lundi, 30 mai 2016
Marie Cherrier - Complotiste
Marie Cherrier - Complotiste
00:05 Publié dans Musique, Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique, chanson, insolence, complotisme, marie cherrier | |
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vendredi, 16 mai 2014
Waren de Beatles Ierse nationalisten?
Tijdens de eerste, die ongeveer duurde van 1960 tot 1965, werden ze formidabel populair op wereldniveau met het coveren van bekende Amerikaanse rock and roll en al even Amerikaanse rhythm and blues nummers: I Got a Woman van Ray Charles, That’s all Right Mama van Elvis Presley, Roll over Beethoven van Chuck Berry, enz. De eigen muziek die ze tijdens die jaren uitbrengen, is hierop volledig geïnspireerd: I Want to hold your Hand, I Saw Her Standing There … Vanaf 1965 wagen ze zich verder en beginnen ze te experimenteren. Eerst vrij schuchter, voor het nummer Norvegian Wood schakelen ze bijvoorbeeld een sitar in en het overbekende Yesterday laten ze door een strijkorkest begeleiden. Van af dan zullen ze op veel radicalere wijze het ingeslagen pad blijven volgen. In die mate dat wanneer ze in 1967 de LP Sgt. Peppers Lonely Hearts Club Band op de markt brengen, deze door de recensent van de oerdeftige Britse Times een mijlpaal in de popgeschiedenis wordt genoemd. Het zijn de jaren van Let it Be, Hey Jude, Penny Lane, Strawberry Fields for Ever, Eleanor Rugby (deze opsomming is niet chronologisch) en zo vele andere. Ze hebben op dat ogenblik met hun meer gesofisticeerde muziek definitief de Merseybeat (genoemd naar de rivier Mersey, die door hun geboortestad Liverpool stroomt) ver achter zich gelaten. Ook de teksten die ze zingen hebben een hele verandering ondergaan. Misschien spreken ze u niet aan, geachte lezer, maar u zult moeten toegeven dat de inhoud van pakweg Let it Be of Eleanor Rugby heel wat meer diepte heeft dan die van She Loves You of die van A Hard Day’s Night. Ze durven zich zelf aan politiek wagen. Ze hebben uiteraard een links pacifistische reputatie, maar dit weerhoudt er hen niet van, in het nummer Revolution de draak met Mei 68 te steken. Oordeel zelf:

Well it was Sunday bloody Sunday
Is there any one amongst you
Sunday bloody Sunday
You claim to be majority
They've got a lot to learn
Sunday bloody Sunday
You anglo pigs and Scotties
Sunday bloody Sunday
Well, it's always bloody Sunday
Repatriate to Britain
Sunday bloody Sunday
00:05 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : beatles, angleterre, irlande, nationalisme irlandais, chanson, années 60 | |
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jeudi, 15 mai 2014
« Euro » vision, une victoire du communautarisme
« Euro » vision, une victoire du communautarisme
par Thomas Ferrier
Ex: http://thomasferrier.hautetfort.com
Finalement c’est Thomas Neuwirth, surnommé « Conchita Wurst », ce dernier terme signifiant « saucisse » (tout un symbole), représentant autrichien à l’ « euro » vision, qui s’est imposé à l’issue de cette émission télévisée au soir de ce 10 mai 2014. Ce dernier s’est présenté en femme à barbe, une provocation que la Russie notamment avait peu appréciée. Sa nette victoire interroge. Il est en effet sur le papier douteux qu’un pays comme l’Irlande, où l’avortement est encore interdit, ait pu donner douze points à ce candidat, de même que la Grèce, où l’homosexualité est extrêmement mal vue, et d’autres pays d’Europe centrale et orientale.
C’est en fait le mode de fonctionnement de cette élection, analogue au concours de Miss France mais aussi au classement des « personnalités », qui amplifie naturellement des personnalités hétérodoxes bénéficiant d’une prime idéologique et surtout d’un soutien ciblé d’une ou plusieurs communautés. L’existence par ailleurs d’un jury, qui modère le résultat des téléspectateurs, corrige un vote qui n’irait pas dans le « sens du vent ».
En clair, les téléspectateurs européens dans chaque pays vont voter pour les différents candidats, nombreux par ailleurs, chacun en fonction de son goût musical et pour divers autres raisons. Le gagnant sera celui qui aura obtenu le plus de suffrages, sans forcément atteindre un grand score. Moins de 5% peut suffire, si les téléspectateurs étaient très divisés au niveau de leur choix. C’est dire que la représentativité du vainqueur est extrêmement limitée.
Si en plus d’un jury complaisant, dont on devine qu’il est naturellement porté à être favorable à ce genre d’excentricités, et qu’il est sensible à l’impact médiatique d’une telle valorisation, une communauté en particulier se mobilise davantage que les autres en ciblant un seul candidat, non en fonction de son origine nationale mais uniquement de son orientation sexuelle, alors les jeux sont faits.
Habituellement, l’ « euro » vision est parasitée par des choix géopolitiques, valorisant le voisin scandinave, ou le voisin slave, ou le voisin orthodoxe. C’est ainsi que l’Arménie et l’Azerbaïdjan ont donné de nombreux points à la Russie, de même que la Grèce. Cette année, il a été également impacté par le vote gay. En clair, alors que les autres votants se divisent en de multiples candidats, les défenseurs de cette communauté votent unanimement pour celui qu’ils estiment les représenter, indépendamment des qualités musicales ou de la prestation réalisée. C’est un vote idéologique en faveur de la théorie du gender. Les présentateurs français ont d’ailleurs évoqué « un magnifique message de tolérance envoyé par l’Europe entière ».
Il n’y a donc pas eu besoin de fausser les résultats, mais simplement de laisser faire le principe communautaire renforcé considérablement par le rôle du jury, et ce qui était voulu médiatiquement a eu lieu.
C’est la même chose en France concernant le classement des personnalités préférées. On s’étonne de découvrir chaque année en tête des célébrités « issues de la diversité ». On s’imagine alors qu’elles ont reçu un soutien massif. Rien n’est plus faux. Le premier classé a pu n’obtenir que 3% des adhésions. Le fait qu’il soit premier ne signifie donc pas grand-chose.
Si les sondés « issus de la diversité » votent massivement pour les représentants de cette même diversité, alors que les « de souche » se divisent en choisissant les personnalités « de souche », alors le résultat est forcément celui que l’on constate.Avec le communautarisme, à savoir le choix de privilégier l’appartenance communautaire avant l’appartenance nationale, identitaire ou simplement culturelle, alors tous les votes de ce type sont profondément faussés et donnent un résultat qui n’a aucune signification mais qui est instrumentalisé par les journalistes et par certains politiciens pour faire croire que les vainqueurs sont représentatifs du peuple, alors qu’ils ne sont que l’égérie de minorités actives.
En clair, le communautarisme, qu’il soit fondé sur l’appartenance ethnique, le sexe ou l’orientation sexuelle, reste en réalité très minoritaire, mais a un impact en revanche fondamental sur les résultats de ce type de compétitions. Ceux qui en tirent une leçon allant « dans leur sens », à savoir l’idéologie mondialiste, sont des falsificateurs.
Ce samedi soir n’a pas démontré une « tolérance européenne » mais la puissance du communautarisme gay en Europe, sans commune mesure d’ailleurs avec le soutien à la « diversité » puisque les représentants de la France ont fini bon dernier. Ceux qui voulaient la soutenir ont pu trouver dans le candidat de la Hongrie de quoi les satisfaire. On peut penser que leur résultat est toutefois la matérialisation de l’image négative de la France en Europe et aussi de leur pauvreté musicale.
Secrétaire Général du PSUNE
00:05 Publié dans Actualité, Affaires européennes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : moeurs contemporaines, communautarisme, lobby gay, eurovision, europe, affaires européennes, autriche, chanson, abjection, décadence | |
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lundi, 31 janvier 2011
Suzy Solidor - Les filles de Saint Malo
Suzy Solidor
Les filles de Saint Malo
00:05 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bretagne, saint malo, suzy solidor, chanson, france, années 30, années 40 | |
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dimanche, 30 janvier 2011
Lale Andersen - Wo die Nordseewellen...
Lale Andersen
Wo die Nordseewellen...
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vendredi, 07 janvier 2011
Lili Marlene par Suzy Solidor
Lili Marlene de Suzy Solidor
00:10 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lili marlene, histoire, deuxième guerre mondiale, seconde guerre mondiale, suzy solidor, chant, chanson | |
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mercredi, 09 septembre 2009
Découvrez le groupe folk flmand "Laïs"
Découvrez le groupe folk flamand Lais
LAÏS est né pendant l’été 1994 au cours d’un stage de folk à Gooik en Belgique. Trois jeunes chanteuses originaires de Kalmthout forment ce groupe qui signifie «voix» et fait référence également aux chansons érotiques du moyen-âge : Jorunn BAUWERAERTS, Nathalie DELCROIX et Annelies BROSENS. Influencées principalement par les voix du folk et du blues, les chanteuses Noires, Loreena McKENNITT, I MUVRINI, VÄRTTINÄ, Sinead O’CONNOR, les trois chanteuses flamandes sont surnommées «les voix d’ange» par Emmylou HARRIS.
Leur premier album, Laïs, sorti sur le petit label belge Wild Boar, démontre le talent de ces trois vocalistes ainsi que leur ouverture sur les musiques traditionnelles des pays européens. Les morceaux, pour la plupart interprétés en flamand, sont issus des traditions flamande, suédoise, italienne, etc. L’album comporte deux reprises, In this Heart de Sinead O’CONNOR et Grand Jacques de Jacques BREL, seul morceau chanté en français. Le livret est entièrement rédigé en flamand, à l’exception de quelques rares notes en anglais. Le trio LAÏS est accompagné par le groupe folk-rock belge KADRIL dont l’instrumentation principalement acoustique (guitare, viole, dulcimer, mandoline, harpe, accordéon), augmentée parfois d’une rythmique un peu rock mais pas trop (claviers, basse, guitare, batterie), dessine des paysages nostalgiques et colorés autour des «voix d’ange».
Le succès de LAÏS dans le monde du folk dépassant rapidement les frontières belges, le trio enregistre son deuxième album chez Virgin Belgique, Dorothea, distribué cette fois dans toute l’Europe. Le son est moins brut et «live» que sur le premier album, et l’on sent bien qu’une production affinée et plus lisse est passée par là. Qu’importe, les arrangements sont toujours superbes malgré une batterie plus présente, ce qui n’était pas toujours utile. Jorunn, Annelles et Nathalie sont accompagnées d’un nouveau groupe, où l’on retrouve deux membres de KADRIL, Hans QUAGHEBEUR (accordéon, vielle à roue) et Bart De COCK (harpe) en invité, augmentés de Fritz SUNDERMANN qui tient à lui seul la plupart des instruments (guitares acoustiques et électriques, charango, harmonium, basse, mandoline), Ronny REUMAN (batterie, percus, loops), Bart DENOLF (contrebasse, basse). Le répertoire reste dans la lignée du premier album, avec toutefois quelques compositions originales ou tirées de traditionnels, et davantage de morceaux chantés en français, dont Kenneke écrit par Gabriel YACOUB et l’incontournable Le Renard et la Belette, pour lequel les arrangements des «trois voix d’anges» sont tout de même plus subtils que celles des «trois Jean» (TRI YANN). Il a même été autorisé une voix d’homme en la personne de Ludo VAN DEAU sur le très beau morceau Le Grand Vent, une autre composition de Gabriel YACOUB, si enchanteur qu’il est repris en «bonus» pour clore l’album. Avec Dorothea, on n’a pas l’impression d’entendre LAÏS sur scène comme sur le premier album, mais plutôt de flotter sur des nuages douillets et cotonneux.
00:10 Publié dans Terroirs et racines | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : flandre, chanson, patrimoine de chants, patrimoine, folk, traditions, traditionalisme | |
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