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vendredi, 29 mars 2013

Sociologie du métissage

Sociologie du métissage

par André Waroch

Ex: http://fierteseuropeennes.hautetfort.com/

 

Que celles et ceux qui, comme nous, aiment la plume d’André Waroch ; et nous ont fait savoir qu’ils avaient apprécié de retrouver (ou de découvrir) son "De l’autre côté du péage" sur Fiertés Européennes… que ceux-là (donc) se réjouissent, puisque voici l’homme "de retour en nos murs" ; et ce via un texte totalement inédit à ce jour… dont il nous a fort gentiment fait l’honneur de la primauté !

  

mét2376001415_1.jpgPour atténuer la catastrophe que représente pour les autochtones l’arrivée sur leur sol de dix millions d’immigrés venus du monde musulman et d’Afrique noire, et dont le mode de vie repose sur l’anarchie et la violence, le pouvoir a trouvé ce slogan, véritable formule magique de prévaricateurs : mélangez-vous ! Dit-on aux Français, comme un joueur de bonneteau fait la claque.

Car il ne s’agit plus seulement, comme il y a soixante ans, de coucher avec l’envahisseur, mais aussi de lui faire des enfants.

           

Pourtant, et contrairement à ce que nos élites, qui ont juré notre perte, veulent nous faire croire, l’avenir n’est écrit nulle part. Ce qui est arrivé depuis la fin des années soixante-dix ne relève pas de la fatalité, mais de décisions politiques. D’autres décisions peuvent être prises. Et d’autres phénomènes que ceux prévus en haut lieu peuvent surgir des sables mouvants de la néo-France.

 

Je me souviens de ma première histoire d’amour, à une époque où je n’étais rien d’autre qu’un adolescent stupide et perturbé, et où je traînais mon incapacité à vivre et à parler dans les couloirs sordides d’un lycée des Yvelines. Alors que ma bizarrerie d’esprit avait déjà signifié la nécessité, pour mes camarades, de l’établissement d’un cordon sanitaire autour de ma personne, il arriva un évènement extraordinaire : Mouni, une métisse qui était, selon moi et tous mes collègues masculins, la plus jolie fille de l’école, jeta son dévolu sur le paria. Personne ne sut jamais ce qui avait bien pu lui passer par la tête. Peut-être m’aimait-elle sincèrement. Je m’aperçus bien vite de son sourire extrêmement appuyé quand elle me voyait arriver le matin. Je lui parlai pour la première fois dans la cour. Je ne savais pas trop quoi dire et me sentais un peu gauche, mais cela ne semblait nullement la déranger. Nous nous embrassâmes, un soir, dans un train de banlieue. Par la suite, nos contacts physiques les plus rapprochés se produisirent chez elle, où elle m’amenait en l’absence de ses parents, et plus précisément sur le canapé du salon. C’était une fille bien, d’une gentillesse extraordinaire, qui cherchait l’amour comme toutes les filles. Ses parents rentraient tard le soir, alors souvent je restais chez elle plusieurs heures après les cours, et nous discutions pendant qu’elle faisait la vaisselle. Elle me parlait de ses parents, de ses copines, de ses études à venir. Elle m’expliqua ses origines, mélange d’Europe, d’Asie et d’Afrique, comme on en trouve à profusion sur ces îles du sud de l’Océan indien. Tout ce que je voyais, c’était sa peau mate recouvrant ses formes sculpturales, et sa poitrine orgueilleuse, quintessence de tout ce que peut désirer un garçon de seize ans, et qui était comme la touche finale à un tableau qui ne pouvait être que l’œuvre de Dieu. J’observais à la dérobée la juvénile magnificence de son cou, ses hanches de vahiné malgache dont le contour était comme dessiné à l’encre de Chine, l’innocente splendeur de ses yeux en amande. Sa beauté était brute, sans mémoire. Je lui faisais l’amour  comme l’on s’immerge, en certaines contrées, dans l’une de ces rivières sacrées et salvatrices. 

 

Si je me laisse aller à ces quelques confidences, témoignage d’un passé révolu, ce n’est pas par gout de l’exhibitionnisme, mais pour illustrer par l’exemple, par le souvenir d’une expérience concrète et charnelle, ce qui est devenu le maître-mot de notre époque puante.

 

Les raisons de l’inclination des Noirs de France à l’union mixte sont très différentes selon que nous parlons des femmes ou des hommes. Les motivations de ces derniers consistent d’abord et avant tout en une attirance physique et esthétique. Les unions qui en résultent sont très éphémères (l’enfant étant, dans les faits, élevé par sa seule mère blanche). L’homme noir est fondamentalement polygame : officiellement dans le cas des Sahéliens musulmans, officieusement dans le cas des Noirs christianisés qui sautent de maîtresse en maîtresse (vagabondage sexuel qui est la véritable raison – cachée bien évidemment par le politiquement correct  des ravages du sida en Afrique).

Les femmes noires recherchent dans l’union avec un Blanc ce qu’elles ne trouvent pas chez les hommes noirs : la fidélité, la vision d’un avenir à deux, l’engagement, la responsabilité, notamment vis-vis des enfants.

Chez les Blancs, les motivations sont elles aussi très différentes selon le sexe. Pour les femmes, il s’agit très souvent du résultat d’une l’influence idéologique à laquelle elles sont particulièrement perméables. On se met avec un Noir « pour faire bien » puisque c’est le schéma par excellence du métissage, tel qu’il est officialisé et promu par les élites.

Pour les hommes, à l’inverse, le but de l’opération  est d’échanger une Blanche hystérique, lesbienne et féministe (pléonasme), contre une Noire venue d’un autre continent, c’est-à-dire non encore transformée par l’idéologie qui s’est imposée en Europe depuis la fin des années soixante.

           

Après trente ans d’immigration massive, les effets secondaires de ce métissage, comme celui de la consommation de haschich, deviennent clairement visibles pour un esprit un peu observateur.

D’abord, faisons le constat du caractère industriel de ce phénomène, c’est-à-dire du nombre extrêmement élevé d’individus nés d’un mariage mixte au cours des trente dernières années. Attention : les couples Français/Arabe, relativement fréquents jusqu’au début des années quatre-vingt-dix, et qui  faisaient dire à Emmanuel Todd véritable escroc intellectuel du Système grimé en « sociologue iconoclaste » que nous nous dirigions vers des lendemains qui chantent, ont pour ainsi dire disparu. Mais si on veut bien considérer la race comme une notion scientifique, ces mariages unissaient en fait des Blancs à des Blancs, et ne relevaient donc en aucune façon du métissage proprement dit.

La communauté musulmane ayant dressé entre elle et le reste du monde, comme elle le fait depuis toujours et sous toutes les latitudes, une muraille de fanatisme, de bêtise volontaire et de haine après cette très courte parenthèse durant laquelle quelques femmes autochtones perdues acceptèrent que leurs enfants prennent le nom de Mouloud ou Mohammed le vrai métissage, c’est-à-dire l’union des Blancs et des Noirs, est apparu comme le seul métissage finalement effectif.

Les métis nés dans les années quatre-vingt correspondent, dans leur immense majorité, au schéma de la propagande d’Etat : leur père est noir et leur mère blanche. L’amour entre deux êtres serait-il soumis, lui aussi, au matraquage idéologique ? La réponse est oui. Notons d’ailleurs que la généralisation médiatique de ce schéma « mâle noir/femelle blanche » représente, dans le pays d’origine de ces populations d’importation (et plus largement dans la conscience archaïque de l’humanité)  l’image même de la soumission d’un peuple à un autre.

Les métis nés de père noir se considèrent, fondamentalement, comme des Noirs. Car le père, tout aussi fondamentalement, même s’il est alcoolique ou dément, même s’il bat sa femme, même s’il abandonne sa famille, reste le référent culturel absolu de l’enfant. La mère représente les souvenirs, l’intime, le plaisir. Le père représente le modèle à suivre : modèle comportemental, identitaire, politique et racial.

 

Il est tout à fait passionnant, à ce titre, de constater que, depuis dix ou quinze ans, le schéma de base du métissage s’inverse. Dans la majorité des couples mixtes durables qui s’imposent depuis cette période, c’est maintenant le père qui est blanc. De métis identitaires noirs, voire anti-blancs, et parfaitement intégrés à la « culture banlieue », nous sommes en train de passer à l’émergence d’une nouvelle jeunesse métisse culturellement et sociologiquement blanche, beaucoup plus intelligente, et dont beaucoup de ses membres, refusant d’exécuter les figures imposées de la propagande d’Etat, sont déjà en train de basculer hors de la bien-pensance.

 

Malgré cette note d’optimisme, faire une analyse globale de la situation ne peut conduire qu’à constater que le ressort profond de ce métissage de masse, c’est que l’Européen porte en lui le rêve de sa propre disparition. Il ne supporte plus l’idée de ce qu’il fut, de ce qu’il pourrait encore être, et de ce qu’il ne veut redevenir à aucun prix. Il ne supporte plus la vision de ces châteaux, de ces vieux grimoires, de ces églises gothiques ou romanes, qui témoignent de sa grandeur passée, terrible, sanglante.

C’est qu’il en a tué, des gens, l’Européen ! Au nom de Dieu, en général. Byzance fut mise à sac, les Noirs emmenés en esclavage, les Indiens d’Amérique exterminés. Et l’étendard cruciforme fut enfoncé dans le cœur de l’infidèle, sans le moindre regret, sans le moindre remords.

L’histoire de l’Afrique, avant l’arrivée des Blancs, pourrait sans doute se résumer, si elle était mieux connue, à une litanie de haines inexpiables, de massacres et de génocides. Mais, faute d’écriture, la mémoire collective n’est qu’un amas confus de mythes, un océan trouble de rumeurs, traversé de part en part par des navires de mort dont le sillage s’efface. S’évanouit le souvenir de l’esclavagisme, des orgies cannibales, des peuples entiers passés au fil de l’épée, comme si rien de tout cela n’avait jamais existé. Alors, innocent de tout, l’Africain peut, jour après jour, tout recommencer.

Mais l’Européen, lui, inscrit, note, enregistre ! Il indique où, comment, et combien. Il construit d’immenses monuments en pierre qui ne veulent pas mourir. Il érige des statues, inaugure de savantes académies et de grandes écoles ou l’on enseigne des siècles passés le feu et le sang. Au bout du compte, après avoir fait de son continent un immense mausolée, il n’en peut plus de traîner derrière tant de cadavériques réminiscences. Il y a de cela deux ou trois siècles, la seule solution lui sembla alors la fuite éperdue, à la recherche d’une terre encore vierge quelque part au-delà de l’horizon, au-delà des murs que la nature avait édifié pour lui barrer la route. Ainsi, après avoir défriché ses forêts, aplani ses montagnes, expulsé de ses temples les dieux de la pluie et de la foudre, après avoir forcé l’hymen de la Terre-mère, s’embarqua-t-il pour l’Ouest, en ligne droite sur la mer sans fin.

           

Après avoir défié et terrassé le colosse Atlantique, le voilà qui foulait le sol d’une terre qui jusque-là n’était parcourue que par une autre race d’hommes, éparse, à demi-nue, dont les membres naissaient et mouraient sans laisser plus de traces que des chiens de prairie. Après y avoir bâti ses villes d’acier, il s’aventura au-delà de la côte Est, puis encore plus loin. Et finalement, après avoir traversé le désert de Mojave, il parvint aux extrêmes de la Californie. A l’ultime finisterre.

Là, écrasé par la majesté du ciel et l’immensité du Pacifique, n’entendant que le souffle du vent et le bruit des vagues qui s’écrasaient en rouleaux sur le sable blanc, ses yeux clairs, délavés par le soleil brûlant, se brouillèrent, noyés dans le bleu océanique.

Ici s’arrêta la marche vers l’Ouest de l’Européen. Ici s’arrêta le Nouveau continent. Ici prit fin la quête de l’homme blanc.

C’est peut-être à cet instant, cet instant où l’Occident s’achève, que l’histoire du monde se termine.

 

L’Europe, la vieille Europe, voyant le combat cesser faute de combattants, ne voyant autour d’elle que des royaumes déjà conquis, ne trouva plus d’autre expédient à sa rage profanatrice que l’affrontement interne, la guerre tribale et fratricide. Ce fut alors l’avènement d’un siècle maudit, ou le Rhin, la Seine et le Danube se remplirent d’un même sang. Les villes les plus antiques furent réduites en cendres, anéanties par des armes d’une puissance jamais vue. Le Russe aviné envahit Berlin, et viola les femmes des Allemands morts au combat, pendant que leurs enfants se cachaient au milieu des ruines.

 

Au bout de tant de désastres, de tant d’espérances anéanties, et alors qu’un nouveau millénaire approchait, l’Européen, tombé tout au fond de l’abîme, se sentit peu à peu envahi d’un désir nouveau, le désir maladif et morbide d’organiser lui-même sa propre extinction. Ne supportant plus de voir dans ses enfants la continuation de sa race, de son histoire, il appela à lui les peuples qu’il avait naguère dominés. Ainsi le métissage devint-il le processus ultime de son autodestruction.

 

C’est dans ce monde que je suis né.          

 

André Waroch.

 

André waroch, Sociologie du métissage, métissage, autodestruction, monde en perdition

 

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Vous pouvez fort régulièrement retrouver André Waroch sur l’excellent site Europe Maxima, dont il est un collaborateur attitré.

>>> http://www.europemaxima.com/

 

Et vous procurer son livre « Les larmes d’Europe » auprès des éditions Le Polémarque, en cliquant sur l’un des liens ci-dessous.

>>> http://www.editions-lepolemarque.com/products/les-larmes-...

>>> http://lepolemarque.blogspot.fr/2010/12/les-larmes-deurop...

 

Editions Le Polémarque : http://www.editions-lepolemarque.com/

samedi, 09 mars 2013

Et si Détroit, l'afro-américaine en faillite, était... notre futur ?

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Et si Détroit, l'afro-américaine en faillite, était... notre futur ?

Joris Karl

Boulevard Voltaire cliquez ici

Cette fois-ci on y est presque. Détroit, l’ancienne « Motor City », fierté de l’Amérique des fifties, risque d’aller à la casse : Rick Snyder, le gouverneur de l’État devrait mettre la ville… sous tutelle, dernière étape avant la faillite !

À ce niveau-là, on n’est même plus dans l’urgence car la ville est en panne sèche. Pour l’exercice en cours, le déficit budgétaire a déjà crevé le plafond (100 millions de dollars) ; quant à la dette, elle dépasse 14 milliards ! Les tuteurs auront le pouvoir de décider unilatéralement de fermer des départements entiers de la municipalité, de modifier les contrats de travail, de vendre des actifs de la ville et de changer lois et règlements.

C’était couru d’avance : qu’un gouverneur blanc veuille mettre cette ville sous tutelle a enclenché une polémique raciale. Car l’ancienne capitale de l’automobile est devenue quasi noire en 30 ans. L’évolution démographique est effarante : de 1 850 000 en 1950, Détroit a plongé à 700 000 habitants aujourd’hui ! Autrefois blanche, la ville est composée désormais de Noirs à 90 %.

Tout a commencé par l’explosion raciale de 1967. 43 morts. Des combats de rue ultra violents. Les chars de l’US Army. Le gouverneur avait survolé la ville en hélico : « Merde, on dirait que Motown a été bombardée » avait-il lâché… Au sol, la loi martiale. Des mecs avec coupe afro et t-shirt moulant qui gueulaient. Des brigades avec des chiens fous furieux. Des snipers blacks Panthers sur les toits qui dégommaient les pompiers. Il fallait que ça crame. Que tout crame !

La descente aux enfers commençait. En 73, Coleman Young, le « Mother Fucker in charge » comme il s’appelait lui-même, fut élu… Enfin un afro-américain au pouvoir ! Young avait voulu affirmer l’identité noire de sa ville en rebaptisant des rues ou en érigeant des monuments à la gloire des figures du mouvement afro-américain. La population blanche commença à fuir le centre ville, s’éloignant toujours plus vers des banlieues « protégées ».

Pour ne rien arranger, les « nuits du diable », durant Halloween, étaient prétexte à des actes de petit vandalisme dans toute la ville. Mais à partir des années 70, ces drôles de fiestas dégénérèrent. En 84, ce fut l’apocalypse : 1 000 bagnoles avaient flambé, des viols, des meurtres et tout le tralala. Les flics n’en revenaient pas. Détroit devenait la ville la plus cinglée d’Amérique.

En 2013, le chaos urbain vous prend à la gorge. Les gens hagards, l’insécurité partout, les voitures laissées pour mortes dans les cours des maisons fantômes. Certains disent que l’endroit est à l’image du pays. Que le rêve est passé. Le pire, c’est peut-être la « chose qui faisait peur », la Michigan Central Station. L’énorme gare édifiée au temps de la splendeur, en 1913, voici plus d’un siècle. Ce bâtiment sent la poisse, sorte de Mary Céleste échouée à l’écart. Le dernier train est parti en 1988. Depuis, tout le monde est à quai. Détroit, ou la sensation malsaine de voir notre futur…

mercredi, 27 février 2013

De onoprechtheid van multiculturalisten

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http://www.doorstroming.net/index.php?option=com_content&view=article&id=140:de-onoprechtheid-van-multiculturalisten&catid=1:blog&Itemid=12

De onoprechtheid van multiculturalisten

Jaak Peeters

In een grondig gedocumenteerd boek van zeldzame politieke incorrectheid heeft  de Antwerpse auteur Wim van Rooy enkele jaren geleden scherp uitgehaald naar de onoprechtheid van de predikanten van het multiculturalisme. Van Rooy begint met een ferme uithaal naar ‘ons’ academische milieu, dat hij – zonder dat zo te zeggen – van komedie beschuldigt.

Dat is verre van onterecht. Verontwaardiging, die zo kenmerkend is voor ‘het volk’, mondt volgens de geleerde dames en heren veel te makkelijk uit in wat ze meesmuilend ‘populisme’ noemen. Het volk eist immers maatregelen. Het is niet gediend van eindeloze palavers over het geslacht van de engelen. Geconfronteerd met de concrete gevolgen van een falend en hopeloos versleten beleid, wensen de mensen de problemen opgelost te zien. Men leze er de opvattingen van Stephan Rummens en co maar op na. Een gelijkaardige houding neemt Jan Blommaert aan, ‘toevallig’ ook iemand uit de extreemlinkse hoek.

Die heeft het niet begrepen op de maatregel van het Antwerpse gemeentebestuur om immigranten te laten meebetalen voor de kosten die ze veroorzaken. Erger nog vindt Blommaert dat sommige illegalen gratis medicijnen tegen aids worden geweigerd. Oh, inbreuk op het diep-menselijke recht op geneeskundige bijstand! En ja hoor, meteen wordt hij bijgesprongen door een andere rode broeder: de onvermijdelijke Jozef de Witte.

Meneer Blommaert weet natuurlijk wel beter.

Ten eerste gaat het om slechts enkele gevallen.

Ten tweede waren er in die enkele gevallen wel degelijk verontschuldigingen in hoofde van het stadsbestuur.

Niks daarvan, vindt Blommaert: voor geneeskundige verzorging bestaan er geen uitzonderingen. Geen enkele. Punt, uit. Ziedaar Blommaerts radicalisme. Men zou er haast voor in bewondering neerknielen.

Maar één ogenblik, vriend Blommaert!  Als het waar is dat het recht op geneeskundige verzorging aan elk ander recht vooraf gaat, waarom voer je dan geen actie om de overheden van het oorsprongland te dwingen dit recht na te leven? Want als mensen de andere kant van de planeet moeten opzoeken om geneeskundige verzorging te krijgen, is het dan niet omdat de regering van hun eigen land in de fout is gegaan?  Waarom die sukkelaars zover weg van huis laten gaan – of is het bedoeld? – en ze nog op extra-kosten laten jagen omdat hun eigen regering tekortschiet? Waarom moet een reserve-overheid, de Antwerpse in dit geval,  telkens weer opdraaien voor het falen van de overheid die het éérst had moeten optreden?

Je kunt daarover een hele boom opzetten. Geen Blommaertiaans woord daarover, natuurlijk.

En dan was het deze week alweer prijs. Ene Jef Verschueren, die ons in zijn onbegrensde taalkundige wijsheid – hebben die taalkundigen (Blommaert noemt zich ook taalkundige) echt niets beters te doen? -  weet te vertellen dat elk nationalisme de neiging heeft naar autoritarisme te verglijden, ook als het in den beginnen ‘braaf’ is zoals dat van Dewever. Want dat nationalisme is niets anders dan een omfloerst identiteitsdiscours. Alles wat die identiteit kan bedreigen wordt gezien als een aanval op voor de integriteit van het volk. Dat hoeft niet te leiden tot uitsluiting van wie ‘anders’ is.  En dan komt het: ‘Dat was de theorie toen. In de praktijk zien we andere dingen, zowel toen als nu.’

Het zou ons te ver leiden om de kromrederingen van iemand die zich nochtans voorstelt als taalkundige even bloot te leggen. Bijvoorbeeld: waar haalt Verschueren de suggestie vandaan dat de praktijk ook nu andere dingen laat zien? Welke dan wel? Of zoiets als historisch pars pro toto? Of waar haalt hij vandaan dat de theorie ‘toen’ – hij bedoelt natuurlijk de tijd van de nazi’s – (ook) anders was dan de toenmalige praktijk? Ze was verdorie helemààl niet anders! Men kwam open en bloot uit voor rasverbetering en tégen rasvermenging. Zelfs aan de Katholieke Universiteit van Leuven waren er hoogleraren die openlijk antisemietische opvattingen koesterden. Hoge nazi’s waren bij de Engelse landadel veelal graag geziene gasten. En Hitler heeft over zijn ware bedoelingen ooit enige twijfel laten bestaan. Theorie en vreselijke praktijk vielen in die jaren wél samen en komen, omgekeerd, van geen kanten overeen met het nationalistische discours van vandaag.

Meer zelfs.

Hannah Arendt, de joodse filosofe van het totalitarisme heeft in haar Origins of Totalitarism, in haar hoofdstuk The Decline of the Nation-state, een scherp onderscheid gemaakt tussen nationalisme en totalitarisme. Ze komt ronduit op voor een duidelijke, betekenisvolle nationale staat, waar de burger zich in kan thuis voelen. Ze sluit zich aan bij Edmund Burke - jaja: de favoriet van Dewever! -, die verklaarde dat het veel wijzer is te spreken over De Rechten van de Engelsman dan over de abstracte Rechten van de Mens. In Burkes visie valt namelijk het recht op het bezit van een concrete nationale identiteit mee in de korf van rechten. De vluchtelinge Arendt wist héél goed waarover ze sprak.

Wat bezielt figuren als Blommaert, Verschueren en Rummens e.a. toch, als ze zowat alles ondernemen om de culturele rechten van minderheidsgroepen te promoten door het afbreken of minimaliseren van het recht op nationale identiteit van ‘ontvangende’ volkeren? Waarom moet de ene identiteit ten allen prijze gepromoot worden en de bestaande, nationale identiteit zoveel mogelijk verzwakt? Wat nog erger is: David Miller wijst erop dat een samenleving niet kan bestaan zonder een gezonde dosis onderling vertrouwen onder de burgers. Hoe groter de verschillen tussen die burgers, hoe moeizamer dat vertrouwen tot stand komt. Neem nu dat dit benodigde vertrouwen onder de drempel valt. Dan laat de toekomst zich zo voorspellen: er ontstaat een strijd tussen de groepen om de macht. De zwaksten – vaak de immigranten dus – zullen het onderspit delven. Wiens rechten worden hier eigenlijk beschermd? Even herinneren aan Ruanda?

Omgekeerd is het bij herhaling bewezen dat geïntegreerde immigranten vaak beter overtuigde nationale burgers zijn dan de autochtonen, al was het maar omdat ze het verschil kennen. Maar daartoe is dan nu net het bestaan van een sterke nationale identiteit noodzakelijk.

Deze gedachten liggen zo voor de hand, dat het bijzonder lastig wordt om te geloven in de afwezigheid van kwaadaardige bedoelingen bij de schrijvers die ik hier op de korrel neem.

Het idee dat oprijst is dat de heren helemaal niet echt geïnteresseerd zijn in de rechten van wie ‘anders” is, vermits het anderszijn in onze Vlaamse samenleving nu al ten overvloede gepraktiseerd wordt: holebi, blank en zwart, religies, beroepsgroepen, maatschappelijke klassen, verschillende politieke partijen, bloembollenkwekers en wijnboeren enzovoorts. De ware bedoeling van de bedoelde multiculturalisten is het afbreken van elke relevante en dus verplichtende nationale identiteit met het oog op een algehele massificatie – het plan van het totalitarisme, léés Arendt heren!-, wat nodig is om hun utopische communistische heilstaat te vestigen.

Zolang de eerlijke multiculturalisten niet openlijk spreken, staan ze mee onder deze verdenking.

Jaak Peeters

Februari 2013

vendredi, 11 janvier 2013

L’immigration, cheval de Troie des puissances étrangères...

L’immigration, cheval de Troie des puissances étrangères...

Jean-Yves Le Gallou

Boulevard Voltaire cliquez ici

L’immigration est un boulet. Un boulet pour l’économie : elle pèse sur les déficits, elle aggrave le chômage. Un boulet social : elle tire les salaires à la baisse. Un boulet sécuritaire : inutile d’en dire plus… L’immigration est aussi devenue un vecteur d’influence pour les puissances étrangères.

Les grandes métropoles régionales et les principales villes moyennes se couvrent de minarets coiffant de grandes mosquées. Cet islam conquérant n’est en rien spontané. Derrière chaque construction et chaque imam, il y a l’argent et l’influence d’une puissance étrangère : Maroc, Algérie, Turquie, pétromonarchies du Golfe persique.

Le petit Qatar – peuplé à plus de 80 % d’immigrés sans le moindre droit — est encore allé plus loin : il s’est engagé à financer le développement d’entreprises ethniques en Seine-Saint-Denis.

Mais les pays musulmans ne sont pas les seuls à jouer à ce petit jeu. L’hyperpuissance américaine est aussi omniprésente dans les banlieues françaises. Nommé à Paris, en 2009, par Obama, l’ambassadeur Rivkin s’est donné pour priorité d’exercer l’influence des États-Unis sur les banlieues de l’immigration. Les sites islamiques Oummah et Saphir ont reconnu leurs bonnes relations avec l’ambassade américaine. Le Bondy blog, qui bénéficie d’une notoriété médiatique parfaitement artificielle, a reçu la visite médiatisée de l’ambassadeur américain accompagné de l’acteur noir Samuel Johnson. Les voyages transatlantiques payés par le département d’État ou les agences américaines se multiplient : rappeurs américains venant en banlieue, jeunes pousses économiques et politiques invitées aux États-Unis. La ministre Najat-Belkacem est elle-même un produit de la French American Foundation.

Dans son activité d’influence en direction des milieux immigrés, l’ambassadeur est assisté par Mark Taplin : un diplomate d’expérience spécialiste du soft power qui a exercé ses talents en Russie (à l’époque d’Eltsine) puis en Ukraine, Moldavie et Biélorussie de 1999 à 2004 (à l’époque de la « révolution de couleur » en Ukraine). Voilà qui est clair !

dimanche, 23 décembre 2012

Deux sources radicales de l’islamophobie

Deux sources radicales de l’islamophobie

par Ulysse GIRARD

islamophobie.jpgS’interroger sur la source radicale d’un phénomène n’est pas en nier le caractère multifactoriel, ni même en dégager la cause principale, mais plutôt la cause la plus profonde et la plus cachée, celle qui en est à la racine car son impensé le plus profond. Toute réflexion réellement utile sur la cause d’un phénomène doit en dégager la source radicale, car là est le vrai travail de révélation puis de compréhension réglée du réel.

Peuvent cœxister plusieurs causes radicales d’un phénomène, qui interagissent entre elles. L’islamophobie est aujourd’hui en France un phénomène grandissant; elle s’inscrit dans un discours de plus en plus décomplexé. Elle est un problème politique et social, mais aussi un révélateur de phénomènes plus profonds, qui se disent par elle tout en se cachant, comme le symptôme peut dire et cacher la maladie. L’islamophobie est donc un phénomène intéressant en tant qu’il est un révélateur de ce que l’on ne veut pas voir, et en l’occurrence il ne s’agit pas du danger, tantôt réel, tantôt fantasmé, de l’islam, de l’islamisation ou d’un certain type d’islam (distinctions que l’on n’interrogera ni ne justifiera ici).

La première cause du caractère grandissant du phénomène est la prédisposition du peuple à la condamnation de toute religion un tant soit peu combative. Cette prédisposition s’enracine d’une part dans une histoire, une mémoire, voire un mythe, celle de la République anticléricale, du combisme au Cartel des gauches; et d’autre part, dans une idéologie anti-religieuse conditionnée par l’état actuel des modes de production en France, et en Occident de façon plus générale. La religion est une menace en cela qu’elle viendrait entraver, dans certains cas et pour certaines religions bien particulières (donc pas le capitalisme anglo-saxon, fruit d’un protestantisme dévoyé) le capitalisme de la séduction, c’est-à-dire la recherche du profit du côté de la chaîne de production (méfiance à l’égard de l’usure, du profit voire de l’argent en général) et de la jouissance effrénée du côté de la consommation. Cette idéologie consumériste est d’autant plus redoutable que, contrairement à la discipline, voire à l’ascèse du travail qui dominait toutes les classes sociales à la fin du XIXe siècle, y compris la bourgeoisie, l’idéologie de la jouissance n’a pas à contraindre nos prédispositions biologiques élémentaires et primaires au désir et à la jouissance. La religion venant s’opposer au consumérisme frénétique, celle-ci en tant qu’idéologie entre en confrontation directe avec une certaine idéologie soi-disant républicaine, c’est-à-dire libertaire. C’est là l’islamophobie des laïcards comme Christine Tasin, de certains journalistes (du Point ?) et des groupes féministes ou L.G.B.T.

Cette thèse est connue. Néanmoins, elle n’est que l’une des deux sources, la moins problématique de toutes, car elle ne touche pas au grand tabou de notre société. Critiquer la religion est acceptable en France, car par un effet d’hystérèse représentationnel, la religion est encore conçue comme l’opium du peuple, l’Infâme, l’ennemi perpétuel et enragé de la liberté, de l’intelligence, du débat et, in fine, de la démocratie. On pourrait montrer comment l’anticléricalisme a pu servir de soupape de sécurité ou de diversion pendant toute notre histoire pour détourner le peuple des vrais combats, en particulier le combat de classes, comme le Cartel des Gauches le fit en 1924 pour éviter de se justifier de sa collusion avec le Grand Capital. Là encore, l’islamophobie fait figure de diversion dans le débat public, voulue mais surtout fantasmée. Voulue, car les réseaux qui nous dirigent préfèrent que l’on s’occupe de sujets peu dangereux plutôt que de ceux qui posent vraiment problème (comme la dette, l’austérité, le T.S.C.G. … ou sous Sarkozy, la vente d’or de la Banque de France à bas prix à Washington, la posture sécuritaire et identitaire permettant de s’acheter un patriotisme au rabais). Mais cette diversion est aussi fantasmée, car elle permet de refuser, par un ennemi commode, de nommer les vrais problèmes.

Le grand tabou en France est ethnico-racial. La guerre de 39-45, qui fut pour nous une blessure narcissique grave (on n’explore pas assez la thèse selon laquelle la mémoire de cette guerre nous est traumatique aussi pour cette raison in fine bien peu noble : la défaite et l’occupation) doublée d’un génocide, en grande partie fondé sur des questions de race. Auschwitz fut notre péché originel : commis par nos ancêtres, il nous hantera pour toujours, et nous devrons l’expier à jamais. Il nous hante surtout par son non-dit : la dimension ethnique du politique. C’est bien la Seconde Guerre mondiale et le nazisme qui constituent le spectre derrière le tabou, et non un supposé universalisme républicain (les républicains, y compris de gauche, ne s’embarrassaient pas de scrupules sur la question raciale à la fin du XIXe siècle). Or l’islamophobie, voire la laïcité, permettent à peu de frais de nommer un ennemi sans dire la vérité, par un effet d’association d’idée parfois inconscients, mais aussi parfois de manière délibérément tactique. La France subit un remplacement de population à grande échelle. Parmi les populations nouvellement arrivées, une grande partie est arabo-berbère. Les Arabo-Berbères sont, pense-t-on, musulmans. En ciblant l’islam, on ciblera les musulmans, et donc les Arabo-Berbères. L’islamophobie serait donc chez beaucoup un racisme caché, qui permet de s’offrir une conscience à peu de frais (une conscience, c’est-à-dire une respectabilité). Et c’est précisément cette source-là, et non une haine particulière pour la religion ou pour la morale en tant que telles (en témoignent l’islamophobie de populations chrétiennes, ou pratiquant une forme de décence commune populaire) qui permet le succès de l’idée islamophobe et sa diffusion rapide dans la population, à cause du malaise causé par une submersion populationnelle plus ou moins bien perçue.

Or l’islam n’est pas le problème, mais la victime d’un transfert. L’islam est en tant que telle une spiritualité respectable, qui a beaucoup emprunté au paganisme européen (néo-platonisme et aristotélisme principalement). Le cœur européen du christianisme est ce qu’il a hérité du paganisme européen : le droit romain, mais aussi la philosophie grecque, héritage partagé par l’islam, et qui permit un dialogue fécond entre ces deux religions (les controverses entre Thomas d’Aquin et Averroès en sont un exemple : ces échanges n’auraient pas été possibles sans un fond aristotélicien commun). Il y a un héritage européen de l’islam, qui permettrait en droit et pour une certaine conception de l’islam de le rendre compatible avec une authentique civilisation européenne (et donc pas avec l’Occident du capitalisme de la séduction).

L’autre grand problème de ce transfert est non seulement qu’il choisit une victime innocente, mais aussi qu’il oublie une grande partie de la donnée du problème. Une grande partie du grand remplacement de population et du déracinement universel n’est pas le fait de populations musulmanes, ni ne concerne des populations musulmanes, mais aussi des populations chrétiennes (populations d’Afrique Noire), hindoues, ou athées (lumpenprolétariat de banlieue).

Le problème subsistera donc tant que l’on refusera de poser le bon diagnostic. Le problème est double : il vient première de la violence du capitalisme mondialisé, qui déracine les peuples et donc les assassine, puis les immerge dans la décadence du capitalisme de la séduction. Il vient ensuite du brassage ethnique et, in fine, racial en Europe et ailleurs dans le monde. On ne gagne rien à ne pas nommer les problèmes, car on ne les règle pas et, pire encore, on sacrifie l’innocent et peut-être même, selon les circonstances, un allié et un ami. Mais la lucidité nécessite du courage car, dans le règne du faux universel, tout jugement vrai concourt à déstabiliser le système. Cela veut dire entrer dans une guerre quotidienne dont la lutte idéologique est l’une des modalités princeps.

Ulysse Girard

• D’abord mis en ligne sur Scriptoblog, le 4 décembre 2012, et repris sur Cercle non conforme, quatre jours plus tard.


Article printed from Europe Maxima: http://www.europemaxima.com

URL to article: http://www.europemaxima.com/?p=2820

samedi, 26 mai 2012

Pour en finir avec le multiculturalisme

Pour en finir avec le multiculturalisme

par Laurent Ozon

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dimanche, 22 avril 2012

The Multicultural Theocracy: An Interview With Paul Gottfried

 

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The Multicultural Theocracy: An Interview With Paul Gottfried

Myles B. Kantor
Thursday, Dec. 5, 2002

Ex: http://archive.newsmax.com/

Paul Gottfried is Professor of Humanities at Elizabethtown College. An adjunct scholar of the Ludwig von Mises Institute and contributing editor to Humanitas and Chronicles, he is the author of several books including "The Conservative Movement," "Carl Schmitt: Politics and Theory" and "After Liberalism: Mass Democracy in the Managerial State." His new book is "Multiculturalism and the Politics of Guilt: Toward a Secular Theocracy."

You observe, "Nothing could be more misleading than to equate a multicultural society with a multiethnic one." What distinguishes a multicultural society from a multiethnic one?

Multiethnic societies have been recurrent political phenomena and involve the coexistence of more than one ethnos, that is, national community, living in the same jurisdiction. Such an arrangement has usually come about because of conquest or dynastic inheritance and until now has never required a celebration of diversity. Multiethnic societies have almost always been empires because of the way they have been formed and because of their lack of cohesion beyond the fact of what Thomas Hobbes called "acquired sovereignty." Moreover, unlike multicultural regimes, multiethnic ones do not celebrate sexual exotica or the nonrecognition of separate gender identities. Multicultural regimes are inherently subversive of traditional social relations.

You frame the multicultural question as fundamentally governmental in nature: "For all their complaints about 'political correctness,' moderate conservatives...do not devote their primary attention to the government's control of speech and behavior. The battle between supporters and opponents of political correctness is thought to be taking place among warring cultural elites." What is the consequence of viewing multiculturalism as a purely cultural phenomenon?

The fact that neoconservatives – the anti-Communist liberals, once identified with Daniel Patrick Moynihan, Henry "Scoop" Jackson and Hubert Humphrey, who took over the conservative movement with only minor opposition in the 1980s – have been able to treat multiculturalism as an hermetically sealed cultural and academic problem has allowed them to go on glorifying the current American regime as the paradigmatic global democracy. (Read the second edition of my book "The Conservative Movement" for a detailed description of the neoconservative ascendancy and the marginalization of everyone to the right of the Cold War liberals.)

Their other avoidance of the truth in order to spare the government that they want to expand is presenting the state as the hapless victim of bad culture. My own perspective is diametrically opposite. It is trying to understand the role of multiculturalism as a politically enforced ideology. Multiculturalism has the same relation to the present managerial state as the Catholic Church did to medieval European monarchies. It travels in the baggage of the American empire, as was evident during the unprovoked attack on Serbia.

You often refer to "the managerial state," "the administrative state," and "the therapeutic state." What are these phenomena and their relationship to multiculturalism?

State administrations have been around since the High Middle Ages, while the managerial state refers to the social engineering, redistributionist regime that came into existence with mass democracy in the twentieth century. (Mass democracy is a term used to describe a government that rules in the name of the "people" but is highly centralized and operates increasingly without an ethnic-cultural core. It is a bureaucratic empire that distributes political favors and provides a minimal level of physical protection but is no longer capable of or interested in practicing self-government.

In "After Liberalism," which precedes my latest book, an attempt is made to plot the development of modern administrative "democracy" from a more limited and nationally focused state that existed a hundred years ago. What happened is that, contrary to what nineteenth-century critics of democracy believed, universal suffrage and urbanization did not lead to the outbreak of anarchy and violent expropriation. Rather the people voted to hand over power to "public administrators" and more recently in the U.S. judges, who became the agents for practicing democracy on our behalf. Democracy was not equated with meaningful self-rule but with being socialized by administrators, who taught us "equality" and later, pluralism and multiculturalism. )

That mass democratic regime has turned progressively therapeutic, with the advent of the cult of victims and the degeneration of Christianity into a purveyor of the politics of guilt. Question two misses a point: I am not except in a negative sense a libertarian. Through most of its history, the state, in my opinion, has been a positive force, assisting the rise of the bourgeoisie in Western Europe more than hindering that development and providing a uniform system of law protecting persons and property. The good state reached its high point in the nineteenth century but was overtaken by mass democracy and the managerial revolution in the twentieth century.

I am also not an enemy of all forms of democracy and totally approve of the management of my own town by small property-owners who come out of a shared rural culture. Unfortunately the hand of PC is already upon us as the demonic state and federal behemoths (the first is only an agent of the second) invade our civic and family life.

What are some examples of those behemoths invading civic and family life?

Examples of PC enforcement by the state are the use of Title Nine to impose verbal and behavioral conformity on male academics and workers; the various hate speech laws that exist in Canada and Europe and are applied almost exclusively against white Christian European; and the delegitimation of the historical heritage of victimizing groups: e.g., the war against Southern symbols and iconography waged, in among other areas in the US, public education [e.g., dress codes prohibiting attire with a Confederate flag].

The BBC recently had a headline, "Hate crime police raid 150 homes," about an operation in London administered by a "Diversity Directorate." Sweden recently passed a law criminalizing the "disrespecting" of homosexuals.

This attempt to muzzle traditional Christians is perfectly consistent with both the multicultural values of the therapeutic state and the thrust of liberal Christianity. In fact what is happening in England and Sweden is the disciplining by the government of Christians who have not accepted the Protestant deformation. A by now transformed Christianity, which is as grotesque in its own way as Hitler's Nazified Evangelical Church, has allied itself to the state that is suppressing Christians who will not go along with PC indoctrination.

On the matter of Hitler, perhaps the most sensitive instance of the politics of guilt you discuss is contemporary treatment of the Holocaust. You write, "By now all Christians have been generically indicted for the Holocaust, which has been extended to gays and explained in such a way as to minimize the suffering of identifiably Christian victims."

Members of my family were worked to death in Nazi labor camps; some died of typhus soon after being liberated. Needless to say, I am not a Holocaust denier. Indeed I am profoundly offended by the attempts to draw parallels between Nazi Germany and the German Imperial government, on the grounds that the latter was a "defective constitutional regime."

The Nazis were reprehensible not for establishing a second-class constitutional government but for turning Europe into a death camp. What I oppose is not the recognition by the establishment Left that the Nazis killed millions of people but the use of anti-fascism as a tool of control. This instrumentalization has been cynically carried out by political elites, European Commies, and academics throughout the West.

A very useful book on this subject in French by Elisabeth Levy shows how completely the totalitarian Left suppresses opposition in France by identifying all dissenters as Nazis or fascists. Supposedly by making a case against increased Islamicist immigration into France, one incites fascist hate and prepares the way for a second Auschwitz.

Read Peter Novick's "The Holocaust in American Life" for a striking account of the changes in Jewish attitudes about who or what caused the Holocaust. Novick maintains that what has fueled this new animus against "Nazi-bearing" Christianity has nothing to do with scholarly revelations. Rather it has arisen out of Jewish repugnance for Christianity at a time when Christians have certainly not persecuted Jews. To the contrary, Christians are the only possible allies that the Jews can now claim.

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You referred earlier to "the Protestant deformation." What is it and its relation to the multicultural theocracy?

In the U.S., what the Presbyterian scholar James Kurth (see my intro chapter) calls the "Protestant deformation" has profoundly influenced the spread of multiculturalism. Although Catholic clergy, as revealed by the Italian study "L'invasione silenziosa" (The Silent Invasion), have expressed many of the same xenophile sentiments, calling for massive Third World immigration to offset Western parochialism and bigotry, in the U.S., Canada and England, Protestants have taken the lead in pushing both multicultural ideology and the politics of guilt.

Kurth tries to explain this by looking at the progressive deterioration of Protestant theology and moral culture since the nineteenth century. At the heart of the problem is the transformation of justified spiritual guilt into social guilt and the Protestant focus on the individual into a rejection of membership in a shared civilization that needs to be preserved.

What are the prospects for containing or rolling back the multicultural theocracy?

A deus ex machina that may come along to prevent the worsening of the situation I describe is the rallying by Western nations to a defense of their societies. This may be happening dramatically in Flanders whose people vote for the anti-immigration and anti-welfare Vlaams Blok. Moreover, in Antwerpen there are now armed camps with, on the one side, the Arab European League and, on the other, Flemish nationalists. While such confrontations are not particularly savory, they may prevent the Islamicists and the European Union PC bureaucracy from moving in more quickly to convulse or denature European society.

Note I do not think these battles will solve long-term problems; unless Western peoples start having families again, the social unit and population base needed for a civilization will be lacking. I do not believe that civilizations are purely or even substantially "propositional" or can be sustained by requiring courses on Martin Luther King and global democracy prepared by Harry Jaffa, Bill Bennett, and Mrs. Cheney.

While societies can assimilate, there are three presuppositions that must obtain: a core population that carries a distinctive culture that it hopes to preserve; a minority that is accepted on the condition that it eagerly embraces that majority culture; and a sufficiently controlled immigration so that assimilation is possible.

Contact Myles Kantor at kantor@FreeEmigration.com

 

Editor's note:
Now we know: "Why the Left Hates America"

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mardi, 13 mars 2012

Sarrazin rechnet mit Multikulti ab

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Sarrazin rechnet mit Multikulti ab

Ex: http://www.jungefreiheit.de/

BERLIN. Der frühere Berliner Finanzsenator Thilo Sarrazin hat sich erneut kritisch zur deutschen Integrationspolitik geäußert. „Wir haben uns Illusionen gemacht und die Augen vor der Wirklichkeit verschlossen. Mahner und Warner werden noch immer diffamiert und runtergemacht“, sagte Sarrazin der Bild-Zeitung.

Hintergrund ist eine aktuelle Studie des Bundesinnenministeriums, nach der rund 20 Prozent aller Muslime in Deutschland es ablehnen, sich zu integrieren. Aufgrund des Ergebnisses hatte Bundesinnenminister Hans-Peter Friedrich (CSU) im Anschluß an die Vorstellung der Studie „die rot-grüne Multikulti-Illusion“ für gescheitert erklärt.

Kritik an der Studie kam dagegen umgehend von Bundesjustizministerin Leutheusser-Schnarrenberger: „Wir sollten die Vorurteile der Vergangenheit und althergebrachte Reflexe endlich hinter uns lassen. Wir brauchen keine Debatte, die ein Zerrbild des Einwanderungslandes Deutschland vermittelt“, sagte die FDP-Politikerin.

„Niemand muß in Deutschland leben“

Laut Sarrazin zeigt die Untersuchung dagegen, daß muslimische Einwanderer unterschiedlich zu sehen sind. Es gebe zwar viele, die sich gut einlebten, aber im Verhältnis zu anderen Gruppen von Einwanderern wollten sich auch überdurchschnittlich viele Muslime gar nicht integrieren, sondern sich von der Kultur des Gastlandes abgrenzen.

Deswegen brauche es eine Einwanderungspolitik, die stärker auf Ähnlichkeit in den kulturellen Werten achte. „Jeder soll so leben wie er möchte, aber nicht unbedingt bei uns. Niemand muß in Deutschland leben, wenn er unsere kulturellen Werte nicht teilt und den Westen verachtet“, betonte der Bestsellerautor.

„Steilvorlage für Nazis“

Wer in Deutschland lebe, müsse auch die grundsätzlichen Werte des westlichen Abendlandes akzeptieren, die sich auf Religionsfreiheit, Gewaltverzicht und die Gleichberechtigung der Frau beziehen. „Das haben wir nicht ausreichend verdeutlicht und eingefordert“, kritisierte Sarrazin.

Die Bundestagsabgeordnete der Linkspartei, Christine Buchholz, beschuldigte Sarrazin daraufhin der Hetze gegen Einwanderer. „Sarrazin lügt, provoziert und hetzt in rassistischer Manier gegen Muslime“, beklagte Buchholz, die Mitglied im Vorstand der Linkspartei ist. Die Äußerungen seien eine  „Steilvorlage für Nazis“. Die Morde der Zwickauer Terrorzelle an türkischen und griechischen Einwanderern müßten als Warnung dafür gelten, daß „rassistische Hetze“ tödlich sei. (krk)

mardi, 11 octobre 2011

Thilo Sarrazin im Interview mit dem österreichischen »Kurier«

Thilo Sarrazin im Interview mit dem österreichischen »Kurier«: »Wo man recht hat, muss man es sagen können.«

Laura Küchler

 

Anlässlich des Jahresjubiläums von Deutschland schafft sich ab hat der ehemalige Bundesbankvorstand und Ex-Berliner Finanzsenator Thilo Sarrazin dem österreichischen Kurier ein sehr detailliertes Interview über die demografische Situation Deutschlands und die Nachteile von ungesteuerter Einwanderung gegeben. Er hatte durch seine aus Sicht der Mainstream-Medien provokant formulierten Thesen eine längst überfällige Debatte in Deutschland angestoßen, deren Gegenstand zunächst die Migrationssituation in unserem Land war. Durch die empörten Reaktionen der politischen Klasse auf seine Aussagen einerseits und die im Gegenzug überdimensionale Zustimmung und Sympathie der Bevölkerung andererseits hatte sich diese Debatte ausgeweitet auf die Frage nach Meinungs- und Redefreiheit in unserem Land.

 

Dass Sarrazins Thesen und Feststellungen nicht einfach unter den Tisch gekehrt werden können, belegen schon die Verkaufszahlen seines Buches: Allein im September vergangenen Jahres verkaufte er über 800.000 Exemplare. Mittlerweile ist Deutschland schafft sich ab 1,3 Millionen Mal über die Ladentheken der Buchhandlungen gegangen. Der Bestseller wird ein Longseller, was die enorme Bedeutung des Buches belegt und immer wieder erneut bestätigt. Im Interview mit dem österreichischen Kurier ist unter anderem die derzeitige Schuldenkrise in der Europäischen Union ein Thema.

Mehr: http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/deutschland/laura-kuechler/thilo-sarrazin-im-interview-mit-dem-oesterreichischen-kurier-wo-man-recht-hat-muss-man-es-sagen.html

samedi, 01 octobre 2011

L’histoire de l’Afrique doit-elle être enseignée dans le secondaire aux dépens des fondamentaux de l’histoire de France ?

L’histoire de l’Afrique doit-elle être enseignée dans le secondaire aux dépens des fondamentaux de l’histoire de France ?

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par Bernard Lugan

Ex: http://synthesenationale.hautetfort.com/

L’histoire des mondes non européens a toujours figuré dans les programmes scolaires, cependant, elle n’était pas enseignée aux dépens de l’histoire de France. De plus, cette nécessaire ouverture ne se faisait qu’à partir du moment où les fondamentaux de notre histoire étaient acquis par les élèves. Aujourd’hui, il en va tout autrement avec la réforme Darcos qui prépare le délitement de l’imaginaire historique national, ce précieux socle auquel les Français sont encore arrimés.

Les ravages commencent désormais dès la classe de 5° qui a subi des amputations insensées et même proprement « ubuesques » de son programme d’histoire. Or, ces amputations ont été rendues nécessaires afin de dégager autant de plages horaires destinées à l’étude des civilisations non européennes, qu’elles soient africaines, asiatiques ou autres. Pour ce qui concerne l’Afrique, seront ainsi étudiés plusieurs royaumes avec un point central, celui du Mali. Pour leur « faire de la place », Louis XIV a donc été relégué en toute fin de programme et il ne sera donc « survolé » que si le Monomotapa (!!!) a été vu. De même que les crédits de l’armée constituent la variable d’ajustement des déficits de l’Etat, l’histoire de France devient quant à elle la variable d’ajustement des apprentis sorciers du ministère de l’Education nationale

Toute éducation supposant l’acquisition de fondamentaux et de connaissances de base sans lesquelles il est impossible ou vain de vouloir aller plus loin, il est donc insensé de vouloir faire apprendre l’histoire du Mali à des enfants qui ne savent pas si Napoléon a vécu avant ou après Louis XIV…Les « docteurs Folamour » du pédagogisme ne l’ignorent pas. Ils en sont même parfaitement conscients, mais ce sont d’abord des militants dont le but est de casser tous les enracinements européens considérés par eux comme susceptibles de déclencher des réactions identitaires.

Ne nous cachons pas derrière notre pouce et disons les choses clairement : le premier but de cette aberrante réforme de l’enseignement de l’histoire est de toucher le public de ces établissements mosaïques dans lesquels 30 à 40% d’élèves possédant moins de 350 mots de vocabulaire, ne sachant ni lire, ni écrire, ni même raisonner et encore moins comparer, pourrissent littéralement l’apprentissage de classes entières. Les assassins de notre mémoire espèrent, grâce à cette réforme, capter l’attention de ces auditoires « difficiles » et avant tout peu intéressés par l’histoire de France, en leur proposant une histoire sur mesure, une histoire à la carte, une histoire ethno sectorielle en quelque sorte.

Les élèves d’origine mandé-malinké de Tremblay en France seront peut-être attentifs à l’histoire de l’empire du Mali qui fut constitué par leurs ancêtres, mais il risque de ne pas en être de même avec les petits soninké de Garges les Gonesse, héritiers, eux, du royaume de Ghana qui fut détruit par les premiers…De plus, comment vont réagir les rejetons des nombreux autres peuples africains ? N’y a-t-il pas une forme de discrimination à leur égard ? En effet, pourquoi privilégier le Mali ou le Ghana et passer sous silence l’empire Luba et le royaume zulu ?

Un autre but de ce programme qui fait naturellement de continuelles références à la traite des esclaves vue comme une sorte de fil conducteur de la matière, est de tenter de faire croire aux élèves que l’histoire du monde est d’abord celle de la confrontation entre les méchants, lire les Européens, et les bons, lire les autres. L’ethno culpabilité est décidément sans limites !

De plus, et là est peut-être le plus important, l’histoire de l’Afrique a son propre temps long qui n’est pas celui de l’Europe. Elle s’appréhende avec une méthodologie particulière impliquant une maîtrise de la critique des sources orales, une connaissance approfondie de l’anthropologie, de l’archéologie, de la linguistique, etc., Or, les professeurs qui vont devoir enseigner cette histoire à leurs jeunes élèves n’ont pas été formés pour cela.

Un exemple : la connaissance que nous avons de Philippe le Bel repose sur des dizaines de milliers d’études, de thèses, de documents d’archives, de mémoires, de correspondances, de traités etc. Son contemporain, Abu Bakr II empereur du Mali (+- 1310-1312), dont l’existence n’est même pas certaine, n’est connu que par des traditions orales tronquées, des sources arabes de seconde ou même de troisième main et par une chronologie totalement erronée établie par Maurice Delafosse en 1912. L’histoire de son bref règne, s’il a véritablement eu lieu, est pourtant largement enseignée en Afrique où ce souverain est présenté comme une sorte d’explorateur conquistador parti à la tête de 2000 ou même 3000 pirogues pour découvrir les Amériques.  

Les professeurs des classes de 5° qui vont devoir parler du Mali, cœur du nouveau programme, devront évidemment étudier cet empereur. Or, sont-ils formés pour expliquer à leurs élèves que l’histoire scientifique ne se construit pas sur des légendes? De plus, le seul fait, dans un cours, de consacrer le même temps d’étude à un personnage historique attesté d’une part, et à un autre, largement légendaire d’autre part, conduira automatiquement les élèves à prendre le virtuel pour la réalité, ce qu’ils sont déjà largement enclins à faire avec les jeux électroniques.   

Mais allons encore au-delà et abordons l’essence même de la question. Face à ces élèves « en difficulté» (traduction en langage politiquement incorrect : enfants dont la langue maternelle n’est pas le français), les enseignants oseront-ils, sans risquer un hourvari, expliquer qu’un tel voyage n’a jamais eu lieu?  En effet, si tout est faux dans cette légende c’est parce que les Africains de l’Ouest -à la différence de ceux de l’Est-, ne pouvaient affronter la haute mer car ils ignoraient l’usage de la voile ainsi que celui de la rame et parce que leurs pirogues étaient sans quille. 

Les mêmes enseignants sont-ils armés pour faire comprendre à leurs classes que pour atteindre l’Amérique, les hommes d’Abu Bakr II auraient été contraints de pagayer durant plus de mille kilomètres à travers l’océan atlantique avant de rencontrer enfin le courant des Canaries, seul susceptible de leur permettre de dériver ensuite vers l’Ouest… et cela sur 6 000 km ? Enfin, seront-ils en mesure de mettre en évidence l’incohérence majeure de cette légende que certains considèrent comme une histoire vraie, à travers un exemple clair : comment l’expédition de l’empereur malien aurait-elle pu atteindre l’Amérique alors que les Africains ignoraient l’existence de l’archipel du Cap-Vert situé à 500 km « à peine » de la péninsule du Cap-Vert, point le plus occidental du littoral ouest africain contrôlé par l’Empire du Mali et qui leur barrait la voie du grand large ? En effet, cet archipel était vierge et vide d’habitants en 1450,  au moment de sa découverte par le Génois Antonio Noli qui était au service du Portugal...L’enseignement de l’histoire africaine ne s’improvise pas !

Hier la méthode d’apprentissage de la lecture dite « globale » fabriqua des générations d’illettrés et de dyslexiques; la réforme des programmes d’histoire donnera quant à elle naissance à des générations de zombies incapables de rattacher des évènements ou des personnages à une chronologie et ayant pour toute culture historique celle du volapük mondialisé.

 

Le blog de Bernard Lugan cliquez ici

mercredi, 28 septembre 2011

Sarrazin warnt vor ungesteuerter Einwanderung in den Sozialstaat

Sarrazin warnt vor ungesteuerter Einwanderung in den Sozialstaat

Ex: http://www.jungefreiheit.de/

Thilo Sarrazin warnt einmal mehr vor ungesteuerter Einwanderung in den Sozialstaat Foto: JF

BERLIN. Der frühere Berliner Finanzsenator Thilo Sarrazin (SPD) hat vor der für 2014 geplanten Öffnung des deutschen Arbeitsmarktes für Rumänen und Bulgaren gewarnt. In Berlin gebe es gegenwärtig einen starken Zustrom von rumänischen Roma und bulgarischen Türken, die dadurch alle ein dauerhaftes Aufenthaltsrecht und Anspruch auf deutsche Sozialhilfe erhielten, sagte Sarrazin der österreichischen Tageszeitung Kurier. „Es wird nicht funktionieren, die wachsenden Lasten von demographischer Alterung plus weiterhin ungesteuerter Einwanderung in den deutschen Sozialstaat durch mehr Belastung der sogenannten Reichen zu finanzieren.“

Gleichzeitig widersprach Sarrazin Forderungen seitens der Wirtschaft nach mehr Zuwanderung aus Gründen des Facharbeitermangels. „Es gibt einen Facharbeitermangel, aber 40 Prozent der Türken in Deutschland haben keine Berufsausbildung. Durch die Art des Zuzugs in den sechziger und siebziger Jahren haben wir die Probleme, die wir heute mit dem Facharbeitermangel haben, großenteils erst geschaffen“, stellte der frühere Bundesbankvorstand klar.

Die Deutschen hätten auf die Zeugung eigener Kinder verzichtet und wenig bildungsbereite muslimische Einwanderer hereingelassen. „Deutsche, die gar nicht geboren wurden, können natürlich weder Facharbeiter noch Ingenieure werden“, betonte Sarrazin.

Keine Sozialleistungen für Einwanderer in den ersten zehn Jahren

Um der negativen Entwicklung ernsthaft gegenzusteuern brauche es vielmehr eine Reihe von gesetzlichen Änderungen. So dürften Zuwanderer für die ersten zehn Jahre keine Sozialtransfers bekommen. Ein Aufenthaltsrecht sollten nur diejenigen erhalten, „die auf Dauer in Deutschland einen qualifizierten Beitrag leisten können und wollen“ und Sozial- und Familienleistungen müßten von ausreichenden Sprachkenntnissen und dem Bemühen um Integration abhängig gemacht werden.

Muslimischen Einwanderern müsse der Staat zudem deutlich machen: „Irgendwann werdet ihr Deutsche, auch wenn ihr natürlich weiterhin türkisch kochen und in die Moschee gehen könnt, und wenn ihr das nicht wollt, geht ihr besser zurück.“ Umfragen zeigten laut Sarrazin, daß über 60 Prozent der Türken in Deutschland nicht oder nicht gut Deutsch sprächen, und ein Drittel sofort Deutschland verlassen würde, wenn es keine Sozialhilfe gäbe.

Zu der Frage, ob Berlins Regierender Bürgermeister Klaus Wowereit (SPD) ein geeigneter Kanzlerkandidat wäre, wollte sich der frühere SPD-Politiker nicht äußern. Insgesamt habe die SPD bei der Wahl zum Abgeordnetenhaus vor einer Woche aber leicht verloren. „Überall dort übrigens, wo die SPD auch türkischstämmige Kandidaten im Zuge des integrationspolitischen Mainstreams aufgestellt hat – piep, piep, piep, wir haben uns alle lieb –, hat sie überdurchschnittlich verloren“, sagte Sarrazin. In Neukölln habe die SPD mit Heinz Buschkowski, der ähnliche die Thesen und Analysen vertrete, trotz des dortigen hohen Einwandereranteils dazugewonnen. (krk) 

> Institut für Staatspolitik: Ein Jahr nach Sarrazin. Eine Debatte und ihre Folgen 

jeudi, 22 septembre 2011

Nouveau sondage IPSOS

 

 

L’insitut IPSOS a publié le 4 août un sondage qui dérange.

 

Donc vous n’entendrez pas trop parler de lui dans les médias, ou alors très brièvement, et les idéologues vont travailler dur pour censurer sa publication. Pourtant, il s’agit d’un raz de marée social à l’échelle européenne.

 

« Vision globale sur l’immigration », c’est son titre, a été mené entre le 15 et 28 juin auprès d’un échantillon représentatifs de citoyens de neufs pays européens : Belgique, Grande Bretagne, France, Allemagne, Hongrie, Italie, Pologne, Espagne et Suède.

 

Des sondages de ce type existent déjà, mais localement. C’est une des premières fois, à ma connaissance, que les pays européens sont sondés en même temps sur le même sujet, et que les réponses sont mises en perspective, pays par pays.

 

Je publie ci dessous le sondage complet afin que chacun puisse prendre connaissance en toute transparence des questions posées, et puisse juger de sa pertinence (1).

 

Autant dire que les résultats bouleversent tous les clichés et s’inscrivent à l’envers de la rengaine habituelle du mieux vivre ensemble et de la diversité multiculturelle. Ce n’est guère surprenant, car nous avons tous le sentiment que les médias manipulent et diabolisent ce sujet tabou.

 

Grande première, il est maintenant prouvé que les sentiments négatifs vis à vis de l’immigration ne sont pas du tout le fait des extrémistes de droite et des populistes, comme aiment à le répéter les tenants du politiquement correct et les censeurs.

 

Cela n’empêchera pas nos élites de service de continuer à le soutenir, ou de contester les résultats, mais au moins, vous êtes maintenant informé que vous n’êtes ni un pestiféré, ni un xénophobe honteux.

 

Si vous êtes d’extrême droite ou identitaire, sachez que la majorité de la population, qui n’a pas d’attirance pour le Front National, pense comme vous : « il y a trop d’immigrants en Europe ». Toute la question revient alors à ne pas franchir la ligne rouge du racisme. Trop d’immigrants ne veut pas dire qu’ils doivent être traités comme une sous-race, mais absolument pas comme des privilégiés sociaux.

 

Question : « pensez-vous qu’il y a trop d’immigrants dans votre pays ? »

 

( Bleu = beaucoup trop. Gris = ni trop ni trop peu. Vert = pas du tout. Noir = ne sait pas)

 

72% de la population belge affirment fortement que oui, ainsi que,

71% des anglais

67% des italiens

67% des espagnols

53% des allemands

52% des français

50% des hongrois

46% des suédois

Et, en confirmation de ce qui précède, seulement 29% des polonais, qui n’ont que 0.1% d’immigrés.

 

Premier constat : les immigrés sont majoritairement vécus comme une mauvaise nouvelle, la moyenne européenne étant 56%.

 

Second constat : ce n’est pas tant leur nombre que leur niveau d’intégration qui dérange. En France, il y a deux fois plus de musulmans que partout ailleurs en Europe. Pourtant c’est en Belgique et en Grande Bretagne, là où ils refusent le plus vigoureusement l’intégration, qu’ils sont le moins bien perçus.

 

Question : « pensez-vous que le nombre d’immigrants à augmenté ces cinq dernières années ? »

 

( Bleu = beaucoup trop. Gris = ni trop ni trop peu. Vert = pas du tout. Noir = ne sait pas)

 

Hélas, la réponse est un OUI écrasant. 94% en Belgique. Près de 80% des citoyens, en Italie, en Grande Bretagne, en Espagne, en Hongrie, et en France pensent que le nombre d’immigrés a énormément augmenté, tandis que 3% des européens pensent qu’il a baissé.

 

Question : « Pensez-vous que l’immigration a eu un impact positif ou négatif sur votre pays ? »

 

( Bleu = très positif. Gris = ni positif ni négatif. Vert = très négatif. Noir = ne sait pas)

 

C’est la question qui tue. Les politiques ne demandent jamais l’avis des citoyens, ou alors pour les traiter de populistes et les désigner à la vindicte    (populaire).

 

72% des belges pensent que l’impact est TRES négatif !

64% des anglais, 56% des italiens, 55% des espagnols, 54% des allemands, 54% des français en pensent autant, ce qui, sans surprise, ressemble au 57% de non du référendum suisse sur les minarets.

 

Question : « pensez-vous que l’immigration impose trop de pressions sur les services publics de votre pays (par exemple la santé, les transports, l’éducation)

 

( Bleu = beaucoup trop. Gris = ni trop ni trop peu. Vert = pas du tout. Noir = ne sait pas)

 

Ce sont les anglais, pour 76% d’entre eux, qui se sentent le plus sous pression, suivis de 70% des espagnols, 68% des belges, 58% des allemands, et 56% des français.

 

Question : « les immigrants font-ils de votre pays un lieu plus intéressant à vivre ? »

 

( Bleu = très certainement. Gris = ni plus ni moins. Vert = pas du tout. Noir = ne sait pas)

 

Ils ne sont pas nombreux, les européens qui pensent que l’immigration a un apport positif…

18% des espagnols et des italiens, 19% des belges, 28% des français, 33% des anglais et 35% des allemands. Un désastre pour ceux qui défendent, comme des lobotomisés, que l’immigration est une chance.

 

Question : « pensez-vous que l’immigration est bonne pour l’économie ? »

 

( Bleu = très. Gris = ni bonne ni mauvaise. Vert = pas bonne du tout. Noir = ne sait pas)

 

Là encore, les citoyens européens sont loin d’être convaincus ! Les journalistes auraient donc totalement échoué dans leur travail de lavage de cerveau ? Rohhhh…

18% des belges, 23% des allemands, 24% des français, et moins d’un anglais, d’un suédois, d’un espagnol et d’un italien sur trois pensent que oui.

 

Détail intéressant, il n’y a pas que les gauchistes et droit de l’hommistes qui ravaleront leur salive, en lisant ce sondage. Le Front National aussi. Son discours sur l’immigré qui prend le travail des français ne semble pas convaincre : 34% des français pensent que ce n’est pas vrai, 22% ne sont ni convaincus dans un sens ou dans l’autre, et une minorité de 41% pensent que c’est exact.

 

Coincés entre incompétence et panique, entre idéologie et police de la pensée, aucun homme politique, aucun parti politique, en France, ne tentera d’intégrer les immigrés et leurs enfants. Pas même le FN. Et comme il n’est pas question de les jeter dehors comme le font les pays musulmans avec les chrétiens et les juifs…. 

 

Reproduction autorisée avec la mention suivante et le lien ci dessous :

© Jean-Patrick Grumberg pour www.Drzz.fr

 

(1) http://www.ipsos-na.com/download/pr.aspx?id=10883

lundi, 12 septembre 2011

Racial War & the Implosion of the System

 

London-Riot-2011-Fighting-W.jpg

Racial War & the Implosion of the System

by Pierre Vial

Translated by Greg Johnson

Ex: http://www.counter-currents.com/

Burning buildings, stores and shopping malls robbed and vandalized, streets strewn with debris, blackened carcasses of buses, cars, police vehicles . . . These images of London, Birmingham, Bristol, and Liverpool have been beamed around the world on television. They evoked what Labour deputy Diane Abbott called “a war zone” (a theater, said Le Monde on August 10th, of “urban guerrilla warfare”).

The French media immediately wanted to set the tone for interpreting these events: it is the fault of social tensions due to cuts in public funds for the most vulnerable; it is the fault of unemployment and thus idleness; and it is the fault, of course, of the British police force (“the blunders of the police force” according to the conservative daily Daily Mail, just as false as the French newspapers). All is explained . . . and the hooded rioters are “youths” with restless hearts. Well-organized, all the same (one is thus far from the spontaneous and superficial reactions of hooligans), with a communications system well-enough developed to sustain the assault waves for several successive days.

But what about the government? Prime Minister Cameron, the Minister of the Interior, the Minister for Finance, the mayor of London were all . . . on vacation (Cameron in Italy). The rioters were definitely ill-bred to choose such a moment. They could have awaited their return.

It is undeniable that the social climate deteriorated by unfettered liberalism has caused much discontent. But that was merely grafted on a will to racial confrontation. The death of a West-Indian delinquent during a police operation against the West-Indian gangs was the pretext of the outbreak of the riots. The first nucleus of revolt was the district of Tottenham, euphemistically described as “multiethnic,” the majority of its population being of West-Indian origin. The rioters wished to show—and they succeeded—that they could rule the streets in defiance of white power and order. Even Le Monde, in spite of its ideological presuppositions, recognized in passing (August 9th) that it was “about the most serious racial confrontation in the United Kingdom since the Oldham disorders of 2001” and that there was thus indeed a “race riot.”

The shine has come off multiculturalism, which has long been presented as the British answer to racial tensions, and which Cameron recently admitted is a failure (as did Angela Merkel of Germany). It was based on the irenic conviction that various racial communities could cohabit harmoniously in the same territory. This illusion is due to the ideological presuppositions that one finds on the right as well as on the left among intellectuals who simply deny the burden of reality. Realities so disturbing to their mental comfort that they must be stubbornly denied. Until the day they catch up with you . . .

This day has come for many Britons. As Libération (August 16th) notes, they are following the advice being reproduced on large placards posted by the police or painted on the plywood covering broken shop windows: it is necessary to locate and denounce the “rats in hoods” (in England as in France the immigrant delinquents like to hide their faces). In particular, self-defense militias are setting themselves up to ensure order and safety in the threatened districts. To mitigate the inefficiency of a police force paralyzed by politically correct taboos (as admitted by a bobby quoted in Le Monde on August 12th: “The order was to intervene with caution to avoid the charges of brutality, of racism.”)

The present System, sapped by its internal contradictions, is in the process of imploding. Racial warfare is now bubbling beneath the surface in many European countries. Now is the time to denounce without respite the devastations of liberal capitalism and to preach a realistic, that is to say, a racialist, conception of a society in order to free the minds and will to resistance and reconquest or our European brothers.

Source: http://tpprovence.wordpress.com/ [2]

 


Article printed from Counter-Currents Publishing: http://www.counter-currents.com

URL to article: http://www.counter-currents.com/2011/08/racial-war-and-the-implosion-of-the-system/

Racial War & the Implosion of the System

By Pierre Vial

Translated by Greg Johnson

Ex: http://www.counter-currents.com/

Burning buildings, stores and shopping malls robbed and vandalized, streets strewn with debris, blackened carcasses of buses, cars, police vehicles . . . These images of London, Birmingham, Bristol, and Liverpool have been beamed around the world on television. They evoked what Labour deputy Diane Abbott called “a war zone” (a theater, said Le Monde on August 10th, of “urban guerrilla warfare”).

The French media immediately wanted to set the tone for interpreting these events: it is the fault of social tensions due to cuts in public funds for the most vulnerable; it is the fault of unemployment and thus idleness; and it is the fault, of course, of the British police force (“the blunders of the police force” according to the conservative daily Daily Mail, just as false as the French newspapers). All is explained . . . and the hooded rioters are “youths” with restless hearts. Well-organized, all the same (one is thus far from the spontaneous and superficial reactions of hooligans), with a communications system well-enough developed to sustain the assault waves for several successive days.

But what about the government? Prime Minister Cameron, the Minister of the Interior, the Minister for Finance, the mayor of London were all . . . on vacation (Cameron in Italy). The rioters were definitely ill-bred to choose such a moment. They could have awaited their return.

It is undeniable that the social climate deteriorated by unfettered liberalism has caused much discontent. But that was merely grafted on a will to racial confrontation. The death of a West-Indian delinquent during a police operation against the West-Indian gangs was the pretext of the outbreak of the riots. The first nucleus of revolt was the district of Tottenham, euphemistically described as “multiethnic,” the majority of its population being of West-Indian origin. The rioters wished to show—and they succeeded—that they could rule the streets in defiance of white power and order. Even Le Monde, in spite of its ideological presuppositions, recognized in passing (August 9th) that it was “about the most serious racial confrontation in the United Kingdom since the Oldham disorders of 2001” and that there was thus indeed a “race riot.”

The shine has come off multiculturalism, which has long been presented as the British answer to racial tensions, and which Cameron recently admitted is a failure (as did Angela Merkel of Germany). It was based on the irenic conviction that various racial communities could cohabit harmoniously in the same territory. This illusion is due to the ideological presuppositions that one finds on the right as well as on the left among intellectuals who simply deny the burden of reality. Realities so disturbing to their mental comfort that they must be stubbornly denied. Until the day they catch up with you . . .

This day has come for many Britons. As Libération (August 16th) notes, they are following the advice being reproduced on large placards posted by the police or painted on the plywood covering broken shop windows: it is necessary to locate and denounce the “rats in hoods” (in England as in France the immigrant delinquents like to hide their faces). In particular, self-defense militias are setting themselves up to ensure order and safety in the threatened districts. To mitigate the inefficiency of a police force paralyzed by politically correct taboos (as admitted by a bobby quoted in Le Monde on August 12th: “The order was to intervene with caution to avoid the charges of brutality, of racism.”)

The present System, sapped by its internal contradictions, is in the process of imploding. Racial warfare is now bubbling beneath the surface in many European countries. Now is the time to denounce without respite the devastations of liberal capitalism and to preach a realistic, that is to say, a racialist, conception of a society in order to free the minds and will to resistance and reconquest or our European brothers.

Source: http://tpprovence.wordpress.com/ [2]

 


Article printed from Counter-Currents Publishing: http://www.counter-currents.com

URL to article: http://www.counter-currents.com/2011/08/racial-war-and-the-implosion-of-the-system/

jeudi, 08 septembre 2011

Multikulti-Schock: Migranten wollen keine Roma-Kinder an Schulen

Multikulti-Schock: Migranten wollen keine Roma-Kinder an Schulen

Udo Ulfkotte

Die multikulturelle Schein-Idylle bricht immer schneller auseinander. Gerade erst haben wir darüber berichtet, dass amerikanische Indianer aus rein rassistischen Gründen Schwarze verjagen. Und schon kommt die nächste schockierende Nachricht: In Belgien wollen Migranten ihre Kinder nicht länger in Schulklassen mit anderen Migrantenkindern schicken. Vor allem Roma und christliche Osteuropäer lehnen sie strikt ab. Mitten in Europa bricht aus Sicht der Migranten nun auseinander, was ohnehin nicht zusammen gehört.

 

 

Die Belgier rieben sich in den vergangenen Tagen verwundert die Augen. Sie lasen Schlagzeilen in den Zeitungen wie »Ook allochtonen ontvluchten concentratiescholen«. Das bedeutet übersetzt, dass Ausländer keine Schulklassen mit vielen Ausländerkindern wollen. In solchen Artikeln heißt es dann, intelligente Migranten zögen überall ihre Kinder aus Schulklassen mit hohem Ausländeranteil ab und schickten diese lieber in »weiße Vorstädte« zum Unterricht, wo noch möglichst wenig Migrantenkinder seien. In einer Stadt wie Antwerpen findet man deshalb jetzt in der Innenstadt an den Schulen fast nur noch Ausländerkinder und in den Schulen der Vorstädte die Kinder der Einheimsichen und von intelligenteren Migranten.

Mehr: http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/deutschland/udo-ulfkotte/multikulti-schock-migranten-wollen-keine-roma-kinder-an-schulen.html

lundi, 05 septembre 2011

Hervé Juvin sur l'immigration de peuplement

Immigration de peuplement: le sujet qui ne dit pas son nom

Communication d'Hervé Juvin


mercredi, 31 août 2011

Guerre raciale et implosion du système

Guerre raciale et implosion du système

Pierre Vial

Ex: http://tpprovence.wordpress.com/

Immeubles incendiés, magasins et centres commerciaux dévalisés et vandalisés, rues jonchées de débris, de carcasses noircies de bus, de voitures, de véhicules de police… Ces images de Londres, de Birmingham, de Bristol, de Liverpool ont fait, en boucle, le tour du monde par télévisions interposées. Elles évoquaient bien ce que la députée travailliste Diane Abbott a appelé « une zone de guerre » (théâtre, reconnaît Le Monde du 10 août, d’une « guérilla urbaine »).

Les media français ont tout de suite voulu donner le ton pour interpréter ces événements : c’est la faute de tensions sociales dues à la réduction des financements publics en faveur des plus démunis, c’est la faute du chômage et donc du désoeuvrement… et c’est la faute, bien sûr, de la police britannique (« les gaffes de la police » a titré le quotidien conservateur Daily Mail, tout aussi faux cul que les journaux français). Tout s’explique… et les casseurs cagoulés sont des « jeunes » ayant du vague à l’âme. Bien organisés, tout de même (on est donc loin de la réaction spontanée, épidermique, de hooligans), avec un système de liaison bien au point pour relancer les vagues d’assaut pendant plusieurs jours.

Mais que faisait le gouvernement ? Le premier ministre Cameron, le ministre de l’intérieur, le ministre des finances, le maire de Londres étaient…en vacances (Cameron en Italie). Les casseurs sont décidément bien mal élevés de choisir un moment pareil. Ils auraient pu attendre la rentrée.

Il est incontestable que le climat social détérioré par un libéralisme débridé a de quoi susciter bien des rancoeurs.  Mais celles-ci sont venues se greffer sur une volonté d’affrontement racial. La mort d’un délinquant antillais au cours d’une opération montée par  la police contre les gangs antillais a été le prétexte du déchaînement des émeutes. Le premier foyer d’insurrection a été le quartier de Tottenham, qualifié gentiment de « multiethnique » et dont la majorité de la population est d’origine antillaise. Celle-ci a voulu montrer – et elle a réussi – qu’elle pouvait se rendre maîtresse de la rue, en défiant un pouvoir et un ordre blancs. Même Le Monde, malgré ses a priori idéologiques, a reconnu au passage (9 août) qu’il s’agissait « du plus sérieux affrontement racial au Royaume-Uni depuis les troubles d’Oldham en 2001 » et qu’il y avait donc bel et bien « émeute raciale ».

Ce qui fait voler en éclat ce multiculturalisme, présenté pendant longtemps comme le modèle britannique de réponse aux tensions raciales et dont Cameron reconnaissait récemment (tout comme Angela Merckel pour l’Allemagne) qu’il était un échec. Il était basé sur la conviction irénique que des communautés raciales diverses pouvaient cohabiter harmonieusement sur un même territoire. Illusion due à des présupposés idéologiques qu’on retrouve tant à droite qu’à gauche chez des intellectuels qui refusent tout simplement le poids des réalités. Des réalités trop dérangeantes pour leur confort mental et qu’il faut donc nier obstinément. Jusqu’au jour où elles vous rattrapent…

Ce jour est arrivé pour beaucoup de Britanniques. Comme le reconnaît Libération (16 août) ils suivent les conseils figurant sur de grandes affiches placardées par la police ou les inscriptions peintes sur les panneaux de contreplaqué remplaçant les vitrines brisées des commerces : il faut repérer et dénoncer « les rats à capuche » (en Angleterre comme en France les délinquants immigrés aiment pouvoir se dissimuler le visage pour éviter d’être identifiés).  Surtout, des milices d’autodéfense se sont mises en place pour assurer ordre et sécurité dans les quartiers menacés. Pour pallier l’inefficacité d’une police paralysée par les tabous du politiquement correct (aveu d’un bobby publié par Le Monde du 12 août : « L’ordre était d’intervenir avec circonspection pour éviter les accusations de brutalité, de racisme »).

Le Système en place, miné par ses contradictions internes, est en train d’imploser, la guerre raciale montrant qu’elle est désormais sous-jacente dans nombre de pays européens. C’est donc bien en dénonçant sans répit les ravages du capitalisme libéral et en prêchant une conception réaliste, c’est à dire racialiste, de la société que nous pourrons contribuer à la libération mentale et à la volonté de résistance et de reconquête de  nos frères européens.

Pierre Vial

Amerikanische Cherokee-Indianer verbannen Schwarze

Multikulti-Kernschmelze: Amerikanische Cherokee-Indianer verbannen Schwarze

Udo Ulfkotte

Indianer genießen bei Multikulti-Fans und Anti-Rassisten großes Ansehen. Schließlich haben Weiße diese rassistisch verfolgt und dezimiert. So ist es denn kein Wunder, dass die deutschsprachigen Multikulti-Medien uns jetzt verschweigen, was der zweitgrößte amerikanische Indianerstamm gerade macht: Er verhält sich extrem rassistisch. Alle schwarzen Cherokee werden gerade brutal diskriminiert und rassistisch aus dem Stamm geworfen. Denn mit den Nachkommen von schwarzen Sklaven wollen die Cherokee künftig nichts mehr zu tun haben.

Mehr: http://info.kopp-verlag.de/hintergruende/enthuellungen/udo-ulfkotte/rassisten-schock-fuer-multikulti-fans-cherokee-indianer-verbannen-schwarze.html

 

 

mardi, 23 août 2011

The German Death Wish

The German Death Wish

Frank Ellis reviews German’s huge best seller.

Ex: http://www.amren.com/

Thilo Sarrazin, Germany Consigns Itself to Oblivion: How We Are Putting Our Country at Risk, Deutsche Verlags-Anstalt, München, 2010, 410 pp. (in German, with German title: Deutschland schafft sich ab: Wie wir unser Land aufs Spiel setzen) €22.99.

Like all Western nations, Germany suffers from waves of immigrants who clearly have no intention of integrating, and from a duplicitous political class that harries its citizens to accept what they instinctively know is wrong. At the same time, because of the Nazi period, the pressure on Germans to conform to the United Nations-sponsored ideology of multiculturalism has been immense. Many Germans themselves treat any assertion of national German pride as a manifestation of neo-Nazi tendencies, as something hideously offensive and shameful.

Germany Consigns Itself to Oblivion, by Thilo Sarrazin

It is this specifically German context that makes the publication of Thilo Sarrazin’s book so remarkable. It is all the more remarkable for having been written by one of Germany’s top technocrats, a person at the very heart of the administrative establishment. Clearly, Mr. Sarrazin, who was until last September 30 on the executive board of the Deutsche Bundesbank, has had enough. He instinctively grasps the truth of Solzhenitsyn’s eleventh commandment: “Thou shall not live by the Lie.” The fact that Mr. Sarrazin’s book has become a best seller in Germany and attracted enormous support may well have prompted Angela Merkel, the German Chancellor, publicly to admit in October that multiculturalism has utterly failed in Germany. Indeed, it has, and not just in Germany.

The title of Mr. Sarrazin’s book has generally been translated as Germany is Abolishing Itself or Germany is Doing Away With Itself. I believe a translation of the German verb abschaffen that does justice to the implications of the book’s themes would be Germany Consigns Itself to Oblivion, or even Germany Commits Suicide or Germany’s Death Wish.

Mr. Sarrazin’s avalanche of evidence and professional analyses left me in no doubt that the suicide diagnosis is accurate. The author underlines the rather obvious but easily forgotten point that Germany is Germany “by virtue of its inhabitants and their living intellectual as well as their cultural traditions. Without the people it would merely be a geographical term.” The same, of course, is true of England, Denmark, China, or Zimbabwe. Mr. Sarrazin notes that for decades it has not been possible to talk about the preservation of Germany, since the left-wing media denounce such talk as Nazi, racist, and xenophobic. Mr. Sarrazin destroys the silence.

Like the highly trained member of the German technocracy that he is, Mr. Sarrazin presents thoroughly researched arguments. Each chapter addresses some aspect of the immigrant problem — poverty, fertility, declining mean IQ and educational standards, spiralling welfare payments, left-wing and intellectual cowardice, the relentless Islamification of Germany — providing the reader with a series of brilliantly written mini-monographs. The whole leads inexorably to his synthesis and the work’s devastating conclusions. Germany Consigns itself to Oblivion is a masterly display of erudition and logical exposition.

Thilo Sarrazin
Thilo Sarrazin discussing his book.

To begin with, Germans, especially high-IQ women, are not having enough children, and the population of indigenous Germans is dropping below replacement rate. This is not, however, a justification for immigration: “[T]he natural population decrease in one country or group of countries may not serve as the basis morally and politically to justify immigration or seizure of land. The territorial principle is an inviolable component of state sovereignty and respect for it serves to maintain peace.”

Mass immigration from the Third World, primarily Turkey, the Middle East and Africa, will not solve the problem of Germany’s aging population because the country’s economic future lies in its human and intellectual capital. Mr. Sarrazin cites studies by Richard Lynn, Tatu Vanhanen, and others that show the average intelligence of people from these areas is well below the European average. He goes on to note that “the three immigrant groups with the greatest lack of education and the highest social costs [Turks, Middle Easterners, and Africans] are also those who are reproducing themselves the most.”

Very few Turks who came to Germany as workers ever returned home. Instead, their families joined them from Turkey, and this has created a huge, hostile underclass. Mr. Sarrazin calls the entire guest worker program “a gigantic error.” He notes that some of the problems Muslims bring are: Below average employment, above average dependence on welfare and handouts, above average fertility, segregation with a tendency to create parallel societies, above average religious participation with an attraction to fundamentalist Islam, and above average criminality and participation in terrorism.

One of the classic features of the black, white, or any underclass is addiction to television. It is the international underclass’s narcotic.

Mr. Sarrazin notes that Germany’s generous, typically European welfare state is cracking under the strain of millions of jobless Third-World immigrants. He nevertheless insists that those who cannot feed themselves and their progeny “should and must be helped.” But what happens when their numbers rise to the point that the means to clothe and feed the poor can no longer be found? The honest answer is that human beings who engage in reckless personal breeding experiments should be free to suffer the consequences, but this is farther than Mr. Sarrazin is prepared to go.

In any case, immigrants who live in parallel societies, courtesy of German and European taxpayers, and who have no intention of integrating cannot be considered fellow citizens. They are aliens who, in my view, do not meet the conditions laid down by Mr. Sarrazin for taxpayer charity. Furthermore, Mr. Sarrazin’s arguments in favor of welfare for foreigners living in Germany are the moral basis for massive transfers of German and European wealth to the Third World. It is common to claim that the starving and diseased in Somalia or Haiti — or wherever the latest Third-World disaster happens to be — are fellow citizens of the world and thus entitled to our money. This is what prompts the demented do-goodery of multimillionaire celebrities and pop stars who want other people’s taxes to subsidize reckless breeding everywhere.

German Turks
“German” Turks wave their flag.

In any case, as Mr. Sarrazin points out, attitudes towards poverty are driven by emotion rather than analysis. He notes that “the poverty risk threshold in Germany today is higher than the average net income of Germans at the high point of the economic miracle at the start of the sixties.” Mr. Sarrazin has even tested his theories about the largesse of the German welfare system. Before he wrote Germany Consigns Itself to Oblivion, he and his wife famously demonstrated that it is possible to live well and healthily on the money provided by the German welfare system. The publicity surrounding this experiment resulted in a television program, and a cameraman told Mr. Sarrazin he had been instructed not to film the apartments of welfare recipients because they were full of electronic gadgets.

Mr. Sarrazin identifies three reasons why any challenge to welfare provokes so much emotion. First, the recipients themselves like the system. Second, hordes of researchers and bureaucrats depend on it for their jobs. Third, if it is possible to live adequately on welfare but those on it do not, it is their own fault rather than some existential catastrophe. It is this last point that triggers the most rage and aggression.

Mr. Sarrazin describes the effects of Germany’s generous welfare, quoting one account of the chaos of life of an immigrant Turkish family that concludes with the observation, “And the flat screen television is always on, always.” It seems that one of the classic features of the black, white, or any underclass is addiction to television. It is the international underclass’s constant narcotic.

Turkish apartments in Germany
Even Turks on welfare watch Turkish
TV with their dish antennas.

Mr. Sarrazin also writes about a small German town where the population of 300 Turks is derived from just two families. One of them boasts, “We don’t need the Germans.” Mr. Sarrazin also mentions Neukölln, one of the boroughs of Berlin, which is just one of many areas where immigrants have displaced the indigenous population. “A German going through these districts would feel like a foreigner in his own country,” he notes, an experience now available to the citizens of virtually any white country.

As in other European countries, the mainstream media ignore immigrant crime or fail to name or describe the criminals, because to do so would show that the perpetrators are immigrants. “Who is actually helped when facts in the public domain are suppressed ...?” asks Mr. Sarrizin. “Certainly neither the truth nor clear analysis or integration.”

Mr. Sarrazin concludes his book with two scenarios: nightmare and salvation. In the nightmare scenario he looks ahead to the end of the 21st century. He sees a Germany that is no longer German. Rampant welfare spending and the failure to control Third-World immigration have effectively turned Germany into a Muslim state. Germany’s famous churches, including Cologne cathedral, have been converted into mosques. There are demands for a new German flag, one with a crescent and star.

Salvation, if it is still possible, comes from the populist right-wing parties all across Europe. Immigration controls are tightened, educational standards rise, and high-IQ women start having more children. The migrant quarters in the big cities shrink and far less Turkish and Arabic is heard on the streets. Germany has been brought back from the brink.

What makes Germany Consigns itself to Oblivion so valuable is Mr. Sarrazin’s fearless, rational honesty. Germans reading this book must experience something similar to that of a Russian reading a samizdat version of Solzhenitsyn’s Gulag Archipelago during the Cold War: an exhilarating experience that only the honest search for truth can deliver. I salute Mr. Sarrazin for his moral courage and intellectual acumen; and God bless his great nation in the struggle to save itself from oblivion.

Editor’s note: Germany Consigns itself to Oblivion was published in Germany in August 2010. It immediately shot to the top of the sales chart at Amazon.de, and dropped to number two only in late December. At that time it had 441 reader reviews, of which 73 percent were five stars, and 13 percent were four stars. Let us hope its enormous success will be the first step back from the brink.

Frank Ellis is an expert in Russian and Slavonic studies who took early retirement from Leeds University in 2006 after publicly stating he believed there is a substantial genetic contribution to racial differences in average intelligence. AR

mardi, 09 août 2011

Tottenham und die Angst der Medien

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Tottenham und die Angst der Medien

Martin LICHTMESZ

Ex: http://www.sezession.de/

Auch die Süddeutsche Zeitung hat über das „Outing“ des norwegischen Bloggers Fjordman alias Peder Jensen berichtet, mit der typischen Hilflosigkeit der Liberalen, wenn sie mit Gedanken jenseits ihrer Weltbildblase konfrontiert werden. Der Autor kann beispielsweise kaum fassen, wieso jemand eine solche Wut auf „Politiker und Medien“ haben kann, „die ein friedliches Nebeneinander der Kulturen befürworteten“, ganz so, als ob das „friedliche Nebeneinander“ durch die gute Absicht allein schon gewährleistet sei.

Diese Hilflosigkeit zeigt sich im Wollknäuelscharfsinn von Absätzen wie diesen:

Jensen hat Medienwissenschaften in Oslo studiert und Arabisch an der American University in Kairo. Seine 2004 eingereichte Magisterarbeit handelt von der Blogger-Szene in Iran. Er hatte also Kontakt zu der ihm verhassten Kultur. Eine Erfahrung, die er mit manchen Islamisten gemein hat: So haben viele der Attentäter vom 11. September im Westen studiert.

Das kommt davon, wenn man nicht zu verstehen versucht, sondern stattdessen die erstbesten Assoziationen rausbrettert, die man mal eben in seinem Hirn vorfindet. Dann ergeben sich auch drollige küchenpsychologische Spekulationen wie diese:

Wo Jensens Wut herkommt, ist schwer zu ergründen. Möglicherweise spielt gekränkte Eitelkeit eine Rolle. Er habe versucht, seine Ansichten in Leserbriefspalten unterzubringen, sei aber „zensiert“ worden, klagt er im Interview. Bei Seiten wie „Gates of Vienna“ fand er dagegen Bestätigung.

Na klar, das wird’s gewesen sein, was denn sonst könnte so eine Wut hervorrufen! Die geistige Harmlosigkeit der Liberalen, die aus solchen Zeilen spricht, ist immer wieder verblüffend.  Sie können wohl nicht anders, als von ihren schlichten Gemütern auf andere zu schließen.

„Wo Jensens Wut herkommt“, wird man indessen wohl besser verstehen, wenn man den Aufsatz zur Gänze liest, aus dem die SZ einen Satz inkriminiert hat. Dieser geht von der sich verschärfenden Lage in Großbritannien aus:

Im Jahr 2009 ist herausgekommen, dass die regierende Labour-Partei, ohne die Bürger zu befragen, Britannien absichtlich mit mehreren Millionen Immigranten überflutet hat, um in einem Akt des social engineering ein „wirklich multikulturelles“ Land zu konstruieren. Demnach war das riesige Ansteigen der Migrantenzahlen im vorausgegangenen Jahrzehnt zumindest teilweise auf den politisch motivierten Versuch zurückzuführen, das Land radikal zu verändern und „die Nasen der Rechten in (ethnische) Verschiedenheit zu stoßen“, so Andrew Neather, ein ehemaliger Berater des Premierministers Tony Blair. Er sagte, die Masseneinwanderung sei das Resultat eines absichtlichen Planes, aber die Minister möchten nicht so gern darüber sprechen, weil sie befürchten, dass ihnen dies den „Kern ihrer Wählerschaft, die Arbeiterklasse“, entfremden könne.

Lord Glasman – ein persönlicher Freund des Labour-Führers – hat 2011 festgestellt, dass „Labour die Leute über das Ausmass der Einwanderung belogen hat … und dass es einen massiven Vertrauensbruch gegeben habe“. Er hat zugegeben, dass die Labour Party sich zuweilen wirklich feindlich gegenüber den einheimischen Weißen verhalten hat. Im besonderen habe es die Sichtweise gegeben, dass die Wähler aus der weißen Arbeiterklasse „ein Hindernis für den Fortschritt“ seien.

(…)

m Juni 2007 hat sich der damalige britische Premierminister Tony Blair, zusammen mit dem Schatzkanzler (und Möchte-gern-Premier) Gordon Brown und dem Parteiführer (und ebenfalls künftigem Premier) David Cameron, mit Moslem-Führern auf einer vom Cambridge Inter-Faith Programme organisierten Konferenz getroffen. In seinen Eröffnungswortenverteidigte er den Islam als eine Religion „der Mäßigung und der Modernität“ und kündigte einen Regierungsfond an, der das Lehren des Islams und die Ausbildung der Imame unterstützen solle, und bezeichnete islamische Studien als von „strategischer Wichtigkeit“ für das Interesse der britischen Nation. Timothy Winter, ein Dozent für Islamische Studien an der Universität Cambridge, sagte, „die Frage, die sich der britischen Gesellschaft – und nicht nur dieser – stellt, ist nicht, wie man Minderheiten ermutigen kann, sich auf die westlichen Gesellschaften einzulassen, sondern wie diese Gesellschaften sich als eine Collage verschiedener religiöser Kulturen definieren“.

Dies sind Informationen, die öffentlich zugänglich und für jedermann einsehbar sind.  Die politischen Tendenzen und Absichten, die sich darin ausdrücken, sind in eine Sprache verpackt, die letztlich nichts anderes meint, als dies:

In anderen Worten: Britannien, Deutschland, Frankreich, die Niederlande, Italien, Schweden, Irland, Spanien und andere westliche Länder mit weißen Mehrheiten sind keine Länder mit einem spezifischen Erbe mehr, nur noch zufällige Gebiete auf der Landkarte, die darauf warten, mit „Collagen verschiedener Kulturen“ aufgefüllt zu werden.

Das wird, versehen mit seitenverkehrter Wertung, jeder Multikulturalist unterschreiben, und das ist es, was sich hinter der Phrase vom „friedlichen Nebeneinander“ (oder war es nicht doch einmal ein „Miteinander“, das man irgendwann fallen lassen mußte, liebe SZ?) verbirgt. Allerdings ist eine Tatsache, daß dieses „Nebeneinander“ alles andere als immer friedlich verläuft, ja, daß es zunehmend immer weniger friedlich verläuft, und das ist mit Garantie nicht die Schuld jener, die so frei sind, diese Tatsache zu benennen.

Besonders Großbritannien hat sich in den letzten Jahrzehnten in eine wahre Hölle aus multiplen ethnischen und kulturellen Spannungen, Überfremdung, Alltagsgewalt, organisiertem Verbrechen und dschihadistischer Unterwanderung verwandelt. Die Tendenz ist rapide ansteigend.  Fjordmans Hausseite „Gates of Vienna“ bietet dazu reichlich Material. Als „Crash-Kurs“ reicht ein Artikel von Paul Weston mit dem Titel „Eine Woche im Tod Großbritanniens“ aus.  Ich begnüge mich an dieser Stelle mit dem Hinweis. Auch Weston präsentiert öffentlich zugängliche Fakten. All dies nun im Zusammenhang mit der oben zitierten expliziten multikulturalistischen Agenda der Neather, Blair, Straw et al, die keinerlei Verpflichtung und Solidarität gegenüber dem eigenen Volk mehr kennen wollen.  Wer hier nicht die Augen aufmachen will, dem ist nicht zu helfen.

Und es gibt viele, die nicht nur die eigenen Augen verschlossen halten, sondern auch noch die anderer zu verschließen versuchen.  Zur Zeit geht die Meldung von Krawallen im Stadtteil Tottenham in London durch die Medien.  Wir erleben wieder einmal das übliche Schauspiel, daß ein Massenblatt wie der Spiegel, der in eigener politischer Sache gar nicht hemmungslos genug sein kann, plötzlich ganz zaghaft wird, das Kind beim Namen zu nennen.

Plünderungen, brennende Autos, verletzte Beamte: In der Nacht zu Sonntag hat London die schwersten Ausschreitungen seit 25 Jahren erlebt – und noch immer dauern die Krawalle an. Auslöser für die Unruhen ist der Tod eines Mannes, der am Donnerstag bei einem Polizeieinsatz erschossen worden war.

London erinnerte in der Nacht zu Sonntag an ein Bürgerkriegsszenario: Eine aufgebrachte Menschenmenge setzte mehrere Polizeifahrzeuge, einen Doppeldeckerbus sowie mehrere Gebäude in Brand. Polizisten wurden mit Molotow-Cocktails und Ziegelsteinen beworfen, acht von ihnen wurden verletzt, einer schwer am Kopf.

Zentrum der Krawalle war der Stadtteil Tottenham. Hier versammelten sich rund 200 Menschen vor einer Polizeiwache. Spezialeinheiten versuchten in der Nacht, die Lage wieder unter Kontrolle zu bringen. Sperren wurden errichtet, berittene Beamte versuchten, die Menge auseinanderzutreiben.

Aufgebrachte Bewohner setzten in der Nacht zum Sonntag mindestens zwei Polizeiwagen, einen Doppeldeckerbus sowie ein Gebäude in Brand. Schaufenster wurden eingeschlagen und Geschäfte geplündert. Die Sicherheitskräfte forderten Verstärkung an, in vielen Teilen der Stadt waren Polizeisirenen zu hören.

Der BBC zufolge dauerten die Krawalle auch im Tageslicht an. „Es sieht wirklich schlimm aus“, sagte der 46-jährige Anwohner David Akinsanya. „Da brennen zwei Polizeiautos, ich fühle mich unsicher.“ In den Straßen machten sich Plünderer mit Einkaufswagen voller gestohlener Sachen davon.

Auslöser der gewalttätigen Auseinandersetzungen war ein noch nicht vollständig aufgeklärter Polizeieinsatz am Donnerstag, an dessen Ende ein 29-Jähriger von einer Polizeikugel getötet worden war. Nach Darstellung der Polizei hatte der vierfache Vater zuerst geschossen. Ein Polizist überlebte demnach nur durch Glück, weil die Kugel des in einem Taxi sitzenden Schützen vom Funkgerät des Beamten aufgehalten worden war. Wie die Londoner Polizei mitgeteilt hat, habe es sich um einen Einsatz bei Ermittlungen in der organisierten Bandenkriminalität gehandelt.

Ein „Bürgerkriegs“-Szenario, lieber Spiegel? Du hast wirklich „Bürgerkrieg“ geschrieben? Sag bloß! Das ist doch der bestimmt der „Bürgerkrieg“, den dieser Carl Schmitt (oder war es Popper?) ausgerufen hat, wie uns neulich Volker Weiß so kenntnisreich aufgeklärt hat. Und wer steht denn da nun auf welcher Seite dieses „Bürgerkriegs“, wo verlaufen seine Fronten, wer sind seine Kombattanten, und warum??

Wenn dem Spiegel, der sich neulich gleich in der Titelzeile an der Blauäugigkeit und Blondigkeit des Attentäters von Oslo so innig geweidet hat, wirklich so sehr an Aufklärung gelegen ist, fragt sich nur, warum der Artikel erst nach etwa 500 Wörtern, ganz am Schluß erst und quasi en passant, einen dezenten Hinweis darauf bringt, was ohnehin jedem Leser schon bei der Schlagzeile klar ist.

Etwas mehr als zehn Kilometer von der Londoner Innenstadt entfernt, zählt Tottenham zu den ärmsten Gegenden Großbritanniens. Fast die Hälfte aller Kinder lebt hier Untersuchungen zufolge in Armut. Der Anteil der Ausländer zählt zu den höchsten im ganzen Land.

„Ausländer“ heißt hier, daß Tottenham heute fast vollständig von afro-karibischen Einwanderern bevölkert wird. „Tottenham und andere von Schwarzen dominierte Gegenden sind de facto unabhängige Kleinstaaten, deren hauptsächliche Verbindung mit der weiteren britischen Gesellschaft in ihrer Rolle als Wohlfahrtsempfänger und Deponien für schlecht verteilte Drogen besteht.“

Der Spiegel steht mit dieser Verschleierungstaktik nicht alleine da. Stichprobenartig: die Welt, die exakt denselben Reuters-Text reproduziert, schweigt, der Stern schweigt, die Financial Times schweigt und natürlich die Süddeutsche,  deren Autoren wohl noch fleißig am Kopfkratzen sind, wieso man denn etwas gegen ein „friedliches Nebeneinander“ haben kann.  Besonderen Sinn für Humor beweist die taz mit der (ernst, nicht sarkastisch gemeinten) Titelzeile „Vorbildlicher Wandel“, nämlich seit den Krawallen von 1985:

Nach den Krawallen blieb das Viertel monatelang von der Polizei besetzt. Doch dann investierte der Staat 33 Millionen Pfund in die Verbesserung der Wohnqualität, der Infrastruktur und der Sicherheit. Heute leben in Broadwater Farm rund 4.000 Menschen mit 39 verschiedenen Nationalitäten. Wollte man früher die Leute schnellstmöglich umsiedeln, ist der Andrang der Wohnungssuchenden heute groß. Broadwater Farm ist eins der sichersten urbanen Viertel weltweit.

Gab es in den drei Monaten vor den Krawallen 1985 noch 875 Einbrüche, 50 Raubüberfälle und 50 tätliche Angriffe, so sind diese Delikte weitgehend unbekannt. Die Krawalle von Samstagnacht in unmittelbarer Nachbarschaft von Broadwater Farm trafen die Polizei deshalb unvorbereitet.

Wenn das alles wirklich so ist (was ich indessen stark bezweifle), was lernen wir daraus, liebe taz?

Es kann letztlich nur einen Grund geben für diese an die Desinformation grenzende Unaufrichtigkeit, ja Verlogenheit: eine Angst, eine Scheißangst vor der Wahrheit über die in ganz Europa gestopften Pulverfässer. Ja, die Liberalen ahnen das Platzen ihrer Blasen, sie ahnen es dumpf, und sie haben Angst. Daher rührt auch ihre Aggressivität gegen diejenigen, die ihnen widersprechen. Ihre Angst ist so groß, daß sie sich stattdessen lieber einreden, daß Warner wie Fjordman nur deswegen so zornig sind, weil sie irgendwann mal einen Leserbrief zensiert bekommen hätten.

Neulich habe ich in diesem Blog den norwegischen Multikulturalismus-Ideologen Thomas Hylland Eriksen zitiert, der es als seine dringlichste Aufgabe sieht, „die Mehrheit… so gründlich (zu) dekonstruieren, daß sie sich nicht mehr als die Mehrheit bezeichnen kann.“ Dieser schrieb anläßlich der Causa Breivik die verräterrischen Sätze:

Jedes Land braucht eine gewissen Grad an Zusammenhalt. Wie viel davon nötig ist, ist eine legitime Streitfrage. Manche glauben, daß der kulturelle Pluralismus ein Rezept für Fragmentierung und den Verlust des Vertrauen ist. Das mag sein, aber nicht notwendigerweise. So lange die öffentlichen Institutionen für jedermann gleichermaßen funktionieren – Bildung, Wohnungswesen, Arbeit und so weiter –, solange kann eine Gesellschaft mit einem beträchtlichen Maß an Diversität leben.

Das ist ein bemerkenswerter Optimismus angesichts eines derart bemerkenswert dünnen Sozialkitts. Wenn die bisher einigermaßen befriedend wirkenden europäischen Sozialsysteme, die heute fast schon den Charakter von Schutzgelderpressungen angenommen haben, infolge der anrollenden Währungs- und Finanzkrisen zusammenbrechen werden, wird sich der soziale Konflikt unweigerlich zum ethnischen Konflikt ausweiten.

Dann wird man wieder an die bittere Prophezeiung Enoch Powells aus dem Jahr 1968 denken, der die Masseneinwanderung als „buchstäblichen Wahnsinn“ bezeichnete.

Es ist, als sähe man einer Nation zu, wie sie sich ihren eigenen Scheiterhaufen errichtet. (…) Wenn ich in die Zukunft blicke, erfüllen mich düstere Vorahnungen. Gleich dem Römer (eine Anspielung auf Vergils „Äneis“), scheint es mir, als sähe ich den  „Tiber schäumen voller Blut“.

Er schloß die Rede, seit der 43 Jahre vergangen sind, mit den Worten:

Nur entschlossenes und schnelles Handeln kann dies noch abwenden. Ob es den öffentlichen Willen gibt, dieses Handeln zu verlangen und durchzuführen, weiß ich ich nicht. Alles was ich weiß, ist, daß zu sehen, aber nicht zu sprechen, großer Verrat wäre.

Es scheint in der Tat so, als ob heute unter den politischen und medialen Eliten Europas der Verrat zur Norm geworden ist. Und diejenigen, die nicht sehen können oder wollen, und all jene, die sehen, aber absichtlich schweigen, wie unsere Kollegen vom Spiegel bis zur Süddeutschen Zeitung, werden bald keine Entschuldigungen und Ausreden mehr für ihr Handeln haben.

Darum: laßt uns sehen, und laßt uns sprechen, solange dies noch möglich ist, solange Sehen und Sprechen das Schlimmste noch abwenden kann.

samedi, 06 août 2011

D. Jamet: "Est-il interdit de parler d'immigration en France"?

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Dominique Jamet : “Est-il interdit de parler d’immigration en France ?”

Source Atlantico cliquez ici

 

L'extrême droite et la droite populiste responsables moraux des attentats d'Oslo ? C'est ce qu'on peut lire dans plusieurs médias nationaux. Preuve qu'il est toujours difficile de parler sereinement d'immigration en France...


ll y a huit ans, le nommé Richard Durn remplissait la mission - « cruelle mais nécessaire » – qu’il s’était assignée, à savoir tuer un maximum de membres du Conseil municipal de Nanterre, ville qu’il disait « exécrer ». Personne – je veux dire personne de bonne foi - ne prétendit alors que le Parti socialiste, les Verts ou la Ligue des Droits de l’homme, trois organisations dont il avait été membre, étaient pour quelque chose dans l’acte de ce dément. Durn lui-même, dans une lettre-testament, avait expliqué qu’il voulait seulement une fois dans son existence se sentir libre et puissant, et conclure sur ce coup d’éclat sa « vie de merde ».

 

L'extrême droite et la droite populiste responsables des attentats d'Oslo ?

 

Aussi bien, dans un premier temps, aucun journal, aucune organisation politique n’ont accusé le Parti du progrès norvégien, et pas davantage le Front national ou l’UMP, d’avoir organisé ou commandité le massacre conçu et perpétré par Anders Breivik, tant il était évident que l’idée tordue d’exterminer le plus grand nombre possible de jeunes Norvégiens pour mieux contenir l’Islam avait germé et fleuri toute seule dans ce cerveau fêlé. Laurent Joffrin a même tenu, avec beaucoup d’élégance, à disculper Robert Ménard et Eric Zemmour et, après réflexion, Elisabeth Lévy : ils n’étaient pas dans le coup.

 

Une telle sagesse, une telle modération ne pouvaient pas durer. Deux jours ne s’étaient pas écoulés que, s’étant ressaisis, le MRAP, SOS Racisme, Rue 89, Libération, après une enquête expresse, désignaient les responsable moraux de la récente tuerie et des tueries à venir : les droites extrêmes, les partis populistes, les apprentis-sorciers de la majorité qui, en faisant de l’immigration le bouc émissaire de tous nos maux, font souffler sur l’Europe et la France, les vents mauvais, les vents « délétères », les vents « nauséabonds » de la xénophobie et du racisme. D’où le réchauffement climatique de la haine, à l’origine de la vague de terrorisme chrétien fondamentaliste que pressentent les augures. Au fait, Benoît XVI a-t-il condamné les crimes de M. Dupont de Ligonnès ?

 

 Il n’est pas douteux que le carnage d’Oslo et les justifications qu’avance son auteur, mégalomane narcissique mais parfaitement conscient de ses actes et cohérent dans son délire, apportent une bouffée d’oxygène bienvenue au discours quelque peu fané des professionnels de l’antiracisme et des docteurs de l’angélisme.

 

L’occasion était trop tentante de ressortir du placard les amalgames les plus éculés et de confondre dans une même condamnation tous ceux qui, sur la base d’analyses, d’inquiétudes, d’intentions et de propositions bien différentes, ont tenu à un moment ou un autre des propos politiquement incorrects sur l’immigration et plus précisément sur la menace que l’Islam ferait peser sur notre culture et notre civilisation. C’est une chaîne longue et lâche dont les premiers maillons s’appellent François Mitterrand (« le seuil de tolérance »), Valéry Giscard d’Estaing (« l’invasion »), Jacques Chirac (« le bruit et l’odeur »), Nicolas Sarkozy (« la racaille »), Alain Finkielkraut (« la France se métisse »).

 

La doxa politiquement correcte de l'immigration

 

Jusque là, tout va bien, mais le discours de Grenoble est-il si différent du discours de Le Pen, M. Guéant ne persécute-t-il pas les sans-papiers, M. Longuet n’a-t-il pas appartenu au mouvement Occident, la Droite populaire, composante de l’UMP n’est-elle pas une passerelle vers le Front national, le Front national est-il aussi éloigné qu’il voudrait le faire croire des Identitaires, lesquels sont bien proches des néonazis qui ne désapprouvent pas Anders Breivik, propagandiste par l’exemple d’une nouvelle solution finale ? Tous populistes, tous extrêmistes, tous racistes ! C’est l’habituelle et insupportable reductio ad hitlerum, l’anathème qui dispense d’explication, l’arme absolue, dans le dialogue, de ceux qui refusent le dialogue, la forme contemporaine du « fasciste ! » qui, des années cinquante aux années quatre-vingt, fut l’efficace joker par lequel les communistes mettaient victorieusement fin à tout débat.

 

Il existe actuellement une doxa politiquement correcte de l’immigration dont il est aussi dangereux de s’écarter que d’un chemin sécurisé à travers un champ de mines.

 

France : terre d'immigration...

 

L’article premier en est que la France a toujours été une terre d’immigration. Les preuves en surabondent d’ailleurs : Blanche de Castille, Pétrarque, Vinci, Anne d’Autriche, Jean-Baptiste Lully, Marie-Antoinette…

 

Aucun immigré en particulier, et l’immigration en général, si l’on en croit la doxa, ne posent aucun problème d’aucune sorte, ni d’ordre public, ni d’ordre social, ni d’ordre culturel, ni d’assimilation. Les seuls problèmes viennent de ceux que nous leur créons, à travers la discrimination, la chasse au faciès, la ghettoïsation, la répression des sans-papiers.

 

Il n’y a aucune différence d’aucune sorte, dans aucun domaine, entre un Français de souche, français depuis vingt générations et un Français naturalisé depuis cinq minutes, un Français binational, un Français francisé, même s’il ne le souhaite pas, parce qu’il est né et a grandi sur notre sol, et un Français heureux bénéficiaire d’un mariage blanc.

 

L’immigration est un enrichissement : elle ouvre notre culture sur les autres cultures, remplit les caisses de la Sécurité sociale, diversifie notre cuisine et crée notamment dans le secteur agricole (l’herbe) et dans le secteur industriel (héroïne, crack et cocaïne) des dizaines de milliers d’emplois.

 

Mais cessons d’enfiler les perles. La vérité est que la France est confrontée depuis la fin de la seconde guerre mondiale à une situation sans équivalent dans son histoire depuis qu’elle existe, c’est-à-dire depuis le dixième siècle et la fin des grandes invasions. Ce pays – le nôtre – à la démographie stagnante, comme tous ses voisins à la population vieillissante, est passé en soixante ans seulement de quarante à soixante-cinq millions d’habitants. Cette augmentation extraordinaire, signe et source de vitalité, s’explique pour l’essentiel (sans que quiconque puisse fournir un chiffre exact, puisque la loi nous interdit de savoir qui nous sommes) par un apport de sang nouveau. Autant qu’on puisse le mesurer, il semble qu’aujourd’hui un habitant de la France sur trois soit étranger, fils ou petit-fils d’étrangers.

 

... en pleine mutation

 

Comment une telle mutation, qui a d’ailleurs coïncidé avec le passage d’une société plus qu’à demi-rurale à une société urbanisée et qui a coïncidé avec la perte d’un certain nombre de repères anciens (l’Eglise, l’armée, la patrie, le drapeau, la famille traditionnelle) pourrait-elle ne poser aucun problème d’adaptation ?

 

Et cela d’autant plus que l’immigration qui a modifié et modifie chaque jour le visage de la France n’est pas une immigration de proximité, géographique et ethnique, donc aisément assimilable, mais une immigration largement africaine et asiatique, principalement musulmane, démographiquement jeune et féconde, socialement pauvre, culturellement différente. Quel rapport avec le racisme ou l’antiracisme a le fait de s’interroger, très légitimement, sur les conséquences que l’immigration peut avoir en termes de niveau de vie, d’évolution des mœurs et de la culture, de sécurité et sur les nouvelles bases de l’identité nationale ? Nous sommes à un tournant, et un tournant difficile, d’une histoire dix fois séculaire.

 

On peut évidemment regarder ailleurs. On peut évidemment n’en jamais parler et n’y jamais penser. On peut estimer que l’immigration est une chance pour la France. Mais la meilleure attitude consiste-t-elle à nier ou à affronter la réalité ?

 

Face à cette réalité, la classe politique installée – les deux grands partis de gouvernement - reste majoritairement sur la ligne qui a sépare la France d’en haut de la France d’en bas, et qui a coupé les élites bien portantes des masses bien souffrantes. Elle sait mieux que le peuple ce qui est bon pour le peuple, et n’aime pas que celui-ci se mêle de ses affaires. A l’inverse, ceux qui, à gauche comme à droite, exploitent les colères et les frustrations du peuple et lui murmurent à l’oreille ce qu’il a envie d’entendre peuvent être dits populistes, entendez démagogues. Mais est-il si choquant d’écouter le peuple, et de tenir compte de ce qu’il vit et de ce qu’il veut ? Le populisme est aussi un visage de la démocratie.

 

lundi, 01 août 2011

A Whimper and a Bang

A Whimper and a Bang

Richard Lynn

Ex: http://www.wermodandwermod.com/

Byron M. Roth, The Perils of Diversity: Immigration and Human Nature. Washington Summit Publishers, 2010, 577 pages.

Dr. Byron Roth, Professor Emeritus of psychology at Dowling College on Long Island, has written an important book on the damage that has been done to the United States and Europe by the large scale immigration of non-European peoples that has taken place in recent decades.

Roth begins The Perils of Diversity by documenting how elite opinion-makers in academia and the mainstream media almost all assume that the peoples of all races are similar, and therefore that they can all be accommodated in the United States and Europe. The principal “debate” is between those who advocate assimilation and those who advocate multiculturalism. While acknowledging that different racial groups can sometimes be in conflict, assimilationists argue that these ethnic problems can be solved through “the magic of assimilation,” in which all races and religions are gradually transformed into Americans or Europeans. The multiculturalists argue that we should let the immigrants keep their culture, beliefs, and practices; this can be accomplished, they say, peacefully, and different communities can live in social harmony. They blame the intolerant attitudes of the host populations in the United States and Europe for the discord that is frequently present: It is the fault of the indigenous American and European peoples, who do not do enough to accommodate immigrants.

Roth argues that both the assimilationists and the multiculturalists fail to understand human nature.

Assimilationists believe that all races have the intelligence and values required to maintain Western civilization, while multiculturalists believe that all races and cultures can live together in social harmony. These beliefs are, Roth argues, seriously incorrect in the light of historical experience and scientific evidence.

To sustain these beliefs, the academy, the legal profession, and philanthropic foundations ignore and suppress the scientific evidence that has shown that genes have a major impact on both individual and racial differences. But academics who state that there are genetic racial differences come in for tremendous criticism and punishment—they are deemed “racists” are run out of the academy. Dr Roth describes the fate of Chris Brand, who was fired from the University of Edinburgh, as well the attacks on Bruce Lahn of the University of Chicago, and on James Watson, who was forced to resign from the research institute at Cold Springs Harbour. All of these scientists were punished for suggesting that there are race differences in IQ.

Discussion of these issues is further suppressed in a number of countries by “hate speech” laws that prohibit public debate on race and intelligence. It is effectively illegal to publish a book criticizing immigration on these grounds in Canada, and publishers are highly reluctant to do so in Europe.

Philanthropic foundations sponsor publications and conferences on race, but do not invite anyone who might make the case for genetic racial differences. They also give huge sums for studies of “racism” to pro-immigration groups, including The National Council of La Raza, as well as Hispanic lobbies that have advocated the return of the southern states to Mexico.

Roth notes the vested interests of many of those that favor mass immigration. Business leaders often like open borders because immigrants provide cheap labor. Liberals and leftists favor mass immigration because they care little about the preservation of Western civilization and have adopted a form of racialized Marxism, in which Whites have effectively taken the place of Marx’s bourgeoisie and non-Whites, the proletariat. They regard the Europeans as the oppressors and non-Europeans as the oppressed.

In making his case, Dr. Roth outlines human evolutionary history—that is, “Big History” of the past tens of thousands of years. Early man lived in bands of some 50 to 100 close relatives. These bands were, in many ways, altruistic, and each member participated in reciprocal co-operation (what is often called “inclusive fitness.”) On the other hand, each band typically had relations with outside bands in varying degrees of hostility. This in-group/out-group dual code, as the British sociologist Herbert Spencer described it in the 19th century, has evolved as human nature. The remaining hunter-gatherers that survive in the Amazon basin and elsewhere typically make frequent attacks on neighboring bands; the victors pass on their genes for hostility to out-groups.

In multiracial societies, the integration of ethnic groups is hard enough when the groups have the same abilities; the strains on social harmony are much greater when the abilities of the groups differ widely. Dr Roth has three chapters explaining racial differences in ability and the effect that climate has had on selecting for intelligence. He summarizes the numerous studies that have shown the existence of race differences in intelligence. The essential facts are that with the average European IQ set at 100, the North East Asians have an average IQ of approximately 105, Hispanics have an average IQ of approximately 89, South Asians and North Africans, an average IQ of approximately 84, and sub-Saharan Africans, an average IQ of approximately 70. These racial differences present difficulties for multiracial societies.

Furthermore, because (apart from small numbers of Chinese, Japanese, and Koreans) the immigrants into the United States and Europe have lower average IQs than the European peoples, the IQs of the populations will decline. As their numbers increase by further immigration and higher fertility, the average IQ in the United States and Europe will fall further and this will seriously impair the economic and intellectual world leadership of the European peoples.

Additional problems are that all multiracial societies are stratified by ability such that the more intelligent races achieve more power and wealth. The groups with lower IQs resent this and lobby for legislation and “affirmative action” to redress the perceived inequity. In Indonesia, for example, the ethnic Chinese have an average IQ of approximately 105, while Indonesians average around 87. The Chinese are approximately 3 percent of the population but control about 70 percent of the private economy. This generated resentment among the Indonesians, who in 1998, killed about 2,000 Chinese and looted and burned their homes and businesses.

Roth gives an account of how it has come about that non-European immigrants have flooded into the United States and Europe in the last few decades. The first American immigrants came mainly from Northwest Europe. Between 1881 and the early 1920s, larger numbers came from Southern and Eastern Europe, particularly Italians, Poles and Jews. In 1924, an immigration act was passed that imposed quotas restricting the numbers from Southern and Eastern Europe, in order to preserve that the Northwest European ethnic identity and culture. There were no restrictions on immigration from Latin America, but at this time few Latin Americans arrived.

By the 1960s, the American elites viewed immigration restriction as what Roth describes as “morally compromised” and “inconsistent with American ideals.” The Immigration Act of 1965 was passed that abolished national preferences favoring Northwest Europeans. The act set a total limit of 290,000 admissions per year, but also admitted immigrants’extended families outside the quota. It was this act that opened the floodgates of non-European immigrants, who, together with Blacks, are projected to become a majority of the population by around the year 2042. From 1965 onwards, numerous illegal immigrants entered the United States. In 1986, amnesty was granted to 3.1 million illegal aliens who had arrived in the country before 1982. By this time, about 600,000 people were entering the United States legally every year, so in 1990 Congress raised the quota to 700,000.

The flow continued to increase, reaching approximately one million a year in the 1990s. Only about 16 percent of the immigrants were now coming from Europe or Canada.

Roth documents similar mass immigration of non-Europeans into Western Europe after the Second World War. The two main reasons for this were the shortage of manual labor and immigration from former European colonies.

Germany brought in large numbers of mainly Turkish “guest workers” to help rebuild the country in the 1950s. Many of these workers brought in their families, and there are now over three million Muslims in Germany (most of them being Turks.) These newcomers do not do well by any social measure, and a government survey in 2004 found that they are becoming increasingly alienated from German society. Mosque attendance is rising, and a survey [PDF] has shown that a bout 40 percent consider “the use of physical violence as a reaction to the threat presented to Islam by the West is legitimate.”

Nearly two-thirds of those aged 14 to 18 report having few or no German friends. Immigrants from former colonies have come in large numbers to Britain, France, the Netherlands, Belgium, Spain and Portugal. In France, Muslims from Africa are estimated at 5.7 percent of the population.

Muslims have high rates of crime throughout Western Europe. In Britain they are overrepresented in jails by a factor of 3.67; in France by four to five, and in Germany by six to seven. In Denmark, where they constitute only 4 percent of the population, Muslims have been convicted for more than half the rapes, and these are almost always of non-Muslim women.

In the last chapter Roth discusses the likely future of the West and the world. He estimates that the average American IQ will decline from 98 to 95 by mid-century. This may seem a small drop, but it will have dire effects for elites, because the percentage of Americans with an IQ of at least 120 will fall from 7.1 to 4.8. In the United States and Western Europe, there will likely emerge a rich White-and-Asian elite and a Black-and-Brown majority. This demographic transformation will profoundly impair their economic and military strength and their intellectual world leadership.

China will likely emerge as the new world superpower. Over the next 40 years, the number of well-trained Chinese with IQs over 120 will outnumber their American counterparts by about eight to one. Roth writes, “The upshot is that the gap in the potential for innovation and economic growth between China and the U.S. will grow enormously and begin to have its effects in the very near future.”

Roth also predicts an American fiscal disaster that will produce high inflation and an inability to fund social programs. This will lead to a political conflict between the productive, mostly White part of the population threatened by inflation, and the less productive, mostly non-White part threatened by the loss of welfare handouts.

Roth is even more pessimistic about Europe. He regards the European Union leaders as left-wing authoritarians who aim to turn the European Union into a centrally controlled unified state. The higher fertility rates of Muslims will likely produce Islamic majorities throughout Western Europe by the end of the present century.

Byron Roth has done a terrific job setting out his gloomy but indisputable analysis of the future of the European peoples in his closely argued book. When we reach the end of book, we can only reflect that we are living in a unique moment in human history, in which the European peoples are complacent about the destruction of their genetic and cultural heritage brought about by the invasion of alien peoples.

One is reminded of the Chinese curse—“May you live in interesting times.”

[You can get Byron Roth's The Perils of Diversity from our online shop. Click here.]

Source: http://tinyurl.com/6g3csgd

mardi, 12 avril 2011

Das Rivkin-Projekt: Wie der Globalismus den Multikulturalismus zur Unterwanderung souveräner Nationen benutzt

 

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Das Rivkin-Projekt: Wie der Globalismus den Multikulturalismus zur Unterwanderung souveräner Nationen benutzt – Teil 1 von 3

 

Von Kerry Bolton, übersetzt von Deep Roots.

Ex: http://flordman.wordpress.com/

Das Original The Rivkin Project: How Globalism Uses Multiculturalism to Subvert Sovereign Nations, Part 1 erschien am 14. März 2011 bei Counter-Currents Publishing/North American New Right.

Von 19. bis 22. Oktober 2010 lud Charles Rivkin, US-Botschafter in Frankreich, eine aus 29 Mitgliedern bestehende Delegation des Pacific Council on International Policy (PCIP) zu einer Konferenz nach Frankreich ein, deren Hauptzweck die Diskussion arabischer und islamischer Beziehungen in Frankreich war. [1] Das Treffen war Teil einer weitreichenden subversiven Agenda zur Verwandlung des gesamten Charakters von Frankreich und insbesondere des Bewußtseins der französischen Jugend, was die Benutzung von Frankreichs moslemischer Jugend in einer typisch manipulativen globalistischen Strategie hinter der üblichen Fassade von „Menschenrechten“ und „Gleichheit“ einschließt.

Globalistische Delegation in der US-Botschaft

Der Bericht der PCIP sagt über die Konferenz:

… Die Delegation konzentrierte sich weiters auf drei Schlüsselthemen. Erstens untersuchte die Gruppe französisch-moslemische Fragen in Frankreich durch Austausch mit Dr. Bassama Kodmani, dem Direktor des Arabischen Reforminstituts, und Miss Rachida Dati, dem ersten weiblichen französischen Kabinettsmitglied von nordafrikanischer Herkunft und gegenwärtig Bürgermeisterin des 7. Arrondissements in Paris. Eine Exkursion zur Großen Moschee von Paris und ein Treffen mit dem dortigen Direktor der Theologie und dem Rektor boten zusätzliche Einsichten. Zweitens, Treffen mit Mr. Jean-Noel Porier, dem Vizepräsidenten für Auswärtige Angelegenheiten von AREVA (einer höchst innovativen französischen Energiefirma) und mit Mr. Brice Lalonde, dem Klimaverhandler und ehemaligen Umweltminister, hoben Fragen der Energie- und Nuklearpolitik und der Unterschiede zwischen der US- und der französischen Politik auf diesen Gebieten hervor. Und schließlich erforschte die Delegation die Verbindungen zwischen den Medien und der Kultur in Kalifornien (Hollywood) und Frankreich im Zuge von Treffen im Louvre, im Musee D’Orsay und bei FRANCE 24 – dem in Paris ansässigen Kanal für internationale Nachrichten und aktuelle Angelegenheiten. [2]

Das vorrangige Interesse schien Fragen von multikultureller Dimension gegolten zu haben, einschließlich nicht nur arabischer und islamischer Beziehungen in Frankreich, sondern vielleicht langfristig noch wichtiger einer Diskussion über die Wirkung von Hollywoods „Kultur“ auf die Franzosen.

Die USA haben seit langem ein Doppelspiel betrieben, indem sie als eines der primären Elemente ihres Strategems der fabrizierten permanenten Krisen nach dem Kalten Krieg „Terrorismus von islamischer Natur bekämpft“ haben, während sie den „radikalen Islam“ für ihre eigenen Zwecke nutzten, wofür es folgende wohlbekannte Beispiele gibt:

1) die Unterstützung von Bin Laden im Krieg gegen Rußland in Afghanistan,

2) die Unterstützung von Saddam Hussein im Krieg gegen den Iran,

3) die Unterstützung der Kosovarischen Befreiungsarmee [UCK] bei der Beseitigung der serbischen Souveränität über den mineralreichen Kosovo, wobei die UCK wundersamerweise von einer laut US-Außenministerium „terroristischen Organisation“ in „Freiheitskämpfer“ verwandelt wurde.

Wenn US-Globalisten als Freunde von Moslems posieren, sollten letztere beim Dinieren mit dem Großen Shaitan einen äußerst langen Löffel verwenden.

Was ist der Pacific Council on International Policy?

Der PCIP, dessen Mitglied Rivkin ist, wurde 1995 als regionales Anhängsel der allgegenwärtigen Denkfabrik Council on Foreign Relations (CFR) gegründet [3], hat sein Hauptquartier in Los Angeles, aber mit “Mitgliedern und Aktivitäten an der gesamten Westküste der Vereinigten Staaten und international.” Firmenspenden kommen unter anderem von:

Carnegie Corporation of New York
Chicago Council on Foreign Relations
City National Bank
The Ford Foundation
Bill and Melinda Gates Foundation
The William & Flora Hewlett Foundation
Rockefeller Brothers Fund
The Rockefeller Foundation
United States Institute of Peace [4]

Der PCIP ist daher noch ein weiterer großer Teilnehmer an dem globalistischen Netzwerk, das Hunderte von üblicherweise miteinander verbundenen Organisationen, Lobbies, „Zivilgesellschafts“-Gruppen, NGOs und Denkfabriken umfaßt, im Verein mit Banken und anderen Konzernen. Wie üblich gibt es eine auffällige Präsenz von Rockefeller-Interessen.

Warum Frankreich?

Frankreich ist dem US-Globalismus seit langem ein Dorn im Auge gewesen wegen seines sturen Festhaltens an französischen Interessen überall auf der Welt anstelle jener der fabrizierten „Weltgemeinschaft“, obwohl das Sarkozy-Regime eine Ausnahme ist. Jedoch ist Frankreich einer der wenigen verbliebenen Staaten in Westeuropa mit einem starken Nationalbewußtsein. Der beste Weg zur Zerstörung jeglicher solcher Gefühle – die sich nur zu oft auf die Politik übertragen – besteht darin, Vorstellungen von Volkstum und Nationalität durch Förderung von „Multikulturalismus“ zu schwächen.

War es nur Zufall, daß die Studentenrevolte von 1968, die aus kindischsten Gründen ausgelöst wurde, zu einer Zeit geschah, in der sowohl die CIA sehr aktiv bei der Finanzierung von Studentengruppen überall auf der Welt war als auch Präsident de Gaulle den USA in Sachen Außenpolitik ein Maximum an Ärger machte? De Gaulle tat wenig, um mit Amerikas Nachkriegsplänen mitzuspielen. Er entzog Frankreich dem NATO-Kommando, und während des Zweiten Weltkriegs mißtrauten ihm die USA. [5]

Von besonderem Interesse ist de Gaulles Befürwortung eines geeinten Europas, um der US-Hegemonie entgegenzuwirken. [6] 1959 sagte er in Straßburg: „Ja, es ist Europa, vom Atlantik bis zum Ural, es ist das ganze Europa, welches das Schicksal der Welt bestimmen wird.“ Die Aussage implizierte eine Kooperation zwischen einem zukünftigen Europa und der UdSSR. 1967 erklärte er ein Waffenembargo gegen Israel und freundete sich mit der arabischen Welt an. Dies ist die Art von Vermächtnis, das die Globalisten fürchten.

Mit den Kaspereien von Sarkozy und steigenden Spannungen mit der unzufriedenen moslemischen Jugend könnte im Zuge einer Gegenreaktion ein kompromißlos antiglobalistisches, „xenophobes“ Regime an die Macht kommen. Was wäre nun im heutigen Kontext ein besserer Weg, den französischen Nationalismus und jedes Potential zu dessen Wiederbelebung als antiglobalistische Kraft zu untergraben, als Frankreichs große, unassimilierte islamische Komponente zu benutzen, genauso wie die bolschewistische Revolution in bedeutendem Ausmaß von den unzufriedenen Minderheiten des russischen Reiches unternommen wurde?

Interessant ist auch Wichtigkeit, die diese Delegation dem Einfluß Hollywoods auf die französische Kultur beimaß. Dies mag auf den ersten Blick als seltsames Anliegen erscheinen. Jedoch ist Hollywood als das wirtschaftliche Symbol der globalistischen kulturellen Auswüchse ein wichtiger Faktor bei der Globalisierung, in etwas, das auf einen kulturellen Weltkrieg hinausläuft. Letztendlich ist es nicht das Ziel des Globalismus, das Überleben ethnischer Kulturen und Identitäten zu fördern, sondern vielmehr, diese in einen großen Schmelztiegel des globalen Konsumismus zu tauchen, jedes Individuum aus seiner Identität und seinem Erbe zu reißen und diese durch das globale Einkaufszentrum und das „globale Dorf“ zu ersetzen. Daher sollte man den Multikulturalismus als die Antithese dessen sehen, wofür er gehalten wird.

Weit davon entfernt, daß die globalen Konzerne den sogenannten Multikulturalismus im Sinne der Sicherstellung der Existenz einer Vielzahl von Kulturen fördern wollten, wie der Begriff andeutet, ist er also im Gegenteil ein Teil eines dialektischen Prozesses, im Zuge dessen unter der Fassade von Idealen Völker von sehr unterschiedlichem Erbe wie Bauern auf einem Schachbrett über die Welt verschoben werden, mit dem Ziel, kulturell spezifische Nationen niederzureißen. Es ist ein Beispiel für Orwell’sches „doublethink.“ [7]

Es ist bemerkenswert, daß die Anstifter der “samtenen Revolutionen”, die nun durch Nordafrika fegen und bis in den Iran reichen, großteils „säkularisierte“ junge Leute ohne starke traditionalistische Wurzeln sind. In ähnlicher Weise besteht der beste Weg zur Lösung von Frankreichs ethnischen Konflikten und zur Sicherstellung, daß Frankreich nicht wieder hervortritt, um sich US-/globalistischen Interessen entgegenzustellen, in der dialektischen Schaffung einer neuen kulturellen Synthese, bei der es weder eine französische noch eine islamische Kultur gibt, sondern eine globalistische, jugendbasierte Kultur unter dem Banner von „Menschenrechten“ und „Gleichheit“, die von Hollywood, MTV, dem Cyberspace, McDonald’s und Pepsi genährt wird.

Daß dies mehr als eine Hypothese ist, wird von der Art angedeutet, in der die säkularen Jugendrevolten, die nun in Nordafrika stattfinden, von einer Allianz aus Konzerninteressen hervorgebracht wurden, gesponsert vom US-Außenministerium und allerlei NGOs wie Freedom House. [8] Die nordafrikanischen „Revolutionäre“, die Regime stürzen, sind genau die Art von „Moslem“, die die Globalisten bevorzugen, erfüllt von der Cyber-Konsumentenmentalität.

Was also haben Rivkin und das US-Außenministerium in Frankreich vor, daß sie so interessiert wären am Platz Hollywoods und der Moslems in dem Land?

Anmerkungen:

1. “2010 France Country Dialogue,” PCIP,  http://www.pacificcouncil.org/page.aspx?pid=583

2. “2010 France Country Dialogue,” ibid.

3. “Gegründet 1995 in Partnerschaft mit dem Council on Foreign Relations,” PCIP, Governance, http://www.pacificcouncil.org/page.aspx?pid=373

4. Finanzierung durch Firmen und Stiftungen: http://www.pacificcouncil.org/page.aspx?pid=513

5. S. Berthon, Allies At War (London: Collins, 2001), S. 21.

6. A. Crawley, De Gaulle (London: The Literary Guild, 1969), S. 439.

7. “Die Macht, zwei widersprüchliche Glaubensvorstellungen gleichzeitig im Kopf zu haben und sie beide zu akzeptieren . . .” George Orwell, Nineteen Eighty-Four (London: Martin Secker and Warburg, 1949), Teil 1, Kaph. 3, S. 32.

8. K. R. Bolton, “Twitters of the World Unite! The Digital New-New Left as Controlled Opposition,” Part 1, Part 2, Part 3, and Part 4. Tony Cartalucci, “Google’s Revolution Factory – Alliance of Youth Movements: Color Revolution 2.0,” Global Research, February 23, 2011, http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=23283

Das Rivkin-Projekt: Wie der Globalismus den Multikulturalismus zur Unterwanderung souveräner Nationen benutzt – Teil 2 von 3

Das Rivkin-Projekt zur Unterwanderung der französischen Jugend

Als der US-Botschafter Charles Rivkin im Jahr 2010 eine Delegation von anderen Mitgliedern des Pacific Council on International Policy nach Frankreich einlud, hatte er ein Programm zur Amerikanisierung Frankreichs umrissen, das hauptsächlich die Benutzung der moslemischen Minderheiten und die Indoktrinierung der französischen Jugend mit globalistischen Idealen im Sinne der Konzerne umfaßte. Das dabei beschworene Schlagwort war das historische Engagement Frankreichs und Amerikas für die „Gleichheit.“

WikiLeaks veröffentlichte das „vertrauliche Programm“. Es trägt den Titel „Minority Engagement Strategy.“ [1] Hier umreißt Rivkin ein Programm, das eine schamlose Einmischung in die inneren Angelegenheiten einer souveränen Nation ist und in einem tieferen Sinne die Änderung der Einstellungen von Generationen moslemischer und französischer Jugendlicher anstrebt, sodaß sie zu einer neuen globalistischen Synthese verschmelzen, oder zu dem, was man eine neue Menschheit nennen könnte: Homo oeconomicus, oder was der Finanzanalyst G. Pascal Zachary „das globale Ich“ nennt [2], um zu verwirklichen, was Rivkin als das „nationale Interesse“ der USA beschreibt.

Rivkin beginnt, indem er sagt, daß seine Botschaft eine „Minority Engagement Strategy“ geschaffen hat, die sich primär an die Moslems in Frankreich richtet. Rivkin erklärt als Teil des Programms: „Wir werden auch die Bemühungen verschiedener Abteilungen der Botschaft integrieren, auf einflußreiche Führer unter unserem primären Publikum abzielen und sowohl materielle als auch immaterielle Indikatoren des Erfolgs unserer Strategie bewerten.“ [3]

Rivkin ist zuversichtlich, daß Frankreichs Geschichte des ideologischen Liberalismus „uns gut dienlich sein wird, wenn wir die hier umrissene Strategie umsetzen… bei der wir Druck auf Frankreich ausüben…“ Beachten Sie die Redewendung „Druck auf Frankreich ausüben.“ Amerikas globale Agenda wird von Rivkin mit seinem Plan der Umwandlung Frankreichs in ein „blühendes, integratives französisches Staatswesen, das uns bei der Förderung unserer Interessen an der Ausweitung von Demokratie und zunehmender weltweiter Stabilität helfen wird“ in Verbindung gebracht. Das Programm wird sich auf die „Eliten“ der französischen und der moslemischen Gemeinschaften fokussieren, aber auch eine massive Propagandakampagne umfassen, die sich an die „allgemeine Bevölkerung“ mit Schwerpunkt auf der Jugend richtet.

Auf hoher Ebene werden US-Offizielle französische Offizielle in die Defensive drängen. Zu dem Programm gehört auch die Neudefinierung der französischen Geschichte in den Lehrplänen der Schulen, um der Rolle der nicht-französischen Minderheiten in der französischen Geschichte Aufmerksamkeit zu schenken. Es bedeutet, daß die Pepsi/MTV-Generation von Amerikanern neue Definitionen der französischen Kultur formulieren und neue Seiten der französischen Geschichte schreiben werden, die mit globalistischen Agendas übereinstimmen sollen. Zu diesem Zweck „…werden wir unsere Arbeit mit französischen Museen und Lehrern fortsetzen und intensivieren, um den in französischen Schulen unterrichteten Lehrstoff in Geschichte zu reformieren.“

„Taktik Nummer drei“ trägt den Titel „Aggressive Öffentlichkeitsarbeit unter der Jugend starten.“ Wie in anderen Staaten, die vom US-Außenministerium und dessen Verbündeten im Soros-Netzwerk, Freedom House, Movement.org, National Endowment for Democracy, Solidarity Center [4] und so weiter ins Visier genommen wurden, stehen unzufriedene junge Leute im Fokus der Veränderungen. Führend in diesen Bemühungen, zielt die „Inter-Agency Outreach Initiative“ des Botschafters darauf ab, „eine positive Dynamik in der französischen Jugend zu erzeugen, die zu einer größeren Unterstützung für US-Ziele und Werte führt.“ Können die Absichten noch klarer ausgedrückt werden? Es ist kulturelle und politische Amerikanisierung.

Hier können wir am leichtesten an der Heuchelei vorbei deutlich sehen, was hinter der Strategie steckt: eine Generation zu formen, „die zu größerer Unterstützung für US-Ziele und Werte führt.“ Diese „US-Ziele und Werte“ wird man den Franzosen als französische Werte verkaufen, auf der Grundlage der bourgeoisen Ideale von 1789, mit denen die französische Ideologie sowohl der Linken wie der Rechten weiterhin belastet ist. Man wird sie zu glauben lehren, daß sie französische Traditionen aufrecht erhalten, statt als Agenten von Veränderungen gemäß „amerikanischen Werten“ zu handeln: den Werten des globalen Dorfes und des globalen Einkaufszentrums. Ein weitreichendes Programm, das eine Vielzahl von Indoktrinierungsmethoden umfaßt, wird umrissen:

Zur Erreichung dieser Ziele werden wir die bereits vorhandenen expansiven Programme für öffentliche Diplomatie ausbauen und kreative zusätzliche Mittel zur Beeinflussung der Jugend Frankreichs entwickeln, neue Medien, Firmenpartnerschaften, landesweite Wettbewerbe, zielgerichtete Veranstaltungen für Öffentlichkeitsarbeit und speziell eingeladene US-Gäste einsetzen. [5]

Das Programm, das sich an die Jugend in Frankreich richtet, ist ähnlich dem, das sich an die Jugend richtete, welche die Vorhut der „samtenen Revolutionen“ von Osteuropa bis Nordafrika bildete. Potentielle Führer werden vom US-Außenministerium in Frankreich aufgenommen und dazu herangezüchtet werden, eine Rolle im zukünftigen Frankreich nach amerikanischem Design zu spielen:

Wir werden auch neue Hilfsmittel entwickeln, um zukünftige französische Führer zu identifizieren, von ihnen zu lernen und sie zu beeinflussen.

Während wir die Ausbildung und die Austauschgelegenheiten für Frankreichs Jugend erweitern, werden wir weiterhin absolut sicherstellen, daß der Austausch, den wir unterstützen, integrationsorientiert ist.

Wir werden auf existierenden Jugendnetzwerken in Frankreich aufbauen und neue im Cyberspace schaffen, die Frankreichs zukünftige Führer in einem Forum miteinander verbinden, deren Werte wir zu formen helfen – Werte der Integration, des gegenseitigen Respekts und offenen Dialogs. [6]

Hier befürwortet Rivkin etwas, das über die Beeinflussung von Moslems in Frankreich hinausgeht. Er sagt, daß ein bedeutender Teil des Programms sich auf die Kultivierung der französischen Jugend, der potentiellen Führer, nach amerikanischen Idealen unter der Fassade französischer Ideale richten wird. Das US-Außenministerium und seine Verbündeten unter den Konzernen und NGOs beabsichtigen, „ihre Werte zu formen.“ Das globalistische Programm für Frankreich wird deutlich genug als Umerziehung der französischen Jugend bezeichnet. Man möchte meinen, daß dies die wichtigste Rolle der französischen Regierung, der katholischen Kirche und der Familie ist, insbesondere der beiden letzteren. Amerikanische Bürokraten und ihre aus verschiedenen Berufen rekrutierten dümmlichen Kumpane sollen neue „französischen Werte“ formulieren.

Wie in den Staaten, die für „samtene Revolutionen“ ausersehen sind, besteht ein Teil der Strategie in der Abgrenzung des politischen Handlungsrahmens. Wie Hillary Clinton neulich hinsichtlich der Art von Staat gesagt hat, die vom US-Establishment nach Gaddafi erwartet wird, sollte das neue Libyen eine umfassende Demokratie sein, offen für alle Meinungen, solange diese Meinungen eine Verpflichtung zur „Gleichheit“ und „Demokratie“ umfassen, in anderen Worten, es muß eine neue Verteilung der Freiheit in Libyen geben, solange diese Freiheit nicht über Amerikas Definition derselben hinausgeht. Und falls jemand die Grenzen der akzeptablen Demokratie übertritt, stehen Amerikas Bomber in Bereitschaft. Im Kontext mit Frankreich jedoch ist klar, daß die Grenzziehung der französischen Politik gemäß den globalistischen Diktaten keine Elemente sogenannter „Xenophobie“ (sic) einschließen darf, wozu im heutigen Kontext eine Rückkehr zur großen Politik der Ära de Gaulles gehören würde. Daher besagt „Taktik 5“:

Fünftens werden wir unser Projekt fortsetzen, die besten Praktiken mit jungen Führern in allen Bereichen zu teilen, einschließlich junger politischer Führer aller moderaten Parteien, sodaß sie die Hilfsmittel und die Beratung haben, um vorwärts zu kommen. Wir werden Schulungs- und Austauschprogramme schaffen oder unterstützen, die Schulen, Gruppen der Zivilgesellschaft, Bloggern, politischen Beratern und Lokalpolitikern den nachhaltigen Wert der breiten Integration beibringen. [7]

Rivkin umreißt ein Programm zur Ausbildung von Frankreichs zukünftigen politischen und zivilen Führern. Während die Programme der von der US-Regierung unterstützten NGOs wie National Endowment for Democracy – ursprünglich bestimmt zur Entwicklung ganzer Programme und Strategien für politische Parteien in „Entwicklungsdemokratien“ wie den Staaten des ehemaligen Sowjetblocks – mit einem fehlenden Erbe liberal-demokratischer Parteipolitik begründet werden können, kann dieselbe Begründung kaum verwendet werden, um Amerikas Einmischung in Frankreichs Parteipolitik zu rechtfertigen.

Rivkin sagt, daß zu diesem Zweck 1000 amerikanische Englischlehrer, die an französischen Schulen arbeiten, die notwendigen Propagandamaterialien erhalten werden, um ihren französischen Schülern die erwünschten Ideale einzuimpfen: „Wir werden auch dem Netzwerk von über 1000 amerikanischen Universitätsstudenten, die jedes Jahr an französischen Schulen Englisch unterrichten, die Mittel liefern, Toleranz zu lehren.“

Das breit gefächerte Programm wird von der „Minority Working Group“ im „Tandem“ mit der „Youth Outreach Initiative“ koordiniert werden. Eines der Probleme, die von der Gruppe überwacht werden, wird die „Verringerung der öffentlichen Unterstützung für fremdenfeindliche politische Parteien und Plattformen“ sein. Das soll sicherstellen, daß das Programm wie beabsichtigt den Erfolg jeder „extremen“ oder „fremdenfeindlichen“ Partei blockiert, die die Globalisierung herausfordern könnte.

Rivkin verdeutlicht die subversive Natur des Programms, wenn er sagt: „Während wir niemals das Verdienst für diese positiven Entwicklungen beanspruchen könnten, so werden wir doch unsere Anstrengungen auf die Ausführung von Aktivitäten wie oben beschrieben konzentrieren, die die Bewegung in die richtige Richtung anstoßen, drängen und anregen.“

Was wäre die Reaktion, wenn die französische Regierung über ihre Botschaft in Washington ein Programm zur radikalen Umwandlung der USA in Übereinstimmung mit „französischen nationalen Interessen“ unternehmen und mit Schwerpunkt auf der Jugend mittels einer „aggressiven Öffentlichkeitsarbeit“ „französische Ideale“ unter dem Deckmantel „amerikanischer Ideale über Menschenrechte“ einimpfen würde? Was wäre die Reaktion der US-Regierung, wenn sie herausfinden würde, daß die französische Regierung die Einstellungen der Afroamerikaner, Indianer und Latinos zu beeinflussen versuchte? Was wäre die offizielle US-Reaktion, wenn man herausfinden würde, daß französische Sprachlehrer in amerikanischen Schulen und Colleges versuchen, amerikanischen Schülern Ideale im Dienste französischer Interessen einzuimpfen?

Die hypothetische Reaktion kann man von der US-Reaktion auf die „Sowjetverschwörung“ ableiten, als Komitees des Senates und Kongresses eingerichtet wurden, um gegen jeden zu ermitteln, der auch nur vage mit der USA in Verbindung stand. Was ist also anders? Die USA betreiben eine subversive Strategie im Interesse ihrer globalistischen Konzernelite anstatt im Interesse der UdSSR oder des Kommunismus. Es ist nicht so, als ob die USA viel kulturelles Erbe hätte, das sie irgendeiner europäischen Nation, ganz zu schweigen von Frankreich, als Inbegriff des guten Geschmacks und der künstlerischen Verfeinerung präsentieren könnte, nach dem man eine nationale Identität konstruieren könnte. In dieser Sache ist es ein Fall von Dekonstruktion.

Anmerkungen:

1. C. Rivkin, “Minority Engagement Report,” US Embassy, Paris, http://www.wikileaks.fi/cable/2010/01/10PARIS58.html

2. G. Pascal Zachary, The Global Me: Why Nations will succeed or Fail in the Next Generation (New South Wales, Australia: Allen and Unwin, 2000).

3. Rivkin.

4. K. R. Bolton, “The Globalist Web of Subversion,” Foreign Policy Journal, February 7, 2011, http://www.foreignpolicyjournal.com/2011/02/07/the-globalist-web-of-subversion/

5. Rivkin.

6. Rivkin.

7. Rivkin.

Das Rivkin-Projekt: Wie der Globalismus den Multikulturalismus zur Unterwanderung souveräner Nationen benutzt – Teil 3 von 3

Die Rolle des Multikulturalismus in der globalistischen Agenda

Viele schändliche Ziele sind unter dem Banner des Multikulturalismus und Schlagworten wie „Gleichheit“ und „Menschenrechte“ erzwungen worden. So wie „Demokratie“ in der ganzen jüngeren Geschichte zur Rechtfertigung der Bombardierung von Staaten benutzt worden ist, dienen diese Schlagworte oft als Rhetorik zur Vortäuschung guter Absichten, während sie die Ziele derjenigen verbergen, die von wenig, wenn überhaupt von irgendetwas anderem als Macht und Habgier motiviert sind.

Man könnte an die Art denken, wie das Thema der Uitlanders agitiert wurde, um den Anglo-Burenkrieg zum Zwecke der Beschaffung von Südafrikas Mineralreichtum zugunsten von Cecil Rhodes, Alfred Beit et al zu rechtfertigen.

Ein ähnliches Thema wurde in unserer eigenen Zeit unter dem Namen der „Bekämpfung der Apartheid“ wiederbelebt, und während die Welt über die Machtübernahme durch den ANC jubelte, bestand die Wirklichkeit darin, daß die Afrikaner kein Jota materiell davon profitierten, sondern die parastaatlichen oder staatlichen Unternehmen privatisiert wurden, sodaß sie an den globalen Kapitalismus verkauft werden konnten. Als der Patriarch des südafrikanischen Kapitalismus, Harry Oppenheimer, dessen Familie ein traditioneller Feind der Afrikaaner [= Buren; d. Ü.] war, im Jahr 2000 starb, lobte Nelson Mandela ihn so: „Sein Beitrag zur Errichtung einer Partnerschaft zwischen Großunternehmen und der neuen demokratischen Regierung in dieser ersten Periode demokratischer Herrschaft kann nicht zu sehr geschätzt werden.“ [1]

Die „Demokratie”, die Oppenheimer und andere Plutokraten im Tandem mit dem ANC in Südafrika schufen, ist die Freiheit des globalen Kapitalismus zur Ausbeutung des Landes. Mandela sagte 1996 über das Ergebnis dieses „langen Marsches zur Freiheit“:  “Die Privatisierung ist die fundamentale Politik des ANC und wird das auch bleiben.“ [2] Als Kommentar zur Privatisierung der gemeindeeigenen Wasserversorgung von Johannesburg, die jetzt dem französischen Konzern Suez Lyonnaise Eaux untersteht, gab der ANC Erklärungen heraus, die erklärten: „Eskom ist eine der vielen in Regierungsbesitz befindlichen ‚Parastaatlichen’, die während der Apartheid geschaffen wurden und deren Privatisierung die demokratisch gewählte Regierung in Angriff genommen hat, um Geld aufzutreiben.“ [3] Es ist in Südafrika dasselbe Ergebnis, wie es durch die “Befreiung” der kosovarischen Mineralvorkommen im Namen der “Demokratie” und im Namen der Rechte von Moslems unter serbischer Herrschaft erreicht wurde, während andere, unter ihrer eigenen Herrschaft befindliche Moslems von den USA und ihren Verbündeten in die Unterwerfung gebombt wurden.

Die Ziele des globalen Kapitalismus

Die Natur des globalistischen Kapitalismus ist besonders stichhaltig von Noam Chomsky erläutert worden:

Sehen Sie, der Kapitalismus ist nicht grundsätzlich rassistisch – er kann den Rassismus für seine Zwecke ausnutzen, aber der Rassismus ist ihm nicht eingebaut. Der Kapitalismus will im Grunde, daß die Menschen austauschbare Zahnräder sind, und Unterschiede zwischen ihnen, wie zum Beispiel auf Basis der Rasse, haben üblicherweise keine Funktion für ihn. Ich meine, sie mögen eine Zeitlang eine Funktion haben, zum Beispiel wenn man eine super-ausgebeutete Arbeiterschaft oder dergleichen will, aber diese Situationen sind irgendwie anomal. Langfristig kann man erwarten, daß der Kapitalismus antirassistisch ist – einfach weil er anti-menschlich ist. Und Rasse ist eigentlich eine menschliche Eigenschaft – es gibt keinen Grund, warum sie eine negative Eigenschaft sein sollte, aber sie ist eine menschliche Eigenschaft. Daher beeinträchtigen auf Rasse beruhende Identifikationen das grundsätzliche Ideal, daß die Menschen als Konsumenten und Produzenten austauschbar sein sollten, austauschbare Zahnräder, die all den Müll kaufen, der produziert wird – das ist ihre letztendliche Funktion, und alle anderen Eigenschaften, die sie haben könnten, sind irgendwie irrelevant und gewöhnlich ein Ärgernis. [4]

Die Aussage von Chomsky drückt die Situation in ihrer Gänze stichhaltig aus.

Frankreich als Soziallabor für die Globalisierung

Die Rivkin-Offensive ist das letzte in einer langen Reihe von Programmen zur Untergrabung der französischen Identität. Frankreich ist ein Paradox, das die kosmopolitischen Werte der bourgeoisen Revolution von 1789 mit sturem Traditionalismus und Nationalismus kombiniert, den die Globalisten „Xenophobie“ nennen. Er manifestiert sich selbst im Kleinen wie bei der gesetzlichen Verpflichtung für französische Beamte und Politiker, mit ausländischen Medien nur französisch zu sprechen, ungeachtet ihrer Kenntnisse irgendeiner anderen Sprache, oder im verbreiteten Widerstand gegen McDonald’s und Disney World.

Wie ein Großteil der restlichen Welt führt Frankreich jedoch auf der Verliererseite einen Kulturkampf gegen die Globalisierung. Jeff Steiners Kolumne „American in France“ bezieht sich auf die Art, wie die Franzosen einst Widerstand gegen die Eröffnung amerikanischer Fast-Food-Franchises als „Teil einer amerikanischen Kulturinvasion“ leisteten. Steiner schreibt:

… Dies schein Vergangenheit zu sein, da McDonald’s so sehr ein Teil der französischen Kultur geworden ist, daß es nicht mehr als amerikanischer Import gesehen wird, sondern als gänzlich französisch. Kurz, McDonald’s ist den Franzosen ans Herz gewachsen wie in so vielen anderen Ländern.

Ich bin in einigen McDonalds in Frankreich gewesen, und außer einem in Straßburg, das von außen wie im traditionellen elsässischen Stil erbaut aussieht, sehen alle McDonalds in Frankreich, die ich gesehen habe, nicht anders aus als ihre amerikanischen Gegenstücke.

Ja, es gibt welche, die McDo immer noch als Symbol der Amerikanisierung Frankreichs verfluchen (sie sind jetzt eine sehr kleine Gruppe und werden großteils ignoriert) und die es auch als ein Zeichen dafür sehen, daß Frankreich seine kulinarische Einzigartigkeit verliert. Das Menü in einem französischen McDonald’s ist fast eine exakte Kopie dessen, was man in jedem McDonald’s in den Vereinigten Staaten finden würde. Es ist mir als etwas seltsam aufgefallen, daß ich wie in den Vereinigten Staaten bestellen konnte, das heißt auf Englisch, mit gelegentlich eingestreuten französischen Vorwörtern.

Ehrlich gesagt, die Franzosen, die bei McDonald’s essen, sind dort genauso zu Hause, wie es irgendein Amerikaner sein könnte. [5]

Dieses scheinbar triviale Beispiel ist tatsächlich von immenser Wichtigkeit, indem es zeigt, wie eine Kultur, die so stark ist wie die Frankreichs – das bis vor kurzem eine immens stolze Nation war – unterliegen kann, besonders unter dem Eindruck des Marketings gegenüber jungen Leuten. Es ist eine Fallstudie par excellence für die Standardisierung, die die amerikanische Konzernkultur nach sich zieht. Es ist das, was die globalistische Elite im Weltmaßstab wünscht, bis hin zu dem, was man ißt.

Es ist bemerkenswert, daß die Vorhut des Widerstands gegen McDonald’s von den Bauern kam, einem traditionalistischen Segment von Europas Bevölkerung, das zunehmend anomal und unter dem globalistische Regime zur ausgestorbenen Spezies wird, während die Landwirtschaft den Agro-Konzernen weicht.

Angesichts Frankreichs Status in Europa und seiner historischen Tendenz, seine Souveränität  angesichts von US-Interessen aufrecht zu erhalten – sogar noch vor recht kurzer Zeit mit seiner Opposition gegen den Krieg im Irak – bleibt Frankreich einer der wenigen Stolpersteine des Globalismus in Europa. Eine zusätzliche Sorge ist die, daß die Franzosen ihre sture „Xenophobie“ in die Wahllokale mitnehmen und eine strikt antiglobalistische Partei wählen werden, wie es sich im Auf und Ab der Wahlerfolge der Front National widerspiegelt, die sowohl die Globalisierung als auch die Privatisierung ablehnt.

Dies ist ein Hauptgrund für Rivkins weitreichendes subversives und interventionistisches Programm zur Assimilierung der Moslems in die französische Gesellschaft, welches das französische Bewußtsein in Richtung von deutlich mehr Kosmopolitentum verwandeln würde. Die Absicht wird in Rivkins Botschaftsdokumenten deutlich genug, in denen es heißt, daß die Botschaft die Auswirkungen des „Outreach“-Programmes auf die „Abnahme der öffentlichen Unterstützung für fremdenfeindliche politische Parteien und Plattformen“ überwachen wird.

Im Widerspruch zur „Xenophobie“ Frankreichs zeigt die Studie „Global Research“ [6] von R. J. Barnett und R. E. Müller über die globalen Konzerne, die auf Interviews mit Konzernmanagern beruht, daß die französische Wirtschaftselite seit langem die Grundlagen der französischen Tradition zu untergraben bestrebt war. Jacques Maisonrouge, Präsident der IBM World Trade Corporation, „weist gern darauf hin, daß ‚Nieder mit den Grenzen’, ein revolutionäres Studentenschlagwort der Pariser Universitätserhebung von 1968 – an der einige seiner Kinder beteiligt waren – auch ein willkommenes Schlagwort von IBM ist.“ [7] Maisonrouge sagte, daß die „Welt-Manager” (wie Barnett und Müller die Konzern-Führungskräfte nennen) glauben, daß sie die Welt „kleiner und homogener“ machen. [8] Maisonrouge beschrieb in zustimmender Weise die globalen Konzernmanager als „die de-tribalisierten internationalen Karrieremänner.“ [9] Es ist diese „Detribalisierung“, welche die Basis einer „Weltkonsumkultur“ ist, die für die effizientere Schaffung einer Weltwirtschaft gefordert wird.

Paris ist bereits ein kosmopolitisches Zentrum und daher ideal als Prototyp für die „globale Stadt“ der Zukunft. In den 1970ern bereiteten Howard Perlmutter und Hasan Ozakhan vom Wharton School of Finance Worldwide Institutions Program einen Plan für eine „globale Stadt.“ Für diesen Zweck wurde Paris ausgewählt. Professor Perlmutter war ein Berater globaler Konzerne. Sein Plan wurde von der Planungsbehörde der französischen Regierung in Auftrag gegeben. Perlmutter sagte voraus, daß die Städte während der 1980er zu „globalen Städten“ werden würden.

Für Paris erforderte dies, „weniger französisch zu werden“ und eine „Entnationalisierung“ durchzumachen. Dies, sagte er, erfordert eine „psycho-kulturelle Veränderung des Bildes hinsichtlich des traditionellen Eindrucks der ‚Xenophobie’, die die Franzosen auszustrahlen scheinen.“ Die Parallelen zum gegenwärtigen Rivkin-Programm sind offensichtlich. Perlmutter schlug vor, daß der beste Weg zur Beseitigung von Frankreichs Nationalismus die Einführung des Multikulturalismus wäre. Er befürwortete „die Globalisierung kultureller Veranstaltungen“ wie internationaler Rock-Festivals als Gegenmittel gegen die „übermäßig nationale und manchmal nationalistische Kultur.“ [10]

Die Untergrabung von Frankreichs „übermäßig nationaler und manchmal nationalistischer Kultur“ ist der Grund, warum Rivkin stärkere Verbindungen zwischen Hollywood und der französischen Kulturindustrie zu pflegen suchte. [11] Rivkin kennt den Wert der Unterhaltung bei der Umwandlung der Einstellungen, besonders unter den Jungen. Nachdem er bei Salomon Brothers als Finanzanalyst gearbeitet hatte, trat Rivkin 1988 als Direktor für strategische Planung in die Jim Henson Company ein. Zwei Jahre später wurde er zum Vizepräsidenten der Firma ernannt.

Die Jim Henson Company produziert die „Sesamstraße“, deren putzige kleine Muppets den Knirpsen eine wohlkalkulierte globalistische Agenda aufdrängen. Lawrence Balter, Professor der angewandten Psychologie an der New York University, schrieb, daß die „Sesamstraße“ die Kinder mit einem breiten Spektrum von Ideen, Informationen und Erfahrungen über vielfältige Themen wie Tod, kulturellen Stolz, Rassenbeziehungen, Menschen mit Behinderungen, Ehe, Schwangerschaft und sogar Weltraumforschung bekannt machte.“ Die Serie sollte die erste sein, die Bildungsforscher mittels Gründung einer Forschungsabteilung beschäftigte. [12] „Sesamstraße“ hat Finanzierung von der Ford Foundation, der Carnegie Corporation und dem US-Erziehungsministerium erhalten. Von beiläufigem Interesse ist, daß die Carnegie Corporation und die Ford Foundation auch Förderer des Pacific Council on International Policy sind.

Schaffung des Weltkonsumenten

Wie Chomsky hingewiesen hat, sieht der globale Kapitalismus die Menschheit als austauschbare Zahnräder im Produktions- und Konsumkreislauf. Den Konzernen zufolge ist der Gipfel der menschlichen Evolution die Verwandlung in „detribalisierte internationale Karrieremenschen.“ Laut dem Finanzanalysten G. Pascal Zachary stellen diese wurzellosen Kosmopoliten eine „informelle globale Aristokratie“ dar, die von den Konzernen überall auf der Welt rekrutiert wird und total von ihren Firmen und „wenig von der breiteren Öffentlichkeit“ abhängig ist, eine neue Klasse, unbehindert von nationalen, kulturellen oder ethnischen Bindungen. [13]

Barnett und Müller zitierten John J. Powers von Pfizer mit der Aussage, daß die globalen Konzerne „Agenten des Wandels sind; sozial, ökonomisch und kulturell.“ [14] Sie sagten, daß die globalen Führungskräfte „irrationalen Nationalismus“ als Behinderung des „freien Flusses von Finanzkapital, Technologie und Gütern in globalem Maßstab“ sehen. Ein entscheidender Aspekt des Nationalismus sind „Unterschiede in psychologischen und kulturellen Einstellungen, die die Aufgabe der Homogenisierung der Erde zu einer integrierten Einheit komplizieren… Kultureller Nationalismus ist auch ein Problem, weil er das Konzept des globalen Einkaufszentrums bedroht.“ [15]

Dieser „kulturelle Nationalismus“ wird von Rivkin und allen anderen Parteigängern des Globalismus als „Xenophobie“ gesehen, außer wenn diese „Xenophobie“ für ein militärisches Abenteuer eingespannt werden kann, falls Bestechungen, Embargos und Drohungen einen zugeknöpften Staat nicht auf Linie bringen, wie in den Fällen von Serbien, Irak und vielleicht bald Libyen. Dann werden die amerikanische globalistische Elite und ihre Verbündeten zu „Patrioten.“

Barnett und Müller zitieren A. W. Clausen, als dieser die Bank of Amerika leitete, mit der Aussage, daß nationale, kulturelle und rassische Unterschiede „Vermarktungsprobleme“ erzeugen, und mit der Klage, daß es „so etwas wie einen einheitlichen globalen Markt nicht gibt.“ [16] Harry Heltzer, Generaldirektor von 3M, sagte, daß globale Konzerne eine „mächtige Stimme für den Weltfrieden sind, weil ihre Loyalität keiner Nation, Sprache, Rasse oder Religion gehört, sondern den besseren Hoffnungen der Menschheit, daß die Völker der Welt im gemeinsamen wirtschaftlichen Streben vereinigt sein mögen.“ [17]

Diese „besseren Hoffnungen der Menschheit“, die man anderswo als Habgier, Geiz und Mammonverehrung kennt, haben die Erde geplündert, globales wirtschaftliches Ungleichgewicht verursacht und funktionieren mittels Wucher, der in besseren Zeiten als Sünde betrachtet wurde. Diese „besseren Hoffnungen“ gemäß der Wertung der Konzerne haben mehr Kriege verursacht als jeder „xenophobe“ Diktator, üblicherweise im Namen von „Weltfrieden“ und „Demokratie“.

Die Rivkin-Doktrin für Frankreich – die laut dem durchgesickerten Dokument in subtiler Weise umgesetzt werden muß – ist ein weitreichendes subversives Programm zur Umwandlung besonders der Jungen in globale Klone bar jeder kulturellen Identität, während es in der Art des Orwell’schen „doublethink“ unter dem Namen des „Multikulturalismus“ voranschreitet.

Anmerkungen:

1. “Mandela honours ‘monumental’ Oppenheimer”, The Star, South Africa, August 21, 2000, http://www.iol.co.za/index.php?set_id=1&click_id=13&art_id=ct20000821001004683O150279 (27. September 2009).

2. Lynda Loxton, “Mandela: We are going to privatise,” The Saturday Star, 25. Mai 1996, S.1.

3. Tägliche Nachrichtenaussendung des ANC, 27. Juni 2001. Siehe auch “Eskom,” ANC Daily News Briefing, 20. Juni 2001, 70.84.171.10/~etools/newsbrief/2001/news0621.txt

4. Noam Chomsky, Understanding Power: The Indispensable Chomsky (New York: The New York Press, 2002), S. 88–89.

5. J. Steiner, “American in France: Culture: McDonalds in France, http://www.americansinfrance.net/culture/mcdonalds_in_france.cfm

6. R. J. Barnett und R. E. Müller, Global Reach: The Power of the Multinational Corporations (New York: Simon and Schuster, 1974).

7. Global Reach, S. 19. Zwecks Aktualisierung wegen Maisonrouge siehe: IBM, http://www-03.ibm.com/ibm/history/exhibits/builders/builders_maisonrouge.html

8. Global Reach, S. 62.

9. Global Reach, ebd.

10. Global Reach, S. 113–14.

11. “2010 France Country Dialogue,” PCIP, op. cit.

12. L. Balter, Parenthood in America: An Encyclopaedia, Vol. 1 (ABC-CLIO, 2000), S. 556.

13. G. Pascal Zachary, The Global Me (New South Wales: Allen & Unwin, 2000).

14. Global Reach, S. 31.

15. Global Reach, S. 58.

16. Global Reach, ebd.

17. Global Reach, S. 106.

mardi, 22 mars 2011

The Rivkin Project: How Globalism Uses Multiculturalism to Subvert Sovereign Nations

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The Rivkin Project:

How Globalism Uses Multiculturalism to Subvert Sovereign Nations, Part 1

Kerry BOLTON

Ex: http://counter-currents.com/

During October 19–22, 2010, Charles Rivkin, US Ambassador to France, invited a 29-member delegation from the Pacific Council on International Policy (PCIP) to a conference in France, the main purpose of which was to discuss Arab and Islamic relations in the country.[1] The meeting was part of a far-reaching subversive agenda to transform that entire character of France and in particular the consciousness of French youth, which includes the use of France’s Muslim youth in a typically manipulative globalist strategy behind the usual façade of “human rights” and “equality.”

Globalist Delegation at US Embassy

The PCIP report states of the conference:

. . . The delegation further focused on three key themes. First, the group examined Franco-Muslim issues in France through exchanges with Dr. Bassma Kodmani, Director of the Arab Reform Institute, and Ms. Rachida Dati, the first female French cabinet member of North African origin and current Mayor of the 7th Arrondissement in Paris. A trip to the Grand Mosque of Paris and a meeting with the Director of Theology and the Rector there provided additional insight. Second, meetings with Mr. Jean-Noel Poirier, the Vice President of External Affairs at AREVA (a highly innovative French energy company), and with Mr. Brice Lalonde, climate negotiator and former Minister of the Environment, highlighted energy and nuclear policy issues and the differences between U.S. and French policies in these arenas. And finally, the delegation explored the connections between media and culture in California (Hollywood) and France in meetings at the Louvre, the Musee D’Orsay, and at FRANCE 24 — the Paris-based international news and current affairs channel.[2]

The over-riding concern seems to have been on matters of a multicultural dimension, including not only Arab and Islamic relations in France, but perhaps more importantly in the long term, a discussion on the impact of Hollywood “culture” on the French.

The USA has long played a duplicitous game of “fighting terrorism” of an “Islamic” nature as one of the primary elements of its post-Cold War stratagem of manufactured permanent crises, while using “radical Islam” for it own purposes, the well-known examples being: (1) Supporting Bin Ladin in the war against Russia in Afghanistan, (2) backing Saddam Hussein in the war against Iran, (3) supporting the Kosovo Liberation Army in ousting Serbian sovereignty over mineral rich Kosovo, the KLA having been miraculously transformed from being listed by the US State Department as a “terrorist organization,” to becoming “freedom fighters.”

When US globalists pose as friends of Muslims, the latter should sup with the Great Shaitan with an exceedingly long spoon.

What is the Pacific Council on International Policy?

The PCIP of which Rivkin is a member was founded in 1995 as a regional appendage of the omnipresent globalist think tank, the Council on Foreign Reactions (CFR),[3] is headquartered in Los Angeles, but “with members and activities throughout the West Coast of the United States and internationally.” Corporate funding comes from, among others:

Carnegie Corporation of New York
Chicago Council on Foreign Relations
City National Bank
The Ford Foundation
Bill and Melinda Gates Foundation
The William & Flora Hewlett Foundation
Rockefeller Brothers Fund
The Rockefeller Foundation
United States Institute of Peace[4]

The PCIP is therefore yet another big player in the globalist network comprising hundreds of usually interconnected organizations, lobbies, “civil society” groups, NGOs, and think tanks, associated with banks and other corporations. As usual, there is a conspicuous presence by Rockefeller interests.

Why France?

France has long been a thorn in the side of US globalism because of its stubborn adherence to French interests around the world, rather than those of the manufactured “world community,” although the Sarkozy regime is an exception. However, France is one of the few states left in Western Europe with a strong national consciousness. The best way of destroying any such feeling — which translates too often into policy — is to weaken the concepts of nationhood and nationality by means of promoting “multiculturalism.”

Was it only coincidence that the 1968 student revolt, sparked by the most puerile of reasons, occurred at a time both when the CIA was very active in funding student groups around the world, and when President De Gaulle was giving the USA maximum trouble in terms of foreign policy? De Gaulle did little to play along with American’s post-war plans. He withdrew France form NATO command, during in World War II was distrusted by the USA.[5]

Of particular concern would have been De Gaulle’s advocacy of a united Europe to counteract US hegemony.[6] In 1959 he stated at Strasbourg: “Yes, it is Europe, from the Atlantic to the Urals, it is the whole of Europe, that will decide the destiny of the world.” The expression implied co-operation between a future Europe and the USSR. In 1967 he declared an arms embargo on Israel and cultivated the Arab world. This is the type of legacy that globalists fear.

With the buffoonery of Sarkozy, and mounting tension with disaffected Muslim youth, a backlash could see an intransigently anti-globalist, “xenophobic” regime come to power. In today’s context, what better way now to subvert French nationalism and any potential to revive as an anti-globalist force, than to use its large, unassimilated Islamic component, just as the Bolshevik revolution was undertaken to a significant extent by the disaffected minorities of the Russian Empire?

Of interest also is the concern this delegation had for the influence of Hollywood on French culture. This might seem at first glance to be an odd concern. However, Hollywood, as the economic symbol of globalist cultural excrescence, is an important factor in globalization, in what amounts to a world culture-war. Ultimately the goal of globalism is not to promote the survival of ethnic cultures and identities, but rather to submerge them into one big melting pot of global consumerism, to uproot every individual from an identity and heritage and replace that with the global shopping mall, and the “global village.” Therefore multiculturalism should be viewed as the antithesis of what it is understood as being.

So far from the global corporates wanting to promote so-called multiculturalism in terms of assuring the existence of a multiplicity of cultures, as the term implies; it is to the contrary part of a dialectical process whereby a under the facade of ideals, peoples of vastly different heritage are moved across the world like pawns on a chess board, the aim being to break down culturally specific nations. It is an example of Orwellian “doublethink.”[7]

It is notable that the instigators of the “velvet revolutions” now sweeping North Africa and reaching into Iran are largely “secularized” youths without strong traditionalist roots. Similarly, the best way to solve France’s ethnic conflicts and to assure that France does not re-emerge again to confront US/globalist interests, is to dialectically create a new cultural synthesis where there is neither a French culture nor an Islamic culture, but under the banner of “human rights” and “equality,” a globalist youth-based culture nurtured by Hollywood, MTV, cyberspace, MacDonald’s and Pepsi.

That this is more than hypothesis is indicated by the manner by which the secular youth revolts now taking place in North Africa have been spawned by an alliance of corporate interests, sponsored by the US State department and sundry NGOs such as Freedom House.[8] The North African “revolutionaries” toppling regimes are just the type of “Muslim” that the globalists prefer; imbued with the cyber-consumer mentality.

So what are Rivkin and the US State Department up to in France, that they should be so interested in the place of Hollywood and of Muslims in the country?

Notes

1. “2010 France Country Dialogue,” PCIP,  http://www.pacificcouncil.org/page.aspx?pid=583

2. “2010 France Country Dialogue,” ibid.

3. “Founded in 1995 in partnership with the Council on Foreign Relations,” PCIP, Governance, http://www.pacificcouncil.org/page.aspx?pid=373

4. Corporate and Foundation funding: http://www.pacificcouncil.org/page.aspx?pid=513

5. S. Berthon, Allies At War (London: Collins, 2001), p. 21.

6. A. Crawley, De Gaulle (London: The Literary Guild, 1969), p. 439.

7. “The power of holding two contradictory beliefs in one’s mind simultaneously, and accepting both of them . . .” George Orwell, Nineteen Eighty-Four (London: Martin Secker and Warburg, 1949), Part 1, Ch. 3, p. 32.

8. K. R. Bolton, “Twitters of the World Unite! The Digital New-New Left as Controlled Opposition,” Part 1, Part 2, Part 3, and Part 4. Tony Cartalucci, “Google’s Revolution Factory – Alliance of Youth Movements: Color Revolution 2.0,” Global Research, February 23, 2011, http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=23283

The Rivkin Project:
How Globalism Uses Multiculturalism to Subvert Sovereign Nations, Part 2

In 2010 when US ambassador Charles Rivkin invited a delegation of fellow Pacific Council on International Policy members to France, he had outlined a program for the Americanization of France that primarily involved the use of the Muslim minorities and the indoctrination of French youth with corporate globalist ideals. The slogan invoked was the common commitment of France and America historically to “equality.”

Wikileaks released the “confidential” program. It is entitled “Minority Engagement Strategy.”[1] Here Rivkin outlines a program that is a flagrant interference in the domestic affairs of a sovereign nation and, more profoundly, seeks to change the attitudes of generations of Muslim and French youth so that they merge into a new globalist synthesis; or what might be called a new humanity: Homo economicus, or what the financial analyst G. Pascal Zachary calls “The Global Me,”[2] to achieve what Rivkin describes as the USA’s “national interest.”

Rivkin begins by stating that his embassy has created a “Minority Engagement Strategy” that is directed primarily at Muslims in France. Rivikin states as part of the program: “We will also integrate the efforts of various Embassy sections, target influential leaders among our primary audiences, and evaluate both tangible and intangible indicators of the success of our strategy.”[3]

Rivkin is confident that France’s history of ideological liberalism “will serve us well as we implement the strategy outlined here . . . in which we press France . . .” Note the phrase: “press France.” America’s global agenda is linked by Rivkin to his blueprint for transforming France into “a  thriving, inclusive French polity [which] will help advance our interests in expanding democracy and increasing stability worldwide.” The program will focus on the “elites” of the French and the Muslim communities, but will also involve a massive propaganda campaign directed at the “general population,” with a focus on youth.

At high levels US officials will place French officials on the defensive. The program also includes redefining French history in the school curricula to give attention to the role of non-French minorities in French history. It means that the Pepsi/MTV generation of Americans will be formulating new definitions of French culture and writing new pages of French history to accord with globalist agendas. Towards this end: “. . . we will continue and intensify our work with French museums and educators to reform the history curriculum taught in French schools.”

“Tactic Number Three” is entitled: “Launch Aggressive Youth Outreach.” As in other states targeted by the US State Department and their allies at the Soros network, Freedom House, Movement.org, National Endowment for Democracy, Solidarity Center,[4] and so forth; disaffected youth are the focus for change. Leading the charge on this effort, the Ambassador’s inter-agency Youth Outreach Initiative aims to “engender a positive dynamic among French youth that leads to greater support for US objectives and values.” Can the intentions be stated any plainer? It is Americanization culturally and politically.

It is here that we can most easily get past the cant and clearly see what is behind the strategy: to form a generation “that leads to greater support for US objectives and values.” These “US objectives and values” will be sold to the French as French values on the basis of the bourgeois ideals of 1789 which continue to encumber French ideology on both Left and Right. They will be taught to think that they are upholding French traditions, rather than acting as agents of change according to “American values”: the values of the global village and the global shopping mall. A far-reaching program incorporating a variety of indoctrination methods is outlined:

To achieve these aims, we will build on the expansive Public Diplomacy programs already in place at post, and develop creative, additional means to influence the youth of France, employing new media, corporate partnerships, nationwide competitions, targeted outreach events, especially invited US guests.[5]

The program directed at youth in France is similar to that directed at the youth that formed the vanguard of the “velvet revolutions” from Eastern Europe to North Africa. Potential leaders are going to be taken up by the US State Department in France and cultivated to play a part in the future France of American design:

We will also develop new tools to identify, learn from, and influence future French leaders.

As we expand training and exchange opportunities for the youth of France, we will continue to make absolutely certain that the exchanges we support are inclusive.

We will build on existing youth networks in France, and create new ones in cyberspace, connecting France’s future leaders to each other in a forum whose values we help to shape — values of inclusion, mutual respect, and open dialogue.[6]

Here Rivkin is advocated something beyond influencing Muslims in France. He is stating that a significant part of the program will be directed towards cultivating French youth, the potential leaders, in American ideals, under the façade of French ideals. The US State Department and their corporate allies and allied NGOs intend to “shape their values.” The globalist program for France is stated clearly enough to be the re-education of French youth. One would think that this is the most important role of the French Government, the Catholic Church and the family; the latter two in particular. American bureaucrats and their inane sidekicks recruited from professions are to formulate new “French values.”

As in the states that are chosen for “velvet revolutions” part of the strategy includes demarcating the political confines. As Hillary Clinton recently stated in regard to the type of state the US Establishment expects to emerge after Qadaffi, the new Libya should be an inclusive democracy, open to all opinions, as long as those opinions include a commitment to “equality” and “democracy”; in other words, there must be a new dispensation of freedom in Libya, so long as that freedom does not extend beyond America’s definition of it. And if someone oversteps the lines of acceptable democracy, American bombers are on standby. In the context of France, however, it is clear that the demarcation of French politics according to globalist dictates cannot include any elements of so-ccalled “xenophobia” (sic), which in today’s context would include a return to the grand politics of the De Gaulle era. Hence, “Tactic 5” states:

Fifth, we will continue our project of sharing best practices with young leaders in all fields, including young political leaders of all moderate parties so that they have the toolkits and mentoring to move ahead. We will create or support training and exchange programs that teach the enduring value of broad inclusion to schools, civil society groups, bloggers, political advisors, and local politicians.[7]

Rivkin is outlining a program to train France’s future political and civic leaders. While the programs of US Government-backed NGOs, such as the National Endowment for Democracy — ostensibly designed to develop entire programs and strategies for political parties in “emerging democracies,” such as the states of the ex-Soviet bloc — can be rationalized by way of a lack of a heritage of liberal-democratic party politics, the same rationale can hardly be used to justify America’s interference in France’s party politics.

Towards this end Rivkin states that the 1,000 American English language teachers employed at French schools will be provided with the propaganda materials necessary to inculcate the desired ideals into their French pupils: “We will also provide tools for teaching tolerance to the network of over 1,000 American university students who teach English in French schools every year.”

The wide-ranging program will be co-ordinated by the “Minority Working Group” in “tandem” with the “Youth Outreach Initiative.” One of the problems monitored by the Group will be the “decrease in popular support for xenophobic political parties and platforms.” This is to ensure that the program is working as it should to block the success of any “extreme” or “xenophobic” party that might challenge globalization.

Rivkin clarifies the subversive nature of the program when stating: “While we could never claim credit for these positive developments, we will focus our efforts in carrying out activities, described above, that prod, urge, and stimulate movement in the right direction.”

What would the reaction be if the French Government through its Embassy in Washington undertook a program to radically change the USA in accordance with “French national interests,” inculcating through an “aggressive outreach program” focusing on youth, “French ideals” under the guise of “American ideals on human rights.” What would be the response of the US Administration if it was found that the French Government were trying to influence the attitudes also of Afro-Americans, American-Indians, and Latinos? What would be the official US reaction if it was found that French language educators in American schools and colleges were trying to inculcate American pupils with ideas in the service of French interests?

The hypothetical reaction can be deduced from the US response to the “Soviet conspiracy” when Senate and Congressional committees were set up to investigate anyone even vaguely associated with the USSR. So what’s different? The USA perpetrates a subversive strategy in the interests of it globalist cooperate elite, instead of in the interests of the USSR or communism. It is not as though the USA has had much of a cultural heritage that it can present itself to any European nation, let alone France, as the paragon of good taste and artistic refinement upon which a national identity can be constructed. It this matter, it is a case of deconstruction.

Notes

1. C. Rivkin, “Minority Engagement Report,” US Embassy, Paris, http://www.wikileaks.fi/cable/2010/01/10PARIS58.html

2. G. Pascal Zachary, The Global Me: Why Nations will succeed or Fail in the Next Generation (New South Wales, Australia: Allen and Unwin, 2000).

3. Rivkin.

4. K. R. Bolton, “The Globalist Web of Subversion,” Foreign Policy Journal, February 7, 2011, http://www.foreignpolicyjournal.com/2011/02/07/the-globalist-web-of-subversion/

5. Rivkin.

6. Rivkin.

7. Rivkin.

The Rivkin Project:
How Globalism Uses Multiculturalism to Subvert Sovereign Nations, Part 3

Many nefarious aims have been imposed under the banner of multiculturalism and slogans such as “equality” and “human rights.” As “democracy” has been used to justify the bombing states throughout recent history, these slogans often serve as rhetoric to beguile the well-intentioned while hiding the aims of those motivated by little if anything other than power and greed.

One might think of the manner by which the issue of the Uitlanders was agitated to justify the Anglo-Boer wars for the purpose of procuring the mineral wealth of South Africa for the benefit of Cecil Rhodes, Alfred Beit, et al.

A similar issue was revived in our own time, under the name of “fighting apartheid,” and while the world was jubilant at the assumption to power of the ANC, the reality has been that the Africans have not benefited materially one iota, but the parastatals or state owned enterprises are being privatized so that they can be sold off to global capitalism. When the patriarch of South African capitalism, Harry Oppenheimer, whose family was a traditional foe of the Afrikaners, died in 2000,Nelson Mandela eulogized him thus:  “His contribution to building partnership between big business and the new democratic government in that first period of democratic rule can never be appreciated too much.”[1]

The “democracy” Oppenheimer and other plutocrats in tandem with the ANC created in South Africa is the freedom for global capital to exploit the country. Mandela stated the result of this “long march to freedom” in 1996: “Privatization is the fundamental policy of the ANC and will remain so.”[2] In commenting on the privatization of the Johannesburg municipal water supply, which is now under the French corporation Suez Lyonnaise Eaux, the ANC issued a statements declaring that: “Eskom is one of a host of government owned ‘parastatals’ created during the apartheid era which the democratically elected government has set out to privatise in a bid to raise money.”[3] It is the same outcome for South Africa that was achieved by the “liberation” of Kosovan minerals in the name of “democracy” and in the name of the rights of Muslims under Serb rule, while other Muslims under their own rule are bombed into submission by the USA and its allies.

The Aims of Global Capitalism

The nature of the globalist dialectic has been explained particularly cogently by Noam Chomsky:

See, capitalism is not fundamentally racist — it can exploit racism for its purposes, but racism isn’t built into it. Capitalism basically wants people to be interchangeable cogs, and differences among them, such as on the basis of race, usually are not functional. I mean, they may be functional for a period, like if you want a super exploited workforce or something, but those situations are kind of anomalous. Over the long term, you can expect capitalism to be anti-racist — just because it’s anti-human. And race is in fact a human characteristic — there’s no reason why it should be a negative characteristic, but it is a human characteristic. So therefore identifications based on race interfere with the basic ideal that people should be available just as consumers and producers, interchangeable cogs who will purchase all the junk that’s produced — that’s their ultimate function, and any other properties they might have are kind of irrelevant, and usually a nuisance.[4]

The Chomsky statement cogently expresses the situation in its entirety.

France as a Social Laboratory for Globalization

The Rivkin offensive is the latest in a long line of programs for undermining French identity. France is a paradox, combining the cosmopolitan values of the bourgeois Revolution of 1789 with a stubborn traditionalism and nationalism, which the globalists term “xenophobia.” It is manifested even in small ways such as the legal obligation of French public servants and politicians to speak only French to the foreign media, regardless of their knowledge of any other language; or the widespread resistance in France to McDonalds and Disney World.

France, like much of the rest of the world, however, is fighting a losing cultural battle against globalization. Jeff Steiner’s column “Americans in France,” refers to the manner by which the French at one time resisted the opening of the American fast food franchise as “part of an American cultural invasion.” Steiner writes:

. . . That seems to be past as McDonalds has so become a part of French culture that it’s not seen as an American import any longer, but wholly French. In short, McDonalds has grown on the French just like in so many other countries.

I’ve been to a few McDonalds in France and, except for one in Strasbourg that looks from the outside to be built in the traditional Alsatian style, all McDonalds in France that I have seen look no different than their American counterparts.

Yes, there are those that still curse McDo (They are now a very small group and mostly ignored) as the symbol of the Americanization of France and who also see it as France losing its uniqueness in terms of cuisine. The menu in a French McDonalds is almost an exact copy of what you would find in any McDonalds in the United States. It struck me as a bit odd that I could order as I would in the United States, that is in English, with the odd French preposition thrown in.

If truth were told, the French who eat at McDonalds are just as much at home there as any American could be.[5]

This seemingly trivial example is actually of immense importance in showing just how a culture as strong as that of France — until recently an immensely proud nation — can succumb, especially under the impress of marketing towards youngsters. It is a case study par excellence of the standardization that American corporate culture entails. It is what the globalist elite desires on a world scale, right down to what one eats.

It is notable that the vanguard of resistance to McDonalds came from farmers, a traditionalist segment of Europe’s population that is becoming increasingly anomalous and under the globalist regime will become an extinct species as agriculture gives way to agribusiness.

Given France’s status in Europe and its historical tendency to maintain its sovereignty in the face of US interests — even quite recently with its opposition to the war against Iraq — France remains one globalism’s few stumbling blocks in Europe. An added concern is that the French will take their stubborn “xenophobia” to the polls and elect a stridently anti-globalist party, as reflected in the electoral ups and downs of the Front National, which opposes both globalization and privatization.

This is a major reason for Rivkin’s far-reaching subversive and interventionist program to assimilate Muslims into French society, which would fundamentally transform French consciousness to be more thoroughly cosmopolitan. The intention is clear enough in the Rivkin embassy documents where it is stated that the Embassy will monitor the effects of the “outreach” program on the “decrease in popular support for xenophobic political parties and platforms.”

Contra the “xenophobia” of France, R. J. Barnet and R. E. Müller’s study of the global corporation, Global Reach,[6] based on interviews with corporate executives, shows that the French business elite has long been seeking to undermine the foundations of French tradition. Jacques Maisonrouge, president of the IBM World Trade Corporation “likes to point out that ‘Down with borders,’ a revolutionary student slogan of the 1968 Paris university uprising – in which some of his children were involved – is also a welcome slogan at IBM.”[7] Maisonrouge stated that the “World Managers” (as Barnett and Muller call the corporate executives) believe they are making the world “smaller and more homogeneous.”[8] Maisonrouge approvingly described the global corporate executive as “the detribalized, international career men.”[9] It is this “detribalization” that is the basis of a “world consumer culture” required to more efficiently create a world economy.

Paris is already a cosmopolitan center and therefore ideal as a prototype for the “global city” of the future. In the 1970s Howard Perlmutter and Hasan Ozekhan of the Wharton School of Finance Worldwide Institutions Program prepared a plan for a “global city.” Paris was chosen for the purpose. Prof. Perlmutter was a consultant to global corporations. His plan was commissioned by the French Government planning agency. Perlmutter predicted that cities would become “global cities” during the 1980s.

For Paris, this required “becoming less French” and undergoing “denationalization.” This, he said, requires a “psycho-cultural change of image with respect to the traditional impression of ‘xenophobia’ that the French seem to exude.” The parallels with the current Rivkin program are apparent. Perlmutter suggested that the best way of ridding France of its nationalism was to introduce multiculturalism. He advocated “the globalization of cultural events” such as international rock festivals, as an antidote to “overly national and sometimes nationalistic culture.”[10]

Undermining France’s “overly national and sometimes nationalistic culture” is the reason Rivkin sought to foster stronger connections between Hollywood and the French culture industry.[11] Rivkin knows the value of entertainment in transforming attitudes, especially among the young. After working as a corporate finance analyst at Salomon Brothers, Rivkin joined The Jim Henson Company in 1988 as director of strategic planning. Two years later, he was made vice president of the company.

The Jim Henson Company produces Sesame Street, whose cute little muppets push a well-calculated globalist agenda to toddlers. Lawrence Balter, professor of applied psychology at New York University, wrote that Sesame Street “introduced children to a broad range of ideas, information, and experiences about diverse topics such as death, cultural pride, race relations, people with disabilities, marriage, pregnancy, and even space exploration.” The series was the first to employ educational researchers, with the formation of a Research Department.[12] Sesame Street has received funding from the Ford Foundation, the Carnegie Corporation, and the US Office of Education. Of passing interest is that the Carnegie Corporation and the Ford Foundation are also patrons of the Pacific Council on International Policy.

Creating the World Consumer

As Chomsky has pointed out, global capitalism sees humanity in terms of interchangeable cogs in the production and consumption cycle. The summit of corporate human evolution is transformation into “detribalized, international career men.” According to financial journalist G. Pascal Zachary, these rootless cosmopolitans constitute an “informal global aristocracy” recruited all over the world by corporations, depending totally on their companies and “little upon the larger public,” a new class unhindered by national, cultural, or ethnic bonds.[13]

Barnett and Muller quoted Pfizer’s John J. Powers as stating that global corporations are “agents for change, socially, economically and culturally.”[14] They stated that global executives see “irrational nationalism” as inhibiting “the free flow of finance capital, technology, and goods on a global scale.” A crucial aspect of nationalism is “differences in psychological and cultural attitudes, that complicate the task of homogenizing the earth into an integrated unit. . . . Cultural nationalism is also a serious problem because it threatens the concept of the Global Shopping Center.”[15]

This “cultural nationalism” is described by Rivkin and all other partisans of globalism as “xenophobia,” unless that “xenophobia” can be marshaled in the service of a military adventure when bribes, embargoes and threats don’t bring a reticent state into line, as in the cases of Serbia, Iraq, and perhaps soon, Libya. Then the American globalist elite and their allies become “patriots.”

Barnet and Muller cite A. W. Clausen when he headed the Bank of America, as stating that national, cultural, and racial differences create “marketing problems,” lamenting that there is “no such thing as a uniform, global market.”[16] Harry Heltzer, Chief Executive Officer of 3M stated that global corporations are a “powerful voice for world peace because their allegiance is not to any nation, tongue, race, or creed but to one of the finer aspirations of mankind, that the people of the world may be united in common economic purpose.”[17]

These “finer aspirations of mankind,” known in other quarters as greed, avarice, and Mammon-worship, have despoiled the earth, caused global economic imbalance, and operate on usury that was in better times regarded as a sin. These “finer aspirations,” by corporate reckoning, have caused more wars than any “xenophobic” dictator, usually in the name of “world peace,” and “democracy.”

The Rivkin doctrine for France — which according to the leaked document, must be carried out in a subtle manner — is a far-reaching subversive program to transform especially the young into global clones devoid of cultural identity, while proceeding, in the manner of Orwellian “doublethink,” under the name of “multiculturalism.”

Notes

1. “Mandela honours ‘monumental’ Oppenheimer”, The Star, South Africa, August 21, 2000, http://www.iol.co.za/index.php?set_id=1&click_id=13&art_id=ct20000821001004683O150279 (accessed September 27, 2009).

2. Lynda Loxton, “Mandela: We are going to privatise,” The Saturday Star, May 25, 1996, p.1.

3. ANC daily news briefing, June 27, 2001. See also “Eskom,” ANC Daily News Briefing, June 20, 2001, 70.84.171.10/~etools/newsbrief/2001/news0621.txt

4. Noam Chomsky, Understanding Power: The Indispensable Chomsky (New York: The New York Press, 2002), pp. 88–89.

5. J. Steiner, “American in France: Culture: McDonalds in France, http://www.americansinfrance.net/culture/mcdonalds_in_france.cfm

6. R. J. Barnet and R. E. Müller, Global Reach: The Power of the Multinational Corporations (New York: Simon and Schuster, 1974).

7. Global Reach, p. 19. For an update on Maisonrouge see: IBM, http://www-03.ibm.com/ibm/history/exhibits/builders/builders_maisonrouge.html

8. Global Reach, , p. 62.

9. Global Reach, ibid.

10. Global Reach, pp. 113–14.

11. “2010 France Country Dialogue,” PCIP, op. cit.

12. L. Balter, Parenthood in America: An Encyclopaedia, Vol. 1 (ABC-CLIO, 2000), p. 556.

13. G. Pascal Zachary, The Global Me (New South Wales: Allen & Unwin, 2000).

14. Global Reach, p. 31.

15. Global Reach, p. 58.

16. Global Reach, ibid.

17. Global Reach, p. 106.

mardi, 22 février 2011

Will Multiculturalism End Europe?

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Ex: http://takimag.com/

Will Multiculturalism End Europe?  

 

By Patrick J. Buchanan

Multiculturalism has “totally failed,” says German Chancellor Angela Merkel.

“State multiculturalism has had disastrous results,” says Britain’s David Cameron.

Is multiculturalism a failure in France? “My answer is clearly yes, it is a failure,” says President Nicolas Sarkozy.

Ex-Prime Minister Jose Maria Aznar has declared multiculturalism a failure in Spain, saying it divides and debilitates Western societies.

Only in Canada and the U.S., it seems, is the issue still in dispute.

Yet these European leaders are not leading anyone. They are far behind the people, and their belated appreciation of the idea of national identity is but a product of political panic. Take Merkel in Germany.

Last summer, Thilo Sarrazin published a book the title of which may be translated as “Germany Abolishes Itself.”

Sarrazin argued that Germany’s gastarbeiters, guest workers—Turks, Kurds, Arabs—are dumbing down the nation. While Germany’s birth rate fell below replacement levels decades ago, these foreigners with less intelligence and much higher dropout, welfare and crime rates are rapidly replacing the declining German population.

“It is a matter of culture,” said Sarrazin, and “Islam is the culture.” This is why Muslim immigrants are “socially, culturally and intellectually inferior to most everyone else.” Yet Sarrazin did use the phrase a “genetic minus” to describe migrants from the Middle East.

Were these the ravings of a neo-fascist intellectual and closet admirer of the late Fuhrer? Not at all. Sarrazin was a proud member of the Social Democratic Party of Willy Brandt and a board member of the Bundesbank.

With Merkel and the German establishment howling for his head, Thilo resigned, unrepentant. Two-thirds of Germans said he had a right to speak his mind, a third said they agreed with him, and “Germany Abolishes Itself” has sold over a million copies.

It was in response to the firestorm of the Sarrazin affair that Merkel discovered that multiculturalism was a failure. Her EU colleagues have since been falling all over one another to agree.

Another factor has contributed to the sudden awakening of the EU’s elite—an explosion of anti-immigrant parties that are siphoning off working-class voters from socialist parties and nationalist voters from conservative parties.

Among these are Jean-Marie Le Pen’s National Front in France, the British National Party, the Vlaams Belang in Belgium, Geert Wilders’ Freedom Party in Holland, the Swiss People’s Party of Christoph Blocher, which won the battle to ban the burka, the Austrian Freedom Party and Alliance for Austria’s Future, the Jobbik Party of Hungary, the Lega Nord in Italy, which favors secession, the Danish People’s Party, and the Sweden Democrats, who just won a toehold in parliament.

What these parties share is that all are anti-immigrant, anti-Muslim and ethnonational. They want to retain, or restore, a nation of, by and for their own kind, with its own history, holidays, heroes, language, literature, music and art. They are fiercely resistant to any dilution of the ethnic composition or cultural character of their countries.

What is the menace of multiculturalism these people see?

From Moscow to Marseilles, from Stockholm to Sicily, they see the Muslims pouring in and creating tiny nations within the nation, and being unwilling to embrace a new identity as Englishmen, French or German.

And their fears are not unjustified.

For just as the populist parties are deeply ethnonational, proud of their identity as Swiss, Austrian, German, English, Dutch or Flemish, the newcomers, too, are deeply ethnonational: Turkish, Arab and African.

And Islam is a faith that is itself anti-multicultural.

Devout Muslims do not believe all religions are equal. They believe there is one God, Allah, and submission to his law is the path to paradise. They do not believe in freedom of speech and the press if it means mocking the Prophet. They do not believe in Western dress codes or mixing men and women in schools and sports. They do not believe all lifestyles are equal. Some think adulterers should be stoned and honor killings are justified for girls who disgrace the family.

They wish to live their faith and their culture in our countries, to live alongside us but to dwell apart.

“If you come to France,” said Sarkozy last week, “you accept to melt into a single community, which is the national community, and if you do not want to accept that, you cannot be welcome in France.”

A little late for that. Some 5 million to 8 million Arabs and Muslims are in France, their birth rate is higher, and more are on the way.

The real questions: Whose idea was it to bring these people in? And what do France, Britain and Germany do if they say: This is a democracy, we will live as we wish to live, according to our beliefs, not yours.

How does a liberal, permissive society that celebrates diversity impose its values on a militant immigrant minority that rejects them?

Answer: It doesn’t. All the rest is chatter.

This is what James Burnham meant when he wrote that liberalism is the ideology of Western suicide.

Multiculturalism is Dead - Where Do We Bury the Body?

Multiculturalism is Dead – Where Do We Bury the Body?

By Jim GOAD

Ex: http://takimag.com/

Suicide.jpgI’ll never forget a painting I saw at a West Berlin youth hostel in 1985. The background depicted bombed-out ruins, presumably Dresden after the Allied firestorm. In the foreground were two women, their backs to us as they faced the charred, blown-out buildings. One woman was starting to lift her arm in a Sieg Heil salute, while the other rushed to grab her arm and stop her.

What a weird image it was, mixing national pride with national defeat and national self-loathing.

After World War II ended, no nation on Earth has been force-fed as many Guilt Sandwiches as the Germans, despite the fact that they’d lost seven to nine million of their own Volk in that conflict. One never hears about “the nine million.” It’s nearly verboten to even mention them.

When I saw that painting in 1985, Germany had already endured four decades of post-WWII shaming. Despite all that, I knew that sooner or later, that one lady would tire of holding down the other lady’s arm.

Sixty-five years after World War II’s end, Germany is finally becoming OK with being German again. On October 16 while addressing her Christian Democratic Union party, German Chancellor Angela Merkel said:

In Frankfurt am Main, two out of three children under the age of five have an immigrant background.…This multicultural approach, saying that we simply live side by side and are happy about each other, this approach has failed, utterly failed.

Loud applause greeted that last sentence.

For five years running, the stout, doughy Merkel has been Nummer Eins on Forbes magazine’s list of “The World’s Most Powerful Women,” so her statement is no small potatoes. But only a month earlier, Merkel was telling Germans that they should get used to seeing more mosques in their country. She was also condemning Thilo Sarrazin’s “absurd, insane opinions” as expressed in his shockingly popular book Germany Abolishes Itself.

It’s unclear why Merkel has suddenly shifted her ample hips rightward. She could be responding to recent polls showing that six in ten Germans would like to see Islam restricted, three in ten say they feel their country is “overrun by foreigners,” seventeen percent say that Jews have an undue influence over German affairs [oops!], and thirteen percent say they’d welcome a new Führer [now hold it right there!].

There go those pesky Germans again, refusing to hate themselves. How dare a German say anything besides “I’m sorry” for the next thousand years?

I don’t see the upside to our newer, more multicultural America. The only thing we share is the currency, and maybe that was the point all along.

Everyone expected the Germans to get an attitude sooner or later—after all, they’re the Germans. What seems more troubling, at least to the sworn enemies of All Things European, is that all of Europe seems to be getting the same attitude simultaneously.

What one might refer to as indigenous Europeans—you know, the palefaces, the Ice People, the Ghost Men, the Evil Aryans, the Abominable Snowmen—are beginning to chafe at the iron rainbow to which they’ve been yoked since World War II. Geert Wilders has blossomed into a political force solely by promising to protect Dutch culture from Islamofascism. An anti-immigration party just placed twenty anti-immigration asses into the Swedish Parliament’s seats. France is goin’ wild banning burqas and sending the Roma packing. The Swiss have flipped the bird at minarets. Putin’s brand of post-Soviet Russian nationalism is insanely popular, at least among insane Russians.

Even in the self-loathing, culturally obsequious, crushed-and-bleeding former empire that is the UK, comments in response to Merkel’s proclamation were lopsidedly in favor of what she said. Most of the anonymous online whisperers, presumably British nationals, agreed that multiculturalism was a colossal failure in their country as well.

Reading the comments, I saw parallels between Europe’s brand of “multiculturalism” and the American product. Both hither and yon, there’s anger about racial job quotas, oppressive speech codes, and double standards regarding who’s allowed to show ethnic pride.

What’s important is the way multikulti has unfolded and where. You don’t see such sensitivity training being forced upon anyone in Africa, Asia, the Middle East, or South America. You don’t hear China, Japan, or Israel being lectured to swing open their doors to foreigners. Almost exclusively, multiculturalism is a psychological marketing program designed for majority-white countries. Often, it is sold with the idea that whites are paying a historic debt, are reaping what they’ve sown, that what goes around comes around, that the wheel has turned full-circle, the chickens are coming home to roost, and that it’s time to pay the swarthy piper his due.

Country by country, continent by continent, there’s a sense that the newer, darker arrivals are receiving preferential treatment over those who’ve been there for generations. In the UK, it’s called “Positive Discrimination.” In America, it’s called “affirmative action” and “amnesty.” And across every border where whites are a majority, there’s a creeping sense that politicians don’t give a fuck about how they feel. They never asked for these new waves of immigrants, and they had no choice in this odd social-engineering experiment that’s demolishing whatever they used to share as a common culture.

Suddenly, this doesn’t seem so much like a celebration of all cultures as it does punishment of a specific culture. And that doesn’t sound like such a swell recipe for having everyone get along.

We’ll be continually reminded that European satellite nations such as Canada, the USA, and Australia were settled atop indigenous skulls, so the land-grabbing descendants of those race-murderers have no right to whine about being gradually wiped out themselves by newcomers.

Once again, for Christ’s sake, whether he’s dead or alive: Two wrongs don’t make a right. If colonialism was wrong then, it’s wrong now. Multiculturalism is merely colonialism with a prettier name. I realize and concede the fact that it awards us with a dazzling array of ethnic restaurants unparalleled in their tastiness.

Under multiculturalism, we have a wider selection of food…and no one talks to anyone anymore. Many of us now speak different languages and wouldn’t even know how to talk to one another. Rather than erasing borders, multiculturalism has merely created new borders within borders. Rather than destroying nationalism, it creates mini-nations within nations.

If we’re going to push multiculturalism’s glories, shouldn’t we point out where has it worked in the past? If diversity is a strength, why did stretched-too-thin empires such as ancient Rome and the Soviet Union eventually fall from the weight of their own diversity?

Stop calling me a racist and shoot some believable answers at me. I really want to hear them.

As always, the “chattering classes” are working out their postcolonial guilt complexes at the lower classes’ expense. Either they’ve known what they were doing all along or they haven’t, and I’m not sure which is worse.

It’s dangerous to ignore the fact that all the technology in the world, the ceaseless multicultural brainwashing that’s been laser-beamed into our eyeballs over the past 65 years, has not eradicated the basic human tendency to be tribal. If they didn’t fully murder such instincts in the Germans—and God fucking knows they tried hard with the Germans—maybe such instincts can’t be killed.

Yes, I realize we’re all human. If that’s your point, you’ve already made it—and, I might add, at a tremendous expense. What you fail to realize is that humans tend to be tribal. And if you get too many tribes, you don’t have a nation anymore.

I guess we should celebrate the fact that even though no one speaks to one another anymore, at least the people who aren’t speaking to one another are more “multicultural” than they used to be back when people actually spoke to one another.

What kind of newly enriched and suddenly empowered American culture do I see when I drive on the highway near my house? I see Wal-Mart, Chili’s, Motel 6, Wendy’s, and Home Depot. It could be Indianapolis. It could be Omaha. It could be Seattle. It could be anywhere in America. It happens to be Stone Mountain, GA, but you’d have no idea you were even in the South. In 2010, the only cultural landscape we share consists of familiar corporate logos. There’s no local flavor, no sense of indigenous culture. Things don’t seem richer, livelier, and more colorful; they’re empty, listless, and dead.

At least that’s how it feels to me. I don’t feel as if there’s any glue, cohesion, or sense of belonging in this society anymore. I’m feeling the anomie something awful. I don’t see the upside to our newer, more multicultural America. The only thing we share is the currency, and maybe that was the point all along.

Multiculturalism has failed, but it has only begun to fail. Now what? After constant states of flux, our society now seems fluxed-up beyond repair. How do we sort out the mess while avoiding more Trails of Tears?

Multiculturalism is dead, sure, but what do we do with the body? I’ve yet to hear a good burial plan, and I fear we may need one.

And what makes me most nervous is that I’m not even sure who “we” are.