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mercredi, 09 octobre 2024

L’eau et les denrées alimentaires comme « armes » 

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L’eau et les denrées alimentaires comme « armes » 

Source : https://unser-mitteleuropa.com/148731

Depuis 2020, sous le prétexte de sauver le climat et la planète, un coup inouï a été porté contre les droits humains à la liberté.

Dans ce contexte, ce sont surtout les denrées alimentaires et, de plus en plus, l’eau qui préoccupent les « sauveurs du monde » et qui deviennent des « armes pour lutter contre toute possible désobéissance ».

« Guerre hybride avec des armes alimentaires »

Dans le cadre de cette guerre hybride, menée à des niveaux divers, l’alimentation est devenue, depuis un certain temps, une arme contre les peuples. Depuis quelques années, en effet, un seuil qualitatif a été franchi : on ne s’exprime plus que dans les termes forgés par le « Green Deal » de l’UE, tout en menant la lutte contre le paysannat, à propos de laquelle nous avons déjà amplement parlé.

De plus en plus souvent, l’approvisionnement en eau se retrouve dans le collimateur. Pour le sommet des Nations unies sur le futur, qui s’est tenu en septembre, une proposition a été formulée, selon laquelle un organe gouvernemental global devrait contrôler à terme tous les systèmes vitaux, y compris celui de l’eau.

Sur cette question, David A. Hughes a publié récemment un essai, dont le sous-tire sonne apocalyptique : « Le grand empoisonnement, la guerre contre les paysans, la viande produite en laboratoire, le ‘Pharma Food’ et l’eugénisme, la pénurie alimentaire créée artificiellement et le danger menaçant d’une pénurie d’eau artificielle ».

Ce qui frappe, actuellement, c’est que cette année-ci, même un pays riche en eau comme l’Autriche, les autorités ont dû, à plusieurs reprises, avertir la population qu’elle risquait et risquera de vivre un manque d’eau. Pourtant, ce pays alpin dispose d’énormément d’eau. Malgré cela, le blog de la SPÖ socialiste expliquait, il y a quelques semaines, que, très bientôt, « une commune sur quatre » en Autriche risquait de se retrouver à court d’eau. La pénurie d’eau deviendra un problème toujours croissant, disaient-ils.

Une pénurie d’eau créée artificiellement

La pénurie d’eau, créée artificiellement, doit désormais constituer un souci permanent. En 2022, le Forum Economique Mondial avait tenu une conférence de presse pour mettre sur pied la « Global Commission on the Economics of Water ». A cette occasion, le professeur Mariana Mazzucato s’est lamenté parce qu’on n’avait pas réussi « à vacciner tous les gens sur la terre » et parce que les mutations climatiques apparaissaient « un peu trop abstraites ».

« L’eau…, tous les enfants savent qu’il est important d’avoir de l’eau, quand on joue au football et que l’on a soif. Il s’agit dès lors de susciter l’engagement de tous les citoyens et citoyennes en ce domaine et de leur inculquer, d’une certaine manière, la notion de bien commun. Pourrions-nous, cette fois-ci, obtenir réellement un résultat, alors que, dans d’autres occasions, nous avons lamentablement échoué ? » (Forum économique mondial, 2022).  

Tout cela ressemble à une proposition, d’utiliser l’eau, si nécessaire à la vie, pour faire aboutir le projet de construire le ‘nouvel ordre mondial’. En mars 2023, à New York, s’est tenu le congrès des Nations-Unies pour l’eau, le tout premier congrès de ce type depuis 46 ans. Le slogan de ce congrès était : « Unir le monde pour l’eau ». Le CDP, partenaire de l’ « International Sustainability Standards Board » pour la divulgation des données climatiques, avait déjà attiré l’attention des investisseurs en juin 2024, leur disant que « le risque émanant de l’eau n’est pas entièrement pris en compte par les marchés financiers ». Le CDP mettait en garde sur les conséquences des ‘limitations à l’accès à l’eau’ » (CDP, 2024, p. 4). Si les ‘capitalistes catastrophistes’ font leurs de telles positions, ce ne sera plus qu’une question de temps pour qu’une pénurie artificielle d’eau devienne réalité.

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vendredi, 16 février 2024

Pour le climat : le mainstream promeut le "lait" issu de l'intestin du cafard comme nouveau "superaliment"

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Pour le climat: le mainstream promeut le "lait" issu de l'intestin du cafard comme nouveau "superaliment"

Source: https://report24.news/fuers-klima-mainstream-bewirbt-milch-aus-darm-von-kakerlaken-als-neues-superfood/

Un média mainstream hispanophone fait actuellement la promotion du "super-aliment" du futur : Leche de cucaracha - le lait de cafard. Il s'agit d'une substance extraite de l'intestin d'une espèce de cafards vivipares. Il serait non seulement très riche en protéines, mais aussi bon pour le climat.

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"La Razón" affirme qu'en raison du changement climatique, nous devons modifier notre alimentation - et que le lait de cafard arrive à point nommé. Un article sur Infobae.com explique que le lait de cafard pourrait être la solution aux pénuries alimentaires. Actuellement, les pénuries alimentaires sont principalement causées par la politique du "zéro net" et la lutte contre l'agriculture: c'est donc, comme souvent, l'obsession du climat qui donne naissance à de telles absurdités, et non le climat en lui-même.

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Le "lait" dont il est question est la masse qu'une espèce particulière de cafards (Diploptera punctata) produit dans son intestin pour nourrir ses petits. En effet, contrairement aux autres cafards, cette espèce présente en Asie et en Océanie est vivipare et sécrète des "cristaux" pour sa progéniture, qui contiennent des protéines, des graisses, des sucres et des acides aminés essentiels.

En réalité, l'engouement douteux pour ce lait écœurant n'est pas nouveau : en 2018 déjà, un éditorial publié dans l'EXCLI Journal affirmait par exemple que le lait de la Diploptera punctata avait un potentiel nutritionnel supérieur à celui du lait de mammifères tels que les vaches, ce qui en faisait le prochain "superaliment". Cette glorieuse découverte aurait été faite pour la première fois par des scientifiques indiens en 2016, lorsqu'ils ont étudié ces cristaux. Depuis, les choses n'ont pas beaucoup évolué. L'éditorial a fait la promotion du lait de cafard en tant que superaliment en supposant qu'il pourrait avoir les mêmes effets positifs que le lait de vache ordinaire, tout en notant que l'on ne connaît ni la composition exacte de la substance ni les conséquences sur la santé lorsqu'elle est consommée. Il n'y a donc aucune information sur le potentiel d'allergie ou les éventuels effets nocifs.

Il est évident que le lait intestinal des cafards ne peut pas être extrait des animaux. La production pour la consommation s'accompagnerait d'une mise à mort massive des insectes (au bout du compte, on ne consommerait probablement pas que le "lait", mais aussi une partie des cafards). La science veut rendre possible une production de masse en produisant artificiellement la substance par séquençage génétique et réplication en laboratoire. C'est heureusement de la musique d'avenir et cela devrait s'avérer être une impasse, car très peu de gens accepteront le lait de cafard comme aliment.

Dans ce contexte, on peut se demander ce qui a motivé la campagne médiatique dans les médias hispanophones. En réalité, cela ne fait que susciter un maximum de dégoût parmi les citoyens, qui s'opposeront davantage, et non moins, à l'obsession climatique et à la lutte contre l'agriculture et les moyens de subsistance qui en découlent.

 

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dimanche, 04 février 2024

Quand l'alimentation exige une décision politique. La bataille pour la souveraineté alimentaire

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Quand l'alimentation exige une décision politique. La bataille pour la souveraineté alimentaire

par Gennaro Malgieri

Sources: https://www.destra.it/home/quando-il-cibo-e-una-scelta-politica-la-battaglia-per-la-sovranita-alimentare/

Depuis le 24 janvier, les produits alimentaires fabriqués à partir de poudre d'insectes peuvent être vendus et achetés dans toute l'Union européenne. Il s'agit d'une étape importante dans la décadence alimentaire, qui révèle une décadence morale, culturelle et civile bien plus importante, au nom du profit. Allons-nous lire les étiquettes de ces délices censés émoustiller nos papilles?

La farine de grillons sera étiquetée Acheta domesticus, mais ne sous-estimons pas non plus l'inscription Tenebrio Molitor. La farine d'insectes pourrait se retrouver dans les produits suivants : pain, biscuits, crackers, baguettes de pain, sauces, soupe en poudre, pâtes, pizzas, mélanges prêts à l'emploi pour produits de boulangerie, lait en poudre, produits transformés à base de pommes de terre, snacks.

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Ces délices devraient changer nos goûts, et surtout qui sait ce qu'ils feront à nos estomacs qui, bien qu'habitués à digérer des saloperies innommables, ne resteront pas indemnes, je pense, lorsqu'ils réceptionneront ces nouveaux plats succulents à base d'insectes.

Nous pensions que l'Union européenne avait déjà touché le fond en légiférant sur les mesures des différents légumes et en prescrivant même les ingrédients des pizzas "politiquement correctes", mais nous n'en étions pas là.

Lorsque nous avons dénoncé, il y a plusieurs mois, ce que les chefs-bureaucrates étoilés de l'UE s'apprêtaient à mettre sur leurs menus, en annonçant la date du 24 janvier 2024, à laquelle ils se sont tenus, pour concocter de nouvelles sauces, nous avons pris la "menace" au sérieux, mais en nourrissant au fond de nous l'espoir que la controverse et le non-sens flagrant de l'initiative abattraient le dernier cri de la nouvelle cuisine inventée dans la "capitale" de l'Europe où un Parlement aliéné au souci de la santé et du bien-être de ses citoyens entérinait toutes les sottises colportées selon les canons de la cancel culture.

Rien. Ils ont continué comme des chars jusqu'à ce qu'ils nous donnent les ingrédients pour mettre sur la table les plats obscènes que vous trouvez depuis quelques jours dans les rayons des supermarchés.

Pourquoi cette "révolution alimentaire"? Le profit, disait-on. Et le grand marché alimentaire, partout dans le monde, avec la complicité des classes politiques sur lesquelles il faudrait enquêter sur les bizarreries qu'elles cautionnent comme les insectes dans l'assiette, s'apprête à envahir surtout l'Occident (en Orient et en Afrique, les cultures alimentaires sont profondément différentes et peu éloignées de celles que l'on introduit dans nos nations) avec des produits qui n'ont rien à voir avec notre alimentation et, vraisemblablement, avec leur pérennité dans notre corps.

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Mais à Bruxelles, les insectes sont considérés comme des protéines alternatives en général et une réponse au coût croissant des protéines animales, à leur impact environnemental, à l'insécurité alimentaire (sic !), à la croissance démographique et à la demande correspondante et croissante de protéines dans les classes moyennes: c'est du moins ce que l'on peut déduire du débat et de la réglementation européenne.

Selon les partisans de l'élevage massif d'insectes, il pourrait également contribuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre et le gaspillage alimentaire. Mais ne sous-estimons pas la viande synthétique qui, selon ses défenseurs, serait même bonne pour la santé. De même, et avec des procédés tout aussi sophistiqués, on pourrait élever des bovins, des ovins, des volailles, des poissons. Et cela nous protégerait des problèmes qu'ils sont censés résoudre, à commencer par la pollution? Thèse risible et non démontrée. Heureusement, le biberon italien ne semble même pas vouloir entendre parler de viande synthétique et autres.

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Nous soupçonnons les lobbies écologistes d'aller de pair avec les grandes industries agro-alimentaires et pharmaceutiques. Et ce n'est pas un hasard si la recherche sur les protéines dérivées des insectes est considérée comme l'un des domaines les plus importants du programme "Horizon Europe", qui soutient financièrement l'expérimentation dans les pays de l'UE.

Les Italiens, revenant sur les nouvelles farines présentes sur le marché, comme le révèle un sondage Coldiretti-Ixè, semblent peu ou pas du tout enthousiastes à l'égard du programme "Insectes sur la table". 54% sont contre, 24% sont indifférents, 16% seulement sont pour et 6% ne se prononcent pas.

Sujet scabreux et contradictoire, hormis ceux qui voudraient le soutenir au motif qu'en 2050 il y aura plus de neuf milliards d'habitants sur notre Planète et qu'avec la croissance démographique (ailleurs, mais pas en Europe) il sera impossible de nourrir tout le monde: mais aujourd'hui, avec près de deux milliards de moins, la faim dans le monde a-t-elle disparu? Il y a huit cents millions d'affamés dans le monde, selon la FAO.

Voici donc l'expédient salvateur: trouver d'autres formes d'alimentation, à commencer par les insectes. La réponse déconcerte ceux qui ont des habitudes alimentaires très différentes et qui entendent les conserver. L'alimentation, avant d'être une nécessité matérielle, est un facteur culturel dont découlent l'existence des peuples, leurs attitudes et leurs comportements.

C'est pourquoi on parle beaucoup de "souveraineté alimentaire". Chacun a le droit/devoir de manger selon ses propres traditions, coutumes, goûts et cultures indigènes.  Elle est définie à juste titre comme un courant politico-économique visant à affirmer le droit des peuples à définir leurs propres politiques et stratégies durables en matière de production, de distribution et de consommation alimentaires. Cette tendance concerne en particulier les peuples autochtones soumis, grâce à la grande distribution, à des problèmes de production et de distribution alimentaires, en raison du changement climatique et des routes alimentaires qui en subissent les conséquences et affectent leur capacité à accéder aux sources d'alimentation traditionnelles et contribuent à l'augmentation des maladies.

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Ces besoins ont été pris en compte ces dernières années par plusieurs organisations internationales, qui ont adopté des politiques de souveraineté alimentaire avec différents pays. Le concept de souveraineté alimentaire a été proposé pour la première fois par le mouvement international "Via Campesina" lors de sa conférence internationale à Tlaxca, au Mexique, en avril 1996. Il est apparu en opposition au modèle néolibéral du processus de mondialisation, fournissant une clé pour comprendre la gouvernance internationale en matière d'alimentation et d'agriculture. En particulier, la souveraineté alimentaire a été proposée en réponse au terme de sécurité alimentaire utilisé par les ONG et les gouvernements sur les questions d'alimentation et d'agriculture.

Contrastant avec le programme commercial alimentaire et agricole promu par l'Organisation mondiale du commerce, la souveraineté alimentaire envisage un lien essentiel entre l'alimentation, l'agriculture, les écosystèmes et les cultures, valorisant la diversité et le travail associés à la production alimentaire dans le monde entier. Ainsi, la différenciation de la production et de la distribution est le seul moyen de préserver la variété des aliments et des modes d'alimentation.

C'est pourquoi les nations, sur la base de la souveraineté alimentaire, doivent pouvoir définir leurs propres politiques agricoles caractérisées par des besoins spécifiques, les raisons organiques qui motivent les choix alimentaires, les habitudes contractées au fil des siècles, liées à la fois au marché et aux besoins des agriculteurs, des éleveurs et des consommateurs.

Il est inacceptable que la mondialisation mette les pieds dans le plat, qui plus est, sans les laver. Avec l'alimentation, en somme, on ne badine pas. Et c'est une forme de totalitarisme extrême que d'imposer des lignes nutritionnelles au seul motif qu'il faut nourrir naturellement plus de monde pour gagner plus d'argent.

L'empereur Hadrien, dans ses Mémoires, par l'intermédiaire de Marguerite Yourcenar, solennise la nourriture avec des mots qui restent gravés dans l'âme : "S'empiffrer les jours de fête a toujours été l'ambition, la joie, l'orgueil naturel des pauvres. J'aimais l'arôme des viandes rôties, le bruit des marmites raclées, lors des fêtes militaires, et que les banquets au camp (ou ce qui constituait un banquet au camp) soient ce qu'ils devaient toujours être, une compensation grossière et festive aux privations des journées de travail ; je tolérais discrètement l'odeur des fritures sur les places publiques au moment des Saturnales. Mais les banquets de Rome m'inspiraient une telle répugnance et un tel ennui que parfois - au cours d'une exploration ou d'une expédition militaire - je voyais la mort approcher, et pour me donner du courage je me disais qu'au moins je serais débarrassé des repas".

La nourriture est ainsi: elle a une âme pour ceux qui savent la percevoir, et pour ceux qui n'en sont pas capables, elle reste cachée dans la joie qu'elle crée, dans le monde très privé des sensations qui, de toute façon, transfigurent tous ceux qui en bénéficient en petits prêtres d'un rite vieux comme le monde. La table est un autel séculaire sur lequel se pressent les gestes légers et mesurés que la tradition a consacrés, sorte de rites ancestraux dédiés à l'humble soin d'un plat en sachant que le corps le gardera comme une relique

La bataille pour la souveraineté alimentaire, comme celle de l'eau et des identités culturelles, marquera le 21ème siècle comme personne, à ses débuts il y a vingt-quatre ans, n'aurait pu l'imaginer.

18:20 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : actualité, alimentation, souveraineté alimentaire | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

mercredi, 07 juin 2023

Une inflation à deux chiffres pour les denrées alimentaires en Europe. Sauf en Russie : l'effet des sanctions...

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Une inflation à deux chiffres pour les denrées alimentaires en Europe. Sauf en Russie : l'effet des sanctions...

Enrico Toselli

https://electomagazine.it/inflazione-a-due-cifre-per-gli-alimentari-in-europa-tranne-che-in-russia-effetto-sanzioni/

Hongrie +39% ; Slovaquie +25,4% ; Estonie +23,4% ; Serbie +23,1% ; Ukraine +22,2% ; Lituanie +21,9% ; Lettonie +20,2%. Il s'agit des pays européens où la hausse des prix des denrées alimentaires a été la plus forte en avril par rapport à l'année dernière. Toutefois, même pour l'Italie, la croissance est à deux chiffres. Il n'y a qu'un seul pays où les prix des denrées alimentaires ont baissé, c'est la Russie. Miracles des sanctions très efficaces imposées par Biden. Évidemment pour détruire les peuples européens, plutôt que pour nuire à Moscou.

Pourtant, les larbins atlantistes du gouvernement italiote font comme si de rien n'était. Mica, vous ne pouvez pas admettre que les sanctions sont des conneries. Mica ne peut pas expliquer que l'argent public sert à acheter des armes et n'est pas là pour augmenter le pouvoir d'achat des familles.

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Et puis, il y a les spéculateurs. C'est d'abord la hausse des prix de l'énergie qui a fait grimper les prix des denrées alimentaires. Puis l'énergie a baissé, mais pas les prix des denrées alimentaires. C'est la faute aux stocks, expliquent-ils. Il fallait les écouler et les consommateurs devaient en payer le coût. Puis les prix ont augmenté à cause de la sécheresse. Puis ils ont augmenté à cause des pluies. Il est évident que les inondations en Romagne ont eu une influence. Oui, en Romagne. Alors pourquoi devons-nous payer le prix fort pour des cerises cueillies dans d'autres régions italiennes ?  Est-ce à cause du coût de l'électricité ? Des armes ? Des salaires inchangés des travailleurs ?

Peut-être le coût du transport. Dommage que les fameux produits à zéro kilomètre coûtent encore plus cher. Pour une raison mystérieuse que le consommateur ignore mais qui ne manquera pas de se manifester. Ou peut-être pas.

jeudi, 19 janvier 2023

Non seulement des insectes, des milliards de l'UE pour la viande cultivée en laboratoire

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Non seulement des insectes, des milliards de l'UE pour la viande cultivée en laboratoire

par Gloria Callarelli

Source: https://www.ariannaeditrice.it/articoli/16209

Mettre fin à la malnutrition d'ici 2030, réduire l'impact environnemental et la production de gaz à effet de serre, mais aussi améliorer la résilience des systèmes agricoles.

Tranquillement, avec ces thématiques dûment instrumentaliséeset apparemment autorisés, l'UE, et les copains à la Bill Gates ou Klaus Schwab, préparent en fait un avenir dystopique, en investissant des milliards dans l'expérimentation génétique et en bouleversant l'ordre naturel des choses. Ils appellent cela aussi "développement durable" et tout est fait, inutile de le dire, pour l'amour de mère nature, qui n'est pas exactement l'amour chrétien de la Création, mais juste un ersatz, typique du New Age et distribué en pilules pour digérer le plan diabolique de restructuration de la réalité d'ici 2030.

Ainsi, l'élevage de vaches et de troupeaux ou de poulets et de porcs plus efficaces grâce à des implémentations génétiques est déjà une réalité. Des dizaines de projets ont été lancés grâce aux fonds de l'UE: Gene-switch, Gentore, Rumigen, puis Geronimo et bien d'autres encore. L'UE a déjà alloué environ un milliard d'euros pour financer les quelque 180 projets multi-acteurs présentant un intérêt pour l'agriculture, la sylviculture et le développement rural au cours des sept années d'Horizon 2020 (2014-2020). Plus de 120 d'entre eux ont déjà été amorcés et le programme Horizon Europe (2021-2027) a également été lancé. Tout cela fait partie de la Food Action Alliance, la plateforme qui soutient le système de transformation des aliments. On apprend comment l'Europe s'efforcera (et espère que d'ici 2030, le système politique des différents États fera de même) de mettre en œuvre des interventions qui permettront aux agriculteurs de passer à des systèmes agricoles et alimentaires "durables et résilients". Les Pays-Bas et les pays nordiques sont à l'avant-garde de ce type de transformation : Aerovision, l'Université de Wageningen et Research ne sont que deux des entités qui travaillent au développement du programme. Non seulement l'élevage et l'agriculture, mais aussi la pêche sont exemptés.

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On peut lire sur les pages de l'un des appels à propositions suggérés par l'UE: "La recherche et l'innovation contribueront à une meilleure compréhension des incidences du changement climatique en termes de modification des habitats et de fonctionnement écologique, ainsi que des répercussions qui en résultent sur la composition des espèces, la santé et la modification des taux de croissance et de reproduction. La recherche, on l'aura compris, tend à évaluer le type d'espèces animales et leur adaptation (plus ou moins grande) en fonction de l'emplacement et de la nourriture fournie. Pour faire simple: selon toute vraisemblance, à l'issue de ces études, il sera possible de produire en laboratoire, en dépassant le système traditionnel des croisements et en arrivant à l'édition génétique, l'espèce parfaite qui ne pollue pas, donne plus de rendement et s'adapte à son environnement.

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C'est ce que nous apprend le programme Gentore : "L'amélioration génétique du bétail est une technologie particulièrement rentable qui produit des changements permanents et cumulatifs dans les performances". Il parle de "l'amélioration de l'efficacité du bétail et du système d'élevage, en convertissant plus d'énergie dans la production de produits, réduisant ainsi les émissions de gaz à effet de serre par unité de produit". Et, devinez quoi : "l'un des outils à la disposition des agriculteurs est la sélection génétique. Ce sont les objectifs du "développement durable"".

Le bétail génétiquement sélectionné produira donc les effets suivants : "Amélioration de la fertilité pour réduire les intervalles de vêlage et les inséminations avec une réduction des coûts de gestion et des émissions. Amélioration de la résilience des bovins et des troupeaux, amélioration de la longévité, amélioration de la santé". Il indique également : "Amélioration de l'efficacité alimentaire : par exemple, sélection pour une meilleure consommation d'aliments résiduels, ce qui aura une incidence directe sur les émissions, car les animaux qui mangent moins ont tendance à produire moins de gaz à effet de serre. En gros, l'animal ne mangera que ce qu'il décide et dans les quantités qu'il décide pour ne pas polluer. Question. Ce qui est vrai pour l'animal aujourd'hui, qui peut dire que ce ne sera pas vrai pour l'homme demain ?

Peut-être est-il préférable de commencer à comprendre où nous sommes arrivés et qu'il est important d'agir. Quel est le but ultime ? Qui sait : peut-être subvertir le secteur primaire et remplacer l'élevage connu aujourd'hui par des usines à éprouvettes. Tout cela pour arrêter le changement climatique et réduire les coûts en nous forçant à manger et à vivre comme ils le souhaitent. La folie ? Pour quoi les insectes sont désormais prévus dans nos assiettes ? Le contrôle social et l'asservissement des êtres vivants sous l'excuse officielle de prévenir la pollution, c'est quoi ? Ils ont déjà pénétré partout, jusque dans nos estomacs, avec leurs théories diaboliques. Nous devons nous attendre à tout. Le scientisme perturbe la vie, permettant des expériences scientifiques et des astuces génétiques qui aboutiront sur nos tables à quelque chose d'artificiel et, Dieu sait, de dangereux pour notre santé. Nous sommes déjà à des niveaux limites et leurs agendas s'accélèrent. Il y a un mois, nous écrivions sur l'enquête de la Fondation Barilla sur les insectes, aujourd'hui les insectes sont une réalité. De nos jours, vous ne pouvez même plus faire confiance aux pâtes que vous mangez : il est bon de toujours vérifier les ingrédients, de rechercher des entreprises saines.

Ils sont sournois dans leurs desseins et ne s'arrêteront pas. Animaux, plantes, hommes : tout ce qui est créé doit finir, et mal finir, entre leurs mains. Tant pis pour le développement durable et "sauver la planète" : les diables se détruisent (et nous détruisent) de leurs propres mains. Si le monde devient alias, devient autre chose, perturbé dans son ordre naturel, il se rebellera. C'est la théorie du chaos, ce sont les mathématiques. L'orgueil et la volonté de puissance les ont aveuglés. L'espoir est là et c'est que Dieu se lassera bientôt de ces imitateurs poltrons.

samedi, 05 mars 2022

Entre guerre et pandémie, pourquoi la mondialisation commence à s'effriter

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Entre guerre et pandémie, pourquoi la mondialisation commence à s'effriter

Francesca Salvatore

Source: https://it.insideover.com/economia/guerra-e-pandemia-perche-la-globalizzazione-inizia-a-sgretolarsi.html

Lorsque la pandémie a éclaté, le syndrome des rayons vides a démontré deux choses : les effets dévastateurs d'une psychose collective (les supermarchés n'ont jamais fermé un seul jour) et la mesure dans laquelle certaines entraves du village planétaire avaient mis en échec producteurs et consommateurs, en particulier dans le secteur alimentaire, un réseau complexe d'interactions impliquant les agriculteurs, les intrants agricoles, les usines de transformation, le transport maritime, les détaillants. Pendant des décennies, les gouvernements n'ont pas fait grand-chose pour protéger les petites exploitations agricoles et les producteurs de denrées alimentaires qui ont été évincés par ces géants commerciaux, générant des aberrations telles que Singapour, qui importe 90 % de ses denrées alimentaires de l'étranger, ou la très avancée Australie, qui exporte environ deux tiers de ses produits agricoles vers la turbulente région Asie-Pacifique.

Avertissements sinistres

La crise des équipements de protection individuelle avait également créé de véritables vagues de panique : au début de l'urgence, plusieurs pays du monde ont littéralement combattu le Covid à mains nues dans les unités de soins intensifs. A cela s'ajoute un épisode singulier, qui a accentué ces craintes, pendant la phase encore aiguë de la pandémie : le cargo taïwanais Ever Given, naviguant vers le port de Rotterdam, en Hollande, en provenance de Yantian, en Chine s'est échoué au nord du port de Suez en mars dernier, générant un incroyable effet domino quant aux produits avariés, aux coûts et aux livraisons manquées.

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Bloomberg a estimé que le blocage du canal de Suez, par lequel passent 12 % des marchandises mondiales et 30 % du trafic de conteneurs expédiés par voie maritime, a créé une perte économique d'au moins 9,6 milliards de dollars par jour, en raison de la non-livraison des marchandises à bord des navires bloqués dans le canal et de celles qui attendent dans les ports. Les marchandises arrimées dans les navires bloqués par le canal valaient à elles seules environ 8,1 milliards de dollars, selon la LLoyd's List.

L'affaire ukrainienne n'est pas loin du croquemitaine des blocages maritimes et des frontières fermées, et avec eux des chaînes d'approvisionnement. Ce qui est remis en question, ce n'est pas la mondialisation culturelle et technologique, qui nous permet de vivre avec les conflits et permet aux êtres humains de communiquer en temps réel, mais le système que le village global a développé autour de la production de nourriture, d'objets, et de l'empreinte énergétique de nos sociétés. La question fondamentale est de savoir pourquoi les aliments qui nous nourrissent chaque jour doivent parcourir jusqu'à 10.000 km pour arriver dans nos assiettes ; pourquoi, si l'industrie des micropuces tombe en panne à l'autre bout du monde, nous ne pouvons pas compenser leur manque ; et pourquoi l'énergie nécessaire pour produire tout cela doit provenir de milliers de kilomètres, ce qui nous oblige à marchander avec des zones instables de la planète et à faire des compromis avec des régimes illibéraux.

Vers la souveraineté alimentaire ?

Bien que ce conflit soit très différent de la Seconde Guerre mondiale, lorsque cette région était en proie à de véritables vagues de famine, ce qui se passe en Ukraine rayonne déjà vers l'extérieur et menace la disponibilité de la nourriture dans les nations moins prospères. Ceux-ci sont devenus dépendants des exportations de céréales et d'autres produits alimentaires en provenance d'Ukraine et de Russie, qui représentent désormais 29 % des exportations mondiales de céréales. Ils contribuent également à 19% des exportations mondiales de maïs et à 80% des exportations mondiales d'huile de tournesol. La mer Noire est au cœur de ce commerce transnational, et avec le risque de devenir une poudrière et de bloquer les expéditions vers la mer d'Azov, les prix à terme du blé ont déjà grimpé en flèche. Si cela se traduit par des retards et des pertes de plusieurs millions de dollars dans les pays les plus riches, une foule de nations à faible revenu risquent une famine pure et simple et une détérioration générale de la santé publique en raison du prix des céréales. La Russie et le Belarus sont également les principaux exportateurs d'engrais, la Russie étant en tête du classement mondial ; les prix, qui étaient déjà élevés avant la guerre, ont augmenté. La pénurie d'engrais met en péril la production agricole mondiale, qui en dépend, si elle n'est pas anesthésiée.

Il y a des nations dans le monde qui, ayant su se diversifier ou du moins être hautement technologiques, ont bien fait face à la pandémie : l'Italie, par exemple, a de bons antécédents en matière de chaînes d'approvisionnement courtes et les a redécouvertes ces deux dernières années ; la Chine moderne, un pays complètement différent du passé, avec de nouvelles technologies et des investissements records, a travaillé pendant des années pour améliorer sa sécurité alimentaire, dépensant des dizaines de milliards de dollars au cours de la dernière décennie pour racheter de grandes entreprises de semences. Ces efforts semblent avoir adouci le coup porté à l'industrie alimentaire au plus fort de la pandémie.

Pour toutes ces raisons, la question de la souveraineté alimentaire est revenue sur le devant de la scène au cours des 24 derniers mois : des pays comme le Népal, le Mali, le Venezuela et bien d'autres ont déjà reconnu la souveraineté alimentaire comme un droit constitutionnel de leur peuple, car elle semble être la meilleure défense contre tout choc économique.

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Réduire nos empreintes énergétiques

La crise énergétique est la deuxième implication majeure, après le désastre humanitaire, du conflit en Ukraine. La géopolitique du pétrole au cours du siècle dernier nous a montré à maintes reprises à quel point cette ressource est sensible à la politique internationale. Surtout, la géopolitique du gaz naturel est devenue plus complexe, sur laquelle on a spéculé à des niveaux intolérables, dans la croyance que l'or bleu pouvait être compris comme une source de transition. Il ne faut pas oublier que la géopolitique du gaz avait déjà montré comment certains événements ne concernant pas le Moyen-Orient pouvaient briser et reconstruire des équilibres internationaux. Dans les années 2000, avec l'arrivée au pouvoir de Vladimir Poutine en Russie, l'épreuve de force avec les oligarques du pétrole et du gaz s'est rapidement achevée, conduisant à la réalisation du contrôle de l'État sur d'autres sources d'énergie par le biais de Gazprom. Le président a promu un nouveau nationalisme, estimant que le gouvernement devait créer de grandes multinationales capables de rivaliser avec l'Occident. En 2001, il a changé l'équipe de direction de Gazprom, en 2003, il a fait arrêter le président du principal actionnaire de Yukos et en 2004, il a pris une autre direction, en augmentant la taxe à l'exportation sur le pétrole brut. Bien que la Russie ait reculé à la deuxième place en tant que propriétaire lointain de gaz, elle est restée le plus grand exportateur de gaz au cours de la dernière décennie, approvisionnant les pays d'Europe de l'Est et de l'Ouest atteints par les gazoducs de l'ère soviétique. Le transport est resté la véritable criticité du gaz naturel car il est sujet à des conflits géopolitiques : d'où les accusations répétées de l'Amérique et de l'Europe contre la Russie d'utiliser ses ressources pour retrouver une position de superpuissance. Des critiques confirmées ces derniers jours.

Il est clair que les événements de ces derniers jours viennent tragiquement heurter des décennies de choix énergétiques contre les projets que l'Europe et le monde entier avaient en matière de climat et d'utilisation des énergies renouvelables. L'Allemagne, pays en transition énergétique par excellence, mais aussi point chaud en raison des événements autour de Nord Stream 2, est le lieu où ces difficultés et contradictions se manifestent en premier. Environ 55% des importations de gaz de l'Allemagne proviennent de Russie, ainsi que 50% de la houille et environ 30% du pétrole. Alors que l'Allemagne dispose d'une réserve stratégique de pétrole, qui, selon la loi, doit durer 90 jours, il n'existe aucune exigence de ce type pour le gaz et le charbon. Ici, seules les entreprises elles-mêmes décident de leurs réserves. Il est désormais clair qu'il s'agissait d'une erreur stratégique et le ministère de l'Économie veut faire passer les changements juridiques le plus rapidement possible. L'Union européenne envisage de prendre des mesures pour renforcer sa sécurité énergétique alors que les sanctions de plus en plus sévères contre la Russie et l'escalade de la violence en Ukraine ont suscité des inquiétudes quant à l'approvisionnement pour l'hiver prochain.

L'Europe importe de Russie environ 40 % de son gaz, 35 % de son pétrole brut et plus de 40 % de son charbon. Alors que l'incertitude grandit quant à ces importations et que les réserves de gaz de l'UE tombent en dessous de 30 %, le bloc européen cherche des alternatives à l'énergie russe et planifie soigneusement l'hiver prochain. "La situation actuelle est tendue", a déclaré Kadri Simson, commissaire européen à l'énergie. Toutefois, les éminences grises européennes se veulent rassurantes quant à la fin de cet hiver et à l'été à venir. Cependant, la question de la souveraineté énergétique est une fois de plus étroitement liée aux questions de sécurité nationale, comme dans les années 1970, qui ne nous ont rien appris ou presque.

L'alimentation et l'énergie seront donc les deux directions dans lesquelles la mondialisation devra se remodeler. Le court et le moyen terme seront nécessaires pour faire face aux difficultés générées par la pandémie et aux résultats imprévus du conflit en Ukraine. Il s'agit d'un changement de rythme et de vision qui nous obligera à nous défaire des engagements internationaux antérieurs, des idéologies sclérosées et des politiques nationales à courte vue. L'arrière-cour va-t-elle se rétrécir au nom du froid et du ventre ?

lundi, 19 octobre 2020

Christian Westbrook: Food Wars…the Engineered Destruction of Our Food Supply

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Christian Westbrook: Food Wars…the Engineered Destruction of Our Food Supply

Posted by in Podcast

Christian “The Ice Age Farmer” Westbrook discusses the engineered and deliberate destruction of our food supply. Pretexts cited to shut down farms and cull livestock include the spread of “coronavirus” between humans on farms, transmission from animals to humans, as well as outright sabotage of food storehouses. He describes the move to tax and eliminate meat and replace it with fake, synthetic, lab-grown foodstuffs. Power elites seeks to track and trace all food through artificial intelligence and the blockchain. He suggests everyone begin to grow their own food.

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Show Notes

Perfect storm hits Kazakhstan egg industry https://www.poultryworld.net/Eggs/Articles/2020/8/Perfect...

43% of small businesses say they’ll be forced to close permanently https://www.marketwatch.com/story/43-of-small-businesses-...

Lord Birkenhead’s 1929 Predictions for 2029 https://www.scribd.com/document/36111515/Save-This-for-Yo...

Fauci Warns That Earth Has Entered a “Pandemic Era” https://futurism.com/neoscope/fauci-warns-earth-entered-p...

Food Chain Reaction crisis simulation ends with global carbon tax https://www.cargill.com/story/food-chain-reaction-simulat...

Websites

Ice Age Farmer http://www.iceagefarmer.com

About Christian “Ice Age Farmer” Westbrook

Christian produces videos, interviews, tools (Growing Degree DaysCrop Loss MapWiki and Maps) in order to shed light on the myriad risks to our food system and how they must inspire us to grow our own food.

*Podcast intro music is from the song “The Queens Jig” by “Musicke & Mirth” from their album “Music for Two Lyra Viols”: http://musicke-mirth.de/en/recordings.html (available on iTunes or Amazon)

jeudi, 20 août 2015

MIT wetenschapper: In 2025 is helft alle kinderen autistisch dankzij genvoedsel

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MIT wetenschapper: In 2025 is helft alle kinderen autistisch dankzij genvoedsel

Daar bovenop: CDC verwacht dat over 10 jaar 1/3 alle kinderen door vaccins aan neurologische stoornis zal lijden – CDC: Moeders moeten (tijdelijk) stoppen met borstvoeding, anders werken vaccins niet goed

Een complete generatie mensen lijkt te worden verwoest door een fatale combinatie van genetisch gemodificeerd voedsel (GMO, kortweg genvoedsel) en vaccinaties. Een hooggeplaatste wetenschapper van het gezaghebbende MIT waarschuwde eerder dit jaar dat in 2025 maar liefst de helft (!!) van alle kinderen een autistische stoornis zal hebben als gevolg van het consumeren van genvoedsel. Daar bovenop komt het recente bericht dat het Amerikaanse CDC (Centers for Disease Control) verwacht dat in datzelfde jaar minstens 1/3 van alle kinderen een neurologische stoornis zal hebben opgelopen door alle vaccinaties die worden toegediend.

Volgens MIT bioloog dr. Stephanie Seneff –die in ruim 30 jaar al meer dan 170 wetenschappelijke artikelen publiceerde- is glyfosaat, een ingrediënt van het omstreden product ‘Round-Up’ van het beruchte concern Monsanto, een van de belangrijkste veroorzakers van de autisme epidemie, die in het komende decennium een ware pandemie dreigt te worden. Het veelvuldig gebruik van glyfosaat veroorzaakt onder andere Alzheimer, autisme, kanker, hartziekten, stofwisselingstoornissen en mineralen- (zink en ijzer) en voedingsgebreken.

Over 10 jaar heeft helft alle kinderen autisme

Dr. Seneff verklaarde in het voorjaar op een conferentie dat het aantal kinderen met autisme inmiddels zo snel toeneemt, dat in 2025 –bij ongewijzigd beleid- maar liefst de helft van alle kinderen aan een autistische stoornis zal lijden, wat de Amerikaanse samenleving jaarlijks $ 400 miljard zal kosten. Op dit moment is 1 op de 68 nieuw geborenen in de VS autistisch, wat al een stijging van bijna 120% is ten opzichte van het jaar 2000.

De MIT wetenschapper wees erop dat de symptomen van glyfosaat vergiftiging sterk lijken op die van autisme. Ook had ze een consistent verband gevonden tussen het gebruik van het bestrijdingsmiddel Round-Up (en het creëren van ‘Round-Up-ready’ genetisch gemodificeerde gewassen) en de sterke stijging van kinderen met autisme.

Glyfosaat zit in bijna alles

In de VS zijn zo goed als alle graan- en sojaproducten genetisch gemodificeerd en daarom besmet met Round-Ups glyfosaat. Hetzelfde geldt voor bijna alle soorten voedsel waarin graan/maïs en soja is verwerkt, inclusief frisdranken met veel fructose, stroop, chips, cornflakes, snoep en sommige soja-proteïne repen. Bovendien krijgen runderen en ander vee vaak genvoedsel te eten, waar eveneens sporen van glyfosaat in zitten.

Ook tarwe wordt vlak voor de oogst in veel gevallen besproeid met Round-Up chemicaliën, wat betekent dat brood en broodproducten eveneens niet veilig zijn, tenzij ze uitdrukkelijk ‘niet GMO’ en/of ‘organisch’ op het etiket hebben staan.

Niet afzonderlijk product, maar optelsom is fataal

Het komt er dus op neer dat de Amerikanen –en dankzij de EU straks ook de Europeanen- bijna niet kunnen ontkomen aan het consumeren van voedsel en dranken waarin glyfosaat is verwerkt, waarvan aangetoond is dat het diverse stoornissen en ernstige ziekten veroorzaakt. Dr. Seneff zei dat de hoeveelheid glyfosaat in ieder afzonderlijk product weliswaar niet groot is, maar dat het de optelsom is van talloze geconsumeerde ‘GMO’ producten die fataal is – zozeer, dat sommige zwangere vrouwen zelfs glyfosaat in hun bloed, urine en foetuscellen hebben. (1)

CDC: Borstvoeding slecht voor vaccins

Bij dit ronduit schokkende nieuws kwam recent nog eens het bericht van het Amerikaanse CDC (Centers for Disease Control) dat over 10 jaar minstens 1/3 van alle kinderen een neurologische stoornis zal hebben opgelopen door alle vaccinaties die worden toegediend (2). Desondanks adviseert datzelfde CDC dat moeders het geven van borstvoeding rond de tijd dat hun baby wordt gevaccineerd tijdelijk zouden moeten opgeven, omdat de immuun versterkende cellen in borstmelk de virusdeeltjes in ieder vaccin aanvallen, waardoor het vaccin mogelijk minder effectief wordt.

Critici wijzen erop dat dit CDC-onderzoek enkel bewijst dat het immuunsysteem van baby’s, als dat wordt ondersteund en versterkt door borstvoeding, uitstekend in staat is om zichzelf te verdedigen, en zo’n vaccin dus helemaal niet nodig is. Als het CDC niet zo afhankelijk zou zijn van de grote farmaceutische bedrijven, die jaarlijks miljarden verdienen aan het produceren van onbewezen en overbodige –en veelal schadelijke- vaccins, dan zouden moeders ongetwijfeld nooit het krankzinnige advies krijgen om te stoppen met het geven van immuun versterkende borstvoeding. (3)

Xander

(1) Infowars
(2) Infowars
(3) Infowars

Zie ook o.a.:

05-06: EU moet zwaar giftige chemicaliën toelaten door vrijhandelsakkoord met VS
30-04: Nieuwe wet Californië: Niet gevaccineerde kinderen mogen niet meer naar school
11-11: Artsenorganisatie: VN steriliseert miljoenen vrouwen in Kenia met tetanus vaccin
28-09: Gevaarlijk virus treft enkel gevaccineerde kinderen in VS en Canada (/ Recente onderzoeken bewijzen dat gezondheid fors en permanent wordt beschadigd door vaccins)
26-09: Nieuw onderzoek: Autisme en leukemie door cellen geaborteerde baby’s in vaccins
06-09: CDC wetenschapper erkent verband vaccins en autisme

lundi, 08 juin 2015

Bon appétit!

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10:30 Publié dans Affiches | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : affiche, monsanto, malbouffe, alimentation | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

jeudi, 07 mai 2015

Choses sales excellentes pour la santé

Choses sales excellentes pour la santé

Auteur : Dr. Mercola
Traduction Jean-Marc Dupuis
Ex: http://zejournal.mobi

Les allergies sont provoquées par une réaction excessive du système immunitaire.

Convaincu qu'il est attaqué par de dangereux microbes, notre corps fait tout ce qu'il peut pour s'en débarrasser : il nous fait éternuer pour nettoyer nos poumons et nos fosses nasales, il produit du mucus qui s'écoule abondamment par notre nez, il nous fait pleurer pour nettoyer nos yeux, provoque une inflammation entraînant des rougeurs sur la peau et de la conjonctivite (yeux qui grattent) pour détruire les agents étrangers.

Ces réactions sont provoquées par un puissant cocktail d'histamines, de leucotriènes et de prostaglandines fabriquées par les mastocytes, des cellules du système immunitaire qui se trouvent sur nos muqueuses et qui servent à détecter les agents étrangers.

Mais nos mastocytes se trompent ! Nous ne sommes pas attaqués par un dangereux microbe, mais par d'innocents grains de pollen, poils de chats ou autres poussières.

Pour lutter contre les allergies, notre corps doit donc apprendre à distinguer les corps étrangers dangereux de ceux qui ne le sont pas.

Or, il ne peut apprendre que s'il est souvent confronté à une grande diversité de microbes.

L'hygiène excessive le prive d'occasions nécessaires de s'exercer.

C'est là une raison possible de la forte augmentation des allergies dans les sociétés industrialisées. À force de vouloir tout nettoyer, désinfecter, stériliser, nous avons déboussolé notre système immunitaire.

Alors qu'arrive le printemps et que s'annoncent les premières vagues de pollen, voici quelques découvertes récentes tout à fait passionnantes qui vous aideront à mieux lutter contre les allergies.

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Le lave-vaisselle favorise les allergies

Des chercheurs de l'université de Gothenburg, en Suède, ont récemment découvert que les enfants élevés dans des maisons sans lave-vaisselle ont deux fois moins d'allergies que les autres.

Ils avaient beaucoup moins de tendance à l'eczéma, à l'asthme et au rhume des foins.

Cela pourrait être dû au fait que le lave-vaisselle chauffe à très haute température, bien plus fort que la chaleur que nous pouvons supporter en lavant notre vaisselle à la main.

Les ustensiles de cuisine sortent donc largement stérilisés du lave-vaisselle. La plupart des microbes ont été éliminés.

Les personnes qui mangent avec ces ustensiles sont donc moins exposées aux bactéries et autres antigènes (corps étrangers provoquant une réaction immunitaire). Leur système immunitaire est moins sollicité, il perd de sa précision et risque plus souvent de se tromper, de réagir alors que c'est inutile (provoquant des allergies).

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Les aliments fermentés et les produits de la ferme diminuent le risque d'allergie

Les enfants qui mangent des aliments fermentés et des produits de la ferme non pasteurisés (beurre, fromage, lait), des fruits et des légumes ramassés tels quels et non traités, ont aussi moins d'allergies que les autres.

On peut là aussi faire un lien avec les bactéries et microbes avec lesquels les enfants sont en contact, et qui leur font un vaccin naturel.

Les recherches montrent que les femmes qui prennent des probiotiques (bactéries bonnes pour la santé) durant leur grossesse ont des enfants plus résistants aux allergies.

Les enfants qui prennent des probiotiques quotidiennement voient leur risque d'eczéma baisser de 58 %.

Concernant les aliments frais de la ferme, les enfants qui grandissent dans des intérieurs aseptisés, sans être en contact ni avec les animaux, ni avec la terre, les insectes, les plantes, les fleurs, les pollens, ont plus de risques de souffrir d'asthme et de rhume des foins que ceux qui vivent dans des maisons un peu sales.

Dans une étude, les enfants d'âge scolaire buvant du lait cru ont eu 41 % de risques en moins d'avoir de l'asthme, et 50 % de risques en moins d'avoir le rhume des foins que les enfants qui buvaient du lait UHT.

Autres choses « sales » qui peuvent être bonnes pour la santé

Notre société est obsédée par la propreté, en particulier pour les enfants. Mais il devient de plus en plus clair que le contact avec la nature, avec les choses naturelles considérées comme sales, est bon et sans doute même essentiel pour maintenir le corps en bon ordre de fonctionnement.

Un biochimiste de l'université du Saskatchewan au Canada a été jusqu'à prétendre, par exemple, que les crottes de nez, ou mucus nasal, ont un goût sucré afin de donner envie de les manger !

En faisant cela, selon lui, les enfants introduisent des microbes pathogènes dans leur organisme. Ils stimulent alors leur système immunitaire, ce qui renforce leurs défenses naturelles.

Et il existe bien d'autres facteurs associés à une baisse des allergies : le fait d'avoir un chien ou des animaux domestiques ; le fait pour un bébé d'aller à la garderie avant l'âge de 1 an, le fait, encore, de recevoir un extrait d'acariens et d'autres allergènes deux fois par jour entre l'âge de 6 mois et 18 mois.

Les acariens sont un des allergènes les plus répandus. Ils déclenchent fréquemment les symptômes de l'asthme. Mais le contact régulier avec les acariens réduit l'incidence des allergies de 63 % chez les enfants à haut risque, dont les deux parents sont allergiques.

Des chercheurs ont aussi constaté que les bébés citadins exposés aux cafards, aux souris, aux acariens et à d'autres allergènes dans la poussière de la maison durant la première année de leur vie avaient moins de risques de souffrir d'allergies à l'âge de 3 ans.

La conclusion est claire : l'environnement est un facteur important d'allergie. Un enfant qui grandit dans une maison trop propre et éloignée de la nature souffrira d'un manque de stimulation de son système immunitaire.

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Les bébés qui mangent de la cacahuète ont moins de risques d'allergie à la cacahuète

Entre 1 et 3 % des enfants en Europe occidentale, Australie et Etats-Unis, sont allergiques aux cacahuètes. Il est donc classique de conseiller aux parents de ne pas donner aux jeunes enfants de produits contenant de la cacahuète (arachides).

L'allergie aux cacahuètes est aussi en train de se répandre en Asie et en Afrique. Les réactions allergiques à la cacahuète peuvent varier en gravité, allant de difficultés à respirer au gonflement de la langue, des yeux et du visage, des douleurs d'estomac, des nausées, des démangeaisons et, dans les cas les plus graves, un choc anaphylactique pouvant conduire à la mort.

Cependant, une récente étude indique qu'éviter les cacahuètes dans l'enfance pourrait justement favoriser l'apparition des allergies. Les enfants qui, entre l'âge de 4 et 11 mois, ont reçu des aliments contenant de la cacahuète plus de 3 fois par semaine ont eu 80 % de risques en moins de développer une allergie à la cacahuète, par rapport à ceux qui n'en avaient jamais reçu.

Même chez les petits qui manifestaient déjà des signes d'allergie à la cacahuète, les chercheurs ont réussi à guérir l'allergie en donnant de toutes petites quantités de cacahuète et en augmentant progressivement la dose.

Notez bien que les cacahuètes entières doivent absolument être évitées avec les nourrissons qui risquent de s'étouffer. L'idéal est de donner aux enfants du beurre de cacahuète (peanut butter) en petites quantités.

Je me permets néanmoins de souligner que les cacahuètes sont loin d'être un aliment idéal. Je ne les recommande certainement pas pour nourrir les petits enfants. Le but de l'opération est uniquement d'éviter plus tard une allergie gênante mais aussi dangereuse.

Faites la vaisselle à la main… et autres conseils pour réduire le risque d'allergie

Si la théorie de l'hygiène est vraie, et les données s'accumulent dans ce sens, vous auriez intérêt à faire régulièrement la vaisselle à la main. Souvenez-vous simplement que la plupart des lave-vaisselle doivent être utilisés au moins une ou deux fois par mois pour éviter que certaines pièces ne se dessèchent et endommagent la machine.

Vous pouvez aussi éviter de devenir « trop propre », et ainsi aider à renforcer et réguler vos réactions immunitaires naturelles, en :

- laissant vos enfants se salir. Laissez-les jouer dehors, gratter dans la terre, jouer avec des vers de terre, des insectes, des racines. Même s'ils mangent leurs crottes de nez, ce n'est pas la fin du monde.

- Lorsque vous faites le ménage, contentez-vous régulièrement de faire la poussière, sans utiliser de produit désinfectant ou nettoyant.

- Evitez les savons antibactériens et les autres produits ménagers qui désinfectent de façon trop brutale (eau de javel par exemple). Votre corps a besoin d'être exposé aux micro-organismes. Le simple savon et l'eau chaude suffisent amplement à vous laver les mains. Les antibactériens chimiques comme le triclosan sont très toxiques et favorisent la croissance de bactéries dangereuses.

- Evitez les antibiotiques inutiles. Souvenez-vous que les antibiotiques sont inefficaces contre les infections virales (donc la plupart des rhumes, rhinites, grippes, gastro, otites) ; ils ne marchent que contre les infections bactériennes.

- Mangez des produits bio, si possible que vous aurez cultivés vous-même dans votre potager, avec du bon compost et du bon fumier pleins de micro-organismes vivants.

Enfin, si vous faites partie des millions de personnes qui souffrent d'allergie, notez que vous pouvez faire de nombreuses choses sans aller remplir les poches de l'industrie pharmaceutique.

Mangez de la nourriture saine, naturelle, peu transformée (légumes et fruits frais), peu cuite, et même crue quand c'est possible, dont des aliments fermentés, optimisez votre taux de vitamine D. Corrigez votre ratio oméga-3/oméga-6 (qui doit être idéalement entre 1/1 et 1/5, non 1/20 ou 1/30 comme c'est en général le cas dans le régime moderne) et vous donnerez à votre système immunitaire les bons fondements pour se réguler naturellement.

Pour un soulagement immédiat de vos symptômes allergiques, irriguez vos sinus avec un spray d'eau de mer, essayez l'acupuncture et servez-vous de la plante suprême contre les allergies, le plantain qui est à la fois émollient, adoucissant, anti-inflammatoire, expectorant, antispasmodique bronchique et immunostimulant :

- Contre les rhinites asthmatiques et l'asthme : prendre 3 gélules d'extrait sec par jour.

- En cas de conjonctivite, appliquer sur les yeux clos une compresse imbibée d'une infusion à 4 % de feuilles de plantain (40 grammes de feuilles pour 1 litre d'eau).

Il existe également de très nombreuses solutions en gemmothérapie (bourgeons), aromathérapie (huiles essentielles) et oligothérapie (éléments-trace) qui sont détaillées dans le dernier numéro de Plantes & Bien-Être, dans un dossier passionnant réalisé par Danielle Roux, qui est docteur en pharmacie et l’une des meilleures spécialistes européennes de phytothérapie (médecine par les plantes).

Pour un traitement de fond de vos allergies, envisagez une désensibilisation chez un allergologue. Enfin, si vous avez des enfants, envisagez très sérieusement avec votre pédiatre de leur donner régulièrement de la cacahuète sous forme de beurre de cacahuète. La même approche avec les autres allergènes pourrait fonctionner également pour empêcher l'apparition future d'allergies.

00:05 Publié dans Cuisine / Gastronomie, Ecologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cuisine, alimentation, santé, médecine | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

dimanche, 22 février 2015

McDonalds kan het schudden in Republika Srbska

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McDonalds kan het schudden in Republika Srbska

Ex: http://www.rechtsactueel.com

Nogal wat ‘rechtse nationalisten’ zijn nog steeds tegen al wat Servisch is. Ze lijden aan een anti-Servische allergie of iets in die aard. Hier iets dat die allergie mag temperen, wie weet zelf helemaal keren !

Wie mijn bijdragen leest, weet dat ik het beter met de Serviërs kan vinden, precies om hun, volgens mij, redelijk verantwoorde nationalistische politiek. Nu ja, er is ook veel op aan te merken, maar wat Kosovo, Bosnië en een deel van Kroatië betreft hebben ze het historisch gelijk aan hun kant.

Dat de Serven en zeg maar de Slaven in het algemeen meer haar op hun tanden hebben dan ‘de Germanen’ (zie de fletse houding van ons eigen volk, Duitsers, Nederlanders, Denen, Noren en Zweden) is een absoluut vaststaand feit. Meer haar op de tanden, koppiger, standvastiger en meer gebonden aan de culturele tradities: zo kan je de Slaven veralgemenend omschrijven. Zo houden ze bijvoorbeeld van hun traditionele keuken en de vele goedkope eethuisjes waar je vers en lekker vlees (vnl. varkensvlees), ćevape (worstjes van gehakt vlees), kunt eten. Grote porties, spotgoedkoop. En dan komt daar een sponsor van de bommenregen op Kosovo, 1999, het even uithangen. McDonalds vestigt zich in Servië, kort na die oorlog en jawel, in de eerder trendy, Westerse zolen likkende stad Novi Sad, lukt het. De twee vestigingen van McDonalds draaien er ook al zijn ze zo duur als in het aanbeden Westen (zeg de EU, zeg Duitsland én Amerika).

Minder gelukt is het in Banja Luka, hoofdstad van de Republika Srbska (nu nog Bosnië). Het duurde al tot 2012 eer McDonalds daar een vestiging kon openen. Ze spaarden kosten noch moeite, McDonalds zou er komen en de Serviërs zouden, net als in Novi Sad, hun hamburgers eten. De prijzen? Uiteraard een veelvoud van de ćevape en dus lukte het niet zo. Het menu werd aangepast want Serven eten net als Bulgaren, Macedoniërs enz. graag burek, ćevape met brood, groentjes en yoghurtsaus of een kebab. Ze moeten het niet zo hebben van een mini, doorbakken plat schijfje hamburger in een klein broodje van schuimrubberdeeg voor een prijs die tot 10 keer zo hoog is als van een doorsnee Balkan hamburger die dan nog bijna vier keer zo groot is.

De mensen van Banja Luka zeiden algemeen: “Het is misschien wel lekker, zo’n McDonalds, maar wij zijn niet gek. Het is veel te duur en dat pakt niet bij ons”. En zo ging McDonalds daar failliet, na amper twee (2) jaar. Een investering van franchisenemer Dreamfoods Restaurants (klinkt erg Ameriaans toch?) voor en bedrag van $ 2.500.000 (klnkt ook erg Amerikaans toch?) ging de lucht in. De 34 werknemers die zeker niet beter betaald werden dan werknemers van een gewone kebabtent, zijn werkloos. Ondanks het enorme verlies wil het investeringsbedrijf Dreamfoods Restaurants dat gevestigd is in de Republika Srbska, op zoek gaan naar alternatieve vestigingsplaatsen. Dat het moge mislukken. En o ja, waar haalt dat bedrijf dat investeert in ‘het restaurant voor het volk’ en geen klanten heeft, zoveel geld om te blijven investeren?

Ik kreeg honger door dit artikel te schrijven. Waar denk je dat ik voor gekozen heb? Foto 1 of foto 2? …

Zo ziet een hamburger van McDonald's er na 14 jaar uit - copyright The DoctorsCBS

Zo ziet een hamburger van McDonald’s er na 14 jaar uit foto ©The DoctorsCBS

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Cevapi, zo vers als maar kan. Veel goedkoper, veel grotere portie, op houtvuur gebakken, met een glas yoghurt in plaats van een coca cola…

dimanche, 08 février 2015

75% des espèces comestibles cultivées ont disparu en à peine un siècle

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75% des espèces comestibles cultivées ont disparu en à peine un siècle

Auteur : Camille Labro
Ex: http://zejournal.mobi

La biodiversité est en danger, et notre monde avec. Saviez-vous qu’en un siècle, 75% des espèces comestibles cultivées ont disparu (chiffres FAO) ? La société moderne a réussi à éradiquer des milliers de végétaux qui nous accompagnaient, et nous nourrissaient, depuis la nuit des temps.

Aujourd’hui, les multinationales semencières (Monsanto, Dupont, Syngenta, Limagrain, Bayer…) tentent de s’arroger le monopole des graines, pour privatiser le vivant et prendre le contrôle de ce que plantent agriculteurs et jardiniers, et, par ce biais, l’essence de ce qui nous fait vivre.

Alors que de tout temps, les paysans ont collecté, préservé, replanté et échangé leurs graines librement, l'Europe s'est inventée un catalogue officiel des graines autorisées – notamment de nombreux hybrides F1, qui ne se ressèment pas et doivent donc être rachetés chaque année par le cultivateur. Tout agriculteur qui plante autre chose et vend les fruits de sa production, est aujourd’hui considéré hors-la-loi.

La graine, c’est une chose minuscule, qu’on a tendance à négliger. Elle est même parfois perçue comme une nuisance : on jette les noyaux, on crache les pépins, on retire les germes. Pourtant, elle est fondamentale. Elle est à l’origine de la vie. Les industriels ne s’y sont pas trompés, qui fomentent depuis bientôt 30 ans leur mainmise sur le vivant à travers ces pépites organiques.

Mais il n’est pas trop tard. Face à eux, des gens se battent un peu partout. Militants philosophes et féroces, comme Vandana Shiva, la "diva verte" indienne, organismes luttant pour la "libération des semences", comme l’association Kokopelli, le réseau Semences Paysannes, les Incroyables Comestibles, Graines de Troc, ou encore le mouvement Colibris… Et aussi, envers et contre tout, une poignée de paysans amoureux de variétés anciennes, de leurs noms poétiques, de leurs formes biscornues et de leurs goûts délicieux. J’en parle autant que je peux dans mes pages…

Pour défendre la production, préservation et dissémination de graines fruitières et potagères traditionnelles, Philippe Desbrosses, pionnier de l’agriculture biologique et fondateur de l'association Intelligence Verte et de la ferme expérimentale de Sainte-Marthe, a lancé le projetGraines de Vie, qui propose à tout citoyen d’apprendre (gratuitement) à cultiver et préserver les graines, mais aussi à les répandre, et à répandre le savoir.

Pour plus d’informations, il suffit d’aller sur le site ici, où interviennent de passionnants défenseurs du sujet, comme Cyril Dion (Colibris), la réalisatrice Coline Serreau, le botaniste-écologue Jean-Marie Pelt et bien d’autres. Je vous invite vivement aussi à planter votre première graine en contribuant à leur campagne de financement participatif ici (il ne reste que quelques jours !).

« Comme l’eau ou l’air qu’on respire, les graines sont un bien commun de l’humanité, qui nous permet de vivre, dit Cyril Dion. Les privatiser, cela s’apparente à perdre une démocratie, car la démocratie, c’est avoir, collectivement, le contrôle de choses dont nous dépendons pour vivre. »

Alors, réveillons-nous, citoyens ! Et plantons, récoltons, partageons, disséminons furieusement, pour préserver la liberté et la diversité de notre planète, de nos assiettes et de nos vies.


- Source : Camille Labro

dimanche, 25 janvier 2015

Les fruits et les légumes jusqu’à 100 fois plus pauvres qu’il y a 50 ans…

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Les fruits et les légumes jusqu’à 100 fois plus pauvres qu’il y a 50 ans…

Auteur : Terra-eco
Ex: http://zejournal.mobi

Avec l'augmentation des rendements agricoles, nos aliments sont devenus des coquilles vides… de nutriments. Combien de pêches, d'oranges, de brocolis faut-il ingurgiter pour retrouver les bienfaits d'il y a un demi-siècle ?

Mordre à pleines dents dans une pêche et avaler… de l’eau sucrée. Manger toujours plus, pour se nourrir de moins en moins. Tandis que, dans les pays développés, nos apports en calories augmentent, la plupart des aliments non transformés que nous consommons – fruits, légumes et céréales – deviennent des coquilles vides sur le plan nutritionnel. Une dizaine d’études d’universités canadiennes, américaines et britanniques, publiées entre 1997 et aujourd’hui, font état d’une dégringolade de la concentration en nutriments dans nos aliments. Ces travaux résumés dans l’étude « Still no free lunch » de Brian Halweil, chercheur au Worldwatch Institute confirment l’essor de la « calorie vide » : grasse, sucrée, mais inutile pour la santé. Même dans les aliments réputés sains, vitamines A et C, protéines, phosphore, calcium, fer et autres minéraux ou oligo-éléments ont été divisés par deux, par vingt-cinq, voire par cent, en un demi-siècle. Pour retrouver les qualités nutritionnelles d’un fruit ou d’un légume des années 1950, il faudrait aujourd’hui en manger une demi-cagette !

Vitamine C : une pomme hier = 100 pommes aujourd’hui

Hier, quand nos grand-parents croquaient dans une transparente de Croncel, ils avalaient 400 mg de vitamine C, indispensable à la fabrication et à la réparation de la peau et des os. Aujourd’hui, les supermarchés nous proposent des bacs de Golden standardisées, qui ne nous apportent que 4 mg de vitamine C chacune. Soit cent fois moins. « Après des décennies de croisements, l’industrie agroalimentaire a sélectionné les légumes les plus beaux et les plus résistants, mais rarement les plus riches sur le plan nutritif », déplore Philippe Desbrosses, docteur en sciences de l’environnement à l’université Paris-VII et militant pour la préservation des semences anciennes.

Vitamine A : une orange hier = 21 oranges aujourd’hui

Précieuse pour notre vue et nos défenses immunitaires, la vitamine A est en chute libre dans 17 des 25 fruits et légumes scrutés par des chercheurs canadiens dans une étude synthétisée pour CTV News. Le déclin est total pour la pomme de terre et l’oignon qui, aujourd’hui, n’en contiennent plus le moindre gramme. Il y a un demi-siècle, une seule orange couvrait la quasi-totalité de nos besoins quotidiens – les fameux AJR (apports journaliers recommandés) – en vitamine A. Aujourd’hui, il faudrait en manger 21 pour ingurgiter la même quantité de la précieuse vitamine. De même, une pêche des années 1950 équivaut à 26 pêches aujourd’hui.

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Fer : la viande en contient deux fois moins

Au début de la chaîne, il y a la céréale. Blé, maïs et soja sont aujourd’hui plus pauvres en zinc, en cuivre et en fer qu’il y a cinquante ans. Appauvries par des décennies d’agriculture intensive et de sélections variétales, ces céréales réapparaissent dans l’auge de nos bêtes, qui, par répercussion, se trouvent moins bien nourries que leurs ancêtres. En bout de chaîne, l’animal devenu steak apportera moins de micronutriments dans nos assiettes. Tel est l’effet domino identifié par le chercheur américain David Thomas. Dans son étude publiée dans la revue Nutrition et Health, il constate qu’à poids égal un même morceau de viande apporte deux fois moins de fer qu’un demi-siècle auparavant. Or, celui-ci sert à l’élaboration. Autre dommage collatéral : le lait « a perdu ces acides gras essentiels », déplore Philippe Desbrosses. Des acides essentiels à nos membranes cellulaires, notre système nerveux et notre cerveau. Naturellement présents dans l’organisme en très petite quantité, ils doivent nous être apportés par l’alimentation.

Calcium : quatre fois moins dans le brocoli

Mauvaise nouvelle. Si le brocoli figure sur la liste de ces légumes que vous ne consentez à avaler qu’en pensant à votre santé, vous n’avez pas fini de grimacer. Alors que ce chou venu du sud de l’Italie contenait 12,9 mg de calcium – allié de la construction osseuse et de la coagulation du sang – par gramme en 1950, ils n’en renfermait plus que 4,4 en 2003, selon une étude de l’université du Texas, soit quatre fois moins. Si vous comptiez sur lui pour compenser la carence en fer de votre steak, c’est également loupé. Il vous faudrait en mettre six fois plus dans la soupe pour obtenir les mêmes bienfaits que par le passé. Sur les 25 légumes étudiés par l’équipe de recherche canadienne, 80% ont vu leur teneur en calcium et en fer décliner.

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Le bio est-il une solution ?

Les facteurs de ce déclin sont multiples. Des sols plus pauvres, des végétaux cueillis trop tôt, des traitements de conservation plus fréquents, des croissances plus rapides dopées par les engrais et une réduction du nombre de variétés, sélectionnées pour leur résistance aux parasites et leur rapidité de croissance… Autant d’éléments imputables à une quête de meilleurs rendements. Résultat, « pour le maïs, le blé et le soja, plus le rendement est important, plus le contenu en protéines est faible », note Brian Halweil, dans son étude. Même schéma pour les concentrations de vitamine C, d’antioxydants et de bêtacarotène dans la tomate : plus les rendements augmentent, plus la concentration de nutriments diminue.

A contrario, « l’agriculture biologique peut contribuer à inverser la tendance », indique Brian Halweil dans son étude. De fait, à conditions climatiques équivalentes « les aliments bios contiennent significativement plus de vitamine C, de fer, de magnésium et de phosphore que les autres ». Le chercheur met pourtant en garde : « Si les agriculteurs bios développent un système riche en intrants avec des rendements comparables aux exploitations conventionnelles, le bio verra son avantage nutritionnel s’éroder. » De même, si les produits bios sont cueillis avant maturité, ils sont finalement moins riches en nutriments que des produits mûrs de l’agriculture traditionnelle. Seule stratégie pour remettre de la vie dans son assiette : choisir des aliments mûrs, produits de manière non intensive et partir à la chasse aux variétés oubliées. Une épopée.


- Source : Terra-eco

00:05 Publié dans Ecologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : écologie, alimentation, fruits, légumes, vitamines | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

lundi, 17 novembre 2014

États-Unis: de McDo à Coca, le lent déclin des icônes de la malbouffe

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États-Unis: de McDo à Coca, le lent déclin des icônes de la malbouffe

Ex: http://fortune.fdesouche.com

 

 

 

Je ne suis pas certain que la place d’un fast-food soit au sein d’un hôpital“, raconte à l’AFP son ex-directeur, John Bluford, aujourd’hui retraité après avoir dirigé TMC pendant 15 ans.

C’était une décision fondée sur des raisons de santé. On s’est dit qu’on avait besoin de changer les règles du jeu et commencer à créer une culture de la santé“, se remémore-t-il.

Impensables dans les grands pays européens et notamment en France, ces partenariats se sont développés dans les années 90. Un peu moins d’une dizaine d’hôpitaux les ont rompus depuis cinq ans, date de début d’une campagne menée par l’ONG Corporate Accountability International.


Le centre pédiatrique Kosair dans le Kentucky (centre-est), qui avait fait entrer les “Big Mac” et autres Nuggets au chevet des patients dès son ouverture en 1986, a suivi l’exemple de TMC, confie à l’AFP Maggie Roetker, porte-parole de l’hôpital.

Désamour

Les ventes de McDonald’s, fondé en 1955, ont baissé de 3,3% aux Etats-Unis au dernier trimestre. La consommation de sodas est retombée l’an dernier aux niveaux de 1995, selon le centre de données spécialisé Beverage Digest. Les Américains qui buvaient en moyenne 51 gallons (1 gallon = 3,8 litres) de sodas en 1998 n’en buvaient plus que 44 gallons l’an dernier.

Cette baisse est encore plus marquée pour les boissons dites “light”: leurs ventes cumulées ont baissé de 6% aux Etats-Unis dans la foulée d’études controversées sur les effets supposés cancérigènes des édulcorants de synthèse comme l’aspartame.

Sollicités par l’AFP, ni McDonald’s, ni Coca-Cola ni PepsiCo n’ont donné suite.

On commence à voir poindre un désamour pour l’alimentation de masse au profit d’une cuisine faite maison“, analyse auprès de l’AFP le professeur et nutritionniste Keith-Thomas Ayoob de l’Albert Einstein College of Medicine à New York. “En tant que nutritionniste, je n’avais jamais pensé que la salade deviendrait à la mode dans ce pays“.

De plus en plus d’Américains font le lien entre la malbouffe, les sodas et les maladies comme l’obésité ou encore le diabète, assure à l’AFP Sriram Madhusoodanan de Corporate Accountability International. En décembre 2011, la ville californienne de San Francisco a obligé les chaînes de fast-food à augmenter la part de fruits et de boissons moins sucrées dans les menus pour enfants.

Ces efforts commencent à aboutir. Les Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC) ont annoncé fin février une baisse de 43% de l’obésité chez les enfants de 2 à 5 ans depuis 10 ans dans un pays où un fast-food est à tous les coins de rue.

Beaucoup reste à faire, selon l’organisation Trust for America’s Health: deux-tiers (68,5%) des adultes sont en surpoids ou obèses, selon son dernier rapport publié en septembre.

Nouvelles envies

L’industrie a “drastiquement réduit de 40% la part de sucre dans les sodas sur les dix dernières années“, défend auprès de l’AFP Christopher Gindlesperger, porte-parole de l’American Beverage Association, le lobby des producteurs de boissons. “Quand on regarde les données gouvernementales on voit que la part des calories issues des sodas n’est que de 4%“.

Mais le succès de la chaîne de restaurants Chipotle Mexican Grill symbolise les nouvelles envies du consommateur américain.

Créée en 1993, Chipotle affirme que ses “viandes ne sont pas élevées avec des hormones; nos légumes sont bio, cultivés par des producteurs locaux“, vante auprès de l’AFP Chris Arnold, un porte-parole. Ses ventes ont augmenté de 31% à 1,08 milliard au troisième trimestre et il se développe aussi en Europe.

McDonald’s laisse désormais les mains libres à ses franchisés mieux placés, selon lui, pour s’adapter aux goûts de leurs clients.

Mais pour Sriram Madhusoodanan, une réelle volonté de changement passe par “arrêter de cibler les enfants avec les jouets gratuits dans ses ‘Happy Meal’ et sa mascotte Ronald McDonald“. La chaîne Taco Bell a, elle, renoncé en juillet 2013 aux menus pour enfants.

Coca-Cola et PepsiCo multiplient les engagements à réduire davantage le sucre dans leurs boissons et se lancent dans les sodas fait-maison en s’associant aux spécialistes comme Keurig Green Mountain (Coca-Cola) ou SodaStream (PepsiCo) pour parer à la baisse des ventes. Un autre relais de croissance – les boissons énergisantes très prisées par les jeunes- s’offre également à eux.

Ils sont en train de changer. Ils doivent changer“, commente John Bluford.

AFP (via Le Parisien)

lundi, 22 septembre 2014

Mcdonald’s vs. China: A Fight With Global Implications

Author: Caleb Maupin

Ex: http://journal-neo.org

Mcdonald’s vs. China: A Fight With Global Implications

Six Arrests for “Rotten Meat”

The meat served in Mcdonalds various dishes has a widespread reputation for its poor quality. Urban legends, tall tales, and undisputedly true but forgotten news items all highlight the universal understanding of Mcdonalds meat as being particularly unhealthy.

The meat supplier of Mcdonalds, known as OSI, was caught red-handed in the People’s Republic of China. Video recordings show that expired, rotten meat was being intentionally sold. It was investigative journalists from government owned television in Shanghai that brought this story to light. The Chinese public is full of anger, and sales are dropping.

OSI, which also supplies meat for Kentucky Fried Chicken, and other fast food chains, has been subject to a string of surprise inspections from government officials. Six leaders of the OSI corporation, which is based in the US state of Illinois, have been arrested by the Chinese government. Mcdonalds has lost millions of dollars, as they were unable to serve meat products in China for several days.

The Wall Street Journal has bemoaned the action taken against Mcdonalds and OSI saying it is “under unprecedented scrutiny by regulators and state media.” The article goes on to quote the local Chinese Communist Party leader as saying “all companies that break the law will be punished.”

With six business executives in handcuffs, the OSI corporation in the on defensive, desperately trying to avoid harsh punishment. New cameras are being installed, new safety regulations are being created. One statement from an OSI official asks for “a second chance.” Mcdonalds officials have announced that they are going to “transition to other suppliers.”

In the United States, in hundreds, if not thousands, of instances, wealthy corporations have endangered the public. The recent GM ignition switch scandal is just one example.

While in the United States a matter like serving rotten food and risking the health of millions of people would probably result in a small fine, that is not the case in China. In China, Lui Han, a billionaire and owner of huge mining corporation, was sentenced to death in May. In 2007, after the infamous “lead in toys” scandal, the safety inspector who helped cover up the danger to the public was executed.

In the United States, corporations run the government. Candidates require millions of dollars to get elected. Decisions about government policy are made in back rooms with corporate executives. Wars are waged to secure the control of markets for various oil and natural gas cartels.

While modern China may have lots of corruption and injustice, it’s government is far different from the government of the United States. The Chinese Communist Party is not like the Democratic and Republican parties in the US. In the United States, government officials fear the wrath of corporations, who they depend on to get elected. In China, the corporations fear the government.

Politics in Command

Despite the extreme presence of private enterprise, it is clear to everyone that the capitalism that is so prevalent in China today is not like capitalism elsewhere. The capitalists have no “privacy rights”, and at any moment, the government can step in and destroy them. Because Chinese business is so tightly controlled, it is not subject the economic laws that classically define production.

During the 2008-2009 financial crisis, China was almost completely immune. World economic research institutions like those at the Peterson Institution for International Economics were astonished. The world economy was crashing and burning, but in China wages were going up, jobs were being created, entire new cities were being built, and high speed rails were being constructed. The state created jobs to make up for layoffs in the private sector. Financial institutions were grasped firmly by the bureaucracy, and held under close control, in order to ensure their cooperation keeping the economy moving.

In China, it is the millions of politicians and activists in Chinese Communist Party that define economic activity, not the “anarchy of production.” As economists during the Mao error once put it “politics is in command.”

China is at the center of the emerging anti-imperialist bloc of countries. The natural gas pipeline connecting Russia and China, the increased economic presence in Latin America, the Chinese development of African nations, all point toward a new way forward for the global economy.

Mcdonalds, and the global order of Wall Street neo-liberalism that it symbolizes, is under great threat. Six decades after the 1949 revolution, China is still standing up, and there is a huge global bloc of opposition that is standing with it.

Caleb Maupin is a political analyst and activist based in New York. He studied political science at Baldwin-Wallace College and was inspired and involved in the Occupy Wall Street movement, especially for the online magazine “New Eastern Outlook”


First appeared: http://journal-neo.org/2014/09/12/mcdonald-s-vs-china-a-fight-with-global-implications/

dimanche, 16 mars 2014

La ‘McDonaldizzazione’ e l’essenza del capitalismo

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La ‘McDonaldizzazione’ e l’essenza del capitalismo

di Lorenzo Pennacchi

Fonte: L'intellettuale dissidente

Ex: http://www.ariannaeditrice.it/

In questo senso, i macchinari tendono sempre più a sostituire il lavoro umano e, quando questo non è possibile, è l’uomo stesso, “ingabbiato” nella routine, a divenire macchina. Questa metamorfosi incarna l’essenza del capitalismo: il passaggio da essere vivente a produttore, consumatore e merce.

Nata nel 1937 da un chiosco di hot dog, la McDonald’s corporation è diventata la maggiore catena di ristoranti “fast food”. Presente in ogni parte del globo, la sua ascesa planetaria è determinata dall’incredibile forza che questo marchio riesce a conferire all’apparenza, attraverso una pubblicità ingannevole ed onnipresente. Un clown, un logo scintillante, cibo economico, un’atmosfera di bontà e semplicità: così il McDonald’s si presenta agli occhi delle persone. Ma la realtà è ben differente. Nella sua interezza rappresenta il simbolo del sistema odierno: il capitalismo di stampo neoliberista. Un modello fondato sulla produzione di massa, reso possibile dal “libero” mercato globale, alimentato dal consumo sfrenato e finalizzato unicamente al profitto. Questo marchio multinazionale è uno dei massimi artefici della globalizzazione economica che, lentamente e velatamente, continua il suo progetto di distruzione delle differenze naturali e culturali. A farne le spese è la Natura nel suo insieme: deforestazione, massacro animale e sfruttamento umano.

 

macdonald-obesite225x.gif.pagespeed.ce.IyK-HVqmi1.gifEttari ed ettari di foreste pluviali vengono abbattuti ogni anno, privando la Terra dei suoi polmoni, per far posto ad allevamenti di animali destinati al macello e a monocolture di soia riservate all’industria della carne. Le conseguenze per gli animali non umani sono devastanti: alcuni di essi vengono privati del loro habitat, gli altri condannati ad una vita di schiavitù negli allevamenti intensivi. Di certo, gli umani non se la passano meglio. Le tribù indigene, presenti perlopiù in America latina, Africa ed India, pagano a caro prezzo i costi del progresso. Le loro culture, armoniose nei confronti del Pianeta, vengono costantemente distrutte dai marchi multinazionali, interessati solamente ad ingrandire il proprio dominio e ad alimentare il mercato. Nello stesso tempo, a seguito di una politica alimentare insostenibile, mossa unicamente da interessi privati, siamo vittime di un paradossale squilibrio: mentre in differenti parti del Mondo le persone muoiono di fame, in altre obesità e diabete dilagano. Il destino di un bambino asiatico e di un americano, come quello di una foresta e di un pollo, sono in stretta connessione, minata, oggi più che mai, dalle logiche del sistema.

 

1191.jpgIl processo di “americanizzazione”, definito da George Ritzer come propagazione di idee, usanze, modelli sociali, industria e capitale americani nel mondo, vede nella “McDonaldizzazione” il suo esempio più significativo. Sempre per il sociologo statunitense, questa rappresenta un processo profondo e di ampia portata di cambiamento globale, in grado di coinvolgere un gran numero di attori sociali e reso possibile dalla riproducibilità universale dei principi di efficienza, calcolabilità, prevedibilità e controllo. In questo senso, i macchinari tendono sempre più a sostituire il lavoro umano e, quando questo non è possibile, è l’uomo stesso, “ingabbiato” nella routine, a divenire macchina. Questa metamorfosi incarna l’essenza del capitalismo: il passaggio da essere vivente a produttore, consumatore e merce. La disumanizzazione segna, tra le altre cose, la scissione definitiva nei confronti del Pianeta, visto dalle multinazionali solamente come un enorme territorio da depredare e dove accrescere la propria ricchezza. La struttura armoniosa della Terra viene sempre più distrutta dagli interessi criminali di pochi marchi. All’interno di questo scenario, la diversità, valore caratterizzante della Natura, viene soppiantata dalla globalizzazione, ovvero il fenomeno che consiste nel rendere le cose sempre più uguali in ogni parte del mondo. Inoltre, questa omologazione globale, sempre come osserva Ritzer, può essere definita “del nulla”, in quanto è concepita e controllata da organismi centrali, interessati a svuotare i soggetti dei propri caratteri distintivi, così da poter presentare loro i propri prodotti come caratteristici e locali.

Il McDonald’s è riuscito a creare un mondo a sua immagine e somiglianza. Il carattere più inquietante dell’egemonia globale delle multinazionali è rappresentato dal fatto, che esse riescono a diffondere tranquillamente la propria logica perversa, in masse del tutto ignare di ciò che accade intorno a loro. Oggi come oggi, un cittadino medio ignora che dietro a dei loghi apparentemente innocui si nascondono reali crudeltà. Quanti boicottano la Nestlé, promotrice, tra le altre cose, della massiccia deforestazione nel Borneo per la produzione di olio di palma? Quanti rifiutano di indossare delle Nike, in seguito ai numerosi processi per sfruttamento minorile? E quanti ancora vedono nella Monsanto, maggiore produttrice di alimenti geneticamente modificati, un nemico per se stessi e per la Terra? Gli esempi potrebbero continuare all’infinito, ma ciò che (drammaticamente) conta è che, queste persone fuori dal coro, sono decisamente poche. Tuttavia, sono proprio questi casi eccezionali ad impedire il trionfo totale del sistema, resistendo alla società capitalistica. La resistenza assume oggi un carattere trasversale, mai così tanto accentuato in passato. Può essere manifestata nel quotidiano dal contadino, dal commerciante, dal filosofo, dallo scienziato; tutti possono resistere facendo consapevolmente la spesa, scegliendo chi finanziare e cosa comprare.  Ottenuta la consapevolezza dei propri mezzi, a volte, i singoli decidono di unirsi in movimenti per opporsi direttamente alle minacce del proprio tempo e costituire delle alternative. Basteranno questi dissidenti a trasformare la resistenza in rivoluzione?


Tante altre notizie su www.ariannaeditrice.it

mardi, 07 mai 2013

EU wil genmanipulant Monsanto totale macht over ons voedsel geven

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EU wil genmanipulant Monsanto totale macht over ons voedsel geven

Ratten krijgen massaal agressieve kanker van Monsanto's producten, maar de EU heeft deze toch toegelaten.

Als het aan de Europese Unie ligt gaat de Amerikaanse multinational Monsanto bepalen wat wij in de toekomst eten. Diverse onafhankelijke wetenschappelijke onderzoeken hebben de afgelopen jaren uitgewezen dat Monsanto's genetisch gemanipuleerde zaden de gezondheid van zowel mens als dier grote en onherstelbare schade kunnen toebrengen. Niettemin wil de EU de omstreden producten van het concern vrij baan geven. Dat komt niet in de laatste plaats omdat Monsanto lobbyisten een stevige greep op diverse EU commissies hebben gekregen.

Er is veel verzet onder de Europese bevolking tegen de komst van genetische gemanipuleerde zaden, kortweg genzaden genoemd. Zowel vertegenwoordigers van onafhankelijke boeren als milieugroepen proberen te voorkomen dat Brussel binnenkort de complete macht krijgt over alle soorten groenten en fruit. De EU Commissie gaat volgende week een wet voorstellen die het vrijwel onmogelijk maakt om zaden te kopen die niet van de grote concerns afkomstig zijn.

Industrie stelt EU wetten op

Door de extreem complexe en ontransparante EU structuren heeft Brussel het voor gewone burgers doelbewust vrijwel onmogelijk gemaakt om enige invloed uit te oefenen op het besluitvormingsproces. Recent werd duidelijk dat de EU vaak wetten invoert die door lobbyisten van de industriële concerns zijn opgesteld. Amerikaanse internetbedrijven hebben zelfs een speciale stichting die hen toegang tot de EU parlementariërs verzekert.

Ook de zaden- en levensmiddelenconcerns hebben al jaren geleden een stevige greep op Brussel weten te krijgen, zozeer dat niet de politiek, maar de industrie -en met name Monsanto- bepaalt welke wetgeving wordt ingevoerd. Bovendien gebeurt dit op basis van 'wetenschappelijk' onderzoek dat door deze bedrijven zelf is uitgevoerd. De agrochemische lobby -de producenten van zaden en bestrijdingsmiddelen- is hiermee één van de machtigste in de EU. 'Hun handelwijze is deels zeer agressief,' verklaarde Nina Katzemich van de organisatie LobbyControl.

EFSA hand in hand met concerns

Hoe groot de invloed van de machtige biotechbedrijven is blijkt ook uit het feit dat in de zogenaamd onafhankelijke Europese levensmiddeleninstantie EFSA regelmatig personen zitten die rechtstreeks uit de voedselindustriële en agrochemische lobby afkomstig zijn en/of hier jaren een ongezonde relatie mee hebben of hadden:

* Harry Kuiper, EFSA genexpert, bijna 10 jaar nauw samenwerkend met het International Life Science Institute (ILSI) dat gefinancierd wordt door o.a. Coca-Cola, Danone, Kraft, Unilever, Nestlé en McDonald's en dat samenwerkt met Monsanto, Dupont, DowAgroSciences, Syngenta en Bayer;

* Diana Bánáti, bestuursvoorzitter bij zowel de EFSA als het ILSI. Na kritiek van het EU parlement trok ze zich in 2010 uit het ILSI terug, terug om daar in 2012 alsnog naar terug te keren;

* Suzy Renckens, EFSA gentechnologie leider tot 2008, daarna lobbyist namens Syngenta bij dezelfde EFSA;

* Albert Flynn, voorzitter van de voedselcommissie, afkomstig van het Amerikaanse concern Kraft. Hij zorgde ervoor dat omstreden graanproducten van Kraft in de EU werden toegelaten. Andere links tussen de EFSA en de industrie: Jiri Ruprich (Danone), Carlo Agostoni (o.a. Nestlé, Danone, Heinz).

De EU Commissie ging in 2012 zelfs zover door Mella Frewen, voorzitter van de Europese industrielobby FoodDrinkEurope en tevens oud Monsanto medewerker, tot het bestuur van de EFSA te willen benoemen. Na protest van het EU parlement werd haar nominatie ingetrokken.

Twee jaar eerder had de EU Commissie na intensieve lobby van BASF de gen-aardappelsoort 'Amflora' toegelaten. Na een onderzoek van het Corporate Europe Observatory  bleek dat meer dan de helft van de leden van de gentech-raad van het EFSA belangenconflicten hadden met de genetische industrie. De Europese Rekenkamer uitte daar zware kritiek op en het EU parlement eiste vervolgens meer onafhankelijkheid in de EFSA.

Ook andere EU commissies geïnfiltreerd

Andere EU commissies zijn eveneens door de genlobby geïnfiltreerd. Isabelle Clément Nissou zit in de directie van DG SANS (Europese Gezondheid en Verbruikers) en werkt tegelijkertijd voor de GNIS lobbygroep van de genindustrie. Dezelfde GNIS is in Frankrijk belast met de controle van de kwaliteit van het zaaigoed. Nissou heeft op deze wijze al diverse EU wetten negatief beïnvloed.

Eenzelfde dubieuze situatie deed zich voor bij het toestaan van controversiële bestrijdingsmiddelen die voor massale bijensterfte verantwoordelijk worden gehouden.

Onafhankelijk onderzoek ontkend

Ook wat wetenschappelijk onderzoek betreft zit de EU diep in de tas van de industrie, met name van Monsanto. Vorig jaar bleek uit een onafhankelijke Franse wetenschappelijke studie dat Monsanto's genmaïs bij ratten een veel hoger risico op agressieve kanker veroorzaakt. Omdat de EU dit maïs al had toegelaten betitelde Brussel dit Franse onderzoek als 'niet wetenschappelijk' en werd er dus geen actie ondernomen.

Draaideureffect ook in VS

In de VS bestaat hetzelfde 'draaideureffect' tussen politiek en industrie. Voormalig minister van Defensie Donald Rumsfeld was CEO bij voedselconcern Searle en verkocht dit aan Monsanto. Oud Opperrechter bij het Hooggerechtshof Clarence Thomas was advocaat voor Monsanto. Toenmalig minister van Landbouw Anne Veneman had zitting in de toezichtsraad van een Monsanto-dochter. Ex officier van Justitie John Ashcroft was één van de vele politici die grote sommen geld van Monsanto ontving voor zijn herverkiezingscampagne.

Monsanto maakt de dienst uit

De conclusie is duidelijk: Grote multinationals, maar vooral Monsanto, maken wat ons voedsel betreft de dienst uit in Europa. Als het aan de EU en Monsanto ligt gaat dat ook gelden voor de zeer omstreden genzaden. De naar verwachting dramatische gevolgen zijn voor ons en de generaties die na ons komen. En daar kan een andere, even machtige lobby, die van de farmaceutische/medische industrie, weer flink van profiteren.
Winst over rug burgers

De ene industrie maakt ons ziek, en de andere maakt ons weer beter (??). De Europese burger is anno 2013 vervallen tot een product over wiens rug een kleine groep industriëlen zoveel mogelijk winst probeert te maken en daar ruim baan van krijgt van de Brusselse politiek.

Xander

 

(1) Deutsche Wirtschafts Nachrichten

lundi, 06 février 2012

Les conséquences néfastes de la propagation mondiale du mode de consommation américain

Les conséquences néfastes de la propagation mondiale du mode de consommation américain

Knowckers.org accorde une attention toute particulière aux billets postés sur le web à propos des dérapages du modèle américain d’agroalimentaire qui est en train de devenir un problème d’amplitude mondiale. Cécile Chevré qui rédige chaque jour la Quotidienne d’Agora a posté le 12 décembre 2011 un billet très démonstratif sur les dérapages générés par la consommation d’une certaine forme d’industrie agro-alimentaire d’origine anglo-saxonne. Nous reproduisons cet extrait sur le cas d’école des îles Samoa dont la population est touchée de plein par l’importation d’un mode d’alimentation occidental qui nuit gravement à la santé de la population :

« Les îles Samoa, situées dans le Pacifique sud, devraient bientôt rejoindre l’Organisation mondiale du Commerce. Mais savez-vous ce qu’elles ont dû accepter pour voir leur adhésion à l’OMC acceptée ? La fin de ses taxations sur les importations de dinde.

Qu’ont les Samoans contre ces pauvres volatiles ? Eh bien, qu’ils sont trop gras.

Car, voilà, Samoa est confrontée à un véritable problème de santé publique : l’obésité. 55,5% de sa population adulte est obèse. Et encore, Samoa n’est pas la grosse des îles du Pacifique. Le taux d’obésité à Nauru atteint 71% de la population adulte, dans les îles Cook, 64% et 59% dans les îles Tonga. Le Koweït fait figure de petit joueur avec un taux d’obésité de seulement 42,8%.

 

Conclusion, depuis quelques années, la plupart des îles du Pacifique sud ont instauré des taxes sur les produits gras et sucrés : les bonbons, les sodas, les gâteaux, le sucre, le lait aromatisé, les viandes trop grasses, etc. Taxes qui peuvent dépasser les 30%.

L’exemple des îles du Pacifique est révélateur d’une grande tendance générale mondiale : l’accroissement de l’obésité. »

Le plus grave dans cette affaire est la manière dont certaines composantes de l’industrie agroalimentaire française réagissent à ce type de problème. Les industriels du lait qui n’ont pas communiqué pendant des décennies sur les valeurs nutritives de leur produit, suivent désormais les conseils des multinationales américaines pour bâtir des éléments de langage rassurants en termes de nutrition.

A titre d’exemple, l’excès de vitamine A dans le lait américain n’est pas sans poser de problèmes en termes de santé publique. Or ce sont souvent les mêmes multinationales qui se cachent derrière de beaux discours sur la nutrition et l’hygiène pour masquer les travers de leur produits alimentaires de masse et vendus à bas prix.

Knowckers.org

mercredi, 25 janvier 2012

Le “Peak Everything”

Le “Peak Everything” (ou la fin des haricots)

Je vous bassine depuis cinq ans avec le Peak Oil, qui devait entraîner à court ou moyen terme la chute de l’économie mondiale et la fin de la doctrine croissanciste.

Vision post-apocalyptique de New York (cliquer sur l'image pour l'agrandir)

Mais à y regarder de plus près, ce n’est pas la seule pénurie qui nous guette. Conséquence directe de la croissance mondiale infernale, d’autres ressources vont rapidement venir à manquer. Oh, pas forcément en même temps. Mais en l’espace de 2 ou 3 décennies, nombre de ressources indispensables à la conservation de notre niveau de vie vont devenir plus rares, et ne pourront plus être exploitées en quantité suffisante.

Pour ceux qui auraient pris le train en marche, deux notions de base, niveau maternelle moyenne section. On remarquera au passage que 99.9% de nos politiciens, dont certains ont pourtant fait toutes les études que l’on peut faire (Normale Sup, l’ENA, Polytechnique…) n’ont toujours pas compris ces notions.

1) Il n’y a pas de croissance infinie dans un monde fini. (les seuls à penser le contraires sont les fous, les économistes, mais aussi les politiciens et les médias qui leur servent la soupe). En maths, une exponentielle monte jusqu’au ciel. Sur terre, il y a un plafond avant, sur lequel la croissance est déjà en train de se fracasser.

2) (C’est un peu plus dur, mettons niveau CE2). Toute consommation d’une ressource finie passe par un maximum, après lequel elle ne peut que décroître pour finalement tomber à 0. Dans un ancien billet, je prenais l’exemple de quelqu’un qui fait pipi : la capacité de sa vessie étant finie, il pourra s’efforcer tant qu’il peut d’augmenter le débit, à un moment le jet se mettra à décroître avant de s’arrêter inexorablement. Le maximum du débit, c’est ce qu’on appelle le “Pic”. En rosbif “Peak”.
Le pic ne signifie évidemment pas la fin de la production. Simplement, les prix montent, et puisque toute la demande ne peut plus être honorée, toute croissance devient impossible.

Les estimations des pics ne sont certes pas précises à la minute. Et elles varient en fonction des sources. Là encore, la malhonnêteté, la corruption et la propagande jouent un grand rôle. Une grande compagnie pétrolière ne va évidemment pas avouer que son business va décliner et s’arrêter dans quelques années : pour protéger ses actionnaires, elle va surestimer ses réserves et soudoyer des experts véreux pour accréditer ses bobards.

Pour éviter ce piège, je me suis basé sur les travaux d’un groupe indépendant allemand, l’Energy Watch Group.

Le Pic pétrolier (Peak Oil)
J’en ai déjà beaucoup parlé, alors je vais faire bref. Selon les spécialistes indépendants, le pic a déjà été atteint, et nous sommes dans la phase de plateau qui précède la chute. La production mondiale plafonne à 82 millions de barils par jour. On a commencé à taper dans les stocks pour faire descendre un prix qui a repris le chemin inexorable de la hausse. Le pétrole le plus facile à pomper l’a déjà été. En 2030, la production mondiale devrait avoir diminué de moitié…
En ce début d’année, on nous annonce que le record du prix de l’essence a été battu en France. Et ce n’est que le début…

Le pic gazier (Peak Gas)
Le gaz, auquel la pub de GDF-SUEZ accole systématiquement l’adjectif “naturel” pour lui donner une image dans l’air du temps, est, exactement comme le pétrole, une ressource fossile non renouvelable, qui a mis des millions d’années à se former, et que nous allons bouffer en l’espace de 200 ans. La consommation mondiale de gaz a doublé depuis 30 ans, et la courbe reste résolument à la hausse. Les corrompus des pays producteurs (Russie, Qatar…) s’en mettent actuellement plein les fouilles, étalant leur richesse écœurante dans le monde entier.
Le gaz est notamment présenté comme la meilleure solution pour prendre la relève du nucléaire discrédité. C’est ce qui se passe par exemple au Japon, où la quasi-totalité des centrales nucléaire ont fermé depuis FuckUshima, et où le gaz importé a pris la relève.
Aujourd’hui, les estimations de la date du “Peak gas” sont entre 2020 et 2030. Demain, donc.

Le pic de charbon (Peak Coal)
Là c’est la surprise. On croyait en avoir encore pour 100 ou 200 ans, mais selon l’Energy Watch Group, c’est vers 2025 que l’extraction de charbon atteindra son pic, 30% au-dessus de la situation actuelle…

Le pic d’uranium (Peak Uranium)
Bien sûr la cata de FuckUshima a provisoirement calmé les ardeurs atomiques. Mais ne vous y trompez pas : les affaires vont reprendre. Les centrales françaises ont été déclarées “sûres”, malgré la démonstration de Greenpeace qu’un groupe de piétons même pas armé pouvait s’y introduire comme dans un moulin. Il est probable que toutes les autres affirmations (concernant par exemple une chute d’avion ou un tremblement de terre) soient tout aussi pipeautées, et qu’il faudra hélas attendre un accident majeur pour sortir les idéologues incapables et corrompus qui nous gouvernent (et ceux qui vont leur succéder dans quelques mois) de leur aveuglement.
Selon le “Energy Watch Group” le pic d’uranium est prévu vers 2035. Une énergie d’avenir, assurément…

Le Pic métallique (Peak Metal)
Là aussi j’en ai déjà parlé. La “croissance” implique une consommation toujours plus forte de métaux. On croit qu’il s’agit là de ressources infinies. Comme pour le pétrole, on a commencé par extraire ce qui était le plus facile. La teneur en métal du minerai diminue irrémédiablement.
Et pour bon nombre d’entre eux, y compris parmi les plus usuels (cuivre,nickel, zinc, plomb, étain…), le pic est tout proche proche. Vingt ans, trente ans. Demain, quoi. Même si le recyclage permet de réutiliser au lieu d’extraire, il est loin d’être total. Lire à ce sujet le livre très documenté de Philippe Bihouix et Benoît de Guillebon : “Quel futur pour les métaux”.

Le pic électrique (Peak Electricity)
C’est tout simplement la conséquence des pics précédents. L’électricité n’est pas une énergie primaire, et il faut la produire. Or les quatre principaux moyens de production actuels (charbon, gaz, pétrole, uranium) vont commencer à manquer. Même si un jour peut-être on arrivera à produire suffisamment d’électricité avec d’autres sources, cela prendra un temps énorme, et le mal sera fait.
D’autant que certains misent sur l’électricité pour remplacer les autres énergies… Pour les voitures, par exemple. Ce qui là encore ne se fera probablement pas. À court terme, elles ne sont pas au point. À moyen terme, les capacités de production de lithium feront un goulot d’étranglement. Et à long terme il n’y aura plus assez d’électricité…
Autre “détail” : le pétrole sert aussi à fabriquer une foule de choses, comme du plastique et des engrais, que l’électricité ne remplacera jamais.

Le pic du sol (Peak Dirt)
J’observe tous les jours avec effarement l’avancée de l’urbanisme stupide (garages, centres commerciaux) dans l’est de Metz. Et s’il n’y avait qu’à Metz… C’est partout pareil. On nous parle de récession, de chômage, mais de nouvelles surfaces commerciales continuent à s’installer à un rythme démentiel. Sans négliger les lotissements. On estime que tous les 10 ans, c’est l’équivalent de la surface d’un département qui disparaît en France.
Saturés d’engrais, de pesticides, les sols s’appauvrissent. Alors on met plus d’engrais… Sauf que l’engrais est principalement dérivé du pétrole. On ne s’en sortira pas… Alors les pays qui disposent de pognon vont jusqu’à acheter des terres à l’étranger, notamment en Afrique, où l’on crève pourtant déjà de faim.

Le pic de l’eau (Peak Water)
Ah, de l’eau il y en a. Le problème, c’est qu’il va être de plus en plus difficile de trouver de l’eau en général, et de l’eau potable en particulier.
La première conséquence de la “croissance” est d’augmenter les besoins en eau. Une autre est la quantité phénoménale de saloperies disséminées dans l’air et dans l’eau. Engrais, pesticides, médicaments, rejets industriels, métaux lourds…
À titre d’exemple, le seul rejet dans le Rhône de quantités infimes de PCB (substance plus connue sous le nom de “Pyralène”, entrant dans la composition de vieux transformateurs électriques) a suffi pour rendre les poissons qui y vivent impropres à la consommation, et pour une durée indéterminée !
Des phénomènes similaires guettent toutes les sources d’eau. On connaît le phénomène des algues vertes en Bretagne, mais ce qu’on sait moins, c’est que dans de nombreux cas, l’eau du robinet est tellement chargée en nitrates qu’elle n’est plus potable. Et depuis longtemps. Alors les Bretons boivent de l’eau en bouteille. Dont les taux de nitrates augmentent aussi…
Enfin, conséquence du réchauffement climatique, des zones de plus en plus étendues, qui sont déjà parmi les plus déshéritées, vont souffrir de sécheresse. Avec son cortège d’enfants morts et d’émigration forcée.
1.8 milliard de personnes souffriront en 2025 d’une insuffisance d’approvisionnement en eau.

Le pic du maïs (Peak Corn) et le pic du riz (Peak Rice)
Là encore ce sont d’abord des conséquences des pics précédents. Moins de terres cultivables, moins d’eau = moins de céréales, c’est mathématique.
Autre problème, la tendance néfaste à utiliser des denrées alimentaires pour faire du carburant. On préfère gaspiller du maïs ou du blé pour faire de l’éthanol (avec un rendement minable) tout en sachant que des gens vont en crever.
Autre effet pervers, on préfère désormais remplacer les cultures de céréales par du palmier à huile. Cette saleté ne sert pas seulement à créer la “matière grasse végétale”, produit bon marché qui bouche les artères et qui est présent dans la quasi-totalité de la bouffe industrielle, base de l’alimentation occidentale, c’est aussi un “bio-carburant”…

On pourrait faire des centaines de pages sur le sujet. Mais j’ai fait court, ce n’est qu’un billet de blog.

Je suppose que comme moi vous écoutez d’un oreille consternée le simulacre désolant de “campagne électorale” que nous vivons actuellement. Un combat de coqs arrogants et ridicules, aussi ambitieux qu’incompétents. Avec la complicité des médias dominants, ils n’ont pas leur pareil pour mettre en lumière des problèmes ineptes, sans intérêt, ou parfaitement mineurs. Un “sommet social” grotesque, la suppression du quotient familial, le mariage homosexuel, la taxe sur le coca… J’en passe et des bien pires.

Tous les candidats dits “principaux” sont d’accord sur tout, à commencer par deux choses : “La croissance®”, et l’obligation de rembourser une dette indue contractée à taux usuraires, quitte à sacrifier les finances publiques et la vie de leurs électeurs. Des larbins.

Enfermés avec nous dans la cage des financiers, n’envisageant à aucun moment d’en sortir, mais prétendant que, à condition de diminuer de moitié notre consommation de grain et de doubler notre production d’œufs, nous courrons bientôt libres dans les champs.

Elle est où, l’écologie dans cette campagne de merde ? Nulle part ! Disparue ! La finance a tout bouffé. Le peu qui reste sera consacré à l’insécurité, aux promesses à crédibilité nulle sur “l’emploi” ou le “pouvoir d’achat”.

Oh, il y a bien une candidate “écologiste” officielle, Eva Joly. Sauf que tout ce qu’elle pourrait dire est tourné en ridicule. D’ailleurs elle ne dit rien, où alors sur des sujets… euh… hors sujet. Des jours fériés pour d’autres religions… Passionnant… Il semble qu’on tente actuellement de la “ramener à la raison” et abandonner purement et simplement sa candidature, pour ne pas risquer la déroute financière pour le cas de plus en plus probable où elle ne dépasserait pas les 5%…
Les électeurs “zécolos” seraient alors priés de voter Mimolette dès le premier tour, et de valider, outre la soumission absolue aux banksters, la poursuite dans la voie sans issue de la “croissance”, le tout-nucléaire, sans oublier d’avaler la pilule de l’Ayraultport, symbole de la bêtise et de l’incompréhension de l’avenir du monde.

Il y a aussi Mélenchon. Sauf que ses convictions écologiques sont à géométrie variable. Et je ne parle même pas du nucléaire… Il est bien entouré, mais qui écoute-t-il ?
L’écologie, il en parle en meetings, ou en petit comité. Par contre, dans les grands médias, l’écologie disparaît. Pas un mot tout au long des deux heures de son émission sur France 2. Ce n’est pas un sujet porteur. Mélenchon, son truc, c’est le social. On dirait un peu un mélange de Mitterrand et de Marchais en 1980. Changer la vie, prendre aux riches pour donner aux pauvres, aux patrons pour donner aux ouvriers… On a vu le résultat. Des décennies de protestation dans le vide ont fait le lit du libéralisme et assuré son triomphe absolu.
Mais expliquer que le “pouvoir d’achat” a lui aussi atteint son pic, et qu’il vaudrait mieux s’adapter au monde qui vient en reprenant une vie plus sobre, c’est un coup à perdre des élections…

Pas plus tard que l’an dernier, Sarkozy, ce dangereux guignol, avait bien résumé la situation : l’environnement, ça commence à bien faire 

Pourtant, le tableau est apocalyptique : il est désormais certain que les problèmes dus au tarissement de l’approvisionnement en pétrole se feront sentir bien avant la fin de cette décennie. Que de nouvelles guerres sont à prévoir pour se disputer les dernières gouttes. Que des tentatives désespérées pour pallier ce manque en tirant davantage sur le gaz ou le charbon auront pour résultat une nouvelle pénurie moins de 10 ans plus tard.
En même temps que la terre ne pourra plus nourrir les 8 milliards d’humains, dont un quart manquera d’eau. Le manque de métaux sera alors une cerise sur le gâteau de la catastrophe intégrale.

Il est hélas certain que d’ici là, l’économie, entièrement bâtie sur la possibilité de disposer d’énergie abondante et bon marché, et déjà mise à genoux par le racket de la finance, sera totalement par terre.

Qui s’en préoccupe ? Personne ! Pourtant, des politiciens surdiplômés, entourés d’une armée de conseillers, n’auraient aucun mal à être mieux informés qu’un petit blogueur armé de sa seule jugeotte et de sa curiosité à farfouiller sur Internet…

Nos (ir)responsables nous bassinent avec leur propagande libérale, réclament des “baisses de charges”, la suppression du code du travail… Ne parlent que de concurrence et de productivité. Nous poussent à con-sommer. Toujours plus. N’importe quoi. Continuent à implorer un chimérique “dieu croissance”.

Des fous, des aveugles, des drogués.

SuperNo

mercredi, 19 octobre 2011

»Monsanto« vergiftete die Bevölkerung heimlich mit seinem Unkrautvernichter »Roundup«

»Monsanto« vergiftete die Bevölkerung heimlich mit seinem Unkrautvernichter »Roundup«

Jeffrey M. Smith

 

Dr. Andreas Carrasco saß in seinem von innen verschlossenen Fahrzeug und musste eingeschüchtert miterleben, wie eine johlende Menge zwei Stunden lang auf seinen Wagen einschlug und ihn beschimpfte. Seine Freunde, die es nicht mehr bis in das Fahrzeug geschafft hatten, hatten nicht so viel Glück. Einer von ihnen war am Ende wie gelähmt, ein anderer ohnmächtig. Die wütende Menge von etwa 100 Menschen war wahrscheinlich von einem örtlichen Reisbauern aufgehetzt worden, der über das, was Dr. Carrasco an diesem Tag vorhatte, verärgert war. Was hatte Carrasco denn so Schlimmes verbrochen? Er wollte die Menschen darüber aufklären, dass das Herbizid Roundup des BioTech-Konzerns Monsanto Schädigungen bei ungeborenen Tieren und wahrscheinlich auch Menschen hervorruft.

 

Carrasco gehört zu den führenden Embryologen der Medizinischen Hochschule der Universität der argentinischen Hauptstadt Buenos Aires und ist Mitglied des Nationalen Forschungsrates seines Landes. Er hatte von den erschreckenden Berichten über Bauern gehört, die in der Nähe der landwirtschaftlichen Großflächen leben, auf denen Glyphosat-tolerante Sojabohnen angepflanzt werden [Glyphosat ist der zentrale Wirkstoff des Breitbandherbizids Roundup.]. Diese Pflanzen wurden gentechnisch so verändert, dass sie auch die zumeist hohen Dosierungen des berüchtigten Monsato-Unkrautvernichters überstehen. Die bereits nach kurzer Zeit auftretenden Folgen der Versprühaktionen waren nicht zu übersehen: Hautausschläge, Kopfschmerzen, Appetitlosigkeit und sogar ein Todesfall. Der erst elfjährige Paraguayer Silvino Talavera, der im Jahr 2003 mit seinem Fahrrad in eine Sprühwolke des Herbizids geraten war, starb an den Folgen dieser Vergiftung. Aber Carrasco registrierte auch einen Anstieg der vorgeburtlichen Schädigungen, der Krebserkrankungen und anderer gesundheitlicher Störungen, die nun die Bauern und ihre Familien heimsuchten, die mit Roundup in Kontakt gekommen waren. Er beschloss daher, dieser Angelegenheit im Rahmen einer wissenschaftlichen Studie nachzugehen.

Mehr: http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/enthuellungen/jeffrey-m-smith/-monsanto-vergiftete-die-bevoelkerung-heimlich-mit-seinem-unkrautvernichter-roundup-.html

 

00:10 Publié dans Actualité, Ecologie | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : actualité, écologie, monsanto, alimentation | |  del.icio.us | | Digg! Digg |  Facebook

mardi, 11 octobre 2011

Manger local : S’approvisionner et produire ensemble

Manger local : S’approvisionner et produire ensemble

Ex: http://fortune.fdesouche.com/

Notre système alimentaire présente une grave faiblesse, trop souvent ignorée : la France, comme la plupart des nations du monde, a perdu sa souveraineté alimentaire. A partir des années 1950, la logique de l’agriculture intensive a conduit chaque zone géographique à se spécialiser dans quelques cultures et à importer le reste d’autres pays, parfois lointains.

"Vendeuse de marché aux fruits, légumes et volailles" - Joachim Beuckelaer, 1567

Aujourd’hui où se dessine l’ère de l’après-pétrole, il apparaît donc nécessaire de retrouver la maîtrise de notre alimentation, en privilégiant les “circuits courts” et les producteurs locaux, ou en produisant soi-même légumes, fruits ou œufs.

Il suffit que les transports soient interrompus quelques jours pour que les pays, au nord comme au sud, se retrouvent en situation de pénurie.

Cette relocalisation permet de savoir comment sont produits et transformés les aliments, mais aussi de renouer un dialogue avec les agriculteurs et de leur garantir un revenu à la hauteur de leur travail et de leur rôle nourricier. Il y a au moins trois bonnes raisons de manger local.

D’abord, parce que notre approvisionnement dépend pour une trop large part d’importations en provenance de pays parfois lointains, ce qui le rend fragile. On a calculé que, si les transports étaient interrompus, une ville comme Paris, par exemple, n’avait que trois ou quatre jours d’autonomie alimentaire.

Ensuite, parce que ces importations sont coûteuses en pétrole, une énergie qui va devenir rare et chère, et en pollutions. Enfin, parce que renouer un lien avec les producteurs locaux permet de savoir comment est produit ce que l’on mange.

Cependant, comment faire pour manger local ? Retrouver la maîtrise de son alimentation oblige à réapprendre des gestes souvent oubliés (jardiner, préparer des conserves…) et à redécouvrir la coopération et l’entraide qui conditionnent le plus souvent la réussite. Pour aider à cette grande “requalification,” les auteurs de Manger local proposent vingt-six initiatives qui reposent sur des expériences vécues, réussies et facilement reproductibles, ordonnées de manière à amener le lecteur des actions les plus simples à mettre en œuvre (créer un marché de producteurs, un réseau de paniers, approvisionner une cantine en produits bio et locaux ou démarrer son potager) aux plus “engagées” (se réunir autour d’un jardin partagé, créer un éco-hameau, mettre les initiatives locales en réseau…).

Chaque initiative est exposée de manière pragmatique, avec ses succès et ses accidents de parcours. Une liste de conseils pratiques suit chacun de ces récits et donne une idée juste du travail à accomplir et de la marche à suivre pour adapter les différentes idées maîtresses à son propre territoire (quartier, village, ville, vallée…). Cette liste est accompagnée d’un annuaire très fourni qui permet au lecteur de poursuivre sa réflexion pour s’engager localement.

« Manger local : s’approvisionner et produire ensemble » de Lionel Astruc et Cécile Cros Tamzin Pinkerton et Rob Hopkins, initiateurs du mouvement locavore (manger local) signent la préface de ce livre.

Extrait : « La convergence du pic pétrolier, des changements climatiques et de la contraction de l’économie implique que le travail qui consiste à redonner vie à la production alimentaire locale à travers le monde s’effectue avec un sentiment d’urgence nouveau. La sensibilisation à ces questions et la détermination à en atténuer les conséquences ne cessent de croître. Partout dans le monde, les listes d’attente pour obtenir une parcelle à jardiner s’allongent, les ventes de graines de plantes comestibles augmentent et les consommateurs recherchent activement des produits locaux.

Les projets décrits dans ce livre traitent de la transformation des pelouses, des terrains de jeux et des champs en lieux de créativité et de pédagogie autour des aliments. C’est le bon côté des défis auxquels nous sommes confrontés – et ce n’est que le début. En rendant hommage au travail extraordinaire qui a été réalisé jusqu’ici par le mouvement international en faveur d’une alimentation locale, nous devons également reconnaître la nécessité d’aller encore plus loin dans cette voie. »

- Les auteurs :

Après des études de sciences politiques, Lionel Astruc est devenu journaliste spécialisé dans l’environnement. Ses enquêtes le conduisent à visiter des projets écologiques pionniers. Ses reportages paraissent dans la presse et ont fait l’objet de nombreux livres, parmi lesquels Voyage en Terre durable (Glénat), Échappées vertes (Terre Vivante), Aux sources de l’alimentation durable (Glénat)… Cécile Cros, titulaire d’un master en gestion de l’environnement de l’université de Plymouth, en Grande-Bretagne, est chargée des relations extérieures et rédactrice à la Fondation Goodplanet.

- Références :

Manger local : s’approvisionner et produire ensemble de Lionel Astruc et Cécile Cros – Coédition Actes Sud/Colibris – Collection : Domaine du possible – Date de parution : 5 octobre 2011 – 220 pages – ISBN 978-2-7427-9893-3 – Prix indicatif : 19,00€

CDurable

mardi, 04 octobre 2011

Dans le monde, l’obésité tue plus que la faim

Dans le monde, l’obésité tue plus que la faim

Ex: http://fortune.fdesouche.com/

D’après le rapport annuel de la Fédération internationale de la Croix-Rouge, il y a plus de personnes obèses dans le monde que de personnes souffrant de malnutrition. Une constatation qui soulève la question de l’accessibilité aux denrées alimentaires d’une part, et celle du déséquilibre alimentaire d’autre part.

Le monde compte désormais plus d’obèses que de personnes souffrant de malnutrition mais le poids des privations augmente dans un contexte de crise alimentaire croissante, a mis en garde la Fédération internationale de la Croix-Rouge dans un rapport publié jeudi à New Delhi.

L’organisme humanitaire basé à Genève a centré son rapport annuel sur les catastrophes dans le monde sur les problèmes de nutrition en soulignant la disparité entre riches et pauvres ainsi que la récente envolée des prix. Selon les statistiques de la Croix-Rouge, 1,5 milliard de personnes souffraient d’obésité dans le monde en 2010 tandis que 925 millions d’autres souffraient de malnutrition.

« Si la libre interaction du marché a abouti à une situation où 15 % de l’humanité a faim tandis que 20 % est en surpoids, il y a quelque chose qui n’a pas marché quelque part », a résumé le secrétaire général Bekele Geleta, cité dans un communiqué.

 

Le directeur de la Croix-Rouge pour la région Asie-Pacifique, Jagan Chapagain, a qualifié ces statistiques « de scandale à double tranchant », lors d’une conférence de presse dans la capitale indienne. Il a souligné que « les excès de l’alimentation tuent aujourd’hui plus que la faim ».

En 2011, les prix des denrées alimentaires ont flambé

Selon lui, le problème de la faim n’est pas dû à une pénurie de nourriture dans le monde mais à une mauvaise distribution, au gâchis et à une hausse des prix qui rend les denrées alimentaires moins accessibles. Les prix des denrées alimentaires ont flambé en 2011 à l’échelle mondiale, faisant craindre une crise alimentaire similaire à celle de 2008 qui avait provoqué des émeutes et une instabilité politique dans de nombreux pays.

La hausse des prix alimentaires, que la Croix-Rouge attribue entre autres facteurs à la spéculation sur le marché des matières premières et au changement climatique, a été perçue comme l’un des éléments déclencheurs des mouvements de protestation populaire au Mahgreb et au Moyen-Orient cette année.

« Un nouveau cycle d’inflation [...] plonge un grand nombre de personnes parmi les plus pauvres au monde dans une plus grande pauvreté et dans des situations de grave malnutrition », a dénoncé l’organisation.

Futura Sciences

samedi, 01 octobre 2011

UN sollen anerkennen, dass »Junk Food« jährlich 36 Millionen Menschen tötet

UN sollen anerkennen, dass »Junk Food« jährlich 36 Millionen Menschen tötet

Sherry Baker

 

In diesem September findet in New York der UN-Gipfel zu nichtübertragbaren Krankheiten (NCD) statt. Mehr als 140 internationale Nichtregierungsorganisationen (NGO) und Gesundheitsorganisationen wollen das Treffen dazu nutzen, die UN mit einem wichtigen Problem zu konfrontieren. Sie wollen erreichen, dass die Vereinten Nationen einen klaren Standpunkt im Umgang mit der so genannten »Junk-Food«-Industrie (die als minderwertig und ungesund angesehene Lebensmittel produziert) und der Getränke-Industrie beziehen. Vertreter der Gruppen hatten zuvor bereits in der Internet-Vorabausgabe Online First der renommierten medizinischen Fachzeitschrift The Lancet ihre Kritik deutlich gemacht und gefordert, es sei nun an der Zeit, dass die Vereinten Nationen endlich klarstellten, dass viele Produkte und Vermarktungsstrategien für Produkte wie Erfrischungsgetränke, Zigaretten, Alkohol und minderwertige Lebensmittelerzeugnisse das Aufkommen und die Verbreitung von nichtübertragbaren Krankheiten fördern, an deren Folgen alljährlich 36 Millionen Menschen sterben.

 

»Hier zeichnen sich deutliche Konflikte für die Unternehmen ab, die von den Verkäufen von alkoholischen Getränken, Nahrungsmitteln mit einem hohen Salz-, Fett- und Zuckeranteil sowie Tabakprodukten profitieren – alle diese Produkte zählen zu vorrangigen Ursachen nichtübertragbarer Krankheiten«, erklärte einer der führenden Vertreter der NGO in einem Schreiben an Lancet.

Mehr: http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/enthuellungen/sherry-baker/mehr-als-14-organisationen-fordern-von-den-vereinten-nationen-offiziell-anzuerkennen-dass-die-ju.html

vendredi, 15 avril 2011

Mange ta mort!

 

fast-food_malbouffe.jpg

MANGE TA MORT !

 

Ex: http://tpalsace.wordpress.com/

« Rien n’est poison, tout est poison, seule la dose fait le poison »

Manger c’est mourir un peu.  Cela n’a jamais été aussi vrai au regard des nombreuses études et reportages qui ont été faits ces derniers mois et qui sont particulièrement difficiles à digérer.

Nos plats préparés industriellement, nos jolis emballages ou nos poêles qui n’attachent jamais cachent bien souvent des ennemis invisibles et nocifs : les polluants chimiques.

Le message répété à longueur d’année par les medias «  mangez cinq fruits et légumes par jour » est-il vraiment profitable pour notre santé ? Bien que censés être bon pour notre corps, les fruits et les légumes sont, pour beaucoup, gorgés de résidus de pesticides identifiés.

Ainsi, bon nombre de produits d’importation tels que la pomme du Brésil, le haricot vert du Kenya, la tomate d’Italie, la pêche d’Espagne, le citron d’Argentine, le riz basmati d’Asie contiennent des pesticides interdits en France mais qui finissent pourtant sur nos étals pour insuffisance de contrôle par les services de l’Etat.

La demande faisant l’offre, on trouve normal aujourd’hui de manger, dans l’indifférence du cycle des quatre saisons, des fraises d’Espagne, sans goût, dès le mois de mars, des pommes bien luisantes et parfaitement calibrées toute l’année alors qu’il nous serait facile de privilégier plutôt les produits de proximité et de saison vendus par nos maraîchers locaux.

Les pesticides sont utilisés par l’agriculture mondiale pour éliminer les insectes ravageurs, les mauvaises herbes et les champignons ; on en retrouve des traces dans 59 % des fruits et 30% des légumes sur les étals (selon une étude de 2008 sur un échantillon de plus de 3000 produits.)

Quand l’agriculteur sulfate son champ doté d’un joli masque à gaz, les contaminants issus des procédés industriels se retrouvent dans l’air, polluant l’atmosphère, l’eau, les sols, l’herbe que broutent les vaches, tuant la faune locale, sans parler des insectes pollinisateurs que l’on décime  au profit du consumérisme planétaire mais qui sont pourtant un élément indispensable à l’équilibre vital de la planète. Mais que diable vaut la vie de quelques abeilles pour les industriels se remplissant les poches dans leur confort citadin ?

D’autres polluants (mercure, plomb, arsenic, dioxine, PCB) atterrissent également dans nos assiettes au travers de notre consommation de beurre, lait (même bio), viandes, poissons et crustacés.

Ce sont d’ailleurs les poissons dits gras tels que le thon, le saumon  ou l’espadon qui fixent dans leurs graisses les métaux lourds (arsenic, mercure et cadmium) et les pesticides les plus persistants comme le DDT. C’est le Capitaine Igloo qui commence à tirer la gueule : avec le thon, le saumon et l’espadon fais gaffe à ton colon !

Rajoutons à notre liste (non exhaustive malheureusement) les composants des emballages plastique qui migrent dans la nourriture, en particulier sous l’effet de la chaleur avec le micro-ondes.

Eh oui, le micro-ondes, arme redoutable de la ménagère moderne, est un véritable déversoir de poisons tels que le bisphénol A contenu dans les plastiques alimentaires (plats cuisinés, revêtement interne de certaines boîtes de conserves et canettes, bouilloires et récipients plastiques, films alimentaires…) Bref, le micro-onde est un appareil tout juste bon pour un resto chinois et ses 115 menus à la carte.

Pour les matériaux de cuisson, c’est le PFOA( acideperfluorooctanoïque) qui est mis en cause. Il est  souvent utilisé dans la fabrication de nombreux produits comme les poêles antiadhésives sous la marque Téflon, les textiles imperméables à l’eau mais perméable à l’air, les boîtes à pizza etc.

Le Cancer d’Or revient aux industriels peu scrupuleux, les tricatels de la merde en boîte, rois des additifs, conservateurs, colorants et arômes en vue de donner une couleur, un goût, une texture aux produits artificiels. En principe, la présence de substances à l’état de traces dans notre corps n’est pas dangereuse : un poison à dose infinitésimale n’altère pas notre santé, mais une centaine par jour devient néfaste.

Ainsi, si l’on considère la consommation quotidienne d’un jeune enfant ou même de certains adultes adeptes des allégations fantaisiste et alléchantes des industriels, la nourriture industrielle ingurgitée chaque jour est un véritable cocktail d’additifs qui condamne inéluctablement à un futur cancer, des troubles hormonaux ou neurologiques, une hyperactivité, un diabète, une obésité, des problème de fertilité…La liste ne cesse de s’agrandir.

OUI l’industrie chimique et alimentaire est responsable en très grande partie des maladies chroniques (non infectieuses) qui représentent, selon l’Organisation Mondiale de la Santé 86 % des décès et 77% des pathologies en Europe.

Barns

Voici de très bons reportages à voir et disponibles sur le net : « Le Monde selon Monsanto », « Notre Poison Quotidien », « Alerte dans nos Assiettes », « Super Size Me », »Homo Toxicus », « L’Emballage qui Tue » etc…

dimanche, 27 mars 2011

Krebszahlen steigen weltweit...

Krebszahlen steigen weltweit, da in den Entwicklungsländer immer mehr amerikanische Nahrungsmittel gegessen und US-Produkte genutzt werden

David Gutierrez

Die Zahl der Krebskranken steigt weltweit an, besonders aber in den Industrienationen, heißt es in einem Bericht, der von der Amerikanischen Krebsgesellschaft (ACS) anlässlich des Weltkrebstages in der Fachzeitschrift der Gesellschaft – CA: A Cancer Journal for Clinicians – veröffentlicht wurde. In dem Bericht heißt es weiter, 2008 wurden schätzungsweise 12,6 Millionen neue Krebsfälle diagnostiziert und 7,6 Millionen Menschen starben an Krebs. Die überwältigende Mehrzahl dieser Fälle – 7,1 Millionen Erkrankungen und 4,8 Million Todesfälle – trat in den Industrienationen auf. Die Verbreitung einer sogenannten »Wohlstandskrankheit« wie Krebs auf die ärmeren Länder kann unter anderem darauf zurückgeführt werden, dass in diesen Regionen in zunehmendem Maße ungesunde Lebensweisen wie zum Beispiel Rauchen, Sesshaftigkeit und eine schlechte Ernährungsweise übernommen werden.

 

 

Die Forscher weisen darauf hin, dass ein Drittel der Krebstoten 2008 durch einfache Maßnahmen wie etwa Aufhören zu rauchen, weniger trinken von Alkohol, eine gesündere Ernährungsweise und mehr körperliche Bewegung sowie eine Reduzierung des Infektionsrisikos hätte verhindert werden können. Mehr als 7.300 Menschenleben könnten so täglich gerettet werden.

Mehr: http://info.kopp-verlag.de/medizin-und-gesundheit/gesundes-leben/david-gutierrez/krebszahlen-steigen-weltweit-da-in-den-entwicklungslaender-immer-mehr-amerikanische-nahrungsmittel-.html