdemokraten (in der deutschen Presse oft konservativ genannt)

http://de.wikipedia.org/wiki/Partido_Social_Democrata
http://www.politicadeverdade.com/

und das rechtskonservative demokratisch-soziale Zentrum (in der deutschen Presse oft als Rechtspopulisten erwähnt), die mit über 10 Prozent ein recht gutes Ergebnis einfuhren. Hier ist man katholisch-konservativ, gegen Zuwanderung und Abtreibung...

http://de.wikipedia.org/wiki/Centro_Democr%C3%A1tico_e_Social_%E2%80%93_Partido_Popular
http://www.cds.pt/

Die weitere Parteienlandschaft Portugals ist stark linkslastig. Kommunisten gemeinsam mit Grünen in einem Bündnis gemeinsam im Parlament, und dann neben den regierenden Sozialisten noch ein trotzkistisch beeinflusster Linksblock, zudem gibt es bei den nicht vertretenen Parteien auch mehrere weitere Marxisten.
Ich bin aber noch auf drei weitere interessante rechte Parteien gestoßen, die allerdings alle nicht einen Prozent bei der Wahl bekommen haben.

Die Monarchisten - Partido Popular Monárquico

http://de.wikipedia.org/wiki/Partido_Popular_Mon%C3%A1rquico
http://www.ppm.pt/
(auf die Flagge klicken)

Die "Rechtsradikalen" - Partido Nacional Renovador
(scheint so etwas wie eine gemäßigte NPD zu sein; Übrigens mal ein Beispiel für gelungenen "Entrismus" von rechts)

http://de.wikipedia.org/wiki/Partido_Nacional_Renovador
http://www.pnr.pt/
(die Internetseite war heute nicht vorhanden, gestern war ich aber noch drauf. Vielleicht ein Umbau? Vielleicht sind sie auch enttäuscht vom schlechten Wahlergebnis (ich glaube 0,2 Prozent))
Somit einige Bilder, als sinnliche Ergänzung:
http://3.bp.blogspot.com/_TGTJ1-LWGo4/SFfAPPzhBjI/AAAAAAAAABw/IErlzWF-wIQ/s320/Revista.JPG
http://img242.imageshack.us/img242/7199/pnr2hy6.png
http://ofogodavontade.wordpress.com/2009/08/15/nacional-e-social/
http://portugalmensal.blogspot.com/2008_05_01_archive.html
http://aspirinab.com/ficheiros/eca-pnr.jpg

Am interessantesten erscheint mir allerdings die Partei, die bei der Wahl am allerwenigsten Stimmen erhalten hat. Wirkt irgendwie alles sehr positiv.
Die ökologisch-konservative "Partei der Erde" - Partido da Terra

http://de.wikipedia.org/wiki/Partido_da_Terra
http://www.mpt.pt/mpt2009/index.php

Nun vielleicht ist das für den ein oder anderen interessant, vor allem wenn man Portugiesisch versteht.