Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

lundi, 12 octobre 2015

Histoire, mémoire, identité

ColloqueQjDF-6WsAA70Ut.jpg

mardi, 04 juin 2013

Colloque sur Julius Evola

ev.jpg

Un colloque sur Julius Evola près de Lyon samedi 15 juin

 

"Seul compte, aujourd'hui, le travail de ceux qui savent se tenir sur les lignes de crête."

Ces mots de Julius Evola illustrent toute son oeuvre, immense et complexe, souvent citée mais en fait plus souvent encore mal connue. D'où l'intérêt de l'éclairer par quelques coups de projecteur. C'est dans cet esprit que nous vous convions à venir participer à ce colloque.

Intervenants et thèmes :

Professeur Jean Haudry, directeur d'études à l'Ecole Pratique des Hautes Etudes (Paris) : "Révolte contre le monde moderne" : tradition primordiale et tradition indo-européenne.

Docteur Pierre Krebs, écrivain et conférencier : "Julius Evola et l'Allemagne".

Georges Feltin-Tracol, rédacteur en chef du site Europe Maxima : "Evola et la politique".

Professeur Pierre Vial, président de Terre et Peuple : Evola et le Moyen Age".

Des ouvrages d'Evola ou consacrés à son oeuvre seront en vente sur les stands. Vous pouvez également vous faire dédicacer les ouvrages des intervenants.

Conférence à 1 heure de Lyon (campagne bressane).

5 euros l'entrée ou 25 euros avec repas du midi dans une auberge. Possibilité d'amener son casse-croûte et de manger dans les environs.

Réservation obligatoire avant le 10 juin pour le repas : conferenceslyon@yahoo.fr

mardi, 12 mars 2013

Sull’orlo del precipizio

Locandinaroma.jpg

Sull’orlo del precipizio

Venerdi 15 marzo a Roma

Sull’orlo del precipizio: cause, conseguenze e possibili soluzioni della crisi economica in Italia ed Europa.

Via del Quirinale, 26 Roma

Ore: 16:30

Introduce e modera: Stefano Vernole (Cesem, Eurasia)

Intervengono

Bruno Amoroso (economista, docente presso l’Università di Roskilde in Danimarca

Nino Galloni (economista, ex funzionario del Ministero del Tesoro)

Giacomo Gabellini (Cesem, Eurasia, autore del libro “La Parabola. Geopolitica dell’unipolarismo statunitense”)

 

Organizza il Centro Studi Eurasia Mediterraneo (Cesem – www.cese-m.eu)

Ingresso Libero

vendredi, 18 janvier 2013

Regards sur la Syrie avec Ayssar Midani et Claude Beaulieu

 

manif-pro-el-Assad.jpeg

Bonjour.
 
 
Les associations suivantes: "Les Amis du Monde Diplomatique", "Le Comité Valmy" et le "Comité pour une Nouvelle Résistance-CNR" organisent une grande conférence sur la situation en Syrie le mercredi 30 janvier 2013 de 18h à 21h à la Maison des Associations au 12 place Garibaldi à Nice.
 
Le titre de cette conférence est celui paru dans le Monde Diplomatique du mois de janvier 2013 sous le titre suivant:
 
 
Regards sur la Syrie avec
Ayssar Midani et Claude Beaulieu
 
 
Quelques éléments pour présenter les conférenciers.
  • Ayssar Midani  est une franco-syrienne, elle va très souvent dans ce pays et elle connait très bien la situation. Elle est de formation scientifique, présidente d'une association de scientifiques syriens expatriés, Nosstia, présidente d'une association culturelle euro-syrienne, Afamia, et membre de plusieurs associations de défense de la Palestine. Elle  vit et travaille en France comme directeur de projets de systèmes d'information, de réorganisation et conduite du changement.
    > Elle va régulièrement en Syrie, 3 a 4 fois par an, et y organise formations, congrès et workshop scientifiques et techniques. Elle vient d'y passer 4 mois en 2012.
 
  • Claude Beaulieu  militant de sensibilité communiste  est le président du "Comité Valmy". Ce dernier, organisation pluraliste s'inspirant de la Résistance,  a été crée dans une dynamique qui prend ses racines dans le combat contre la ratification du traité de Maastricht . Claude Beaulieu est un connaisseur des problèmes du Moyen-Orient. Il a été un des premiers à se rendre en Syrie  en novembre 2011. Avec Ayssar Midani, il est l'un des fondateurs de la Coordination pour la souveraineté de la Syrie et contre l'ingérence étrangère constituée début janvier 2013.
     
Les axes principaux de cette soirée: 
  1. Revue historique et Importance Géostratégique de la Syrie
  2. Situation économique et politique en Syrie  jusqu'à la veille des évènements
  3. Historique des évènements et rôles des différentes parties 
  4. Témoignage du séjour en Syrie de Claude Beaulieu 
  5. Terrorismes,, Sanctions, Réformes,vie du peuple sous le poids des privations et du terrorisme 
  6. Appel pour aider le peuple syrien.
 
Des précisions importantes.
 
L'article 1 de la Charte des Nations unies consiste à affirmer le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes. Cela signifie le rejet de toute ingérence étrangère. Toute intervention militaire sous quelque forme que ce soit est une violation de ce droit fondamental  élaboré après la seconde guerre mondiale afin de garantir la paix entre les différents états.
 
Faut-il rappeler que de nombreux juristes français, René Cassin par exemple, ont participé à la rédaction de ce texte essentiel?
 
Les représentants français étaient tous issus de la Résistance. Stéphane Hessel a aussi participé à la rédaction de la charte des droits de l'homme.
 
Faut-il rappeler que ce texte s'inspirait largement de la fameuse déclaration universelle des droits de l'homme que les révolutionnaires français ont apporté à l'humanité en 1789?
 
Faut-il rappeler que la politique étrangère de la France sous l'impulsion du général de Gaulle a appliqué ces principes là?
 
Faut-il rappeler que la fameuse politique arabe de la France consistait à respecter le droit international inscrit dans la Charte de l'ONU?
 
Sommes-nous toujours dans ce strict respect du droit international accepté par tous les états après la seconde guerre mondiale?
 
L'ONU est fondée sur le principe de l'égalité souveraine de tous ses membres.
 
Les membres de l'Organisation, afin d'assurer à tous la jouissance des droits et avantages résultants de leur qualité de membre, doivent remplir de bonne foi les obligations qu'ils ont assumées au terme de la Charte.
 
Les membres de l'Organisation règlent leurs différents internationaux par des moyens pacifiques, de telle manière que la paix et la sécurité internationales ainsi que la justice ne soient pas mises en danger.
 
Les membres de l'Organisation s'abstiennent, dans leurs relations internationales, de recourir à la menace ou à l'emploi de la force contre l'intégrité territoriale ou l'indépendance politique de tout état.
 
 
A bientôt j'espère
 
Lucien PONS
 
 
 
Nota:
 
Faites circuler ce message le plus possible SVP!!!
 
Amicalement.
Groupe-Média Syrie
 
Twitter: @MWSyria

mardi, 18 septembre 2012

Cinquième Journée d’étude de la réinformation

 

cons.jpg

POLÉMIA

 
Cinquième Journée d’étude de la réinformation
Face à la tyrannie médiatique :
vers un grand bond offensif ?
« Nouvelles donnes, nouvelles cibles, nouveaux outils»
 
Samedi 13 octobre 2012 de 9h à 18h
Fondation Dosnes-Thiers
(27 place Saint-Georges – 75009 Paris – Métro Saint-Georges)
 
Dans notre société, les grands médias ne jouent plus le rôle de contre-pouvoir. Propriétés de grands groupes ou de milliardaires, dirigés par des journalistes venus pour la plupart de la gauche ou de l'extrême-gauche, les médias de masse sont un instrument docile aux mains des pouvoirs financiers et idéologiques qui nous dominent.
Le rôle des médias n’est plus d’informer, encore moins de mettre les faits en perspective. Devenus les gardiens du dogme, leur vraie mission consiste à ignorer les vérités qui dérangent pour mettre en scène une société virtuelle. Mais le réel finit toujours par se venger et l'ère de l'impunité s'achève pour les médiacrates et leurs protecteurs fortunés.
Trois phénomènes changent la donne.
• Les Français font de plus en plus la différence entre leur vie quotidienne et les contes à dormir debout répandus par les médias conformes.
• Les intellectuels sont chaque jour plus nombreux à vouloir défendre leur liberté de penser l’impensable.
• Internet brise le monopole des médias du système et ouvre l'accès à l'information et à la discussion à tous.
L’heure de la contre-attaque est venue. À nouvelle donne, nouveaux outils, que Polémia entend présenter et promouvoir.
 
9 h 15 - 9 h 45
Accueil des participants – Café de bienvenue
 
9 h 45 - 11 h 30   La nouvelle donne
La révolte du peuple et des intellectuels contre l'oligarchie médiatique,
Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia.
 
La décadence du journalisme : de Tintin redresseur de torts à la défense des puissants
Michel Geoffroy, Polémia
 
11 h 30- 12 h 15 Un nouvel outil
Les agences de presse régionales alternatives
Yves Le May, Novobreizh
 
12 h 30- 14 h 15      Déjeuner
Repas convivial avec les intervenants (sur réservation lors de l’inscription)
 
14 h 30- 15 h 30      Tribune libre : « Ils ont acheté la presse »
Les médias ? Non un contrepouvoir mais l’instrument du pouvoir!
Benjamin Dormann, MBA de finance, consultant, journaliste et essayiste, auteur de « Ils ont acheté la presse », aux éditions Picollec
 
15 h 45- 17 h 45      De nouveaux outils pour briser le monopole de l'oligarchie des médias
L’Observatoire des journalistes et des médias (OJIM) au service de la démocratie et de la transparence
Claude Chollet, président de l’Observatoire
 
Trente ans après les radios libres, enfin une télévision libre et dissidente !
Par Philippe Milliau, responsable du projet « Notre antenne »
 
17 h 45 - 18 h 30   Conclusions et pot de clôture
 
 
Prière de remplir le bulletin d’inscription ci-joint avant le 7 octobre.



vendredi, 22 juin 2012

XIXè Colloque international Louis-Ferdinand Céline du 6 au 8 juillet 2012 à Berlin

XIXè Colloque international Louis-Ferdinand Céline du 6 au 8 juillet 2012 à Berlin

 Le dix-neuvième Colloque international Louis-Ferdinand Céline, organisé par la Société d'études céliniennes, se déroulera du 6 au 8 juillet 2012 au Frankreich-Zentrum de la Freie Universität de Berlin (Rheinbabenallee 49, Berlin). Voici le programme complet de ces trois journées.

VENDREDI 6 JUILLET 2012

 

10h - Ouverture du colloque par François Gibault, président de la SEC

 

10h15 - Présidence François GIBAULT

Ana Maria ALVES 

 

Céline et les rapports franco-allemands

 

Christine SAUTERMEISTER 
D'un café l'autre : Céline et Marcel Déat à Sigmaringen

 

11h30
Pascal IFRI 
L'Allemagne et les Allemands dans la correspondance de Céline (1907-1939)

 

Émile BRAMI
L'Allemagne dans la correspondance de Céline (1940-1961)

 

 13h - Déjeuner
14h - Présidence Christine SAUTERMEISTER

 

Margarete ZIMMERMANN
Les représentations de Berlin dans Nord

 

David FONTAINE
Le Berlin de Céline

 

 15h30

 

André DERVAL
Allemand et anglais, entre musique et charabia

 

Ann SEBA-COLLET
Céline en bataille avec la guerre : l'Allemagne, catalyseur d'un pacifisme

 

SAMEDI 7 JUILLET 2012

 

9h45 - Présidence Margarete ZIMMERMANN

Bianca ROMANIUC-BOULARAND

Un phénomène stylistique célinien : la récurrence formelle et sémantique

 

Catherine ROUAYRENC
Les avatars de la métaphore dans les derniers romans

 

11h
Alice STASKOVA

 Figure et espace dans la trilogie allemande et dans Féerie pour une autre fois I

 

Suzanne LAFONT

 Des collabos aux Balubas : le miroir sonore de l'histoire dans la trilogie allemande

 

Véronique FLAMBARD-WEISBART
 La traversée de l'Allemagne en train

13h - Déjeuner
14h - Présidence Alice STASKOVA

François-Xavier LAVENNE

Orphée en Allemagne : la trilogie, parcours à travers les enfers et quête de l'écriture

Sven Thorsten KILIAN
L'Allemagne, ce monstre

15h30
Anne BAUDART
Céline et l'art en Allemagne

 

Johanne BÉNARD
Le théâtre dans la trilogie allemande : l'envers du décor

 DIMANCHE 8 JUILLET 2012

 

10h - Présidence André DERVAL

 

Pierre-Marie MIROUX
Le Nord chez Céline ; des racines et des ailes

 

Marie-Pierre LITAUDON
Guignol's band... au passage

 

11h15
Louis BURKARD
Les pamphlets de Céline et leur interdiction en droit

Isabelle BLONDIAUX
Pourquoi lire Céline ?

 12h30 - Assemblée Générale de la Société d'études céliniennes

 

13h - Clôture du colloque

 

Sociétés d'études céliniennes, 3, rue Monsieur, 75007 PARIS

 

 Freie Universität,Rheinbabenallee 49, 14199 BERLIN

lundi, 11 juin 2012

Mut zur Identität: Das Eigene erkennen und verteidigen!

Mut zur Identität: Das Eigene erkennen und verteidigen!

Seminar „Identität“ des Bildungswerks fand am 2./3. Juni 2012 im Erzgebirge statt

Das Bildungswerk für Heimat und nationale Identität e. V. führte am 2./3. Juni 2012 sein erstes Seminar in diesem Jahr durch, das sich mit dem Thema „Identität“ be-schäftigte. Über 40 Teilnehmer, darunter zahlreiche Schüler, Studenten und junge Nachwuchskräfte, trafen sich im Erzgebirge, um zwei Tage lang sachkundigen Vor-trägen zu lauschen und offen und ohne Scheuklappen über Identitätsfragen zu de-battieren. Wie bei allen vorherigen Seminarveranstaltungen des Bildungswerks spiegelte die Teilnehmerschaft auch diesmal die gesamte Bandbreite der politischen Rechten wider: von Nationalkonservativen, Burschenschaftern und Freiheitlichen bis zu Nationalrevolutionären und nationalen Solidaristen; von Anhängern des katholischen Traditionalismus und nationalen Protestanten bis zu Unitariern und bekennenden Neuheiden; von eher bürgerlichen Rechten bis zu aktivistisch orientierten Jugendlichen – über alle weltanschaulichen, politischen und strategischen Differenzen in Einzelfragen hinweg wurde der Diskurs in geistiger Offenheit, oftmals kontrovers, aber stets sachlich und in kameradschaftlichem Geist geführt.

Thorsten Thomsen, Vorsitzender des Bildungswerks

Thorsten Thomsen, Vorsitzender des Bildungswerks

In seinen einleitenden Worten stellte der Vorsitzende des Bildungswerks, Thorsten Thomsen, die Arbeit der unabhängigen Bildungsvereinigung kurz vor, zumal der eine oder andere der Teilnehmer zum ersten Mal dabei war. Zweck des Vereins sei es, so Thomsen, staatsbürgerliche Bildung zu ermöglichen und zu fördern. Die Bildungsarbeit stehe dabei auf dem Boden nationaler und demokratischer Grundanschauungen und orientiere sich an den Werten der deutschen und abendländischen Kultur. Eine organisatorische oder finanzielle Abhängigkeit von einer Partei bestehe nicht, zudem erhalte das Bildungswerk keine staatlichen Fördermittel, sondern finanziere sich ausschließlich durch Spenden, Mitgliedsbeiträge, Fördermitgliedsbeiträge und über den Verkauf der Zeitschrift „hier & jetzt“. Thomsen stellte daraufhin das Theorieorgan des Bildungswerkes in Grundzügen vor und betonte, daß sowohl die Zeitschrift als auch die Seminare die offene Diskussion fördern und Impulse für das national-identitäre Lager in Deutschland aussenden wollen.

Im ersten Sachvortrag mit dem Titel „Die Identität von Grundgesetz und Bundesre-publik Deutschland“ erläuterte der Düsseldorfer Rechtsanwalt Dr. Björn Clemens, der auch als Publizist mit spitzer Feder bekannt ist, inwieweit schon in der Verfaßtheit des Staates eine spezielle Identität angelegt ist.

Dr. Björn Clemens, Rechtsanwalt

Dr. Björn Clemens, Rechtsanwalt

Hierbei wies Clemens auf den anti-preußischen Charakter des Grundgesetzes und somit auch der Bundesrepublik hin, der schon dadurch zum Ausdruck komme, daß der Aufbau des Staates erst in Art. 20 GG geklärt werde, während in Art. 1 GG von individueller Würde und allgemeinen Menschenrechten die Rede sei. Dieser Aufbau folge einer gezielten politischen Zwecksetzung. „Die Rechte des Einzelnen sollen im Vordergrund stehen. Erst kommt der ‚Gott’ Ich, dann der Staat“, so Clemens. Das Grundgesetz sei jedoch nicht nur vornehmlich individualistisch, sondern auch universalistisch ausgelegt, was insbesondere in den Art. 23, 24 und 25 GG zum Ausdruck komme. Hierbei sei die Einbindung in die „goldene Internationale“, das internationale Finanzkapital, erkennbar. Des weiteren manifestiere sich z. B. in den Art. 21 GG (Parteienverbot) oder Art. 9 GG (Vereinsverbot) der Kampf gegen eine „falsche Gedankenwelt“, was auf einen „staatlichen Antifaschismus“ hinauslaufe. Demnach könne man davon sprechen, daß der Staat und seine Verfassung spiegelbildlich identitär zum historischen Nationalsozialismus ausgerichtet seien, was letztlich auch den heilsgeschichtlichen und metaphysischen Charakter des Grundgesetzes begründe. Damit fuße die Bundesrepublik Deutschland auf einer negativen Identität und sei ein radikaler Gegenentwurf zum klassisch-preußischen Staat.

Dr. Tomislav Sunic, Politikwissenschaftler

Dr. Tomislav Sunic, Politikwissenschaftler

Unter anderem über negative Identitäten, so deutsche Selbstbeschreibungen vor dem Hintergrund von Auschwitz oder die Definition des Kroatentums primär als Anti-Serbentum, sprach auch der Politikwissenschaftler und ehemalige Professor an der California State University Dr. Tomislav Sunic aus Zagreb (Kroatien) in seinem Vortrag „Die ethnische Frage als Frage der Identität – Unterschiede zwischen den USA und Europa“. Mit Alain de Benoist und Oswald Spengler bezeichnete er dabei den Begriff der Identität als ambivalent und unscharf. Auch „ethnisch“ sei eher ein „amerikanisches Modewort“, um Begriffen wie „völkisch“ oder „rassisch“ auszuweichen. Rasse und Volk seien früher selbstverständliche Kategorien gewesen, über die jetzt nur noch polemische oder gar juristische Auseinandersetzungen möglich seien. „Nach liberaler Auffassung gibt es keine rassische Identität mehr, sondern nur noch kulturelle Identitäten“, so Sunic, der auch Vorstandsmitglied der „American Third Position“ ist. In den USA gebe es unterschiedliche Identitäten, aber keine speziell amerikanische; aufgrund der unterschiedlichen völkischen Herkunft diene weißen Ethnozentristen daher die rassische Identität als gemeinsame Klammer, während bei europäischen Nationalisten die Volkszugehörigkeit im Vordergrund stehe. Spezielle Bür-gerkriegsidentitäten und auch Zufallsidentitäten spielten hingegen in Mittel- und Osteuropa, vor allem auf dem Balkan, eine herausragende Rolle. Abschließend plädierte Sunic auch im Hinblick auf Europa für eine Überwindung der „Klein-Nationalismen“ und eine stärkere Betonung der gemeinsamen rassischen Identität und des genetischen Erbes. Hierbei stellte er klar, daß der Rassebegriff nicht im Sinne eines biologischen Determinismus zu verstehen ist, sondern gemäß Julius Evola als Einheit des physisch-biologischen und geistigen Elements.

Dr. Baal Müller, Philosoph und Publizist

Dr. Baal Müller, Philosoph und Publizist

Als dritter Referent am ersten Seminartag trat schließlich der Philosoph, Germanist, Publizist und Verleger Dr. Baal Müller auf, der zum Thema „Wider die Konstruktionen – das gefühlte Ich“ sprach und dabei „Grundzüge einer Theorie von Identität und Selbstbewußtsein“ aufzeigte. Hierbei definierte Müller Identität zunächst als vollständige Übereinstimmung von etwas mit sich selbst, grenzte dies vom Begriff der Gleichheit ab und erläuterte anhand der Entwicklung der neuzeitlichen Philosophie, beginnend mit Descartes und seiner Definition des Menschen als „res cogitans“, den Übergang von der „Identität des Ich“ zur „Identität des Wir“. Einen Schwerpunkt legte Müller dabei auf Kant und die Frage der Subjektivität sowie auf den deutschen Idealismus und die Frühromantik, insbesondere Fichtes „Wissenschaftlehre“ und Novalis, der Selbstbewußtsein nicht als rationale Selbstreflexion, sondern als Selbst-Gefühl verstand. Mit Bezug auf Wittgenstein, Nietzsche und Heidegger erläuterte der Referent daraufhin den Übergang von einer Philosophie der Ich-Identität zu einer Identität des Wir, also einer kollektiven Identität, wobei er sich auch intensiv den Grundzügen der Lebensphilosophie nach Ludwig Klages und Alfred Schuler widmete. Nicht zuletzt die geographische Identität, die Frage der Landschaft, in der Gruppen beheimatet sind, sei dabei ein bestimmendes Element, so Müller. So neigten Seevölker eher zum Handel und zur Multikulturalität, während bei Bergvölkern die Sprachvielfalt stärker ausgeprägt seien. Völker, die in geographisch weiten Räumen leben, wiesen hingegen oft eine Tendenz zur Begründung von Imperien auf.

Am zweiten Seminartag standen schließlich noch zwei Kurzvorträge mit anschlie-ßendem Streitgespräch und Diskussion zum Thema „Streitpunkt Zionismus: Legitime jüdische Nationalbewegung und Ausdruck jüdischer Identität oder völkerrechtswidriges Kolonialprojekt“ auf dem Programm. Der Schriftsteller, Freidenker und Anhänger des Guilllaume-Faye-Flügels der „Eurosibirier“ Constantin von Hoffmeister aus Moskau (Rußland) trat dabei in der Position des Fürsprechers des Zionismus auf und bezeichnete Israel als ein „europäisches Kolonialprojekt“ und als „Teil Europas, nicht in geographischer, aber in kultureller Hinsicht“. Ebenso wie der bekannte Vordenker der französischen „Neuen Rechten“ Guillaume Faye oder der nationale Publizist Herbert Schweiger in seinem Buch „Evolution und Wissen“ brachte von Hoffmeister dabei eine europäisch-israelische Bündnisoption zur Abwehr des expansiven Islam ins Gespräch, den er – wie Faye – als „Hauptfeind“ bezeichnete. Demgegenüber vertrat der nationalrevolutionäre Publizist und Initiator der Gruppe „Sache des Volkes“ Jürgen Schwab eine strikt antizionistische Position. Wie von Hoffmeister billigte er dabei dem jüdischen Volk, „auch vor dem Hintergrund seiner Leidensgeschichte“, einen eigenen Na-tionalstaat zu, prangerte jedoch die Gründung des Staates Israel 1948 als völkerrechtswidrig an. Die Vertreibung der Palästinenser bezeichnete er dabei als „ethnische Säuberung“, die von deutschen Nationalisten verurteilt werden müsse. Scharf kritisierte er dabei auch die Position der Bundesregierung, die das Be-kenntnis zum Existenzrecht Israels zur Staatsräson erklärt hatte. Der Islam sei in Deutschland innenpolitisch als Gegner zu betrachten, außenpolitisch jedoch nicht als Feind.

Streitgespräch zwischen Constantin v. Hoffmeister und Jürgen Schwab

Streitgespräch zwischen Constantin v. Hoffmeister und Jürgen Schwab

Für Constantin von Hoffmeister hingegen ist Israel „Teil der westlichen Zivilisation“ und potentieller Bündnispartner des „europäischen Abwehrkampfes gegen den Islam“. Der Zionismus sei als nationalistische und sozialistische Bewegung den nationalen Bewegungen in Europa wesensverwandt. Hierbei verwies von Hoffmeister, der in Moskau als Deutsch- und Englischlehrer an einer Privatschule arbeitet, unter anderem auf das Ha’avara-Abkommen von 1933 zwischen der Jewish Agency, der Zionistischen Vereinigung für Deutschland und dem nationalsozialistischen deutschen Reichsministerium für Wirtschaft, das die Auswanderung deutscher Juden nach Palästina erleichtern sollte. Zudem habe sich eine Persönlichkeit wie der mit Mussolini und dem italienischen Faschismus sympathisierende Avraham Stern von der zionistischen Untergrundorganisation „Irgun“ im Zweiten Weltkrieg für eine Zusammenarbeit mit Deutschland und Italien gegen die Briten eingesetzt. An diese Traditionen könnten deutsche und europäische Nationalisten im Hinblick auf die israelische Rechte wieder anknüpfen. Schwab verwarf diesen Gedanken und wies auf die Feindstellung der israelischen Zionisten und ihrer Verbündeten gegenüber deutschen Nationalisten und Geschichtsrevisionisten hin. „Die Zionisten instrumentalisieren den Holocaust permanent gegen Deutschland und den deutschen Nationalismus“, so Schwab, der auf die nicht nur in der Bundesrepublik existierenden Sondergesetze hinwies, die auch auf Druck der Israel-Lobby zustande gekommen seien. Gleichwohl erteilte er dem Antisemitismus im Sinne eines reinen Ressentiments klare Absage. Dieser sei zwar „emotional verständlich“, aber politisch abzulehnen, „zumal er uns als nationale Deutsche schwächt“. Ebenso abzulehnen sei allerdings auch die „Anbiederung des Rechtspopulismus“ an den Zionismus, wie sie in der „Jerusalemer Erklärung“ zum Ausdruck komme. Für den Nahen Osten schlug Schwab schließlich eine „Drei-Staaten-Lösung“ vor. Neben den eigenständigen Nationalstaaten Israel und Palästina sei ein „Gesamtjerusalem unter deutscher oder europäischer Verwaltung“ in der Tradition des Staufer-Kaisers Friedrich II. zu schaffen, der nach dem Kreuzzug 1229 die Krone des Königreichs Jerusalem erlangte. Von Hoffmeister lehnte eine solche Lösung ab und plädierte stattdessen für ein Groß-Israel und eine geopolitische Achse Jerusalem-Berlin-Moskau. „Palästinenser sind in Wirklichkeit Jordanier und sollten von Jordanien aufgenommen werden“, so der bekennende Eurosibirier und Pro-Zionist. Eine solche Allianz sieht von Hoffmeister als wirksamen Gegenpol zur liberal-kapitalistischen Welt unter der Führung der USA einerseits und zum Vordringen des Islam und der farbigen Völker andererseits.

Insbesondere an diesem letzten Seminarthema und den vorgetragenen Standpunkten entbrannte eine heftige Debatte, die jedoch stets auf hohem akademischem Niveau und in kameradschaftlicher Atmosphäre ausgetragen wurde. Hier prallen zwei Positionen aufeinander, wie sie gegensätzlicher kaum sein können. Aus dem Auditorium wurde mehrfach darauf hingewiesen, daß die eigene deutsche Identität auf keinen Fall vor dem Hintergrund dieser Auseinandersetzung definiert werden dürfe. Stattdessen müsse Identität selbstbewußt vor allem auf Grundlage der eigenen ethnischen, kulturellen und historischen Wurzeln beschrieben werden. Fremdzuschreibungen und sogenannte „negative Identität“ seien abzulehnen. Zusammenfassend war man sich also einig, daß Deutsche und Europäer wieder mehr Mut zur eigenen Identität aufbringen müssen – und vor allem auch den Mut, diese Identität gegen fremdkulturelle Einflüsse wie die Islamisierung oder Amerikanisierung zu verteidigen. Ziel müsse es sein, dem Diktat einer nebulösen „westlichen Wertegemeinschaft“ ebenso eine Absage zu erteilen wie der zersetzenden Ideologie des Multikulturalismus. Die Schwäche des Eigenen bedingt zu einem nicht geringen Teil die Stärke des Fremden. Nur durch eine Wiederentdeckung und wehrhafte Verteidigung der eige-nen Identität ist das weitere Vordringen fremder Identitäten, die als unvereinbar mit deutschen wie europäisch-abendländischen Traditionen bezeichnet werden müssen, wirksam zu verhindern.

Dresden, 05.06.2012

Bildungswerk für Heimat und nationale Identität e.V.
Postfach 32 01 33
01013 Dresden
www.heimat-bildungswerk.de

mercredi, 11 avril 2012

Journée d'étude "Autour de Raymond De Becker"

Journée d'étude "Autour de Raymond De Becker"

Note de SYNERGIES EUROPEENNES: Enfin! Quelques instances officielles enBelgique rendent hommage à Raymond De Becker, peut-être grâce à la fidélité inébranlable que lui témoigne le doyen des lettres francophones du royaume, Henry Bauchau. Ce colloque, dont le programme complet figure en pdf en queue de présentation, fait véritablement le tourde laquestion. Puisse ce colloque être l'amorce d'une renaissance spirituelle et d'une nouvelle irruption d'éthique dans un royaume voué depuis près de six décennies à la veulerie.


La journée d'étude "Autour de Raymond De Becker" a eu lieu les 5 et 6 avril 2012 aux Facultés universitaires Saint Louis.
Raymond de Becker

Étrangement, la figure de Raymond De Becker (Schaerbeek, 30 janvier 1912 – Versailles, 1969), souvent évoquée dans les travaux des historiens, n’a encore fait l’objet d’aucun travail biographique. « Quant à Raymond De Becker », écrivait fort opportunément un « ami » d’André Gide, son histoire reste à écrire, car il semble que son passage du christianisme prophétique au fascisme virulent ait fait de lui un personnage non seulement sulfureux mais tabou » .


Après des études secondaires inachevées à l’Institut Sainte-Marie à Bruxelles, Raymond De Becker trouve à s’employer au sein d’une entreprise d’import-export américaine. Il quitte ce poste après un an pour entrer au secrétariat de l’ACJB à Louvain en tant que secrétaire général de la JIC (Jeunesse indépendante catholique – cercle de jeunesse des classes moyennes) qu’il a créée en mars 1928 avec sept autres jeunes industriels et commerçants. Il entre en contact avec des étudiants de Saint-Louis via Conrad van der Bruggen à l’été 1931 et participe à la fondation de l’Esprit nouveau et des Équipes Universitaires. Il interrompt ses activités fin décembre 1932 après le Congrès de la Centrale Politique de Jeunesse pour entreprendre une retraite mystique en France à Tamié où il a déjà effectué une reconnaisse au mois de septembre précédent de retour d’un voyage à Rome. Il met au point les premiers statuts du mouvement Communauté et revient en Belgique en novembre 1933 après un passage à Paris où il a rencontré André Gide. Ayant fait la connaissance d’Emmanuel Mounier à Bruxelles début 1934, il contribue à la pénétration des groupes Esprit en Belgique. De 1936 à 1938, il est associé au comité de rédaction de La Cité chrétienne puis passe à L’Indépendance belge d’où il est renvoyé en 1939. Il participe alors à la fondation du périodique neutraliste L’Ouest dirigé par Jean de Villers. Durant l’Occupation, il deviendra directeur éditorial des Éditions de la Toison d’Or et rédacteur en chef du « Soir volé ». Il rompra cependant avec la Collaboration en septembre 1943, justifiant sa rupture par l’incertitude manifestée par Léon Degrelle et les rexistes de s’attacher à défendre une structure étatique propre en Belgique. Il sera alors placé en résidence surveillée, d’abord près de Genappe puis à l’hôtel d’Ifen à Hirschegg dans les Alpes bavaroises en Autriche où il côtoie notamment André François-Poncet. Raymond De Becker sera condamné à mort le 24 juillet 1946 par le Conseil de guerre de Bruxelles. Il lui est alors essentiellement reproché d’avoir valorisé la Légion « Wallonie » et d’avoir soutenu en mars 1942 la mise en place du Service du Travail Obligatoire. Il sera cependant libéré en février 1951 mais contraint à l’exil. Il se réfugie en France où il poursuit une activité de publiciste principalement tournée vers la psychanalyse.

Ce colloque ambitionne donc d’aborder sans tabous cette figure capable de se mêler à tout ce qui compte dans les cénacles intellectuels belges et européens de l’entre-deux-guerres. A travers quatre sessions, qui rassembleront des universitaires belges et étrangers, il s’agira de revenir non seulement sur le parcours et les engagements du jeune publiciste dans les années 30 et 40, mais aussi de tenter de mesurer l’influence qu’il a pu exercer sur les nouvelles relèves belges et européennes. Cette démarche, essentielle, est compliquée par le fait que s’étant fourvoyé au nom de l’idée d’Europe unie dans la collaboration avec les nazis, le publiciste est devenu, dans la foulée de l’épuration, un « ami encombrant ».


En ce sens, les contributions devraient aussi permettre d’appréhender l’angle-mort qui apparaît immanquablement dans le parcours de nombreux personnages-clés de l’histoire intellectuelle, politique et artistique (Spaak, mais aussi Hergé, Paul De Man, Bauchau) avant et après la Deuxième Guerre mondiale.


A cet égard, il est encore à espérer que cette rencontre permettra aussi de retrouver la piste de papiers et d’archives « oubliées » ou en déshérence de/sur Raymond De Becker…


Les différentes interventions feront l’objet d’une publication à laquelle sera adjointe la correspondance conservée entre Raymond De Becker et Jacques Maritain conservée au Centre Maritain de Kolbsheim.


Programme du colloque

lundi, 02 mai 2011

Colloque international: "Céline à l'épreuve"

 
Colloque international "Céline à l'épreuve"
25, 26 et 27 mai 2011 à Paris et à Nantes
 
TLI-MMA (Université de Nantes), Ecritures de la modernité (Sorbonne Nouvelle- Paris-III), Centre de recherche sur les arts et le langage (CNRS-EHESS) organisent un colloque international consacré à Louis-Ferdinand Céline les 25, 26 et 27 mai 2011 à Paris et Nantes. Voici le programme de ces 3 journées.

Université de Paris-3
Maison de la Recherche, 4 rue des Irlandais, Ve ardt.
Mercredi 25 mai (matin)

Président de séance : Alain Schaffner

9h30 : Henri Godard (Université de Paris IV) : « Autour d’une biographie »
10h : Régis Tettamanzi (Université de Nantes) : « Bilans critiques »
10h30 : pause
11h : Cécile Leblanc (Université de Paris III) : « La correspondance Céline-Mondor »
11h30 : Alexandre Seurat (Université de Paris III) : « Céline face à l’hystérie »

Mercredi 25 mai (après-midi)
Président de séance : Alain Cresciucci

14h : Odile Roynette (Université de Besançon) : « Céline combattant : une lecture historienne »
14h30 : Jérôme Meizoz (Université de Lausanne, Suisse) : « Pseudonyme et posture chez Céline »
15h : pause
15h30 : Gisèle Sapiro (CNRS, EHESS) : « La figure de l’écrivain irresponsable »
16h : Philippe Roussin (CNRS, EHESS) : « Sartre : Céline ou Genet »

Jeudi 26 mai (matin)
Président de séance : Philippe Roussin

9h : Catherine Rouayrenc (Université de Toulouse-II) : « De la phrase à l’énoncé oral : une désarticulation progressive »
9h30 : Alain Schaffner (Université de Paris III) : « La tension narrative dans les premiers romans de Céline »
10h : pause
10h30 : David Décarie (Université de Moncton, Canada) : « Métaphores et inconscient : de l’émotion célinienne au tropisme sarrautien »
11h : Alain Cresciucci (Université de Rouen) : « Céline et le cinéma »

Jeudi 26 mai (après-midi)
Président de séance : Philipp Watts

14h : Yoriko Sugiura (Université de Kobé, Japon) : « Perte et deuil dans Mort à crédit »
14h30 : Tonia Tinsley (Université du Missouri, USA) : « Virginie, l’épreuve féerique du féminin célinien »

Université de Nantes
Vendredi 27 mai (matin)
Bâtiment Censive, salle 4046
Président de séance : Régis Tettamanzi

10h : Gaël Richard (La Roche-sur-Yon) : « Céline et le mouvement breton »
10h30 : Sonia Anton (Université du Havre) : « L’apport des lettres inédites »
11h : Jean-Paul Louis (éditeur) : « L’édition de la correspondance de Céline : état des lieux »

Vendredi 27 mai (après-midi)
Bâtiment Censive, salle de conférences
Présidente de séance : Anne Roche


14h : Anne Roche (Université de Provence) : « Succession ouverte ? »
14h30 : Philipp Watts (Université de Columbia, USA) : « Une nouvelle littérature du mal ? »
15h : pause
15h30 : Table ronde : l’influence de Céline sur la littérature française contemporaine : Mickaël Ferrier (écrivain), Hédi Kaddour (écrivain), Yves Pagès (éditeur, écrivain)
17h-18h : Lecture-spectacle par Thierry Pillon (Voyage au bout de la nuit)


Organisation:
Philippe ROUSSIN, Centre de recherche sur les arts et le langage (CNRS-EHESS)
Alain SCHAFFNER, Ecritures de la modernité (Sorbonne Nouvelle- Paris-III)
Régis TETTAMANZI, TLI-MMA (Université de Nantes)

jeudi, 25 novembre 2010

Cercle Aristote: l'amitié franco-russe - passé, présent, avenir

aristote.JPG

LE CERCLE ARISTOTE

vous invite à un colloque sur le thème


« L'amitié franco-russe: passé, présent, avenir »


La manifestation se déroulera à L’INSTITUT DE LA DÉMOCRATIE ET DE LA COOPÉRATION, 63 bis, rue de Varenne, 75007 PARIS

le 3 décembre 2010, de 10 h 00 à 19 h 00.


Programme:

10h – 10h30 : Pierre-Yves ROUGEYRON, président du Cercle :  Introduction. 

10h30 – 11h30 : Valérie HALLEREAU, universitaire : « La réception de l’œuvre d'Alexandre Soljenitsyne en France ».

11h30 – 12h30 : Viatcheslav AVIOUTSKIY, docteur en géopolitique: «La diarchie au sommet du pouvoir russe ». 

PAUSE DEJEUNER

13h30 – 14h30 : Xavier MOREAU, Courrier de Russie: «Histoire et géopolitique franco-russe ».

14h30 – 15h30 : Marc ROUSSET, ancien directeur général d’entreprise: « L'axe Paris-Berlin-Moscou ».

15h30 – 16h30 : Ekaterina NAROTCHNITSKAÏA, Directrice du Département 'Europe et Amérique' au sein de l’Institut de l’Information scientifique en Sciences Sociales, Académie Russe des Sciences, Moscou : «Politiques et perceptions franco-russes ».

16h30 – 17h30 : Romain BESSONNET, Cercle Aristote : « La russophobie dans les médias français ».

17h30 – 18h30 : David MASCRÉ, docteur en mathématiques et en philosophie : « L’actualité de l’alliance franco-russe ».

18h30 – 19h : John LAUGHLAND, Directeur des Etudes de l’IDC: Conclusion générale.


Inscription obligatoire.  Veuillez confirmer votre présence en écrivant à romain.bessonnet@sfr.fr

 

jeudi, 18 novembre 2010

Colloque "Localisme et identité, la réponse au mondialisme" - Paris, 4 déc. 2010

Colloque « Localisme et identité, la réponse au mondialisme ». Paris, 4 décembre

Organisateurs :
Associations alternatives, localistes, démocrates et identitaires (Coopérative Parisienne ; Ti Breizh, la maison Bretonne ; Académie pour la défense des êtres humains ; Projet Apache ; Parti des Français Progressistes ; Terres Arvernes ; Lien en Pays d’Oc ; Terroirs et Productions de France).

Programme :

9h00 : accueil
9h30 : ouverture des travaux, présentation de la journée.
9h45 : exposés
- Georges GOURDIN, communication et médias : les fêtes enracinées ou le cadeau planétaire jetable? L’exemple de Noël.
- Dominique LAMBERT, ingénieur en environnement, Londres : l’urbanisme, les transports et l’énergie au service de la relocalisation des activités humaines.
- Jacques DAUDON, enseignant retraité, maraicher bio : les conditions alimentaires et environnementales pour rétablir santé et bien être de notre population.
- Philippe MILLIAU, responsable de formation : l’alternative économique et fiscale du localisme face à l’ordre mondial et à la destruction de la terre.
11h00 pause
11h15 : table ronde avec les orateurs de la matinée et questions écrites de la salle. Animateur : Arnaud NAUDIN, journaliste.
- à quelle échelle pertinente peut on appliquer les préconisations et propositions des conférenciers ?
- crise mondiale, ou crise du système mondialiste ?
- du concret au quotidien, ou l’attente du  » grand soir » de la fin du mondialisme
- la relocalisation, une vision archaïque, ou futuriste ?
- questions écrites.
12h30 déjeuner

14h30 : exposés :
- Arnaud GOUILLON, ingénieur et responsable d’ONG : localisme, écologie, démocratie, actions humanitaires et valeurs humaines : la synthèse identitaire.
- Philippe CONRAD, historien : identité et devenir de la civilisation Européenne.
- Philippe PERCHIRIN, consultant et dirigeant de PME dans un cadre Européen : face à la régression totalitaire mondialiste, demain la démocratie directe.
- Isabelle LARAQUE, professeur de philosophie : de la cité Grecque au citoyen du monde, un chemin à l’envers.

16h00 pause
16h15 : table ronde avec les orateurs de l’après midi, et questions écrites de la salle. Animateur : Xavier DELAUNAY, journaliste.
- l’argent roi, une incompatibilité avec la démocratie…
- l’histoire de l’Europe est elle écrite ? Le monde peut il se passer de l’Europe?
- l’explosion démographique Africaine et musulmane : un danger pour l’équilibre du monde ?
- la démocratie directe et les libertés locales : inciter le citoyen à se prendre en charge
- questions écrites
17h45 : synthèse et conclusions.

Lieu : NOVOTEL Pont de Sèvres, 13 grande rue, 92 310 Sèvres
Date : Samedi 4 Décembre, de 9h à 18h
Prix d’entrée : 10 euros.
Repas de midi facultatif et UNIQUEMENT sur réservation : 30 E. Règlements auprès du service accueil du colloque, sur place.

Inscriptions à faire parvenir avant le 2 Décembre à :

Ti Breizh, milin coz, 29650 GUERLESQUIN
mail : milin.coz@gmail.com [1]
tel : 02 98 72 89 33 et 06 01 15 92 37


Article printed from :: Novopress.info France: http://fr.novopress.info

URL to article: http://fr.novopress.info/72062/colloque-localisme-et-identite-la-reponse-au-mondialisme-paris-4-decembre/

URLs in this post:

[1] milin.coz@gmail.com: mailto:milin.coz@gmail.com

mercredi, 09 septembre 2009

Terre et Peuple: TABLE RONDE 2009


Terre et Peuple

Résistance Identitaire Européenne

TABLE RONDE 2009

www.terreetpeuple.com

Dimanche 4 octobre 2009 :

 

XIVe Table Ronde de TERRE ET PEUPLE :

"Pour la Reconquête, reviens Charles Martel !"


à Villepreux (région Parisienne)

 

contact@terreetpeuple.com

 

  

XIV_Table_ronde_2009